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Résumé de “Les 7 Habitudes Des

Gens Très Efficaces” par Stephen


Covey
De puissantes leçons pour le changement
personnel
Écrit par Bookey
À Propos du Livre
Ce livre, comme son titre l’indique, traite des sept
habitudes des personnes très efficaces dans leur vie.
Il nous enseigne comment remporter des victoires à
la fois dans la sphère privée et la sphère publique,
afin de changer radicalement notre vie et notre
carrière, et atteindre le succès et le bonheur. Connu
comme étant la « Bible » du monde des affaires
américain et des services de gestion des
gouvernements, ce livre fait partie du programme
de formation des entreprises du Fortune Global 500
et est classé par le magazine Forbes parmi les dix
livres de gestion les plus influents de l’histoire.
A Propos de l'auteur
L’auteur de ce livre, Stephen Covey, était un
gourou du management de renommée mondiale et
une figure très respectée en matière de leadership.
Il a acquis au fil du temps une excellente réputation
dans les domaines des théories du leadership, des
relations familiales et interpersonnelles et du
management personnel. Aux États-Unis et même
dans le monde entier, ses réflexions sont
comparables à celles de Carnegie, Peter F. Drucker
et Jack Welch. Covey est considéré par la
communauté universitaire américaine comme un «
maître à penser ». Le magazine Time l’a nommé «
l’une des vingt-cinq personnes les plus influentes
de l’histoire américaine », et « un mentor du
potentiel humain ».
Chapitre 1 : Introduction
Bonjour, bienvenue sur Bookey, aujourd’hui, nous
allons parler du livre Les 7 Habitudes Des Gens
Efficaces. Il s’agit principalement de découvrir
comment devenir une personne hautement efficace,
et atteindre à la fois le succès et le bonheur.
Beaucoup d’entre nous se sont déjà retrouvés à
devoir faire tellement de choses pendant une
journée qu’ils ont senti le temps ne leur suffisait
pas. Malgré le fait qu’on travaille du matin au soir
et qu’on se sent épuisé à la fin de la journée, on
n’arrive jamais à finir tout ce qu’on était censé faire.
Pendant ce temps-là, il y a des gens autour de nous
qui font à peine des heures supplémentaires, et qui
pourtant réussissent à effectuer un excellent travail.
Ils arrivent même à profiter de leur temps libre.
Comment cela se fait-il ? Sont-ils nés avec un QI
plus élevé ? La vérité c’est que certaines
personnes ont développé de bonnes habitudes pour
gagner en efficacité, ce qui leur permet de mener
une vie confortable mais également très efficace.
Peut-être vous demandez-vous : qu’est-ce que la
grande efficacité ? L’efficacité élevée fait référence
à l’équilibre entre la production et la capacité de
production, que l’on appelle dans ce livre
l’équilibre P/PC. P signifie production, et PC
signifie capacité de production. Connaissez-vous la
fable de l’oie aux œufs d’or ? Un fermier possède
une oie capable de pondre des œufs en or, et il
devient rapidement extrêmement riche. Cependant,
le fermier, très avide, ne se satisfait pas d’un seul
œuf d’or par jour, et il tue la poule dans l’espoir d’e
retirer tous les œufs d’or qu’il trouverait à
l’intérieur de son corps. À sa grande surprise, il n’y
a aucun œuf d’or dans l’oie. L’oie est morte, il n’y
a donc plus aucun moyen d’obtenir des œufs en or.
Le fermier a tout gâché pour lui. Dans la fable
ci-dessus, les œufs d’or représentent ce qui est
produit, et la capacité de production, à savoir l’actif
ou la capacité de produire, est l’oie aux œufs d’or.
