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Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « donner des cours d’informatiques aux plus âgées
n’est plus utile » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier,
ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet
qui alimente de nombreux débats.
Habitués aux lettres et aux romans, les seniors n’ont pas accordé d’intérêt à la
nouvelle technologie. Mes grands-parents trouvent qu’en restant des heures
devant mon ordinateur je passais à côté de ma jeunesse. Cependant, je pense
que les outils informatiques sont en mesure d’assurer un quotidien plus fluide
aux ainées.et je m’appuie sur ce qui suit.
Premièrement, les outils informatiques sont un excellent moyen pour
combattre la solitude. Ils permettent de communiquer avec autrui à n’importe
quel moment, et à n’importe quelle distance en ajoutant une image au son. Les
seniors peuvent ainsi communiquer avec des amies et des proches tout en
ayant l’impression d’être avec eux.
En outre, l’état de santé des plus âgées limite leur habilité aux déplacements.
En les initiant aux outils informatiques on leur permet d’écarter les difficultés.
Ils peuvent effectuer des payements bancaires, ou faire des courses via internet
par un simple clic.
Par ailleurs, les outils informatiques préservent les capacités intellectuelles.
Les tablettes et téléphones portables disposent de logiciels et jeux permettant
d’exercer sa mémoire. A cet égard, une étude menée à l’université de Harvard
stipule que les jeux en ligne constituent un excellent exercice cérébral
permettant de maintenir les capacités cognitives des seniors.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point
de vue quant à l’initiation des seniors aux outils informatiques, je suis
convaincue que l’accès à la technologie est primordial quel que soit l’âge de la
personne. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression
de mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les personnes âgées de plus de 65 ans doivent
repasser le permis de conduire » paru à la une de votre journal le premier
novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs,
m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet
qui alimente de nombreux débats.
De nos jours, les accidents de la route sont responsables de plus de 1,35 million
de décès par ans. Certains lecteurs, pensent que l’insouciance des jeunes est à
l’origine de ce taux élevé de mortalité. Cependant, je trouve que les personnes
âgées sont encore plus dangereuses que les jeunes et doivent être surveillées,
et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, les problèmes de santé chez les seniors se multiplient et se
compliquent. La majorité des personnes âgées soufrent de tension artérielle,
de vertige, et la quasi-totalité voit leur acuité visuelle diminuée, induisant ainsi
des malaises subits au volant. D’ailleurs, dans les pays Scandinaves, une visite
médicale régulière pour les conducteurs de plus de 50 ans a menée à des
résultats positifs sur le terrain
En outre, le vieillissement entraine un manque de vigilance et un
allongement du temps de réaction. En effet, le manque de concentration et la
diminution des réflexes a fait en sorte que la prise de conscience du danger soit
plus lente chez les seniors. Faisant ainsi d’eux un réel danger public. A cet
égard, une étude réalisée par l’assureur AXA affirme que les personnes âgées
sont à l’origine d’un accident mortel sur quatre par ans.
Enfin, imposer aux ainés de repasser le permis de conduire s’avère une décision
importante afin de s’adapter aux nouvelles exigences imposées par la
réglementation routière. Le code de la route a connu des modifications
profondes ces dernières années, ainsi repasser le l’examen de par cette tranche
d’âge est primordial afin d’assurer la sécurité routière. A preuve, en Espagne un
examen est organisé tous les 10 ans pour les conducteurs, comportant des
questions sur les modifications du code de la route
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui viennent appuyer votre
affirmation. Je suis convaincue que nos ainés doivent être surveillés car ils
constituent un réel danger pour eux-mêmes et pour les usagers de la route.
Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « internet nous rend isolé de la société » paru à la une
de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais ici apporter
quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats.
Do nos jours, le problème d’addiction à internet fait souvent la une des
médias. Certains lecteurs pensent qu’en surfant des heures sur le net, on a
tendance à s’isoler, et à mettre de côté la vie privée et sociale. Je trouve que
cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.
Premièrement, c’est un excellent moyen pour combattre la solitude.
