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Les jeunes boivent comme des trous.

Ce n'est pas tant qu'ils consomment


régulièrement mais ils rechercheraient de plus en plus l'ivresse, qu'importent les
flacons.

Le truc qui monte, c'est donc cette « consommation de la défonce », de jeunes gens
par ailleurs souvent très sobres en semaine, dans les soirées de beuverie. Les
alcooliers, à l'affût, l'ont bien compris. Whisky-cola ou vodka-pomme, avec packaging
fun et accrocheur, et par ici la monnaie. L'heure est à l'ivresse rapide, qui conduit à la
prostration et au sommeil profond.

Pourquoi cette tendance ? Il y a quelques années, des chercheurs disaient en


langage savant que les jeunes étaient d'abord motivés par « la découverte des
vertus d'oubli et de dédoublement de soi par l'alcool », une façon d'éprouver son
corps et son esprit comme n'étant pas à soi, autorisant des « inconduites »
corporelles et morales. Des études européennes révèlent des ivresses six à huit fois
plus fréquentes au Danemark et en Grande-Bretagne que dans l'Hexagone...

Il est tentant de rapprocher cette constatation de celles consignées par une


sociologue ayant ausculté quatre jeunesses européennes : danoise, anglaise,
française et espagnole. À l'heure où la période qualifiée de « jeunesse » paraît
s'allonger, où l'âge adulte perd de sa stabilité, la sociologue a identifié quatre modes
d'entrée dans la vie adulte, liés au contexte social.

Au Danemark, on se cherche et on se trouve avant d'être adulte. En Grande-


Bretagne, on s'assume et s'émancipe rapidement, après des études autofinancées.
Ces deux modèles frappent par la décohabitation familiale précoce (avant 20 ans)
qu'ils exposent. À l'opposé, en Espagne, partir de chez ses parents implique qu'on ait
d'abord trouvé un emploi, une femme ou un mari, puis un logement.

En France, les jeunes vivent dans un entre-deux : une volonté, certes, d'être, mais
tout en maintenant une dépendance parentale (notamment financière). Tout cela
avec en tête de « se placer ». Car, tout est misé, investi sur le diplôme et la formation
initiale, qui détermine de façon quasi définitive le statut social. Boire, en ce sens,
permet inconsciemment à certains de l'oublier, tout en se rapprochant des Danois qui
se cherchent et des Britanniques qui s'émancipent.

D’après Le Monde
La tendance actuelle de consommation d’alcool chez les jeunes se caractérise
par

A. L’importance donnée aux marques et types d’alcool consommés.

B. Une consommation occasionnelle mais en grande quantité.

C. Une consommation régulière mais en quantité modeste.

D. La constante recherche des prix les plus bas.

À travers l’ivresse, les jeunes chercheraient à


A. Faire comme les autres pour s’intégrer socialement.
B. se sentir plus à l’aise et plus sûrs dans leurs agissements.
C. marquer leur entrée contrariée dans le monde des adultes.
D. se permettre des actes qu’ils ne feraient pas en état de sobriété.

Selon l’article,
A. Les Espagnols ont des responsabilités familiales très rapidement.
B. les Danois et les Anglais ont moins d’inhibitions que les Espagnols.
C. les Danois et les Anglais quittent plus rapidement le cocon familial.
D. les Espagnols ont moins de libertés que les jeunes Danois et Anglais.
L’alcoolisme chez les jeunes Français pourrait s’expliquer par
A. la volonté d’oublier la pression sociale liée au futur emploi.
B. une profusion de marques d’alcool à destination des jeunes.
C. la nécessité de compenser des études trop lourdes et fatigantes.
D. le souhait de s’émanciper d’une trop grande dépendance familiale.
Vivre en forme plus longtemps

Nous restons plus actifs en prenant de l'âge que ne l'étaient nos parents. …. (9) .
… chercheurs et médecins ont quelques pistes pour nous aider à vieillir moins vite et
en meilleure forme. Quel âge a notre corps ?

…. (10) .… on vieillit, et cela commence bien avant qu’on ne le voie. « À partir de 18-
20 ans », assure un gériatre de renommée internationale. …. (11) .… le
vieillissement ne doit pas être vu comme un mécanisme de dégénérescence, mais
comme une affaire de régénération de cellules. « Le corps est un chantier en
continuelle construction-déconstruction », explique un professeur d’une université
belge. …. (12) .… avec ses unités de production, nos 60 000 à 100 000 milliards de
cellules. Chacune d’elles est chargée de fabriquer des protéines spécifiques selon
l’endroit où elles se trouvent. …. (13) .… c’est de se dédoubler pour assurer la
pérennité de notre matériel génétique, perpétuant ainsi le chantier de construction-
déconstruction.

D’après Ça m’intéresse

(9)
A. Impassibles devant ce constat,

B. Malgré leurs différents travaux,

C. Sans parler de produit de jouvence,

D. Persuadés de l’inexactitude de ce propos,

(10)
A. On n’y fait rien,

B. On n’en sait rien,

C. On n’y peut rien,

D. On n’y comprend rien,

(11)
A. Il précise en revanche que

B. Il s’oppose en effet à l’idée que

C. Il met également en doute le fait que

D. De même, il s’attache à contester que


(12)
A. Le corps obéit à une stricte hiérarchie,

B. Le corps est à l’image d’un inventaire,

C. Notre corps ne répond à aucune logique,

D. Il faut imaginer notre corps comme une grosse usine,

(13)
A. L’autre rôle des cellules,

B. La difficulté de notre organisme,

C. La défense du système immunitaire,

D. Le résultat de cette réaction chimique,

Ecovolontariat

La nature et les animaux sauvages vous passionnent ? L’écovolontariat est pour


vous ! Des actions, telles que le nettoyage d’une plage ou le sauvetage d’oiseaux
blessés, connaissent un succès fulgurant.

