Vous êtes sur la page 1sur 23

Les fruits et légumes frais au secours de l'obésité infantile

Le Sommet mondial des fruits et légumes, organisé du 27 au 30 mai à l'Unesco, et les 28 000
dégustations-animations de la semaine "Fraîch'attitude", qui se dérouleront jusqu'au dimanche 8
juin, propulsent carottes, tomates, fraises et autres courgettes comme armes absolues dans la lutte
contre l'obésité.
Depuis deux ans, les initiatives se multiplient pour faire consommer aux Français les 400
grammes quotidiens minimum de fruits et légumes recommandés par l'Organisation mondiale de
la santé (OMS). Ces aliments, essentiels pour un régime équilibré, sont scientifiquement reconnus
comme bénéfiques pour la santé. Ils limitent la survenue de certaines maladies cardio-vasculaires
et les risques de cancer.
En France, le Plan national nutrition santé (PNNS) recommande depuis plusieurs années d'en
manger cinq portions par jour. Des messages à vocation sanitaire figurent désormais sur les
publicités alimentaires. Et les distributeurs automatiques de snacks et confiseries sont censés
avoir quitté les établissements scolaires. Malheureusement, tout cela semble insuffisant pour
modifier les habitudes alimentaires des 22 millions d'enfants européens en surpoids.
D'autant que les experts s'alarment : 1,3 million d'autres nouveaux petits Européens seront en
surpoids d'ici à deux ans. "On peut faire évoluer les choses à condition de ne pas se reposer sur
le concept du libre marché, il faut une intervention publique", répète Philip James, qui préside
l'International ObesityTask Force de l'OMS.
Bon nombre de pays passent donc à la vitesse supérieure. Soutenus par des filières de production,
qui voient d'un oeil gourmand ces nouveaux débouchés, ils considèrent qu'il est prioritaire de
développer des actions pédagogiques actives. Partout, il s'agit de cibler les enfants "victimes de la
fracture nutritionnelle". Autrement dit, ceux qui n'ont pas accès, pour des raisons culturelles et
financières, aux fruits et légumes frais. L'idée la plus partagée ? Commencer par distribuer
gratuitement ces produits sur les lieux d'activité des enfants.
En Nouvelle-Zélande, une étude sur un groupe de 3 000 enfants a permis de valider le fait que la
distribution gratuite d'un fruit par jour à l'école (coût : 17 centimes d'euro par enfant et par jour),
permettait de développer une prise de conscience et l'appétence pour ce type d'aliment.

Cet article a pour sujet


A. Les problèmes liés à l’excédent de poids chez les jeunes.
B. Les aliments qui provoquent des cancers chez les jeunes.
C. Les politiques sanitaires européennes pour lutter contre le cancer.
D. Les opérations publicitaires pour développer la vente de produits frais.

Les actions successives ont


A. Renforcé les pratiques alimentaires existantes.
B. Créé de nouvelles habitudes alimentaires chez les jeunes.
C. Insisté sur l’importance de la consommation de produits frais.
D. Fait connaitre les préférences alimentaires des jeunes Européens.

La dernière action consiste à


A. Multiplier les campagnes publicitaires dans les écoles.
B. Donner une aide aux parents pour l’achat de produits frais.
C. Analyse les gouts alimentaires des jeunes selon les cultures.
D. Faire déguster gratuitement les fruits et légumes aux écoliers.
Carousel

« Carousel », dont l’histoire se situe sur la côte Est des Etats-Unis en 1873, raconte l’histoire
d’amour de Billy, aboyeur sur le manège d'une fête foraine, et Julie, une jeune ouvrière naïve.
Licencié, le jeune homme va se mettre à la battre. Julie est enceinte, alors Billy se met à voler
pour survivre. Arrêté par la police, il se suicide. Quinze ans plus tard, il quitte le purgatoire où il
expiait ses pêchés et revient sur terre le temps d’une journée pour réparer ses erreurs, rencontrer
sa fille Louise et obtenir le pardon de Julie. Un pardon qui lui permettra de rejoindre enfin le
Paradis.

Contrairement aux spectacles produits à l’époque à Broadway, « Carousel » est tout sauf une
amourette. Jusqu’à sa création en 1945, les comédies musicales évoquaient essentiellement la vie
d’une société aisée ou de célébrités. Rodgers et Hammerstein vont mettre la vie des exclus et des
plus pauvres au coeur de leurs histoires. Cette vision sombre de l’Amérique ne remit pas en cause
l’immense succès de « Carousel » qui resta à l'affiche à Broadway durant 890 représentations
(dans sa première version).

Ce spectacle

A. Met en lumière les inégalités sociales.


B. Choque la bourgeoisie lors de sa sortie.
C. Révèle le quotidien des exclus de la société.
D. Dénonce la violence des forces de police.

Cette oeuvre raconte une histoire d’amour

A. Illégale aux yeux des autorités.


B. impossible entre deux êtres opposés.
C. Contrariée par des problèmes sociaux.
D. Condamnée par la société du XIXe siècle.

Cet article présente une oeuvre qui

A. Symbolise la fin du rêve américain.


B. S’insoire d’un célèbre conte populaire.
C. Prend sa source dans un fait divers.
D. Bouscule les codes de la comédie classique
Les Aveyronnais de Paris : du bougnat aux frères Costes

Le tout-Paris aveyronnais était convié par le cuisinier Michel Bras pour la dédicace de son
luxueux livre de recettes (éditions du Rouergue), jeudi 19 décembre, à la Maison de l'Aveyron.
Estimés à quelque 300 000, les membres de cette communauté, qui, de cafés de quartier en
grandes brasseries, constituent la "bistrocratie aveyronnaise" ne manquent pas d'occasion de se
retrouver. Leur légendaire solidarité perdure, ²²²notamment dans les amicales, qui sont d'efficaces
réseaux de relations.

C'est dans les années 1830-1840 que des paysans pauvres, qui parcouraient souvent à pied les 700
kilomètres entre l'Aveyron et Paris, commencent à s'y installer. Ils s'y font porteurs d'eau, hissant
dans les étages des immeubles des seaux de 10 à 15 litres. Plus tard, ils vendent le charbon ;
l'épouse sert à boire aux clients. Dès lors, la vocation de cafetier est née. A mesure que leur
installation se fait plus confortable, les Aveyronnais hébergent un jeune frère, un cousin, qui, plus
tard, prendra à son tour une gérance.

Avant la première guerre mondiale, le système se consolide avec la création, par des
Aveyronnais, des entreprises qui assurent le commerce de gros des boissons. Tout en livrant le
café, la bière et le vin, les familles Tafanel, Richard et Bertrand jouent les rôles de banquier et
d'agent immobilier. Grâce à leurs visites régulières dans les cafés, ils repèrent les garçons
efficaces et peuvent jouer les intermédiaires en cas de cession.

Michel Bras
A. A invité à diner la communauté aveyronnaise chez lui.
B. A écrit un livre sur l’histoire des Aveyronnais de Paris.
C. A signé un ouvrage consacré à la cuisine aveyronnaise.
D. Est chef au restaurant parisien « la maison de l’Aveyron ».

Les Aveyronnais sont connus pour


A. Leur côté dépensier.
B. Leur goût pour l’alcool.
C. Leur sens de l’entraide.
D. Leur mauvais caractère.

La particularité des Aveyronnais qui s’installaient à Paris à la fin du XIXe siècle est
A. Qu’ils ont tous gardé des petits commerces.
B. Que leurs femmes faisaient des travaux de couture.
C. Qu’ils sont entrés dans le même secteur professionnel.
D. Qu’avant d’arriver, ils travaillaient dans les mines de charbon.

