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TCF - Session d'entrainement de juin 2020

Question 1
Transcription : Où est-ce que tu pars en vacances cet été ?
Réponse : Je vais au bord de la mer.
Source : rédaction TCF

Question 2
Transcription : Est-ce que tu veux t’asseoir ? Il y a deux places libres au fond du bus.
Réponse : Avec plaisir, je suis fatigué.
Source : rédaction TCF

Question 3
Transcription : Bonjour, je m’appelle Nabil, j’ai 32 ans, je viens du Maroc. Ça fait un an et demi que
je suis en France et en fait quand j’étais au Maroc, je travaillais dans l’hôtellerie de luxe. Je connais
les grandes chaînes mais j’aimerais savoir quels types d’hôtels on peut trouver à Paris.
Question : Qu’est-ce que Nabil veut faire ?
Réponse : Connaître les hôtels de la capitale française.
Source : Parlez-vous Paris ?, RFI

Question 4
Transcription : Certains médicaments, vendus même sans ordonnance, peuvent être dangereux
pour la santé. Lesquels en particulier ? - Comme vous pouvez le voir, c’est difficile de catégoriser. Ils
ont tous des effets secondaires. Donc, en fait, un bon médicament a une indication précise pour une
pathologie, et c’est pour ça qu’il faut consulter le médecin avant. - On ne prend jamais un médicament
à la légère ? - Non, même les plus simples peuvent être toxiques.
Question : Selon cette intervenante, que faut-il faire pour prendre un médicament sans risque ?
Réponse : Demander conseil à un spécialiste.
Source : Conseil santé, RFI, le 15/10/2019

Question 5
Transcription : Avant on disait « oui, faut surtout pas faire du sport le soir parce que ça empêche de
dormir ». En fait il y a des études qui montrent que c'est vrai que ça augmente un peu le délai
d'endormissement mais par contre que ça augmente le temps total, la durée du sommeil, et que ça
diminue les éveils nocturnes. Donc le fait de faire du sport le soir finalement permet très souvent
d'améliorer finalement son sommeil et donc c'est parfait pour les adeptes du jogging ou de salle de
fitness à vingt heures après le travail.
Question : Qu’explique l'intervenant ?
Réponse : Faire de l’exercice avant de se coucher aide à dormir.
Source : RFI/Science, RFI, le 25/09/2019

Question 6
Transcription : L’association Lire et faire lire permet à des retraités de lire des histoires à des
collégiens, car la lecture commence toujours par la voix. Luc, 70 ans, ancien cadre chez France
Télécom, est bénévole depuis plus de 10 ans. Chaque mercredi, il lit à voix haute au collège Pierre de
Geyter, à Saint-Denis dans une classe relais qui accueille des élèves en échec scolaire.
Question : Quel est l’objectif de l’association Lire et faire lire ?
Réponse : Encourager des jeunes en difficulté à la lecture.
Source : 7 milliards de voisins du 18/11/2019
Question 7
Transcription : Aujourd’hui, nouveau mot, nouveau concept pour certains, le vélotaf, c’est-à-dire aller
tafer à vélo, aller travailler à vélo, toutes les grandes villes développées veulent intégrer désormais le
vélo comme mode de transport urbain, en chiffres ça reste marginal mais la progression est
importante notamment par exemple comme dans certaines villes américaines où la voiture était reine
et le vélo intéresse aussi timidement les Coréens, les Chinois, notamment pour le dernier kilomètre
après les transports publics en Chine.
Question : De quoi parle la journaliste ?
Réponse : De déplacements citadins.
Source : 7 milliards de voisins, RFI, le 02/09/2019