Internet permet de communiquer avec autrui à n’importe quel moment et
n’importe quelle distance. Nous rapprochant ainsi davantage de nos proches et
amis. De par mon expérience personnelle, j’arrive à communiquer
régulièrement avec ma meilleure amie qui réside au canada grâce aux réseaux
sociaux.
Par ailleurs, étant la première source d’information. Internet nous permet de
suivre l’actualité mondiale par un simple clic sans avoir à sortir de chez soi. A
preuve, c’est ainsi que tout le monde a suivi l’évolution de la pandémie du
coronavirus tout en étant confiné.
Enfin, il y a des personnes qui souffrent de phobie sociale, autrement dit ils
rencontrent des difficultés à créer de nouvelles relations. Internet leur donne la
possibilité de faire de nouvelles rencontres sans sortir de leur zone de confort.
A cet égard, les dernières études affirment que 80% des personnes ayant ce
problème se sont mariées grâce à internet.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que
contrairement à ce que l’on croit, internet n’est aucunement un moyen
d’isolement, c’est plutôt une fenêtre qui nous permet de s’ouvrir sur le monde.
Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « la lecture des romans est une perte de temps, il vaut
mieux lire les journaux », ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos
lecteurs, m’interpellent vivement, je voudrais ici apporter quelques réflexions à
ce sujet qui alimente de nombreux débats.
Aujourd’hui, le mode de vie actuel a fait en sorte que les romans perdent
leurs lecteurs, ces derniers se sont tournés vers les journaux. Certains lecteurs
estiment que contrairement aux romans, les journaux leur permettent de
s’enrichir sans perdre beaucoup de temps. Je trouve que cette vision est biaisée,
et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, les romans s’adressent à toutes les tranches d’âge, d’un enfant
de 4 ans à un sénior de 90ans. Ils permettent également de développer
l’imagination et la créativité grâce à leur aspect fictif. A preuve, Les
pédopsychiatres conseillent de faire lire les romans aux enfants dès leur jeune
âge afin de développer leur faculté cognitive.
Outre cela, contrairement aux journaux, les romans utilisent un vocabulaire
avancé. Compte tenu de la diversité des romans qui existent (policier,
scientifique, fantastique), Leur lecture nous amène à adopter de nouveaux mots,
de nouvelles expressions. Selon une étude menée par des étudiants à l’université
de Lyon, les lecteurs de romans ont un vocabulaire plus avancé que les autres
lecteurs.
Enfin, la lecture des romans est un excellent antistress. En raison des
journées qu’on endure, nous avons tous besoin d’un petit moment échappatoire,
lire un roman contribue largement à cela. A l’opposé les journaux nous
ramènent toujours à la dure réalité. Selon des chercheurs britanniques, après six
minutes de lecture, nous sommes plongés dans un état d’apaisement avec la
diminution de la tension musculaire et du rythme cardiaque.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la particularité
des romans. Je suis convaincue que les journaux n’arriveront jamais à les
remplacer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants »
paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les
réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente
encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, les relations intergénérationnelles font souvent la une des
journaux. Les parents ont toujours fait preuve d’autorité vis-à-vis de leurs
enfants, ces derniers ne peuvent prendre ni discision, ni franchir un pas sans
avoir leur accord. Avant l’âge adulte un enfant devra impérativement avoir
l’aval de ses parents pour pouvoir voyager. Cependant, je trouve que la société
moderne a fait en sorte que les modes d’éducations changent, et je m’appuie sur
ce qui suit.
Tout d’abord, les jeunes parents veulent éviter les conflits. Motivés par le désir
d’élever leurs enfants de façon respectueuse, ils finissent par leur donner le
contrôle. A preuve, un sondage affirme que 70% des parents demandent au lieu
d’exiger à leurs enfants.
Outre cela, la priorité des parents d’aujourd’hui est que leurs enfants se sentent
respectés, et entendus dès leur jeune âge. L’amour a fait en sorte qu’ils soient
déterminés à ne pas élever leurs enfants comme ils l’ont été. D’ailleurs on donne
désormais le droit aux enfants de piquer une crise afin d’apprendre à gérer leurs
émotions.
