Vous êtes sur la page 1sur 2

Séance de Co-évaluation :

Texte à améliorer Réécriture (amélioration)

Le 11 décembre 1960, les algériens par


dizaines de milliers ont manifesté à Alger et dans
d’autres villes du pays en brandissant l’emblème
national, pour signifier leur opposition irréductible
à la politique Coloniale visant à faire de l’Algérie
une partie intégrante de la France.
A travers ces manifestations qui ont démarré dans
les quartiers Populaire de la capitale à l’instar de
Belourdad El madania et bab el Oued le peuple
Algérien entendant exprimer son adhésion à la
révolution.
Séance de Co-évaluation :

Les manifestations du 11 décembre 1960, une date qui a fait un tournant décisif dans l’histoire de la
révolution algérienne. L’expression de la volonté de tout un peuple qui s’est levé comme un seul homme
pour dire NON à la soumission, NON à l’injustice, NON à la dilapidation de ses richesses qui ont duré
132 ans. Un appel à la liberté qui fait milliers de morts et de blesser.

Abdelaker Kribi, un enfant de la Casbah et témoin actif témoigne : « Tout a commencé à Belcourt
(Belouizdad) Rue Julienne, où vers 10 heures, des heurts d’une extrême violence opposent des
manifestations musulmans et européens (Pieds Noirs). Des coups de feu sont tirés contre les porteurs de
drapeaux algériens. Des slogans sont lancés « VIVE le GPRA », « ABBAS au pouvoir »,
« LAGAILLARDE AU POTEAU …des manifestants algériens portant le drapeau « Vert et Rouge et
Blanc frappé du croissant rouge »…on apprendra plus tard, qu’à Bab Djedid, il y a eu une fusillade qui a
fait plusieurs victimes. Pendant toute la matinée du 11 décembre 1960, les manifestants n’ont cessé de
provoquer les soldats français. 15h 20, c’est la panique générale !.. »

A l’occasion de cette commémoration du 11 décembre une pensée à leurs familles qui portent en eux
les douleurs de leurs enfants qui ont payé de leur vie le sacrifice suprême. Le sang de nos Martyrs n’a pas
été vain. Gloire à nos Martyrs et VIVE L’ALGERIE. Leur noms sont gravés dans notre mémoire qu’ils
vivent en paix.

Vous aimerez peut-être aussi