Question 8
Transcription : Et de quel métier vous, vous rêviez quand vous étiez enfant ou adolescent ? - Bon,
moi dans un premier temps, quand j’étais étudiant, ce que j’avais pour objectif jusqu’en 2013, c’était
de finir ma, mes études en gestion. D’être un docteur en gestion et d’enseigner à l’université. Mais en
2014, y a eu un phénomène quand même qui m’a poussé à quitter l’université, j’étais en Master 2
déjà. Parce que j’avais suivi un film, un film de Ashton Kutcher, sur Steeve Jobs. le fondateur d’Apple,
voilà, le fondateur d’Apple. (0’53 – 0’58) Y a une passion quand même, qui m’a poussé à me lancer
dans l’entreprenariat.
Question : Qu’apprend-on sur ce jeune homme ?
Réponse : Il a changé d’orientation grâce à un film.
Source : L'Afrique qui gagne, RFI, le 21/06/2013

Question 9
Transcription : Ce, ce n’est pas l’explosion du trafic aérien qui nous inquiète, le trafic aérien va
doubler dans les vingt ans à venir, y aura en 2037 deux fois plus d’avions et deux fois plus de
passagers qu’aujourd’hui, quoi qu’il advienne. Ça, ça ne nous inquiète pas. Ce qui nous inquiète… -
Ça, c’est un fait, de toute façon on… ? - C’est un fait ! - …on ne pourra pas revenir là-dessus ? - Non,
non, sauf à interdire l’avion, carrément, partout dans le monde, ce qui va être un petit peu compliqué.
Euh, ce qui nous inquiète en revanche c’est la contribution du transport aérien au réchauffement
climatique et le fait que les transporteurs aériens soient, sont un petit peu réticents à prendre des
dispositions pour un avoir un transport aérien neutre en carbone.
Question : Que reproche l’intervenant aux transporteurs ?
Réponse : D'ignorer leur impact environnemental.
Source : Débat du jour, RFI, le 19/06/2019

Question 10
Transcription : Aujourd'hui, quelle est l'influence du temps et de la météo sur nos vies? Chaleur,
sécheresse, pluie, vent, tous ces aléas climatiques ont une influence sur nos comportements, dans
les entreprises on travaille mieux les jours de pluie, un magasin où il fait trop chaud rend son
personnel désagréable, irascible avec ses clients et surtout pour une grande partie de la
consommation le soleil ou le froid pèsent sur le chiffre d’affaires et en ce début de changement
climatique nous n’avons encore probablement rien vu.
Question : Quel est le problème évoqué par la journaliste ?
Réponse : Les répercussions de la météo sur l’économie.
Source : 7 milliards de voisins, RFI, le 12/11/2019
Question 11
Transcription : On passe, un auditeur disait qu’on passait beaucoup de temps à lire et à écrire quand
on est enfant et quand on est jeune sur des écrans, c’est vrai, pour autant tout ce qu’on lit n’a pas
forcément, ne véhicule pas forcément la même chose, l’écriture et la lecture de communication ne
véhiculent pas la même chose que la lecture de connaissance ou la lecture de l’imaginaire et pour moi
il y a absolument besoin de l’ensemble, il y a besoin de savoir tricoter l’ensemble, il y a un problème si
on est seulement dans la lecture et dans l’écriture de communication et l’intérêt des écrans et du type
d’application que vous avez créé, il y en a d’autres, mais c’est de pouvoir ouvrir des passages.
Question : D’après l’intervenante, qu’est-ce qui est le plus important dans la pratique de la lecture ?
Réponse : Pratiquer tous les types de lecture et d’écriture.
Source : 7 milliards de voisins, RFI le 22/11/2019

Question 12
Transcription : À ton avis, pourquoi il y a si peu de filles dans les filières scientifiques aujourd’hui ? -
Les filles ont des meilleures notes que les garçons en général, mais j’ai l’impression qu’on est peut-
être moins déterminées. C’est à dire que on est plus stressées et se dire j’ai des bonnes notes mais
moins confiance en soi, ce qui fait qu’on va peut-être faire de moins bonnes études que les garçons et
du coup ils vont peut-être plus réussir alors que c’est ridicule, enfin on a les mêmes capacités qu’eux.
Question : Selon l'intervenante, pourquoi les filles sont peu présentes dans les filières scientifiques ?
Réponse : Elles ont tendance à se sous-estimer.
Source : 7 milliards de voisins, RFI le 29/03/2019

