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IND-C2-B2-UE14
Renforcement construction
Etudiants :
Enseignants :
FADEUX Lucas
BULDGEN Loïc
GENIN Nicolas
GIACHETTA Stéphane
LEPERS Maxime
HUVELLE Clara
MALHERBE Théo
Master 2
Année Académique 2023-2024
Table des matières
1 Introduction 1
5 Autres assemblages 18
5.1 Assemblage de la poutre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
5.1.1 Assemblage des fibres supérieures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
5.2 Assemblages des fibres inférieures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
5.3 Lattes colinéaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
6 Montage de la structure 19
7 Calcul de prix 20
8 Conclusion 21
IND-C2-B2-UE14 Rapport de Projet Bois
1 Introduction
Dans le cadre du challenge bois, nous sommes amenés à réaliser une structure en porte-à-faux qui
permettra à l’un des membres de notre équipe d’aller s’asseoir le plus loin possible au-dessus d’une zone
interdite sans que la structure ne cède. L’objectif est représenté sur l’image ci-dessous.
Pour la réalisation de cette structure, nous sommes limités par un budget maximum de 300€. Ce budget
comprend les différents bois (latte, planche, volige,...),mis à notre disposition ainsi que les éléments
d’assemblage (Vis). Le prix de chaque élément est résumé dans le tableau ci-dessous :
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Lorsque 1 nous nous sommes rendus compte que la structure numéro 2 ne pouvait pas tenir lorsqu’elle
était en charge, nous avons décidé d’effectuer quelques modifications. Dans un premier temps, nous
avons décidé de renforcer la colonne en I à l’aide d’un treillis.
Après avoir calculé cette méthode, nous nous sommes rendus compte, des efforts supplémentaires étaient
induis dans le tirant supérieur. Nous nous sommes également dis que si nous devions ajouter un treillis
à la colonne en I, quel en était l’intérêt de la garder.
Nous nous sommes donc dirigé vers une tour triangulaire en treillis pour soutenir notre porte-a-faux.
Ci-dessous la structure conçue sur Scia.
Lors du calcul sur Scia de cette structure, nous nous sommes aperçu que dû à la forme du treillis et son
angle par rapport à l’horizontale élevé, le tirant le plus élevé reprenait un effort bien trop important et
risquait de casser.
1. Cette section est directement extraite du rapport précédent. Dans un souci de continuité et de compréhension
complète de la structure, nous avons choisi de la conserver également dans ce rapport-ci.
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Dans la figure 5, le tirant du dessus est tendu avec un effort de 5.28kN, ce qui est plus élevé que l’effort
max admissible dans latte de 32 qui est de 5.1 kN.
Cet effort de traction étant provoqué par un effort de traction horizontal, nous avons décidé d’augmenter
l’angle par rapport à la verticale pour diminuer cet effort. Nous obtenons donc cette dernière et définitive
structure.
Dans la figure 7, nous retrouvons la cassure dans la pente de notre tirant de droite pour diminuer l’effort
dans le tirant supérieur comme expliqué ci dessus.
En faisant l’analyse numérique, les valeurs d’effort de traction dans les tirants sont maintenant accep-
tables.
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En ce qui concerne la disposition de nos diagonales et de nos horizontales, nous avons regardé l’effort
repris en compression dans les chevrons verticaux puis nous avons calculé les longueurs de flambement
critique, ce qui finalement nous a permis de calculer trouver la disposition de horizontales et de nos
diagonales.
Pour limiter notre coût, nous avons décidé de faire une cage ouverte en "U" pour notre colonne en treillis.
Il n’est en effet pas nécessaire de la refermer la partie arrière car les montants étant en traction, ils sont
déjà stabilisés. L’intérêt réside également pour celui qui devra monter sur la structure. En utilisant
cette cage ouverte, le grimpeur montera sur des éléments prévu pour la compression. Cela nous évite de
prendre des profilés plus important et donc plus couteux dans le cas où la cage serait fermée et où le
grimpeur monte sur les éléments en tractions.
Nous devons encore définir les liaisons nécessaires entre les 2 "squelettes" de notre structure ainsi que
sur la poutre en I.
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Le porte-à-faux maximal que nous avons calculé a une longueur de 7m et on considère que la charge
nette appliquée au bout de celui-ci est de 650N. Comme nous avons 2 profilés, chacun reprendra 325N
sans les pondérations. Nous avons considéré une pondération de 1, 12 = 1.21. Cela revient à :
P = 1, 21 · 325 = 393, 25N .