Les Aveyronnais apparaissent ici comme


A. Une communauté peu intégrée.
B. Des artisans relativement doués.
C. Un réseau extrêmement organisé.
D. De bons vivants assez paresseux.
Le Royaume-Uni songe à exporter... ses hôpitaux

Dans le cadre d’un ambitieux projet qui sera lancé à l’automne, une sorte de “service de
rencontres”, composé de fonctionnaires du ministère de la Santé et de membres de UK Trade and
Investment (l’agence officielle chargée de la promotion du commerce et des investissements au
Royaume-Uni), sera chargé de mettre en rapport les hôpitaux qui souhaitent se développer à
l’étranger et les Etats étrangers intéressés par les services médicaux britanniques. La mesure
permettrait à des institutions réputées comme Great Ormond Street, Royal Marsden et Guy’s and
St Thomas’ de s’implanter aux quatre coins du monde. Ces hôpitaux publics autonomes seraient
tenus de rapatrier au Royaume-Uni tous les bénéfices réalisés à l’étranger. Les contrées de la
planète jugées essentielles à la réussite du projet comprennent le Golfe persique, où la qualité des
marques médicales britanniques est bien reconnue, ainsi que la Chine, le Brésil, la Libye et
l’Inde. L’hôpital londonien MoorfieldsEye a d’ores et déjà établi une tête de pont à Dubaï, tandis
qu’Imperial gère deux prospères centres spécialisés dans le traitement du diabète à Abou
Dhabi.Un risque de dispersion Mais dans le secteur de la santé, d’aucuns estiment qu’en ces
temps de sévères restrictions financières, le hôpitaux publics ne devraient pas se laisser distraire
de leurs tâches domestique par la recherche d’investissements à l’étranger, qui pourraient se
révéler aussi complexes que risqués. “Le NHS devrait avant tout s’assurer que les soins aux
patients priment sur les profits”, soutient Katherine Murphy, directrice de la Patients Association.
“Alors que le système de santé subit de profonds bouleversements, que les délais d’attente pour
un rendez-vous ne cessent de s’allonger et que les hôpitaux se voient demander de faire 20
milliards de livres d’économies, on va encore se disperser dangereusement avec ce projet.Il est à
espérer que le recrutement, pour le nouveau projet, des médecins formés au Royaume-Uni ne
détournent pas des ressources nécessaires dans le pays.

Un nouvel organisme intergouvernemental, Healthcare UK, servira d’intermédiaire entre les


hôpitaux britanniques visant une croissance à l’international et les gouvernements étrangers dont
les besoins sont décelés par les diplomates britanniques chargés du commerce, en poste dans ces
pays. Le projet est né de la conviction qu’à l’avenir, les habitants du Golfe persique et les riches
citoyens des pays en développement préfèreront se faire soigner sur place plutôt qu’à l’étranger.
De crainte de perdre les précieux revenus procurés par ces patients privés, le hôpitaux public sont
décidé d’agir avant que d’autres groupes privés n’entrent en scène pour combler le vide.

Cet article a pour thème


A. L’implantation d’hôpitaux britanniques à l’étranger.
B. L’exportation du système de santé britannique à l’étranger.
C. Le rachat d’hôpitaux britanniques par des groupes étrangers.
D. Le recrutement par les hôpitaux britanniques de médecins étrangers.

Ce projet anticipe la demande


A. De pays étrangers de rendre leur système de santé plus performant.
B. D’étrangers d’avoir dans leur pays des hôpitaux de qualité britannique.
C. D’étrangers vivant au Royaume-Uni d’être soignés par des compatriotes.
D. De britanniques expatriés d’avoir la même qualité de soins qu’à domicile.

Il aurait l’avantage
A. De répondre aux problèmes de recrutement dans les hôpitaux britanniques.
B. De permettre l’ouverture de nouveaux hôpitaux publics en Grande-Bretagne.
C. De promouvoir le modèle de santé britannique dans certains pays étrangers.
D. D’améliorer la qualité des hôpitaux britanniques grâce à de nouveaux revenus.
Université au-delà des querelles

S’aborder sa langue au nom de la compétition universitaire internationale ?Nombreux sont les


pays qui ont dû se poser la question. En France, l’idée d’introduire des cursus entièrement en
anglais à l’université n’en finit plus de faire des vagues. Elle a beau être la destination des jeunes
gens étudiant à l’étranger, la France voudrait attirer encore, notamment les étudiants des
puissances montantes, prendre toute sa part dans la formation des futures élites mondiales et
assurer le rayonnement du pays quoi que l’objectif final soit commun à tous, on se déchire sur les
moyens à mettre en oeuvre pour l’atteindre face à une réalité que personne ne conteste-la
suprématie de l’anglais dans les échanges internationaux et dans le monde de la recherche en
particulier. Deux visions s’affrontent. S’ouvrir car la connaissance n’est pas une denrée périssable
qui se flétrirait au contact de l’extérieur ou qui s’éteindrait une fois traduite en anglais, ou résister
pour éviter que d’ici qq décennies l’anglais n’ait envahit le quotidien, reléguant ainsi le français
au statut de la langue folklorique parlée par une poignée de ringards. Si d’aucuns pensent que
s’isoler de l’anglais reviendrait à empêcher la jeunes se d’entrer aisément sur la scène
économique internationale ;d’autres inquiètent de la probable dégradation de la qualité des
contenus des cours à cause du niveau en langues parfois insuffisant des enseignants et étudiants
français. Le corollaire, réserver ses cursus en anglais à une poignée de locuteurs bilingues
,reviendrait à crée rune nouvelle élite. Peut être ya t-il d’autres leviers à actionner avant
d’imposer à l’étudiant français lambda un enseignant au rabais ?Citons parmi d’autres, une
meilleure promotion des formations ,un accueil plus structuré, ou encore des coûts moins élevés
,autant de pistes qui restent à explorer.

Le texte traite de
A. L’instauration d’une filière d’élite pour les étudiants étrangers.
B. La création de cours spécifiques pour les étudiants anglophones.
C. L’introduction de l’anglais dans l’ensemble des cursus francophones.
D. La mise en place de cours en anglais dans les universités françaises.

Les enjeux pour la France sont


A. D’encourager la mobilité des étudiants français.
B. De moderniser son image dans les pays émergents.
C. D’accroitre son attractivité dans un secteur concurrentiel.
D. De stimuler les échanges commerciaux avec les pays concernés.

L’auteur redoute
A. La stratégie élitiste sous-jacente à cette future décision.
B. La réaction négative de l’élite universitaire traditionnelle.
C. La mainmise des élites anglophones sur les programmes français.
D. La perte de repères des jeunes au sein d’une université mondialisée.