Question 13
Transcription : C’est vrai que quand on parle de « zéro déchets », c’est un peu trompeur. Le terme
est un peu trompeur. Le compost et le recyclage, c’est super, mais en fait, ce qu’il faut que les gens
vraiment intègrent, c’est que y’a des solutions beaucoup plus efficaces que ça et la solution, c’est la
réduction des déchets. Par exemple, les pailles. Donc ici, c’est vrai qu’on…y’a des pailles partout,
dans les restaurants, on a des pailles automatiquement sans rien demander. Y’a une interdiction qui
vient d’être passée par la ville de San Francisco et donc ce qu’on voit, c’est du coup des alternatives,
des pailles compostables. On se dit « ok, c’est compostable, c’est bien, mais est-ce qu’on a vraiment
besoin d’une paille à la base ? ».
Question : Que propose cette journaliste ?
Réponse : De revoir les besoins à la baisse.
Source : C'est pas du vent, RFI le 04/10/2018

Question 14
Transcription : Alors, ce qui est très compliqué, c'est qu'au départ, le rock, c'est une musique de
rébellion, c'est une musique qui est vraiment en opposition avec l'ordre établi, avec le système. Mais
avec le temps, cette musique est devenue grand public, est devenue mainstream. Donc, aujourd'hui,
on n'a plus cette espèce d'impulsion, comme ça, qui vient d'en bas, qui peut faire du rock'n’roll une
musique qui permet de se libérer. Donc, c'est quelque chose... c’est devenu quelque chose de très
consensuel, c'est là que la musique urbaine, ou le rap, le hip hop, a pris de l'importance. Parce que le
hip hop a remplacé le rock dans cette fonction, comme ça, de libération de la jeunesse. RFI Débat du
jour : « Printemps de Bourges, le Rock est-il mourant comme ses icônes ? »
Question : Selon ce spécialiste, comment définir le rock au XXIe siècle ?
Réponse : C’est une musique populaire parmi d’autres.
Source : Débat du jour, RFI, le 17/04/2019
Question 15
Transcription : - 22 millions d’enfants, principalement dans les pays en développement, ne sont
toujours pas vaccinés contre les maladies courantes. Alors pourquoi ?
- D’une part d’abord, quand nous faisons les enquêtes de couverture, nous voyons qu’il y a un grand
écart avec les données des enquêtes administratives. Par exemple pour le vaccin contre la rougeole
qui tournait autour de 89%, ce qui est vrai c’est que d’une part on n’atteint pas tous les enfants mais
d’autre part c’est aussi la qualité de cette vaccination. Même ces enfants-là qui sont vaccinés mais
avec tous les problèmes qu’il y a avec la chaine du froid, à la longue on arrive à donner du vaccin
mais qui n’est pas du vaccin de qualité.
Question : Selon cet intervenant, quel est l’un des problèmes de la vaccination ?
Réponse : La diminution en efficacité des produits.
Source : Priorité Santé, RFI, le 22/06/2011

Question 16
Transcription : Se déplacer gratuitement ravit les gens, mais quid du financement ? Comme partout
en France, les entreprises de plus de 11 salariés paient une taxe sur les salaires : le « versement
transport », 1,55% à Dunkerque, ce qui représente la moitié du coût global des transports publics.
Lors du passage à la gratuité, cette taxe n’a pas augmenté. C’est la communauté urbaine qui assume
le surcoût. Patrice Vergriete, maire de Dunkerque et président de la communauté urbaine : « Nous
n’avons pas pris la décision d’augmenter la fiscalité ni pour les entreprises, ni pour les ménages. C’est
bien par un choix politique qu’on a souhaité faire la gratuité du transport collectif et la modernisation
du réseau. »
Question : Qu’est-ce qui a rendu possible la gratuité des transports à Dunkerque?
Réponse : La prise en charge financière par les pouvoirs publics.
Source : Chronique Transports, RFI le10/08/2019

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