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Acheter des vêtements neufs est un geste irresponsable.

(241 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écrits aujourd’hui en réaction à votre article paru le
15 Juin 2021 sur l’irresponsabilité perçue dans l’achat de vêtements neufs. Permettez-moi de
vous faire part de mon point de vue.

Certes, l’achat de vêtements neufs constitue un frein réel à la lutte contre certaines
pratiques néfastes perpétuées par les industriels. Toutefois, il a un impact positif sur l’aspect
culturel, médical et psychologique.

De fait, si l’utilisation de vieux vêtements permet d’avoir une attitude plus responsable, elle
risque de priver certains de leur liberté de choix. On pourrait par exemple difficilement
distinguer un bourgeois d’un ouvrier si tous les deux n’ont pour option vestimentaire que
des vêtements de seconde main.
En outre, un certain nombre de problèmes dermatologiques proviendraient des textiles
infectés. Selon une étude effectuée en 2010 par le centre WECARE, 80% des patients
présentant des problèmes de peau auraient avoué ne porter que de vieux vêtements.
Enfin, l’achat du neuf représente un facteur majeur dans le développement de l’estime de
soi. D’après des chercheurs, l’acquisition du neuf serait une thérapie efficace pour se sentir
heureux et lutter contre le stress et la tristesse.
C’est pourquoi je pense qu’il n’est pas irresponsable d’acheter de vêtements neufs, au
contraire, grâce au neuf, on peut s’épanouir et s’affirmer dans tous les domaines.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Avec internet, il n’existe plus de vie privée
(285 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, c’est avec un brin de satisfaction que j’ai lu votre article paru dans
l’édition du samedi 20 Novembre 2021 de votre journal, sur la disparition de notre vie privée avec
internet. J’aimerais vous apporter mon point de vue qui rejoins le vôtre et ce, pour trois raisons.

Tout d’abord, l’accès à internet est conditionné par le partage de nos données personnelles. La
plupart des sites nous imposent en effet de révéler notre identité mais aussi nos préférences afin
d’enrichir leur base de données. Ainsi, il n’est plus inhabituel de naviguer sur un site dont le contenu
semble être expressément adapté à nos goûts, à nos choix.

Ensuite, les réseaux sociaux qui représentent le plus grand trafic de la toile ont en politique le
partage d’émotions, d’expérience de vie, du quotidien, de localisation. Les plateformes comme
Instagram et Facebook sont des références dans le domaine et grâce à elles, un inconnu pourrait à
n’importe quel moment entrer dans notre vie et y recueillir le maximum d’informations sur nous.

Enfin, avec l’avènement du télétravail, de plus en plus de pratiques professionnelles se sont


répandues sur internet. Nous avons en conséquence perdu l’exclusivité de notre vie privée à cause
des interviews et des sessions de travail qui se passent à distance et laissent entrevoir notre
environnement personnel. C’est le cas notamment avec les outils tels que Zoom, WhatsApp et Skype.

C’est pourquoi je soutiens que notre vie privée n’existe plus avec internet. Cependant, des mesures
de restrictions et de sélection responsable de contenu, pourraient permettre de limiter cette
invasion.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Ceux qui voyagent contribuent mieux au développement du monde
(247 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru le
mardi 26 Octobre, dans lequel vous affirmez que ceux qui voyagent contribuent mieux au
développement du monde. Je partage complètement votre avis compte tenu des impacts
sur les plans social, culturel et économique.
Tout d’abord, les voyages permettent non seulement d’apprendre, de découvrir mais aussi
d’acquérir une certaine ouverture esprit. Ces opportunités déclenchent la plupart du temps
un déclic chez de nombreux voyageurs, qui en retour, s’investissent plus pour améliorer soit
leurs communautés, soit les communautés qui les accueillent. On assiste à des interactions,
cohabitation et partages plus harmonieux et plus respectueux.
Ensuite, la venue des voyageurs met en lumière les différents trésors identitaires d’un pays
et encourage sa préservation et son entretien. Cet élan a notamment inspiré des initiatives
telles que celle de l’UNESCO, qui regroupe des patrimoines et fait des différents pays qui les
abritent des références touristiques incontournables.
Enfin, les apports financiers générés par les voyageurs ne se comptent plus. Des formalités
de voyages aux séjours, toute la chaîne touristique est stimulée grâce à eux. Les 10%
d’emplois qui découlent des activités touristiques participent à la résorption du chômage et
à la réduction de la pauvreté.
C’est pourquoi je soutiens que les voyageurs participent mieux au développement du monde
en impactant positivement différents domaines de vie.
J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Il faudrait interdire la TV aux enfants de moins de 10 ans
(262 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru le
vendredi 22 Octobre, dans lequel vous évoquez que la télévision devrait être interdite aux
enfants de moins de dix ans. Permettez-moi de vous faire part de mon avis qui s’oppose au
vôtre pour trois raisons.
Tout d’abord, la télévision est un outil pédagogique. Elle transmet aux enfants dès le plus
jeune âge, des connaissances sur des notions élémentaires. Des chaînes comme Ludikids,
Piwi+ sont conçues pour les touts petits et proposent des programmes à partir desquels les
enfants apprennent l’alphabet, les chiffres pour ne citer que ceux-là.
D’ailleurs, la télévision permet aux touts petits de façonner leur perception du monde. Avant
de pouvoir être au contact du monde extérieur, ils peuvent acquérir des réflexes utiles dans
la vie en société. Selon une étude réalisée par l’organisation Wecare, les enfants de moins
de dix ans sont plus sociables que les adolescents grâce aux quelques heures qu’ils passent
devant la télévision.
Enfin, la télévision permet le développement personnel des tous petits en boostant leur
estime. A travers des programmes interactifs comme Dora l’exploratrice ou Oui-Oui, l’enfant
invité à résoudre des énigmes, à trouver des solutions, gagne plus facilement en assurance.