Enfin, les chefs de familles ont adopté une nouvelle méthode d’éducation bien
loin de l’autorité de leurs ascendants. L’obéissance totale, autrefois louangée, est
aujourd’hui perçue comme dépassée. Beaucoup de familles encouragent leurs
enfants à exprimer librement leurs pensées. Les pédopsychiatres affirment qu’un
enfant obéissant est de nature à se laisser faire.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de
vue quant à l’évolution des méthodes d’éducations. Toujours fidèle à votre
journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « avec le tourisme tous les pays se ressemblent » paru
à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et
avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je
voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente
encore de nombreux débats.
De nos jours, les agences de voyages proposent des formules standard quel que
soit le pays en question, masquant ainsi les cultures et les traditions qui font la
typicité de ces derniers. A preuve, aujourd’hui voyager en Afrique ou en Europe
demeure presque identique vu la ressemblance des formules proposées.
Cependant, je pense que les points de divergence entre les pays sont plus fort
qu’il en a l’aire, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, il ne faut pas confondre entre tourisme commercial et tourisme
culturel et naturel. Même si on retrouve les mêmes chaines d’hôtels et les
mêmes enseignes de commerces dans différents pays, la culture et les paysages
diffèrent d’un pays à un autre et c’est ce qui les rends uniques. D’ailleurs, je
cherche toujours à découvrir les traditions et les paysages des pays que je visite,
car je trouve que c’est ce qui fait leur âme.
Outre cela, l’avènement d’une nouvelle culture de tourisme. Le tourisme pour
cause, ce type de tourisme est tributaire d’une cause précise. Une grande
majorité de personnes voyagent afin d’accomplir un devoir, souvent dicté par
une cause écologique, économique ou religieuse. A preuve, le brésil est visité
chaque année par des milliers de VERT, ce sont des écologistes qui se déplacent
pour lutter contre la déforestation de l’Amazone.
Enfin, l’expérience humaine qu’on pourrait vivre en séjournant dans un pays est
unique. Les rencontres inopinées font que l’escapade ait un charme spécial et
surtout des souvenirs immortels. Une étude récente affirme que plus de 50% des
touristes qui visitent un pays dont ils sont tombés amoureux, décident de s’y
installer
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les points qui
font que chaque pays soit complètement différent d’un autre. Toujours fidèle à
votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus
distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les enfants apprennent plus sur internet qu’à
l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que
les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui
alimente encore de nombreux débats.
L’évolution technologique a fait en sorte que les enfants aient un accès
instantané à l’information, ce qui se répercute positivement sur leurs résultats
scolaires. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que les
résultats des élèves en science naturelle ont augmentés de 35% depuis
l’avènement d’internet. Cependant je pense que l’enseignement via internet n’est
pas adapté à leur âge, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, contrairement à l’école qui est un milieu adéquat au
développement de l’enfant, le monde d’internet peut être très dangereux pour
nos petits. Cette boite noire contient pleins de bonnes et de mauvaises
informations ; or un enfant n’est pas en mesure de trier ce tas d’informations,
risquant ainsi de consulter des contenus non adaptés à son âge. D’ailleurs les
statistiques ont montré que cette technologie a accentué le taux de délinquance
juvénile.
Outre cela, l’apprentissage via internet pourrait être inefficace. Les enfants sont
beaucoup trop jeunes pour avoir le sens de responsabilité et d’autodiscipline, ils
pourraient perdre leur temps à surfer sur les réseaux sociaux au lieu de
s’appliquer sur leurs cours. De par mon expérience personnelle autant que
maman de deux enfants, lors du dernier confinement mes enfants avaient
beaucoup de mal à se concentrer sur leurs cours via internet.
Enfin, l’internet a un effet désastreux sur le cerveau de nos enfants. L’exposition
prolongée des écoliers aux écrans pourrait leur causer des problèmes
d’insomnies et d’isolement social pouvant mener à l’échec scolaire. Les
pédopsychiatres affirment que l’exposition prolongée des enfants aux écrans a
un effet à court et à long terme sur leur comportement.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laisse perplexe quant à
l’enseignement via internet. Je suis convaincue que les méthodes
d’apprentissage traditionnelles sont mieux adaptées à nos petits, et je ne peux
que les applaudir. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression
de mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « une ville moderne ou les boutiques ne ferment pas »
paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les
réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente
encore de nombreux débats.
