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L’extraordinaire découverte

de l'Amiral Richard E. Byrd

De son livre "Le livre du paranormal" de 1973, aux Editions Omnium littéraire, nous
reprenons de (J.B.S. Haldane: biologiste Britannique auteur du livre " Science and Life"
London 1968), l'admirable citation suivante qui s'applique parfaitement à ce qui va suivre: "
L'univers n'est pas seulement plus bizarre que nous l'imaginons, il est plus bizarre que tout ce
que nous pouvons imaginer "

I Introduction

Nous avons attendu longtemps avant d'aborder sur le Web cet article, tant les faits qui font
être relatés ici sont tabous en Haut Lieu, et s'il peut être d'une part dangereux de les évoquer,
d'autre part cela risque de plus de susciter émoi et incrédulité chez le lecteur non préparé.
Cependant nous avons déjà effleuré, le sujet en fin de notre article
" Les enfants de nulle part », dont nous vous rappelons le paragraphe en question :
-Venaient-ils peut-être d'un monde souterrain, où vivrait une civilisation inconnue qui se
serait développée depuis des siècles dans la planète Terre qui serait creuse à l'intérieur ? Ce
dernier thème qui a de nos jours de nombreux supporters dont le Dr canadien Raymond
Bernard auteur de l'ouvrage intitulé "La Terre Creuse" publié également chez Albin Michel
de 1971, mais cependant chose bizarre, très difficile à trouver chez les bouquinistes ". (Voir
photo de la couverture du livre):
Nous en reparlerons. Notons aussi la surprenante page 194 du livre aussi très rare à trouver d'
Howard Menger : "Mes amis les hommes de L'Espace" chez Dervy Juillet 1965, page que
vous pouvez cependant retrouver dans le livre plus récent d'Anne Meurois-Givaudan :"Celui
qui vient" Tome 2 : les Dossiers sur le Gouvernement Mondial, Editions Amrita, Octobre
1998 pages 52 et 53, où nous trouvons les phrases suivantes: " Il y a aussi d'autres gens de
votre planète, des gens dont vous n'avez jamais entendu parler. Des gens qui jusqu'à
maintenant n'ont été ni observés ni découverts. Une sorte de peuple souterrain."
Comme vous voyez, nous avions promis de vous en reparler et nous pensons, qu'aujourd'hui
que le moment est venu (et nous dirons plus tard pourquoi..), à nos risques et péril, d'autant
plus que d'autres auteurs récents, dont vous verrez la liste en fin d'article, n'ont pas hésité, eux,
à se lancer dans ces incroyables révélations, alors pourquoi pas nous ?

II La genèse de l' affaire


L'amiral Richard Evelyn BYRD,
Grand Chancelier de l'Ordre de la
Fayette et de la Croix du Mérite,
secrétaire perpétuel de l'Académie
Fédérale de la Marine et des
Sciences, (d'après un article de Jean
Brun de l'hebdomadaire Nostra du n°
425 de la semaine du 29 Juin au 4
Juillet 1980) aurait vécu une aventure
tout à fait exceptionnelle dans les
glaces du Pôle Nord.
Voici donc quelques lignes de cet
article:
"Byrd, accompagné d'un capitaine
de vaisseau et de deux quartiers-
maîtres, marchaient depuis des heures
sur la banquise, escaladant les
moutonnements chaotiques des glaces
éternelles, dévalant de dangereux à-
pics plus périlleux qu'un rocher
vertical. Et soudain, du haut de la
falaise blanche où l'expédition était
parvenue au prix de mille dangers, ils
découvrirent un spectacle inoubliable.
Sous leurs yeux médusés s'étendait
une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment
baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de
glace.
D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58° ! Son adjoint, le
capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ".
Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse
prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace
au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une
végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et
pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leur équipement
d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de
vue, en croyant à peine leurs yeux, Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux
coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une
tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal
massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un
mammouth.
Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manque de vivres,
l'épuisement des accumulateurs de radio faisaient un devoir au chef du détachement
d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base. Après avoir repris
quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau)
la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu".
Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à
quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en
effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Fin de citation
On pourrait donc croire que nous avons là affaire à un début d'un roman inédit de Jules Verne,
si l'on ignore que l'amiral Byrd a participé par la suite à de nombreuses autres expéditions
polaires, entre autre en 1929, 1936, 1947, 1956 à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des
déclarations insolites que nous extrayons du livre de R. Bernard cité plus haut :
" Février 1947 : " J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord). Cette terre qui est le
centre du grand Inconnu". Vice-amiral Byrd avant son vol de 2700 km au delà du Pôle Nord
(visité en 1926 : voir ci-dessus et il y a eu aussi l'expédition de 1929 au Pôle Sud voir ci-
dessous)
Novembre 1955 : " C'est la plus importante expédition de l'histoire du monde." Vice-amiral
Byrd avant son départ pour explorer la terre au-delà du Pôle Sud.
Janvier 1956 : " Le 13 Janvier, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un
vol de 4300 km à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 km à l'ouest du pole Sud
et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle". Message radio en
provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse américaine du 5
février 1956.
Mars 1956 : "La présente expédition a ouvert un nouveau et vaste territoire ". Vice-amiral
Byrd le 13 Mars 1956 à son retour du Pôle Sud."
Notons avec soin le terme "Au-delà " et non "au-dessus" utilisé par l'amiral Byrd. Si Byrd
avait volé au-dessus des pôles Nord et Sud, en direction des immensités glacées qui s'étendent
d'après la géographie classique de l'autre côté du pôle, il serait incompréhensible que cet
amiral ait qualifié ce territoire en 1947, de "Grand Inconnu". Il n'aurait pas non plus aucune
raison d'utiliser l'expression étrange prononcée, parait-il, avant sa mort : " ce continent
enchanté dans le ciel, terre de l'éternel mystère!"

Voyons ce que nous dit encore R. Bernard dans son extraordinaire ouvrage :
"Si nous regardons une carte du Pôle Nord, par exemple et si nous mesurons les distances au
pôle géographique, à quelques pays des alentours, Sibérie, Spitzberg, Alaska, Canada,
Finlande, Norvège Groenland, Island... ces distances sont toutes inférieures à 2700 Km. Et
pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue en 1947. Il dit avoir dépassé le pôle, au delà
de 2700 km, puis fut obligé de rebrousser chemin, car la réserve d'essence de son avion
diminuait. Et comme l'appareil progressait au-delà du pôle, apparurent des régions libres de
glace, avec des lacs et des montagnes couvertes d'arbres, et même un animal monstrueux qui
ressemblait à un mammouth préhistorique. Tout cela fut rapporté par les occupants de l'avion
et après la brève annonce basée sur le rapport radio de Byrd et publiée dans la presse
américaine, toute publicité ultérieure a été supprimée par le gouvernement pour qui Byrd
travaillait, et qui avait des raisons politiques et militaires évidentes à cacher cette
découverte."

Byrd est mort en 1957 et son journal de bord concernant cette expédition aurait été confisqué
par le Pentagone pendant de nombreuses années, mais est redevenu accessible, parait-il, ces
jours-ci.
La seule façon de comprendre convenablement les déclarations énigmatiques de cet amiral,
nous dit encore R. Bernard, est "d'écarter la conception traditionnelle de la formation de la
Terre " et d'en accepter une nouvelle, montrant que les extrémités arctique et antarctique ne
sont pas convexes (comme une orange) mais concaves. (Comme une pomme : Profitons
justement de l'exposition réalisée à la Galerie nationale du Jeu de pomme du mois d'Avril à
Juin 2003, des œuvres du peintre surréaliste belge Magritte pour nous livrer à un petit jeu
également artistique, qui ne manquerait pas, peut-être, de surprendre le peintre lui même,
malgré son habitude à vouloir nous subjuguer. Bien que pour la Terre, la concavité soit
certainement moins prononcée que pour notre pomme, l'analogie est cependant
remarquable.)
Mais R. Bernard poursuit son explication : "... Byrd entra tout simplement dans les déclivités
polaires, qui pénètrent à l'intérieur creux de la Terre, là où règne un climat tropical et où se
développe une vie végétale animale et humaine qui nous sont inconnues actuellement et que
les gouvernements nous cachent, car ils savent que c'est de là que sortent certains ovnis,
prouvant que la civilisation atteinte par les gens de l'intérieur dépasse de loin nos capacités
technologiques, et que l'on n'a aucun intérêt à les affronter ".
Si vous doutez, encore des révélations de l'amiral Byrd, lisez l'extraordinaire reportage que
l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles BERLITZ (qui ne semble pas
pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors
probablement ), nous transmet aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace" publié
chez Flammarion en 1978 et qui relate l'aventure inouïe de l'amiral Byrd en 1929 lors de son
survol du Pôle Sud :
"..cette légende... a trait à un rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Byrd depuis son avion -
rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement - sur l'observation à laquelle
il se serait livré dans les parages du Pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait
l'objet d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et se retrouva en train de
survoler une terre sans glace où il fut à même de distinguer de la végétation, des lacs, des
animaux ressemblant à des mammouths ou d'énormes buffles ainsi que des humains qui
semblaient les garder. D'après certains chercheurs spécialisés dans les domaines de la
zoologie et de l'exploration qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut
interrompue et les parties de ce reportage qui avaient trait à ce phénomène insolite furent par
la suite supprimées. "

