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Le Saint-Esprit – le Consolateur
Une compilation de citations de l’Esprit de Prophétie

Terry Hill
terry_sda@blueyonder.co.uk
http://theprophetstillspeaks.co.uk

Imprimé par

Avril 2020

Traduit par Marc Fury


maranathamedia.fr@mailbox.org
maranathamedia.fr
peredamour.fr

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Introduction
Recevoir le don du Saint Esprit est d’une importance vitale. Nous
devrions être circonspects dans notre recherche à expliquer le Saint-
Esprit et ses opérations, et nous devrions certainement éviter de
promulguer une déclaration fondamentale sur laquelle les supposés
orthodoxes pourraient découvrir les hérétiques et les exclure de leur
compagnie.
J’ai régulièrement été accusé par des membres de l’Église adventiste
de ne pas croire au Saint-Esprit, ce qui est révélateur du problème
qu’ont les gens à ne pas pouvoir écouter des personnes qui pourraient
fonctionner dans un cadre de compréhension différent. Le désir de
condamner ceux qui croient autrement à ce sujet est extrêmement
triste. Je cherche à éviter autant que possible le débat sur l’identité du
Saint-Esprit, car l’esprit de débat n’est pas l’Esprit de Dieu et ne fait
en réalité que l’éloigner.
J’aime le Saint-Esprit pour de nombreuses raisons, car c’est par
l’Esprit que mon Sauveur bien-aimé habite en moi et marche avec moi.
Je prie chaque jour pour l’Esprit et je crois que mes prières sont
exaucées car je sais que mon Père céleste m’aime.
Je vous présente les déclarations inspirées suivantes sur le Saint-
Esprit, qui ont été compilées par Terry Hill. Terry est un excellent
chercheur, et je le remercie pour ses efforts pour compiler cette liste
de citations.
Peu importe ce que vous croyez au sujet du Saint-Esprit, je crois que
l’Esprit de Dieu en moi me conduira à vous apprécier en tant qu’enfant
de Dieu et à vous aimer comme quelqu’un ayant été racheté par le sang
de Christ. Je partage ces citations avec vous pour votre bénédiction et
votre édification.
Grâce et paix vous soient accordées de la part de Dieu notre Père et du
Seigneur Jésus-Christ.
Adrian Ebens

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La raison pour laquelle les églises sont faibles, maladives, et sur le point de
mourir, est que l’ennemi a fait entrer des influences d’une nature
décourageante, pour les faire subir à des âmes tremblantes. Il a cherché à
cacher à leur vue Jésus comme étant le Consolateur, quelqu’un qui
reprend, qui avertit, qui les exhorte en disant, “C’est là le chemin, marchez-
y.” (Ellen G. White, Review and Herald, 26 Août 1890, ‘La Justice de Christ’)

« Lorsque les enfants de Dieu prendront la position selon laquelle ils sont
le temple du Saint-Esprit, Christ Lui-même habitant en eux, ils Le
révéleront si clairement en esprit, en paroles et en actions, qu’il y aura un
distinction indubitable entre eux et les enfants de Satan. » (Ellen G. White,
MS. 100, 1902, Notebooks Leaflets, page 79, ‘La question de l’école d’Eglise’)

« Alors que par la foi nous regardons à Jésus, notre foi perce l’obscurité, et
nous adorons Dieu pour son amour merveilleux en donnant Jésus le
Consolateur. » (Ellen G. White, MR Volume 19, No. 1405, ‘Extraits du journal
du 6 au 31 juillet 1892’)

« Le Sauveur est notre Consolateur. Cela, j’en ai fait l’expérience. »


(Ellen G. White, 16 juin 1892, Manuscript Releases Volume 8 No. 548, ‘La
manière dont Ellen White portait la Souffrance’)

« Le Seigneur va bientôt venir. Nous voulons cette compréhension


complète et parfaite que le Seigneur seul peut donner. Il n’est pas prudent
de recevoir l’esprit d’un autre. Nous voulons le Saint-Esprit, qui est
Jésus-Christ. » (Ellen G. White, Lettre 66, 10 avril 1894)

« Le Christ doit être connu sous le nom béni de Consolateur. ‘Le


Consolateur’, dit le Christ à ses disciples, ‘qui est le Saint-Esprit, que le Père
enverra en mon nom...’ » (Ellen G. White, Ms 7, 1902, dactylographié le 28
janvier 1902)