Si nous « nous concentrons uniquement sur les
œufs d’or et négligeons l’oie», nous perdrons à la
fois l’oie et les œufs. À l’inverse, si nous « ne
prenons soin que de l’oie sans avoir pour objectif la
production d’œufs d’or », nous ne pourrons ni nous
nourrir nous-même ni nourrir la poule. Par
conséquent, ce n’est que lorsque vous prenez bien
soin de l’oie que vous pourrez obtenir des œufs
d’or. Et ce n’est que lorsque vous contrôlez votre
désir d’en demander toujours trop à l’oie que vous
réussirez à la garder en vie. De même, ce n’est
qu’en trouvant un équilibre entre performance
professionnelle et bien-être que l’on peut atteindre
une réelle efficacité et réaliser de plus grandes
choses. Ce livre nous fait découvrir les astuces qui
vous permettront d’atteindre plus facilement une
grande efficacité. L’auteur de ce livre, Stephen
Covey, était un gourou du management de
renommée mondiale et une figure très respectée en
matière de leadership. Il a acquis au fil du temps
une excellente réputation dans les domaines des
théories du leadership, des relations familiales et
interpersonnelles et du management personnel. Aux
États-Unis et même dans le monde entier, ses
réflexions sont comparables à celles de Carnegie,
Peter F. Drucker et Jack Welch. Covey est
considéré par la communauté universitaire
américaine comme un « maître à penser ». Le
magazine Time l’a nommé « l’une des vingt-cinq
personnes les plus influentes de l’histoire
américaine », et « un mentor du potentiel humain ».
Les 7 Habitudes Des Gens Efficaces, est également
connu comme étant la « Bible » du monde des
affaires américain et du département de gestion du
gouvernement. Il est classé comme l’un des dix
livres de gestion les plus influents de l’histoire par
le magazine Forbes. Il vous enseignera sept bonnes
habitudes. Ces habitudes vous permettront de
réussir dans ce que vous entreprendrez et d’être très
efficace sans trop de difficultés, que ce soit sur le
plan personnel ou interpersonnel. Ces habitudes
vous aideront à changer radicalement votre vie et
votre carrière. Sans plus attendre, nous allons
débloquer le livre, selon les trois parties suivantes :
Première partie : Comment améliorer son efficacité
personnelle et remporter des victoires personnelles.
Deuxième partie : Comment améliorer son
efficacité interpersonnelle afin de remporter des
victoires collectives ? Troisième partie :
Comment réussir à se renouveler et à s’améliorer
constamment ?
Chapitre 2: Comment améliorer
son efficacitéafin de remporter
des victoires personnelles
Commençons par cette première partie. Afin
d’améliorer son efficacité personnelle et de
remporter des victoires sur le plan privé, il faut
développer trois habitudes : être proactif,
commencer en gardant à l’esprit « la fin », et
définir ses priorités. La première habitude à
développer, à savoir « être proactif », consiste à
choisir la manière de répondre aux stimuli externes
matériels, psychologiques et sociaux en fonction de
nos valeurs. Cela ne veut pas seulement dire
prendre des initiatives. Il s’agit plutôt d’une
attitude à adopter face à la vie, à savoir être
responsable de sa propre vie. Les personnes
proactives sont conscientes que notre
comportement est fonction de nos décisions, et non
de nos conditions. Nous devons prendre l’initiative
et la responsabilité de faire bouger les choses. Le
comportement des personnes proactives est le fruit
de leurs propres choix conscients, il est fondé sur
des valeurs, plutôt que sur l’influence de
l’environnement, des conditions extérieures et
d’autres personnes. En revanche, les personnes
réactives sont facilement influencées par leur
environnement et les autres personnes. Selon
l’auteur, créer son équilibre P/PC d’ l’efficacité
nécessite de prendre des initiatives. Parmi les sept
habitudes des personnes très efficaces, les six
autres dépendent du développement de notre
muscle proactif. Si nous faisons face au statu quo et
à l’avenir avec une attitude positive et créons un
environnement favorable, nous pourrons obtenir de
meilleures opportunités et nous développer. Un
jour , Covey a travaillé avec un groupe de
personnes dans le secteur de la rénovation
résidentielle. C’était pendant la période de
récession économique, et l’industrie de la
rénovation avait été fortement touchée par la crise.
