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Les balles
du 14 juillet 1953
Le massacre policier oublié
de nationalistes algériens à Paris
2017
Présentation
Le 14 juillet 1953, la gauche communiste et syndicale célèbre la
fête nationale, comme c’est la tradition, par une manifestation à
Paris. Y participent, à la fin du cortège, plusieurs milliers de
militants du Mouvement pour le triomphe des libertés
démocratiques (MTLD), le parti nationaliste algérien. Quand ils
arrivent place de la Nation, des heurts se produisent et les policiers
tirent froidement sur les manifestants algériens. Six d’entre eux
sont tués, ainsi qu’un militant de la CGT. Et on compte des
dizaines de blessés par balles.
Pendant un demi-siècle, ce drame va être effacé des mémoires et
des représentations, en France comme en Algérie. Pour comprendre
les raisons de cette amnésie et faire connaître les circonstances de
l’événement, Daniel Kupferstein a conduit une longue enquête,
pendant quatre ans. Elle lui a permis de réaliser en 2014 un film,
que ce livre prolonge et complète. On y découvrira les témoignages
inédits de nombre d’acteurs de l’époque, ainsi que les ressorts de
l’incroyable mensonge d’État qui a permis l’occultation de ce
massacre.
L’auteur
Daniel Kupferstein, réalisateur et documentariste, est l’auteur
de nombreux films, en particulier Dissimulation d’un massacre
(2001), sur la sanglante répression de la manifestation du FLN du
17 octobre 1961 à Paris, et Mourir à Charonne, pourquoi ? (2010)
sur la répression de la manifestation du 8 février 1962.
Collection
Cahiers libres
L’édition de cet ouvrage a été assurée par François Gèze.
Copyright
© Éditions La Découverte, Paris, 2017.
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retrouverez l’ensemble de notre catalogue.
2 - L’affrontement
Place de la Nation : un « tir soutenu sur la foule »
La vaillance des jeunes manifestants algériens, la solidarité
des citoyens français
« Les escaliers du métro étaient ensanglantés »
La version du massacre donnée par les policiers
3 - L’élément déclencheur
Le drapeau algérien ou l’agressivité des policiers ?
Le scénario de l’affrontement et les victimes
Les sept tués
Au moins quarante-huit manifestants blessés par balle
Les sept tués
Au moins quarante-huit manifestants blessés par balle
6 - Réactions et hommages
Le PCF mobilise contre l’« odieuse provocation policière »
21 juillet 1953 : hommage à la Mosquée de Paris et meeting
au Cirque d’hiver
Le départ des convois funéraires et l’enterrement au Père-Lachaise
10 - Le déni de justice
L’enquête judiciaire biaisée : la sélection des témoignages
La manipulation sur les munitions utilisées, confirmée soixante
ans après par deux policiers
L’instrumentalisation du témoignage du jeune photographe Joseph
Zlotnik
La plainte de la famille Lurot
Notes
Index
Dossier photos
Préface
On ne tue pas une idée avec une balle…
« Quand on constate encore que la plupart des journaux […] couvrent du nom
pudique de “bagarres” ou d’“incidents” une petite opération qui a coûté sept
morts et plus d’une centaine de blessés, quand on voit enfin nos parlementaires,
pressés de courir à leurs cures, liquider à la sauvette ces morts encombrants, on
est fondé, il me semble, à se demander si la presse, le gouvernement, le
Parlement auraient montré tant de désinvolture dans le cas où les manifestants
n’auraient pas été nord-africains et si, dans ce même cas, la police aurait tiré avec
tant de confiant abandon. Il est bien sûr que non et que les victimes du 14 juillet
ont été un peu tuées aussi par un racisme qui n’ose pas dire son nom. »
Remerciements
Tout d’abord, je remercie infiniment tous les témoins et acteurs de ce
drame, en particulier les familles des sept victimes. Ils m’ont accordé un
temps précieux, parfois au risque de raviver de douloureux souvenirs. Je
remercie également les historiens, en premier lieu Danielle Tartakowsky,
Emmanuel Blanchard et l’écrivain Maurice Rajsfus, qui m’ont éclairé sur ce
drame par leurs publications.
Mais je voudrais surtout remercier trois femmes, sans qui ce livre
n’aurait jamais pu voir le jour. Anne Labruyère tout d’abord, mais aussi Gu
Fabre et Marie de Pas, qui ont chacune, à différents moments, revu, corrigé
et annoté mes écrits bourrés de fautes de syntaxe ou d’orthographe pour
« accoucher » ensemble de ce livre. Je leur en serai à jamais
reconnaissant…
Je n’oublie pas non plus les membres de l’association Coopaddoc et les
amis, les proches, qui, comme Catherine Grupper ou Patrick Bobulesco, ont
participé à sa relecture. Et puis celles et ceux, trop nombreux pour être cités
ici, qui m’ont toujours soutenu lorsque je doutais d’y arriver. Moments
durant lesquels j’ai toujours pensé à Jean-Luc Einaudi, qui m’a encouragé
et servi de référence pour mener à bien ce travail. À tous, un très grand
merci.
Enfin, je voudrais aussi remercier Didier Daeninckx, qui a accepté
d’écrire la préface, et mon éditeur François Gèze, qui a travaillé aux
dernières retouches du livre et qui a compris l’importance de cette édition.
Note de l’Introduction
a. Toutes les notes de référence sont classées par chapitre, en fin de ce livre, ici.
1
La manifestation du 14 juillet 1953
Note du chapitre 2
Notes du chapitre 3
Tandis que les balles sifflent encore sur la place de la Nation, les secours
s’organisent. Mais beaucoup d’Algériens préfèrent se soigner chez eux, ils
ont peur de se faire arrêter à l’hôpital, alors les réseaux de solidarité
s’activent. « Quand je suis arrivé chez moi, m’a raconté en 2013 Charles
Palant, du MRAP, l’après-midi était déjà bien avancé, j’ai reçu un coup de
téléphone. On m’a dit : “Palant, peux-tu venir avec ta voiture vers l’hôpital
Saint-Antoine ? On essaye d’évacuer des blessés.” Et j’ai compris qu’on
voulait sauvegarder leur anonymat, donc j’ai accepté. Je n’habitais pas loin
de là et on a chargé dans ma voiture deux blessés et un camarade m’a guidé
vers un hôpital à Saint-Denis. Il y avait là-bas, semble-t-il, des
connaissances qui permettaient à la fois de soigner ces blessés et de
sauvegarder leur anonymat. Alors, j’ai participé à ça dans la mesure de mes
moyens1. »
Le racisme « populaire »
Au lendemain de la fusillade meurtrière, deux jeunes
militants qui avaient participé à la manifestation, André Sénik
et Pierre Puchault, sont témoins de l’ambiance au sein des
ouvriers des Halles de Paris, comme ils me l’ont rapporté en
2011. « Le lendemain matin, on partait en vacances, m’a dit
André Sénik. On était sept copains de l’UJRF du XVIIe
arrondissement et on avait décidé de partir “en stop” pour
Nice. On s’était dit que l’on partirait des Halles, parce qu’il y
avait des camions, tout ça… On est entrés dans un café et, je
me souviens, j’ai été frappé par un débordement de racisme
auquel je ne m’attendais pas. C’était généralisé. Je subodorais
qu’il y avait un reste d’antisémitisme, mais je n’avais pas été
en contact avec le racisme antialgérien. Et là, les propos des
gens, c’était assez énorme. » « Il devait être 9 ou 10 heures du
matin, complète Pierre Puchault, et à notre grande surprise, on
parlait de ces événements puisqu’il y avait Le Parisien libéré
sur le comptoir. À notre indignation, on entendait ce genre de
propos : “Ah ! Ouais ! Ils n’en ont pas encore tué assez ! Des
crouilles, on en a assez en France, moi je tirerais dans le tas…”
C’était vraiment féroce. Surtout que nous, nous avions assisté à
quelque chose qui était particulièrement dramatique. »
Note du chapitre 4
a. Quatre des sept tués, on l’a vu, sont morts à l’hôpital Saint-Louis.
5
L’organisation du mensonge d’État
Notes du chapitre 7
a. Un des chefs historiques du FLN, qui avait organisé des maquis en Kabylie dès le début des
années 1950.
b. Une interrogation reste sur le prénom de Draris : en Algérie, dans son village ou à Ghazaouet,
tout le monde l’appelait Ahmed, mais sur ses papiers, c’était bien Abdelkader.