Mais lorsqu’on s’engage dans une telle action, mieux vaut bien se renseigner avant !
En effet, certains organismes, sous prétexte de préserver la nature, proposent des
missions qui ne visent qu’une participation financière. D’autres organismes
proposent des activités qui ne correspondent pas à la réalité. Ils promettent aux
futurs bénévoles qu’ils vont soigner des animaux sauvages, alors qu’en fait ils ne
feront que nettoyer leurs cages, sans jamais les voir.

Pour éviter les mauvaises surprises, un site Internet met en contact les
écovolontaires motivés avec des associations sérieuses. Pas besoin d’être un expert
en environnement pour se lancer et trouver une mission adaptée à ses envies et
disponibilités ! L’écovolontariat permet de se sentir utile et d’en apprendre beaucoup
sur les animaux et les plantes.

D’après Maxi
Cet article a pour but
A. d’inciter les écovolontaires à s’informer avant de s’engager.

B. de présenter les organismes spécialisés dans l’écovolontariat.

C. d’alerter les écovolontaires sur les situations les plus urgentes.

D. de recenser les missions les plus efficaces de l’écovolontariat.

Il met en garde contre


A. les pratiques abusives de certaines associations.

B. le manque de formation des volontaires concernés.

C. les dépenses liées à la protection de l’environnement.

D. les nombreuses erreurs dans la sélection des bénévoles.

Passer par Internet aiderait à


A. trouver un organisme honnête.

B. bénéficier de conseils de spécialistes.

C. enrichir ses connaissances sur la nature.

D. se spécialiser dans les sciences naturelles.


Historienne de formation et passionnée de littérature, Isabelle Van Debruck a commencé par
envoyer des dizaines de lettres aux grands éditeurs. Sans résultat. "Je ne me suis pas
démontée mais j'ai compris que je devais changer de méthode", explique cette brunette de
26 ans. Originaire de Bruxelles, elle s'est donc mise à prospecter dans cette ville. Un matin,
elle débarque, dossier de candidature sous le bras, aux Editions Janssens et demande à voir
le directeur. "C'est mon expérience de baby-sitter qui a retenu son attention : il cherchait
quelqu'un pour s'occuper de ses trois enfants !", raconte Isabelle. Elle a accepté la
proposition pour se faire un peu d'argent. Et, lorsque son "employeur" a évoqué devant elle
un projet de revue locale, elle lui a rappelé ses dispositions pour l'écriture et l'histoire.
Gagné : d'abord embauchée comme stagiaire, Isabelle a travaillé d'arrache-pied et a fini par
signer un contrat.

Ce texte raconte l'histoire


A. d'une jeune journaliste.

B. d'une jeune fille au pair.

C. d'une auteur pour enfants.

D. d'une jeune diplômée en littérature.

Au début de sa recherche d’emploi, Isabelle


A. ne voulait travailler qu’à Bruxelles.

B. a écrit à de nombreuses maisons d’édition.

C. a employé plusieurs méthodes sans succès.

D. voulait travailler dans une bibliothèque historique.

On apprend qu’elle
A. a envoyé un dossier aux Editions Janssens.

B. s'est présentée d'elle-même aux Editions Janssens.

C. a été convoquée par le directeur des Editions Janssens.

D. a proposé au directeur des Editions Janssens de devenir sa baby-sitter.

Le texte insiste sur le fait qu’Isabelle


A. a négocié un bon salaire.

B. a dû beaucoup travailler.
C. est aujourd'hui à la tête des Editions Janssens.

D. a continué à faire du baby-sitting pendant son stage.


Alerter les consommateurs sur les conséquences de la contrefaçon. Tel est le but du
projet baptisé « Contrefaçon danger » que vient de lancer le gouvernement contre ce
qu’il qualifie de « crime économique et social ». Elle sera basée sur l’affichage de
panneaux dans les villes et sur la diffusion de spots à la radio. Le gouvernement
estime à 6 milliards d’euros le montant annuel du manque à gagner pour l’État en
raison du marché du faux. Selon le comité national anti-contrefaçon, la copie
représente 5 à 9% des échanges économiques mondiaux. L’organisme ajoute que le
« pillage du savoir-faire » participe à la suppression d’au moins 30.000 emplois par
an en France, du fait des licenciements auxquels sont contraintes les entreprises
victimes de la contrefaçon et donc en difficulté financière. À l’échelle internationale,
le nombre de postes supprimés s’élèverait à 200.000.

« Il y va non seulement de l’emploi et du respect de la propriété industrielle, mais


aussi de la sécurité et de la santé des consommateurs » déclare la ministre
déléguée à l’industrie. Dernier point abordé : les liens avérés entre le commerce de
la contrefaçon et la mafia. Ainsi, en achetant des copies, on finance le crime
organisé.