« Je demande instamment à notre peuple de cesser de critiquer et d’avoir


de mauvais propos, et de se présenter devant Dieu dans une prière sincère,
en lui demandant de l’aider à aider les égarés. Qu’ils se lient les uns aux
autres, et avec Christ. Qu’ils étudient le dix-septième chapitre de Jean, et
qu’ils apprennent à prier et à vivre la prière du Christ. Il est le
Consolateur. Il demeurera dans leur cœur, rendant leur joie
pleine et entière. » (Ellen G. White, Review and Herald, 27 janvier 1903, ‘La
signification des providences de Dieu’)

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« Il n’est pas de Consolateur semblable à Christ, si tendre et si
vrai. Il est touché du sentiment de nos infirmités. Son Esprit parle au
cœur… Mais aucune circonstances, aucune distance, ne peuvent nous
séparer du Consolateur céleste. Où que nous soyons, où que nous allions,
il est toujours là, donné au lieu de Christ, pour agir à sa place. Il est
toujours à notre droite, pour nous dire des paroles apaisantes et douces ;
pour nous soutenir, nous entretenir, nous maintenir et nous encourager. »
(Ellen G. White, Review and Herald, 26 Octobre 1897, ‘Paroles de consolation’ –
No. 2)

« Nous nous détournons du tableau de nos manquements pour contempler


l’expiation faite pour nous, et nous nous réjouissons de savoir que nous
pouvons être revêtus de la justice du Christ. En lui réside toute plénitude.
Il offre le pardon et la grâce à toute âme. Alors que par la foi, nous regardons
à Jésus, notre foi perce l’obscurité, et nous adorons Dieu pour son amour
merveilleux – en nous donnant Jésus le Consolateur. – » (Ellen G. White,
Ms 20, 26 juillet 1892)

Le texte entre les symboles – – fut ajouté par Ellen White de sa propre écriture
manuscrite au texte dactylographié, après qu’il eût été copié par ses secrétaires.

« Il n’est pas indispensable pour vous de savoir et de pouvoir définir


exactement ce qu’est le Saint-Esprit. Christ nous dit que le Saint-
Esprit est le Consolateur, et le Consolateur est l’Esprit Saint, ‘l’Esprit de
vérité,’ [Jean 15 : 26] ‘que le Père enverra en mon nom,’ [Jean 14 : 26] ‘Et
moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Consolateur, afin qu’il
demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut
recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous
le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous.’ [Jean 14 : 16,
17.] Cela se réfère à l’omniprésence de l’Esprit de Christ, appelé
le Consolateur. » (Ellen G. White, lettre 7, à Frère Chapman, 11 Juin 1891)

« En donnant Sa mission à ses disciples, le Christ ne leur a pas dit qu’ils


seraient laissés seuls. Il leur assura qu’il serait près d’eux. Il parla de
son omniprésence d’une manière particulière. Allez vers toutes les
nations, a-t-il dit. Allez jusqu’aux confins du globe habitable, mais sachez que
ma présence y sera. L’assurance de sa présence continuelle était le
plus grand don que le Christ pouvait offrir à Ses disciples. » (Ellen G. White,
Ms 138, 2 Décembre 1897, ‘L’Evangile’)

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« La meilleure recommandation que vous puissiez porter avec vous de cette
école et de son influence est une vie bien ordonnée et une conversation
pieuse. Où que vous soyez, maintenez les principes que vous avez étudiés
ici. Où que vous alliez, poursuivez votre œuvre consistant à sonder les
Écritures, et le Seigneur Jésus sera toujours à votre droite pour
vous aider. Il est un grand prêtre miséricordieux qui plaide en
votre faveur. Il enverra Son représentant, le Saint-Esprit, car il
dit : ‘Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.’ Par
l’Esprit, le Père et le Fils viendront et feront leur demeure chez vous. » (Ellen
G. White, Bible Echo, 15 janvier 1893, ‘La source de notre force’).

