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26 novembre 2023
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L’apprentissage est un processus qui, bien qu’il se reproduise au cours d’une vie,
n’est pas en tout point identique. De l’enfance à l’âge adulte, nous acquérons
connaissances et compétences de différentes manières, de nous même et grâce
aux apports extérieurs. Les facteurs de succès entrent donc en ligne de compte,
notamment, la motivation personnelle. Dans notre travail, nous ferons un gros plan
sur cet élément, pour déterminer son rôle ou la contribution de l’effort volontaire
dans l’atteinte des objectifs de l’apprentissage en milieu universitaire. Nous
explorerons à travers des chiffres statistiques issus de différentes sources et experts
à travers le monde, ainsi que de notre vécu, ce que révèlent réellement les campus
sur les questions relative à la réussite académique à l’université.
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Tout comme une filière universitaire est bâtie sur plusieurs unités de valeurs,
l’obtention des compétences d’apprentissage à l’université repose sur plusieurs
facteurs. Citons à cet effet le passé scolaire de l’étudiant. Plusieurs thèses
indépendantes arrivent aux conclusions similaires à propos du rôle déterminant de
cette composante dans la réussite académique. Nous citerons Morlaix S. & Suchaut
B. (2012, p. 26), qui disent en conclusion de leur étude « qu’il apparait que les
parcours des étudiants à l’entrée à l’université sont très marqués par la nature de
leur scolarité passée (retard scolaire, serie et mention du bac) ». Cette conclusion
est confirmée par un pourcentage de 86,3% d’étudiants dont les résultats à
l’université sont déterminés par le facteur mentionné.
Ce résultat est appuyé par cette autre déclaration de De Clercq, M. (2019) « les
déterminants de la réussite peuvent être divisés en quatre caractéristiques : les
caractéristiques d’entrée, ce sont celles qui ont le plus grand effet : à savoir, par
ordre d’importance, le passé scolaire de l’étudiant, son bagage socioéconomique et
son processus de choix d’étude ». Pour revenir sur notre vécu, cette thèse sur le
passé scolaire de l’étudiant se vérifie dans notre cas également. A propos des notes
académiques par exemple, la tendance est restée sensiblement la même que dans
les classées passées, celles du secondaire plus précisément. Le taux et le temps de
compréhension aussi, au bon niveau pour justifier les notes finales, tout comme la
discipline. De même, certains de nos camarades du primaire ont conservé les
mêmes rangs qu’aux classes du secondaire.
Ce que nous déclarons ci-dessus est corroborer par plusieurs auteurs ayant fait des
recherches dans différentes universités dans le monde. Ce qui augment, en effet, le
nombre non négligeables de facteurs de réussite académique, que nous ne
pourrons pas tous aborder dans notre travail.
En conclusion, voici ce que nous pouvons retenir de ce bref exercice. Tout d’abord,
nous constatons que plusieurs textes ont été écrit à propos de la réussite
académique, plusieurs l’attribuant à différents facteurs déterminant parmis lesquels
la motivation personnelle, mais pas que. Un des facteurs pertinent à prendre en
compte se trouve être le passé scolaire de l’étudiant, combien oh déterminant et
appuyé tant par des recherches anciennes que récentes. La liste étant non
exhaustive, et les critères de plus en plus délicats (immigration, scolarité des
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parents, cadre académique…) devrait de plus en plus nous questionner et nous
pousser à envisager d’adapter, pourquoi pas, les systèmes éducatifs à ces
nombreux aléas.
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Références
https://www.researchgate.net/profile/MikaelClercq/publication/3356922
60_La_transition_universitaire_Posons_un_regard_neuf_sur_la_reussi
te_de_l'etudiant_Orientation_Express_N4/links/5d76367f299bf1cb809
35d93/
https://shs.hal.science/halshs-00671336
https://theses.hal.science/tel-00780578/