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Mémoire de Projet de Fin d’Année
FILIERE : GENIE DES SYSTEMES INDUSTRIELS
M. BARBOUCHA MOHAMED
M. AZZOUZI TAYEB
M. RAHMANI DRISS
M. AMAMOU MOHAMMED
Arrivées au terme de ce travail, On remercie Dieu le tout puissant de nous avoir donné la santé,
la volonté d’entamer et de terminer ce mémoire. Nous sommes heureux de pouvoir remercier
toutes les personnes qui ont permis ou facilité la réalisation de ce travail par leur appui
scientifique,leur collaboration et leur précieuse assistance.
Tout d’abord, ce travail ne serait pas aussi riche et n’aurait pas pu avoir le jour sans l’aide et
l’encadrement Monsieur RAHMANI et Monsieur AZOUZI, on le remercie pour la qualité de
son encadrement exceptionnel, pour sa patience et sa rigueur.
Mes remercîments vont aussi à ceux qui m’ont fait l’honneur de juger mon travail, les membre
de jury et les examinateurs.
Merci à tous qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce modeste travail.
Résumé :
Le travail a été effectué en intégrant des outils informatiques pour trouver des solutions
pour un éclairage avec un confort visuel efficace au but de réduire la consommation
d’énergie et en respectant des normes internationales.
Abréviation Signification
Résumé : ........................................................................................................................... 3
Abréviation ....................................................................................................................... 6
SOMMAIRE .................................................................................................................... 7
Références : .................................................................................................................... 67
9
Introduction du premier chapitre :
La lumière est un élément essentiel de l'activité humaine. Aujourd'hui, l'éclairage
artificiel n'est pas seulement un moyen d'obtenir de la lumière, mais de répondre
aux besoins d'éclairage de nombreux lieux, tels que l'éclairage intérieur, les
amphithéâtres et l'éclairage routier etc. utilisant desdispositifs qui convertissent l'énergie
électrique en lumière.
L'éclairage est de plus en plus varié, le tout visant à améliorer la visibilité et à créer un
sentiment de sécurité. Par conséquent, il doit y avoir un bon éclairage afin que la lumière
soit confortable pour l'œil humain, soit de façon de sécurité. De plus, la facilité d'entretien
du dispositif d'éclairage est également importante.
1. Quelques rappels théoriques sur les grandeurs photométriques :
Avant de détailler les types de lampes utilisées dans l’éclairage, il est mieux de définir
quelque grandeur qui a une partie dans les caractéristiques d’éclairage.
1.1. Définition de la photométrie :
La photométrie est la science qui étudie le rayonnement lumineux du point de vue de la
perception de l'œil humain. La plupart des appareils photométriques qui n'utilisent pas
directement l'œil comme élément sensible sont calibrés selon la courbe de sensibilité
relative de l'œil humain.
1.2. La lumière :
Est les ondes électromagnétiques qui sont visibles à l'œil humain (y compris les
longueurs d'onde) entre 0,38 et 0,78 μm) caractérisée par sa fréquence f, sa longueur
d'onde 𝜆 et sa durée T.
𝜆 = cT = c/f
Où : c : vitesse de la lumière dans le vide=3.10*8.m/s.
En général on utilise le symbole 𝜑 pour ce paramètre son unité est LUMEN (lm).
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1.4. Intensité lumineuse :
Partie du flux lumineux le plus petit possible dans une seule direction. Une source n’émet
pas forcément de la lumière d’une façon égale dans toutes les directions. Il est donc
utile de connaître le flux rayonné dans chaque direction.
Symbole : Iv
Unité : Candela (cd).
Cette unité est utilisée pour quantifier la quantité de lumière fournie par une source
directive. Elle ne dépend pas de la distance d’observation.
1.5. Eclairement :
L’éclairement d’une surface est égal au flux lumineux (en Lumen) tombant sur chaque
mètre carréde cette surface.
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Figure 2. Principe de fonctionnement de l'éclairement par rapport à l'œil humaine et la
source lumineuse
Symbole : L
Unité : Candela par mètre carré (Cd/m2)
12
1.7. Indice de rendu des couleurs IRC :
L’IRC (Indice de Rendu des Couleurs ou Color Rendering Index CRI en anglais) est un
indice qui permet de mesurer la proportion d’une source lumineuse à bien rendre les
couleurs. Plus l’IRC est élevé et meilleur sera le rendu des couleurs (L’indice de rendu
des couleurs satisfaisant est supérieurà 80, un indice inférieur à 60 ne pouvant convenir
qu'à des activités ne nécessitant aucune exigence de rendu des couleurs).