D’après Les informations

Cet article présente


A. une proposition de loi.

B. un dispositif international.

C. les résultats d’une enquête.

D. une campagne de sensibilisation.

La somme de 6 milliards d’euros mentionnée dans cet article


A. sert à financer les nouveaux équipements de la contrefaçon.

B. est une estimation des bénéfices annuels de l’industrie du faux.

C. est le montant investi chaque année par l’État dans la lutte anti-faux.

D. représente ce que l’État toucherait sans l’existence de la contrefaçon.

Dans cet article, on apprend que


A. les emplois de la contrefaçon sont en diminution sensible.

B. l’industrie du faux provoque un regain du nombre d’emplois.

C. les licenciements sont monnaie courante dans l’industrie du faux.


D. de nombreux licenciements économiques sont dus à la contrefaçon.

Le lecteur est averti des risques pesant sur


A. la propagation du réseau de criminels.

B. l’équilibre des échanges économiques.

C. l’intégrité physique des consommateurs.


D. la sécurité des employés des entreprises.

La France sans toit ni loi


Pénurie criante d’appartements, statistiques bidon, administration kafkaïenne,
interventions dans l’urgence… L’État français bafoue un droit social
fondamental. Il vient d’être condamné à Strasbourg pour des manquements à
son obligation de favoriser l’accès au logement de chacun. Radiographie d’un
mal hexagonal.

Ils sont invisibles et, souvent, souhaitent par-dessus tout le rester. Près de Paris, un
jeune couple, trois enfants, vit depuis 6 mois dans une chambre à 39 euros au
Rapide Palace. « Pour des saisonniers immigrés qui débarquent, cela s’explique.
Nous, on ne fait pas loin de 2600 euros par mois, avec la paie de mon mari et les
allocations. » Autre chambre, autre famille : « Les gens nous regardent comme si
notre situation cachait quelque chose. On préfère dire qu’on n’a pas de boulot : tout
le monde comprend, les questions s’arrêtent. »

Il y a cinq ans, les associations s’évertuaient à dénoncer une crise, alors que l’État
n’y voyait qu’un problème d’urgence, surtout pendant l’hiver.

Au plus froid de l’hiver, le Premier ministre confie au député Etienne Pinte une
mission sur le logement. L’élu prend l’affaire à cœur. Quelques mois plus tard, il
soupire : « Tout est géré par la crise, au pied du mur, et après l’effet d’annonce, la
mise en œuvre est un travail d’Hercule. »

Prenons par exemple la loi SRU (solidarité et renouvellement urbains). Celle-ci


impose aux communes d’avoir au moins 20% de logements sociaux, mais elle est
peu dissuasive. Un élu peut même dire sans qu’il ne se passe rien : « moi je ne fais
pas de logement social. » Aux dernières élections municipales, la non application de
la loi s’est parfois même transformée en promesse électorale genre « pas de
pauvres ici, c’est juré ! »

D’après Le Nouvel Observateur


Selon l’article, la France a été condamnée parce que
Ale pays manque de structures d’accueil pour les réfugiés.

Bson système d’attribution des logements sociaux est arbitraire.

Cles montants des loyers des logements sociaux sont trop élevés.

D l’État n’a pas apporté d’aide suffisante aux Français pour se loger.

En France, le problème du logement concerne


Aprincipalement les bénéficiaires d’allocations.

Buniquement les familles d’immigrés.

Cdes personnes aux profils variés.

Dsurtout des gens au chômage.

Selon l’article, face au problème du logement, le gouvernement français


semble
Aêtre totalement impuissant.

Bfaire la sourde oreille.

Cparer au plus pressé.

Dbaisser les bras.

Le fait de ne pas se conformer à la loi SRU


Aest à l’origine de la condamnation de la France.

Best utilisé comme argument électoral.

Cest sévèrement puni par la justice.

Dpeut être décidé par le préfet.


Selon l’OMS, la moitié des médicaments vendus sur Internet relèvent de la
contrefaçon. Les pilules du Net constituent une menace sanitaire réelle ; certaines
ont peu ou pas de principe actif, d’autres peuvent contenir des produits toxiques. À
l’heure où des États comme l’Allemagne, le Danemark ou les Pays-Bas permettent
un tel commerce, l’Union européenne joue-t-elle un jeu trouble au nom de la
dérégulation ? Pour les auteurs de cette enquête pour le moins troublante, il ne fait
aucun doute que la transformation du médicament en simple marchandise favorise
une telle dérive. Le marché sur Internet est visé, mais la modification des
comportements est également à prendre en compte. Au moindre symptôme, le
patient a recours à l’automédication, de plus en plus grâce au Net. Pour l’internaute,
rien de plus simple que de commander sa dose de pilules depuis son salon. Partons
sur les traces des médicaments : des producteurs en Ukraine, des conditionneurs en
Allemagne, des hébergeurs aux Canaries, du stockage à Vanuatu, des comptes off-
shore à Chypre. Les enquêteurs dressent un tableau plutôt noir : aucune traçabilité,
une falsification de plus en plus sophistiquée, une corruption endémique, une réelle
opacité du marché. Pour contourner les législations nationales, les sites s’installent à
l’étranger. Avec un marché évalué à 45 milliards d’euros par l’OMS, les trafiquants et
les mafias en tout genre s’emparent de cette nouvelle poule aux œufs d’or.

Les représentants des industriels, souvent gênés par les questions des journalistes,
ne soufflent mot. Les hébergeurs de sites de vente en ligne de médicaments bottent
en touche. Les autorités sanitaires appellent à une prise de conscience mais
semblent dépassées par les événements. Les saisies se multiplient mais le marché
prolifère. La présidence actuelle de l’Union européenne a présenté un plan de lutte
contre la contrefaçon pour les années à venir : il vise notamment à privilégier
l’information à destination des consommateurs et la coopération douanière. Est-ce
suffisant ?

D’après Télé OBS

Cet article traite


Adu développement de consultations médicales sur le Net.

Bde l’informatisation des pharmacies et des établissements de soins.

Cde la commercialisation de produits médicinaux frelatés via Internet.

Dde la concurrence entre les produits chimiques dans l’Union européenne.

Le phénomène se développe
Aavec de graves retombées sanitaires dans plusieurs pays.

