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Votre long article intitulé « donner des cours d’informatiques aux plus âgées
n’est plus utile » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier,
ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet
qui alimente de nombreux débats.
Habitués aux lettres et aux romans, les seniors n’ont pas accordé d’intérêt à la
nouvelle technologie. Mes grands-parents trouvent qu’en restant des heures
devant mon ordinateur je passais à côté de ma jeunesse. Cependant, je pense
que les outils informatiques sont en mesure d’assurer un quotidien plus fluide
aux ainées.et je m’appuie sur ce qui suit.
Premièrement, les outils informatiques sont un excellent moyen pour
combattre la solitude. Ils permettent de communiquer avec autrui à n’importe
quel moment, et à n’importe quelle distance en ajoutant une image au son. Les
seniors peuvent ainsi communiquer avec des amies et des proches tout en
ayant l’impression d’être avec eux.
En outre, l’état de santé des plus âgées limite leur habilité aux déplacements.
En les initiant aux outils informatiques on leur permet d’écarter les difficultés.
Ils peuvent effectuer des payements bancaires, ou faire des courses via internet
par un simple clic.
Par ailleurs, les outils informatiques préservent les capacités intellectuelles.
Les tablettes et téléphones portables disposent de logiciels et jeux permettant
d’exercer sa mémoire. A cet égard, une étude menée à l’université de Harvard
stipule que les jeux en ligne constituent un excellent exercice cérébral
permettant de maintenir les capacités cognitives des seniors.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point
de vue quant à l’initiation des seniors aux outils informatiques, je suis
convaincue que l’accès à la technologie est primordial quel que soit l’âge de la
personne. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression
de mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les personnes âgées de plus de 65 ans doivent
repasser le permis de conduire » paru à la une de votre journal le premier
novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs,
m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet
qui alimente de nombreux débats.
De nos jours, les accidents de la route sont responsables de plus de 1,35 million
de décès par ans. Certains lecteurs, pensent que l’insouciance des jeunes est à
l’origine de ce taux élevé de mortalité. Cependant, je trouve que les personnes
âgées sont encore plus dangereuses que les jeunes et doivent être surveillées,
et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, les problèmes de santé chez les seniors se multiplient et se
compliquent. La majorité des personnes âgées soufrent de tension artérielle,
de vertige, et la quasi-totalité voit leur acuité visuelle diminuée, induisant ainsi
des malaises subits au volant. D’ailleurs, dans les pays Scandinaves, une visite
médicale régulière pour les conducteurs de plus de 50 ans a menée à des
résultats positifs sur le terrain
En outre, le vieillissement entraine un manque de vigilance et un
allongement du temps de réaction. En effet, le manque de concentration et la
diminution des réflexes a fait en sorte que la prise de conscience du danger soit
plus lente chez les seniors. Faisant ainsi d’eux un réel danger public. A cet
égard, une étude réalisée par l’assureur AXA affirme que les personnes âgées
sont à l’origine d’un accident mortel sur quatre par ans.
Enfin, imposer aux ainés de repasser le permis de conduire s’avère une décision
importante afin de s’adapter aux nouvelles exigences imposées par la
réglementation routière. Le code de la route a connu des modifications
profondes ces dernières années, ainsi repasser le l’examen de par cette tranche
d’âge est primordial afin d’assurer la sécurité routière. A preuve, en Espagne un
examen est organisé tous les 10 ans pour les conducteurs, comportant des
questions sur les modifications du code de la route
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui viennent appuyer votre
affirmation. Je suis convaincue que nos ainés doivent être surveillés car ils
constituent un réel danger pour eux-mêmes et pour les usagers de la route.
Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « internet nous rend isolé de la société » paru à la une
de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais ici apporter
quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats.
Do nos jours, le problème d’addiction à internet fait souvent la une des
médias. Certains lecteurs pensent qu’en surfant des heures sur le net, on a
tendance à s’isoler, et à mettre de côté la vie privée et sociale. Je trouve que
cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.