Mais Charles Berlitz, qui ne se contente pas de décrire, comme certains auteurs, des légendes,
a réussi à trouver un témoin clef de cette époque, en la personne de Mme Emily INGRAM, et
vous aurez, je l'espère, un grand plaisir à prendre connaissance de son témoignage
exceptionnel dans le livre déjà cité de Berlitz que l'on peut encore trouver chez les bons
"bouquinistes".
L'un des précurseurs à avoir prôné cette "Théorie de la Terre Creuse" est le capitaine De John
Cleves Symmes, ancien héros de la Guerre de 1812 contre la Grande-Bretagne, et dont on a
érigé, à Hamilton un monument de pierre représentant une sphère percée en deux points
symétriques. C'est le 10 Avril 1818 qu'il envoya au Congrès Américain, à des directeurs
d'université et à des savants, la lettre suivante : "Au monde entier, je déclare que la Terre est
creuse et habitable intérieurement...". Symmes, qui avait probablement compulsé les récits
d'explorateurs polaires, admettait cependant que la terre comprenait 5 sphères emboîtées et
espacées, de telle sorte qu'elles soient habitables aussi bien sur leur face convexe que
concave. Il admettait cependant qu'il y avait aux deux pôles d'énormes ouvertures où
s'engouffraient l’atmosphère, des terres et des mers.

On soupçonne même, (nous dit un article du livre " les Grandes énigmes " édité par France-
Loisirs en 1992), Symmes d'être l'auteur du roman paru en 1820 sous le titre "Symzonia" et
signé d'un certain Captain Adam Seaborn , roman qui fut certainement à l'origine de bien
d'autres comme par exemple le roman de Jules Verne : "Voyage au centre de la Terre" (1864)
: Ceux d'Edgar Rice Burroughs avec la série des Pellucidar (Au cœur de la Terre en 1914),
pour se poursuivre avec 6 autres volumes dont l'un est "Tarzan au cœur de la Terre "(1930). Il
y a eu aussi, Edward George Bulwer-Lytton, politicien, ésotériste et écrivain célèbre (auteur
des "Derniers jours de Pompéi " en 1830 et dont on a tiré un film) et qui a publié en 1873
l'ouvrage "The Coming race " (voir dans la bibliographie en fin d'article à Byrdsuite, le nom
de l'ouvrage en français). Ce livre nous parle d'une utopie souterraine dont les personnages,
rescapés des cataclysmes de la surface, depuis des milliers d'années, sont des sortes de
surhommes, à la force entretenue par un mystérieux "fluide Vril " et race qui va bientôt nous
supplanter. Il n'est pas surprenant que cette utopie ait inspirée, certaines sociétés secrètes
notamment dans l'Allemagne pré nazie, " La Loge lumineuse", connue aussi sous le nom de
"Société du Vril ". Ses disciples croient pouvoir domestiquer le Vril, l'énergie intérieur et
devenir ainsi des surhommes. Parmi eux, on trouve l'allemand Rudolph Hess et d'autres nazis
de la première heure... qui ont recherché dans cette théorie une justification de leur
monstrueuse politique.

D'autres auteurs, empruntent aussi le sillage de Symmes, comme l'américain William Reed en
1906 et surtout un autre américain Marshall B. Gardner, en 1920, ont présenté sensiblement la
même conception de la structure de la Terre : Une Terre creuse, ouverte aux pôles. Mais la
seule différence et elle est de taille, Gardner croit à l'existence d'un soleil central qui est la
source de l'aurore boréale. (Voir croquis terre creuse n°1).

Ces deux ouvrages épuisés et non traduits en français n'ont pas eu plus de succès que les
précédents, mais furent, nous dit R.Bernard, "des messages lancés à l'humanité comme on
jette une bouteille à la mer".
Le black-out sur les surprenantes découvertes aux pôles de L'amiral Byrd a été si bien
orchestré, que tout cela était pratiquement oublié quand en Déc. 1959, paraissait l'ouvrage
"Words beyond the Poles " (Mondes au-delà des pôles) de Amadeo Giannini chez New York
Vantage Presse : 218 pages non traduit en français et ouvrage qui ne reçut aucune publicité
pour pouvoir toucher un grand public comme on le faisait pour d'autres ouvrages moins
fantastiques. Cependant le rédacteur en chef, Ray Palmer, du magazine " Flying Saucers "
(soucoupes volantes) fit un article en Déc. 59, sur la " théorie de la Terre Creuse " exprimée
dans ce livre, et il se passa quelque chose d'extraordinaire qui prouve encore que cette
publication dérangeait certains "conjurés". Quand la camionnette venant de l'imprimerie (avec
les milliers de magazines à distribuer aux abonnés), arriva chez l’éditeur, on n'y trouva plus
le moindre exemplaire. Elle était vide. L'éditeur téléphona à l'imprimeur pour en savoir la
raison. L'imprimeur chercha dans ses papiers, mais ne trouva aucun bordereau prouvant que
l'expédition avait été faite. Le tirage de ce n° ayant été payé, l'imprimeur fut prié de remettre
les presses en route et de refaire un nouveau tirage. C'est alors que ce dernier s'aperçu que les
clichés étaient en si mauvais état qu'une réimpression était impossible et ainsi près de 5 000
abonnés ne reçurent pas leur magazine ce mois de Décembre là. De plus, un distributeur qui
avait tout de même reçu, 750 exemplaires à vendre fut porté disparu et les 750 exemplaires
s'évanouirent avec lui. " (Donc vous comprenez maintenant la signification de l'expression
"risques et périls" utilisée plus haut).
Cependant, plusieurs mois plus tard, ce n° de Déc. 59, était réimprimé avec d'infinies
précautions et envoyé aux abonnés et nous serions infiniment reconnaissant à l'illustre
internaute qui pourrait posséder ce surprenant n° de "Flying Saucers" de nous contacter, bien
sûr, assez rapidement sur le Web. Merci d'avance.

D'après R. Bernard, Ray Palmer nous dit dans ce fameux magazine :


"Beaucoup de lecteurs croient que des vols commerciaux franchissent continuellement le pôle
et passe de l'autre côté de notre globe. Cela n'est pas vrai, bien que les officiels des lignes
aériennes, quand on les questionne, prétendent le contraire. Et pourquoi n'est-ce pas vrai ?
Parce qu'interviennent des manœuvres de navigation qui éliminent automatiquement tout vol
en ligne droite au delà du pôle. En examinant le trajet des vols à travers les régions polaires,
nous nous apercevons que ce trajet contourne toujours le pôle ou passe à côté, mais ne le
survole jamais (Voir carte Air France ci-dessous).

N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si l'on annonçait un vol passant directement
au dessus du pôle, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une
sensation nouvelle. Or chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol. Tous
les itinéraires passent à côté de ce point stratégique. Pourquoi ? Ne serait-ce pas parce que,
si le pôle avait été franchi, l'avion, au lieu d'aborder l'autre côté du globe, s'enfoncerait dans
cette terre au-delà du pole " le Centre du Grand Inconnu " dont parlait Byrd ?...( Voir
croquis terre creuse n°2 ).
En effet si le pilote grâce à ses appareils actuellement perfectionnés essaie de maintenir
l'avion à la même altitude, il suivra la courbure interne de la dépression polaire et plongera
dans le creux intérieur de la Terre. " (Voir photo troupole1)

On voit, dans cette image très peu diffusée, bien une trouée où les nuages semblent s'incurver,
à moins que l'on nous dise encore qu'il s'agit là de "l'éternel illusion d'optique".

Le 5 Décembre 01 nous avons reçu d'un aimable internaute le message :

----- Original Message -----


From: Reiyel Angel
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, December 05, 2001 5:15 PM
Subject: Bonjour
Bonjour et félicitations pour votre site, il est une petite mine de richesse. De plus très bien
expliqué je voulais vous en féliciter. Alors je voulais vous faire part d'une photo que j' ai
découverte sur le site de la Nasa, une photo en couleur similaire à la vôtre. Cette photo est
une image de la Terre ou nous pouvons voir un trou comme dépressionnaire au niveau du
Pôle nord. Je vous l'envoie en pièce jointe :
Merci donc à notre aimable internaute pour sa trouvaille bien "colorée"qui, nous le rappelons,
est la même que notre photo en noir et blanc.

