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Université de Carthage
Ecole Nationale d’Ingénieurs de Carthage
Département : génie des systèmes industriels et
logistiques
Réalisé par :
Mr. Ben Khadher Yassine Encadrante :
Mrs. MAALEJ jawher
Année : 2023/2024
Remerciments
Je voudrais exprimer ma profonde gratitude à toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de
ce projet de fin d’études. Tout d’abord, je remercie mon encadrant académique : Mrs MAALEJ jawaher,pour
sa patience, sa bien veillance, sa précision et sa accompagnement tout au long de ce travail de recherche
passionnant.
Je tiens également à remercier l’Ecole nationale d’ingénieur de Carthage pour nous avoir donner
l’occasion d’innover et de s’impliquer dans un tel projet .
Je tiens également à remercier mes amis et ma famille pour leur soutien moral .
Encore une fois, je suis très reconnaissant en vers toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation
de ce projet. Leur aide, leur soutien et leur encouragement ont été inestimables pour moi, et je leur en suis
infiniment reconnaissant.
I
Résumé
Le but de ce pro jet est de trouv er une solution p our résoudre les problèmes causés par la p oussière
en vironnemen tale sur les installations photo v oltaïques. Après une rec herc he bibliographique approfondie e
une analyse de résultats réels, nous a v ons dév elopp é un rob ot netto y eur qui p eut se déplacer sur les pann
solaires et les netto y er en utilisan t un système de pulv érisation d’eau et de brosses rotativ es. Nous a v ons
testé notre solution sur une installation photo v oltaïque réelle et a v ons observ é une nette amélioration des
p erformances a v ec une augmen tation significativ e de la pro duction d’énergie. Nous a v ons égalemen t men
une analyse économique p our déterminer les coûts et les a v an tages financiers de notre solution. Les résultat
on t mon tré que notre solution est ren table et offre un retour sur in v estissemen t satisfaisan t à court terme
En conclusion, notre solution de netto y age rob otisé est une alternativ e ren table et efficace p our main tenir
p erformances des installations photo v oltaïques dans des en vironnemen ts industriels p oussiéreux.
II
T able des matières
Remercimen ts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I
Résumé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I I
III
T able des matières
Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
IV
Liste des figures
V
Liste des figures
VI
liste des abréviations
PV Photovoltaïque .
W c watt-cr ête.
°C L e de gr é Celsius .
W W att .
VI I
Introduction génèrale
Contexte du projet
Ce sujet s ’inscrit dans le cadre du projet de fin d’année de deuxième année génie des
systèmes industriels et logistique . Ce projet se spécialise sur le domaine de la gestion
financière et de la comptabilité pour étudier la structure des coûts d’une entreprise .
problématique
Le pro jet v ise à résoudre un problème couran t dans les installations photo v oltaïques situées
dans des en vironnemen ts industriels, à sa v oir la détérioration des panneaux solaires due à la
présence de p oussière. P our y remédier, le pro jet prop ose la conception d’un rob ot
netto y eur capabl e d’éliminer efficacemen t la p oussière et de main tenir les panneaux solaires
propres. Une étude sera menée p our év aluer les gains de pro duction résultan t de l’utilisation
de ce rob ot netto y eur, afin de déterminer si cette solution est ren table et viable à long terme
Organisation du travail
Ce projet se déroule en trois chapitres suivis d’une conclusion, chacune de ces parties est
bien étudiée en pratique et en théorie.
1
Chapitre 1 : Rec herc he
bibliographique,étude des exemples
réels et présen tation de la
problématique
2
Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
3
Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
pro duit pas d ’émissions de gaz à effet de serre ou de p ollution de l’air. Cela en fait une
solution éc ologique et économique p our rép ondre aux b esoins énergétiques croissan ts de
notre
Le fonctionnemen t d’un panneau solaire est basé sur le princip e de la con v ersion de l’énergie
lumineuse en é lectricité grâce à l’effet photo v oltaïque.
Un panneau sola ire est constitué de cellules photo v oltaïques, généralemen t fabriquées à
partir de s ilicium. Ces cellules son t connectées les unes aux autres et protégées par des
couc hes de m atériaux sp éciaux p our former un panneau solaire.
