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Département de hydraulique
Groupe :
N°01
Chaouch Abdellatif
Benhamida Laïd
Belabdi Mustapha
Taleb Faycel
Introduction :
En physique, un débit permet de mesurer un volume ou une
quantité de matière par unité de temps. Les exemples les
plus courants sont un débit d'électrons (on parle alors
d'intensité du courant) ou du débit d'un fluide à travers une
surface.
En hydrologie, un débit est le volume d'eau qu'un cours
d'eau véhicule par unité de temps. Sa mesure relève de
l’hydrométrie, branche de la métrologie relative aux
mesures d'écoulement d’eau.
o En médecine, cette dernière définition appliquée au sang
donne le débit cardiaque.
Dans le domaine de la protection des rayons ionisants,
le débit de dose mesure la dose
absorbée par unité de temps en Gy/s (grays par seconde).
En informatique et en télécommunications, on parle de débit
binaire (bit rate en anglais).
o Le haut débit désigne un accès internet relativement rapide.
En comptabilité générale (ou financière), débiter un compte
revient à modifier le solde d'un compte par le crédit d'un
autre compte.
En pétrographie, le débit caractérise une roche à
l'affleurement.
Dans le domaine du sciage, le débit est une façon de
découper le bois.
Mode D′action :
Les filtres sont alors alimentés en eau décantée à partir
d’une même tuyauterie ou d’un même canal, sans chute,
puisqu’il n’y a pas lieu de faire de répartition.
Les résultats :
Ainsi, le débit (noté Q) se calcule en multipliant la
vitesse de passage du fluide mesurée en mètres par
seconde (m/s) par la section de la canalisation exprimée
en mètres-carrés (m²).
Le graphe :
filtre artificeil
8000
7000
6000
5000
volume
4000
Axis Title
3000
2000
1000
0
6 4 5 8 1 6 1 8 4 4 9 4 8
4 .9 8.2 0.9 8.9 9.8 9.6 9.7 9.6 9.8 9.8 9.9 1.2 1.5
1 1 1 1
filtre natural
8000
7000
6000
5000
volume
4000
3000
2000
1000
0
6 4 5 8 1 6 1 8 4 4 9 4 8
.9 8.2 0.9 8.9 9.8 9.6 9.7 9.6 9.8 9.8 9.9 1.2 1.5
14 1 1 1
Conclusion :
En dehors de la filtration, les membranes ont d'autres
applications à des fins analytiques. Elles peuvent être
utilisées en dialyse, osmose inverse, pour la purification,
l'enrichissement, l'addition contrôlée de réactifs, ou dans
des systèmes d'échantillonnage et de couplage entre un
procédé et des systèmes d'analyse. Le fractionnement
flux-force, ou chromatographie de polarisation, peut
illustrer le développement de nouvelles méthodes. C'est
un moyen de mesurer la taille de particules colloïdales
dans un système, semblable à ceux utilisés en filtration
tangentielle puisqu'il implique un écoulement de
suspension près d'une paroi poreuse. Cette technique
consiste à faire passer la solution dans un canal
capillaire, dont une des parois est constituée d'une
membrane, et à déterminer, pour un débit de filtrat donné
à travers la membrane, le temps de passage des
différentes particules ; on obtient ainsi l'équivalent d'un
chromatogramme d'exclusion de taille.
Université Hassiba Ben Bouali –CHLEF
Département de hydraulique
Simulateur de pluie
Groupe :
N°01
Chaouch Abdellatif
Benhamida Laïd
Belabdi Mustapha
Taleb Faycel
Introduction :
Les probabilités de ruissellement de l'eau des pluies,
les possibilités d'infiltration de l'eau dans le sol et les
risques d'érosion des sols sont des données essentielles
que les hommes essaient de comprendre et de mesurer
depuis fort longtemps. Pour cela, bien des méthodes ont
été ou sont toujours utilisées comme par exemple, sur le
terrain, l'observation empirique des phénomènes, ou
l'expérimentation grâce à des parcelles délimitées par
des bordures, avec des réservoirs de réception où sont
concentrés et mesurés les ruissellements sous pluies
naturelles ; ou encore l'utilisation de cadres ou cylindres
métalliques, enfoncés à faible profondeur dans le sol,
dans lesquels on mesure la vitesse d'infiltration d'un
volume connu d'eau. Ces méthodes ont pour nom
MUNTZ, puis MUNTZ modifiée par PIOGER,
PORCHET, ou encore la méthode VERGIERE en
laboratoire etc. Ces techniques de mesure fournissent des
informations utiles, et surtout comparatives, mais elles
présentent toutes certaines limites plus ou moins
contraignantes et, pour la plupart, celle de mesurer un
phénomène sous l'effet d'une nappe ou charge d'eau,
s'éloignant ainsi des conditions d'infiltration sous pluie
naturelle. I1 est évident que pour étudier de manière
adéquate les phénomènes induits par la pluie, l'idéal
serait de pouvoir reproduire à volonté des événements
pluvieux connus et contrôlés, en gérant tous les
paramètres, pouvoir les modifier ou les faire varier pour
mettre en évidence le rôle de chacun, tout en
s'affranchissant du hasard et des caprices de la nature.