Il déplore également le fait que


A. La qualité globale des cours soit en chute libre.
B. D’autres voies ne soient toujours pas à l’étude.
C. Les anglophones soient l’objet d’un traitement de faveur.
D. Trop d’étudiants français rechignent à se mettre à l’anglais.
En sortir
Il faut lire le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG). Il faut le lire non
pas tant pour en découvrir les dispositions puisque celles-ci ont déjà fait l’objet d’abondantes
présentations, mais pour être frappé par sa langue. Terrible novlangue où les grands principes des
considérants, supposés apporter à un texte le souffle d’une vision historique, ne sont plus qu’une
écoeurante bouillie, où l’idéologie à peine travestie et présentée comme force d’évidence – « les
parties contractantes tenant compte du fait de la nécessité de maintenir des finances publiques saines
et soutenables » (le fait de la nécessité dont nous sommes bien obligés de tenir compte…) – le dispute
au contentement répugnant – « se félicitant des propositions législatives formulées le 23 novembre
2011 » –, à l’imposition sans fard – « rappelant la nécessité d’inciter et au besoin de contraindre les
Etats membres en déficit excessif » –, ou au mensonge pur et simple, presque rigolard – « désireuses
de favoriser les conditions d’une croissance économique » –, il faut lire ce texte, donc, pour se faire
une idée assez exacte d’où en est la politique en Europe et de ce qu’elle n’hésite pas à faire
prétendument en notre nom.
Il faut le lire aussi pour y trouver quelques perles encore mal aperçues comme ces délicieux
articles 7 et 8, le premier forçant les « parties contractantes » au soutien obligatoire de la
Commission quand elle met un pays à l’index et lui impose la purge (« les parties contractantes s’engagent à
appuyer les propositions ou recommandations soumises par la Commission européenne lorsque celle-ci estime
qu’un Etat membre de l’Union ne respecte pas le critère du déficit ») (1), le second, encore meilleur, instituant la
délation entre les Etats-membres : « Lorsqu’une partie contractante estime indépendamment du rapport de la
Commission qu’une autre partie contractante n’a pas respecté [le critère de déficit structurel], elle peut saisir la
Cour de justice de cette question » (Art.8.1) ; « lorsque sur la base de sa propre évaluation ou de celle de la
Commission une partie contractante considère qu’une autre partie contractante n’a pas pris les mesures nécessaires pour se
conformer à l’arrêt de la Cour de justice visé au paragraphe 1 (précédent), elle peut saisir la Cour de justice et demander que
des sanctions financières soient infligées ». Et l’on voit d’ici l’excellente ambiance que ces petites lignes vont répandre dans
la chose qui se dit encore « Union » européenne : de sa seule initiative et d’après ses seules évaluations, un Etat-membre
pourra en balancer un autre auprès de la Cour de justice (CJUE) s’il estime que cet autre, insuffisamment orthodoxe, ne s’est
pas assez « structurellement ajusté », puis demander à cette même Cour de le pénaliser financièrement s’il continue de
regimber. Le pire est que dans l’atmosphère particulièrement amicale qui règne ces temps-ci dans la Désunion européenne,
on n’aura aucun mal à trouver une balance pour faire le sale boulot de saisine de la CJUE dont, soit dit en passant, la
Commission se lave courageusement les mains.
Cet article est :
A. Un pamphlet contre les dérives de la justice européenne.
B. Une analyse subjective de pourparlers des européens.
C. un réquisitoire contre les dispositions d’un pacte européen.
D. Un plaidoyer pour des institutions européennes plus transparentes.

L’auteur souligne avec insistance


A. La précision du protocole et ses applications concrètes.
B. La complexité extrême des articles et leurs incohérences.
C. Le caractère artificiel de la langue et son vide idéologique.
D. L’hypocrisie du langage utilisé et son caractère dogmatique.

Selon l’article, les institutions européennes appellent à


A. Recourir à un tiers pour auditer les Etats membres.
B. Résoudre les contentieux sans recourir à la commission.
C. Dénoncer un contrevenant par la saisie du tribunal européen.
D. Soutenir les Etats membres par la médiation de la commission.
L’auteur ironise sur
A. Le consensus apparent des diverses institutions.
B. Les orientations européistes et technocrates du traité.
C. La prétendue liberté de décision des Etats signataires.
D. L’objetcif de stabilité économique de l’Union européenne
Texte à trou : médicament

Selon l'Agence de santé américaine, un médicament sur dix vendu dans le monde serait un faux.
Et selon l'Organisation mondiale de la santé, ce commerce ferait 100 000 morts par an en
Afrique. Sur la toile, 96% des pharmacies virtuelles sont illégales... Pour mieux comprendre
l'ampleur du trafic de médicaments contrefaits à l'échelle internationale, et surtout pour analyser
les stratégies mises en place par les réseaux criminels, l'Institut international de recherche
anticontrefaçon de médicaments (IRACM) vient de rendre un rapport circonstancié.
La première surprise de cette étude, c'est qu'il y a de plus en plus d'individus isolés, cyniques et
sans scrupule, qui se lancent sur ce marché lucratif... Ces « opportunistes en col blanc » se
mettent tout simplement à importer des médicaments contrefaits en provenance d'Inde ou de
Chine pour les revendre à bas coût sur Internet.

C'est un moyen de gagner très vite beaucoup d'argent sans prendre trop de risques. La
marchandise transite par voie postale et les peines encourues sont ridicules, par rapport à celles
attribuées aux trafiquants de drogue par exemple. Sept ans grands maximum en France. Du coup,
on voit des braqueurs se reconvertir dans ce nouveau métier, beaucoup moins exposé.

Partie 1 :
A. Commander des médicaments en ligne réduirait les risques sanitaires.
B. Les pharmacies en ligne subissent des contrôles très fréquents.
C. Ce commerce causerait chaque année la mort de milliers de personnes.
D. La vente de médicaments est donc en forte baisse cette année.

Partie 2 :
A. Pour tester de nouveaux produits.
B. Pour fluidifier le commerce sur internet.
C. Pour accroitre à long terme ce phénomène.
D. Pour mieux comprendre l’ampleur du problème

Partie 3 :
A. Leur mode opératoire est encore inconnu.
B. Ces derniers sont nouveaux sur ce marché lucratif.
C. Ils dénoncent avec insistance le trafic de médicaments.
D. Ces réseaux internationaux sont parfaitement organisés.

Partie 4 :
A. La marchandise transite par voie postale, loin des contrôles.
B. Les faux médicaments sont vendus en pharmacie dans plusieurs pays.
C. Les produits sont écoulés par des trafiquants expérimentés.
D. Ils fabriquent en effet eux-mêmes leur propre marchandise.

Partie 5 :
A. Les recettes sont par ailleurs bien inférieures.
B. Les vendeurs sont en effet plus nombreux.
C. Les peines encourues sont en effet dérisoires.
D. Les clients sont par contre plus regardants.
Lutter contre l’obésité de l’enfant

De plus en plus d’enfants sont touchés par l’obésité. Pour prévenir les risques, les parents
ne doivent pas interdire certains aliments, mais réapprendre aux enfants les bons gestes. Il
faut les habituer aux goûts neutres. Les aliments solides sont, eux, à privilégier. Enfin,
l’ambiance du repas est primordiale. Une étude américaine a démontré que les enfants qui
mangent devant la télé ont besoin de plus de simulation pour recevoir les saveurs.Résultats
: ils s’orientent vers des aliments gras et sucrés. De plus, ils sont moins à l’écoute du
sentiment de satiété et ingurgitent donc de plus grandes quantités. Autre piège, au-delà de
quatre heures passées devant le poste, la corpulence augmenteindépendamment de ce qui
est mangé. Les nutritionnistes conseillent de ne pas dépasser deux heures de télé par jour
et pratiquer un sport d’endurance. Si l’effort est trop violent, ce sont les glucides qui sont
brulés au lieu des lipides. L’idéal serait de la natation, de la marche ou du vélo.

Pour écarter les risques d’obésité chez les enfants, les parents doivent

A. exclure tous les aliments gras.


B. leur interdire tous les aliments sucrés.
C. privilégier des plats légers et liquides.
D. leur faire apprécier les saveurs simples.

la télé favorise l’obésité des enfants parce qu’ils

A. mangent trop vite, assis devant le poste.


B. distinguent mieux les saveurs des aliments.
C. ne se rendent pas compte qu’ils n’ont plus faim.
D. ne respectent pas les horaires de repas habituels.

les risques d’obésité baissent sensiblement si les enfants

A. pratiquent une activité sportive très intense.


B. font des efforts physiques réguliers et prolongés.
C. font des activités qui brulent d’abord les glucides.
D. mangent léger quand ils regardent longtemps la télé
L’accordéon de la philanthropie globale
AVEC la prolifération des initiatives dites «humanitaires», généreuses, solidaires, s’installe une
certaine confusion. Solidarité, aide, charité, urgence humanitaire : de quoi parle-t-on? Derrière un
chantage permanent à l’indifférence à l’égard du malheur d’autrui, ne voit-on pas se dessiner et se
développer une vaste entreprise de formatage moral et global? Parce que ces débats se présentent
comme éthiques, la critique est suspecte. Pourtant, le contenu du devoir de solidarité mérite d’être
interrogé.