Lorsque la l umière du soleil frapp e le panneau solaire, les photons de lumière son t absorb és
par les éle ctrons présen ts dans les cellules photo v oltaïques. Cela pro v o que la lib ération
d’électrons qui son t ensuite collectés par un circuit électrique présen t dans le panneau
solaire.
Le circuit é lectrique est généralemen t constitué d’un réseau de fils métalliques reliés aux
cellules pho to v oltaïques et à un onduleur qui transforme le couran t con tin u pro duit par le
cellules e n couran t alternatif utilisable dans les fo y ers ou les en treprises.
Les panneaux s olaires p euv en t être installés sur un toit ou dans un c hamp solaire p our
capter la lumière du soleil et pro duire de l’énergie électrique. Les panneaux solaires p euv en t
être mon tés sur des structures fixes ou sur des trac k ers solaires, qui suiv en t la tra jectoire d
soleil p our maximiser la quan tité de lumière captée par le panneau.
4
Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
Figure
Un panneau solaire photo v oltaïque étan t comp osé de cellules photo v oltaïques qui pro duise
du couran t co n tin u, il pro duira donc lui aussi un couran t con tin u.
Un panneau (ou m o dule) photo v oltaïque est p olycristallin ou mono cristallin, selon qu’il est
comp osé de cellules photo v oltaïques p olycristallines ou mono cristallines.
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
L’unité in ternationale de mesure de la pro duction d’énergie des panneaux solaires est le
w att-crête (W c) . Le w att-crête représen te la puissance maximale que p eut pro duire un
panneau solair e dans des conditions standardisées, c’est-à-dire lorsqu’il est exp osé à une
in tensité lumineuse de 1000 W/m2 , à une temp érature de 25°C et dans des
conditions atmosphéri ques précises.
La puissance immédiate pro duite par un panneau solaire photo v oltaïque p eut être mesurée
sous les c onditions STC (Standard T est Conditions), Si un panneau solaire de 300W c est
utilisé sou s ces conditions, il délivrera une puissance instan tanée de 300W. T outefois, si
l’ensoleillemen t dimin ue (par exemple en cas de n uages), la puissance instan tanée fournie
par le panneau s era inférieure à 300W.
Le sc héma pr ésen té ci-dessous mon tre le mo dèle t ypique d’une courb e de tension-couran t
p our un panneau s olaire photo v oltaïque.
• La tension de circuit ouv ert (Uco) représen te la tension mesurée aux b ornes du
panneau lorsque celui-ci est exp osé à la lumière solaire, mais sans pro duire de couran t
(I = 0A)
• la tension de court-circuit (Icc) p eut être estimée en connectan t un amp èremètre aux
b ornes du panneau lorsqu’il est exp osé à la lumière (ce qui se rappro c he d’un
court-circuit a v ec la faible résistance de l’amp èremètre).
6
Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
Figure 1.4: Courb e couran t-tension d’un panneau solaire photo v oltaïque
Figure 1.5: Courb e de puissance délivrée par un mo dule solaire photo v oltaïque
La puissance maximale (Pmpp) d’un panneau solaire photo v oltaïque est obten ue
grâce à l a com binaison de Umpp et Impp, où Pmpp = Umpp x Impp . L’onduleur ou le
micro-onduleur est c hargé d’assurer que cette Pmpp est attein te via la fonction MPPT
(Maxim um P o w er P oin t T rac k er) , qui est conn ue sous le nom de régulation MPPT.
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
r = ( Pmpp( W )/ S ur f ace2)/1000(
(m W / 2m
)) ∗ 1000 = Pmpp( W )/( S ur f ace2)( ∗m100) (1.2)
Notons que les rendemen ts des panneaux solaires photo v oltaïques mono-faces conçus à partir
de silic ium cristallin commercialisés atteignen t des rendemen ts compris en tre 16% et 20%.
Chaque fabric an t de panneaux solaires photo v oltaïques offre, en plus des garan ties légales,
deux garan ties con tractuelles.