1.8. L’éblouissement :
L’éblouissement exprime une contrainte désagréable dans la perception visuelle, causée
par une lumineuse particulièrement intensité ou en passant rapidement d’un milieu
obscur à un endroit fortement éclairé. L’éblouissement peut limiter la capacité à distingue
des objets ou des obstacles ou crée inconfort visuel.
1.9. Unified glare rating UGR :
L’UGR (Unified Glare Rating) est un modèle de calcul qui exprime le risque
d'éblouissement direct des luminaires. Il s’agit d’une formule complexe, définie par le
rapport technique de la CIE 117-1995, qui permet de calculer un niveau d’éblouissement,
pour un luminaire donné dans un environnement donné.
L’UGR, comprend les paramètres suivants :
Les dimensions du local.
Les facteurs de réflexion.
L'orientation de l'observateur dans le local.
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Dans la pratique, on détermine souvent, pour des raisons de simplicité, une classe
standard. Cette classe UGR s'obtient en choisissant dans un tableau standardisé la valeur
selon la taille, les facteurs de réflexion du local et la position des personnes. On considère
en général un UGR de 19 comme la valeur à ne pas dépasser.
14
Tableau 2. Fiche technique d'éclairement dans les différents zones selon LUX n° 228 -
Mai/Juin 2004
L'éclairement se mesure à l'aide d'un luxmètre. Cet appareil est muni d'une sonde,
constituée parune cellule photo-électrique de surface bien déterminée.
Multimètre :
Le multimètre est un appareil de mesure électrique, très utile pour faire des contrôles au
cours d’une intervention. Il permet de mesurer les signaux électriques facilement, de plus,
il est indispensable pour mesurer la tension électrique (à moins d’utiliser un voltmètre qui
ne fait que mesurer la tension et aucune autre grandeur). Le rôle d’un multimètre est de
vous proposer les fonctions d’ampèremètre, de voltmètre et d’omettre. Sachant que les
multimètres sont aujourd’hui numériques, leur précision a augmenté au cours des années.
15
Figure 6. Appareil de mesures électrique
2. Eclairage Intérieur/Extérieur :
2.1. Eclairage intérieur :
L’éclairage intérieur des bâtiments est en pleine mutation depuis quelques années, et sa
fonction de base permettant aux utilisateurs de travailler dans de bonnes conditions de
confort est complétée par des considérations d’ordre esthétique, symbolique,
environnementale et de bonne gestion.
Norme : EN 12464-1(Éclairage de lieux de travail intérieurs).
2.1.1. Paramètres :
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Tableau 3. Paramètres d'éclairage intérieur by Lichthandbuch. (2017). Article n° 04 924
111-F 07/17
17
2.1.2. Différents types de montage :
Encastré :
Luminaire encastré, généralement dans un faux plafond, modulaire (avec ossature
métallique etdalles).
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2.1.3. Quelques composants luminaires :
Ils existent plusieurs composants luminaire interne mais on va citer les plus utilisables :
Housing :
Ils sont composés :
NB : Les ventelles d’un luminaire ont pour but de limiter la vue directe des lampes à
partir d’un certain angle de vision appelé angle de défilement.
19
HP* : Haute Pression.
BP* : Basse Pression
Ballast et driver :
Ballast : en électricité le terme “ballast” est employé pour tout composant dont le but est
de réduire l’intensité. En éclairage, ce terme a désigné petit à petit ce composant pour la
solution magnétique (ballast magnétique) et la solution complète d’alimentation des
lampes à décharge pour la solution électronique (ballast électronique). A noter que le
ballast magnétique génère également la forte tension d’amorçage.
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En ce qui concerne l’éclairage des rues, il y a lieu de respecter la série de normes
EN 13201.Norme : EN 12193 (Lumière et éclairage – éclairage d’établissements
sportifs).
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CHAPITRE II : LE CALCUL DES
INSTALLATIONS D’ECLAIRAGE
22
Introduction du deuxième chapitre :
Dans ce chapitre on représente les différents outils informatiques utilisés dans ce projet.
Pour les projets d’éclairage, le choix des lampes et des luminaires, les méthodes de
dimensionnement et Les éclairements recommandés, Rendements et facteurs de dépréciation,
les rutilances, les calculs de consommation.