De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des
villes qui ne dort pas. Cette nouvelle mode constitue un excellent investissement
touristique. D’ailleurs les villes telles Tokyo et New York font partie des villes
les plus visités dans le monde. Cependant, je pense que la question doit être
traitée autrement en raison des circonstances actuelles, et je vous résume mon
opinion à travers ces trois arguments.
Tout d’abord, L’avènement du e-commerce concurrence fortement les magasins.
Cette nouvelle technologie propose l’achat à tout moment par un simple clic
avec une livraison inclus. L’office national des statistiques affirme que le taux
de conversion du commerce traditionnel au e-commerce ne cesse de croitre.
Outre cela, notre conjoncture actuelle ne nous permet pas d’accentuer la
consommation des énergies fossiles. Une ville qui ne dort pas est une ville qui
consomme deux fois voire trois fois plus d’électricité qu’une ville ordinaire. Or
nous luttons actuellement à réduire le plus possible l’empreinte carbone de nos
métropoles. A preuve, Tokyo ne cesse de construire des centrales électriques
pour maintenir l’équilibre des commerces nocturnes au détriment de la
préservation des écosystèmes.
Enfin, faire travailler les employés la nuit contribue fortement à l’expansion du
phénomène de désocialisation. Plusieurs familles souffrent du mode de vie que
nous empruntons, le surmenage et l’hyperactivité ont fait en sorte que les
familles soient moins disponibles pour leurs enfants. Les pédopsychiatres
affirment que plus de 50% des enfants qui présentent des troubles psychiques,
souffrent de l’absence permanente de leurs parents.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe
quant à l’ouverture permanente des magasins. Je suis convaincue qu’il serait
plus judicieux d’investir dans le domaine écologique afin de préserver notre
planète. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « l’intérêt de la sieste au travail » paru à la une de
votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et vis mitigés
d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais
apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet d’actualité qui alimente
encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur
l’importance d’une sieste pour les employés. Pour certains lecteurs, le rythme
actuel imposé par la plupart des entreprises ne laisse pas de place pour la sieste.
Cependant, je pense que cette dernière présente plusieurs bienfaits sur les
performances des employés, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, la sieste maintien la confiance employeurs-employés. Elle
démontre aux employés que leur bien-être est important. Ces derniers voudront
rester fidèle, et seront plus productifs car ils savent qu’ils évoluent dans un
environnement sain. A preuve, Nike et Google disposent d’un espace de détente
et accordent une sieste à leurs employés.
Outre cela, la sieste permet de préserver la santé des employés. Elle lutte contre
le stress, les risques cardiaques et la dépression. Il s’agit d’un besoin biologique
contre lequel on ne devrait pas lutter. Dans certains pays comme le Japon et la
Chine, la sieste au travail est un droit qui fait partie de leur constitution.
Enfin, la sieste permet au travailleur d’être plus productifs. Elle améliore la
mémoire, accroit la créativité et augmente la vigilance. Un employé reposé ne
penserait pas à dormir et serait davantage présent pour ses missions. A cet égard,
la Nasa a affirmé qu’une micro sieste permet d’augmenter la concentration et la
production des salariés de 35%.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance
de la sieste au travail. Je suis convaincue que son adaptation jouera en faveur
des entreprises. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de
mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef


Votre long article intitulé « internet, mail, réseaux sociaux, le mélange entre vie
privée et vie professionnelles est inévitable » paru à la une de votre journal le
premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici
quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
De nos jours, nous avons tendance à confondre entre vie privée et vie
professionnelle. L’essor des technologies a fait en sorte que la frontière entre les
deux sphères s’estompe. Cependant, je pense qu’une bonne organisation permet
d’éviter ce phénomène, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, la multitude des outils technologiques permet de différencier entre
le professionnel et le personnel. En effet, on trouve sur le web des plateformes
dédiées par contenus permettant d’écarter la confusion entre les deux sphères.
Facebook pour l’aspect personnel et Viadeo pour le professionnel.