La simulation de pluie est une méthode qui tente de
répondre à cet objectif. Elle permet d'obtenir sur le
terrain, de façon expérimentale, dans un temps
relativement court, de nombreuses données mesurées sur
le comportement de l'eau en surface et dans le sol sous
des averses artificielles effectuées et contrôlées à l'aide
d'appareillages que nous appelons simulateurs de pluies.
Dans cet article nous rappellerons rapidement l'origine
des techniques de simulation de pluies, leur
développement à l'Orstom et les principales
améliorations apportées au matériel et à la technique.
La simulation de pluie est une technique de mesure
permettant de quantifier les caractéristiques hydro
physiques des sols et la propension à détacher des
particules plus ou moins fines du sol par la pluie. Ces
essais se font quel que soit le degré d'inclination de la
pente et le taux de couverture végétale, autant que la
zone soit non couverte par des arbres ou arbustes de
taille supérieure à 2 ou 3 mètres de hauteur. La mesure
de l’infiltration et du ruissellement sous les pluies
simulées peut se faire sur une surface variable en
fonction du terrain à l’étude. Elle doit permette de
reproduire les caractéristiques
des précipitations naturelles en contrôlant la durée,
l’intensité et la fréquence de la pluie.
Les résultats :
OBJECTIF DE L’ACTION :
L’objectif de cette action est de comparer sur une
base de bassins versants de référence les estimations de
pluie et de débit issues de l’application des différentes
méthodes étudiées dans le projet Extrafort. L’idée à la
base de cette action est de comparer la plus large gamme
possible de méthodes. Pour cette raison nous avons
choisi de réduire les bassins versants considérés pour
permettre aussi à toutes les méthodes « non automatique
» (i.e. méthodes qui nécessitent un certain niveau
d’expertise hydrologique) de participer à l’action de
comparaison.
Le Graphe:
simulateur de pluie
16
14
12
10
hauteurs
8
0
4.78 8.89 9.1 18.07 29.46 11.19 11.23 42.17 103.93 780.05
Conclusion :
Des simulateurs de pluies sont utilisés pour travailler
à différentes échelles allant de quelques dizaines de
centimètres carrés en laboratoire à 400 m2 au champ. Le
but est d'apporter au sol une quantité d'eau sous forme
d'une pluie artificielle ayant des caractéristiques
similaires à celles d'une pluie naturelle. La taille des
gouttes et l'énergie cinétique de ces pluies ont été
étalonnées avec celles naturelles pour une corrélation
très élevée pour les appareillages utilisés1,2. Tous les
simulateurs de pluie doivent permettre d'étudier les
interactions entre la dynamique des surfaces lors
d'averses d'intensité variable et la cinétique d'infiltration
de l'eau dans les sols. Cependant l'échelle de la mesure
est variable en fonction des objectifs visés, notamment
pour la quantification des pertes en sol.
Université Hassiba Ben Bouali –CHLEF
Département d’hydraulique
Jaugeage de moulinet
Groupe :
N°01
Chaouch Abdellatif
Benhamida Laïd
Belabdi Mustapha
Taleb Faycel
Introduction :
Le jaugeage au moulinet, appelé également jaugeage
par exploration des champs des vitesses, consiste à
étudier la fonction v(x, y) en échantillonnant suivant
différentes valeurs de la largeur (x) et de la profondeur
(y) de la section mouillée, Généralement, on fixe
différentes abscisses (appelées verticales) x1, x2, ….,xi et
sur chacune des abscisses (xi) on mesure, à différentes
profondeur, Cette technique est dite ‘ jaugeage point par
point ’. D’une manière plus simple, la mesure du débit
par cette méthode exige la détermination des vitesses
ponctuelles en nombre suffisant pour permettre le calcul
d’une vitesse d’écoulement moyenne (V) dans la section
du cours d’eau considérée. Le débit transitant à travers
cette section est alors : Q = A.V
Mode D′action :
Pour mesurer le débit d'un écoulement naturel (cours
d'eau, canal, dérivation...), il existe quatre grandes
catégories de méthodes.