L’organisation des projets Un projet complet d’éclairage comporte normalement les trois
phases suivantes :
1. Le choix du type d’éclairage (voir § mD10.1) ;
2. Le choix des lampes et des luminaires (voir livret mD02 : Les sources de lumière), ce qui
implique en particulier le choix de la couleur (voir § mD10.2) ;
3. Le dimensionnement de l’installation (calcul du nombre de lampes et luminaires permettant
d’atteindre l’éclairement désiré (voir § md10.3).
Le choix du type d’éclairage
Le choix du luminaire se fait en fonction du type d’éclairage choisi a priori, ce type définissant
la répartition du flux lumineux dans l’espace, aspect déjà évoqué au livret mD02 : Les sources
de lumière. Le classement adopté s’appuie sur les trois répartitions suivantes de base : « (très)
intensive » lorsque le flux lumineux est dirigé vers un point précis de l’espace, «Semi-intensive»
lorsque la situation est intermédiaire, «extensive» lorsque le flux lumineux est diffusé dans un
large faisceau. En pratique la majorité des constructeurs utilisent le tableau ci-dessous
(pratiquement reproduit du livret R12), qui fixe les quatre classes fondamentales utilisées pour
les projets : Direct intensif et direct extensif pour les flux lumineux dirigés vers le bas, semi-
direct lorsque le flux lumineux est dirigé en partie vers le bas et en partie vers le haut, Indirect
lorsque le flux lumineux est uniquement dirigé vers le haut.1. TYPE D’ECLAIRAGE
2. CHOIX DES LAMPES ET LUMINAIRES
3. DIMENSIONNEMENT
23
4. LES PROJETS D’ÉCLAIRAGE
3. DIMENSIONNEMENT
ce qui implique en particulier le choix de la
couleur (voir § mD10.2),
3. le dimensionnement de l’installation
(calcul du nombre de lampes et luminaires 3. DIMENSIONNEMENT
permettant d’atteindre l’éclairement désiré
(voir § md10.3).
LE CHOIX DU ’
TYPE D ÉCLAIRAGE
Le choix du luminaire se fait en fonction du type d’éclairage choisi a priori, ce type définissant la ré- partition du flux lumineux
dans l’espace, aspect déjà évoqué au livret mD02 : Les sources de lumière.Le classement adopté s’appuie sur les trois répartitions
suivantes de base :
. «(très) intensive» lorsque le flux lumineux est dirigé vers un point précis de l’espace,
. «semi-intensive» lorsque la situation est intermédiaire,
. «extensive» lorsque le flux lumineux est diffusé dans un large faisceau.
En pratique la majorité des constructeurs utilisent le tableau ci-dessous (pratiquement reproduit dulivret R12), qui fixe les quatre
classes fondamentales utilisées pour les projets :
. direct intensif et direct extensif pour les flux lumineux dirigés vers le bas,
. semi-direct lorsque le flux lumineux est dirigé en partie vers le bas et en partie vers le haut,
. indirect lorsque le flux lumineux est uniquement dirigé vers le haut.
CLASSEMENT SYNTHÉTIQUE DES LUMINAIRES
LUMINAIRE : DIRECT DIRECT
INTENSIF EXTENSIF SEMI-DIRECT INDIRECT
RÉPARTITION
D’INTENSITÉ :
24
5. LE CHOIX DES LAMPES ET LUMINAIRES
LA MÉTHODE PROPOPSÉE
25
B DONNEES TYPES SUR LES SOURCES
26
6. LES MÉTHODES DE DIMENSIONNEMENT
LES PRINCIPES
Le calcul de base des installations d’éclairage (le dimensionnement proprement dit) est essentiel. Ce calcul fait appel à des
méthodes plus plus ou moins complexes, qui ont un peu évolué au cours dutemps.
. la norme NF S 40-001 qui peut être considérée comme la référence, servant essentiellement
auxfabricants et distributeurs de luminaires pour établir les tables de calcul de leurs appareils ;
. la norme NF C 71-121, qui simplifie un peu l’application de la norme précédente, mais reste
utiliséedans les mêmes conditions que la précédente.
De nombreuses tables figurent dans ces normes mais nous ne les reproduisons pas ici telles qu’elles : nous adopterons une
démarche compatible, mais plus simple et plus rapide, que nous allons maintenantprésenter.