« Le Saint-Esprit, qui procède du Fils unique engendré de Dieu, lie


l’agent humain, corps, âme, et esprit, à la nature divino-humaine parfaite de
Christ. » (Ellen G. White, Review and Herald, 5th April 1906, ‘La Parole faite
chair’)

« Personne ne gardera la loi de Dieu, à moins d’aimer Celui qui est le seul
engendré du Père. Et non moins sûrement, s’ils L’aiment, ils Lui exprimeront
leur amour et leur obéissance. Tous ceux qui aiment Christ seront
aimés du Père, et Il se manifestera à eux. Dans toutes leurs
détresses et leurs perplexités, ils auront une aide en Jésus-Christ.
Que le Christ se manifeste à eux, tout en étant invisible pour le monde était
un mystère pour les disciples. Ils ne pouvaient pas comprendre les
paroles de Christ dans leur sens spirituel. Ils pensaient à la
manifestation extérieure et visible. Ils ne pouvaient assimiler le fait qu’ils
pouvaient avoir la présence de Christ auprès d’eux, alors qu’Il était invisible
pour le monde. Ils ne comprenaient pas la signification d’une
manifestation spirituelle. » (Ellen G. White, Southern Watchman, 13
Septembre 1898, ‘Représentants du Christ’)

« Le Seigneur encourage tous ceux qui Le cherchent de tout leur cœur. Il


leur donne Son Esprit Saint, la manifestation de Sa présence et de
Sa faveur. Mais ceux qui abandonnent Dieu pour sauver leurs vies seront
abandonnés de Lui. En cherchant à sauver leurs vies en cédant la vérité, ils
perdront la vie éternelle. (E. G. White, Testimonies vol. 9, page 230, 1909)

« Lorsqu’il monterait vers le Père, c’est alors que le Consolateur que le


Seigneur a promis viendrait. Jésus promit de se manifester lui-même par
le Saint Esprit à chaque personne qui le chercherait et croirait en lui. »
(E.G. White, Signes des Temps, 23 juillet 1896, ‘Venez à moi et buvez’)

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« En tout temps et en tout lieu, dans toutes les peines et dans toutes les
afflictions, lorsque les perspectives semblent sombres et l’avenir incertain,
et que nous nous sentons impuissants et seuls, le Consolateur sera envoyé
en réponse à la prière de la foi. Les circonstances peuvent nous séparer de
tous nos amis terrestres ; mais aucune circonstance, aucune distance, ne
peut nous séparer de notre Consolateur céleste. Où que nous soyons, où
que nous allions, il est toujours à notre droite pour nous soutenir, nous
entretenir, nous élever et nous réjouir. Les disciples n’arrivaient toujours
pas à comprendre les paroles de Christ dans leur sens spirituel, et une fois
de plus, Il expliqua leur signification. Par l’Esprit, Il se manifesterait Lui-
même à eux. ‘Le Consolateur, qui est le Saint Esprit, que le Père enverra
en mon nom, Il vous enseignera toutes choses.’ » (Ellen G. White, Desire of
Ages, pages 669 - 670, ‘Que votre cœur ne se trouble point’)

« Le Saint-Esprit est l’Esprit de Christ, qui est envoyé à tous les


hommes pour leur donner la plénitude, afin que par Sa grâce, nous puissions
être complets en Lui. » (Ellen G. White, Lettre 11a 1894, au capitaine
Christiansen, 2 janvier 1894)

« La vraie foi et le vrai repos en Dieu sont toujours accompagnés des


illuminations du Saint-Esprit, dont nous sommes le temple. Le Saint-Esprit
est l’Esprit de Christ, c’est Son représentant. » (Ellen G. White, lettre
18, J.O. Corliss, 13 septembre 1895)

« Christ a donné Son Esprit comme une puissance divine pour vaincre
toutes tendances au mal, héritées et cultivées, et pour imprimer Son propre
caractère sur Son église. » (Ellen White, Desire of Ages, page 671, ‘Que votre
cœur ne se trouble point.’)

« Ceux qui croient à la vérité devraient se souvenir qu’ils sont les petits
enfants de Dieu, qu’ils sont sous Son enseignement. Qu’ils soient
reconnaissants à Dieu pour ses grâces abondantes, et qu’ils soient aimables
les uns envers les autres. Ils ont un Dieu et un Sauveur ; et un Esprit
– l’Esprit de Christ – doit amener l’unité dans les rangs. » (Ellen G. White,
Special Testimonies, Series B No. 4 page 23, ‘L’œuvre des publications à College
View’ 1905)

« Le Christ donna à ses disciples la promesse positive qu’après Son


ascension, Il leur enverrait son Esprit. » (Ellen G. White, Review and
Herald, 26 Octobre 1897, ‘Paroles de consolation - No.2’)