8
Le contexte politique de 1953
En 1953, la Seconde Guerre mondiale est encore très proche dans les
esprits, mais le monde est entré dans une nouvelle ère. Celle que l’histoire a
appelée la « guerre froide », c’est-à-dire la confrontation Est-Ouest pour le
partage du monde : d’un côté, les États-Unis et les grandes puissances
occidentales (France et Royaume-Uni), de l’autre, l’URSS et les
« démocraties populaires » (Hongrie, Allemagne de l’Est, Pologne,
Roumanie…). C’est le bloc « capitaliste » ou « libre » contre le bloc
« soviétique »… L’histoire de cette période est désormais bien connue1, et
je me contenterai ici d’en rappeler quelques grands traits, en privilégiant
ceux qui étaient d’abord perçus par les jeunes militants progressistes de
l’époque, en particulier ceux du mouvement nationaliste algérien.
… en particulier en Algérie
En Algérie, en 1953, ce n’est pas encore la guerre, même si le peuple et
les militants nationalistes restent très marqués par la sanglante répression
de mai-juin 1945 dans le Nord-Constantinois. « La répression militaire,
précise l’historien Jacques Simon, sera longue et massive, à la mesure de la
peur et de la haine des Européens contre les musulmans considérés comme
une population étrangère et barbare10. »
Huit ans plus tard, le peuple algérien souffre encore. L’égalité entre les
populations n’existe toujours pas et le fossé entre colons et colonisés s’est
élargi. En 1945, sur 1 250 000 enfants d’âge scolaire chez les Algériens
musulmans, seulement un peu plus de 100 000 reçoivent l’instruction
primaire dans 699 écoles ; chez les « Européensc », 200 000 enfants se
rendent dans 1 400 écoles – entre 1945 et 1954, la proportion d’enfants
scolarisés chez les musulmans passe de 11,5 % à 18 %. Un enfant algérien
sur dix va en classe (un garçon sur cinq et une fillette sur seize), mais, dans
les campagnes, la proportion n’est que d’un sur cinquante… En 1954, le
revenu annuel de l’agriculteur algérien musulman est évalué à
22 000 francs, contre 780 000 francs pour un agriculteur européen. Autre
exemple, Oran compte alors 119 000 musulmans et 173 000 Européens :
282 musulmans seulement y sont scolarisés dans l’enseignement
secondaire, pour 5 836 Européens. Écoles, hôpitaux, logements profitent
d’abord à ces derniers11. Alors qu’un Européen sur 227 était étudiant, un
musulman sur 15 341 avait cette chance12. Dans les campagnes, la situation
est encore plus terrible. La misère et la faim s’accentuent. Pourtant, en
dehors du petit maquis de résistance animé par Krim Belkacem en Kabylie,
la révolte n’a pas encore éclaté au grand jour.
La plupart des immigrés algériens ayant participé à la manifestation du
14 juillet 1953 et que j’ai pu retrouver m’ont décrit ces situations
dramatiques. Chérif Darkrim, qui a frôlé la mort – une balle est entrée près
de son œil droit avant de ressortir par son oreille –, m’a ainsi raconté en
2012 : « À ce moment-là en Algérie, on travaillait quatorze heures par jour
pour 500 francs. Et celui qui a cinq ou dix gosses, il ne voyait pas sa
famille, car il devait travailler du dimanche au dimanche. Départ de chez lui
à 4 heures du matin, il ne rentrait qu’à 8 heures le soir. C’était la misère.
[…] À l’époque, on n’avait pas les moyens de discuter. Nous habitions dans
les villages autour de Port Saïd, et dans la ville il y avait surtout des
Européens. Quand il y avait des fêtes, les Arabes n’avaient pas le droit
d’entrer, surtout le soir. […] Les Français, ou plutôt les pieds-noirs, avaient
peur d’être volés. Ils nous autorisaient à entrer dans la journée pour
travailler et après on devait partir13. »
« Ici on n’avait rien, m’a confirmé en Algérie en 2012 Souali Boukhari,
qui était présent à la Mosquée de Paris le 21 juillet 1953, alors jeune
militant du MTLD. On n’avait aucun droit. Pas de travail, ni de quoi
manger. J’étais cultivateur dans ma jeunesse et, au moment de la moisson, il
fallait que l’on donne tout à l’État. J’avais quelques brebis, quelques
moutons pour faire de la laine. […] Deux fois, je suis parti au Maroc pour
acheter de la laine et compléter ce que le caïd me demandait, car je n’en
avais pas assez14. »
Autre témoignage, celui de Mohand Kettar, également recueilli en 2012
et qui vivait dans un petit village de Kabylie avant de venir en France et de
participer à la manifestation de juillet 1953 : « Mes grands-parents ont vécu
d’une petite agriculture. Les bonnes terres étaient occupées par les colons.
[…] Pendant la guerre et juste après, la situation était terrible. On faisait
30 kilomètres pour aller chercher du pain. On mangeait des coings que l’on
écrasait. Il y avait des maladies comme la “récurrente”, avec des fortes
fièvres – je l’ai attrapée pendant trois mois. À ce moment-là, on n’arrivait
pas à enterrer les morts, car il y en avait beaucoup trop. […] L’Assemblée
nationale française a dit récemment que la colonisation était un “bienfait”d.
Mais les tortures, les massacres étaient abominables. Pour prendre les
boucles d’oreilles des femmes, on leur coupait l’oreille ; et au début de la
colonisation, ils ont éventré des femmes enceintes, ils ont anéanti des
villages entiers. Si c’est ça les bienfaits de la colonisation15… »
« On nous faisait travailler toute la journée de 4 heures du matin jusqu’à
8 heures du soir pour 3 francs, raconte Saïd Illoul, le frère de Mouhoub, une
des victimes du 14 juillet 1953. Voyez-vous, c’est de l’exploitation
inhumaine, c’est du pur esclavage. Heureusement que tous les Français ne
sont pas comme ces colons… Heureusement16 ! » Son fils Nordine Illoul
ajoute : « Nous, nous condamnons le colonialisme. Voilà ce qui est grave et
inadmissible. Dans tous les pays où l’on demande la liberté, on ne peut pas
admettre le colonialisme. Nous n’avons rien contre les Français. […] Ici, il
y avait des colons qui nous exploitaient, mais à côté il y avait des Français
qui aidaient des Algériens. Vous voyez, c’est le colonialisme qui est à
bannir17. » « Si la France avait fait des choses pour les Algériens, précise
Mohamed Hachem, blessé le 14 juillet 1953, elle serait encore ici. Mais
c’était la misère. […] Pas de routes, pas de travail, avec les colons
espagnols et autres qui prenaient tout18 ! »
Baya Illoul précise à propos de Mouhoub, son frère cadet : « Quand il
avait cinq ans, on l’emmenait à l’école sur notre dos. Saïd aussi. Nous, les
filles, on restait là-bas. On jouait jusqu’à ce qu’ils finissent, puis on les
ramenait avec nous. Car nous les filles on n’était pas autorisées à aller à
l’école. Puis quand il a été plus âgé, mon père a voulu le prendre au
magasin de chaussures pour lui apprendre le métier de cordonnier, mais lui
ne voulait pas. En fait, lui, il voulait continuer ses études et c’est pour cela
qu’il est parti en France19… » « Mouhoub était très intelligent, complète
Khira Illoul, sa jeune sœur. Dès qu’il y avait un truc qui cassait, il le
réparait tout de suite. C’est pour cela qu’il a fait une formation de
menuisier. Il a fait une table de nuit que j’ai encore d’ailleurs. Je la garde
comme souvenir… » Son frère Saïd ajoute : « C’était un enfant très
dynamique. Il avait des idées très créatives dans la tête et il se débrouillait
bien à l’école. Malheureusement pour nous les Algériens, l’école s’arrêtait
au certificat d’études. Les places jusqu’au brevet étaient réservées aux
Français, aux fils de caïd et tout ce qui s’ensuit. […] Il est donc parti en
France comme tous les Algériens pour se faire une situation et évoluer un
petit peu. […] Il habitait à Lyon et il nous a envoyé sa photo du centre de
formation professionnelle, et quelque temps après, il a été à Paris20. »
Notes du chapitre 8
a. L’armistice sera signé le 27 juillet 1953 entre l’ONU, d’une part, et la Corée du Nord et la
Chine, d’autre part.
b. Il sera remplacé le 20 août 1953 par Mohammed Ben Arafa (1886-1976), soutenu par les
colons et l’administration française.
c. Telle est alors l’appellation des colons, pour la plupart d’origine française, mais dont certains
sont aussi venus d’autres pays du sud de l’Europe (Malte, Espagne, Italie, etc.).
d. Allusion à la loi du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution
nationale en faveur des Français rapatriés, dont l’article 4 (finalement abrogé) disposait que « les
programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer,
notamment en Afrique du Nord, et accordent à l’histoire et aux sacrifices des combattants de l’armée
française issus de ces territoires la place éminente à laquelle ils ont droit ».