Mais il faut se méfier des jugements hâtifs, quand on n'est pas qualifié pour étudier
efficacement certains documents. En Effet le 18 Décembre 2002, un internaute
particulièrement compétant, nous a fait remarquer que sur cette photo: " on distingue
nettement la forme de L'Afrique, en particulier les côtes du Maghreb (il faisait beau ce jour là
sur la Méditerranée : merci super hasard) et la péninsule Ibérique, ainsi que l'Italie. On y
voit aussi à l'est de l'Afrique, et séparée d'elle par la Mer Rouge, l'Arabie dont l'inclinaison
nous indique sur la photo ci-dessus, la Terre ne nous est pas présentée verticalement, mais
inclinée d'une bonne vingtaine de degrés vers la gauche. D'autre part, il convient de constater
en consultant une carte du monde que la Mer Rouge, vue de face, pointe vers le Nord une
direction aboutissant sur la circonférence à 7° à peine à l'Ouest du Pôle. Donc la tache
sombre de la photo ci-dessus se trouve certainement être une simple dépression
atmosphérique, localisée sur la Sibérie et non comme l'on pourrait le croire avec une certaine
légèreté, un indice de l'ouverture polaire : (Voir le rapide croquis ci-dessous annexé à la
photo en question:)

Mais en plus notre aimable internaute nous a fait remarquer "qu'un examen plus poussé, nous
montre que l'image en question présente 5 traces très nettes d'un montage assez sommaire qui
sont numérotées de 1 à 5 sur le croquis précédent et le long desquelles de nombreux détails
ne collent pas du tout. Ceci est-il dû à un procédé particulier de prise de vue en plusieurs fois
? (comme pour les sondes automatiques ORBITER, SURVEYOR ou LUNA), ou à un artifice
d'édition, ou à une intention malveillante (fort malhabile !!); peu importe : cette image est
sujette à caution."
De plus cet internaute très vigilant et qualifié, nous a envoyé par la poste, une autre image du
Pôle Nord, prise par le satellite ATS-3, dont nous dit-on les archives ont été soigneusement
détruites par la NASA, et, image qui n'a pas les défauts de la précédente et où l'on aperçoit
une cavité lumineuse sorte "d'entonnoir avalant les nuages sur une profondeur visible au
moins égale à 200 km" nous dit-il avec d'autres schémas explicatifs. Cependant comme cette
image du globe terrestre est trop grande pour notre scanner, nous vous en présentons
seulement la moitié Nord :

Se pourrait-il cependant, que cette excavation notoire de la photo trou pôle n°1 ci-dessus, soit
tout de même en relation avec le véritable trou polaire par une sorte de vortex aspiratoire
décalé ainsi qu'on peut le constater dans le phénomène d'une trombe, où les deux entonnoirs
placés aux extrémités, ne sont jamais juxtaposés verticalement ?
Le 17 février 2003, nous avons découvert dans nos archives, la même photo, prise par le
même satellite AST-3 à 35 800 km (d'après cl. Edisstudio) mais avec des teintes plus claires,
sur une couverture de la revue encyclopédique Alpha n° 241 du 2 Août 1972, qui montre
clairement cette dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle au bout de la flèche
rouge :
(Voir aussi d'autre part, cette étrange photo suivante que nous devons à la perspicacité de
l'ami Roch Saüquere en fin Février 2001 sur le site :
http://rsd.gsfc.nasa.gov/goesg/earth/Weather/GOES-8/gif/)

On y voit aussi les nuages qui "semblent" s'enfoncer dans une crevasse insolite.

En Mars 1962 le magazine "Flying Saucers" encore lui, toujours sous la signature de Ray
Palmer publiait dans un article intitulé :
" Pôle Nord - façon Russe "
"Les Terres mystérieuses des pôles : une preuve de plus-
Deux cents ans d'exploration (dont nous n'avons pas ici de place pour en parler) ont amené
les Russes à une nouvelle conception du Pôle et rendu désuets les anciens traités de
géographie
- Des faits géographiques indiscutables !"..."Les Russes auraient découvert que le pôle
magnétique n'est pas un point mais une ligne de 1600 km de long.
Et Ray Palmer de déclarer : « A notre avis, les Russes se sont trompés dans leurs déductions :
ils ont vu une ligne, là où nous voyons un cercle... ils ont dû compresser le cercle pour le
réduire à une droite.
Finalement, il conclut son article en disant : "Ainsi quand l'amiral Peary (qui prétend avoir
atteint le premier le pôle nord le 6 Avril 1909) affirme qu'il a atteint le Pôle, il fait une
déclaration très vague. Tout ce qu'il peut dire, c'est qu'il a atteint un point situé quelque part
sur les bords de l'ouverture polaire. Un exploit peut-être, mais pas une "découverte du
pôle"... Aucun être humain n'a jamais volé directement au dessus du pôle Nord et continué
tout droit. Etant donné que les autres types de navigation ont en définitive, eux aussi, leur
limitation tout comme la boussole, nous aurons l'audace d'affirmer que personne n'a jamais
atteint le pôle et mieux encore qu'il n'y a pas de pôle à atteindre. (Le pôle magnétique est un
cercle entourant l'ouverture polaire et le pôle géographique, lui n'existe pas réellement, et est
un point fictif, suspendu entre ciel et terre au centre de ce cercle.) "(Voir ci-dessous image
pôle fantôme)

Terminons aujourd'hui cet exposé par la présentation de quelques photos bizarres de la NASA
et qui n'ont jamais été commentées outre mesure.

La première photo aurait été prise le 23 Nov. 1968 par le satellite Essa 7 à la verticale du pôle
Nord et été publiée la première fois, en juin 1970 par le magazine "Flying Saucers". On y voit
un gigantesque trou très insolite, bien circulaire, au bord échancré. Pourquoi a-t-on enlevé,
sans explication sur la photo, cette partie discoïdale du Pôle Nord ? Un internaute futé
pourrait peut-être, nous trouver une réponse orthodoxe acceptable à ce niveau. (Voir image
trou polaire nord 2)
La deuxième photo, est un autre document de la NASA, que nous avons personnellement
obtenu en 1975, des mains de l'agence USIS qui siégeait à cette époque au sein même de
l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin à 75042 Paris. Ce document serait une photo
mosaïque, réalisée par le Dr David S. Johnson du "National environnement Satellite Center",
à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite Essa. On constate alors, une fois de plus,
que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici
simplement escamotée sans explication . On aimerait bien savoir pourquoi ?

La troisième photo multiple


Le 20 Mai 1972, d'après la revue Ondes Vives n° 75 de Juillet 1972, eu lieu à Paris, salle
Marchesseau, 26 Rue d'Enghien, une conférence d'un certain Eugénio Siragusa, représentant à
l'époque, du Centre d'Etudes et de Fraternité Cosmique, qui se voulait être une association
qui recherchait les contacts avec des extraterrestres. Ce monsieur Siragusa, aussi contesté que
le célèbre Adamski, semblait cependant être parfaitement renseigné sur les "manœuvres" de la
Nasa. Un spectateur posa à Siragusa la question suivante :
"D'après un livre que j'ai lu: "La Terre Creuse", les soucoupes volantes pourraient provenir
du centre de Terre qui est creux et où vit un peuple très évolué ! Qu'en pensez-vous ?
Réponse de Siragusa : Je vous rappelle une chose qui a été prouvée scientifiquement. Au
centre de la Terre, il y a un mouvement centripète, tandis qu'à l'extérieur, il y a un
mouvement centrifuge. Les E.T. ont la possibilité de pénétrer au centre de la Terre par le Pôle
qui présente une large ouverture circulaire. Mais ils ne vivent pas au centre; ils arrivent de
l'extérieur, d'une confédération extra-galactique dont font partie les planètes de notre système
solaire et d'autres confédérés qui surveillent notre planète. Les Ovnis peuvent pénétrer au
centre de la Terre qui est creuse et qui possède en son intérieur un noyau solaire... Voici une
photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord qui permet
d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29000 clichés pris par
le satellite. Je l'ai eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public..."

Nous avons retrouvé cette photo de Siragusa, jointe avec deux autres photos du Pôle Nord,
présentées page 193 dans le livre de Victorino Del Pozo écrit sur Siragusa et publié par
COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979. (voir trous polaires n°4)

Mais, nous dit en plus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) dans ce livre, " ces
photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est
élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ". Il dit aussi "qu'au centre
de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et
que leurs proportions sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre".
(Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des
journaux à sensation.)

Le 12 Mars 2001, nous avons reçu de notre ami R. Saüquere, les deux superbes images en
couleur suivantes qui proviennent du site : http://www.obs-
mip.fr/omp/legos/francais/rech/calottes/index.htm et qui viennent, sans aucun doute
confirmer, que l'on dissimule, ici, vraiment, quelque chose au monde entier :

C'est à vous maintenant, qu'il appartient, de vous interroger, au sujet de ces trous bien
insolites.
L'oasis de Bunger :
En Février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au
delà du Pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de "l'Oasis
de Bunger"(dont nous présenterons plus bas la version la revue "Science & Vie" de 1960).
Nous lisons dans le livre de R. Bernard : " Le capitaine David Bunger de la Marine
Américaine, en mission avec son hydravion pour " l'opération High-Jump " de 1946 à 1947
avait quitté la base de Shackleton près de la Côte de la reine Marie dans la Terre de Wilkes,
et volait vers l'intérieur du continent antarctique quand il aperçut une région sans glace, avec
des lacs de plus de 4km de long aux multiples couleurs et entourés de murailles de glace. Le
capitaine Bunger posa son appareil sur l'un de ces lacs et aperçu que l'eau était plus chaude
que dans l'océan des environs. Comment expliquer la présence d'une telle oasis en plein
Antarctique, qui bénéficiait de températures plus clémentes comme-ci comme au pôle Nord,
cette oasis se trouvait aussi dans la dépression polaire sud ? Ce territoire sans glace
d'environ 600 km carrés représentait une trop grande étendue pour être affecté par une
source de chaleur volcanique. Les courants de vents chauds en provenance de l'intérieur de la
Terre par l'ouverture proche, expliqueraient davantage cette anomalie."