LA FORMULE DE BASE
La procédure ici choisie repose sur l’adoption d’une même formule de base, laquelle fournit, pour
unlocal donné, le flux lumineux [lm] total de l’ensemble des lampes à installer dans le local :
= (E A ) / ( U)
Nous utiliserons, en fait (en vue d’en faciliter l’emploi par regroupement des caractéristiques des
lampeset luminaires,) la formule dérivées suivante :
= (E A / U ) . (/)
formule où :
. [lm] : est le flux lumineux à fournir,
. A [m²] : est la surface du plan utile (voir plus loin),
. E [lx] : est l’éclairement prévu pour le local (voir la fiche précédente),
L’INDICE DU LOCAL
0,85 [m]
Grâce aux conventions précédentes il est possible de définir l’indice de local K qui vaut :
K = a . b / h (a + b)
a et b étant les côtés définis par le schéma ci-dessus, et h la distance entre plan des luminaires 27
et planutile.
4. LES ÉCLAIREMENTS RECOMMANDÉS
Il s’agit, normalement, de l’éclairement moyen du plan de travail
28
5. RENDEMENTS ET FACTEURS DE DEPRECIATION
29
7. LES UTILANCES
LES UTILANCES (U)
Indice = 0,7 = 0,5
p p
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Région Départements Zone Région Départements Zone
Nord tous A2 Franche-Comté tous A1
Picardie tous A2 Deus-Sèvres,Vienne A2
Basse-Normandie tous A2 Poitou-Charentes
Charente Mar., C2
Haute-Normandie tous A2 Charente
Région parisienne tous A2 Limousin tous C2
Champagne-Ardennes tous A1 Allier A1
Lorraine tous A1 Auvergne Puy de Dôme,Cantal,
Haute Loire
Alsace tous A1 C1
Finistère B Rhône-Alpes tous C1
Bretagne Côte d’Armor, Ille-et- A2 Aquitaine tous C2
Vilaine,Morbihan
Midi-Pyrénées tous C2
Pays de Loire tous A2 Languedoc-Roussillon tous C1
Centre tous A2 Provence-Côte d’Azur tous C1
Bourgogne tous A1 Corse tous C1
Pour vous aider la table ci-dessous vous permet de fixer l’heure (d’hiver) du lever et du coucher du soleil. S’il est indiqué
«8,5-17,3» cela signifie que le lever a lieu à 8,5 [h] et le coucher à 17,3 [h], les temps étant indiqués (pour la moyenne du mois)
en heures légales d’hiver (et fraction décimale).
A2 8,8- 8,0- 7,1- 6,1- 5,4- 5,1- 5,5- 6,2- 7,0- 7,6- 8,4- 8,9-
17,6 18,5 19,2 19,9 20,6 20,9 20,8 20,0 19,0 18,0 17,2 17,1
B 9,0- 8,3- 7,4- 6,3- 5,6- 5,4- 5,7- 6,4- 7,2- 7,8- 8,6- 9,2-
17,9 18,7 19,5 20,2 20,8 21,2 21,0 20,2 19,3 18,2 17,4 17,3
C1 8,2- 7,5- 6,7- 5,8- 5,2- 5,0- 5,3- 5,9- 6,5- 7,0- 7,7- 8,2-
17,4 18,2 18,7 19,4 19,9 20,5 20,1 19,4 18,6 17,6 17,0 16,9
C2 8,5- 7,8- 7,0- 6,1- 5,5- 5,3- 5,6- 6,2- 6,9- 7,4- 8,1- 8,6-
17,8 18,5 19,1 19,7 20,3 20,8 20,4 19,8 19,0 18,0 17,3 17,2
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BILAN DE PUISSANCE :
Eclairage Prises de courant
Site Niveaux bloc
type des lampes nombre P. Totale COS Phi P app Ku Ks
P
type des PCs nombre P. Totale Cos Phi Papp Ku Ks
P
Foisonnée Foisonnée
lampe plafonnier 9w 8 72 0,8 160 1 1 1 monophasé 10 35200 0,8 160 0,85 0,2 0,17
Bureau de recherche
Puissance totale de bureau de recherche 35272
lampe encastée 40w 26 1040 0,8 160 1 1 1
monophasé 24 84480 0,8 160 0,85 0,2 1
Cave encastrée 60w 17 1020 0,8 160 1 1 1
Puissance totale de buvette 85500
buvette
Amphi plafonniée 9w*2 46 828 0,8 160 1 1 1 monophasé 24 84480 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle tp mecanique encastrée 9w*4 9 108 0,8 160 1 1 1 triphasé 10 60800 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle réunion encastrée 4*9w 2 72 0,8 160 1 1 1 monophasé 30 105600 0,8 160 0,85 0,2 0,17
Archive encastrée 4*9w 2 72 0,8 160 1 1 1 monophasé 5 17600 0,8 160 0,85 0,2 0,17
bibliothèque encastrée 4*9w 12 144 0,8 160 1 1 1 monophasé 38 133760 0,8 160 0,85 0,2 0,17
RDC
w,c plafonier 12w 6 72 0,8 160 1 1 1 monophasé 3 10560 0,8 160 0,85 0,2 0,17
infirmerie plafonier 2*9w 2 54 0,8 160 1 1 1 monophasé 7 24640 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle des profs plafonier 2*9w 10 180 0,8 160 1 1 1 monophasé 16 56320 0,8 160 0,85 0,2 0,17
direction plafonier 2*9w 18 324 0,8 160 1 1 1 monophasé 20 70400 0,8 160 0,85 0,2 0,17