C’est pourquoi je pense que plutôt que priver les enfants de moins de dix ans de la
télévision, il faudrait simplement définir le cadre de leur utilisation afin de n’en tirer que des
avantages.
J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Il faut être végétarien pour être en bonne santé (268 mots)

Monsieur le rédacteur en chef,

Je tiens tout d’abord à vous féliciter pour la pertinence de votre journal. Votre article paru le 01
décembre 2021 sur l’intérêt d’être végétarien pour avoir une bonne santé m’a profondément
choqué. Je ne partage pas du tout votre opinion pour trois raisons.

Premièrement, l’état de l’organisme dépend considérablement de l’hygiène de vie. Le type


d’alimentation qu’on s’impose n’a d’effet que dans la mesure où nos envies et de nos besoins sont
disciplinés. C’est ce que nous confirment les avantages du respect des heures de sommeil, des heures
de repas et même, du bannissement des pratiques comme le grignotage ou les excès de table.

Deuxièmement, l’activité physique est une condition supplémentaire déterminant notre santé. En
plus de prévenir les maladies, elle améliore l’endurance de l’organisme et augmente notre
résistance. D’après une étude britannique, pratiquer du sport permet de vivre jusqu’à 10% plus
longtemps que le reste de la population.

Troisièmement, une alimentation diversifiée est gage de bonne santé. Sans courir le risque de
dérégler notre organisme avec les carences causées par le régime végétarien, on peut plutôt lui
apporter tous les nutriments essentiels grâce à une alimentation généraliste mais saine et équilibrée.
D’ailleurs, l’OMS révèle que l’espérance de vie d’un omnivore est supérieure de 20% par rapport à
celle d’un végétarien.

En définitive, la santé ne s’entretient pas au moyen d’un régime particulier. Son secret réside plutôt
dans une variété d’éléments à associer et il nous revient d’assurer un équilibre de chacun d’entre
eux.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.
Internet menace l’avenir du livre (257 mots)

Monsieur le Rédacteur en Chef,

Lectrice assidue de votre journal, c’est avec un brin d’étonnement que j’ai lu votre article paru le 17
novembre dernier, qui soutient qu’internet menacerait l’avenir du livre. Je ne suis pas de votre avis
pour trois raisons.

D’abord, bien que la toile soit un outil de divertissement et d’information, les livres nous apportent
bien plus en terme de chaleur et d’épanouissement intellectuel. Ils permettent d’améliorer nos
capacités intellectuelles grâce à leur diversité. De multiples études récentes rapportent qu’on
apprend mieux dans les pages d’un livre qu’en visionnant un écran.

Ensuite, ils garantissent des informations authentiques et hiérarchisées. De l’écriture à la


distribution, leur processus d’élaboration constitue un gage de qualité et de fiabilité que ne saurait
nous assurer internet avec l’avalanche d‘informations aux sources inconnues voire douteuses qu’il
nous déverse. Les croyances sur le Javel diffusées sur la toile comparées aux informations issues des
livres d’hygiène avant internet en sont une illustration parfaite.

Enfin, il reste une source de savoir permanente et illimitée. Sans contrainte de coût, ni d’accès, il
demeure le choix de prédilection des plus curieux. Aux USA comme en France, la documentation en
ligne ne dépasse jamais les 20% du taux des livres imprimés offerts, achetés ou empruntés.