Au XXe siècle, l’Etat dit «providence» met en oeuvre des politiques visant à améliorer la vie
des citoyens. La pauvreté est alors vue comme un obstacle à l’accès à ce bien-être destiné à
être partagé solidairement dans une République sociale. A l’inverse, l’action humanitaire se
penche relativement peu sur la condition sociale des victimes. Elle s’intéresse au risque vital
qui les guette, au danger absolu : la mort, en particulier celle provoquée par la famine, risque
emblématique qui déclenche les alertes — fondées ou erronées. En France, la visibilité
médiatique des Restos du coeur est supérieure à celle des aides publiques alimentaires, qu’on
pourrait croire disparues tant l’emphase est mise sur la générosité individuelle. Cette
privatisation de l’aide sociale comme complément nécessaire de l’action publique ne poserait
pas question si elle n’apparaissait pas dans l’opinion comme une solution de rechange ou une
substitution qui ne dit pas son nom à l’Etat.

Un tel phénomène s’interprète dans un cadre idéologique global. Au-delà de la marginalisation de


la figure socialisante de l’Etat, qui résulte de l’implosion du communisme soviétique autant que
des assauts du néolibéralisme, apparaît l’objectif central des politiques d’aujourd’hui : une
gestion des risques de plus en plus confiée à la responsabilité individuelle.

l'auteur aborde dans le texte :


A- Promeut une nouvelle politique sociale au niveau de l’Etat.
B- Rend compte des aides humanitaires effectives en France.
C- Retrace l’évolution de l’altruisme et des pratiques humanitaires.
D- Traite de la socialisation et de la générosité de l’homme aujourd’hui.

L’auteur déplore
A- L’excès d’individualisme freinant le progrès social global.
B- La polémique à caractère moral sur l’utilité de l’aide sociale.
C- La difficulté d’aborder objectivement la question de la solidarité.
D- L’inefficacité des systèmes régissant les plans d’action humanitaires.

Aujourd’hui, les médias se donnent comme objectif de


A- Mettre en avant les alternatives à l’aide publique.
B- Renforcer l’engagement citoyen à grande échelle.
C- Donner davantage la parole aux personnes en détresse.
D- Révéler les causes économiques des disparités sociales.

Selon l’article,
A- Les obligations publiques sont assurées par la sphère privée.
B- L’échec de l’Etat providence modifie les valeurs de solidarité.
C- L’Etat finance des associations idéologiquement proches de lui.
D- La distribution des aides publiques nécessite des opérateurs privés.
Les hauts et les bas de la recherche
L'année 2012 a été contrastée. D'un côté, les sciences ont défrayé la chronique. La découverte du boson de
Higgs, l'envoi de la sonde Curiosity sur Mars, la mesure du dernier angle de mélange des neutrinos ont eu un
grand espace médiatique et ont même fait la "une" des JT. Cela a fait entrer la science dans beaucoup de foyers,
souvent avec une excellente qualité de vulgarisation.
Hélas, après l'été nous attendait le revers de la médaille. L'automne a été maussade pour les budgets et pour
l'avenir de la recherche, en France et surtout en Europe. Certes, le budget 2013 de la recherche est loin d'être mauvais,
l'emploi sera préservé et la création de mille postes - en verra-t-on jamais la couleur ? - dans les universités a été annoncée.
Mais les budgets des organismes sont à la peine et une dizaine d'universités sont à la limite du dépôt de bilan. Pour mon
laboratoire, c'est une année très mauvaise pour le budget et même pour l'emploi, qui s'ajoute aux deux précédentes, qui ne
l'étaient pas moins. Je discutais récemment avec un collègue qui, face à cette situation déprimante , me confiait son envie
de fuir très loin pour... pouvoir continuer ses travaux.
Quand on regarde au-delà des frontières, le tableau est désolant. Les salaires des chercheurs en Grèce et en
Espagne ont été fortement réduits, parfois jusqu'à 30 %. Le budget de la recherche en Espagne a été diminué en
quatre ans de 40 %. Partout en Europe, la recherche publique est maltraitée, un peu comme tous les services
publics.
Toutefois, la santé, la préservation de l'environnement, l'éducation et la recherche ne sont pas de simples gadgets que notre
société peut réduire impunément. Il en va de la qualité de la vie de tous aujourd'hui et demain. Il est facile de prédire que
prochainement le monde aura besoin d'encore plus de chercheurs, d'ingénieurs et de personnels techniques qualifiés.
Pourquoi s'étonner du fait qu'une carrière scientifique ne soit pas plus prisée par les jeunes ? Ils savent qu'après la thèse les
attendent des années d'emploi précaire. Les bac + 8 qui gagnent le gros lot d'une embauche au CNRS se retrouveront avec un
salaire (1 750 euros par mois) qui est largement inférieur à celui d'un ingénieur dans le secteur privé.
Le choix de l'austérité pour ces secteurs est suicidaire : le cupio dissolvi ("désir de mourir") d'une civilisation ?
Alors que la science européenne atteint des niveaux mondialement reconnus, on choisit de la pénaliser. Derrière
ces décisions, il doit y avoir un bug dans le logiciel...
Une des raisons pour lesquelles l'information scientifique a la cote, c'est qu'elle permet de s'extraire de la
grisaille du quotidien. Ainsi la découverte du boson de Higgs, c'est un peu l'équivalent européen du premier
homme sur la Lune. Personne ne s'était aventuré jusque-là, et maintenant nous l'avons fait. A juste titre, nous
pouvons avoir un petit sentiment de satisfaction.
Quelles seront alors les découvertes en 2013 ? Le satellite Planck, qui étudie le rayonnement fossile de
l'Univers, dévoilera ses résultats très attendus. J'entends parler d'une possible mesure de la masse des neutrinos. Sans doute
cette moisson de mesures nous révélera la nature de l'Univers avec une précision inégalée. On peut aussi imaginer des
résultats inattendus dans les expériences LHC : les analyses continueront en effet pendant le long arrêt jusqu'à la fin
2014. La sagesse est comme la chouette, elle prend son envol à la tombée de la nuit.

Cet article souligne


A- La situation précaire dans laquelle évolue la science
B- Les contradictions qui animent les débats scientifiques.
C- Le détournement des résultats scientifiques par les médias.
D- La mainmise de la finance sur les programmes de recherche.

Pour l’auteur, la science est


A- Médiatisée de façon anarchique.
B- Popularisée de manière médiocre.
C- Perçue comme un vulgaire divertissement.
D- vue comme une échappatoire à la morosité.
L’auteur met en regard
A- Les prouesses de la science et la défiance des citoyens à son égard.
B- Les sommes consacrées à la recherche et l’intérêt du public pour celle-ci
C- La renommée des universités françaises et l’employabilité des scientifiques.
D- La qualité de la recherche scientifique et son éloignement des besoins réels.