Outre cela, une bonne organisation au quotidien permet d’assurer un équilibre
entre les deux sphères. Il suffit d’adopter des pratiques simples afin d’être
efficace au travail la journée et libre de tout engagement le soir. Ne pas gaspiller
son temps à surfer sur les réseaux sociaux la journée permet de clôturer ses
tâches et être libre en soirée par exemple.
Enfin, il revient à chacun de nous de garder une partie de sa vie privée et
professionnelle en dehors de la sphère numérique. Cela évitera une complexité
de gestion, et permettra de protéger nos proches, amis, collègues et nous même
de toute intrusion extérieure. A preuve, l’hygiène numérique est adoptée par une
grande majorité de Quesquois.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les pratiques à
adopter afin d’éviter toute confusion. Toujours fidèle à votre journal, veuillez
accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « avec l’ordinateur on n’a pas besoin d’apprendre
l’écriture à la main aux enfants » paru à la une de votre journal le premier
novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de
vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques
réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
De nos jours, l’écriture à la main disparait au profil des nouvelles technologie.
Certains individus pensent qu’il faut la bannir de nos écoles afin d’initier nos
enfants à la dactylographie. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie
sur ce qui suit.
Tout d’abord, l’écriture à la main offre plus de liberté et permet de s’approprier
le contenu. Elle incite à faire un effort de synthèse puisque l’on ne peut pas tout
noter, ce qui représente la première étape dans le processus d’apprentissage. Les
pédopsychiatres affirment que l’écriture à la main permet d’organiser sa pensée
de manière plus efficace que la dactylographie.
Outre cela, ne pas apprendre l’écriture à la main aux enfants c’est ouvrir la porte
à une extinction du savoir. En effet, l’évolution de l’histoire est basée sur
l’écriture, il s’agit de la plus importante invention de l’humanité. Elle a permis
de transmettre le savoir de génération en génération. D’ailleurs, en archéologie
nous devons faire appel à des spécialistes afin de déchiffrer des manuscrits
anciens.
Enfin, l’écriture manuscrite est un exercice cérébral de tous les jours. Elle active
des fonctions cérébrales telle la langue, la pensée et la mémorisation. Alors, si
on apprend plus l’écriture à la main aux enfants, on appauvrit leur apprentissage.
A cet égard, une étude menée par des neurologues à l’université de Toulouse
affirme que l’écriture à la main facilite la mémorisation.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les vertus de
l’écriture manuscrite et son impact sur le processus d’apprentissage. Toujours
fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus
distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « l’internet met en danger l’avenir du livre » paru à la
une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis
mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais
apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de
nombreux débats.
De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur
l’avenir du livre dans notre société hyperactive. Certains individus pensent qu’il
est préférable d’adopter les livres numériques à la place des livres en papier. Je
pense que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, contrairement aux livres numériques, les livres en papier ne sont
tributaire d’aucun facteur. En effet, pour consulter un livre sur internet on a
besoin de réseau et d’énergie avec le risque de se retrouver avec une batterie à
plat. De par mon expérience personnelle, lors de mes voyages je préfère
largement prendre un livre en papier, le tenir et le feuilleter à tout moment.
Outre cela, la lecture numérique a des effets néfastes sur la santé des lecteurs. La
lecture prolongée sur un écran a pour conséquence une fatigue oculaire et des
migraines. D’ailleurs la majorité des ophtalmologues recommandent des livres
papier à leurs patients.
Enfin, contrairement aux livres, la fiabilité des informations disponible sur
internet n’est pas garantie. Le contenu disponible sur le web n’est pas soumis à
un contrôle. Ainsi on risque d’être induit en erreur. A preuve, la mélatonine qui
est un médicament toxique à forte dose, est présentée comme l’hormone miracle
du sommeil sur internet.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance
des livres. Je suis convaincue que ces derniers ne pourront jamais être
remplacés. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « on devrait réintroduire les véhicules à traction
animale » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que
les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente
encore de nombreux débats.