C'est pourquoi je soutiens qu’internet ne saurait mettre en péril l’avenir du livre. Plutôt, il nous
revient d’adapter l’usage de ces deux outils à la cible, aux besoins et au contexte visé.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.

L’expérience de la vie vaut mieux que les diplômes (269 mots)


Monsieur le rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, j’ai eu beaucoup de plaisir à lire votre article N°025, paru le 24
novembre 2021 et qui évoque la prépondérance de l’expérience de la vie sur les diplômes. Après
lecture des différentes interventions de lecteurs, j’aimerais à mon tour vous partager mon avis mitigé
sur le sujet.

Certes, le diplôme représente le seul repère que l’on a pour entrer dans le monde du travail. Lorsque
décerné par une école prestigieuse, il aide notamment à intéresser le recruteur sur soi. Cependant, la
difficulté pour certains diplômés d’universités de renom, à trouver du travail, indiquent qu’il existe
des limites à considérer.

En effet, tandis qu’il ne confère qu’une dénomination, l’expérience de vie quant à elle, est plutôt un
gage de compétences et de savoir-faire. Elle est un indicateur du potentiel d’adaptation et un signal
stratégique qui devance le titre. Interrogés sur les critères de recrutement, les employeurs affirment
prioriser les qualités comportementales et transversales sur les diplômes.

Ensuite, grâce au développement des nouvelles technologies, de plus en plus de métiers sont
transformés. Les compétences en vogue actuellement n’exigent pas nécessairement de diplôme.
C’est que nous confirme un rapport du Dares, sur 37 métiers d’avenir dans les domaines scolaire, de
la restauration, du coaching et du paramédical.

En définitive, le fait que l’expérience de la vie vale mieux que les diplômes n’exclut pas néanmoins
leur utilité. Toutefois, il est nécessaire de les adapter au contexte actuel en les rendant plus
pragmatiques que théoriques.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.
La formation à distance n’est qu’une illusion, rien ne remplace les cours en
classe (258 mots)

Monsieur le rédacteur en chef,

Cela faisait longtemps que j’avais lu un article aussi relevant que celui publié dans votre journal du 02
décembre 2021 sur la prééminence des cours réguliers sur les cours par correspondance. Je suis
totalement d’avis avec vous pour trois raisons principales.

D’abord, la rigueur de l’enseignement sur place favorise une discipline personnelle. Elle impose de
s’adapter aux horaires, aux délais et à un cadre de travail minutieusement adaptés à nos objectifs.
Une enquête sur la vie estudiantine révèle que les étudiants qui se déplacent en cours ont des
qualités organisationnelles et un niveau de ponctualité 20 fois plus élevés que les autres.

Ensuite, l’apport social de ce mode d’enseignement est absolument indéniable. Chacune des
interactions qui s’y passent sont naturelles et spontanées et donnent à chacun la possibilité de sortir
de sa bulle et de constamment s’améliorer. D'ailleurs, en comparaison aux étudiants du télé-
enseignement, les adeptes des formations physiques parviennent mieux à réseauter et à s’insérer
professionnellement.

Enfin, la pédagogie sur place est beaucoup plus crédible. L’environnement de travail étant
généralement supervisé, les diplômes sont le résultat d’efforts individuels assidus tandis qu'à
distance, rien ne le garantit. C’est ce que nous souligne les incohérences de niveau relevées dans les
évaluations d’étudiants par correspondance.

Pour conclure, les cours en classe valent mieux que les cours à distance. Toutefois, leur manque de
flexibilité font partie des limites qui les rendent inappropriées pour certaines catégories de
personnes.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.
La place de la femme dans la société n’a pas évolué
(292 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, c’est avec un brin de consternation que j’ai lu votre article
sur l’évolution de la place de la femme, paru dans l’édition du dimanche 07 Octobre 2021 de
votre journal. J’aimerais vous apporter mon point de vue qui s’oppose au vôtre et ce, pour
trois raisons.

Tout d’abord, dans le plan social, le rôle de la femme a connu plus qu’une évolution. Tandis
qu’elles vivaient autrefois dans l’ombre de leur mari, s’occupant uniquement de la maison et
des enfants, aujourd’hui on assiste à une génération de femmes éduquées, émancipées et
autonomes. Le droit à l’éducation, le droit de vote et le droit au travail sont des avancées
ayant permis à nombreuses de se réaliser en se découvrant de nombreux potentiels.