Bmalgré la régulation stricte de l’OMS et de l’Union européenne.


Ctrès lentement en dépit du laxisme de plusieurs pays européens.

Dd’autant plus qu’Internet favorise l’auto-prescription médicinale.

La filière
As’avère plutôt transparente et circonscrite.

Bse développe en marge des procédés mafieux.

Cse révèle excessivement ramifiée et diversifiée.

Dfonctionne globalement de manière très artisanale.

Les mesures pour endiguer le phénomène cherchent à


Arenforcer le rôle des douanes ainsi qu’à sensibiliser les clients.

Bformer les représentants de la santé tout en les responsabilisant.

Cpénaliser tout autant les consommateurs que les hébergeurs des sites.

Dconvaincre les fabricants de collaborer à un règlement transfrontalier.

Dans le texte suivant, cinq phrases ont été supprimées.

Retrouvez chacune d'elles parmi les quatre propositions. Pour chaque


question, cochez votre réponse sur la fiche optique.

Club écolo : un pas de rock, ça change l’énergie

La prise de conscience environnementale de ces dernières années suscite quantité


de projets originaux. (36) Sa conception permet de réaliser des économies d’énergie
considérables. (37) Les pistes de danse produisent en effet de l’électricité par
récupération de l’énergie vibratoire. (38) Chacune d’elles est équipée de dalles qui
s’illuminent grâce à la vigueur des danseurs. (39) Il a réalisé jusqu’à présent une
économie d’énergie de 50%. (40) À terme, le propriétaire souhaite être totalement
autonome en énergie.

D’après Courrier International


(36)
ALa pratique de la danse permettra à tous d’être éco-responsables.

BUn projet de rénovation du club de la ville est actuellement à l’étude.

CLes lieux où sortir le soir sont nombreux mais souvent trop polluants.

DUne discothèque écologique a ainsi ouvert ses portes dans notre ville.

(37)
AL’éclairage et l’agencement des pistes et des bars sont des plus originaux.

BLes amateurs de sortie et les fêtards apprendront ainsi à être plus économes.

CLes danseurs soucieux de respecter la nature peuvent s’amuser sans remords !

DL’architecture du lieu respecte les normes européennes en matière d’écologie.

(38)
AElles sont alimentées grâce aux panneaux solaires installés sur le toit du bâtiment.

BC’est ce système innovant qui permet de rentabiliser les heures passées à danser.

CLes danseurs alimentent le générateur en réalisant des chorégraphies imposées.

DCette énergie est générée par les sauts et les mouvements réalisés sur les pistes.

(39)
ALe concepteur déplore le manque de conscience environnementale des jeunes.

BLe propriétaire souhaite ainsi sensibiliser les jeunes aux enjeux écologiques.

CLe coût d’une telle installation est élevé pour des résultats insatisfaisants.

DLa clientèle n’apprécie guère que l’énergie soit ainsi créée à ses dépens.

(40)
AIl projette déjà d’ouvrir d’autres discothèques de ce type.

BIl espère maintenant réduire les frais de maintenance.


CIl ne compte pas pour autant en rester là.

DIl se félicite d’avoir atteint ce résultat.

Depuis cinquante ans, l’espérance de vie dans les pays industrialisés augmente d’un
an tous les cinq ans. Progrès médicaux, meilleure hygiène de vie. À ce rythme, on
devrait vivre en moyenne 90 ans en 2050, contre 79 aujourd’hui. Cet allongement de
la durée de vie pose de graves problèmes démographiques. Si les chiffres actuels de
natalité restent stables, la proportion des plus de 65 ans va doubler d’ici quinze ans.
Comment va-t-on financer nos retraites ? Pour certains, il n’y a qu’une solution :
travailler plus longtemps. Aux États-Unis, on a déjà tranché ; d’ici cinq ans, les
seniors américains devront travailler jusqu'à 67 ans ! Dans certains pays, en fonction
de l’espérance de vie, la retraite à 80 ans pourrait même être envisagée en 2060. On
s’étrangle… À tort ? « Si, en 2050, vous partez à la retraite à 65 ans, qu’allez-vous
faire des trente ans qui vous restent à vivre ? », argumente un démographe, non
sans raison.

D’après Prima

L’article traite
Ade l’avenir professionnel des séniors.

Bdes outils technologiques pour la santé.

Cdes conditions de travail aux États-Unis.

Dde la forte croissance du taux de naissances.

Cet article met en évidence


Aun possible doublement de la population.

Bun probable allongement de la durée du travail.

Cl’arrêt du financement des retraités de plus de 80 ans.

Dla réalisation d’un plan pour occuper les seniors américains.

Le démographe
Arejette toute réforme avec force.

Bpense que cette étude n’est pas sérieuse.

Ccritique les solutions appliquées aux États-Unis.

Daccepte l’idée d’allonger la durée de la vie active.


La patience, une vertu partagée

Les chimpanzés et les bonobos peuvent s’extraire de la satisfaction immédiate des


besoins pour espérer mieux du futur. La preuve : des chercheurs de l’institut Max-
Planck de Leipzig ont présenté à des cobayes deux tablettes, l’une consommable de
suite avec deux fruits, l’autre disponible après deux minutes d’attente mais
comportant six fruits. Dans 80% des cas, les singes ont préféré attendre pour obtenir
la tablette la plus fournie.

Dans la même situation, un panel d’hommes et de femmes se sont révélés moins


patients. Ils étaient plus enclins à accepter un délai si, au lieu de nourriture, il
s’agissait d’obtenir plus d’argent.