couloir plafonnier 1*12w 10 120 0,8 160 1 1 1 0,8 160 1 0,2 0,2 566134
salle 1 plafonnier 4*9w 9 324 0,8 160 1 1 1 monophasé 4 14080 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 2 plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 monophasé 32 112640 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 3 plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 monophasé 5 17600 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 4 plafonnier 4*9w 9 324 0,8 160 1 1 1 monophasé 32 112640 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 5 plafonnier 4*9w 3 108 0,8 160 1 1 1 monophasé 8 28160 0,8 160 0,85 0,2 0,17
EHEI Oujda
salle 6 plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 monophasé 8 28160 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 7 plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 monophasé 8 28160 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 8 plafonnier 4*9w 8 288 0,8 160 1 1 1 monophasé 8 28160 0,8 160 0,85 0,2 0,17
1er Etage
salle 9 plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 monophasé 8 28160 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle tp électronique plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 triphasé 29 176320 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle tp automatisme plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 triphasé 29 176320 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle tp hydraulique plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 triphasé 29 176320 0,8 160 0,85 0,2 0,17
W,C plafonnier 4*9w 6 216 0,8 160 1 1 1 monophasé 3 10560 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle BDE plafonnier 4*9w 1 36 0,8 160 1 1 1 monophasé 4 14080 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 10 plafonnier 4*9w 4 144 0,8 160 1 1 1 monophasé 31 109120 0,8 160 0,85 0,2 0,17
couloir plafonnier 1*12w 10 120 0,8 160 1 1 1 monophasé 0,2 0 1063192
Départeme,t informatique LED 60w 2 120 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 11 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 12 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 13 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
bureau des enseignants LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 30 105600 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 14 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 15 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 16 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
2eme Etage
salle 17 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 18 LED 60w 4 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 42 147840 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 19 LED 60w 6 360 0,8 160 1 1 1 monophasé 63 221760 0,8 160 0,85 0,2 0,17
Amphi 2 LED 60w 6 360 0,8 160 1 1 1 monophasé 34 119680 0,8 160 0,85 0,2 0,17
W,C Plafonnier 9w*2+LED 60w
6+2 228 0,8 160 1 1 1 monophasé 3 10560 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle technique LED 60w*2 2 240 0,8 160 1 1 1 monophasé 4 14080 0,8 160 0,85 0,2 0,17
salle 20 LED 60w*6 6 2160 0,8 160 1 1 1 monophasé 78 274560 0,8 160 0,85 0,2 0,17
couloir LED 60w 17 1020 0,8 160 1 1 1 2083448
33
CHAPITRE III : OUTILS ET
LOGICIELS POUR L’ETUDE ET
LEDIMENSIONNEMENT DE
L’ECLAIRAGE D’INTERIEUR
34
Introduction du troisième chapitre :
Dans ce chapitre on représente les différents outils informatiques utilisés dans ce projet.
C’est le logiciel de dessin assisté par ordinateur le plus répondu dans le monde, créé
en 1982 par Autodesk.
C'est un logiciel de dessin technique pluridisciplinaire qui englobe la plupart des
outils associés aux diverses disciplines industrielles d’ingénierie : Architecture,
Travaux publiques et Génie civil, Cartographie et Topographie, Mécanique,
Électronique, Électrotechnique, …, etc. Ci-après une illustration est présentée de
quelques souvenirs professionnels que les ingénieurs ont vécus la parution de la DAO
sous AutoCAD.