Compte tenu de la situation, Covey a organisé une
réunion avec plus de vingt représentants
d’organisations pour discuter de la manière de faire
face à cette situation difficile. Au début, tous
étaient contrariés et découragés, mais par la suite,
ils ont commencé à adopter des attitudes plus
proactives. Ils ont analysé le statu quo de
l’industrie, discuté de la manière d’améliorer la
gestion, de réduire les coûts, d’augmenter la part de
marché, et ont formulé des solutions envisageables.
Tous les participants sont sortis de la réunion
enthousiastes et confiants. Qu’auraient fait les
personnes réactives dans cette situation ? Elles
auraient pensé : Oh, allez. Regardons les choses en
face. Ces approches de la pensée positive et de la «
self-psychology », ou psychologie du soi, n’ont en
réalité qu’une portée limitée. Tôt ou tard, il faut
faire face à la réalité. Selon Covey, les
entreprises, les familles et les communautés
sociales devraient toutes avoir une attitude
proactive, se créer une culture proactive, dans le
but d’atteindre des objectifs et des valeurs partagés.
Comment est-il possible de savoir si une personne
est proactive ou non ? C’est simple. Nous devons
prêter attention à ce sur quoi cette personne
concentre son temps et son énergie. Nous avons
tous un large éventail de préoccupations, telles que
notre carrière, notre famille, nos enfants et notre
santé. Ces choses-là forment notre « cercle de
préoccupations ». Mais à l’intérieur de ce cercle, il
y a des éléments sur lesquels nous n’avons aucun
contrôle réel et d’autres sur lesquels nous pouvons
agir. Les préoccupations de ce dernier groupe,
(celui sur lequel nous pouvons agir) , forment un
cercle plus petit appelé « cercle d’influence ». Ce
dernier comprend des préoccupations telles que la
maîtrise d’une compétence et l’établissement de
bonnes relations interpersonnelles. Les personnes
proactives concentrent leurs efforts sur le cercle
d’influence. Elles travaillent sur les choses sur
lesquelles elles peuvent exercer une influence. En
revanche, les personnes réactives concentrent leurs
efforts sur les choses situées en dehors du cercle
d’influence. Elles se concentrent sur les faiblesses
des autres personnes et sur les choses qui dépassent
leurs propres capacités individuelles. Elles blâment
et accusent souvent les autres, et trouvent des
excuses pour leurs comportements négatifs.
Comment pouvons-nous devenir proactifs ? Nous
devons nous concentrer sur le cercle d’influence et
l’élargir progressivement. En d’autres termes, nous
devons commencer par changer les choses qui sont
à notre portée, en nous améliorant nous-mêmes,
d’abord, pour pouvoir ensuite commencer à
influencer et à changer notre environnement. Avoir
une attitude proactive signifie faire de son mieux
pour changer ce qui peut l’être. Même pour les
choses qui échappent à notre contrôle, les
personnes proactives ne se contenteront pas de
blâmer les facteurs externes ou d’abandonner en
désespoir de cause, mais resteront optimistes et
entreprenantes. L’auteur prend l’histoire de
Gandhi pour illustrer la proactivité. Gandhi a été
critiqué par les chambres législatives indiennes
parce qu’il avait refusé de se joindre à elles afin de
condamner l’Empire britannique pour avoir asservi
le peuple indien. Au lieu de cela, Gandhi avait
choisi d’aller à la campagne et de travailler avec les
ouvriers agricoles, contre vents et marées. Petit à
petit il est devenu une personne très influente,
d’abord parmi les pauvres, puis en gagnant le
soutien et la confiance de toute la population
indienne, élargissant ainsi son cercle d’influence.
Grâce à des grèves de la faim et en faisant usage de
la persuasion morale, il a fini par libérer le peuple
indien de la colonisation britannique. Comme
nous pouvons le constater, être proactif est le point
de départ vers une grande efficacité, qui est vitale
pour notre vie. Mais à part ça, si nous voulons
remporter des victoires personnelles, nous devons
également prendre l’habitude de commencer toute
chose en gardant à l’esprit sa fin. Commencer en
ayant à l’esprit la fin signifie avoir une
compréhension claire de la direction qu’on prend et
de notre destination avant même de commencer à
faire quoi que ce soit. Cela signifie prendre nos
objectifs de vie comme critère pour examiner ce
que nous disons et faisons. De cette façon, nous
pouvons éviter de nous égarer dans la poursuite de
nos objectifs et d’avoir des regrets par la suite.