En Mars 1960, justement nous l'avons déjà évoqué, la revue "Science et Vie" dans son n° 510,
nous présentait un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance, n'a plus
jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que les savants
soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle l' "Oasis" de Benguer. ( Notez bien
l'écriture du mot avec un "u"de plus et notez surtout les guillemets qui prouvent que le
rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable oasis ), 500 km carrés,
nous dit-on pourtant, de sol complètement libre de glace, une température de 25° (voisine
donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau,
une maigre végétation de lichens et de mousse, des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi
la prétendue explication qui, devrait être capable de nous faire croire, qu'une température plus
basse que -80 degrés, peut passer d'un coup à plus +25 degrés par uniquement la présence de
barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan (Voir la photo du "Science et Vie" 510:)
Notons cependant que cette oasis de "Bunger", (sans "u" cette fois) est bien mentionnée page
29, dans le paragraphe "les vallées sans glace" du "Que Sais-je" n° 1249, édité en 1967 par
"les Presses Universitaires de France", concernant l'Antarctique, sans aucune mention de la
température qui y règne.

Voilà donc, que l'on apprend dans une revue comme "Science & Vie" (qui se veut sérieuse),
qu'il existe bien, au pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient
pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le
nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Mais, rien de
tout cela, ne nous a jamais plus été montré, à notre connaissance, depuis, dans cette revue. A
vous de juger.

R. Bernard révèle de même, cependant, qu'un journal de Toronto " The Globe and Mail "
(mais nous n'avons pas pu hélas en déterminer le n° exact et surtout la date de parution),
publia une photo d'une vallée verdoyante, prise en vol par un aviateur dans l'Arctique, vallée
qui devait probablement se situer dans ce même territoire visité par Byrd au-delà du pôle en
1947. (Peut-être qu'un aimable internaute qui aurait la chance inouïe de posséder ce journal,
pourrait nous en faire une copie. Merci encore d'avance.)

III Quelques récits surprenants de voyageurs en direction du pôle

Raymond Bernard dans son livre déjà cité nous décrit avec force détails l'histoire digne des
"Voyages de Gulliver " de J.Swift (1726), racontée par le Dr Nephi Cottom de Los Angeles
(mais nous n'avons pas pu, non plus, déterminer l'ouvrage de référence en question) où un de
ses patients qui habitait la Norvège, prétend avoir un jour voulu avec un ami, aller aussi loin
que possible dans le Nord, avec un petit bateau de pêche muni d'une voile et rempli de
provisions pour près d'un mois. Au bout de ce mois de navigation, ils ont pénétré parait-il,
dans un étrange pays où il faisait si chaud qu'ils n'arrivaient pas à dormir. Puis ce patient
explique: " Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de
stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans
laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser ! Intrigué, nous continuâmes dans
cette direction et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste cañon qui
conduisait au centre du Globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous
rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de La Terre."
Nous ne pouvons, pas bien sûr ici rapporter tout ce que ce patient a révélé de son
extraordinaire récit, où il est fait aussi mention, entre autres choses, de plantes et animaux et
même d'humains gigantesques et il est étonnant qu'un tel récit soit passé si inaperçu alors qu'il
prétend être authentique et déclasse de loin les récits les plus imaginatifs comme ceux de
Gulliver.

Nous avons aussi dans nos archives le livre de Willis George Emerson, intitulé " The Smoky
God " ou "A voyage to the Inner Word " publié dans la collection "Inspired novels" par
Palmer Publications Illinois en 1965 et qui raconte une histoire à peu près semblable, vécu par
un autre norvégien nommé Olaf Jansen et qui s'est confié cette fois à l'écrivain Willis George
Emerson. (Voir ci-dessous, la couverture et la page de garde de l'ouvrage en question : )
Le titre de cet ouvrage que l'on pourrait traduire : " Le Dieu qui fume ", (non traduit
officiellement en français), se rapporte au soleil central situé dans l'intérieur creux de la Terre.
Etant plus petit et moins brillant que le nôtre, il donne l'impression d'être brumeux, comme
entouré d'un nuage de fumée. C'est l'histoire de ce Jansen et de son fils qui dans leur petit
bateau de pêche, ont tenté avec un courage indomptable de trouver " la terre au delà du vent
du nord " dont parlaient les légendes. Ils seront alors projetés, après les affres d'une tempête,
dans l'ouverture polaire et se retrouveront à l'intérieur de la planète pour y séjourner deux ans
et pour ressortir ensuite par l'ouverture opposée du Pôle Sud. Là, malheureusement, un
iceberg coupe en deux le bateau et le père est tué. Le fils sauvé de justesse passera cependant
24 années dans un hôpital psychiatrique pour déficience mentale... Une fois relâché, il se
gardera bien de reparler de son aventure; il devint pécheur pour gagner sa vie et après 26 ans
de dur labeur, il pu partir pour les USA et s'installer finalement en Californie. Il avait près de
90 ans, lorsque par hasard l'écrivain Willis Georges Emerson fit sa connaissance et devint son
ami. Le vieillard sentant venir sa mort et voulant partager son secret avec son ami, lui raconta
alors la fantastique aventure de sa jeunesse, lui montra les cartes qu'il avait réalisées à
l'époque et c'est ainsi que paru en 1908 le livre "The Smoky God", dont nous vous laissons le
plaisir de découvrir, hélas encore en anglais, (cependant les magnifiques gravures y sont bien
reproduites), l'extraordinaire narration chez Palmer Publications en 1965, cité plus haut ou à
l'adresse Internet :
http://ourhollowearth.com/SGContents.htm
et désormais en français (grâce à notre très modeste traduction à partir du 6/10/2001) sur
notre site aux adresses :
Soit à :http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/SmokyGod/html
Soit à : http://www.chez.com/idylle/docs/SmokyGod.html

Mais en dehors du livre de R.Bernard, on peut aussi citer un récent ouvrage intitulé " Le Livre
Jaune n°6 " (début 2000) publié par les Editions Félix : (leseditionsfelix.com) qui lui aussi
pose des questions surprenantes :
"Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d'un explorateur : subitement, à certains
endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on
a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à
du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ? Personne ne s'étonnait plus de savoir que ce
pollen venait de fleurs que personne ne connaissait. D'où venaient les centaines de troncs
d'arbres que le commandant Robert McClure avait trouvés sur la Terre de Bank ? McClure
était le premier homme blanc à découvrir le passage nord-ouest dans toute sa longueur. Et là
où plus rien ne pousse, là où la neige et la glace sont reines, il voit du bois flottant qui se
dirige sur lui. Les troncs d'arbres semblaient avoir été charriés par les glaciers venant du
nord. Des arbres encore plus au nord ? Nansen a vu du bois flottant à 86° de latitude nord, à
4° du pôle. Est-ce que les arbres tombent du ciel, comme la neige ? Sans doute pas.

Mais qui peut dire d'où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l'eau de mer
est salée, et les icebergs ne contiennent que de l'eau douce, sans exception. La pluie ?
"Comment cinq centimètres de précipitation annuelle peuvent-ils créer de tels monstres de
glace, comme nous les trouvons dans l'océan Arctique ?", se demande le chercheur
Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n'y a pas de
réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650
kilomètres (!) de long, un iceberg qui va de Paris à Toulouse, qui s'est formé à la suite de cinq
centimètres de précipitations annuelles ? Si on part du fait qu'il existe bien un pôle Nord et
qu'il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d'innombrables
explorateurs ont dû être pris d'hallucinations à partir de 80° de latitude nord. Ou alors, ils
étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient
plus. Tous ceux qui vivent dans le grand Nord ont pu constater qu'il y a beaucoup de
brouillard dans l'Arctique en hiver. Si la banquise avait été entièrement solide, il n'y aurait
pas assez d'humidité dans l'air pour la formation de brumes et de brouillards. L'explorateur
américain Dr. E. Kane, qui a découvert le glacier de Humboldt et qui a exploré la zone du
pôle Nord entre 1833 et 1855, a écrit ceci il y 150 ans "Il y a des indices qui montrent
clairement qu'il doit y avoir un océan dans le nord, les brumes et les brouillards que nous
avons vus souvent en hiver nous le confirment."
Que dire de plus, si ce n'est que seule la présence de volcans et zones couvertes de végétation
à l'intérieur de la déclivité polaire, peuvent expliquer ces phénomènes. De même, seule la
sortie d'un ou plusieurs fleuves par cette ouverture, peut être à l'origine de ces icebergs fait
d'eau douce. Il y a de plus ce soleil rougeoyant qu'ont vu, les Jansen et Nansen, qui se sont
approchés du bord l'ouverture polaire et qui correspond au soleil intérieur décrit plus au haut
et qui de plus nous dit-on, est à l'origine du phénomène des aurores boréales, dont nous
n'avons pas le temps ici d'expliquer la théorie en vigueur, comme de même en ce qui concerne
la nature de ce soleil central dont certains prétendent qu'il serait trop petit, pour pouvoir
exister vu que notre soleil extérieur serait lui le centre de réactions nucléaires gigantesques
qui nécessitent une masse critique et un certain volume pour se déclencher sans parler des
radiations qui seraient mortelles pour toute vie interne. Nous reparlerons de cette affaire de
Soleil plus loin.
Mais il y a de plus, cette affaire de mammouths, que l'on retrouve, de temps en temps, dans
les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov découvert intact en 1997
(posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne.
(Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)