9
Le MTLD et la répression contre les Algériens
Notes du chapitre 9
a. Les « Amis du Manifeste et de la liberté » était un mouvement fondé en 1944 par Ferhat Abbas,
œuvrant pour une République algérienne fédéraliste liée à la France.
b. Le commissaire Jean Dides (1915-2004) avait été responsable de la répression des résistants
étrangers à Paris pendant l’Occupation [NdA].
c. Comme Georges Albertini (1911-1983), ancien bras droit du fasciste et collaborateur Marcel
Déat sous l’Occupation, gracié en 1948 et reconverti dans la lutte contre le communisme [NdA].
d. Comme on l’a vu au chapitre précédent, Hocine Belaïd avait été tué par la police lors de la
manifestation communiste du 28 mai 1952 contre le général Ridgway [NdA].
e. L’autopsie révélera que la victime n’avait pas de traces de coups sur son crâne et L’Humanité
sera condamnée en 1953 pour cette fausse nouvelle. Pourtant, cet homme est mort noyé…
10
Le déni de justice
Note du chapitre 10
a. La cartouche d’un pistolet est composée d’un projectile (balle) dans son étui numéroté (douille)
avec poudre et amorce ; la douille est éjectée après le tir.
11
Du 14 juillet 1953 à la guerre d’indépendance
Notes du chapitre 11
a. En fait, ils ont été vingt et un militants à prendre la décision ; le vingt-deuxième, Elias Dériche,
était l’hôte de la réunion (voir Mohammed HARBI, Une guerre commence en Algérie, op. cit.).
b. En avril 1956, l’aspirant Henri Maillot, vingt-huit ans, qui effectue son service militaire,
détourne un camion d’armes pour rejoindre un maquis communiste dans la région d’Orléansville.
Encerclé par l’armée française, il sera tué deux mois plus tard en criant : « Vive le Parti communiste
algérien. »
12
Un massacre oublié,
en Algérie comme en France
Notes du chapitre 12
a. Une fausse « information » d’une partie de la presse algérienne actuelle, qui efface au passage
la mort de Maurice Lurot…
b. Allusion à la politique conduite par le pouvoir algérien dans les années 2000 pour effacer les
crimes commis par les forces de sécurité et les groupes armés se réclamant de l’islam lors de la
guerre civile des années 1990 (voir Salima MELLAH, « La face cachée de la “réconciliation
nationale” », Algeria-Watch, 24 décembre 2015, <ur1.ca/qbvux>).
c. Allusion à l’attentat spectaculaire du FLN contre le dépôt de carburants de Mourepiane, près de
Marseille, le 25 août 1958.
d. Cela se terminera le 7 mai 1954 par une défaite retentissante de l’armée française devant les
troupes du général Vo Nguyên Giap et accélérera la fin de la guerre d’Indochine, le 20 juillet 1954.
Conclusion
Repenser le rôle de la France coloniale
Notes de l’introduction
1. Daniel KUPFERSTEIN, Mourir à Charonne, pourquoi ?, 2009, <ur1.ca/pwm2s>.
2. « L’Organisation armée secrète est une organisation politico-militaire clandestine française,
créée le 11 février 1961 pour la défense de l’Algérie française par tous les moyens, y compris le
terrorisme » (source : article « Organisation armée secrète » de Wikipédia en français).
3. Maurice RAJSFUS, 1953, un 14 Juillet sanglant, Agnès Viénot, Paris, 2003.
Notes du chapitre 1
1. Danielle TARTAKOWSKY, Les Manifestations de rue en France, 1918-1968, Publications de
la Sorbonne, Paris, 1997.
2. Ethel et Julius Rosenberg, accusés en 1950 d’avoir donné les plans de la bombe atomique à
l’URSS, avaient été condamnés à la chaise électrique et exécutés le 19 juin 1953.
3. Henri Martin, marin et militant communiste, avait été condamné en 1950 à cinq ans de prison
pour avoir distribué des tracts contre la guerre d’Indochine au sein de l’arsenal de Toulon, et était
incarcéré depuis lors.
4. Alain Le Léap, secrétaire général de l’Union générale des fédérations de fonctionnaires de la
CGT, accusé de « complot contre la sûreté intérieure de l’État » à la suite des manifestations de
mai 1952 contre la venue à Paris du général américain Matthew Ridgway, était détenu depuis
octobre 1952 (voir infra, chapitre 8).
5. Danielle TARTAKOWSKY, Les Manifestations de rue en France, 1918-1968, op. cit.
6. Entretien de l’auteur avec Jean Laurans, Paris, novembre 2012.
7. Entretien de l’auteur avec Marc Fraisse, Capendu (Aude), août 2013.
8. Entretien de l’auteur avec Bernard Morin, Paris, 2010.
9. POLICE MUNICIPALE, « Main courante spéciale », 14 juillet 1953 (Archives de la Préfecture
de police de Paris, série HE8 – référence notée par la suite : APPP/HE8).
10. L’Humanité, 18 juillet 1953 (témoignage cité par Maurice RAJSFUS, 1953, un 14 Juillet
sanglant, op. cit.).
11. Commissaire principal FERRAT, « Rapport au commissaire divisionnaire Danty », 14 juillet
1953 (APPP/HE8).
12. Témoignage de l’officier de paix Gaston Thiénard, 23 juillet 1953 (APPP/HE8).
13. L’Algérie libre, journal du MTLD, 24 juillet 1953.
14. Cité par Jacques SIMON, Paris 1953. Un 14 Juillet rouge de sang algérien, L’Harmattan,
Paris, 2015.
15. Échange de courriels entre Daho Djerbal et l’auteur en 2014.
16. Jacques JURQUET, Algérie 1945-1954. Des élections à la lutte armée, Éditions du
Centenaire, Paris, 1984.
17. Les leaders, respectivement, du PPA-MTLD algérien et du Néo-Destour tunisien, tous deux
arrêtés par les autorités françaises en 1952.
18. Entretien de l’auteur avec Mohamed Zalegh, Sartrouville, 2012.
19. Entretien de l’auteur avec Mohamed Hachem, Ghazaouet, 2012.
20. Entretien de l’auteur avec Ali Slimi, Alger, 2012.
21. Entretien de l’auteur avec Mohamed Toumouh, Oran, 2012.
22. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
23. Sa mère, Émilie Busquant (1901-1953), est née en Lorraine.
24. Jacques Duclos (1896-1975) est alors le secrétaire général par intérim du PCF ; Marcel Cachin
(1869-1958), était l’un des fondateurs du Parti.
25. Entretien de l’auteur avec Djanina Messali-Benkelfat, Paris, 2010.
26. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, Nouveau
Monde, Paris, 2011.
27. Lequel deviendra en 1977 « Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples ».
28. Entretien de l’auteur avec Charles Palant, Paris, 2013.
Notes du chapitre 2
1. Tract de la cellule communiste du quartier Val-de-Grâce (APPP/HE8).
2. Ibid.
3. L’Humanité, 15 juillet 1953.
4. Libération, 15 juillet 1953.
5. Déposition de Christiane Bonnefoy, cour d’appel, 1er février 1956 (Archives de la Seine,
no 1348 W17).
6. Entretien de l’auteur avec Pierre Puchault, Paris, 2011.
7. Entretien de l’auteur avec André Sénik, Paris, 2011.
8. Entretien de l’auteur avec Khelifa Mouterfi, Paris, 2011.
9. Entretien de l’auteur avec Ibrahim Jaffer, Béjaïa, 2012.
10. Entretien de l’auteur avec Ali Slimi, Alger, 2012.
11. Entretien de l’auteur avec Marc Fraisse, Capendu, 2013.
12. Entretien de l’auteur avec Jean Laurans, Paris, 2012.
13. Entretien de l’auteur avec Mohamed Benyacine, Ghazaouet, 2012.
14. Entretien de l’auteur avec Lalhou Tala-Ighil, Alger, 2012.
15. Entretien de l’auteur avec Chérif Darkrim, Marsat Ben M’Hidi, 2012.
16. Entretien de l’auteur avec Abdelhamid Mokrani et Kazem Vadiei, Paris, 2013.
17. Déposition de Bernard Lapierre, cour d’appel, juillet 1953 (Archives de la Seine, no 1348
W17).
18. Entretien de l’auteur avec Joseph Zlotnik, Yerres, 2014.
19. Entretien de l’auteur avec Djanina Messali-Benkelfat, Paris, 2010.
20. Entretien de l’auteur avec Roland Blotnik, Paris, 2010.
21. « Rapport du directeur des services de la police municipale au préfet », 14 juillet 1953
(APPP/HE8).
22. Commissaire MARTHA, « Rapport au commissaire divisionnaire Fouillard », 14 juillet 1953
(APPP/HE8).
23. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
24. Entretien de l’auteur avec Robert Rodier, Ardèche, 2013.
25. Déposition d’André Sallès, cour d’appel, juillet 1953 (Archives de la Seine, no 1348 W17).
26. Liste des policiers blessés, cour d’appel (Archives de la Seine, no 1348 W17).
27. Entretien de l’auteur avec Robert Rodier, Ardèche, 2013.
28. Entretien de l’auteur avec André Brandého, Saône-et-Loire, 2013.
29. L’Aurore, 16 juillet 1953.
Notes du chapitre 3
1. Entretien de l’auteur avec Saïd Gater, Montfermeil, 2012.
2. Entretien de l’auteur avec Ibrahim Jaffer, Bejaïa, 2012.
3. Entretien de l’auteur avec Saïd Illoul, Boukhalfa, 2012.
4. Entretien de l’auteur avec Sahnoun Boubekeur, Aïn Sefra, 2012.
5. Entretien de l’auteur avec Ali Madjène, Chréa, 2012.
6. Note de service 99-53, 11 juillet 1953 (citée par Emmanuel BLANCHARD, La Police
parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.).
7. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
8. Ibid.
9. Déposition d’André Sallès, cour d’appel, juillet 1953 (Archives de la Seine, no 1348 W17).
10. Dépositions de Marcel Tourte, Jules Chatelard et Charles Loppin, cour d’appel, ibid.
11. Déposition de Marius Schmitt, cour d’appel, ibid.
12. Déposition d’Henri Choquart, cour d’appel, ibid.
13. Déposition de Pierre Gourgues, cour d’appel, ibid.
14. Entretien de l’auteur avec Robert Rodier, Ardèche, 2013.
15. Entretien de l’auteur avec Medjoub B., Alger, 2012.
16. Entretien de l’auteur avec Saïd Gater, Montfermeil, 2012.
17. Entretien de l’auteur avec Mohamed Zalegh, Sartrouville, 2012.
18. Entretien de l’auteur avec Mohamed Saïd Oudelka, Tifra, 2012.
19. Interpellation du gouvernement par le député d’Astier de la Vigerie, Assemblée nationale,
16 juillet 1953, <ur1.ca/pzai7>.
20. Entretien de l’auteur avec Djanina Messali-Benkelfat, Paris, 2010.
21. Entretien de l’auteur avec André Brandého, Saône-et-Loire, 2013.
22. Déposition du gardien Jean Bourcier, cour d’appel, juillet 1953 (Archives de la Seine, no 1348
W17).
23. Déposition de Mohamed Salah Guerroutte, cour d’appel, 1954 (Archives de la Seine no 1348
W17).
24. Déposition de Saïl Lakdar, cour d’appel, 1953 (Archives de la Seine no 1348 W17).
25. Entretien de l’auteur avec Marc Fraisse, Capendu, 2013.
26. Déclaration d’Emmanuel d’Astier de la Vigerie à l’Assemblée nationale, 16 juillet 1953.
27. Entretien de l’auteur avec Danielle Tartakowsky, Paris, 2013.
28. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
Notes du chapitre 4
1. Entretien de l’auteur avec Charles Palant, Paris, 2013.
2. Entretien de l’auteur avec Abdelhamid Mokrani, Paris, 2013.
3. Entretien de l’auteur avec Kazem Vadiei, Paris, 2013.
4. Alain Krivine, dirigeant de la Ligue communiste (trotskiste) en 1969, puis de la Ligue
communiste révolutionnaire en 1974.
5. Entretien de l’auteur avec Jean Laurans, Paris, 2012.
6. Entretien de l’auteur avec Mohamed Hachem, Ghazaouet, 2012.
7. Entretien de l’auteur avec Benfeldja Laouedj, Ghazaouet, 2012.
8. Entretien de l’auteur avec Lalhou Tala-Ighil, Alger, 2012.
9. Entretien de l’auteur avec Mohamed Benyacine, Ghazaouet, 2012.
10. L’Humanité, 17 juillet 1953 ; et Avant-Garde, journal de l’UJRF, no 451, 22-29 juillet 1953.
11. Entretien de l’auteur avec Joseph Zlotnik, Yerres, 2014.
12. Entretien de l’auteur avec Marinette Zlotnik, Yerres, 2014.
13. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
14. L’Aurore, 15 juillet 1953.
15. Paris-Presse-L’Intransigeant, 15-16 juillet 1953.
16. Ibid.
17. Le Figaro, 15 juillet 1953.
18. Louis GABRIEL-ROBINET, Le Figaro, 16 juillet 1953.
19. Le Monde, 16 juillet 1953.
20. Le Populaire, 16 juillet 1953 (cité par Maurice RAJSFUS, 1953, un 14 Juillet sanglant, op.
cit.).
21. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
22. L’Humanité, 15 juillet 1953.
23. Libération, 20 juillet 1953.
24. Libération, 16 juillet 1953.
25. La Vie ouvrière, 22-28 juillet 1953.
26. La Vie ouvrière, 29 juillet-4 août 1953.
27. L’Algérie libre, no 72, 24 juillet 1953.
Notes du chapitre 5
1. Le Monde, 16 juillet 1953.
2. L’Aurore, 16 juillet 1953.
3. Commissaire BONDAIS, « Rapport au commissaire divisionnaire Fouillard », 14 juillet 1953
(APPP/HE8).
4. Commissaire GIRAUD, « Rapport au commissaire divisionnaire Fouillard », 14 juillet 1953
(APPP/HE8).
5. Commissaire ROBIC, « Rapport au commissaire divisionnaire Fouillard », 14 juillet 1953
(APPP/HE8).
6. Commissaire divisionnaire FOUILLARD, « Rapport au directeur adjoint de la police
municipale » 14 juillet 1953 (APPP/HE8).
7. Directeur des services de la police municipale, « Rapport au préfet », 14 juillet 1953
(APPP/HE8).
8. Commissaire « spécial mobile » (M. Bondais), « Rapport au directeur de la police
municipale », 18 juillet 1953 (APPP/HE8).
9. « Rapport des gradés de la Brigade de contrôle au directeur des services », 18 juillet 1953
(APPP/HE8).
10. Toutes les dépositions des gardiens figurent dans le dossier d’instruction, cour d’appel, 1953
(Archives de la Seine, no 1348 W17).
11. APPP/HE8.
12. Entretien de l’auteur avec Danielle Tartakowsky, Paris, 2013.
13. Ibid.
14. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
15. Entretien de l’auteur avec Maurice Rajsfus, Cachan, 2011.
16. ASSEMBLÉE NATIONALE, « Séance no 99 du 16 juillet 1953 », Journal officiel, no 58,
17 juillet 1953, p. 3515, <ur1.ca/pzai7>.
17. Il s’agit de Larbi Daoui (vingt-sept ans). Manœuvre et domestique, il était loin d’être un
militant des supposées « troupes de choc » [NdA].
18. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
19. Le Monde, 16 juillet 1953.
20. Commissaire divisionnaire FOUILLARD, « Rapport à l’attention de M. André Gaubiac,
directeur adjoint de la police municipale », 14 juillet 1953.
21. Le Monde, 19-20 juillet 1953.
22. Dossier d’instruction, cour d’appel, 1953 (Archives de la Seine, no 1348 W17).
23. Ibid. ; et « Rapport de la police municipale », juillet 1953 (APPP/HE8).
24. Le Parisien libéré, 15 juillet 1953.
25. Ibid.
26. Commissaire André BONDAIS, « Rapport complémentaire au directeur général de la police
municipale », 14 juillet 1953 (APPP/HE8).
27. Cité par Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
28. Entretien de l’auteur avec Djanina Messali-Benkelfat, Paris, 2010.
29. Commissaire divisionnaire GÉRARD (4e district), « Rapport au directeur général de la police
municipale », 24 juillet 1953 (APPP/HE8).
Notes du chapitre 6
1. L’Humanité, 16, 17 et 18 juillet 1953.
2. POLICE MUNICIPALE, « Main courante spéciale », 14 juillet 1953 (APPP/HE8).
3. Organisation fondée par des militants de la Jeunesse ouvrière chrétienne en 1935.
4. Cité par Maurice RAJSFUS, 1953, un 14 Juillet sanglant, op. cit.
5. L’Humanité, 16 juillet 1953.
6. La Vie ouvrière, 22-28 juillet 1953 ; L’Humanité, 16, 17, 18 et 20 juillet 1953.
7. L’Humanité, 21 juillet 1953.
8. Entretien de l’auteur avec Charles Palant, Paris, 2013.
9. L’Algérie libre, numéro spécial 29 juillet 1953 ; et L’Humanité, 22 juillet 1953.
10. Entretien de l’auteur avec Souali Boukhari, Maghnia, 2012.
11. L’Humanité, 22 juillet 1953.
12. Entretien de l’auteur avec Mustapha Bacha, Bahalil (Ivahlal), 2012.
13. L’Humanité, 23 juillet 1953 ; et Jacques SIMON, Paris 1953. Un 14 Juillet rouge de sang
algérien, op. cit.