Ensuite, depuis des décennies, les femmes ne passent plus inaperçues dans le domaine du
sport. Entre les preuves face à l’adversité et les performances physiques hors-paires
enregistrées, les préjugés qui sous-estimaient leur potentiel ont tous disparus avec le temps.
De nombreuses célébrités sportives féminines ont pu s’imposer au-delà de leur catégorie,
dans les sports comme le tennis, l’athlétisme.

Enfin, l’accès à la science continue d’être démystifié pour la gente féminine et a déjà permis
à quelques femmes de se distinguer par leur travail. Le mérite de la progression de la
physique chimie et du développement des machines à rayons X revient à une femme,
d’ailleurs réceptionnaire de deux prix Nobel.

C’est pourquoi je pense que bien qu’étant moins perceptible dans certains domaines que
dans d’autres, l’évolution du rôle de la femme dans la société demeure une évidence qu’on
ne saurait réduire au néant.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Le télétravail ? C’est réservé aux riches. (279 mots)

Monsieur le Rédacteur en Chef,

Lectrice assidue de votre journal, je vous écris aujourd’hui en tant que victime du télétravail, en
réaction à votre article paru le 19 novembre dernier, qui soutient qu’il est réservé aux riches. Je suis
parfaitement de votre avis pour trois raisons.

Premièrement, le télétravail est une option plus adéquate pour les employés dont le travail n’impose
pas vraiment de présence sur le terrain. La plupart d’entre eux sont en effet des hauts cadres, dont
les fonctions pourraient être assurées à distance, ainsi que le révèle les statistiques de Truestat. Il en
est autrement pour les agents de rang moins élevé tels que les réceptionnistes, les agents d'entretien
qui ne peuvent exercer en télétravail.

Ensuite, cette solution a la particularité d’exiger des conditions de travail contraignantes pour les
moins nantis qui occupent souvent des logements modestes ne favorisant pas toujours l'installation
d'un espace de travail. Ce qui n'est le cas des cadres supérieurs qui les intègrent systématiquement
dans leur environnement personnel, comme nous le démontre le standing de leur domicile.

Enfin, le télétravail augmente certaines charges financières. Il impose d’avoir une connexion internet
permanente et de se procurer des équipements bureautiques tandis que les cadres ont des revenus
suffisants pour cela. Un sondage rapporte d'ailleurs qu'aucun d'entre eux n’a une seule fois présenté
de demandes de compensations financières.

Pour conclure, je soutiens que le télétravail n’est adapté qu’aux riches. Toutefois, il serait intéressant
de l’associer à des mesures d‘accompagnements pour le rendre plus accessible et moins astreignant
pour tous.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.
Les jeux d’argent et de hasard devraient être interdits
(282 mots)

Monsieur le Rédacteur,

Lectrice assidue de votre journal, c’est avec un brin de satisfaction que j’ai lu votre article
paru le 10 Novembre dernier, qui soutient que les jeux d’argent et de hasard devraient être
interdits. Je suis parfaitement de votre avis pour trois raisons.

Tout d’abord, les jeux d’argent et de hasard dégradent progressivement la santé mentale et
physique des joueurs. L’exposition prolongée aux écrans que la majorité d’entre eux
favorisent expose à des problèmes de vision, qui s’ajoutent à la sédentarité et aux troubles
de sommeil. Selon des psychologues, la pression du jeu a fait sombrer de nombreux joueurs
dans la dépression et la perte d’estime de soi.

Ensuite, ils deviennent vite une addiction que les joueurs entretiennent au détriment de
leur pouvoir financier. Obnubilés par l’appât du gain, ils finissent dans des spirales infernales
d’endettement pour faire face à leurs obligations financières tout en continuant à miser des
sommes qu'ils n'ont pas. Un rapport de jeu et endettement révèle que 15% joueurs font
l'objet d'une procédure pénale pour abus de confiance ou détournement de fonds.

Enfin, ils déconnectent les joueurs de la réalité, de leur monde. A cause du temps qu’ils y
consacrent, des perturbations relatives à leur ponctualité, assiduité, motivation font chuter
leur performance et détruisent l’ensemble de leur relations : familiale, amicale,
professionnelle. La majorité des joueurs finissent d’ailleurs célibataires ou divorcés et dans
les deux cas, sans emplois.