La poutre étant appuyée sur le montant et maintenue par un tirant au centre de celle-ci, on se retrouve
avec le schéma statique (figure 9) suivant :
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Figure 9 – Caption
X
MB = 0
3, 5P = 3, 5RA
RA = −393, 25 N
RB = P − RA = 786, 5 N
RB 786.5
T = ◦
= = 1653.6 N
sin(28.4 ) 0.476
Figure 10 – Caption
3, 5P = 1377 N m
Les 5 premiers mètres de la poutre sont constitués du "I" au complet, à l’exception de la partie assemblée
avec le montant. On retire la fibre inférieure après 5,1m, puis la fibre supérieure à 6m. Les inerties
changent, les moments pour ces profilés également. Il est nécessaire de garder les 2 fibres en début de
poutre même si le moment de flexion est faible pour augmenter la résistance au flambement. En effet, le
tirant a tendance à comprimer la poutre vers le montant. La figure 12 ci-dessous reprend le diagramme
des moments et la variation d’inerte de la poutre :
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Par les triangles semblables, on peut calculer le moment maximum ainsi que la contrainte maximale à
chaque changement d’inertie. On obtient les résultats suivants :
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Notre poutre étant en forme de I et composée de différentes planches, lors de la mise en charge, l’effort
tranchant soumet notre poutre à de l’effort rasant. Nous devons donc calculer les vis nécessaires ainsi
que leurs écartement pour reprendre l’effort rasant. L’effort rasant se calculant par la formule :
dR V ∗ Sn
= (1)
dx I
Comme nous pouvons le voir sur la figure ci-dessous, l’effort tranchant peut être considéré comme
constant tout du long de notre poutre en I.
Figure 12 – Caption
L’effort rasant rasant entre nos semelles et notre membrure vaut donc 4197.3 N/m dans le cas de la
poutre en T. Sachant que chacune de nos vis peuvent reprendre 542 N d’effort tranchant, il sera nécessaire
de mettre une vis tous les 129mm. Ces vis vont également servir à lier les membrures et la semelle entre
elles.
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Notre structure étant composée pour la partie verticale d’un treillis, certains montants verticaux sont
soumis à de la compression. Il est nécessaire de vérifier de les vérifier en flambement. Grâce à al formule
d’Euler, nous trouvons :
π2 ∗ E ∗ I
Ncr = (2)
L2f l
Par cette formule nous avons dû vérifier toutes nos membrures soumis à de la compression pour être sûr
quelle ne flambent pas. Nous avons par exemple trouvé qu’il fallait modifier certaines lattes horizontales
et les remplacer par des chevrons car le risque de flambement était trop élevé. Une seconde membrure
qui a demandé notre attention, est notre poutre en I. Du à l’inclinaison du tirant, la poutre en I est
soumise à un effort normal élevé qui après calcul était critique selon l’axe fort (l’axe faible est contreventé
donc pas de soucis). Nous avons donc dû oublier l’idée d’inertie variable sur la première partie de notre
poutre en I et garder un I pour éviter la ruine par flambement.
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Figure 14 – Assemblage 1
Pour le premier assemblage, le tirant supporte une force de traction de 1838, 2 2 N, qui doit être effica-
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cement transmise par les vis assurant la liaison entre le tirant et l’OSB. À cet effet, nous optons pour
l’utilisation de deux vis M4x45. Une opération de pré-perçage sera effectuée au préalable.
En ce qui concerne l’assemblage OSB-Âme, nous utilisons 5 vis M3x35. Cette décision est motivée par
l’espace disponible au niveau de la plaque d’OSB et de l’âme de la poutre. En effet, le choix de 5 vis
M3x35 nous permet de gérer un effort plus important à moindre coût. De plus, la longueur des vis
M4x45 serait excessive, risquant de dépasser de l’autre côté de l’âme.
2. Cet effort est plus significatif que celui présenté à la section 2.2, en raison d’un repositionnement de l’assemblage
visant à restreindre l’effort tranchant. Toutefois, nous tenons à garantir que tous les dimensionnements ont été effectués
avec les efforts finaux, assurant ainsi la stabilité de notre structure.
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Figure 17 – Assemblage 2
Afin de déterminer le nombre de vis nécessaire pour l’assemblage des éléments, nous devons regarder
l’effort normal dans chacun d’eux.
— Tirant de gauche : 3642N
— Chevron central : 1708N
— Tirant de droite : 1851N
Ensuite, afin de déterminer l’effort maximal pour un plan de cisaillement que peut reprendre une vis,
nous avons utilisé l’excel mis à notre disposition qui est représenté sur la figure 18.