14. L’Humanité, 23, 24 et 25 juillet 1953.
15. APPP/HE8.
16. L’Humanité, 23 juillet 1953.
17. L’Humanité et L’Ardennais, 16 juillet 1953.
18. Entretien de l’auteur avec Maurice Lurot, Pézenas, 2011.
19. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
20. L’Humanité, 25 juillet 1953 ; et Alger républicain, 25 juillet 1953.
21. Entretien de l’auteur avec Charles Guillaumin, Paris, 2010.
22. L’Humanité, 25 juillet 1953.
Notes du chapitre 7
1. Alger républicain, 18 juillet 1953.
2. Algérie libre, 24 juillet 1953.
3. Entretien de l’auteur avec Mohamed Saïd Oudelka, Tifra, 2012.
4. Entretien de l’auteur avec Amar Bentoumi, Alger, 2012.
5. Algérie libre, 24 juillet 1953.
6. Entretien de l’auteur avec Sadek Hadjerès, Malakoff, 2012.
7. Alger républicain dimanche, 26 juillet 1953.
8. Larbi Oulebsir restera fidèle à Messali et sera tué mystérieusement en juillet 1955 au Maroc.
9. D’après Alger républicain, 26 juillet 1953, il s’agit de M. Vincent, représentant le comité de
soutien.
10. Entretien de l’auteur avec Sadek Hadjerès, Malakoff, 2012.
11. Entretien de l‘auteur avec Saïd Sahali, Bahalil (Ivahlal) 2012.
12. Entretien de l’auteur avec Tahar Reaâche, Chréa, 2012.
13. L’Algérie libre, no 73, 31 juillet 1953 ; et Alger républicain, 28 juillet 1953.
14. Entretien de l’auteur avec Ali Madjène, Chréa, 2012.
15. L’Algérie libre, no 73, 31 juillet 1953.
16. Entretien de l’auteur avec Arezki Tadjadit, Tifra, 2012.
17. Entretien de l’auteur avec Lounès Tadjadit, Tifra, 2012.
18. Entretien de l’auteur avec Abdelatif Draris, Adjaïdja, 2012.
19. L’Algérie libre, no 73, 31 juillet 1953 ; et Alger républicain, 26 juillet 1953.
20. Entretien de l’auteur avec Abdelkader Draris, Adjaïdja, 2012.
21. Entretien de l’auteur avec Rhama Draris et ses deux enfants, Kader et Jaïl, Aubervilliers,
2012.
22. Ibid.
23. Alger républicain, 25-26 septembre 1953.
24. Entretien de l’auteur avec Baya Illoul, Boukhalfa, 2012.
25. Entretien de l’auteur avec Saïd Illoul, Boukhalfa, 2012.
26. Entretien de l’auteur avec Khira Illoul, Boukhalfa, 2012.
27. Entretien de l’auteur avec Larbi Mahiout, Boukhalfa, 2012.
28. Entretien de l’auteur avec Chérif Rabah, Boukhalfa, 2012.
29. Voir à ce sujet la page d’un forum d’habitants d’Aïn Sefra (2009-2014), consacrée à Larbi
Daoui : <ur1.ca/q2547>.
30. Entretien de l’auteur avec Boualem Boudaoud, Aïn Sefra, 2012.
31. Entretien de l’auteur avec Ahmed Boutrad, Tiout, 2012.
32. Entretien de l’auteur avec Ahmed Boudaoud, Aïn Sefra, 2012.
Notes du chapitre 8
1. Voir notamment André FONTAINE, La Guerre froide, 1917-1991, Seuil, coll. « Points
Histoire », Paris, 2004 ; et Stanislas JEANNESSON, La Guerre froide, La Découverte, coll.
« Repères », Paris, 2014.
2. Le 10 juin 1944, 642 personnes ont été assassinées par les soldats de la division Das Reich dans
ce village de la Haute-Vienne.
3. Voir Jean-Marc THÉOLLEYRE, Procès d’après-guerre. « Je suis partout », René Hardy,
Oradour-sur-Glane, Oberg et Knochen, Le Monde Éditions, Paris, 1985 ; et aussi Mireille BIRET,
« Le procès de Bordeaux et ses conséquences », Canopé, 1er octobre 2010, <ur1.ca/q253x>.
4. La Société générale de presse édite un bulletin quotidien qui apporte des informations sur les
nouvelles nominations des responsables politiques, administratifs ou économiques.
5. Voir sur ce point, notamment, l’ouvrage de l’historien Yves BÉNOT, Massacres coloniaux.
1944-1950 : la IVe République et la mise au pas des colonies françaises, La Découverte, Paris, 1994.
6. Voir Annie REY-GOLDZEIGUER, Aux origines de la guerre d’Algérie. 1940-1945, de Mers-
El-Kébir aux massacres du Nord-Constantinois, La Découverte, Paris, 2001.
7. Jacques SIMON, Messali Hadj (1898-1974). La passion de l’Algérie libre, Tirésias, Paris,
1998.
8. Voir Jim HOUSE, « L’impossible contrôle d’une ville coloniale ? Casablanca,
décembre 1952 », Genèses, no 86, 2012, p. 78-103, <ur1.ca/q2ztu>.
9. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
10. Jacques SIMON, Messali Hadj (1898-1974), op. cit.
11. Benjamin STORA, Histoire de l’Algérie coloniale (1830-1954), La Découverte, Paris, 1994.
12. Mohammed HARBI, Une guerre commence en Algérie, Complexe, Bruxelles, 1984.
13. Entretien de l’auteur avec Chérif Darrim, Marsat Ben M’Hidi, 2012.
14. Entretien de l’auteur avec Souali Boukhari, Maghnia, 2012.
15. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
16. Entretien de l’auteur avec Saïd Illoul, Boukhalfa, 2012.
17. Entretien de l’auteur avec Nordine Illoul, Boukhalfa, 2012.
18. Entretien de l’auteur avec Mohamed Hachem, Ghazaouet, 2012.
19. Entretien de l’auteur avec Baya Illoul, Boukhalfa, 2012.
20. Entretien de l’auteur avec Khira et Saïd Illoul, Boukhalfa, 2012.
21. Jacques SIMON, Paris 1953. Un 14 Juillet rouge de sang algérien, op. cit.
22. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
23. Le Monde, 18 juillet 1953.
24. Entretien de l’auteur avec Charles Palant, Paris, 2013.
25. Entretien de l’auteur avec Ibrahim Jaffer, Béjaïa, 2012.
26. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012,
27. Entretien de l’auteur avec Souali Boukhari, Maghnia, 2012.
28. Entretien de l’auteur avec Chérif Darkrim, Marsat Ben M’Hidi, 2012.
29. Entretien de l’auteur avec Mohamed Toumouh, Oran, 2012.
30. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
31. Le Problème nord-africain, Note du directeur de la police judiciaire au préfet de police,
22 novembre 1951 (APPP/HA7).
32. Rapport La Population nord-africaine de Paris et du département de la Seine, 1952
(APPP/HA7).
33. Maurice PAPON, direction générale, personnel et contentieux, « Note pour le préfet », 28 juin
1954 (APPP/HA7).
34. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
Notes du chapitre 9
1. Jacques SIMON, Paris 1953. Un 14 Juillet rouge de sang algérien, op. cit.
2. Cité par Jacques JURQUET, Algérie 1945-1954. Des élections à la lutte armée, op. cit. ; et
Mohammed HARBI, Une guerre commence en Algérie, op. cit.
3. Gilbert MEYNIER, Histoire intérieure du FLN (1954-1962), Fayard, Paris, 2002, p. 65.
4. Jacques SIMON, Paris 1953. Un 14 Juillet rouge de sang algérien, op. cit. Sur ce drame, voir
aussi ces ouvrages de référence : Annie REY-GOLDZEIGUER, Aux origines de la guerre d’Algérie,
op. cit. ; et Jean-Pierre PEYROULOU, Guelma, 1945. Une subversion française dans l’Algérie
coloniale, La Découverte, Paris, 2009.
5. Le Monde, 10 mai 1945.
6. Boucif MEKHALED, Chroniques d’un massacre. 8 mai 1945, Sétif, Guelma, Kherrata, Syros,
Paris, 1995.
7. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
8. Mohamed BOUDIAF, « La préparation du 1er novembre 1954 », El Djarida, no 15, novembre-
décembre 1974, <ur1.ca/q3kws>.
9. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
10. Ibid.
11. Jacques JURQUET, Algérie 1945-1954. Des élections à la lutte armée, op. cit.
12. Mohammed HARBI, Aux origines du FLN. Le populisme révolutionnaire en Algérie,
Christian Bourgois, Paris, 1975.