• La première garan tie couvre les élémen ts non pro ducteurs d’électricité tels que le v erre,
le cadre et la b oîte de jonction, offran t une protection con tre la détérioration de ces
matériaux.
• La deuxième garan tie concerne la puissance et le rendemen t, garan tissan t l’év olution
du rendemen t des cellules photo v oltaïques comp osan t le panneau solaire au fil des
années. P ar exemple, une garan tie de 80% de puissance à 25 ans.
Il est es sen tiel de faire la distinction en tre la garan tie et la durée de vie, car cette dernière
est généra lemen t bien plus imp ortan te que la garan tie du pro duit. Cela est égalemen t
v alable p our l es autres comp osan ts tels que les onduleurs.
Deux élémen ts principaux con tribuen t à l’impact en vironnemen tal de la fabrication d’un
panneau solair e photo v oltaïque : Le temps de retour énergétique et es émissions de
CO2 liées à son pr o cessus de pro duction. Selon différen tes études, en viron 2 500
k Wh/k W c d’énerg ie son t nécessaires p our pro duire un panneau solaire photo v oltaïque,
tandis que l a pro duction mo y enne d’un panneau solaire en F rance est de 1 000 k Wh/k W c
P ar conséque n t, le temps de retour énergétique est d’en viron 2,5 ans. De plus, le recueil de
règles « P ro duct En vironmen tal F o otprin t Category R ules » , v alidé par la Commission
europ éenne e n 2018, estime les émissions de CO2 p our les panneaux photo v oltaïques à base
de silicium c ristallin en tre 48,8 CO2-eq/k Wh (silicium p olycristallin) et 80,4 CO2-eq/k Wh
(silicium m ono cristallin).
8
Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
Figure 1.6: Effets de l’orien tation et l’inclinaison sur le rendemen t des panneaux solaires
Une installat ion de panneaux solaires placée en tre les directions sud-est et sud-ouest, a v ec
une inclinais on en tre 15° et 50° par rapp ort à l’horizon tale , fournira une quan tité
d’énergie pr o c he de la quan tité optimale (zone orange). Les com binaisons d’orien tation et
d’inclinaison qui son t grisées dans le tableau ne son t généralemen t pas recommandées, à
moins qu’ell es ne soien t nécessaires p our des raisons arc hitecturales.
P our calcule r la pro duction d’électricité de v otre système en fonction de la puissance de
p oin te, de l ’orien tation et de l’inclinaison, utilisez la form ule suiv an te :
Pro duction ann uelle d’éle ctricité (en k Wh) = Puissance installée (en k W) *
F acteur de p erfo rmance (en p ourcen tage) * Heures d’ensoleillemen t ann uelles
(en heures) * F acteur de correction
3- La qualité du panneau solair e : la qualité du panneau solaire, y compris la
tec hnologie utilisée et la qualité des matériaux, p eut a v oir un impact significatif sur la
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
pro duction d’ énergie. Les panneaux solaires de qualité sup érieure son t généralemen t plus
efficaces et p euv en t donc pro duire plus d’énergie.
4- La météo : la pro duction d’énergie solaire dép end de la quan tité de lumière solaire
disp onible, qui p eut être affectée par les n uages, la pluie et d’autres conditions
météorologiques.
5- La saison : la pro duction d’énergie solaire p eut v arier considérablemen t en fonction de
la saison, c ar la quan tité de lumière solaire disp onible v arie en fonction de l’angle du soleil
et de la d urée des jours.
6- La temp érature : les panneaux solair es on t une efficacité légèremen t réduite par temps
c haud. Les temp ératures élev ées p euv en t affecter la capacité des électrons à circuler à
tra v ers le m atériau des cellules solaires, réduisan t ainsi l’efficacité de la pro duction
d’énergie.En effet , La temp érature à laquelle est soumise un panneau solaire influence son
rendemen t et donc la puissance qu’il délivre.