Conclusion : la patience est un comportement ancré chez les primates bien avant
que la lignée humaine ne diverge des singes. Cette façon de se projeter dans l’avenir
pour un meilleur résultat s’est modifiée chez l’homme puisque l’objectif monétaire a
supplanté la satisfaction de la faim.

D'après Sciences et Avenir

L’expérience évoquée avait pour objectif


Ad’essayer un nouveau produit fruité sur des singes.

Bde comparer les habitudes alimentaires des primates.

Cde tester les préférences alimentaires des grands singes.

Dd’évaluer les stratégies d’attente des humains et des singes.

L’expérience montre que


Ala notion d’attente existe chez les singes.

Bles humains n’aiment pas les fruits bon marché.

Cles primates ne ressentent pas la notion de temps.

Dles singes en cage ont des troubles de l’alimentation.

Elle révèle également que


Ala patience des humains peut se monnayer.

Bla faculté d’attente est récente chez les primates.

Cle désir d’argent est différent selon les hommes et les femmes.

Dla capacité d’attente du singe est inférieure à celle de l’homme.


Ça se passe comme ça chez Quick

Certains endroits ont la faculté de bouleverser un être humain, de lui chambouler les
tripes. Le laboratoire-cuisine de Quick-Burger, en plat pays flamand, dans les étages
d’un immeuble anversois de brique et de mortier, est de ceux-là : c’est ici que se
préparent les repas d’aujourd’hui et de demain. C’est ici que se dévoilent parfois –
l’endroit est bien gardé– les réalités de cette « nourriture rapide », belge, qui entend
faire des misères au champion du monde du hamburger, américain.

Le regard ne cesse d’être attiré par des innovations technologiques. La plaque


chauffante : « Il y a dix ans, nous n’avions pas le même grill », explique Erick
Jonckers, responsable de la recherche et du développement. Il fallait retourner
chaque morceau de viande. Des Etats-Unis, l’entreprise a importé le « grill à deux
côtés », sorte de gaufrier qui permet de gagner du temps sur le temps. C’est ensuite
qu’il faut tirer son chapeau devant l’inventivité industrielle belge. En ajoutant un
compresseur et un chronomètre, on a pu régler la machine pour qu’au bout d’un
temps donné (45 secondes en Belgique où la viande est fraîche, 55 en France où
elle est surgelée), l’engin se relève de lui-même.

Par rapport à McDonald’s, il s’agit toujours d’être le premier. Garder une coudée
d’avance, parce que premier arrivé, premier servi. Chez Quick, on revendique en tout
cas certaines médailles. Premier à avoir proposé du yaourt à boire, premier à avoir
vendu des salades. Et premier à avoir introduit des légumes chauds dans ses
burgers.

JL Breda

La journaliste écrit son article sur


Aun laboratoire d’analyses.

Bune cuisine expérimentale.

Cune chaîne de restauration.

Dun célèbre bar belge.

La dernière invention belge est


Aun appareil pour faire les gaufres.

Bun cuiseur automatique miniature.

Cun minuteur sur le « grill à deux côtés ».

Dun four qui dégèle la viande en 45 secondes.


L’endroit décrit est remarquable car
Aon y développe de nouveaux plats.

Bon y analyse tous les produits.

Con y garde bien la nourriture.

Dil a reçu des prix prestigieux.

Quick se revendique comme


Aun producteur d’excellence.

Bun champion de l’innovation.

Cun modèle d’équilibre alimentaire.

Dun précurseur du fast-food végétarien.

Un patrimoine à défendre

Paillasse, fougasse, couronne lyonnaise ou bordelaise… leurs noms fleurent bon la


boulangerie d’antan. « À chaque région son pain », vantent les organisateurs de la
fête du pain en France. Oubliées depuis l’après-guerre, ces spécialités régionales
renaissent à nouveau, soutenues par la nécessité d’enrayer la chute chronique des
ventes de pain. Au début du XXe siècle, on en mangeait jusqu’à 650 grammes par
jour, soit quatre fois plus qu’aujourd’hui. Un phénomène lié à la diversité alimentaire
du monde moderne mais aussi à l’abaissement de la qualité de cet aliment sous
l’effet de sa standardisation. Le retour des formes régionales tenterait ainsi
davantage de réconcilier les Français avec leur artisan boulanger que de renouer
avec une tradition centenaire. Rétrospectivement, on tend à exagérer, idéaliser,
sentimentaliser l’assise régionale du pain, note l’historien américain Steven L.
Kaplan, qui juge l’apparition des pains spéciaux comme un bon levier marketing
répondant avant tout à des paris commerciaux. Néanmoins, l’historien poursuit sa
croisade pour le bon goût. Dans le journal Le Monde, il s’est livré récemment à un
vibrant plaidoyer pour la croûte française cuite à point, dont la disparition
marquerait un pas « vers l’américanisation, l’innommable pain mou, tranché, sous
cellophane ».

D’après Directmatin
La fête du pain a pour objectif principal de
Arelancer la consommation du pain.

Bfaire redécouvrir le métier de boulanger.

Crendre concurrentiels les produits régionaux.

Dvanter les vertus du pain français à l’étranger.

Selon cet article, la qualité du pain français


Aa souffert de son uniformisation.

Bvarie sensiblement selon les régions.

Ca une faible incidence sur sa consommation.

Ds’est améliorée depuis le milieu du siècle dernier.

La fabrication de pains spéciaux


Aest influencée par d’autres pays.

Bpermet de faire la publicité du pain.

Cest très demandée par les consommateurs.

Drépond à l’attachement des Français au terroir.

Selon l’historien, il faudrait


Aentreprendre une modernisation des procédés de panification.

Bs’aligner sur l’expertise américaine en matière de conditionnement.