Afin de gagner de la résistance, nous avons décidé de pré-percer le bois car cela augmente la portance
locale (Résistance à la pression diamétrale dans les assemblages métalliques).
Nous pouvons voir que la résistance de la vis dans un plan de cisaillement est de 472,1N, afin d’être
sécuritaire, nous avons considéré une résistance de 450N.
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En reprenant les efforts dans nos élément, nous pouvons déterminer le nombre de vis nécessaire à la
résistance de notre assemblage. (On arrondit les valeurs à l’unité supérieur)
3642
— Tirant de gauche : ≈ 9 vis
450
1708
— Chevron central : ≈ 4 vis
450
1851
— Tirant de droite : ≈ 5 vis
450
Nous avons ensuite du déterminer la distance entre entre les vis ainsi que la position par rapport à
l’extrémité du tirant. Pour ce faire, nous avons utilisé le tableau de la figure 19 que l’on retrouve dans
le formulaire.
Les 2 distances qui nous intéressent sont a3 (Distance à une extrémité chargée) et a1 (Distance entre 2
tiges successives).
On regarde dans la colonne "Avec pré-perçage", notre angle α = 0 et le diamètre de notre vis vaut 3mm.
Nous avons travailler de la même manière pour déterminer les autres assemblages de notre structure.
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Nous avons ensuite placé les 4 éléments dans le même plan en respectant les différentes restrictions
d’angle que nous nous étions fixé lors de la conception de la structure. Nous avons ensuite déterminé la
taille d’OSB adéquate pour fixer nos 4 éléments ensemble.
Figure 20 – Assemblage 3
Étant donné que les assemblages 5,6 et 7 ne présentent pas de particularités supplémentaire et sont
similaires à l’assemblage 3 et 2, nous ne les détaillerons pas d’avantage. Les plans d’assemblages restent
disponibles en annexe.
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Figure 21 – Assemblage 4
Ainsi, le choix s’est porté sur l’utilisation de trois vis de type M4x45, dont les dispositions constructives
précises sont récapitulées dans le tableau 1 ci-dessous.
a1 a2 a3 b1 b2 b3
[mm] 40 28 50 40 12 30
Il est important de noter que l’installation des trois vis requiert des pré-perçages préalables.
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Figure 22 – Assemblage 8
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La figure 23 ci-dessous présente notre système de liaison entre les deux faces de notre structure.
Concernant la poutre en I, nous avons positionné des lattes de dimensions 21x30 mm (en vert) à des
intervalles de 500 mm, alternant entre la membrure inférieure et supérieure. Ces lattes, cruciales pour
la circulation du grimpeur jusqu’au bout du porte-à-faux, sont aménagées en alternance (une sur deux).
En complément, des lattes de dimensions 21x20 mm (en bleu) sont disposées sur une longueur de 800
mm, avec un espacement de 200 mm, agissant en tant que système de contreventement. Une plaque
d’OSB (en orange) est installée à l’extrémité du porte-à-faux, fournissant un espace où le grimpeur peut
s’asseoir.
Pour la tour en treillis, des échelons, constitués de lattes de dimensions 21x30 mm (en vert sur la figure
de droite), sont espacés de 600 mm, permettant au grimpeur de progresser jusqu’à la poutre. En ce qui
concerne le contreventement dans ce plan, des lattes de dimensions 21x20 mm (en bleu sur la figure de
droite) sont disposées à des intervalles de 800 mm.
Figure 23 – Liaison entre les deux faces de la structure : poutre & treills verticale
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5 Autres assemblages
Nous n’avons évoqué pour l’instant que les assemblages des noeuds. Il ne faut pas oublier que nos
éléments ont une longueur de 2.4m au maximum. Or, certaines parties de la structure, telles que nos
deux poutres, font 7m et il faut pouvoir les assembler également.
Figure 24 – Caption
Ce sont les assemblages les plus critiques. En effet, le moment de flexion engendre une tension importante
sur ces fibres. L’assemblage entre les 2 éléments se calcule de la sorte :
Figure 25 – Caption
Pour rappel, avec le moment maximum en milieu de travée, on obtient une contrainte de flexion maximum
de 10.84 MPa. Cette contrainte sera reprise en traction par la fibre supérieure qui est une planche de
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22x48 mm². On calcule la contrainte moyenne sur les 22mm d’épaisseur de la planche (voir figure 25).