En fait c’e st surtout sur la tension que la temp érature a une influence : plus la temp érature
est imp ort an te, plus la tension est basse. L’in tensité quan t-à-elle n’est que très p eu
impactée pa r la temp érature. Le profil de la courb e se décale sur la gauc he comme le
graphique
Figure 1.7: Influence de la temp érature sur les p erformances d’un panneau solaire photo v oltaïque
Sac han t de P = U x I, on comprend facilemen t que plus la temp érature du panneau solaire
photo v oltaïque e st élev ée, plus la puissance est basse. Le rendemen t en est donc affecté.
Ce n’est pa s ano din car p our fournir le maxim um de puissance un panneau solaire
photo v oltaïque do it être exp osé à un ensoleillemen t maximal, et donc sa temp érature
augmen te.
Ces facteurs doiv en t être pris en compte lors de l’installation de panneaux
solaires p our ma ximiser la pro duction d’énergie et optimiser leur efficacité.
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
1.2.10.1
Figure 1.8: Év olution de la capacité installée d’énergie solaire photo v oltaïque dans le monde de 2006 à 2018
Ce graphique i llustre l’év olution de la capacité installée d’énergie solaire photo v oltaïque
dans le monde de 2006 à 2018, en giga w atts. On p eut constater que la capacité en énergie
solaire pho to v oltaïque a grandi duran t la p ério de en question, passan t de moins de dix
giga w atts en 2 007 à plus de 500 giga w atts en 2018.
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
1.2.10.2
Figure 1.9: Capacité d’énergie solaire photo v oltaïque dans le monde en 2018, selon le pa ys(en giga w atts)
En mo y enne, la T unisie disp ose de ressources solaires sup érieures à 3 000 heures/an a v ec d
régions disp o san t d’heures d’ensoleillemen t plus imp ortan tes que d’autres. La plupart des
régions au s ud du pa ys p ossèden t un temps d’exp osition solaire de plus de 3 200 heures/an,
a v ec des pi cs de 3 400 heures/an au golfe de Gab ès (sud-est). D’un autre côté, la p ério de
minimale d’ins olation dans les régions du nord est comprise en tre 2 500 et 3 000 heures
plein soleil équiv alen tes. L’irradiation solaire v arie de 1 800 Kilo w att-heure (KWh)/m2 /an
au nord à 2 600 k Wh/m2 /an au sud.
L’irradiation horizon tale globale mo y enne se situe en tre 4,2 k Wh/m2 /jour dans le
nord-ouest de la T unisie et 5,8 k Wh/m2 /jour dans son extrême sud. A v ec ces conditions
fa v orables, l a pro ductivité des systèmes solaires photo v oltaïques en T unisie est très élev ée
Selon le Glo bal A tlas de l’In ternational Renew able Energy Agency (IRENA), la pro duction
ann uelle d’éle ctricité par les systèmes solaires photo v oltaïques v arie en tre 1 450 k Wh par
kilo w att-crête (k W c) dans la région nord-ouest et 1 830 k Wh/k W c dans l’extrême sud-est.
La T unisie b é néficie d’un taux d’ensoleillemen t imp ortan t dépassan t 3000 heures par an.
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
photo v oltaïques : L’accum ulation de p oussière sur les panneaux solaires p eut réduire
la quan tité de lumière solaire qui attein t les cellules photo v oltaïques, ce qui dimin ue la
pro duction d’électricité.
• Dimin ution de l’efficacité de con v ersion : La p oussière p eut é galemen t réduire
l’efficacité de con v ersion de la lumière solaire en électricité, car elle p eut obstruer la
surface des panneaux solaires et réduire la capacité des cellules photo v oltaïques à
absorb er la lumière solaire.
• A ugmen tation de la temp érature des panneaux solaires : L’accum ulation de
p oussière p eut absorb er la c haleur du soleil et augmen ter la temp érature des panneaux
solaires, ce qui p eut réduire leur rendemen t.
• A ccum ulation d’h umidité : La p oussière p eut égalemen t accum uler de l’h umidité
sur la surface des panneaux solaires, ce qui p eut causer des dommages à long terme
aux cellules photo v oltaïques.