Selon l’auteur, l’avenir de la recherche est pénalisé par


A- Des coupes budgétaires inconséquentes.
B- Un manque flagrant de moyens technologiques.
C- Une course aux investissements peu structurée.
D- Une politique d’attribution des fonds inégalitaire.
Résurrection par la génétique

La résurrection d’espèces éteintes est une prospective intrigante à la fois pour le monde de la
science et le public général, explorée jusqu’au monde du cinéma avec Jurassic Park par exemple.
Cependant, même s’il est peut-être déjà possible d’accomplir un tel exploit grâce aux techniques
avancées de la génétique actuelle, la dé-extinction d’une espèce pourrait avoir des répercussions
dangereuses. De la morale à l’impact écologique, de nombreuses considérations devront être
prises en dépit de la curiosité scientifique.
Depuis 4,5 milliards d’années, la Terre a vu des milliards d’espèces apparaître et s’éteindre ; en
effet, on estime que les espèces actuelles ne représentent qu’un millième de la biodiversité ayant
existé. Ceci étant dit, les scientifiques se posent la question de résurrection d’espèces disparues.
Mais de nombreux impacts à la fois éthiques, moraux et environnementaux découlent de cette
idée.

En théorie, il y a deux manières d’accomplir cet exploit scientifique. La première, de cloner, est
la plus courante : on implante des cellules préservées de l’espèce disparue dans l’embryon de
l’animal vivant le plus similaire à cet être éteint . La deuxième consiste à modifier le génome
d’un animal, afin qu’il conçoive une progéniture de l’espèce disparue en question.
Cependant, il faut prendre en compte les nombreux impacts que cette résurrection aurait sur le
monde de la science, sur le public et l’environnement. En premier lieu, nous pouvons affirmer
que cet exploit représenterait une source infinie de savoir : le monde scientifique aurait accès à
des aperçus de l’évolution d’une certaine espèce, comme les êtres avec lesquels ils interagissent,
leur habitat ou leur nutrition, quelque chose d’actuellement impossible dans de nombreux cas. De
plus, réaliser cet exploit à l’aide de la deuxième méthode, la modification du génome d’un animal
vivant, représenterait un pas en avant immense dans le domaine de la modification génétique.
Malheureusement, cette méthode présente plus de difficultés que la première, et n’a jamais été
réalisée.

Mis à part les impacts sur la science que cet acte aurait, nous pouvons aussi considérer les
avantages pour l’environnement. Avec l’aide de certaines espèces disparues à ce jour, des
écosystèmes menacé ou endommagé pourraient être restaurés. Certains écosystèmes ne peuvent
pas survivre sans une certaine espèce ; en faire réapparaître une pourrait sauvés des habitats. En
dernier lieu, une dimension éthique s’impose : si l’Homme a été celui à avoir un rôle dans la
disparition d’une espèce, c’est peut-être sa responsabilité de tenter de les faire revivre.
Malgré les avantages de cette résurrection, nous devons aussi réfléchir aux aspects néfastes
qu’elle aurait sur la planète. Premièrement, nous devons nous demander comment les animaux
ressuscités seraient traités ; s’ils sont exploités ou en captivité, est-ce que nous devons quand
même tenter l’expérience ? Beaucoup de personnes pensent que si les animaux sont maltraités, le
mal l’emporte sur le bien : les découvertes scientifiques ne valent pas l’inhumanité auxquels ils
feront face.

Cette expérience pourrait aussi représenter un danger pour les humains : lorsqu’ils sont
ressuscités, les espèces pourraient transporter des pathogènes ou des virus, disparues de la surface
de la Terre depuis des millions d’années. Cela voudrait dire que cette découverte, qui paraît
fascinante, peut avoir un impact réellement dangereux sur l’homme. De plus, si elles ont disparu
depuis une longue durée, les habitats et sources de nourriture de ces animaux auront sans doute
beaucoup changé, ainsi que leur rôle dans des écosystèmes excessivement fragiles. Nous pouvons
nous demander si ces espèces impacteraient négativement l’environnement.
En dernier lieu, de ressusciter une espèce disparue depuis des milliers d’années peut nous pousser
à poser la question suivante : Est-ce que de faire revivre un animal n’est pas quelque chose
d’anormal, qui pourrait porter atteinte à l’équilibre du monde ? Est-ce que c’est à l’Homme de
prendre cette décision qui pourrait avoir des conséquences dont nous ne sommes même pas
conscients ?

L’idée d’un jour pouvoir voire en personne un animal d’une espèce disparue à toujours fasciné
l’Homme. La littérature et le cinéma sont les preuves de cet émerveillement, comme Jurassic Parc
par exemple. Mais c’est à nous de réfléchir aux impacts que cette découverte pourrait avoir à la
fois sur le monde scientifique, le public et l’environnement. Une fois que nous connaîtrons toutes
les conséquences de cette expérience nous pourrons décider si cette fiction devrait devenir réalité.

Selon l’article, la recherche scientifique

A- a gagné en efficience ces dernières années.


B- subit l’influence croissante de la science –fiction.
C- est vulgarisée à moindre frais par les spécialistes.
D- se démocratise grâce aux nouvelles technologies.

Selon l’article

A- Sauvegarder les espèces reste trop onéreux.


B- Recréer des espèces est un projet dénué de sens.
C- La lutte contre des espèces est vouée à l’échec
D- Ressusciter des espèces est la vocation première de la science.

Selon l’auteur

A- La recréation d’espèces favorise la protection des milieux naturels.


B- La protection des milieux de vie est primordiale pour recréer des espèces.
C- La recherche d’espèces disparus nuit à la protection de l’environnement.
D- La préservation de l’environnement prime sur la restauration des espèces.

L’auteur de l’article

A- Craint une utilisation commerciale de la nature.


B- Regrette l’absence de débat public sur la bioéthique.
C- Déplore le détournement de la recherche à des fins politiques.
D- Met en garde contre la recherche axée sur les objectifs récréatifs.
La campagne française se peuple de « rurbains »
Foule, transports bondés, pollution, pour certains, grande ville rime avec cauchemar. Chaque
année, 100 000 Français quittent les métropoles pour la campagne. L'Eure est un département
particulièrement attractif pour ces citadins. Au coeur de la verdure normande, Pascale est en
quête de tranquillité. Elle a fait le choix d'acheter une maison et de quitter son appartement de
banlieue parisienne. "J'ai besoin d'espace. Ici, au moins il n'y a pas de voisinage", explique
Pascale Adélaïde.
Acheter ici est une aubaine pour cette chef d'entreprise. À Paris, pour un appartement de 150
mètres carrés, il faut débourser en moyenne deux millions d'euros. Dans l'Eure, la même surface
avec un grand terrain coûte 150 000 euros, soit 13 fois moins cher. Mais l'argent n'est pas
toujours le seul moteur. Dans les Côtes-d'Armor, Pauline et Gabriel n'ont pas seulement changé
leur cadre de vie, ils ont quitté leur emploi salarié dans un bureau pour devenir maraîchers. À
l'heure du bilan, Pauline assure qu'elle "se sent beaucoup mieux ici, moins stressée". Un
changement

Les deux dernières décennies ont été caractérisées par


A- Un exode rural fortement marqué.
B- La désertification massive des villes.
C- Une explosion des activités agricoles.
D- La migration des urbains vers la campagne.

La tribu des « rurbains » se compose pour la plupart


A- De retraités qui s’installent à la compagne.
B- De nouveaux convertis aux métiers agricoles.
C- De ménages aisés voulant profiter de la nature.
D- De jeunes actifs à la recherche de leurs racines.

Les maisons que les néo ruraux font construire provoquent


A- La pollution des espaces verts.
B- Le recul constant de l’agriculture.
C- L’enlaidissement des sites natures.
D- La dégradation de la situation sociale.