Crépondre de manière plus adéquate aux impératifs de la mondialisation.

Dpréserver les caractéristiques qui garantissent la qualité du pain français.


Dans le texte suivant, cinq phrases ont été supprimées.

Retrouvez chacune d'elles parmi les quatre propositions. Pour chaque


question, cochez votre réponse sur la fiche optique.

Il y a quatorze ans, Georges Mear et son épouse emménagent dans une maison
neuve à Brest : …(36)…, privilégiant les bois collés, agglomérés et contreplaqués.
Celle-ci sentait « le neuf, rien de plus », se souvient-il. …(37)… Puis les
complications, rhinites matinales, asthme qui, curieusement, disparaissent lorsque le
couple s’éloigne. …(38)… Et après dix-huit mois d’enquête tous azimuts, de la
ventilation mécanique aux matériaux de construction, le constat s’impose : …(39)
…. « Dix ans de recherches intensives pour cause de procédure judiciaire m’ont
permis de découvrir et approfondir ce problème nouveau qu’est la pollution de l’air
dans nos maisons, véritable problème de santé publique. » Par cette enquête
personnelle, ce commandant de bord de Boeing 747 à la retraite devient spécialiste
du sujet et en publie un livre. « …(40)…, mais il l’est souvent davantage que celui de
la rue ! », affirme-t-il.

D’après Consom’Action

(36)
Aune maison des plus modernes achetée sur plan

Bune maison des années 50 avec des matériaux de l’époque

Cune maison rustique qu’il avait héritée de ses grands-parents

Dune maison où il a dû faire de nombreux travaux de rénovation

(37)
AArrive enfin le temps des vacances : le couple voyage à l’étranger.

BApparaissent alors les premiers symptômes d’inconfort : maux de tête, fatigue…

CS’ensuivent ensuite les derniers travaux de réaménagement : peintures, finitions…

DSurviennent alors les événements de la vie de couple : grossesse, naissance des


enfants.

38)
ALoin des yeux, loin du cœur...

BLa mission s’avère impossible.

CLe rêve se transforme en cauchemar.

DLa chenille se transforme en papillon.


(39)
ALa maison de Georges est hantée.

BLa maison de Georges empoisonne.

CGeorges paie pour avoir fait baisser le prix.

DGeorges s’est fait arnaquer par les précédents propriétaires.

(40)
ANon seulement l’air de nos maisons est pollué

BC’est un nouveau problème de santé publique

CIl faut lutter contre une nouvelle source de pollution

DIl y a non seulement un nouveau problème écologique


Le cerveau humain

L’idée que le cerveau puisse s’approprier des membres extérieurs ou l’idée qu’il
existe des membres fantômes habitant notre cerveau est liée à cette capacité que
l’on appelle la neuroplasticité du cerveau adulte. C’est-à-dire la possibilité de pouvoir
reconfigurer des circuits, de trouver de nouvelles connexions en permanence en
fonction de certaines règles, notamment des règles qui dépendent de l’activité. Plus
vous utilisez des circuits et plus les connexions vont voir leur efficacité augmenter.
C’est une des raisons pour laquelle d’ailleurs cette analogie que l’on fait souvent du
cerveau et l’ordinateur ne tient pas, puisque ce cerveau a cette capacité d’auto-
reconfiguration. On s’aperçoit que lorsque l’on fait de l’imagerie cérébrale avant
l’implantation - ce qu’on a vu, par exemple, pour des personnes qui ont eu les deux
mains greffées - on peut faire un suivi pour les mêmes personnes avant la greffe,
quelques mois après la greffe et puis des années plus tard.

On s’aperçoit véritablement que les membres greffés, au départ, sont traités comme
des espèces d’organes incongrus, mais que très vite ils retrouvent les connexions et
qu’on revoit les régions corticales censées gérer et la motricité et la sensibilité s’être
approprié des connexions. C’est-à-dire que le fait d’avoir eu une congruence entre la
sensibilité et le toucher et la vision fait que ce cerveau peu à peu s’approprie ses
propres membres. Et c’est une chose qui est assez importante, c’est de se rendre
compte que, finalement, là aussi, la preuve de cette fameuse neuroplasticité, quel
que soit l’âge du sujet, c’est que lorsque vous allez apprendre à jouer au golf ou à
jouer au tennis, eh bien la raquette, le club de golf, devient une extension de votre
membre.

Tout ça pour quoi ? Parce qu’il va y avoir une convergence entre les signaux visuels,
entre les signaux du toucher, qui vont faire qu’à force d’entraînement, les circuits
vont se recâbler en quelque sorte pour affiner la précision du geste.

Et on ne refait que ce qu’a fait l’enfant quand il sort du ventre de sa mère et qu’il va
apprendre à gérer ses membres. Il va faire, selon des règles par essais et erreurs, et
les erreurs seront jugées par la vision. Donc il va y avoir une congruence entre le
toucher et la vision pour que cet enfant ou cet adepte d’un sport fasse sien la
raquette ou le club. C’est un apprentissage dans lequel les systèmes de
récompense, la dopamine notamment, sont extrêmement importants. Vous ne
pouvez pas apprendre si vous n’êtes pas motivé et vous ne pouvez pas non plus
apprendre si vous ne trouvez pas de plaisir. Donc on retrouve là toujours les
systèmes de la récompense, mais ce sont ces systèmes-là qui nous permettent
d’apprendre et de retenir.
Le cerveau humain est-il comparable à un ordinateur ?
A. Oui, car il est fait de circuits et de connexions.

B. Oui, car il est capable de commander toute une série de périphériques


externes.