AutoCAD se décline aujourd'hui en logiciels spécifiques métier ou logiciels «
verticaux », dont :
AutoCAD Architecture dédié aux dessins d'architecture.
AutoCAD MEP dédié aux dessins d'architecture, mais aussi aux installations
35
36
1.2. DiaLux :
37
Figure 14. Interface logiciel
38
CHAPITRE IV : ETUDE ET
DIMENSIONNEMENT DES SOLUTIONS
D’ECLAIRAGE INTERIEUR -ETUDE DE
CAS EHEI :
39
Introduction du quatrième chapitre :
Après l’étude effectué dans les deux chapitres on a commencé à développer notre
recherche et passer a réalisé un projet qui contient les études et les dimensionnements
d’éclairage intérieur, pour cela on a choisi l’étage de l’EHEI pour effectuer notre
étude a l’aide des outils informatique afin de trouver des solutions optimales pour un
éclairage requis.
Le but de notre étude est d’évaluer le confort visuel ressenti par les occupants au
niveau des bâtiments d’enseignements. Ce choix a été dicté par la nécessité
simultanée d’un confort visuel au sein des espaces pédagogiques en particulier les
ateliers qui exigent des niveaux d’éclairement élevés.
1. Inspection des lampes installées :
Après une petite tour dans notre site on a pris des photos pour les lampes utilisées
dansnotre installation et on a repérés les caractéristiques suivantes :
Caractéristiques générales
Photométries et Colorimétries
Caractéristiques électriques
Type de Montage
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Housing
2. Plan AutoCAD :
Au premier, Pour dessiner un plan sur AutoCad c’est obligé de repérer les mesures et
les dimensionnements de chaque salle existant dans notre étage afin de faciliter les
tâches de notre travaille.
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En succession à la tâche de prendre les mesures, vient la phase de dimensionnement des
différents éléments de la structure choisie. L’évaluation des charges et surcharges agissant sur
la structure est l’étape fondamentale lorsqu’il s’agit de dimensionnement de la structure.
Après ceci on commence de dessiner notre plan sur AutoCAd.
Notre établissement se compose de :
-le sous-sol
- Rez de Chaussée
-1er étage
-2éme étage
Plan DiaLux :
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L’objectif de la simulation :
Résultat de simulation :
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3. Types de prises électriques :
Pour l’alimentation électrique domestique, les prises ont des formes et des tailles variant selon
les pays. Actuellement, il existe plus de 15 types différents de prises électriques à travers le
monde. Chaque type est classifié selon une lettre attribuée au hasard par le Département du
Commerce des États-Unis. La prise électrique la plus courante est de type C, utilisée dans toute
l’Europe, l’Asie et l’Amérique du Sud.
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Type A :
Utilisé aux États-Unis, au Canada, Mexique & Japon
2 broches
Sans terre
15 A
Presque toujours 100 – 127 V
Prise femelle compatible avec les fiches de type A
En savoir plus
Type B :
Utilisé aux États-Unis, au Canada & Mexique
3 broches
Avec terre
15 A
Presque toujours 100 – 127 V
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Prise femelle compatible avec les fiches de type A & B
En savoir plus
Type C :
Utilisé en Europe, dans certains pays d’Asie & d’Amérique du Sud
2 broches
Sans terre
2,5 A, 10 A & 16 A
Presque toujours 220 – 240 V
Prise femelle compatible avec les fiches de type C
En savoir plus
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Type D
Utilisé en Inde
3 broches
Avec terre
6A
220 – 240 V
Prise femelle compatible avec les fiches de type D (compatibilité partielle, et donc dangereuse, avec C, E & F)
En savoir plus
Type E
Utilisé en France, Belgique, Pologne, Slovaquie & République tchèque
2 broches
Avec terre
16 A
220 – 240 V
Prise femelle compatible avec les fiches de type C, E & F
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Type F :
Utilisé partout en Europe et Russie sauf en Grande-Bretagne & Irlande
2 broches
Avec terre
16 A
220 – 240 V
Prise femelle compatible avec les fiches de type C, E & F
Type G
Utilisé en Grande-Bretagne, Irlande, Malaisie, à Malte, Singapour & dans la péninsule arabique
3 broches
Avec terre
13 A
220 – 240 V
Prise femelle compatible avec les fiches de type G
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CHAPITRE V : SCHEMAS
ELECTRIQUES
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Introduction du cinquième chapitre :
Dans Ce chapitre, on va réaliser le schéma électrique pour l’installation au sein de EHEI
utilisant le logiciel AUTOCAD.