L’auteur a souligné que toutes les choses avaient
deux créations. Avant de commencer quelque chose,
nous concevons d’abord un plan dans notre esprit.
C’est la création mentale ou première création.
Après avoir eu une idée de ce que nous comptons
faire, nous la mettons en pratique. C’est la création
physique ou seconde création. Par exemple, si
nous voulons construire une maison, nous devons
d’abord penser à la structure architecturale et à
chaque détail, puis créer un plan précis. C’est la
première création. Ensuite, nous pouvons réaliser la
construction de la maison selon le plan élaboré.
C’est la deuxième création. La deuxième
habitude des personnes très efficaces, qui consiste à
commencer toute chose en ayant à l’esprit sa fin,
concerne la « première création ». Elle s’applique à
de nombreuses choses :de la planification de notre
vie personnelle à la création d’une entreprise, en
passant par l’éducation de nos enfants. Nous
devons toujours commencer par nous fixer un
objectif afin de pouvoir continuer à avancer et
prendre l’initiative de concevoir ou de réécrire le
scénario de notre vie. Il en va de même pour
l’éducation des enfants. Si nous voulons élever des
enfants autodisciplinés et responsables, nous
devons garder cet objectif à l’esprit au quotidien et
ne jamais faire quelque chose qui pourrait nuire à
l’autodiscipline ou à l’estime de soi des enfants. En
utilisant des directives et des valeurs claires comme
plan directeur, on peut mieux jouer notre rôle de
parents. Alors, comment déterminer nos objectifs
et notre direction de vie ? Covey a suggéré que
nous devrions être centrés sur nos principes afin de
pouvoir trouver nos objectifs et nos directions.
Mais de quels principes parle-t-on? Les principes
sont des vérités universellement applicables,
comme la gravité dans la dimension physique par
exemple. Ce sont des lois naturelles qui ne peuvent
être ignorées. Par exemple, l’équité, l’honnêteté et
l’intégrité sont les principes de la société civilisée.
Les principes sont comme une boussole qui
s’applique à tous les aspects de la vie. Plus notre
façon de penser est conforme à ces principes, plus
notre vie sera efficace. Concrètement, comment
faire pour commencer un chose tout en ayant en
tête sa fin? Covey nous suggère de rédiger une «
déclaration de mission personnelle ». Cette
déclaration décrit principalement la personne que
nous voulons être et ce que nous voulons faire, afin
de définir la direction vers laquelle nous souhaitons
nous diriger, et d’en faire la base des décisions qui
orientent notre vie. Nous pouvons organiser cette
déclaration de mission en fonction des différents
aspects, domaines de notre vie et des objectifs que
l’on a définis pour chacun d’entre eux. En termes
de carrière, on peut adopter le rôle de manager, de
développeur de produits ou de vendeur. En ce qui
concerne le cercle familial, on peut être amené à
jouer le rôle de mari, d’épouse, de parent ou
d’enfant. La déclaration de mission d’un
développeur de produits pourrait être d’explorer
continuellement de nouvelles techniques, et de
maintenir une bonne organisation de telle sorte à
bien concilier sa vie professionnelle et personnelle .
Pour quelqu’un qui jouerait à la fois le rôle
d’épouse et d’entrepreneur, sa déclaration de
mission pourrait être de vivre en harmonie avec son
conjoint, d’apprendre à ses enfants à être optimistes
et entreprenants, tout en s’assurant de maintenir un
environnement familial agréable. Écrire une
déclaration de mission en fonction de nos différents
rôles dans la vie nous encouragera à mettre en
œuvre les missions tout en maintenant une vie
équilibrée. Comme nous l’avons mentionné
précédemment, toutes les choses sont créées deux
fois. Commencer avec la fin en tête concerne la
première création ou la création mentale. La
troisième habitude, « commencer par le
commencement » concerne la deuxième création, à
savoir la création physique. C’est aussi une mise en
pratique des habitudes numéro un et numéro deux.