Premièrement, c’est un excellent moyen pour combattre la solitude.
Internet permet de communiquer avec autrui à n’importe quel moment et
n’importe quelle distance. Nous rapprochant ainsi davantage de nos proches et
amis. De par mon expérience personnelle, j’arrive à communiquer
régulièrement avec ma meilleure amie qui réside au canada grâce aux réseaux
sociaux.
Par ailleurs, étant la première source d’information. Internet nous permet de
suivre l’actualité mondiale par un simple clic sans avoir à sortir de chez soi. A
preuve, c’est ainsi que tout le monde a suivi l’évolution de la pandémie du
coronavirus tout en étant confiné.
Enfin, il y a des personnes qui souffrent de phobie sociale, autrement dit ils
rencontrent des difficultés à créer de nouvelles relations. Internet leur donne la
possibilité de faire de nouvelles rencontres sans sortir de leur zone de confort.
A cet égard, les dernières études affirment que 80% des personnes ayant ce
problème se sont mariées grâce à internet.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que
contrairement à ce que l’on croit, internet n’est aucunement un moyen
d’isolement, c’est plutôt une fenêtre qui nous permet de s’ouvrir sur le monde.
Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « la lecture des romans est une perte de temps, il vaut
mieux lire les journaux », ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos
lecteurs, m’interpellent vivement, je voudrais ici apporter quelques réflexions à
ce sujet qui alimente de nombreux débats.
Aujourd’hui, le mode de vie actuel a fait en sorte que les romans perdent
leurs lecteurs, ces derniers se sont tournés vers les journaux. Certains lecteurs
estiment que contrairement aux romans, les journaux leur permettent de
s’enrichir sans perdre beaucoup de temps. Je trouve que cette vision est biaisée,
et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, les romans s’adressent à toutes les tranches d’âge, d’un enfant
de 4 ans à un sénior de 90ans. Ils permettent également de développer
l’imagination et la créativité grâce à leur aspect fictif. A preuve, Les
pédopsychiatres conseillent de faire lire les romans aux enfants dès leur jeune
âge afin de développer leur faculté cognitive.
Outre cela, contrairement aux journaux, les romans utilisent un vocabulaire
avancé. Compte tenu de la diversité des romans qui existent (policier,
scientifique, fantastique), Leur lecture nous amène à adopter de nouveaux mots,
de nouvelles expressions. Selon une étude menée par des étudiants à l’université
de Lyon, les lecteurs de romans ont un vocabulaire plus avancé que les autres
lecteurs.
Enfin, la lecture des romans est un excellent antistress. En raison des
journées qu’on endure, nous avons tous besoin d’un petit moment échappatoire,
lire un roman contribue largement à cela. A l’opposé les journaux nous
ramènent toujours à la dure réalité. Selon des chercheurs britanniques, après six
minutes de lecture, nous sommes plongés dans un état d’apaisement avec la
diminution de la tension musculaire et du rythme cardiaque.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la particularité
des romans. Je suis convaincue que les journaux n’arriveront jamais à les
remplacer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants »
paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les
réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente
encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, les relations intergénérationnelles font souvent la une des
journaux. Les parents ont toujours fait preuve d’autorité vis-à-vis de leurs
enfants, ces derniers ne peuvent prendre ni discision, ni franchir un pas sans
avoir leur accord. Avant l’âge adulte un enfant devra impérativement avoir
l’aval de ses parents pour pouvoir voyager. Cependant, je trouve que la société
moderne a fait en sorte que les modes d’éducations changent, et je m’appuie sur
ce qui suit.
Tout d’abord, les jeunes parents veulent éviter les conflits. Motivés par le désir
d’élever leurs enfants de façon respectueuse, ils finissent par leur donner le
contrôle. A preuve, un sondage affirme que 70% des parents demandent au lieu
d’exiger à leurs enfants.