Pour conclure, les jeux du hasard et d’argent ne méritent pas leur place dans la société et
devraient être remplacés par des jeux plus sains et plus stimulants intellectuellement.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Les robots et la technologie vont tous nous mettre au chômage
(276 mots)

Monsieur le Rédacteur,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris en réaction à votre article paru le jeudi 28
Octobre 2021, dans lequel vous évoquez la crainte que les robots et la technologie nous
mettent tous au chômage. J’aimerai vous apporter mon point de vue qui s’oppose au vôtre
et ce, pour trois raisons.
Premièrement, la survie d’une société repose sur un combiné de plusieurs paramètres
interdépendants. Il existe une complémentarité entre robots et hommes qui les contraindra
toujours à collaborer. C’est ce que nous démontre la chaîne de vie des robots et de la
technologie : création, automatisation, pilotage, maintenance et réparation, ne sauraient se
faire sans assistance humaine.
Deuxièmement, les robots et la technologie ont un champ d’action limité et prédéfini. Leur
but étant en réalité d’améliorer notre quotidien, ils nous sont beaucoup plus utiles dans les
tâches répétitives, chronophages ou à faible valeur ajoutée. En stomatologie, la radio
panoramique, quoique nécessaire dans l’établissement de diagnostic, n’est fiable qu’à 60%.
Elle est forcément complétée par les analyses du médecin.
Troisièmement, les ressources humaines ont la particularité de posséder des qualités
humaines, contrairement aux robots qui ne sauraient travailler en équipe, faire preuve de
discernement, d’adaptation sans avoir été préalablement révisés ou reprogrammés. La
gestion des malades de la COVid-19 nous a révélé l’importance de ces traits de caractères.
C’est pourquoi je pense que les robots et la technologie ne peuvent supplanter nos emplois.
Ils restent tout de même une stimulation pour nos compétences
en sont plutôt une valeur ajoutée, nous offrant un maximum d’efficacité.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Stop aux langues étrangères. Apprenons nos langues maternelles.
(288 mots)

Monsieur le Rédacteur,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris en réaction à votre article paru le vendredi 05
Novembre 2021, dans lequel vous évoquez l’intérêt d’apprendre nos langues maternelles au
détriment des langues étrangères. J’aimerai vous apporter mon point de vue qui s’oppose au
vôtre et ce, pour trois raisons.
Premièrement, sur le plan éducatif, l’apprentissage des langues étrangères implique plus de
défis cognitifs et permet d’acquérir de nouvelles compétences. Le passage d’une langue à
une autre, marqué par des efforts de compréhension de grammaire nouvelle, de règles, de
vocabulaire stimule l’activité cérébrale et accroît notre pouvoir de concentration. Une étude
a utilisé un jeu de mémoire et a révélé que les enfants bilingues de cinq ans réagissaient plus
rapidement et étaient plus précis que les monolingues.
Deuxièmement, sur le plan culturel, les langues étrangères permettent de s’imprégner des
cultures différentes. En acquérant de nouveaux éléments linguistiques, on intègre également
des nouvelles façons de penser et de nouveaux comportements. Des linguistiques ont
démontré que les personnes bilingues présentaient un niveau de tolérance plus élevé que
ceux ne parlant que leur langue maternelle.
Troisièmement, dans le monde du travail, cela permet de se construire une carrière à
l’international. La maîtrise d’une langue étrangère témoigne notre flexibilité, adaptabilité,
désir d’apprendre et de communiquer. Dans les offres d’emplois, 87% des employeurs
privilégient les candidats ayant une maîtrise professionnelle de l’anglais.
C’est pourquoi je pense que les langues étrangères représentent plutôt un atout non
négligeable, nous ouvrons les portes dans plusieurs domaines de ce monde compétitif.
Toutefois, leur apprentissage ne saurait exclure la maîtrise ou la pratique de notre langue
maternelle.
J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Zéro déchets, zéro gaspillage : c’est le moment d’encadrer les
consommateurs.
(250 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lecture de votre journal, je vous écris aujourd'hui en réaction à votre article paru le 15
octobre 2021, dans lequel vous évoquiez l'intérêt d'encadrer le consommateur pour lutter
contre la production de déchets et freiner le gaspillage. Permettez-moi de vous faire part de
mon avis.

Dans une société fortement marquée par la surconsommation, il est important d’adopter
des mesures plus responsables et plus saines pour limiter les risques de production de
déchets. Une des façons de réaliser cet objectif est par exemple d’opter pour des sacs en
tissu et des gants de toilette, en remplacement des sacs jetables et des lingettes pour bébé.

Outre cela, il est nécessaire d’inciter les consommateurs à réparer et bricoler, ce qui leur
permettrait de ne plus participer à la surproduction. Selon un rapport réalisé par l’ADAME,
réparer un appareil défectueux serait plus rentable que d'en racheter un. D'ailleurs, en 2018,
grâce à cette astuce, des ménages ont pu réaliser 80 % d'économie sur leur budget d’achat
d’appareils.