13. Ibid.
14. Jacques SIMON, Messali Hadj (1898-1974), op. cit.
15. Mohammed HARBI, Aux origines du FLN, op. cit.
16. Entretien de l’auteur avec Chérif Darkrim, Marsat Ben M’Hidi, 2012.
17. Entretien de l’auteur avec Ibrahim Jaffer, Béjaïa, 2012.
18. Entretien de l’auteur avec Mohamed Toumouh, Oran, 2012.
19. Entretien de l’auteur avec Ahmed Haddanou, Alger, 2012.
20. Entretien de l’auteur avec Mohamed Hachem, Ghazaouet, 2012.
21. Entretien de l’auteur avec Mohamed Saïd Oudelka, Tifra, 2012.
22. Entretien de l’auteur avec Sahnoun Boubekeur, Aïn Sefra, 2012.
23. Entretien de l’auteur avec Amar Bentoumi, Alger, 2012.
24. Entretien de l’auteur avec Saïd Gater, Montfermeil, 2012.
25. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
26. Entretien de l’auteur avec Madjib Touati, Alger, 2012.
27. Entretien de l’auteur avec Mohamed Zalegh, Sartrouville, 2012.
28. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
29. Ibid.
30. Entretien de l’auteur avec Charles Palant, Paris, 2013.
31. APPP/HA32.
32. APPP/HA29.
33. APPP/HA25.
34. APPP/HA7.
35. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
36. Ibid.
37. Ibid.
38. Alger républicain, 9-10 décembre 1951.
39. L’Algérie libre, no 48, 10 mai 1952.
40. L’Humanité, 3 mai 1952.
41. Mohammed HARBI, Aux origines du FLN, op. cit.
42. Libération, 15 mai ; Alger républicain, 15-16 mai 1952.
43. Alger républicain, 20 mai 1952.
44. Alger républicain, 24 mai 1952.
45. Libération, 19 mai 1952.
46. L’Humanité, 18-23 mai 1952.
47. Jacques SIMON, Messali Hadj (1898-1974), op. cit.
48. L’Humanité, 24 mai 1952 ; Libération, 26 mai 1952.
49. Entretien de l’auteur avec Danielle Tartakowsky, Paris, 2013.
50. Libération, 24 mai 1952.
51. La République, 24 mai 1952.
52. La République, 27 mai 1952.
53. Le Havre, 24 et 25 mai 1952.
54. L’Humanité, 28 mai 1952 ; Alger républicain, 31 mai 1952.
55. Algérie libre, no 49, 15 juin 1952.
56. L’Ardennais, 24 mai 1952.
57. L’Ardennais, 26 mai 1952.
58. L’Algérien en France, no 24, juin 1952.
59. Entretien de l’auteur avec Areski Ziani, Alger, 2012.
60. L’Humanité, 3 mai 1953.
61. L’Algérie libre, no 67, mai 1953.
62. Libération, 2 mai 1953.
63. Maurice RAJSFUS, 1953, un 14 Juillet sanglant, op. cit.
Notes du chapitre 10
1. Cité par Maurice RAJSFUS, 1953, un 14 Juillet sanglant, op. cit.
2. Dossier d’instruction, cour d’appel (Archives de la Seine, no 1348 W17).
3. Ibid.
4. Ibid.
5. Ibid.
6. Ibid.
7. Entretien de l’auteur avec Robert Rodier, Ardèche, 2013.
8. Entretien de l’auteur avec André Brandého, Saône-et-Loire, 2013.
9. Claude ANGELI et Paul GILLET, La Police dans la politique (1944-1954), Grasset, Paris,
1967.
10. Deuxième déposition de Joseph Zlotnik, 28 octobre 1955 (dossier d’instruction, cour d’appel).
11. Extrait de l’arrêt de la cour d’appel, 23 janvier 1958 (dossier d’instruction, cour d’appel).
12. Entretien de l’auteur avec Joseph Zlotnik, Yerres, 2014
13. Deuxième déposition de Louis Cozilis, 14 janvier 1955 (dossier d’instruction, cour d’appel).
14. Entretien de l’auteur avec Joseph Zlotnik, Yerres, 2014. Quand je l’ai rencontré, Joseph
Zlotnik n’avait malheureusement conservé aucun document de l’époque. Quant à l’avocat qui l’avait
défendu, Charles Lederman (1913-1998), il était décédé et je n’ai pu retrouver la trace de ce
jugement.
15. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
16. Entretien de l’auteur avec Maurice Lurot, Pézenas, 2011.
17. Ibid.
Notes du chapitre 11
1. Minutes de la manifestation (APPP/HE8).
2. Entretien de l’auteur avec Mohamed Toumouh, Oran, 2012.
3. Alger républicain, 1er septembre 1953.
4. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
5. Entretien de l’auteur avec Bernard Morin, Paris, 2010.
6. Ibid.
7. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
8. L’Aurore, 15 juillet 1953.
9. Le Figaro, 27 juillet 1953.
10. Paris Presse-L’Intransigeant, 21-27 juillet 1953.
11. Le Monde, 21 juillet 1953.
12. Libération, 28 juillet 1953.
13. Rapport de Jean Schira transmis au directeur général de la police municipale, 23 juillet 1953
(APPP/HE8).
14. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
15. Le Monde, 22 juillet 1953.
16. L’Aurore, 27 juillet 1953.
17. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
18. Libération, 20 juillet 1953.
19. Cherif DJEMAD, Alger républicain, 8 août 1953.
20. Entretien de l’auteur avec Danielle Tartakowsky, Paris, 2013.
21. Ibid.
22. L’Algérie libre, no 73, 31 juillet 1953.
23. Cité par Jacques SIMON, Messali Hadj (1898-1974), op. cit.
24. Mohammed HARBI, Aux origines du FLN, op. cit.
25. Entretien de l’auteur avec Amar Bentoumi, Alger, 2012.
26. Mohamed BOUDIAF, « La préparation du 1er novembre 1954 », loc. cit.
27. Jacques SIMON, Messali Hadj (1898-1974), op. cit.
28. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
29. Entretien de l’auteur avec Ahmed Haddanou, Alger, 2012.
30. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
31. Entretien de l’auteur avec Djanina Messali-Benkelfat, Paris, 2010.
32. Entretien de l’auteur avec Youcef Tala-Ighil. Alger, 2012.
33. Discours de François Mitterrand cité par Benjamin STORA et François MALYE, François
Mitterrand et la guerre d’Algérie, Calmann-Lévy, Paris, 2010 ; et par Sylvie THÉNAULT, Algérie,
des « événements » à la guerre, Le Cavalier bleu, Paris, 2012.
34. Entretien de l’auteur avec Chérif Darkrim, Marsat Ben M’hidi, 2012.
35. Entretien de l’auteur avec Souali Boukhari, Maghnia, 2012.
36. Entretien de l’auteur avec Sadek Hadjerès, Malakoff, 2012.
37. Entretien de l’auteur avec Lalhou Tala-Ighil, Alger, 2012.
38. Voir Chems ED DIN, L’Affaire Bellounis. Histoire d’un général fellagha, L’Aube, La Tour
d’Aigues, 1998.
39. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
40. Le Monde, 20 mars 1962 (cité par Mohammed HARBI, Le FLN, mirage et réalité. Des
origines à la prise du pouvoir (1945-1962), Jeune Afrique, Paris, 1980).
41. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
42. Entretien de l’auteur avec Ali Slimi, Alger, 2012.
43. Entretien de l’auteur avec Mohamed Zalegh, Sartrouville, 2012.
44. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
Notes du chapitre 12
1. Sur les circonstances dramatiques de l’indépendance algérienne de l’été 1962, voir notamment
l’ouvrage de l’historien algérien Amar MOHAND-AMER, La Crise de l’été 1962 au sein du FLN,
Barzakh, Alger, 2012.
2. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
3. Mohammed HARBI, Aux origines du FLN, op. cit.
4. Entretien de l’auteur avec Saïd Gater, Montfermeil, 2012.
5. Entretien de l’auteur avec Youcef Tala-Ighil, Alger, 2012.
6. Entretien de l’auteur avec Mohamed Toumouh, Oran, 2012.
7. Entretien de l’auteur avec Mustapha Bacha, Bahalil, 2012.
8. Entretien de l’auteur avec Rhama Draris, Aubervilliers, 201.
9. Entretien de l’auteur avec Ali Madjène, Chréa, 2012.
10. Entretien de l’auteur avec Nordine Illoul, Boukhalfa, 2012.
11. Entretien de l’auteur avec Saïd Illoul, Boukhalfa, 2012.
12. Entretien de l’auteur avec Ibrahim Jaffer, Béjaïa, 2012.
13. Entretien de l’auteur avec Boualem Boudaoud, Aïn Sefra, 2012.
14. Entretien de l’auteur avec Lounès Tadjadit, Tifra, 2012.
15. Le Soir d’Algérie, 17 juillet 2006.
16. « Il y a soixante-trois ans, le 14 juillet 1953, un massacre d’Algériens se déroulait à Paris »,
Algérie républicain, 17 juillet 2016, <ur1.ca/qbvp0>.