C. Non, car il est capable de se programmer lui-même.

D. Non, car sa mémoire n'est pas limitée : il peut apprendre continuellement.

Laquelle des définitions ci-dessous pourrait être celle de la "neuroplasticité" ?


A. La capacité d'adaptation du cerveau.

B. La souplesse du cerveau.

C. La capacité d'apprentissage du cerveau.

D. La capacité du cerveau à gérer les différents sens avec souplesse.

Pourquoi l'auteur fait-il une comparaison entre un sportif et un nouveau-né ?


A. Parce que tous deux doivent apprendre à se servir de leurs membres grâce
au toucher.

B. Parce que tous deux doivent apprendre à se servir de leurs membres grâce à
la vue.

C. Parce que tous deux doivent apprendre à se servir de leurs membres grâce
au toucher et à la vue.

D. Parce que les greffés se rééduquent très bien grâce au sport.


Le 18e congrès de la Fédération des usagers de ma bicyclette (FUB) a débuté ce
jeudi à Lyon. Mais la révélation attendue des résultats de son enquête « Baromètre
des villes cyclables » et plus précisément le palmarès des villes pro-vélo était prévue
ce vendredi midi.

Et Strasbourg reste bien la capitale française du vélo !


L’information a été dévoilée dans un communiqué transmis aux médias à la mi-
journée. Dans ce classement, la capitale alsacienne – en avance grâce à une
politique de développement amorcée dès les années 80 et toujours poursuivie
depuis – devance les villes de Nantes et Bordeaux.
La FUB invite les villes de France à s’emparer des résultats de cette enquête pour
concevoir des pratiques modernes, à la hauteur des enjeux du 21e siècle.

Ce texte parle :
Adu développement des villes de France.

Bde la progression des pistes cyclables.

Cdu classement national de la pratique du cyclisme.

Dde l'importance de l'écologie dans les villes de France.

À propos du palmarès, ce document annonce :


Ades résultats en progression inédite.

Bdes résultats stables.

Cdes résultats inattendus.

Ddes résultats contrastés.

Selon l'association :
Ail devrait y avoir peu de changement à court terme.

Bles conditions de circulation à vélo sont satisfaisantes cette année.

Cles politiques cyclables devraient être plus ambitieuses.

Dles villes françaises font des efforts significatifs pour la mobilité.


Londres
Posé dans un hangar de Battersea, quartier situé au sud-ouest du centre de
Londres, un studio est loué 350 euros par mois contre 1000 euros pour un logement
de la même taille dans un immeuble standard des environs. Né d’une collaboration
entre un cabinet d’architecture une société de gestion immobilière, le cabanon Shed
permet à la fois de mieux exploiter les espaces vides et de proposer des loyers
modérés, notamment aux jeunes actifs. Dans trois mois, quelque 20 boîtes de 9 à
14 m2 vont faire leur apparition dans un entrepôt du sud de la capitale
britannique. “L’idée est de créer un village constitué de cabanons, avec des
sanitaires communs et où chacun aura un petit jardin”, détaille The Times.

Berlin
En 2015, quelque 890 000 réfugiés ont été accueillis en Allemagne. En passant
devant une file interminable de personnes attendant devant le centre de demande
d'asile à Berlin, un architecte allemand a l'idée de leur construire un abri à l'aide de
quelques planches de bois. Sa Tiny100, une maison miniature, était née. Poussé par
des valeurs de solidarité et de justice sociale, l'architecte a depuis construit plusieurs
petits logements de 10m2 qu'il souhaite voir loués à 100 euros maximum par mois.

Hong Kong
Alors que les appartements deviennent de plus en plus exigus et que les conteneurs
aménagés font leur chemin, Hong Kong envisage une nouvelle solution de logement
bon marché: les tuyaux en béton armé. Cette idée est développée par un architecte
déjà à l’origine de l’AlPod – un conteneur d’habitation spacieux et fonctionnel mais
trop coûteux. Il lance alors le concept de l’O-Pod, le conduit en béton armé. De
2,5 mètres de diamètre, il posséderait des propriétés physiques optimales en matière
d’isolation. “Pour donner corps au concept industriel innovant qu’est l’O-Pod, nous
nous adressons aux fournisseurs de matériaux de construction et achetons à très
bas prix des tuyaux en béton, que nous convertissons en logements”, a expliqué
l’architecte au quotidien hongkongais. Cependant, il ne conçoit pour l’instant ces
logements que comme des habitations temporaires.

Il y a fort à parier que ces propositions ne laisseront pas de marbre. Elles forcent en
tout état de cause à relancer le débat philosophique de la solidarité en matière
d’accueil des plus démunis et de l’opportunisme mercantile qu’une telle situation ne
manquera pas de provoquer.
Quel pourrait être le titre de ce document ?
A. Face aux nouveaux défis urbains, optimiser l'habitat des grandes villes.
B. Des logements pour demain.
C. L'habitat face aux défis humanitaires.
D. Hommes et matériaux : un renouveau architectural.

Le point commun de tous ces exemples est :


A. Un logement microscopique mais peu cher.
B. Un logement pérenne mais petit.
C. Un logement permanent mais fragile.
D. Un logement temporaire mais vaste.

Le débat suscité par ces types de logement est :


A. Le manque de solidarité pousse à créer des logements inadaptés.
B. L'appât du gain guidera sûrement les futures constructions.
C. Le problème de la surpopulation dans les villes engendrera de plus en plus de
telles constructions.
D. L'accueil des plus pauvres bénéficie à la politique de la ville.
La crèche sous toutes ses formes

De toutes dimensions, en tricot, carton, terre, faïence ou osier, les scènes de la


Nativité installées dans le château de Trévarez, révèlent des genres les plus divers.