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« Alors qu’Il étend au monde entier Son invitation à venir à Lui et être sauvé,
Il commissionne Ses anges pour apporter l’aide divine à chaque âme qui
vient à Lui dans la repentance et la contrition, et Il vient
personnellement par Son Saint-Esprit au milieu de Son église. »
(Ellen G. White, Lettre 2d, 23 décembre 1892, Aux frères de la Conférence
Générale)

« ‘Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.’ L’Esprit divin que
le Rédempteur du monde a promis d’envoyer, est la présence et
la puissance de Dieu. » (Ellen G. White, Signes des temps, 23 novembre
1891)

« Après Son ascension, Il serait absent en personne ; mais par le


Consolateur Il serait encore avec eux, et ils ne devaient pas passer
leur temps à se lamenter. » (Ellen G. White, ‘The Desire of Ages’, page 277,
‘Lévi – Matthieu’)

« La religion du Christ signifie bien plus que le pardon des péchés. Elle
implique l’enlèvement de nos péchés et de remplir le vide par le Saint-
Esprit. Elle signifie l’illumination divine, la joie en Dieu. Elle signifie un cœur
vidé de lui-même, et béni par la présence permanente du Christ. » (Ellen G.
White, École de formation biblique, 1er octobre 1908, "Le vrai culte")

« Dieu demande à son peuple, dont beaucoup ne sont qu’à moitié réveillés,
de se réveiller et de s’engager dans un travail sérieux, en priant pour avoir
la force de servir. On a besoin d’ouvriers. Recevez le Saint-Esprit, et
vos efforts seront couronnés de succès. La présence du Christ est
ce qui donne la puissance. » (Ellen G. White, The Central Advance, 25
février 1903, ‘La puissance du service’)

« L’œuvre du Saint-Esprit est d’une grandeur incommensurable. C’est de


cette source que viennent la puissance et l’efficacité de l’ouvrier pour Dieu ;
et le Saint-Esprit est le consolateur, en tant que présence
personnelle du Christ dans l’âme. Celui qui regarde vers le Christ avec
une foi simple et enfantine, devient participant de la nature divine par
l’intermédiaire du Saint-Esprit. » (Ellen G. White, Review and Herald, 29
novembre 1892, Voir aussi Ms 43 1901)

« Gardez la joie de vivre. N’oubliez pas que vous avez un Consolateur, le


Saint-Esprit, que le Christ a établi. Vous n’êtes jamais seule. Si vous
écoutez la voix qui vous parle maintenant, si vous répondez sans tarder aux

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coups frappés à la porte de votre cœur : « Entre, Seigneur Jésus, que je
puisse souper avec Toi, et Toi avec moi », l’hôte céleste entrera... Que dit
notre Sauveur ? ‘Je ne vous laisserai pas orphelins : Je viendrai à
vous. Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui-là qui
m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père ; je l’aimerai et je me
manifesterai à lui.’ Lorsque les épreuves assombrissent l’âme, souvenez-
vous des paroles du Christ, souvenez-vous qu’Il est comme une
présence invisible en la personne du Saint-Esprit, et Il sera la paix et
le réconfort qui vous seront donnés, vous manifestant qu’Il est avec vous,
le Soleil de Justice, chassant vos ténèbres. » (Ellen G. White, Lettre à sœur
Wessels, 7 mars 1897)

« Les disciples retournèrent à Jérusalem dans la joie, non pas qu’ils aient été
privés de leur Maître et Enseignant, car c’était pour eux un motif de chagrin
personnel plutôt que de joie. Mais Jésus leur avait assuré qu’il
enverrait le Consolateur, comme un équivalent de sa présence
visible. » (Ellen G. White, Spirit of Prophecy Volume 3, page 256, 1878)

« L’aide invisible. Le Seigneur Jésus, debout aux côtés des colporteurs,


marchant avec eux, est l’ouvrier principal. Si l’ouvrier reconnaît le
Christ comme celui qui est avec lui pour préparer le chemin,
l’Invité Saint qui est à leurs côtés fait des impressions exactement
dans les lignes nécessaires. Ainsi, l’ouvrier peut aller de l’avant en
représentant la vérité sacrée qu’il propage dans les livres qu’il place dans les
familles. » (Ellen G. White, Écho de la Bible, 18 septembre 1899)

