Atelier d’écriture

Une jeunesse, une époque

Sinon #10

Nom : SARARUK Jitpinun (Jen)

Date : 20/Déc./2022

 Sujet 1 : Les réseaux sociaux

D’abord, j’utilisais les réseaux sociaux comme une zone de confort. Si je me

sens bien ou pas, je voudrais crier et dirais pour que les autres le voient. Il s'agit
de la validation sociale qui me permet de recevoir la même vision. Pour réaffirmer
que j'ai raison, je suis mignonne, je suis triste, mais ça va aller.

Je suis thaïlandaise qui pense que nous aimons utiliser les réseaux sociaux,
peut-être que nous sommes une folle de tiktok, Facebook et instagram. C'est vrai.
Selon Global digital report 2021, le nombre d'utilisateurs de réseaux sociaux en
Thaïlande équivalait à 78,7% de la population totale. Cela signifie que presque
tout le monde a au moins un compte.

Avant, j'étais aussi, une FOMO. Qu'est-ce que la FOMO? C'est l'anxiété de
manquer une opportunité qui nous permettrait d'interagir socialement,
évènement etc. Je fus connectée 24H à mon téléphone. Il était indispensable de
recevoir de nouveaux messages toutes les 30 minutes. Il peut être difficile de
sortir d'une habitude malsaine d'utilisation des réseaux sociaux, mais c'est
obligatoire pour réaliser tous les jours que nous ne sommes pas juste un fou des
réseaux sociaux.
  Sujet 2 : La transition écologique

Je me trouve en effet que nous avons vécu dans le plus terrible siècle de la
consommation d’énergie. Nous avons expérimenté des tonnes d'énergies
renouvelables, quand même, nous devons nous préparer à faire face aux
catastrophes imprévisibles à cause de réchauffement climatique.

En Thaïlande, nous avons essayé de changer nos façons de faire et nos

perceptions. A cause de l'énorme population, il est difficile de combattre la
production de masse, le tourisme de masse. Nous consommons et désirons plus
que nécessaire.

Cette transition peut être un signal d'alarme pour repenser nos façons de
produire, de travailler, de consommer, de nous déplacer devant la planète morte.
Je ne crois pas que je puisse régler tous les problèmes seul en utilisant de sac en
coton recyclé ou en mange moins de viande, je pense qu'important pour changer
le point de vue de personnes ainsi. Parce que ce n'est pas une seule mode à suivre
sur Twitter.
  Sujet 3 : L’alimentation

Je ne m'en préoccuperais pas si je suis végétarienne ou non. Je me préoccupe

à peu près comment je vais faire les courses pas loin chez moi ou le marché local
au lieu de conduire 30 km juste pour acheter des avocats frais ou des viandes non
contaminées.
Il est plus important de manger des produits locaux. Être végétarien ou
omnivore ne veut pas forcément dire que nous protégeons la planète. Nous
devrions réfléchir si ces alimentaires ont été importées et combien d'énergies
nous ont utilisé.
Par exemple, je sais les légumes sont bien pour ma santé, mais j'y pense où je
vis il n'y pas beaucoup de légumes. Il y a plus de poissons et de viandes. Donc,
j'aimerais les manger plus. Il dépend où vous habitez, je vous encourage à manger
les aliments qui sont faciles d’accès et pas besoin d'importer.
  Sujet 4 : Le temps libre

C'est un peu difficile aujourd'hui pour nous de trouver un équilibre entre

travail et loisirs. Heureusement, mes loisirs sont des activités en intérieur, ils ne
nécessitent pas beaucoup de force physique ou d'espace à accomplir.

Donc, j'essaie d'être multitâche pendant le temps de travail. Si j'aimais écouter

de la musique ou regarder un film comme loisirs, je les ferais en même temps. Je
sais que cela provoque une charge mentale et un risque de burn-out plus tard
parce que mon cerveau se sentirait fatigué de faire plusieurs tâches
spontanément.

Si j'avais plus de temps, j'irais pêcher comme quand mes parents étaient plus
jeunes, ils faisaient ça aussi et ils disaient, c'était une bonne idée pour se
déconnecter à la maison et le travail.

 Sujet 5 : Le travail, une profession...

Aujourd’hui, je suis enseignante et travaille en ligne. J'aime bien enseigner

aux enfants pour de cours en Thaï et en anglais. Ainsi, j'aimerai continuer ce
travail à prochaine année.
Après que j’espère qu'il existe des possibilités d'emploi pour les expatriés
en France, même si la langue est très difficile pour apprendre, mais les salaires
sont plus élevés qu'à Bangkok. Il est important d'avoir une bonne maîtrise de la
française, mais également une compréhension de base d'anglais pour
communiquer avec l'employeur et les citoyens français.
  Sujet 6 : L’étranger : ma vie ici ou ailleurs

Après j'aurais fini mes études, je voudrais devenir une jeune expatriée en
France. Ainsi que je le disais avant que je voudrais me connecter avec la culture
française.

En fait, je rêvais de réussir un travail artistique, j'aimerais travailler comme une

artiste, enseignante, peut-être commissaire d'exposition.

Sinon, j'aimerais bien avec retourner en Thaïlande, également il y aurait plus

des offres d'emploi. En raison d’être multilingue, je sais communiquer en
plusieurs langues qu’il sera possible pour travailler dans l’enseignement de
langues aussi.