La mini-crèche « high-tech » est issue de l’imagination et du savoir-faire de deux


lycéens de Morlaix. Ils ont appris à réaliser des ensembles de petites dimensions
intégrant micromécanique, optique et électronique.

Mais Noël, c’est aussi la tradition, marquée cette année par un hommage à la
Provence, avec une représentation de la vieille ville d’Aubagne peuplée de célèbres
santons provençaux.

Un Quimpérois a choisi de placer une Nativité au centre d’une terre transparente


« déchirée par la famine, les guerres, les maladies, les misères ». Par un savant
collage de photos, il a souhaité que les enfants des pays en voie de développement
ne soient pas oubliés.

L’universalité de Noël se retrouve également dans les crèches fabriquées par des
artisans de nombreux pays, notamment une terre cuite venue de Bangladesh, des
personnages colorés de Colombie, des bergers roumains, burkinabés, péruviens ou
ukrainiens.

D’après Métro

Le château de Trévarez accueille une exposition


A. D’œuvres d’artisans de l’Europe de l’Est.
B. D’installations de Noël du monde entier.
C. De réalisations d’une classe de lycéens.
D. De crèches françaises traditionnelles.

Les réalisations présentées à l’exposition


A. Sont de tailles et de styles différents.
B. Sont toutes fidèles à la tradition.
C. Illustrent des contes folkloriques.
D. Emploient les mêmes matériaux.

Un auteur quimpérois
A. A présenté une œuvre d’art à caractère engagé.
B. A envoyé des photos à des enfants du tiers-monde.
C. S’est servi de papier déchiré dans son installation.
D. A créé une association pour les victimes de la famine.
Le vote par Internet à l’étude en Belgique
Bientôt les "élections" ?

Décidément, le préfixe "e-" s’appose partout, même sur les institutions les plus
vénérables : après le commerce (e-business), la culture (e-book) et le courrier (e-
mail), la démocratie se met à l’heure électronique. En Europe, le coup est parti de
Belgique : Vincent Van Flupke a déposé une proposition de loi en faveur du "vote
démocratisé à distance". En clair : autoriser le vote en ligne lors des prochaines
élections fédérales. Principaux bénéficiaires de ce système : la diaspora (300 000 à
400 000 expatriés) et les personnes âgées vivant dans les hôpitaux et les hospices,
qui pourront ainsi voter en se connectant sur Internet.

A priori, on trouve ça sympathique, le "e-vote". Ça dépoussière le vieux concept grec


de démocratie, ça permet (en théorie) de lutter contre l’abstention et c’est moins cher
à organiser qu’un dépouillement classique. Seulement voilà : non seulement les
problèmes techniques sont immenses (comment identifier le votant ?), mais le "e-
vote" bafoue le secret de l’isoloir, banalise le rituel électoral et rabaisse le scrutin au
rang de sondage.

En Belgique, le « vote démocratisé à distance »


A. Entre en vigueur pour les prochaines élections.
B. Est une vieille querelle parlementaire.
C. Vient d’être autorisé par le Sénat.
D. fait l’objet d’un débat politique.

Le "e vote" est particulièrement intéressant pour


A. Toutes les personnes âgées.
B. Les Belges vivant à l’étranger.
C. Les citoyens habitant à la campagne.
D. Les étrangers résidant en Belgique

Un avantage du vote en ligne est de


A. Moderniser la démocratie.
B. Abaisser la valeur des sondages.
C. Garantir la confidentialité du vote.
D. optimiser le comptage des voix.

L’inconvénient majeur du vote en ligne est de


A. Coûter beaucoup plus cher.
B. Désacraliser les élections.
C. Rendre le vote facultatif.
D. Favoriser l’abstention.
(1). Triste nouvelle pour tous ceux qui n’avaient pu la rencontrer. La lionne du zoo de
l’Oklahoma avait soudainement commencé à développer une crinière l’année
dernière. (2)
En effet, généralement, seuls les jeunes lions mâles développent une crinière
lorsqu’ils ont environ un an.
Le zoo avait annoncé l’étrange phénomène en février avant d’assurer un mois plus
tard avoir résolu le mystère. Des tests sanguins avaient révélé que la lionne libérait
une importante quantité d’hormones mâles qui avaient eu pour conséquence le
développement de la crinière. (3)
Mais mardi les soigneurs du zoo ont remarqué des changements importants dans le
comportement de la lionne. Bridget ne manifestait plus d’intérêt à manger ou à se
promener. Le vétérinaire et ses soigneurs ont pris la difficile décision d’euthanasier
sans cruauté Bridget.

(1)
A. La lionne Bridget perd soudainement sa crinière, qui avait fait son succès !
B. La lionne africaine Bridget est morte mercredi, vers 18 h 30, a annoncé jeudi dans
un communiqué le zoo qui l’hébergeait.
C. Face à sa popularité grandissante, la sécurité de la lionne n'était plus
correctement assurée.
D. Des analyses scientifiques épuisent et isolent Bridget, la lionne à la crinière.

(2)
A. L'âge avancé de la lionne en était probablement la cause.
B. Cette soudaine apparition avait déclenché l'arrivée massive de chercheurs.
C. Cela n’a pas manqué de laisser stupéfaits les employés du parc zoologique.
D. Une telle métamorphose s'était déjà produite auparavant.

(3)
A. La lionne était cependant restée en bonne santé et n’avait pas semblé perturbée
par sa soudaine pilosité.
B. Son état n'avait alors cessé de se déteriorer.
C. Cette crinière inédite nécessitait des soins très attentifs.
D. Le mal qui la rongeait la rendait apathique.

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