Outre cela, la priorité des parents d’aujourd’hui est que leurs enfants se sentent
respectés, et entendus dès leur jeune âge. L’amour a fait en sorte qu’ils soient
déterminés à ne pas élever leurs enfants comme ils l’ont été. D’ailleurs on donne
désormais le droit aux enfants de piquer une crise afin d’apprendre à gérer leurs
émotions.
Enfin, les chefs de familles ont adopté une nouvelle méthode d’éducation bien
loin de l’autorité de leurs ascendants. L’obéissance totale, autrefois louangée, est
aujourd’hui perçue comme dépassée. Beaucoup de familles encouragent leurs
enfants à exprimer librement leurs pensées. Les pédopsychiatres affirment qu’un
enfant obéissant est de nature à se laisser faire.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de
vue quant à l’évolution des méthodes d’éducations. Toujours fidèle à votre
journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « avec le tourisme tous les pays se ressemblent » paru
à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et
avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je
voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente
encore de nombreux débats.
De nos jours, les agences de voyages proposent des formules standard quel que
soit le pays en question, masquant ainsi les cultures et les traditions qui font la
typicité de ces derniers. A preuve, aujourd’hui voyager en Afrique ou en Europe
demeure presque identique vu la ressemblance des formules proposées.
Cependant, je pense que les points de divergence entre les pays sont plus fort
qu’il en a l’aire, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, il ne faut pas confondre entre tourisme commercial et tourisme
culturel et naturel. Même si on retrouve les mêmes chaines d’hôtels et les
mêmes enseignes de commerces dans différents pays, la culture et les paysages
diffèrent d’un pays à un autre et c’est ce qui les rends uniques. D’ailleurs, je
cherche toujours à découvrir les traditions et les paysages des pays que je visite,
car je trouve que c’est ce qui fait leur âme.
Outre cela, l’avènement d’une nouvelle culture de tourisme. Le tourisme pour
cause, ce type de tourisme est tributaire d’une cause précise. Une grande
majorité de personnes voyagent afin d’accomplir un devoir, souvent dicté par
une cause écologique, économique ou religieuse. A preuve, le brésil est visité
chaque année par des milliers de VERT, ce sont des écologistes qui se déplacent
pour lutter contre la déforestation de l’Amazone.
Enfin, l’expérience humaine qu’on pourrait vivre en séjournant dans un pays est
unique. Les rencontres inopinées font que l’escapade ait un charme spécial et
surtout des souvenirs immortels. Une étude récente affirme que plus de 50% des
touristes qui visitent un pays dont ils sont tombés amoureux, décident de s’y
installer
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les points qui
font que chaque pays soit complètement différent d’un autre. Toujours fidèle à
votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus
distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les enfants apprennent plus sur internet qu’à
l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que
les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui
alimente encore de nombreux débats.
L’évolution technologique a fait en sorte que les enfants aient un accès
instantané à l’information, ce qui se répercute positivement sur leurs résultats
scolaires. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que les
résultats des élèves en science naturelle ont augmentés de 35% depuis
l’avènement d’internet. Cependant je pense que l’enseignement via internet n’est
pas adapté à leur âge, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, contrairement à l’école qui est un milieu adéquat au
développement de l’enfant, le monde d’internet peut être très dangereux pour
nos petits. Cette boite noire contient pleins de bonnes et de mauvaises
informations ; or un enfant n’est pas en mesure de trier ce tas d’informations,
risquant ainsi de consulter des contenus non adaptés à son âge. D’ailleurs les
statistiques ont montré que cette technologie a accentué le taux de délinquance
juvénile.
Outre cela, l’apprentissage via internet pourrait être inefficace. Les enfants sont
beaucoup trop jeunes pour avoir le sens de responsabilité et d’autodiscipline, ils
pourraient perdre leur temps à surfer sur les réseaux sociaux au lieu de
s’appliquer sur leurs cours. De par mon expérience personnelle autant que
maman de deux enfants, lors du dernier confinement mes enfants avaient
beaucoup de mal à se concentrer sur leurs cours via internet.