72 − 11
σmoy = 10, 84 · = 9, 18 M P a
72
Nmax = 9, 18 · (48 · 22) = 9700 N
Cet effort peut être repris au sein de la planche mais il faut assurer les liaisons. Pour cela, on y ajoute une
planche supplémentaire par dessus et on y place 26 vis par jointure. Nous nous sommes arrangés pour
ne pas placer ces jointures à l’endroit ou le moment est maximum. L’effort normal du à la flexion est
donc un peu plus faible que les 9700 N calculés. De plus, la planche que l’on rajoute augmente l’inertie
de la poutre, on diminue donc théoriquement la contrainte maximale. Sans oublier que nous devons lier
les fibres à l’âme, mais cela concerne l’effort rasant qui est expliqué plus loin.
6 Montage de la structure
Le processus de montage de la structure représente un défi conséquent en raison de l’absence d’outils de
levage ou de toute assistance dédiée à cet effet.
Notre structure, composée de deux plans symétriques reliés par le système de contreventement évoqué
précédemment, sera construite simultanément en parallèle, reposant au sol. Ensuite, nous fixerons les
contreventements sur l’un des deux éléments. Par la suite, nous fixerons soigneusement le deuxième
élément au contreventement, en prenant soin de soutenir adéquatement cet élément pour éviter toute
surcompression du système de contreventement.
En dernière étape, nous solliciterons de l’aide pour redresser l’intégralité de la structure et la déplacer
vers la zone de test.
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7 Calcul de prix
L’un des points essentiel de ce projet est l’aspect financier. En effet, nous étions limité par un budget
de 300 e pour la réalisation de notre structure. Afin de déterminer ce budget, nous avons réaliser un
excel qui reprend tous les aspects du projet (Assemblage, vis, contreventement, échelle, poutre en I,...).
Le but était d’optimiser la structure afin de rentrer dans le budget tout en allant le plus loin possible.
La figure 26 ci-dessous reprend le bordereau dont nous aurons besoins pour réaliser notre structure.
En étant en concurrence avec les autres groupes de Gramme, nous avons continuellement cherché à
grappiller chaque centimètre et centime possible. Voici quelque stratagèmes auxquels nous avons pensé :
— Déplacer légèrement le tirant vers la droite. L’effort rasant étant dû à l’effort tranchant et nous
consommant un certain nombre de vis, nous devions tenter de le diminuer. Nous avons donc
décidé de déplacer le tirant légèrement vers la droite afin que dans le pire des cas (marcheur
au bout de la structure), l’effort tranchant soit plus faible que se le tirant étant au centre de la
poutre. Pour ceci, nous avons bien-sûr dû également vérifier si les autre composant de la structure
pouvait encaisser ce changement.
— Visser l’OSB de bout avec un léger porte-à-faux. Nous nous somme rendu compte, que le grimpeur
une fois assis sur l’OSB de répartira son poids sur le centre de la plaque et non l’extrémité. Nous
pouvons donc visser de quelques centimètres en porte-à-faux l’OSB et gagner quelque centimètres.
— Utilisation de longues chutes d’OSB pout faire des lattes. En faisant les plans de découpe de
l’OSB, nous nous sommes rendu comptes que certains bouts étaient assez long pour être utilisés.
Nous allons donc découper ces chutes pour en faire des late supplémentaires.
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Dans l’ensemble, le prix définit à 300€ nous a poussé à réfléchir sur toutes les économies possibles et
pousser l’optimisation au maximum.
8 Conclusion
Ces dernières semaines ont marqué des progrès significatifs dans notre projet de conception de structure
en bois. Après avoir minutieusement analysé les coûts et apporté des ajustements pour optimiser la
conception, nous avons réussi à affiner le dimensionnement des assemblages tout en maintenant la stabi-
lité structurelle. Cette approche itérative s’est avérée cruciale pour maximiser l’utilisation des matériaux
tout en respectant notre budget.
À présent, notre attention se tourne vers la phase suivante : l’établissement des plans détaillés. C’est le
dernier pas avant le jour J de la construction de notre structure. En élaborant soigneusement ces plans,
nous nous préparons au mieux pour garantir une exécution fluide et précise sur le terrain. Nous sommes
enthousiastes à l’idée de voir notre conception prendre forme et sommes confiants dans notre capacité à
mener à bien ce projet ambitieux.
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Annexe
Assemblage 5
Figure 27 – Assemblage 5
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Assemblage 6
Figure 28 – Assemblage 6
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Assemblage 7
Figure 29 – Assemblage 7
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