Enfin, chaque ménage pourrait éviter le gaspillage en quantifiant ce qui doit être consommé
mais aussi ce qui doit être acheté. On préférera par exemple les listes de courses établies sur
la base de menu, des rations adaptées à chacun, aux achats impulsifs et compulsifs, aux
proportions excessives servies.

Pour conclure, il est essentiel de sensibiliser le consommateur pour l’amener à consommer


de façon responsable et écologique.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Il faut réintroduire les véhicules à traction animale
(250 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourd'hui en réaction à votre article paru le 20
octobre 2021, dans lequel vous estimez que nous devrons retourner aux véhicules à traction
animale.

Bien que les véhicules à traction animale soient un moyen efficace d’éviter la pollution, je ne
soutiens pas l’idée d’y retourner et ce, pour trois raisons.

Tout d’abord, d’un point de vue économique, les véhicules à traction animale affecteraient
notre rythme de vie en réduisant notre efficacité et notre productivité. La lenteur de ces
moyens de déplacement causerait des retards de livraison aux entreprises et parallèlement, des
pertes financières.

Par ailleurs, d’un point de vue sanitaire, la propreté de nos villes prendra forcément un coup.
Malgré toute sa beauté, l’île des Princes en Turquie n’est plus une destination prisée par les
touristes. Les derniers à l’avoir visité ont été repoussés par l’odeur provenant des déchets
animaux.

Enfin, sur le plan éthique, ces moyens de transport sont en réalité un supplice imposé aux
animaux. Les charges supportées, le traitement qu’ils reçoivent, le milieu de vie imposé
enfreignent leur droit. Selon des archives du 19ième d’une organisation de défense des
animaux, 5000 cas de surexploitation et de maltraitance d’animaux à trait étaient reportés
chaque mois.

Pour terminer, je pense qu’il est inutile de réintroduire les véhicules à traction dans nos
sociétés évoluant à un rythme frénétique.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Il est mauvais pour les enfants de lire les bandes dessinées (259 mots)

Monsieur le rédacteur en chef,

En tant que linguiste, j’ai été profondément choquée de lire votre article paru dans l’édition du 24
novembre de votre journal, et qui déconseille la lecture des bandes dessinées aux enfants. Je
voudrais vous partager les raisons pour lesquelles je ne suis pas de votre avis.

Tout d’abord, les bandes dessinées offrent aux petits, des moments d’évasion dans un langage
adapté et un contexte limité à leur âge. Les associations de couleur, d’images, et de mots leur offrent
un véritable voyage-découverte, fortement teinté d’émotions. D’ailleurs, en matière de loisirs et
devant les jeux vidéo ou la télévision, 40 jeunes sur 60 préfèrent de loin la lecture.

Ensuite, elles représentent une source de développement linguistique. En plus d’enrichir le


vocabulaire, elles renforcent également chez les jeunes les capacités de communication telles que
l’expressivité. D’après une évaluation de professeurs de primaire, 40% des élèves démontrant une
excellente appropriation du vocabulaire sont des lecteurs assidus de bandes dessinées.

Finalement, elles éveillent l’inspiration et la créativité. Les enfants ne se contentent pas uniquement
de lire, mais se plaisent à imaginer des scénarios, à reproduire des dessins ou à modifier des histoires
lues. C’est d’ailleurs à travers ce canal que de nombreux talents artistiques se sont révélés chez des
enfants devenus plus tard bédéistes, calligraphes.

Pour conclure, les bandes dessinées sont indispensables au développement personnel des enfants.
Plutôt que de les interdire, elles devraient être inculquées dans les habitudes quotidiennes.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.
Enseigner la musique et le dessin dans les écoles est une perte de temps.
(250 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru le
dimanche 24 Octobre, dans lequel vous évoquez qu’il est inutile d’enseigner la musique et le
dessin dans les écoles. Permettez-moi de vous faire part de mon avis qui s’oppose au vôtre
pour trois raisons.
Tout d’abord, la musique est réputée adoucir les mœurs. Son importance en milieu scolaire
réside dans sa capacité à tranquilliser, à détendre et à offrir un moment d’évasion aux
élèves. Nombreux d’entre eux ont avoué préférer les cours d’arts de musique aux autres
disciplines pour la flexibilité divertissement qu’ils offrent.

Ensuite, la créativité que permet le dessin en fait une discipline toute aussi importante que
les autres. N’étant pas définie par des codes, ni des formules, le dessin donne libre cours à
l’imagination en permettant à chacun de s’exprimer à sa façon, selon sa réalité. C’est
notamment grâce au dessin que 80% des élèves souffrant de troubles de personnalité ont pu
être identifiés et soignés.