Le gouvernement prévoit d’importantes subventions pour


A- Développer des techniques agricoles.
B- Préserver le paysage et les sites naturels.
C- Défendre les intérêts des nouveaux ruraux.
D- Atténuer les disparités dans les zones rurales.
Tweeter
La sociologue Monique Dagnaud a récemment publié sur le site de la plate-forme de débats Telos une
intéressante analyse du phénomène Twitter. Elle y donne d'abord quelques indications statistiques sur
les adeptes du gazouillis en 140 signes. Un internaute sur cinq aurait un compte Twitter. Il faut
cependant pondérer ce chiffre par le fait qu'un part importante de ces abonnés sont passifs : ils se
contentent de suivre les messages des autres mais ne participent quasiment pas aux échanges. Dans le
même sens, elle indique que plus de la moitié des tweets sont solitaires c'est-à-dire ne suscitent aucun
écho, ce qui confirme l'impression que les réseaux sociaux forment une « foule solitaire », selon
l'expression que David Riesman avait forgée dès 1950 dans son maître ouvrage dépeignant l'avenir
des sociétés modernes. « Les twittos soliloquent plus qu'ils ne dialoguent », souligne Monique
Dagnaud comme pour enfoncer le clou d'une illusoire communauté. Un aspect plus surprenant du
phénomène est sa connotation plutôt professionnelle. Le profil type est un internaute de la région
parisienne, assez jeune, travaillant dans les médias et maîtrisant donc bien les codes de ce nouveau
monde. Mais la partie la plus forte de l'analyse, et aussi la plus préoccupante, concerne le contenu des
messages. La tonalité y est souvent sarcastique voire franchement polémique et les propos
généralement dirigés contre l'establishment. On peut, bien sûr, estimer banal que, en période de crise,
de chômage et de dérive comportementale de certains membres de l'élite, une telle tonalité soit
prédominante. Mais est-ce la seule cause ? Il faut sans doute aller chercher aussi du côté d'une
explication chère à Régis Debray : la forme du message influence le fond. Ses ouvrages en ont fait
une démonstration éclatante à propos du passage de l'écrit vers l'image, du livre vers la télévision.
L'émotion suscitée par l'image se substitue nécessairement à la réflexion portée par le livre. Il est
probable qu'un phénomène de même nature se produit avec le tweet : en 140 signes, on est
naturellement porté au simplisme et le simplisme porte à son tour vers la polémique voire l'invective.
Ce ne serait donc pas le fond de l'époque qui serait coupable, mais aussi la forme par laquelle elle
s'exprime.

Partie 1 :
A- La plupart en font toutefois un usage passif
B- Et beaucoup d’entre eux en sont très satisfaites
C- Mais très peu d’utilisateurs peuvent s’en passer
D- Certains répondent même sur leur lieu de travail.
Partie 2 :
A- Les utilisateurs sont de plus en plus nombreux.
B- Les internautes y réagissent systématiquement.
C- Une majorité des tweets ne déclenchent aucune réaction.
D- Les tweets entrainement en outre de nombreuses interactions.
Partie 3 :
A- Ces derniers sont mal écrits et truffés d’approximations.
B- Ceux-ci ne sont absolument pas sérieux ni convaincants.
C- Les propos tenus y sont sarcastiques, polémiques voire antisystème.
D- Leur contenu s’avère inquiétant et laisse l’opinion publique perplexe.
Partie 4 :
A- Et les abonnés sont les premiers à en pâtir.
B- le fait de tweeter ne change rien à l’affaire.
C- D’où l’usage démesuré qu’en font les internautes.
D- Un phénomène de même nature existe avec le tweet.
Partie 5 :
A- Le principe du tweet n’est déjà plus à remettre en cause.
B- Chacun n’es reste pas moins l’unique responsable de ses propos.
C- On peut étendre ce reproche au monde dans lequel nous vivions.
D- L’epoque à laquelle nous vivons n’est donc pas l’unique coupable.
Cet article traite :
- Du rejet des outils issus de l’industrie
- Emergence d’un nouveau model de production
- Des revendications d’une nouvelle génération
- Développement d’une entreprise co-gérée par les militants

Le mouvement faire :
- Met en œuvre le concept du partage
- Donne un nouveau sens au bénévolat
- S’expose à des procès de la part des industriels
- Concurrence déloyalement les entreprises locales

D’après le texte les techniques utilisées :


- Transgressent les règles du marché
- Garantissent la quantité des produits
- Valorisent les démarches écologiques
- Sont récupérées par le secteur industriel

Selon l’auteur ce phénomène


- Revalorise le travail artisanal
- Peut créer des nouveaux emplois
- S’inspire d’un modèle performant
- Modifie la valeur accordée au travail

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeb-
dW71Hll9SUZW4JbzXQnWgaZ9Eo2htP33rNex_I949Sexg/viewform BABD
L'exposition Chine : l'énigme de l'homme de bronze
Archéologie du Sichuan (XIIe-IIIe s.av. J.-C), un des sommets de l’année de la chine en France,
eut lieu du 14 Octobre 2003 au 28 Janvier 2004 à la salle Saint-Jean de l'Hôtel de Ville de Paris.
Elle avait pour commissaires Gilles Béguin, directeur du musée Cernuschi et Alain Thote,
directeur d'études à l'école des hautes études (IVe section).
Le Sichuan est une grande province du Sud-ouest de la Chine, excentrée, protégée, mais pas
complètement isolée. Les sites Shang et Zhou du centre du pays ont longtemps dominé notre
vision de l'âge du bronze en Chine. Avec les trouvailles du Sanxingdui (1986) et de Jinsha (2001),
près de Chengdu, c'est une civilisation rivale qui apparaît. Son éclosion, ce qui fait sa singularité,
sa disparition inexpliquée et ce qui lui succède après une longue interruption, faisaient donc ici
l'objet d'une exposition de soixante-cinq pièces rigoureusement sélectionnées.
On savait que Sanxingdui était une ville aux murs de terre damée, comparable en dimensions à
celles de la Chine centrale. Mais la découverte, en 1986, de deux fosses remplies d'os
d'animaux, de défenses d'éléphants, de jades, de bronzes brisés et brûlés a surpris. Pourquoi
tout cela a-t-il été réduit avant d'être enterré: catastrophe subie ou envoi rituel d'objets
précieux dans l'au-delà?
Les objets sont déroutant: masques monumentaux aux larges oreilles et aux pupilles
protubérantes, têtes humaines aux traits stylisés, une statue de deux mères cinquante (la seule
de l'antiquité pré-impériale), de grands arbres représentés ici par les oiseaux les clochettes qui
s'y trouvaient accrochées...Tout cela, qui est en bronze, est inconnu en Chine centrale ; mais la
technique première, elle, en provient. Le Bronze est fondu dans des moules segmentés qu'on
agence autour d'un noyau pour faire les vases divers destinés au culte des ancêtres. Trois séries
de vases à boisson ...

1- Comment a été découverte…………… ?


- par hasard grâce à des travaux agricoles mécanisés.
- Suite à des travaux d’infrastructure et développement économique

2-

Parlait de l’exclusivité de l’exposition


3-

la statue représentait une personnalité officielle.