Autre exemple: Dans son ouvrage publié chez A. Michel en Mai 1970, intitulé " Terre
énigmatique" l'écrivain Peter Kolosimo nous relate page 19 :
"Le mystère s’épaissit en 1901, quand on découvrit, au bord de la rivière Berescovka, une
carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu
de son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait
absorbées : des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans
l'état où cette plante se trouve en fin Juillet ou début Août. La mort avait été subite : dans la
gueule de l'animal, il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait
été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée qui l'avait transporté à des
kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était
tombé à genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année. "
Ce même auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a
côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants
soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit
connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes,
nous dit aussi dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La
Planète inconnue" : "Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte en 1909 dans
la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années, le corps d'un troisième
mammouth non détérioré revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte
de L'océan Glacial Arctique; soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita
l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent
retrouvés intacts les restes de son dernier repas : de l'herbe et des fruits appartenant sans
aucun doute à la flore d'une région très fertile. Cette constatation ne pouvait laisser la place
qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une
catastrophe imprévisible : les Mammouths avaient certainement été enveloppé, tout de suite
après leur mort, par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire
conservation ? "
Ces hallucinantes narrations de Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun
d'ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de
congélation de l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons
toujours l'explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont-elles fiables ?). De
plus, nous constatons que malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée,
pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une
importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à
l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait à une époque très proche de
nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ?
A bon entendeur salut...

Prolongement révélateur en date du 31/10/01

Comme suite à l'émission de Thalassa "dans le sillage des Mammouths" passée le 20/10 /01
en Métropole et reprise par la suite en Guadeloupe sur la Chaîne Tempo, nous reprenons ici
quelques propos tirés du documentaire (joint à cette émission) de Pierre Fauque, Bernard
Buigues et Jean-Charles Deniau concernant l'extraction en 1999 du sol des glaces sibériennes
du mammouth cité plus haut nommé Jarkov et documentaire que nous avions eu la chance
d'enregistrer auparavant sous le titre "Mammuthus"

Commentaires du narrateur: "...La partie la plus délicate du travail commence. La fosse est
profonde de 6 m. Alors il s'agit de tailler le permafrost à l'horizontal sous le mammouth. C'est
à cet instant que Dick et Bernard font une vraie découverte. " Regarde ça, à certains endroits,
il y a une drôle d'odeur. On dirait quelque chose d'organique. Si l'on s'approche, ça sent
vraiment. C'est intéressant; ça a au moins 20 000 ans; incroyable, inimaginable, sous le
mammouth, protégés par son corps au moment de sa mort, les plantes aquatiques sont
intactes. Elles ont donc aussi plus de 20 000 ans." L'enthousiasme de Dick et Bernard est à
son paroxysme. "C'est en train de fondre et ça sent. Ouais l'odeur est très très forte. C'est de
la matière organique. - Regarde comment sont les restes - et la couleur sur celle là est très
belle (Apparaît alors à l'écran une petite tige de plante d'une couleur éclatante verte ou
jaune).- Tu peux voir le morceau coupé, il y a un trou dedans et c'est encore vert - Le plus
magique pour moi, c'est la couleur;- elle est conservée d'une manière intacte.- Oui c'est très
très spectaculaire - le froid et aussi l'argile favorisent une conservation extraordinaire des
végétaux et du mammouth. Ce morceau est extrêmement riche, ce sont des végétaux qui
proviennent d'un étang ou d'un petit lac - Cela va nous fournir de nouvelles informations sur
la végétation aquatique à l'époque du mammouth."
fin de citation des commentaires du film
Notez bien que dans le documentaire ci-dessus, l'on voit aussi un chercheur dégager du
permafrost une énorme touffe de poils roux de l'animal, avec un simple sèche-cheveux.
Comment peut-on encore après 20 000 ans, retrouver des poils aussi bien conservés qui ne
s'effritent pas au toucher et dont la couleur et aussi l'odeur n'ont même pas disparues ? Mais
de plus, on fait état dans ce documentaire de la découverte de pousses de végétations encore
vertes après 20 000 ans ? Et vous avez noté aussi, je l'espère, les termes dithyrambiques
utilisés par le narrateur et aussi par les chercheurs : incroyable, inimaginable, magique, très
très spectaculaire, etc. mis en rouge dans le texte. On aimerait bien, n'est-ce pas, consulter les
rapports de datation des organes trouvés et si bien conservés... Ah si un aimable internaute
pouvait mettre la main sur ces rapports (non trafiqués cela va de soi), alors comme tout
deviendrait plus clair...
L'explication serait d'après Gardner déjà cité: "" que les mammouths sont des animaux qui
habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface,
transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace
comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les
icebergs."
C'est à notre avis bien sûr, pour l'instant, la seule explication (et nous publierons, ici, toute
autre, meilleure que celle-là, que les internautes nous proposeraient), capable de résoudre cet
irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s'attache au phénomène.
En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de
mastodontes. L'opinion scientifique, on le sait, est unanime à penser que ce sont des vestiges
de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, nous l'avons dit, il y a quelque 20 000
ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe. Cette catastrophe
pourtant, est inconnue dans les annales, en raison justement de cette soudaineté, qui ne permet
même pas à un mammouth de digérer l'herbe qu'il a dans la gueule.
Mais terminons voulez-vous cette affaire de pachydermes par ces quelques lignes plus
modernes, mais toutes aussi surprenantes glanées dans un article d'Hervé Ponchelet, tiré de
l'hebdomadaire "Le Point" n° 1148 du 17 Sept. 1994 :
"...il provient d'une récente "chasse" aux mammouths dans le grand Nord Sibérien. Des
mammouths qui, pourtant disparus depuis la fin de la dernière glaciation, émergent de temps
à autre du permafrost, le sol toujours gelé de la steppe, aussi "vivants" que pourrait l'être un
éléphant contemporain conservé dans un congélateur... Dans l'île d’arctique de Wrangel des
chercheurs russes n'ont-ils pas récemment trouvé des dents de mammouth à peine vieilles de
4000 ans ? Une époque postérieure à la fin de la dernière glaciation qui, croyait-on, avait
signé le glas des mastodontes. Particularité : ces dents ont appartenu à des mammouths nains
ne dépassant pas 1,80m de hauteur, contre 3 m à leurs ancêtres du continent. Troublant, car
sur des fresques murales égyptiennes du temps des pharaons, un chercheur a découvert un
éléphant nain qui ressemble bougrement à un mammouth laineux. D'ici à ce que l'on tombe
comme le prétendent certaines légendes, sur des mammouths vivant...
En 1977, coup de tonnerre. En attaquant à la lance à incendie les berges gelées de la rivière
Kirgiliakh, dans la région de Magadan, des chercheurs d'or mettent à jour un bébé
mammouth. Le corps (1,15 m de longueur, 100 Kg) est dans un état de conservation
extraordinaire. L'animal auquel il ne manque que la toison, devait avoir 7 mois lors de son
décès. L'autopsie, conduite à grand renfort de publicité pour la glorieuse science soviétique,
permet de retrouver dans l'estomac et le tube digestif du mammoutheau surnommé Dima, son
dernier repas. Dans son cœur, arrêté depuis 40 000 ans, 1,5 gramme de sang séché, dont
globules blancs et rouges se distinguent encore.
A l'époque, on commence à peine de parler de manipulation génétique. Pourtant, des
biologistes soviétiques laissent entendre qu'à partir du noyau d'une cellule du mammouth de
Magadan, placée dans un ovule énucléé d'éléphante d'Asie, on pourrait par clonage faire
revivre le géant de la préhistoire."

Vous avez bien noté, je l'espère, les termes vivants, troublant, état de conservation
extraordinaire, coup de tonnerre, son dernier repas, etc. qui montrent bien "la surprise" de
l'auteur de l'article en question, devant le caractère insolite de cette affaire de Mammouth.
Quant à la note finale, à la "Jurassic Park", nous avons bien voulu aussi, la citer, pour
montrer encore une fois, "que la réalité pourrait rejoindre ici, bien vite la fiction."

Autre prolongement révélateur en date du 1/02/02.