• Risque d’incendie : Enfin, l’accum ulation de p oussière sur les panneaux solaires
p eut augmen ter le risque d’incendie, car elle p eut agir comme un com bustible et
augmen
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
En général, l’impact des précipitations sur la pro duction d’énergie solaire dép endra de la
quan tité de pl uie, de l’heure de la journée et de la région géographique.
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Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
• Une étude au désert algérien a été menée par Simaoui Ismail sur l’impact de
l’accum ulation de p oussière sur la quan tité de ra y onnemen t solaire absorb ée par un
panneau solaire installé a v ec un angle de 32° toute l’année. Les résultats mon tren t que
la quan tité de ra y onnemen t solaire absorb é est dimin ué d’en viron 9%, si les panneaux
a
• Une étude exp érimen tale de l’effet de la p oussière sur les p erformances des panneaux
photo v oltaïques à Bhopal a été menée (une région cen trale de l’Inde, latitude en tre 23°
et 25° nord et 77° et 42° est), où les temp ératures fluctuen t en tre 5 et 8 °C en un an.
Le panneau solaire est p osé sur un supp ort et connecté aux appareils de mesure.
L’effet de la p oussière est év alué en comparan t les p erformances d’un panneau exp osé
à la p oussière et un autre sans p oussière. Les résultats obten us mon tren t que la
p oussière réduit l’énergie pro duite de manière significativ e, donc il est nécessaire
d’utiliser des mécanismes de netto y age [8]
1.4 Conclusion
A u cours du pre mier c hapitre, nous a v ons appris b eaucoup de c hoses sur l’installation des
panneaux solaires photo v oltaïques. Nous a v ons constaté que certains facteurs, en particulier
16
Rec herc he bibliographique,étude des exemples réels et présen tation de la problématique
les conditio ns météorologiques, p euv en t en traîner une baisse significativ e de la pro duction
d’énergie. Cela p eut être un problème imp ortan t p our les en treprises et les particuliers qui
utilisen t des panneaux solaires p our leur alimen tation en énergie. Dans ce con texte, notre
pro jet consiste à optimiser la production d’énergie solaire en minimisant l’impact de la
p oussière p our une en treprise de pro duction de briques app elée ”Céramiq ue Moknine SMC”
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Chapitre 2 : Concepts fondamentaux
de la Comptabilité de Gestion
de la Comptabilité de Financière
à la comptabilité de gestion
18
Concepts fondamentaux de la Comptabilité de Gestion
2.1 introduction
les Concepts fondamentaux de la Comptabilité de Gestion De la comptabilité Financière à la
comptabilité de gestion répresentent les principes et les méthdes utilisès pour collecter,étudier
et interpéter les informations financières et non financières afin de soutenir la gestion
opérationnelle et la prise de dècision au sien d’une organisation .
Ces concepts marquent la transition de la comptabilité financière à la comptabilité de gestion,
une évolution qui implique un changement d’orientation des rapports financiers externes vers.
une utilisation interne de l’information financière pour la planification, le contrôle et la prise
de décision .
Les coûts dans la comptabilitè de gestion représentent les dépenses associées à la production
de biens ou de services,comme les coûts direct par exemple comme la main-d’œuvre et
matériaux, ainsi que les coûts indirects, tels que les frais généraux.Cette analyse aide les
entreprises à mieux comprendre où et comment elles dépensent leur argent, ce qui est un
avantage car cela les aide à identifier les domaines où des économies peuvent être réalisées.
2.1.1.2 Budgétisation
La budgétisation implique l’établissement de prévisions financières pour orienter les
activités futures de l’entreprise . Grâce aux budgets, les entreprises peuvent définir des
objectifs financiers, allouer efficacement les ressources et apprécier les performances en
comparant les résultats réels aux prévisions.
19
Concepts fondamentaux de la Comptabilité de Gestion
:
Conception de la solution
2.3.1 Objectifs
La transition de la comptabilité financière à la comptabilité de gestion est motivée par divers
objectifs visant à améliorer la prise de décisions et la gestion des ressources au sein de
l’entreprise.
