Vous êtes sur la page 1sur 1

Culture générale

Un petit texte de 20, 30 lignes, en utilisant au maximum les mots de votre liste de
vocabulaire soutenu, et avec une certaine force de conviction, sans une seule faute d’orthographe,
d’accords, d’accents de ponctuation…, sur votre ressenti par rapport au confinement, au
coronavirus, au temps qui passe, ou qui ne passe pas, les points positifs, négatifs, vos réflexions,
vos stratégies d’adaptation…

Il est évident qu’au vu de la conjoncture actuelle, le confinement est nécessaire. Je suis, cela
dit, circonspect quant aux informations que les médias nous donnent. Il est également important de
dire que c’été la solution idoine pour cette circonstance.

Le Coronavirus est pour moi incoercible, il est aussi pour ma part tout le contraire
d’anachronisme. A force de faire des tests, des expériences, de se servir de produits dangereux et
bien d’autres choses, nous avons provoqués cette situation, ce virus et sa je l’affirme a été créé par
nous les Hommes.

Il faut admettre que le Coronavirus est coercitif pour notre vie, par ailleurs nous pouvons
mettre en exergue le retour à l’essentiel. Je peux avoir une pléthore d’activités avec mes enfants que
je n’avais plus. La seule chose qui me manque, c’est mon exutoire. Puisque monter à cheval me
permettais de m’évader, d’être seule et de pouvoir ne penser à rien, de profiter de la nature et des
bénéficies qu’elle nous procure. Puis j’avoue que venir à la CCI ou encore au travail me manque un
peu. Voir du monde, se sentir utile, se prouver qu’on peut encore apprendre à mon âge (même si je
sais qu’à tout âge on peut), mais là c’est un défi personnel. Là, j’ai l’impression d’être revenu à
l’époque où j’avais la « casquette » de mère et femme au foyer. Je déteste cette sensation de
soumission, de l’image de la femme. Oui, car à l’heure actuelle j’ai un mari qui lui est obligé d’aller
travailler tous les jours, un agriculteur et oui !!! Pourtant je reste pragmatique, je reviens aux
sources, il faut avoir de la résilience.

De même, je ne sais pas ce que cherche l’éducation nationale, par rapport à nos enfants. Je
tiens à mettre l’accent sur la tonne de devoirs à faire, sans leçons. Je soutiens qu’on fait à l’heure
actuelle du « bourrage » de crâne, et que tout ça sera contreproductif pour nos enfants. Je vois
défiler des exercices et des sites à rien comprendre. Il y a d’autres façons de faire, je n’ai pas la
solution miracle, mais profitons de cette période pour ouvrir nos enfants sur d’autres choses,
apprendre autrement, développer d’autres compétences.

J’ai le sentiment que nous allons encore passer beaucoup de semaines confinées. Il va falloir
être organisé, et faire preuve de patience pour la suite.

J’observe aussi qu’il a fallu une crise pour que beaucoup de français reviennent à se nourrir
avec des produits du terroir. Il est malheureux d’avoir attendu autant de temps et qu’il y ai une
situation grave, pour aider nos agriculteurs en achetant leurs produits. Je peux donc en déduire que
malheureusement après le confinement, les gens reviendront à leurs bonnes vieilles habitudes,
d’aller acheter au moins chères et à moindre qualité leurs produits.

Pour conclure, c’est un mal pour un bien.

Vous aimerez peut-être aussi