Le 1er Fév. 2002, nous avons découvert dans nos archives, alors que nous cherchions tout à
fait autre chose, l'entrefilet suivant extrait du n° 476 du Science et Avenir d'Oct. 1986 page
11. (Les couleurs sont de nous évidemment):

FORÊT FOSSILE AU PÔLE NORD

45 millions d’années, c'est l'âge de la forêt fossile qui vient d’être découverte sur l’île
canadienne Axel Heiberge, à quelque 1100 km du pôle Nord. "Il s'agit de la plus belle forêt
fossile connue dans le monde", affirme James Basinger, paléo botaniste à l'université
canadienne du Saskatchewan, qui précise que son état de préservation est "étonnant". Sans
s'être pétrifié, le bois est si bien conservé que les membres de l'expédition ont pu couper des
fragments et les faire brûler! La forêt renferme sur un kilomètre carré des essences comme les
séquoias et les sapins, mais également de nombreuses espèces disparues. Certaines souches
sont encore enracinées dans le sol et certaines, jonchant le site, ont jusqu'à dix mètres de
long. Des amas de feuilles ont même été retrouvés, qui paraissent si fraîches, raconte James
Basinger, "qu'on a l'impression de les avoir cueillies de l'arbre"."
Fin de L'entrefilet
Comme vous le voyez, le fantastique (si cher à ARTivision) est à portée de main et nous
constatons que ce récit ressemble étrangement à celui d'Olaf Jansen dans l'ouvrage the Smoky
God mentionné ci-dessus quand il a abordé avec son père, une île nordique inconnue avec
son sloop de pêche... Des fossiles non pétrifiés qui s'enflamment, des feuilles fraîches... après
45 millions d'années ??? Le journaliste qui a écrit cela, n'a t-il pas vu qu'il pouvait en faire un
film du style "voyage dans le temps sur une île perdue". Quelle explication peut-on donner à
cela ? Ces arbres, à la suite d'un glissement de terrain de la région interne de la planète,
n'ont-ils pas simplement dérivé dans un fleuve vers l'extérieur et puis échoué sur les icebergs
qui les ont déposés par la suite sur cette île déserte, il y a seulement quelques centaines
d'années ? Il y a sans doute d'autres explications. Messieurs les scientifiques, qu'en pensez-
vous ? Nous attendons avec ferveur vos suggestions...

Nous pourrions évoquer bien d'autres énigmes que peut résoudre cette "théorie de la Terre
creuse" (comme la migration d'oiseaux et d'insectes qui disparaissent en hiver,
l'aplatissement de la Terre au pôle, la trop faible masse de la Terre, etc.).
De même, on a observé de temps en temps une luminosité inhabituelle dans les régions
polaires, que l'on ne peut expliquer.

Comment ces régions pourraient-elles être lumineuses alors que le soleil y brille à peine ?

Voici une photo remarquable que nous devons à la perspicacité de l'aimable et ami internaute
Mr SAÜQUERE Roch qui est extraite du site :
http://www.windows.ucar.edu/spaceweather/aurora_shuttle_view.html
Photo que nous devons à la courtoisie du Dr Hallinan, et l’Astronaute Overmeyer de la Nasa:

Des photos de satellites montrent le même phénomène sur Mars, Mercure, Neptune et d'autres
planètes et même sur la Lune. Il n'y a qu'une seule explication logique, les régions polaires
sont lumineuses à cause du soleil intérieur qui y transparaît. Voici une information publiée par
le Parisien du Mardi 4/12/79 que nous avons découvert "par hasard" dans nos archives le
12/02/2001.

"Des savants Soviétiques ont observé des perturbations atmosphériques insolites dans
l'Antarctique, provoquées apparemment par une "source d'énergie inconnue" à l'altitude de
95 kilomètres a annoncé hier l'Agence Tass.
Selon les spécialistes soviétiques, il s'agit de changements rapides de température, de densité,
et de pression notamment, et ils pourraient être provoqués par des rayonnements ionisés
provenant du soleil et arrivant sur le pôle sud de la Terre." Nous avons mis en couleur les
termes importants de ce communiqué et vous notez bien que l'on parle d'une "source
d'énergie inconnue" dont on cherche les explications..."
Terminons ici le premier volet de cette affaire, pour ne pas la rendre trop indigeste au le
courageux internaute qui a eu l'audace arriver à lire jusqu'ici et dans la seconde partie nous
analyserons les aspects étranges d'autres planètes du système solaire et nous exposerons
surtout une bibliographie adéquate sur la question

Les deux autres volets sont aux adresses suivantes:


Deuxième volet à:
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/Byrdsuite.html
Troisième volet à:
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/Byrdalice.html
Prolongement révélateur spécifique.

Le 21 /03/01, en fouillant dans nos dossiers à la recherche d'une information sur les jardins de
Findhorn en Ecosse, nous sommes tombés sur un article du contre amiral Lepotier dans le
"Science et Vie" n° 422 de Nov. 1952 intitulé, "L'Arctique devient une plate-forme
stratégique" où nous lisons les passages: "Ainsi, c'est seulement au début de notre XXe siècle
que l'on sait que l'océan Arctique borde d'une façon continue les côtes de l'Asie et de
l'Amérique; mais son immense zone centrale d'environ 3000 km de diamètre qui contient le
pôle Nord géographique, reste inexplorée. Le pôle lui même est-il en terre ferme ou en mer ?
Cette fois, la Banquise permanente s'oppose à la progression des navires. S'aventurer dessus
en traîneaux tirés par des chiens se révèle une aventure pleine de périls, ainsi qu'en
témoignent les récits des Explorateurs... l'océan secoue et brise en permanence ce manteau de
glace qui l'écrase. Les courants et les effroyables tempêtes qui s'y succèdent provoquent des
crevasses et partagent cette croûte de glace en morceaux de dimensions variées appelés floes
dont l'assemblage, genre de puzzle s'appelle le pack...
La conquête de l'air devait amener le survol de cette banquise qui avait arrêté l'homme
pendant 23 siècles... C'est d'abord le vainqueur du Pôle Sud, Amundsen, qui abandonnant
cette fois le traîneau à chiens pour l'hydravion et décollant d'un fjord du Spitzberg vient
amerrir entre deux floes à 25 km du Pôle en 1925. L'année suivante Byrd effectue en quinze
heures le vol Spitzberg-pôle et retour. Nous sommes loin des 36 jours de Peary. "

Nous constatons, d'après cet article, donc ici que l'hydravion d'Amundsen s'est bizarrement
arrêté à deux pas du pôle (pourtant si mythique) sans vouloir y aller et s'y poser et que Byrd,
lui, il aurait parait-il touché le pôle, mais on ne nous dit surtout pas, s'il s'y est posé et s'il a
surtout fait des relevés, prouvant qu'il y était bien arrivé en 1926. Plus loin on trouve dans cet
article : " Le 21 Mai 1937, après 6 heures de vol le quadrimoteur (russe) N-170 pose sur un
floe de 3 km de diamètre , à 20 km du Pôle Nord, Ivan Papanine, chef de station, Pierre
Chirkov, hydrobiologiste...etc.). Le premier travail, après l'organisation du campement, est de
creuser un puits dans leur floe qui n'a que 3 m d’épaisseur et d'y filer un câble d'acier monté
sur treuil, pour sonder : 4200 m de fond au Pôle. "
Nous voyons donc qu'ici encore l'expédition n'a pas jugé bon de faire 20 petits kilomètres de
plus pour s'installer plutôt sur la banquise en plein pôle Nord (mythique), et où les mesures
effectuées auraient plus de "signification", à moins que justement ce pôle nord (pourtant si
près) était totalement libre de glace et ne présentait que de l'eau où les mesures devaient être
effectuées. Mais on ne nous dit rien à ce sujet, tout en affirmant pourtant que sous le pôle il y
a 4200 m d’eau. A vous donc de juger cette "incohérence".

Pour terminer notons enfin ce dernier paragraphe: "Cette mission observe aussi que,
contrairement à ce qu'on croyait jusque là, la vie animale existe dans tout l'Arctique. Près du
pôle, les Russes voient des oiseaux de mer, des ours blancs et des veaux marins s'ébattant
entre les floes. Leur présence est le signe certain de celle des poissons".
Il serait cependant intéressant de connaître les sortes d'oiseaux aperçus, et surtout s'il n'y
avaient là, que des oiseaux de mer.

Prolongement révélateur en date du 26/10/01.


Grâce à l'initiative de l'aimable internaute, sur le site (http://www.cybersciences.com et à
l'adresse exacte suivante: http://www.cybersciences.com/cyber/3.0/n147.asp, nous avons
découvert le très intéressant article suivant :
"Une oasis au cœur de la banquise arctique
Les eaux d'une région de la baie de Baffin sont étonnamment chaudes, ce qui favorise la
prolifération du plancton et attire les animaux marins. Les origines de cette région
constituent encore un mystère.

Canada
17/07/1997 - Au printemps, la baie de Baffin près du pôle nord est encore recouverte par les
glaces. Mais ces dernières ont déjà quitté depuis quelques semaines une partie de la baie
vaste de 80,000 kilomètres carrés. Cette région baptisée les Eaux du Nord constitue ce qu'on
appelle une polynie, mot russe signifiant une zone libre de glace.
À cause de la pénétration de lumière dans les eaux de surface de cette polynie, une grande
quantité de phytoplancton s'y développe. L'abondance de ces végétaux attire une diversité
d'animaux, comme la morue arctique, les phoques, les bélugas, les narvals et plusieurs
espèces d'oiseaux marins.
" C'est une des régions les plus productives au nord du cercle arctique", affirme Louis
Fortier, de l'Université Laval, qui dirige l'International North Water Polynya Study (NOW).
Le but de ce projet, lancé cet hiver, est de comprendre comment cette zone libre de glace s'est
formée ainsi que l'impact d'un tel phénomène sur l'écosystème arctique. Pour y arriver, 61
scientifiques de partout dans le monde étudieront la question pendant quatre ans, grâce à des
fonds de recherche de 34 millions de dollars.
signé : AnneMarie Simard "
fin de citation.