2.3.2 Avantages
Passer de la comptabilité financière à la comptabilité de gestion offre de nombreux avantages
avantages importants aux entreprises. En commençant par :
La méthode des coûts complets vise principalement à estimer le coût de revient, en vue d’
Elle vise à définir la stratégie de tarification de l’entreprise et à faciliter l’explication de ses
résultats en comparant, pour chaque produit (bien ou service), le prix de vente et le coût de
et le coût de revient.[1]
• Charges indirectes, , qui concernent plusieurs coûts, font l’objet d’une répartition
et nécessitent un calcul préalable à leur imputation.
– La méthodologie de la Méthode ABC : Les différentes étapes pour la mise en place d’une
démarche et de la méthode ABC sont les suivants :[2]
• Définir les activités : Exemples d’activités comprenant le traitement des
commandes, la gestion des références et la réception de marchandises.
• Trouver les coûts indirects qui seront soumis à un retraitement
• Faire le lien entre les charges et l’activité : En la plupart des cas, les clés de
répartition ne sont plus nécessaires car les charges sont généralement directement
activités.
• Faire le lien entre les activités et les produits : Chaque activité aura un inducteur
de coût qui sera sélectionné et suivi, tel que le nombre de commandes .
Conception de la solution
2.3.4 Apports
Les apports de la comptabilité financière à la comptabilité de gestion sont nombreux,
notamment :
2.3.4 Limites
Cependant, la comptabilité financière présente également certaines limites par rapport à
la comptabilité de gestion, notamment :
25
Chapitre 3 : Méthode des
couts variables
33
Réalisation d’un protot yp e
3.1 introduction
Le c hapitre en question se focalise sur l’aspect pratique du projet, en examinant la méthode
des coûts variables permet de calculer une marge sur coût variable par produit ou pa activité
soustrayant le chiffre d’affaires réalisé du coût variable correspondant. Les gestionnaires
disposent d’un outil puissant pour analyser la rentabilité des produits, services ou divisions
d’une entreprise grâce à cette méthode. Après déduction du coût fixe, il sera possible de
calculer le résultat.
34
Réalisation d’un protot yp e
35
Réalisation d’un protot yp e
– Commande le relais.
– Établit une connexion au réseau wifi p our obtenir les données météorologiques de
l’API Op en W eathers.
– Offre la p ossibilité de se connecter en Blueto oth afin de p ouv oir a juster les
paramètres.
– Prop ose une solution de conception év olutiv e p our in tégrer plusieurs rob ots
mécaniques afin de réaliser des installations dans des c hamps m ultifonctionnels..
• Nous a v ons emplo y é des enco deurs p our nous p ermettre de con trôler la distance
parcouru
36
Réalisation d’un protot yp e
37
Réalisation d’un protot yp e
Dans cette section, en plus de l’application don t nous parlerons ultérieuremen t, nous a v ons
emplo y é le l ogiciel ”Arduino (IDE)” .
38
Réalisation d’un protot yp e
utlisé le ESP32 HTTP GET a v ec Arduino IDE. Le logiciel ESP32 HTTP a v ec Arduino IDE
est un logic iel qui p ermet aux utilisateurs de programmer le mo dule ESP32 p our
comm uniquer a v ec un serv eur HTTP . Cela p ermet de créer des applications IoT (In ternet
des ob jets ) qui p euv en t recev oir ou en v o y er des données à distance via In ternet. Le log
utilise l’I DE (en vironnemen t de dév elopp emen t in tégré) Arduino p our faciliter la
programmation
3.4.6
En utilisan t les logiciels Android Studio et VS Co de, nous a v ons créé une application mobile
qui sera pr atique p our :
• Réduire le temps de tra v ail in utile et de surv eiller de près l’efficacité et le
fonctionnemen t de l’application, en fournissan t de nom breux détails.
39
Réalisation d’un protot yp e
• Etablir la connection bleuto oth : dans cette partie nous a v ons utilisé le React nativ e et
la
Figure
Figure
40
Conclusion e t p ersp ectiv es
41
Conclusion et p ersp ectiv es
42
Bibliographie
43
Bibliographie
44