On va élaborer :
Les types et le calibrage des disjoncteurs installer à la TGBT.
Le choix des disjoncteurs de protection générale pour l’éclairage et les prises.
Pour l’éclairage :
Nous avons utilisé le disjoncteur différentiel 50A pour protéger les lampes de tous ls salles td
et TP.
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Figure 17. Schémas électrique protection éclairage sur AUTOCAD
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Le sectionneur à fusible (abordé dans le pilotage des moteurs)
assure donc 2 fonctions principales
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Bouton poussoir Arrêt d’urgence
: Bouton poussoir d’arrêt d’urgence S5 (rouge) : interrompre
le circuit lorsqu’il est actionné.
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Des exemples de TGBT
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2. La structure de la TGBT
Les Solutions :
Utiliser Des LED
Ne pas laisser allumer de lumières inutiles.
Pour tout nouvel achat, vérifier l’étiquette énergie éteindre la veille des appareils électriques
Utiliser des lampes économiques
Mieux choisir ses appareils électroménagers
Produire son énergie par des panneaux solaires
Pourquoi utiliser un écran interactif ?
Des réunions plus animées. En effet, et cela découle du point précédent, avoir un
écran interactif permet de dessiner, écrire, rajouter du contenu sur une diapo,
facilement, instantanément et en direct. En ce sens, cela incite l'audience à commenter
et forcer le présentateur à développer ses idées s'il le faut.
Quels sont les avantages d'un tableau numérique interactif ?
Le tableau interactif octroie une meilleure praticité autant pour les enseignants que
pour les élèves. Il est par exemple possible d'agrandir une image, de surligner
certaines phrases importantes ou encore effectuer des illustrations pour faciliter la
compréhension.
Vous pouvez régler la luminosité du moniteur LCD de la télécommande.
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1. Appuyez sur la touche MENU de la télécommande
La liste des options de réglage s’affiche.
2. Appuyez sur la touche UP ou sur la touche DOWN de la télécommande pour
sélectionner (Luminosité du moniteur) dans (Paramètres de la télécommande),
puis appuyez sur la touche REC/ENTER de la télécommande
3. Appuyez sur la touche UP ou sur la touche DOWN de la télécommande pour sélectionner la
valeur de réglage souhaitée, puis appuyez sur la touche REC/ENTER de la télécommande
(Par défaut) : lumineux
: Foncé
Note
Pour revenir à l’écran de sélection des options de réglage à partir de l’écran de sélection des
valeurs de réglage, sélectionnez .
Pour définir le paramètre dans l’écran de sélection ou la valeur de réglage, sélectionnez .
Vous ne pouvez pas régler la luminosité du moniteur LCD quand le multi/micro connecteur
USB est sous tension (Réglage fixé sur « Lumineux »).
C'est quoi un éclairage indirect ?
L'éclairage indirect est une technique qui utilise un support réfléchissant afin de diffuser la
lumière émise par une source vers la zone à éclairer.
L'éclairage indirect crée une ambiance feutrée et conviviale.
Sa lumière n'est pas dirigée directement sur un objet mais réfléchie sur un support comme un
mur ou un plafond. Son faisceau lumineux est doux et homogène, il n'est pas éblouissant.
L'éclairage direct, c'est quoi?
L'éclairage direct survient lorsque la lumière d'un luminaire ou d'une lampe tombe sur une zone
ou un objet spécifique.
La lumière directe est créée à partir d'un appareil ou d'un écran qui concentre toute la lumière
dans un certain angle.
Blanc chaud : blanc tirant vers le jaune orangé, typiquement ayant une température de couleur
proximale inférieure ou égale à 3000 K.
Blanc froid : blanc tirant vers le bleu, typiquement ayant une température de couleur
proximale supérieure ou égale à 4000 K.
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Jouer avec différents degrés d'ouverture vous aidera également à obtenir des espaces plus
grands et à rendre plus accueillants ceux qui sont trop grands. Rappelez-vous que sur des
plafonds plus hauts, il est conseillé d'utiliser des degrés d'ouverture fermés, tandis que sur des
plafonds plus bas, il est plus pratique d'utiliser des degrés plus ouverts.
7. Choisir des luminaires de qualité
Avoir des luminaires de qualité vous permettra non seulement d'obtenir de meilleurs résultats
dans votre projet d'éclairage, mais aussi d'éviter les défaillances techniques qui peuvent
ruiner tout votre travail.