Les méthodes "volumétriques" (ou jaugeage
capacitif) permettent de déterminer le débit directement à
partir du temps nécessaire pour remplir d'eau un
récipient d'une contenance déterminée. Compte tenu des
aspects pratiques inhérents à la méthode de mesure
(taille du récipient nécessaire, incertitude sur la mesure
du temps, aménagement spécifique éventuel), cette
méthode n'est généralement pratiquée que pour des
débits très faibles, quelques l/s au plus.
Les méthodes "d'exploration du champ de
hauteurs
3
0
0.404 0.39 0.375 0.35
Conclusion :
Pour conclure nous dirons tout d'abord que la mise en
œuvre de la méthode de jaugeage par intégration a porté
ses fruits puisque du JOI' janvier au 30 juin 1971 nous
avons exécuté et calculé 372 jaugeages, réalisant ainsi
une confortable avance de 72 jaugeages sur le
programme que nous nous étions fixé au départ, à savoir
600 jaugeages dans l'année. Encore faut-il souligner que
cette peIiormance a été atteinte bien qu'une équipe sur
deux seulement ait été dotée de tout le matériel
nécessaire à l'exécution des jaugeages par intégration.
L'expérience acquise nous montre que cette méthode,
lorsqu'elle est appliquée correctement, permet d'obtenir
des résultats absolument identiques voire même
suspenseurs en qualité à ceux obtenus par la méthode
traditionnelle de jaugeage par points, avec sur cette
dernière les avantages suivants: a) Gain de temps variant
entre 20 et 50 % dans les opérations de mesure
proprement dites, c'est-à-dire à l'exclusion du temps
nécessaire au montage et au démontage du matériel qui
reste le même quelle que soit la méthode employée. Ce
gain de temps est doublement appréciable puisque d'une
part, il concerne une équipe comportant deux opérateurs
et d'autre part, il constitue un facteur important de la
qualité du résultat en diminuant les risques d'erreurs
consécutifs à des variations du plan d'eau, donc du débit,
pendant les mesures. b) Gain de temps de 70 à 75 % dans
les calculs effectués au bureau par un seul agent.
Université Hassiba Ben Bouali –CHLEF
Département d’hydraulique
Groupe :
N°01
Chaouch Abdellatif
Benhamida Laïd
Belabdi Mustapha
Taleb Faycel
Introduction :
Le coefficient de perméabilité d’un sol saturé est une
caractéristique du sol qui dépend essentiellement de
sa granularité, de sa nature, de sa structure, de son
indice des vides et de la température.
Plus un sol est fin ou un sol compact, plus les pores
sont petits, plus les frottements et les pertes de charge
sont importants et plus le coefficient de perméabilité
est petit.
Deux méthodes, applications directes de la loi de
Darcy, sont utilisées en laboratoire :
- la mesure sous charge constante pour les sols très
perméables
- la mesure sous charge variable pour les sols peu
perméables.
PERMEAMETRE A CHARGE CONSTANTE :
L’essai de perméabilité à charge constante montré sur
la figure 5, convient aux sols très perméables comme
les sables. Cet essai doit satisfaire aux conditions
suivantes :
§
L’échantillon doit contenir des particules
< 80 mm au plus égal à 10% des particules > 20
mm = 0 %
§
L’écoulement d’eau à travers l’échantillon de sol est
laminaire et permanent, de telle sorte que la vitesse
d’écoulement de l’eau reste proportionnelle au
gradient hydraulique;
§
L’échantillon de sol est saturé et ne subit pas de
changement de volume durant l’essai
§
La perte de charge (Δh) demeure constante.
PERMEAMETRE A CHARGE VARIABLE :
Avec les sols peu perméables comme les sols silt eux
et argileux, l’essai de perméable à charge constante
ne délivre que très rarement des résultats acceptables,
pour cela, on utilise l’essai à charge variable.