41. L’exposition Chine : L’énigme de l’homme de bronze


1- comment a été découverte: par hasard grâce à des travaux agricoles mécanisés
2- parlait de l’exclusivité de l’expo
3- la statue représentait une personnalité officielle d’ailleurs dans le texte on parlait d’uniforme
et armure je crois
Fauconnier pour faire fuir les oiseaux nuisibles
La mairie a pris des mesures contre les nuisances des volatiles. Une première intervention du
fauconnier par un professionnel devrait avoir lieu vendredi
Face à une importante présence d'oiseaux et en particulier d'étourneaux ou autres pigeons en
centre-ville, la municipalité a pris des mesures Très présent dans les arbres, les volatiles se sont
rendus coupables de nombreuses gênes pour les habitants, allant du bruit à la saleté causée par
leurs excréments, malgré le nettoyage quotidien des services techniques de la ville. Sur la place du
14 juillet ainsi que place de la libération (gare), de nombreuses fientes sont déposées
quotidiennement par les nées d'étourneaux qui ont élu domicile dans les arbres. Soucieuse donc de
la salubrité des rues du village, mais également du respect de la protection animale, délégation
portée par la deuxième adjointe Corinne Cantat, la municipalité va faire intervenir un fauconnier afin
d'effaroucher les étourneaux. Une techniques des plus 'naturelles', et se présentant comme le
moyen le plus écologique de lutter contre ces nuisances. Le faucon est un prédateur naturel pour ces
volatiles et devrait donc permettre, de façon non invasive, de lutter contre la présence accrue des
oiseaux dans la commune. Cette procédure permettra de modifier les habitudes de nidification des
oiseaux en les forçant à aller s'installer ailleurs. Différents rapaces pourront sans doute être utilisés,
en fonction du lieu et des espèces à effaroucher. Par ailleurs pour les problèmes liés aux pigeons on
sait qu'une consultation est en cours, elle concerne l'implantation la plus adéquate possible de
pigeonniers stérilisateurs. Ces structures contraceptives sont un nouveau genre de pigeonniers
conçus pour réguler les populations de volatiles éponymes, en ville, en effectuant une stérilisation
des oeufs. Défendu par les associations de protection d'animaux, il voit son développement accru
depuis plusieurs années au sein des communes préférant agir sur la stérilisation des oeufs, plutôt
que d'autres techniques jugées plus barbares. Le pigeonnier contraceptif régule sans éradiquer les
colonies de pigeon en ville en accordant les pros et anti-pigeons. Un gage de bonne citoyenneté
entre habitants. Cette technique présente de surcroît un coût moindre par rapport à la capture par
filets et effarouchement.
En complément de l'intervention des rapaces pour éloigner les étourneaux, des moyens
pyrotechniques seront mis en oeuvre. Il s'agit de fusées qui seront lancées à proximité des lieux de
nidification. Les riverains du centre-ville sont toutefois avertis que des tirs retentiront dans la soirée.
Cette intervention sera réalisée par un professionnel accompagné de la police municipale, dans le
respect des règles se sécurité.
Sauf contraintes météorologiques, le fauconnier devrait intervenir les 23, 24, 25,27 et 28 Octobre
prochains, en soirée.

1- Qu’est ce qui pourrait rendre l’opération efficace ?


Que les rapaces effraient les volatiles

2- Le rôle des faucons :


L’assainissement de la ville

3- Qui fait appelle au fauconnier ?


Différentes institutions

39. un faucon pour se débarrasser des étourneaux et pigeons


1- qu’est ce qui pourrait rendre l’opération efficace: que les rapaces effraient lés volatiles.
2- le rôle des faucons : L’assainissement de la ville
3- qui fait appelle au fauconnier : différentes institutions
Le David de michel ange menace de s'écrouler -Texte a trou
Le "David", de Michel-Ange, exposé pendant plus de trois siècles devant le Palazzo Vecchio, à
Florence, est installé à l'Académie des Beaux-Arts de la ville. CC Roger Wollstadt.

Le musculeux David de Michel-Ange, incarnation de l'idéal masculin de la Renaissance italienne et


symbole de la ville de Florence, menacerait de s'éffndrer sous son propre poids. Pas celui qui se
dresse actuellement devant le Palazzo Vecchio, qui est une réplique, mais l'original, dévoilé en 1504
et abrité depuis 1873 à l'Académie des Baux-Arts, la Galleria del l'Accademia.

La sculpture en marbe blanc de Carrare de plus de 5,5 tonnes et de 5 mètres de haut souffrirait de
"micro-fractures" dans les jambes, et notamment dans sa cheville gauche, explique le quotidien
itatien La repubblica, dont l'information a été reprise par la BBC. La souche d'arbre sculptée qui
apparaît au pied du colosse et supporte en grande partie le poids de la statue serait également
touchée par ces craquelures, selon les résultats d'une étude récente du Conseil national de
recherche italien (CNR) et de l'université de Florence publiée dans le journal of Cultural Heritage.
Après une série de tests réalisés avec des répliques en plâtre de 10cm, les scientifiques ont
également diagnostiqué une faiblesse aux chevilles, qui seraient trop fines pour supporter le colosse.

Les fissures qui ont été recouvertes de plâtre au fil du temps ont d'ailleurs tendance à réapparaître.
la fragilité de la statue, sculptée par Michel-Ange en trois ans, remonterait à sa conception : elle
serait due à la mauvaise qualité du bloc de marbre, à son poids et à sa pose décentrée, rapporte la
Gazzetta del Sud. Mais les chercheurs suspectent que les altérations se sont développées lorsque
Dabid fut exposé, plus de trois siècles durant, sur la grande place de la ville, la Piazza della Signoria,
avant d'être remplacé par une copie. La sculpture aurait alors été trop penchée en avant.

ce n'est pas le premier ennui de santé de la statue. Elle avait en effet été touchée lors d'une bataille
entre le peuple florentin et les troupes des Médicis, en 1527. Son bras gauche s'était alors brisé en
trois morceaux, avant d'être restauré une quinzaine d'années plus tard. Au début du XIXe siècle,
l'état de dégradation causé par son exposition en plein air avait sucité des inquiétudes. Or, les
traitements choisis pour la protéger n'ont fait que l'endommager : encaustique, puis acide
chlorhydrique ont détruit sa patine d'origine, d'ou le choix de la placer dans un musée.

Aujourd'hui, un tremblement de terre ou les vibrations d'un chantier alentour pourraient lui être
fatals, affirment les scientifiques. Ces derniers préconisent de placer la sculpture dans une pièce
protégée des tremblements de terre, en sous-sol, ou de la déménager dans un site hors de la ville.
L’économiste dans la cité
Pourquoi écouter les économistes ? N'ont-ils pas été incapables de prévoir la crise de 2008? Il est
vrai que la lucidité de la profession a été limitée, c'est un euphémisme. Les avertissements sur les
crises récurrentes, voire la crise finale du capitalisme, de la part de certains fidèles de la tradition
marxiste était de moins en moins fréquents et de moins en moins convaincus.
Maurice Allais, Prix Nobel d'économie 1988, et Nouriel ROubini avaient mis en garde contre les
dérèglements du système financier mais, réputation de Cassandre oblige, Ils étaient peu écoutés.
Peu suspecté de pessimisme systématique, l'économiste indien Raghuram Rajan fera pourtant, en
2007, un constat prémonitoire qui lui vaudra d'être vivement rabroué.
Paradoxalement, cette cécité sur la crise n'a pas discrédité les économistes mais a, semble-t-il,
renforcé l'intérêt pour leurs analyses. Serait-ce avec juste raison ? Parce que, en dépit de ses
défaillances, le savoir économique serait utile, voir essentiel.
En dépit de la variété de son inspiration, le savoir économique a une forte identité dans le monde
des sciences sociales. Son image contemporaine fait écho au succès d'une innovation
méthodologique, portée par la Société d'économétrie, créée en 1930. Cette société savante a promu
l'usage des mathématiques, associant théorisation à modélisation, et investigations empiriques à
statistiques.

Ce modèle de travail, très minoritaire à l’origine, même s’il a eu l’appui de personnalités aussi
différentes que John Maynard Keynes et Joseph Schumpeter, est devenu, à partir du milieu des
années 1980, dominant dans le monde voire hégémonique. Et ce, même s’il est en régression depuis
le début des années 2000.

L’histoire marque donc fortement la personnalité de la discipline, sans en faire pour autant un
espace intellectuel homogène. Aujourd’hui continuent à coexister sensibilités intellectuelles
politiques et options épistémologiques différentes. Et aux marges des unes et des autres, les
frontières entre orthodoxie et hétérodoxies sont floues.