Une fois que nous avons une idée claire de nos
objectifs et directions de vie, il est temps
s’autogérer efficacement. Cela signifie définir ses
priorités, commencer par le plus important, et
maîtriser sa gestion du temps. Le livre présente
une matrice de gestion du temps qui classe nos
tâches quotidiennes en quatre quadrants. Le
premier quadrant contient les choses qui sont à la
fois importantes et urgentes, le deuxième quadrant
est réservé aux tâches importantes mais non
urgentes, le troisième aux tâches urgentes mais non
importantes, et le dernier aux tâches ni importantes
ni urgentes. Certaines personnes consacrent
quatre-vingt-dix pour cent de leur temps à des
tâches à la fois importantes et urgentes, en utilisant
la majeure partie de leur temps et de leur énergie à
gérer des situations critiques. D’autres passent la
plupart de leur temps dans des choses qui ne sont ni
importantes ni urgentes, et mènent ainsi une vie
irresponsable. Les personnes efficaces essaient
toujours de rester à l’écart de ces choses sans
importance car, qu’elles soient urgentes ou non,
elles ne sont pas importantes. Selon le célèbre
maître du management Peter Drucker, les
personnes efficaces ne sont pas préoccupées par les
problèmes, mais par les opportunités. Il y a peu de
crises dans leur vie qui nécessitent un traitement
immédiat, parce qu’ils concentrent en permanence
leur temps et leur énergie sur des choses
importantes mais non urgentes, comme
l’apprentissage d’une nouvelle compétence, la
construction de relations interpersonnelles et la
pratique d’exercices physiques. Leur capacité à
résoudre les problèmes, en s’améliorant, leur
permet de réaliser des actions préventives qui
empêcheront les situations délicates de se
transformer en crises. Covey nous conseille de
développer une façon de penser qui au quotidien
nous permettra de nous concentrer sur les choses
importantes, de consacrer notre temps et notre
énergie principalement aux choses importantes
mais non urgentes. Donner la priorité aux choses
importantes nous aide à faire plus avec moins, et à
obtenir quatre-vingts pour cent des résultats en
déployant vingt pour cent des efforts.
Concrètement, comment mettre en pratique ce
principe de priorités ? Cela exige que nous ayons le
courage de dire « non » pour éviter d’être distraits
par des questions secondaires. Chacun d’entre nous
a des choses importantes à gérer. Nous devons
savoir choisir entre les choses urgentes et les
choses importantes. Covey donne un exemple
dans son livre. Un jour, sa femme a été invitée à
occuper le poste de présidente d’une communauté.
Bien qu’elle avait d’autres choses importantes à
faire, elle s’est sentie obligée d’accepter. Un jour,
elle a appelé une amie proche pour lui proposer de
faire partie de son comité. Son amie l’a remerciée
sincèrement mais a poliment décliné son invitation.
Par la suite, la femme de Covey a avoué qu’elle
aurait elle aussi souhaité refuser le poste de
présidente. Bien sûr, cela ne veut pas dire que
vous ne devriez pas participer à des projets de
service public. Cet exemple souligne simplement
l’importance de savoir définir ses priorités et d’être
capable de dire « non » aux demandes ou aux
exigences d’autres personnes avec politesse.
Nous arrivons à la fin de cette première partie, qui
s’intitulait « comment améliorer son efficacité afin
de remporter des victoires personnelles. Pour
résumer, nous devons adopter une attitude
proactive dans la vie, en changeant les choses qui
sont sous notre contrôle, et en élargissant
progressivement notre cercle d’influence. Ensuite,
nous devons déterminer nos objectifs et directions
de vie, commencer toute chose en gardant à l’esprit
sa fin, et rédiger une déclaration de mission. La
dernière étape consiste à définir ses priorités et à
consacrer notre temps et notre énergie
principalement aux choses importantes mais non
urgentes.
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