17. Entretien de l’auteur avec Djanina Benkelfat-Messali, Paris, 2010.
18. Entretien de l’auteur avec Abdou Toumouh, Oran, 2012.
19. Entretien de l’auteur avec Mohamed Toumouh, Oran, 2012.
20. Entretien de l’auteur avec Mohamed Mebarki, Ghazaouet, 2012.
21. Entretien de l’auteur avec Mohand Kettar, Alger, 2012.
22. Le Monde, 22 juillet 1953.
23. L’Humanité, 30 juillet 1953.
24. La Vie ouvrière, 12-18 août et 19-25 août 1953.
25. Entretien de l’auteur avec Emmanuel Blanchard, Nanterre, 2013.
26. Entretien de l’auteur avec Charles Guillaumin, Paris, 2010.
27. Voir l’article « 1953 », <fr.wikipedia.org>.
28. Auguste LECŒUR, L’Humanité, 10 février 1953.
29. Entretien de l’auteur avec Danielle Tartakowsky, Paris, 2013.
30. Entretien de l’auteur avec Maurice Lurot, Pézenas, 2011.
31. Jacques DUCLOS, Mémoires, tome 5, Fayard, Paris, 1972, p. 115.
32. Jean-Luc EINAUDI, La Bataille de Paris, 17 octobre 1961, Seuil, Paris, 1991.
33. Guy LUROT, courrier des lecteurs de L’Humanité, 21 septembre 1995.
34. Entretien de l’auteur avec Maurice Lurot, Pézenas, 2011.
35. Entretien de l’auteur avec Maurice Rajsfus, Cachan, 2011.
36. Guide du militant de la métallurgie, no 291, octobre 2002.
37. Jaques MOREL, Calendrier des crimes de la France outre-mer, 11 avril 2005,
<ur1.ca/qc5cu>.
38. Voir « À quoi ressemblait la guerre d’Algérie à Paris ? », Le Monde, 8 décembre 2012,
<ur1.ca/bwvje>.
39. Entretien de l’auteur avec Marc Fraisse, Capendu, 2013.
40. Entretien de l’auteur avec Jean Laurans, Paris, 2012.
41. Guide du militant de la métallurgie, no 291, op. cit.
42. Maurice RAJSFUS, 1953, un 14 Juillet sanglant, op. cit.
43. Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.
44. Benjamin STORA, Histoire de l’Algérie coloniale (1830-1954), op. cit.
45. Le Monde, 19-20 juillet 1953.
46. L’Humanité, 17 juillet 1953.
Notes de la conclusion
1. Cité par Jean-Luc EINAUDI, La Bataille de Paris, op. cit.
2. Rapport, Conseil syndical des gardiens, Syndicat général de la police, 3 octobre 1961 (cité par
Emmanuel BLANCHARD, La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962, op. cit.).
3. Cité dans mon film 17 octobre 1961, la dissimulation d’un massacre, 2001.
4. Jean SÉNAC, « Matinale de mon peuple », Alger, 22 juillet 1953.
Index
ABANE, Ramdane 1
ABBAS, Cheikh (Abbas Bencheikh El-Hocine, dit) 1
ABBAS, Ferhat 1
ABD EL-KADER (émir) 1
ABDELKADER, Hadj Ali 1
ABDELKADER (imam) 1
ACHIARY, André 1
AÏT-AHMED, Hocine 1, 2, 3, 4
AÏT-AHMED, Mohand 1, 2
AÏT IDIR, Mohand 1
AÏT-KELIFA, Ahmed 1
ALBERTINI, Georges 1
ALLACHE, Hocine 1, 2
ALLAOUCHICHE, Baya 1
ALLEG, Henri 1, 2, 3, 4
AMMOUR, Mohand Chérif 1
ANDRÉ, Alphonse (gardien) 1, 2, 3, 4
ANGELI, Claude 1, 2
ARABI, Rachid 1
ARMANET, Maurice 1
AROUÉS, Amar 1, 2
ASSELAH, Hocine 1, 2
ASTIER DE LA VIGERIE (D’), Emmanuel 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
ATTAB, Lalem 1
AUBRAC, Lucie 1
AUBRÉE, René (gardien) 1
AURIOL, Vincent 1, 2, 3
AUVÉ, Gérard (gardien) 1
AYACHE, Mohamed 1
AZZAM, Abdul Rahman Hassan (dit Azzam Pacha) 1, 2
CACHIN, Marcel 1, 2, 3, 4, 5, 6
CADI, Abdelkader 1, 2
CAGNARD (officier de police) 1
CAMBRONNE, Rémy (gardien) 1
CAMUS, Albert 1, 2, 3
CARRÉ, Lucien Achille 1, 2
CASANOVA, Laurent 1
CAU, Jean 1
CAUSSERET, Maurice 1
CHAKER, Hédi 1
CHALLAL, Nait 1
CHATELARD, Jules (gardien) 1, 2, 3, 4
CHÈNE, Raoul 1
CHERGUI, Zidi 1
CHÉRIGUENE, Mohamed 1
CHEVALLIER, Jacques 1, 2
CHIAPPE, Jean 1
CHOQUART, Henri 1, 2, 3, 4
CHOTARD, Christiane 1
COGNIOT, Georges 1, 2, 3
CORMAILLES (gardien) 1
COTTON, Eugénie 1
COTY, René 1, 2, 3
COULARDOT, Jean (gardien) 1
COURTÈS, Pierre 1
COZILIS, Louis (gardien) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
CROSSE, George 1, 2
DAACI, Saïd 1
DAENINCKX, Didier 1, 2
DAFI, Messaoud 1
DAGERMAN, Stig 1
DALI BEY, Rachid 1
DAMPENON 1
DAOUI, Larbi 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17
DARCEL, René (gardien) 1
DARKRIM, Chérif 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
DAVID, Jean-Paul 1
DÉAT, Marcel 1
DEBRÉ, Robert 1
DECHEZELLES, Yves 1, 2, 3, 4
DEHAYES, Jacques 1
DELATTRE, Jean (gardien) 1
DELOUCHE, Hervé 1
DEMAGHLATROUS, Larbi 1
DEMOËN (brigadier-chef) 1
DÉRICHE, Elias 1
DESANTI, Dominique 1
DICKMAN, Gaston 1
DIDES, Jean 1
DIDOUCHE, Mourad 1, 2, 3, 4
DJABI, Mohamed 1
DJEMAD, Cherif 1, 2
DJERBAL, Daho 1, 2
DOIZE, Pierre 1
DOUZON, Henri 1, 2
DRARIS, Abdelatif 1, 2
DRARIS, Abdelkader 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
DRARIS, Kader 1
DRARIS, Rhama 1, 2, 3, 4
DRONNE, Raymond 1, 2
DUCHAT, Jean 1
DUCHAUSSON, Cyprien 1
DUCLOS, Jacques 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11
DUCOLONÉ, Guy 1, 2
DUFRICHE, Marcel 1, 2
DUPUIS, Pierre (gardien) 1, 2
DURAFFOUR, Paul 1
DURET, Roger (gardien) 1
DUVAL, Raymond (général) 1
ED DIN, Chems 1
EINAUDI, Jean-Luc 1, 2, 3, 4, 5, 6
EISENHOWER, Dwight D. 1
EL-BIDAOUI, Belcakem 1
EL-MADANI, Tawfiq 1
EL-MOKRANI, Mohamed (cheikh) 1
ÉLOIRE, Pierre 1
ESSAADI, Mohand Bachir 1
FABRE (Mme) 1
FAJON, Étienne 1, 2, 3
FAURE, Edgar 1
FAYET, Pierre 1
FEIX, Léon 1, 2
FERRAT (commissaire principal) 1, 2
FERROUKHI, Mustapha 1, 2, 3
FONTAINE, André 1
FONTAINE (H.) 1
FOUILLARD, Henri (commissaire divisionnaire) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
FOURNIOUX, Pierre 1
FRACHON, Benoît 1, 2, 3
FRAISSE, Marc 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
FREZAL, René (gardien) 1
GABRIEL-ROBINET, Louis 1
GASPARINI, Jean (gardien) 1, 2
GATER, Saïd 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
GAUBIAC, André 1
GAULLE (DE), Charles 1, 2, 3
GÉRARD (commissaire divisionnaire) 1, 2, 3
GIAP, Vo Nguyên 1
GILLET, Paul 1, 2
GINSBOURG, Benjamin 1
GIRAUD, Robert (commissaire) 1, 2, 3, 4, 5
GIRAULT, Henri 1, 2
GISCARD D’ESTAING, Valéry 1, 2
GOURGUES, Pierre (gardien) 1, 2
GRATIAS, Jean (gardien) 1
GROUSSEAUD, Jean 1
GUEMADI, Akli 1
GUÉNARD, Charles 1
GUÉRARD, Pierre 1