La mathématisation s’est faite, pour le meilleur, en créant un large espace de laïcité intellectuelle
grâce à un outil neutre et puissant, et, pour le moins bon, en risquant de rendre le savoir moins
accessible à l’extérieur, plus balkanisé à l’intérieur.

Au cours de son développement, le savoir économique s’est en effet peu à peu parcellisé. Il y a une
économie du travail, une économie industrielle, une macroéconomie… et l’expertise passe par la
spécialisation. La conquête de nouveaux domaines et une logique perverse de compétition
hyperspécialisée ont, dans un passé récent, fait monter le niveau du risque de balkanisation.
Certains ont d’ailleurs vu la cécité sur la crise comme l’effet d’un émiettement du savoir sur le
monde de la finance.

De fait, cette cécité représentait aussi et plutôt l’effet de la « vague libérale ». Le tsunami qui a suivi
la chute du mur de Berlin a aussi touché le monde savant, occultant, jusqu’à ce que la crise les
remettre à l’ordre du jour, les points de vue critiques sur le marché.

Le dernier, mais non le moindre, des obstacles à la légitimité des sciences économiques est constitué
des limites objectives de notre savoir sur la société. Elles sont évidentes dans les temps courts,
comme celui des bulles, comme dans le temps long, celui de la mondialisation. Reconnaître ses
vraies limites ne conduit pas à nier une forte accumulation de savoir, un savoir indispensable pour
apporter plus de lucidité à la marche de nos sociétés.

Les économistes peuvent donc éclairer le débat public. Et non seulement ils le peuvent, mais ils le
doivent. La recette d’une bonne communication n’est pas pour autant aisée. Parce que les
spécialistes ont des talents différents pour communiquer et parce que les plus agiles ou les plus
prévisibles – les économistes médiatiques – sont rarement les plus fiables.

Il faut ensuite, sur chaque sujet, trouver un double équilibre, celui des regards spécialisés et celui
des sensibilités intellectuelles et politiques. Il faut éviter de donner au public le sentiment qu’il y a
une vérité économique universelle qui imposerait sa conclusion. Ce n’est pas le cas : sur beaucoup
de grands sujets, comme l’euro, la mondialisation, la dette, les inégalités, il n’y a pas de consensus
entre économistes. Mais le débat n’est intéressant que s’il mobilise des avis divergents légitimes, et
qu’il s’appuie sur la compétence, fût-ce au détriment du brio.

Des recettes plus difficiles à mettre en place qu’à évoquer : nous voilà revenus aux défis des
Journées de l’économie de Lyon.

- une question demande si on doit faire confiance aux économistes


- autre question sur les contraintes du savoir économique
- une question teste la compréhension du dernier paragraphe (la conclusion)

35. L'économiste dans la cité

- La première réponse c'est : L'auteur s'interroge sur la légitimité des sciences économiques.

- Une question demande si on doit faire confiance aux économistes –

Autre question sur les contraintes du savoir économique; aux opinions très différentes.

- Le sens de la dernière c'est que dans la conclusion l'auteur valorise les sciences économiques
comme s'il admet leur valeur ajoutée, et valorise ce qu'elles apportent au monde.
Philatélie, image de marque, nouveaux usages... le timbre un objet
en pleine mutation

Cet article
- Présente l’actualité du monde philatélique.
- Analyse les motivations des collectionneurs.
- Décrit la disparition progressive d’une activité.
- Montre la restructuration du milieu de la philatélie.

L’auteur
- Constate le déplacement de l’activité vers le web.
- Relativise l’influence de l’internet dans le domaine.
- Pose les bases d’une nouvelle stratégie commerciale.
- S’inquiète des conséquences sur l’emploi dans le secteur.

Selon le texte, les jeunes


- Sont moins amenés à utiliser les timbres.
- Considèrent que la philatélie n’est plus de leur âge.
- Sont indifférents à la richesse culturelle des timbres.
- Trouvent la philatélie peu compatible avec la vie moderne.

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfwt-
lsdhMA0De4yrcwnv70AXvniL8ZO8O6S40X5DPkWhWaSg/viewform
CBA
- Le sel, un poison bon marché qui profite aux multinationales
Dans l’Hexagone, l’industrie agroalimentaire s’emploie à éviter toute limitation de ce dangereux
exhausteur de goût (lundi 12 janvier à 22 h 25 sur Canal+)

Il n’oublie jamais de s’inviter à table. Le sel donne du goût aux plats. Mais il peut aussi tuer :
responsable de 20 000 morts à New York chaque année, selon son ancien maire Michael Bloomberg,
et de 700 000 aux Etats-Unis. Un chiffre qui, dans le monde, s’élève à 1,7 million, ainsi que l’a
affirmé, en 2014, une revue scientifique, The New England Journal of Medicine. Et quand le sel ne
tue pas, il peut accentuer l’hypertension, accélérer le vieillissement des reins ou fatiguer sévèrement
le coeur.

Conscients de ce danger, certains pays ont pris des mesures. La Belgique s’est ainsi dotée d’une
législation qui réglemente la teneur en sel dans les aliments. La baguette ne doit pas en contenir
plus de 2,5 g. Et gare aux contrôleurs de l’agence alimentaire : si la teneur n’est pas respectée, les
commerçants tels que les boulangers risquent une amende (450 euros) et, en cas de récidive,
l’ouverture d’une procédure judiciaire et la fermeture de leur boutique.

Aucun contrôle ni réglementation

La Finlande a réussi à diminuer de moitié sa consommation quotidienne de sel en quarante ans (7 g


aujourd’hui). Résultat, l’espérance de vie a grimpé de dix ans et le pays a enregistré une baisse de 80
% des accidents cardio-vasculaires. Et en France ? Rien. Aucun contrôle, aucune réglementation. Et
pourtant, un Français consomme en moyenne 10 g de sel par jour, ce qui est beaucoup lorsque l’on
sait que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en préconise la moitié.

Cet exhausteur de goût – le moins cher du marché – est partout : dans les plats cuisinés, la
charcuterie, les viennoiseries… Le documentaire montre qu’il est difficile pour certains pays, comme
le nôtre, de légiférer, à cause, notamment, du lobbying pratiqué par les multinationales de
l’agroalimentaire. Car si les gouvernements de grandes nations imposaient partout une
réglementation contraignante, ces groupes perdraient des milliards de dollars. Réduire de 30 % le sel
dans notre alimentation sauverait des milliers de vies en France et ferait également diminuer d’un
demi-litre la consommation de sodas par jour et par personne. L’impact sur la santé serait
considérable, sur le portefeuille des multinationales aussi.

o: les nouveaux msg en gros ( jai pas retenu les phrases exactes mais leurs sens )
C’est article a pour thème :

- Le développement spectaculaire des appareils sans fils.


- L’utilité de modérer le niveau des ondes autour de nous
- Les méfaits de la téléphonie mobile sur notre quotidien
- Les maladies provoquées par les technologies modernes

Les autorités sanitaires estiment que

- Les ondes électromagnétiques pourraient être nocives.


- L’utilisation excessive du portable provoque des cancers.
- Les radiofréquences n’ont pas d’effets avérés sur la santé.
- Les conclusions des études ne sont pas suffisamment étayées.

L’orientation préconisée permettrait


- D’encadrer légalement l’exposition aux ondes.
- De limiter la prolifération des technologies sans fil.
- De protéger la population en créant des zones sans ondes.
- D’imposer l’utilisation d’un équipement limitant l’exposition.

Ce type de décision

- Est encore relativement inédit.


- Légitime les inquiétudes des citoyens.
- Freine le développement économique.
- Est insuffisant pour protéger la population.

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdU7P4dD1hjaEyL_QAycvAisOEz0nfEF-
2yi1wNHWn0RDADVQ/viewform BAAA

Vous aimerez peut-être aussi