Enfin, l’internet a un effet désastreux sur le cerveau de nos enfants. L’exposition
prolongée des écoliers aux écrans pourrait leur causer des problèmes
d’insomnies et d’isolement social pouvant mener à l’échec scolaire. Les
pédopsychiatres affirment que l’exposition prolongée des enfants aux écrans a
un effet à court et à long terme sur leur comportement.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laisse perplexe quant à
l’enseignement via internet. Je suis convaincue que les méthodes
d’apprentissage traditionnelles sont mieux adaptées à nos petits, et je ne peux
que les applaudir. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression
de mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « une ville moderne ou les boutiques ne ferment pas »
paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les
réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente
encore de nombreux débats.
De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des
villes qui ne dort pas. Cette nouvelle mode constitue un excellent investissement
touristique. D’ailleurs les villes telles Tokyo et New York font partie des villes
les plus visités dans le monde. Cependant, je pense que la question doit être
traitée autrement en raison des circonstances actuelles, et je vous résume mon
opinion à travers ces trois arguments.
Tout d’abord, L’avènement du e-commerce concurrence fortement les magasins.
Cette nouvelle technologie propose l’achat à tout moment par un simple clic
avec une livraison inclus. L’office national des statistiques affirme que le taux
de conversion du commerce traditionnel au e-commerce ne cesse de croitre.
Outre cela, notre conjoncture actuelle ne nous permet pas d’accentuer la
consommation des énergies fossiles. Une ville qui ne dort pas est une ville qui
consomme deux fois voire trois fois plus d’électricité qu’une ville ordinaire. Or
nous luttons actuellement à réduire le plus possible l’empreinte carbone de nos
métropoles. A preuve, Tokyo ne cesse de construire des centrales électriques
pour maintenir l’équilibre des commerces nocturnes au détriment de la
préservation des écosystèmes.
Enfin, faire travailler les employés la nuit contribue fortement à l’expansion du
phénomène de désocialisation. Plusieurs familles souffrent du mode de vie que
nous empruntons, le surmenage et l’hyperactivité ont fait en sorte que les
familles soient moins disponibles pour leurs enfants. Les pédopsychiatres
affirment que plus de 50% des enfants qui présentent des troubles psychiques,
souffrent de l’absence permanente de leurs parents.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe
quant à l’ouverture permanente des magasins. Je suis convaincue qu’il serait
plus judicieux d’investir dans le domaine écologique afin de préserver notre
planète. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « l’intérêt de la sieste au travail » paru à la une de
votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et vis mitigés
d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais
apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet d’actualité qui alimente
encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur
l’importance d’une sieste pour les employés. Pour certains lecteurs, le rythme
actuel imposé par la plupart des entreprises ne laisse pas de place pour la sieste.
Cependant, je pense que cette dernière présente plusieurs bienfaits sur les
performances des employés, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, la sieste maintien la confiance employeurs-employés. Elle
démontre aux employés que leur bien-être est important. Ces derniers voudront
rester fidèle, et seront plus productifs car ils savent qu’ils évoluent dans un
environnement sain. A preuve, Nike et Google disposent d’un espace de détente
et accordent une sieste à leurs employés.
Outre cela, la sieste permet de préserver la santé des employés. Elle lutte contre
le stress, les risques cardiaques et la dépression. Il s’agit d’un besoin biologique
contre lequel on ne devrait pas lutter. Dans certains pays comme le Japon et la
Chine, la sieste au travail est un droit qui fait partie de leur constitution.
Enfin, la sieste permet au travailleur d’être plus productifs. Elle améliore la
mémoire, accroit la créativité et augmente la vigilance. Un employé reposé ne
penserait pas à dormir et serait davantage présent pour ses missions. A cet égard,
la Nasa a affirmé qu’une micro sieste permet d’augmenter la concentration et la
production des salariés de 35%.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance
de la sieste au travail. Je suis convaincue que son adaptation jouera en faveur
des entreprises. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de
mes salutations les plus distinguées.