Cette information qui remonte d'après ce communiqué à 1997, n'a pas eu, malgré son
caractère très insolite, à notre connaissance, une suite notoire et remarquable, dans les médias
qui ont pignon sur rue. Reste à savoir pourquoi ?...Nous reparlerons, dans notre deuxième
volet, de cette polynie, à propos d'un livre justement appelé "La mer libre du pôle" du Dr J.J
Hayes publié chez Hachette en 1877.

Autre information similaire en date du 28/10/01

La revue "Pour la Science" n° 287 de Septembre 2001, en page 29, publie justement un article
sur une page intitulée "Un trou dans la banquise", mais il s'agit cette fois de la banquise
polaire australe. Nous notons alors les lignes: " Chaque année, le froid de l'hiver austral
installe autour du continent antarctique une ceinture de glace qui s'étend sur plusieurs
centaines de kilomètres. Toutefois, dans la mer de Weddel qui borde l'Antarctique au sud de
l'Atlantique, une zone de l'océan ne gèle pas systématiquement, et dessine un trou dans la
banquise. Selon David Michael Holland, du Centre des Sciences de l'Atmosphère et de
l'océan de l'Université de New York, de la glace se forme dans cette région, mais les plaques
ne s’agglomèrent pas en banquise, car un courant marin circulaire les éloigne les unes des
autres. Ce courant naît de la rencontre des masses d'eau qui font le tour de l'antarctique et du
mont de Maud, une montagne sous-marine (de 3000 m de hauteur dont le sommet est à 2000
m sous le niveau de la mer : Note mentionnée plus loin dans l’article).
Depuis une trentaine d'années que la région antarctique est observée par satellite, la
formation d'une "polynye"(mot d'origine russe qui désigne une zone dépourvue de glace dans
une mer gelée) est un événement rare. C'est en 1974 que l'on a constaté la polynye la plus
grande avec une absence de glace sur une superficie proche de celle de la Grande-
Bretagne....."
Nous ne pouvons ici évidemment, citer tous les passages surprenants de cet article et nous
invitons les internautes intéressés à s'adresser directement à la revue pour en avoir une copie.
Notons cependant l'expression utilisée "un événement rare" et aussi l'écriture (avec deux Y)
du mot "polynye" qui est différente de celle de l'article précédent d’Anne-Marie Simard et,
écritures qui diffèrent toutes les deux, du mot "polynia", que nous avons découvert dans le
livre pourtant ancien : "La mer libre du pôle" du Dr J.J Hayes mentionné déjà ci-dessus.

Autre information similaire en date du 09/12/01

Voilà le message que nous avons adressé ce 9 Déc. aux responsables de la chaîne satellite
"Voyage":
----- Original Message ----
- From: idylle fred
To: DICOSTANZO, Isabelle
Sent: Sunday, December 09, 2001 11:38 AM
Subject: Les Oasis de L'Arctique

Bien chère équipe :

Le samedi 8 décembre 2001, j'ai eu le privilège d'enregistrer votre volet de HUB Voyage
intitulé "les Oasis de L'Arctique " dont le préambule du narrateur commence par ce qui suit :
"Vaste étendue, glacée et inhospitalière, l'Océan Arctique demeure un des milieux les moins
connus de notre planète. La région centrale de cet océan demeure perpétuellement couverte
d'une banquise de deux à quatre mètres d'épaisseur, alors que sa périphérie ne se libère de
glace que pour quelques semaines à la fin du bref été arctique. Au retour de l'automne, le
couvert de glace envahit de nouveau l'ensemble du bassin arctique atteint à la fin de l'hiver
une superficie de 15 millions de Km2 (environ 27 fois celle de la France : note du
Webmaster).
Fait étonnant même au cœur de l'hiver polaire, certaines régions de l'océan arctique
demeurent libre de glace malgré le froid intense. Appelées polynies du russe polynia qui
signifie piscine, ces vastes régions libres de glace constituent souvent des écosystèmes,
spectaculairement productifs où la vie foisonne malgré les conditions extrêmes..."
Ce préambule est déjà en lui même très énigmatique et j'espère que vous avez bien relevé les
termes en rouge de ce texte. Je tiens à vous faire remarquer que cette émission n'a, à aucun
moment présenté, la photo satellite du Pôle Nord, que la Nasa et les autorités militaires
américaines ne diffusent que très rarement. On se demande pourquoi ? ...

J'ai eu moi même à m'interroger à ce sujet et je vous invite à consulter mes extraordinaires
conclusions en fin de mon article situé directement à l'adresse :
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/Byrd.html qui parle justement de cette polynie
extraordinaire.
Veuillez recevoir chère super équipe de "Voyages", mes tropicales salutations de "l'île
d'émeraude". Fred Idylle ....... Et le 13/12/01 nous avons reçu la réponse suivante:

----- Original Message -----


From: BERNARD, Florence
To: 'fred.idylle@wanadoo.fr'
Sent: Thursday, December 13, 2001 11:52 AM
Subject: emission : les Oasis de L'Arctique

Monsieur,
Nous avons bien reçu votre mail du 9 décembre et vous remercions de l'intérêt que vous
portez à notre chaîne.
Nous avons pris note de vos remarques et les avons transmises au service concerné. Sachez
que vos commentaires nous intéressent car ils participent à l'évolution de la chaîne.
En vous adressant nos plus sincères salutations, nous vous souhaitons d'agréables moments
sur Voyage.
Florence Bernard
Stagiaire Marketing
Service Presse Voyage.

Autre prolongement révélateur en date du 22/11/02

Encore un coup de " super hasard " car le 19 /11/02, nous avons découvert dans une Grande
Surface, un article intitulé" Les Pôles fondent-ils vraiment ? " dans la revue La Recherche
l'actualité des sciences n° 358 de Nov 2002 page 35, revue que nous n'avons pas feuilleté
assurément depuis des mois et pourtant qui s'est retrouvée sous nos doigts ce jour là, pour
que nous puissions y découvrir la phrase suivante :" ...Nos lecteurs se souviennent peut-être
aussi qu'à l'été 2000 un brise-glace russe emmenant des touristes, mais aussi des scientifiques
de haut niveau, s'était retrouvé en mer libre pile au pôle Nord. L'un des chercheurs présents
sur le bateau était James McCarthy, l'un des principaux responsables du GIEC. Il avait fait
part de sa stupeur au New York Times : du jamais vu ! La bonne presse américaine publia un
éditorial de Lester Brown, le médiatique secrétaire du Worldwatch Institute : "La découverte
d'eau libre au pôle Nord apporte une nouvelle preuve non seulement que la couverture de
glace de la Terre fond, mais qu'elle fond à un rythme accéléré. " (La recherche Octobre 2000
page 114)
Bref, il est dans toutes les têtes que le réchauffement climatique est en train de s'attaquer aux
glaces des pôles, et que nous filons un mauvais coton. Que sait-on vraiment, et que faut-il en
penser ? "
Nous invitons donc avec déférence, les internautes qui pourraient nous transmettre les
informations exposées dans ce n° de "La Recherche" d'Octobre 2000 concernant cette mer
libre de glace, à nous toucher dès que possible. Merci mille fois d'avance.
Voici deux photos mosaïques des deux pôles que l'on doit à la discrétion de l'agence
Planetary visions
La légende peu lisible de cette photo est alors : " Les Zones gelées proviennent ici d'une
mosaïque d'images prises par le satellite militaire américain DMSP, au printemps arctique et
au printemps antarctique. L'évolution de la banquise (mer gelée) est sans incidence sur le
niveau de la mer. Seules les glaces reposant sur la terre ferme en ont une. Aux dernières
nouvelles, les glaciers d'Alaska, qu'on aperçoit joueraient actuellement un rôle plus important
que le Groenland ou l'Antarctique.""
Comme vous le voyez ces photos diffèrent grandement de celles obtenues par ESSA 3 en
1967 et ESSA 7 en 1968, où l'on voit nettement une trouée bizarre, du moins au Pôle Nord,
dont nous vous rappelons ci-dessous la configuration insolite :

En page 36 de la même revue, il est fait mention de L'Antarctique qui est la plus grande
masse de glace de la planète avec ses 10 millions de km ² (dix huit fois la France et donc à
notre humble avis le Pôle Sud qui s'y trouve ne devrait pas être si facilement repérable dans
cette immensité) et dont l'épaisseur atteint parfois jusqu'à 4,8 km (autant que l'altitude du
Mont-Blanc). Il nous est précisé aussi qu'autour du Pole Sud: " Il y fait extrêmement froid : à
Vostok, célèbre lieu de forage russe au cœur de la calotte, la température moyenne est de -70
° C en hiver et "monte" à -50 ° C en été. De l'avis général, il n'y a absolument aucun risque
que cette masse de glace puisse être entamée par le réchauffement climatique prévu."
Comme vous le voyez, l'Oasis de Benguer (voir plus haut) qui nous avait été mentionnée en
Mars 1960 par le Science et Vie n° 510, a été complètement passée sous silence par l'auteur
Mr Olivier Postel-Vinay de cet article, comme s'il n'en avait jamais entendu parlé. (Affaire à
suivre donc)

Autre prolongement révélateur spécifique en date du 30/11/03

Il y a plusieurs mois, nous avons eu le privilège de parcourir la page extraordinaire intitulée:


"Location and Size of the Polar Openings", que l'on pourrait traduire facilement par
"Emplacement et taille des ouvertures polaires" et page accessible sur le site :
http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm

Mais n'étant pas à l'époque, équipé pour en capturer les images spéciales de cette page, nous
avons à notre grand regret dû simplement placer cette page dans notre dossier "Documents
précieux". Aujourd'hui nous sommes en mesure de vous montrer ces documents exceptionnels
(selon nous bien sûr) et surtout, nous implorons les mains jointes, toute personne qui
maîtriserait parfaitement la langue de Shakespeare et celle de Voltaire de tenter traduire la
page en question, ne ce serait-ce qu'à titre de curiosité, si cette personne ne croit pas du tout à
la thèse présentée.
Cette page nous présente un super croquis de l'ouverture nord que nous pouvons dès lors,
vous montrer ci-dessous:

D'abord nous constatons ( les côtes étant en milles), que l'ouverture polaire nord (comme celle
du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 milles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce
qui fait une sérieuse différence avec la côte présentée dans l'ouvrage en anglais de Raymond
Bernard que nous avons sous la main, et dont nous vous présentons la photo de la couverture :
Entre 1400 milles et 90 milles, il y a donc un bon écart et nous serions vraiment heureux de
savoir, comment les auteurs du site précédemment nommé sont arrivés à cette conclusion.
D'ailleurs, on ne sait pas non plus du tout, comment R. Bernard sans photos satellites, a pu
arriver à ses 1400 milles de diamètre (Voir plus haut : environ 2300 km en arrondissant à la
centaine supérieure) pour les deux trous. Aux spécialistes de répondre... car nous, notre rôle
ne se résume qu'à vous présenter des faits et des documents relatifs à cette théorie fantastique
de la Terre creuse sans pouvoir pousser les études physiques adéquates.

Mais ce site va nous surprendre encore plus, car il nous précise que l'axe de rotation de la
Terre ne passe pas du tout par le centre des ouvertures polaires sans doute peut-être à la suite
d'un bouleversement planétaire qui aurait fait basculer cet axe. Voici donc une image
significative à ce sujet :
Nous ne pouvons déduire de tout cela que si les spécialistes qui ont édifié ce site, ont pu nous
sortir des schémas d'une telle qualité et d'une telle précision, c'est qu'ils ont eu accès à des
informations ultra-confidentielles et que, par conséquent, l'heure est venue en effet, de
dévoiler tout cela. Donc une sorte de déballage officiel en douce qui s'opposerait à la
désinformation habituelle. Mais les deux hypothèses pourraient encore parfaitement se
juxtaposer.

Pour clore ce paragraphe, voulez-vous, la cerise sur le gâteau, que nous avons déjà présentée
dans notre article merlibre.html :

Il ne nous reste plus alors devant ce dernier schéma, qu'à prononcer stoïquement et avec
résignation, les mots sibyllins des Anglo-saxons: "No comment..."

Autre prolongement révélateur spécifique : Quand la Presse russe s'en mêle.

Le 25 novembre 2003, nous avons eu la surprise de recevoir une missive de l'aimable


internaute Mikhail Smeretchanski vivant à Marseille, mais qui est d'origine ukrainienne, qui
effectivement fait toutes ses études en Ukraine dont il connaît très bien la langue. Il maîtrise
d'autre part également parfaitement le russe, et peut lire aussi le polonais.

Dans cette missive, il nous a fait parvenir le document en russe suivant :


Nous lui avons demandé évidemment de nous en présenter une traduction que nous avons par
la suite d'un commun accord, ajustée de la manière suivante : (les couleurs sont évidemment
de nous, mais pour l'instant nous n'avons pas pu déterminer ni le nom du journal de cet
entrefilet, ni sa date parution ce jour 30/11/03 à 9h50)
L'entrée de la tanière de l'enfer photographiée de l'espace ?

Bien sûr, les sceptiques pensent, que Byrd a été l'objet d'un mirage ou d'une hallucination.
Mais le 23 novembre 1968, le satellite américain ESSA - 7 a transmis une photo de Pôle Nord
où l'on voyait un grand trou noir !
De même en 1989 sont apparues les photos de Pôle Nord de notre voisine Venus. Et on y
voyait le même trou noir !
Ses clichés ont permis aux scientifiques d'affirmer : Obroutchev, peut-être, avait en partie
raison. (Note du webmaster : Voir au sujet du savant Obroutchev, notre article placé à :
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/merlibre.html ).

La Terre n'est pas constituée d'une masse rocheuse compacte, mais plutôt ressemble à un gros
ballon de foot : elle est vide à l'intérieur. Et si on y trouve le vide, pourquoi ne pas imaginer,
que dans ce vide vivent des êtres, dont on ignore l'existence ?
Un des arguments scientifiques en faveur de la théorie de la "Terre creuse" réside dans la
comparaison de la surface de la planète et de son poids : Une si grande bille, si elle est
totalement remplie de roches, devrait peser beaucoup plus ! Soit elle est vide, soit elle est
poreuse, il ne peut en être autrement ! En effet, dans le monde scientifique, maintenant est très
populaire l'idée des mondes "troués" - que l'on appelle scientifiquement le monde fractal -
(Note du webmaster : voir au sujet de la théorie des Astres creux le site :
http://science-univers.qc.ca
et aussi l'article placé à :
http://science-univers.qc.ca/cosmologie/creux.htm#idylle1 ).

Les cavités existent pratiquement partout : dans les plantes, les cheveux, les os, les briques et
les molécules. Si toute la nature est faite comme ça, pourquoi l'intérieur de la Terre ne peut-il
pas contenir des trous ?
En général, les physiciens maintenant imaginent des idées plus tordus que celles que l'on
accorde aux écrivains de science-fiction. Il existe même la théorie de "l'univers miroir" - dans
laquelle l'espace se comprime d'une façon bizarre, si bien que si une sphère contient a
l'intérieur, une autre, cette dernière devient plus grande que la première ! Et à l'intérieur de
notre Terre peut se cacher une autre Terre !
Ne va-t-on pas là, dans un monde diabolique ?
Pour quand même trouver la vérité, David Stevenson professeur de géophysique de l'Institut
Technologique de Californie à l'intention d'envoyer des appareils scientifiques, vers le centre
de la Terre. Comment ? Le Projet de Stevenson est simple : on prend... (L’article est hélas ici
tronqué)
Fin de la traduction

Nous espérons vivement pouvoir un jour retrouver les éléments manquants de ce document et
l'aide de toute personne connaissant le russe serait particulièrement appréciée.

En conclusion, si nous comprenons bien, l'auteur de l'article fait référence dans les titres qu'il
utilise (que nous avons mis, en gras et en rouge et en bleu) à cette notion littéraire qui imagine
que l'enfer est sous nos pieds à l'intérieur de la Terre sans doute au cœur du métal en fusion
imaginé par la théorie scientifique admise couramment...On n'en reparlera sûrement...

A 11H 30, ce jour même, nous avons reçu la suite de ce texte qui parait-il vient d'être publié
sur Internet le 13 Nov 2003 à l'adresse suivante : http://www.kp.ru/daily/23156/24633/
Voici donc le reste du paragraphe tronqué...
dont une traduction approximative pourrait-être :
" On prend une charge nucléaire de 2 à 3 trois fois la puissance de celle d'Hiroshima puis on
la fait exploser en un point exact pour que, dans l'écorce terrestre, se forme un "trou" de 30
cm de largeur et de quelques centaines de mètres de profondeur. Nous y versons ensuite dans
l'entonnoir obtenu, du métal en fusion. La masse chaude rampera de manière infernale, vers
le centre de la planète, parce que sa densité est plus grande, que celles des roches. Le métal
chauffé plongera à la vitesse de 5 mètres à la seconde et en quelques jours atteindra le noyau
de la Terre.
L'avalanche infernale poussera devant elle, la petite sonde scientifique de la taille d'une balle
de tennis. Celle-ci racontera aux expérimentateurs ce qui se passe dans le règne souterrain :
Y fait-il chaud ou froid ? Quelle pression y règne t-il ? Y trouve t-on la rivière Styx ? (Note du
webmaster : fleuve des Enfers dans la mythologie grecque) et y a t-il une place pour les
entités diaboliques ?
Il resta à trouver l'emplacement, qui soit adéquat, qui ne craigne pas la fracture tectonique et
qui soit au moins inhabité. Le bon professeur a décidé d'abord que l'Islande froide
conviendrait au mieux, mais a changé d'avis ensuite : "J'aime l'Islande. J'ai là-bas des amis.
Mais le projet vaut la peine - à raison de 10 milliards de dollars-. "

En fin de compte, nous aurions bien pu nous passer de mettre en ligne ce ridicule projet du Pr
David Stevenson qui dénote une mentalité d'apprentis sorciers découvrant tout juste l'énergie
atomique autour de 1945. S'il avait au moins imaginé une foreuse spéciale fonctionnant à
l'énergie atomique... il pourrait avoir au moins une très petite chance que l'on lui décerne "le
prix Jules Verne"...
Il ressort d'autre part que l'entrefilet russe présenté plus haut n'est qu'une partie d'un plus
grand article. Si un internaute veut nous traduire tout le reste, nous le remercions à l'avance,
mais vu la profondeur des propos ci-dessus, nous pensons qu'il vaut mieux qu'ARTivision en
reste là pour aujourd'hui.

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