L'équipe du projet Faro Barcelona choisit toujours les meilleurs luminaires du marché et les
fabrique même sur mesure.
Utilisez toujours des luminaires dont les matériaux sont bons et durables, car c'est ce qui
déterminera leur durée de vie. N'oubliez pas non plus de choisir des luminaires dont l'indice de
rendu des couleurs est aussi proche de 100 que possible, ce qui signifie que la capacité à montrer
les couleurs d'un objet de manière plus vraie que nature est plus proche de la lumière réelle du
soleil. Au moment de les choisir, n'oubliez pas que les éclairages à LED ont un indice de rendu
des couleurs de 80.
8. Utilisez des lampes efficaces
L'utilisation de lampes efficaces est fortement recommandée, car elles n'émettent ni ne
reçoivent de chaleur et ont donc une durée de vie beaucoup plus longue. Elles réduisent
également la consommation d'énergie et l'impact sur l'environnement.
Alors que les lampes traditionnelles durent 1 200 heures, les lampes efficaces peuvent durer
de 30 000 à 50 000 heures. Il ne s'agit donc pas seulement d'une plus grande efficacité
énergétique, mais aussi d'une économie considérable d'argent et de matériaux.
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Conclusion du cinquième chapitre :
Dans ce dernier chapitre, nous avons essayé de recréer des ambiances semblables à
celles existantes dans notre étage afin de comprendre le comportement visuel des
différentes salles, ceci à travers les différents paramètres géométriques et
photométriques aussi.
A travers trois logiciel on a pu de dimensionner des solutions d’éclairage intérieur au
but d’optimiser la productivité des personnes et de réduire la facture électrique. Pour
le premier logiciel AutoCad c’est pour le dessin d’étage par la suite à travers les
résultats concernent les simulations faites avec le logiciel DIALUX, on peut conclure
qu’une étude rigoureuse, nous permet d’étudier le comportement des différents
paramètres parmi lesquels on compte : l’orientation, les dimensions, l’étude des
paramètres photométriques selon les normes européennes. Tout ceci devrait nous
permettre de créer un niveau d’éclairement suffisant, en réduisant notre dépendance
à l’éclairage artificiel.
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Conclusion générale :
Ce PFA s’est focalisée sur l’effet des paramètres photométriques sur le confort visuel des salles
d’étude et tous les autres aménagements d’un établissement.
L’objectif principal de ce PFA étant de déceler la manière dont les architectes et les concepteurs
utilisent pour capter une quantité d’éclairement suffisante afin d’assurer un bon éclairement au
sein des salles à travers le choix de types d’éclairage, sa dimension, ses paramètres, en prenant
en considération les normes recommandées.
Le premier chapitre traite tous les concepts liés au confort visuel, Nous avons remarqué que la
notion de confort visuel se base sur des paramètres photométriques différents en respectant les
prescriptions et les normes en vigueur et on a donné une bonne répartition des différents
luminaires dans les différents locaux de l’unité.
Le deuxième chapitre nous a proposé des outils informatiques à utiliser pendant notre étude afin
de faciliter les tâches et pour assurer la précision des calculs effectuées.
Le dernier chapitre été consacré à notre cas d’étude, elle comprend trois étapes :
Il faut respecter les prescriptions et les normes afin d’avoir l’éclairage requis.
La position, la surface le type de vitrage ont un important effet sur la qualité et la quantité
d’éclairement au sein des salles au but de réduire la consommation d’énergie électrique.
Un éclairement suffisant et homogène caractérisé par l’absence d’éblouissement, un
IRC élevé et un éclairement inférieur à 200 lux cela qui permet, par le concepteur,
d’assurer un environnement saint et confortable pour l’étudiant.
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Références :
1. Lichthandbuch. (2017). Article n° 04 924 111-F 07/17 © Zumtobel Lighting GmbH
3. https://sti2d.ecolelamache.org/tp_11_etude_de_lclairage_dun_local_dune_en
trep rise_sous_dialux.html
4. https://www.alpi.fr/logiciels/caneco-bt.html
5. https://leclairage.fr/b-par-type-de-batiment/
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Table des matières
Remerciements : ............................................................................................................... 2
Résumé : ........................................................................................................................... 3
Abréviation ....................................................................................................................... 6
SOMMAIRE .................................................................................................................... 7
68
2. Eclairage Intérieur/Extérieur :......................................................................... 16
Références : .................................................................................................................... 67
71
72
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