De nos jours, nous luttons afin de réduire le plus possible l’empreinte carbone de
nos métropoles. Certains individus pensent que la solution serait de limiter le
taux des gaz à effet de serre émis par le transport, en réintroduisant les véhicules
à traction animale. Je trouve que plusieurs autres paramètres doivent être pris en
considération, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, réintroduire les véhicules à traction, c’est passer un trait sur tous
les progrès effectués ces dernières décennies. En effet, plus une nation possède
une plateforme logistique performante et des moyens de transports performants,
plus son économie gagne en puissance. Ainsi, les entreprises et les usines
risquent de mettre la clef sous la porte à cause des retards de livraisons des biens
par exemple.
Outre cela, adopter ce moyen de transport aura certainement un impact sur la
société. Suite aux problèmes économiques engendrés par ce changement le taux
de licenciement va doubler voire tripler, induisant ainsi une insuffisance de
revenus et une régression du pouvoir d’achat. Par conséquent, l’adoption de ce
changement aggravera les phénomènes sociaux tels la mendicité et la précarité.
Enfin, l’impact sanitaire est considérable. Nos villes et nos rues ne sont pas
équipées afin de subir ce changement, car cela implique une certaine
organisation pour éviter une crise sanitaire. Il faudra penser à nourrir la bête,
gérer ses excréments et mettre en place des étables. Dans l’absence des moyens
d’adaptations nous risquons de se retrouver avec des déchets animaliers partout.
Ainsi nous risquons d’être plongés rapidement dans une crise sanitaire
semblable à c’elle du Covid19.
Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui me laisse perplexe quant à
l’introduction de ces véhicules dans nos villes. Je suis convaincue que cela ne va
servir que pour des activités loisirs. Toujours fidèle à votre journal, veuillez
accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef,


Votre long article intitulé « la vidéosurveillance n’éradique pas la criminalité »
paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les
réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui
alimente encore de nombreux débats.
Présente partout, la vidéosurveillance est de pratique courante de nos jours. Il est
vrai que la caméra dans les lieux public est un moyen sur et bien éprouvé de
contrôler Les petits délits. Plus de 30 agresseurs ont été arrêtés grâce aux
caméras de surveillances l’année dernière à Lyon. Cependant, je pense que son
efficacité reste discutable, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, le manque de vigilance dans la vérification des caméras de
surveillances. En passant des heures à analyser les caméras, les agents ont
tendance à lâcher prise. A preuve, le bilan dressé par la police de Paris l’année
dernière affirme que sur 2000 actes de délinquances il n’ya eu que 200
arrestations grâce à la vidéosurveillance.
Outre cela, on souligne la mauvaise qualité des caméras de surveillance. En
effet, sur quatre caméras, trois ne disposent pas de zoom, compliquant ainsi le
processus d’identification. D’ailleurs, l’identification des plaques
d’immatriculation des délinquants en fuite demeure impossible.
Enfin, avec l’avènement de la vidéosurveillance il y’a eu un effet de
déplacement de la criminalité. La présence de caméras de surveillances dans les
rues ne diminue pas la délinquance et les autres formes de criminalités, elles les
déplacent seulement vers les zones non surveillées. A cet égard, une étude
menée par l’office national des statistiques démontre que le taux de criminalité a
baissé de 2% dans les zones surveillées, contre une augmentation de 9% dans les
zones non surveillées.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à
l’égard de cet objet œil espion, tout bien considéré, je suis convaincue qu’il n’est
pas le bon procédé pour éradiquer la criminalité. Toujours fidèle à votre journal,
veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef


Votre long article intitulé « aujourd’hui dans le domaine sportif c’est l’argent
qui est le maitre » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier,
ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs,
m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de la
noblesse du sport. Ce domaine véhicule plusieurs valeurs telles la tolérance,
l’honnêteté, l’honneur et le courage. Cependant, je pense que le sport occulte
une autre face cachée qui mérite d’être soulignée, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, des sommes exorbitantes sont déboursées pour le recrutement des
sportifs. En effet, les clubs de football n’hésitent pas à débourser des montants
colossaux, avoisinant parfois les réserves de change de tout un pays. Comme en
témoigne le fameux transfert du joueur brésilien Neymar pour le Paris-Saint-
Germain.