GUERROUTTE, Mohamed Salah 1, 2
GUETTAF, Mohamed 1
GUILEVIC (M.) 1
GUILLAUME, Augustin 1
GUILLAUMIN, Charles 1, 2, 3, 4, 5
GUILLÉ, Germaine 1
GUYOT, Raymond 1
HABRI, Médiana 1
HACHED, Farhat 1, 2, 3
HACHEM, Mohamed 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
HADDANOU, Ahmed (dit « Tewfik ») 1, 2, 3, 4, 5
HADDOUR, Sassi 1
HADJERÈS, Sadek 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
HADJ, Messali 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20,
21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43,
44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55
HAMITOUCHE, Abdallah 1
HAMON, Léo 1
HANAFI, Hanafi 1
HANICHE, Nacer 1
HANOUZ, Rabah 1
HARBI, Mohammed 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
HARDY, René 1
HAROUAT, Dris 1
HASSAINE, Mohammed 1
HAUTECLOCQUE (DE), Jean 1
HAVARD, Jean 1
HÉNAFF, Eugène 1
HÔ CHI MINH 1, 2, 3
HOUSE, Jim 1
ILLOUL, Baya 1, 2, 3, 4
ILLOUL, Khira 1, 2, 3
ILLOUL, Mouhoub 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17
ILLOUL, Nordine 1, 2, 3, 4
ILLOUL, Saïd 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11
KAHANE, André 1
KAIT, Lounès (dit « Kaieb ») 1
KEDDACH, Bouzid 1
KETTAR, Mohand 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18
KHIDER, Mohamed 1, 2, 3
KHROUCHTCHEV, Nikita 1, 2
KICHOU, Hocine 1, 2, 3, 4
KIOUANE, Abderrahmane 1, 2, 3
Klotz, Henri-Pierre 1
KRIM, Belkacem 1, 2, 3, 4, 5, 6
KRIVINE, Alain 1
KRIVINE, Jean-Michel 1, 2
MACCAGNO, Henri 1
MADJÈNE, Ali 1, 2, 3, 4, 5, 6
MADJÈNE, Tahar 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15
MAHIEDINE, Mahmoud 1
MAHIOUT, Larbi 1, 2
MAILLOT, Henri 1, 2
MAISON (administrateur) 1
MAÏZA, Noureddine 1
MALKI, Tayeb 1
MALYE, François 1
MAMCHAOUI, Mohammed 1
MANCERON, Gilles 1
MARINIER, Serge (gardien) 1
MARION, Jacques 1
MARLET, Maurice (gardien) 1, 2
MARTHA, Yves (commissaire) 1, 2, 3, 4, 5
MARTINAUD-DÉPLAT, Léon 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
MARTINET, Gilles 1, 2
MARTIN, Henri 1, 2, 3, 4, 5, 6
MARTY, André 1
MASSIGNON, Louis 1
MASSOIR, Noël (inspecteur) 1, 2
MAURIAC, François 1
MAURICE, Georges 1
MAUVAIS, Léon 1
MAYER, René 1, 2
MAZELIN, Lucienne 1
MCCARTHY, Joseph 1
MEBARKI, Mohamed 1, 2
MEDJOUB, B. 1, 2
MEHRI, Abdelhamid 1
MEKHALED, Boucif 1, 2
MELLAH, Salima 1
MENDÈS FRANCE, Pierre 1
MENEAU, Maurice (brigadier) 1, 2, 3, 4
MERAB, Bachir 1
MERBAH, Moulay 1, 2, 3
MERLIN, Francis (gardien) 1
MESSALI-BENKELFAT, Djanina 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
MEYNIER, Gilbert 1
MEZERNA, Ahmed 1, 2, 3, 4
MÉZIANE, Mohamed 1
MÉZIANE, Mohand 1
MITTERRAND, François 1, 2, 3
MOHAMMED V 1
MOHAND-AMER, Amar 1
MOKRANI, Abdelhamid 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
MOLINO, Lucien 1, 2, 3, 4
MOLLET, Guy 1
MONJAUVIS, Lucien 1
MONMOUSSEAU, Gaston 1, 2
MONTAND, Yves 1
MONTARON, Georges 1
MOREL, Jacques 1, 2
MORIN, Bernard 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
MOROT, Léonce (gardien) 1, 2
MOSSADEGH, Mohammad 1
MOULLEC, Raymond (amiral) 1
MOURRE, Michel 1
MOUTERFI, Khelifa 1, 2
NAEGELEN, Marcel-Edmond 1
NAVARRE, Henri (général) 1
NÉPLAZ, Étienne 1
NORDMANN, Joë 1
ODRU, Louis 1
OMAR 1
OUAID, Houssa 1
OUAMRANE, Amar 1, 2
OUDELKA, Mohamed Saïd 1, 2, 3, 4, 5, 6
OUDJEDDI, Amzeziane 1
OULEBSIR, Larbi 1, 2
OURABAH, Fodil 1
RABAH, Chérif 1, 2
RABIER, Maurice 1
RAFFINI, Georges 1, 2
RAHMOUNI, Ahmed 1
RAJSFUS, Maurice 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18
RAYNAUD, Henry 1
REAÂCHE, Tahar 1, 2
RENAUDON, Marcel (gardien) 1
REY-GOLDZEIGUER, Annie 1, 2
REYNAUD, Paul 1, 2, 3
REZA PAHLAVI, Mohammed (chah d’Iran) 1
RICHARDOT, Roger 1
RIDGWAY, Matthew 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
ROBIC, Jean (commissaire) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
ROCHET, Waldeck 1
RODIER, Robert (gardien) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
ROSENBERG, Ethel et Julius 1, 2, 3, 4
SAADI, Mohand 1
SAADI, Raach 1
SAÂL, Bouzid 1
SADDINI, Mohamed 1
SADDOK, Chebchoub 1
SADIKORICHENE, Amar 1
SAHALI, Saïd 1, 2
SALLÈS, André (gardien) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11
SALLEY, Michel (gardien) 1
SANNIÉ, Charles 1
SARTRE, Jean-Paul 1
SCHIRA, Jean 1, 2
SCHMITT, Marius (gardien) 1, 2, 3
SÉNAC, Jean 1, 2, 3
SÉNÉCHAL, Marcel (gardien) 1, 2
SÉNIK, André 1, 2, 3, 4
SI ALOUA 1
SIDOS, François 1
SIDOS, Jacques 1, 2, 3, 4
SIGNORET, Simone 1
SIMON, Henri (gardien) 1
SIMON, Jacques 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
SLIMEL, Rabach 1
SLIMI, Ali 1, 2, 3, 4, 5, 6
SOUM, Henry 1
SPORTISSE, Alice 1, 2
STALINE, Joseph 1, 2, 3
STERN, Max 1
STIBBE, Pierre 1, 2, 3
STIBBE, Renée 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
STIL, André 1, 2, 3
STORA, Benjamin 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
SUFFERT, Georges 1
TAALBI, Tayeb 1
TADJADIT, Amar 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16
TADJADIT, Arezki 1, 2
TADJADIT, Lounès 1, 2, 3, 4, 5
TALA-IGHIL, Lalhou 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
TALA-IGHIL, Youcef 1, 2, 3, 4
TARTAKOWSKY, Danielle 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16,
17, 18, 19, 20
TAZAGART, Achoun 1
TERRADJ, Idir 1
THÉNAULT, Sylvie 1
THÉOLLEYRE, Jean-Marc 1
THIÉNARD, Gaston 1, 2
THOREZ, Maurice 1, 2, 3
TILLON, Charles 1
TOLLET, André 1
TOUATI, Abdelhafid 1
TOUATI, Madjib 1, 2, 3
TOUDIC, Yves 1
TOUMOUH, Abdou 1, 2
TOUMOUH, Mohamed 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
TOURNADE, Olga 1
TOURTE, Marcel (brigadier) 1, 2
TOUSSAINT, Yves (gardien) 1
TRÉCOURT, Robert 1, 2, 3, 4
TRUMAN, Harry 1
VADIEI, Kazem 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
VARAUT, Jean-Marc 1
VASVEKIAZAN 1
VERMEERSCH, Jeannette 1, 2
VIDAL, Jean 1
VIENNEY, Paul 1
VIENNOT, Agnès 1
VILLEFOSSE (DE), Louis 1
VINCENT, Paul 1
VINET, Roger 1
VIOLLETTE, Maurice 1
VOGUET, André 1
WERTHÉE, Fernand 1, 2
YAZID, M’Hamed 1