Enfin, compte tenu de leur capacité à réunir, à instaurer une atmosphère conviviale et de
cohésion, l’école gagnerait plus à les enseigner. D’après une enquête sur le milieu scolaire,
les rapports entre élèves se sont considérablement améliorés au cours des séances de
musique et de dessin.

C’est pourquoi je pense que ces deux disciplines artistiques devraient être valorisées en
milieu scolaire.
J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
La vie est trop courte pour réaliser nos rêves (283 mots)

Monsieur le rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, j’ai eu beaucoup de plaisir à lire votre article N°30, paru le 03
décembre 2021 dans lequel vous soutenez que la vie serait trop courte pour réaliser nos rêves. Après
lecture des différentes interventions, j’aimerais à mon tour vous partager mon avis sur le sujet.

En premier lieu, les contraintes financières ralentissent la concrétisation des rêves. En effet, les
ressources financières de nombreuses personnes permettent à peine de couvrir leurs besoins
mensuels. La stabilité financière est atteinte assez tardivement et cela réduit considérablement la
marge de temps nécessaire à l’accomplissement des projets personnels.

Cependant, l’espérance de vie permet de compenser cet inconvénient. Dans les pays où elle est plus
élevée, les gens peuvent travailler environ quarante années et bénéficier des accompagnements
scolaires ou professionnels pour se réaliser. Les prêts bancaires ont par exemple facilité le
financement d’études pour certains, l’acquisition de maisons, de voitures pour d’autres.

Ensuite, le contexte de mondialisation a contribué à l’éveil des mentalités, manifesté par les rythmes
de vie frénétiques. Dès le plus bas âge, les enfants se projettent dans l’avenir et travaillent chaque
jour à découvrir puis révéler leur talent au monde espérant ainsi s’épanouir. D’ailleurs, le classement
des Youtubeurs les plus célèbres nous révèle des vies de rêves vécus autant par des enfants, que par
des adolescents et des adultes.

Pour conclure, nonobstant l’existence de certaines limites, la durée de la vie ne saurait empêcher
l’aboutissement de nos projets. Toutefois, nous devrons être conscients et réactifs aux opportunités
que la vie nous offre et en tirer le maximum.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.
La lecture des romans est une perte de temps. Il faut mieux lire les journaux.
(243 mots)

Monsieur le Rédacteur en chef,

Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru le 19
Octobre 2021, dans lequel vous déclariez qu’il était mieux de lire les journaux car la lecture
des romans constituaient une perte de temps. Permettez-moi de vous faire part de mon avis
qui s’oppose au vôtre pour trois raisons.
En effet, contrairement aux journaux dont le contenu suscite parfois stress et anxiété, les
romans offrent plutôt évasion et relaxation. On peut entrer dans une bulle et se plonger
dans un univers inconnu. Des psychologues ont prouvé que 80% de leurs patients sortaient
des crises d'angoisses déclenchées par les journaux en lisant simplement des romans.
En plus de cela, les romans transmettent des connaissances illimitées dans plusieurs
domaines. On pourrait par exemple en apprendre plus sur l’Afrique noire en lisant le célèbre
roman Nations nègres et culture de Cheikh Anta Diop plutôt qu’un journal.
Enfin, il n’existe pas mieux que la lecture de romans pour étoffer son vocabulaire. La variété
des genres romanesques permet un voyage lexical enrichissant que les journaux ne
sauraient garantir. D’ailleurs, les lauréats des concours de vocabulaire attribuent leur succès
à la lecture régulière de romans.
Pour conclure, la lecture des romans mérite d’être encouragée autant que celle des
journaux, chacun étant à sa façon, une source de croissance personnelle.
J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Donner de l'argent aux adolescents est une mauvaise chose.
(294 mots)