Outre cela, les agents sportifs n’hésitent pas à transformer leurs joueurs en
produits marketing. Les marques exploitent les athlètes sportifs qui deviennent
des stars sur la scène publique afin de générer d’importantes retombées
financières. David Beckham par exemple, compte à son compte
d’indénombrables compagnes publicitaires ainsi que des galas et une marque de
vêtement à son nom.
Enfin, le point le plus important est la corruption dans le domaine sportif qui
prive le sport de ses valeurs d’éthiques. Effectivement, les médias font souvent
la une sur des affaires de matchs truqués et de malversations dans des tournois.
Les enquêtes de la fédération intestinale football par exemple font souvent le
point sur des affaires de corruption.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur des
changements que ce domaine a subi. Je suis convaincue que le domaine sportif
doit être encadré au plus vite au risque de le voir dépourvu de toute ses valeurs.
Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes salutations
les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef


Votre article intitulé « l’anglais menace les autres langues et cultures » paru à la
une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici
quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur
l’impact de l’anglais sur les langues nationales. En s’imposant en langue
universelle, il détruit la diversité culturelle. A preuve, nous avons des chinois
avec des noms anglais, qui ne savent même plus parler le cantonais. Cependant,
je pense que l’anglais n’est pas en mesure d’effacer les langues et les cultures, et
je m’appuis sur ce qui suit.
Tout d’abord, il ne faut pas confondre universalité et capacité à communiquer.
L’anglais est la langue la plus utilisée dans le monde des affaires, notamment
dans le commerce international, mais pour pouvoir communiquer aisément avec
les gens il faut maitriser d’autres langues que l’anglais. Demander son chemin
dans un village en Espagne par exemple peut être compliqué si on ne parle que
anglais.
Outre cela, la langue n’est pas le seul véhicule des cultures, il existe également
les dialectes. Même si l’anglais est enseigné au même titre que la langue
nationale dans de nombreux pays, et peut avoir une certaine influence sur leur
culture, cette dernière est largement diffusée à travers les dialectes. C’est le cas
de ma culture amazigh qui a été transmise de génération en génération à travers
le dialecte kabyle.
Enfin, l’expansion de plus en plus importante d’autres langues. L’anglais figure
à la deuxième place des langues les plus parlées dans le monde, mais il est
talonné de près par plusieurs grandes langues tel l’arabe, l’espagnole et le
français. Selon l’office national des statistiques, le nombre de personnes
maitrisant une autre langue que l’anglais autant que deuxième langue a
significativement augmenté ces deux dernières années.
En somme, c’est pour toutes ces raisons, que je persiste à croire que malgré son
universalité, l’anglais n’a pas réussi à effacer les autres langues et encore moins
les cultures. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de
mes salutations les plus distinguées.
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « il est inutile de connaitre une autre langue que
l’anglais » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que
les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je
voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet d’actualité qui
alimente encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias sur la prédominance de
l’anglais dans le monde. Par son universalité, cette langue a réussi à s’imposer
dans tous les domaines. Cependant, je pense que ne pas se limiter à l’anglais et
parler plusieurs langues permettra d’améliorer notre potentiel, et je m’appuie sur
ce qui suit.
Tout d’abord, le plurilinguisme constitue la clef de la réussite professionnelle.
Le critère linguistique fait la différence entre deux candidats dans tous les
domaines. Parler plusieurs langues permet de garantir une belle carrière
professionnelle. Lors des recrutements des multinationales par exemple, les
polyglottes sont favorisés par rapport aux anglophones.
Outre cela, apprendre les langues étrangères est le meilleur moyen de se cultiver
et s’enrichir. En effet comprendre plusieurs langues nous donne accès à des
cultures que nous n’aurions pas pu comprendre sans traduction, telles la music et
la littérature.
Enfin, être polyglotte permet de garder le cerveau agile et rapide. Il s’agit d’un
exercice cérébral de tous les jours permettant de modifier la structure du cerveau
afin de le rendre plus efficace. A cet égard une étude récente réalisée à
l’université de médecine à Lyon affirme que parler plusieurs langues permet de
lutter contre l’Alzheimer.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance
du plurilinguisme. Je suis convaincue qu’il ne faut surtout pas se limiter à
l’anglais afin de se démarquer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter
l’expression de mes salutations les plus distinguées.

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