Monsieur le Rédacteur en Chef,

Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les
pages du débat. Lectrice assidue de votre journal, c’est avec un brin de mécontentement
que j’ai lu votre article paru le 29 Octobre dernier, qui soutient que les parents ne devraient
pas donner de l’argent à leur adolescent. Je ne suis pas de votre avis pour trois raisons.
Tout d’abord, sur le plan psychologique, un adolescent qui reçoit de l’argent se sent valorisé
par ses parents. En lui offrant la possibilité du choix, de la fréquence et de la nature de ses
achats, on lui accorde une marge de liberté qui booste sa confiance. Les adolescents qui
reçoivent de l’argent de poche s’estiment tous autonomes.
Ensuite, sur le plan social, l’argent impose aux adolescents une attitude responsable face
aux dépenses et une certaine discipline de leurs besoins. En gérant leur achat seuls, ils en
apprennent plus sur la valeur de chaque chose et parallèlement sur les efforts à fournir pour
se procurer ce dont ils ont besoin. On peut constater comment dans les rayons de
supermarché, les adolescents sélectionnent plus minutieusement leurs achats, de façon à
prioriser leurs besoins sur leur envies.
Enfin, sur le plan financier, l’argent permet aux adolescents d’acquérir des compétences
financières indispensables à leur vie d’adulte. Ainsi, grâce à cet argent, l’adolescent apprend
non seulement à budgétiser mais aussi à épargner. Interrogés sur l’acquisition des derniers
gadgets électroniques à la mode, 90% des adolescents reconnaissent avoir épargné
longtemps pour se les offrir.

C'est pourquoi je pense qu'il est nécessaire que les adolescents reçoivent de l'argent pour
être mieux préparés à affronter leur vie adulte.
J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Avec internet, l’avenir du livre est menacé
(282 mots)

Monsieur le Rédacteur en Chef,

Lectrice assidue de votre journal, c’est avec un brin d’étonnement que j’ai lu votre article
paru le 17 novembre dernier, qui soutient qu’internet menacerait l’avenir du livre. Je ne suis
pas de votre avis pour trois raisons.

D’abord, contrairement à internet qui, de par son contenu vaste et vague est à la fois un
outil de divertissement et d’information, on ne trouve dans les livres que de la chaleur et de
l’épanouissement intellectuel. Les livres permettent d’améliorer nos capacités cérébrales. De
multiples études récentes rapportent qu’on apprend mieux dans les pages d’un livre qu’en
visionnant un écran.

Ensuite, les livres nous garantissent des informations authentiques et hiérarchisées. De


l’écriture à la distribution en passant par des validations, le processus d’élaboration d’un
livre constitue un gage de qualité que ne saurait nous assurer internet avec l’avalanche
d‘information qu’il nous déverse. Les croyances sur le Javel diffusées sur la toile comparées
aux informations issues des livres d’hygiène avant internet en sont une illustration parfaite.

Enfin, le livre reste une source de savoir permanente et illimitée. Sans contrainte de coût, ni
d’accès comme c’est le cas avec internet, le livre demeure le choix de prédilection des plus
curieux. Aux USA comme en France, la documentation en ligne ne dépasse jamais les 20% du
taux des livres imprimés offerts, achetés ou empruntés.

C'est pourquoi je soutiens qu’internet ne saurait mettre en péril l’avenir du livre. Plutôt, les
choix que nous faisons pourraient en être la cause d’où l’importance d’adapter l’usage de
ces deux outils aux besoins, à la cible et au contexte.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre
attention et vous adresse mes cordiales salutations.
Plus besoin de médicaments, les plantes c’est mieux (262 mots)

Monsieur le rédacteur en chef,

Lectrice passionnée de votre journal, c’est avec un brin de mécontentement que j’ai lu votre article
paru le 02 décembre et dans lequel vous soutenez que les plantes valent mieux que les
médicaments. Je ne suis pas de votre avis et aimerais vous partager mes raisons.

D’abord, le savoir des plantes est l’exclusivité d’un groupe restreint. Il est extrêmement difficile pour
un profane d’en connaitre les vertus, encore moins la sphère d’action sur l’organisme. Il en a fallu des
décennies pour que les propriétés de l’Artémisia, plante existant dans de nombreuses pays, soient
connus de tous comme étant efficace dans la lutte contre le palu.

Ensuite, leur acquisition est soumise à de nombreuses contraintes en comparaison aux médicaments.
Certaines ne poussent que dans des climats ou des zones précis, soit difficiles d’accès, soit
géographiquement opposées au lieu de résidence. Le safran fait partie des plantes médicinales les
plus chères compte tenu de sa rareté.

Enfin, leur efficacité est également conditionnée. La conservation des traitements à base de plantes
est limitée aux deux ou trois jours qui suivent leur concoction. C’est ce que nous confirme un rapport
d’ethnopharmacologie, qui souligne d’ailleurs l’importance de bien choisir la forme de la tisane pour
en tirer de meilleurs bénéfices.

Pour conclure, bien que les plantes soient naturelles, elles ne sauraient supplanter les médicaments
compte tenu des détails autour de leur utilisation. Cependant, il existe une complémentarité qui
demeurera toujours entre les deux.

J’espère avoir apporté une contribution fructueuse. Je vous remercie d’avance pour votre attention
et vous adresse mes cordiales salutations.

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