« Jésus vient à vous en tant qu’Esprit de vérité ; étudiez la pensée de


l’Esprit, consultez votre Seigneur, suivez sa voie » (Ellen G. White, Ms 8c,
"Relations des travailleurs institutionnels" 26 juillet 1891)

« Où que vous alliez, poursuivez la bonne œuvre consistant à sonder les


Ecritures, et le Seigneur Jésus sera toujours à votre droite pour vous aider.
Il est un grand prêtre miséricordieux qui plaide en votre faveur. Il enverra
son représentant, le Saint-Esprit, car il dit : ‘Je ne vous laisserai pas orphelins,
je viendrai à vous.’ Par l’Esprit, le Père et le Fils viendront et feront
leur demeure avec vous. Il n’y a aucune excuse pour hésiter ou pécher. »
(Ellen G. White, Bible Echo, 15 janvier 1893, ‘La source de notre force’)

« L’agent humain, l’instrument visible, est chargé de prêcher la Parole, et le


Seigneur Jésus, l’agent invisible, par Son Saint-Esprit, est chargé de

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rendre la Parole efficace et puissante. » (Ellen G. White, Lettre 105 à Frère et
Sœur S. N. Haskell, 4 juillet 1900)

« Combien peu se rendent compte que Jésus, invisible, marche à


leurs côtés ! Combien seraient honteux d’entendre sa voix leur parler et
de savoir qu’il a entendu toutes leurs paroles insensées et ordinaires ! Et
combien de cœurs brûleraient d’une sainte joie s’ils savaient
seulement que le Sauveur est à leurs côtés, que la sainte
atmosphère de Sa présence les entoure et qu’ils se nourrissent du
pain de vie ! Combien le Sauveur serait heureux d’entendre Ses disciples
parler de Ses précieuses leçons pour leur instruction, et de savoir qu’ils ont
un goût pour les choses saintes ! » (Ellen G. White, Conseils aux parents,
enseignants et élèves, page 342, ‘Amusements mondains’)

« Les multitude de curieux ne se réunissent pas aujourd’hui dans les lieux


déserts pour voir et entendre le Christ. Sa voix n’est pas entendue dans les
rues encombrées. Aucun cri ne résonne au bord du chemin : ‘C’est Jésus de
Nazareth qui passe.’ (Luc 18 : 37.) Cependant, ces paroles sont vraies
aujourd’hui. Le Christ parcourt nos rues sans être remarqué. Il vient
dans nos foyers avec des messages de miséricorde. Il attend de
pouvoir coopérer avec tous ceux qui veulent œuvrer son nom. Il est au
milieu de nous pour guérir et bénir, si nous le recevons. » (Ellen G.
White, Le ministère de la guérison, page 83, ‘Sauvés pour servir’)

« Les disciples se sont réjouis, non qu’ils eussent été privés de leur Maître
et Enseignant, car c’était pour eux un motif de chagrin personnel plutôt que
de joie ; mais Jésus leur avait assuré qu’il enverrait le Consolateur
comme équivalent de sa présence visible. » (Ellen G. White, Bible Echo,
1er août 1887, "Le Sauveur glorifié")

« Élevez Christ dans Sa puissance en la personne de l’Esprit Saint.


Il attend qu’ils ouvrent la porte et l’accueillent. Sa présence fera vibrer
chaque nerf et chaque muscle. Chaque organe commencera à remplir ses
fonctions, et l’homme tout entier sera rétabli dans sa santé spirituelle en
voyant Christ par la foi. » (Ellen G. White, Lettre 59 à Frère Haskell et Sœur
Tenney, 29 mars 1899)

« Christ, par l’opération de l’Esprit, était présent dans chaque


âme individuelle, et la grâce et la paix étaient multipliées par la
connaissance du fait d’avoir un Sauveur ressuscité qui avait fait une expiation

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pour chacun de ceux qui venaient à Lui par la foi. » (Ellen G. White, Ms 4,
journal intime, 16 janvier 1895)

« Priez pour la présence de Christ avec vous dans la chambre des


malades, car vous avez besoin de Sa présence, Lui qui seul peut
soulager l’humanité souffrante. Il prononcera à travers vous des
paroles inspirées par le Saint-Esprit. La présence de Christ est tout
pour un médecin. » (Ellen G. White, lettre 124 à Frère et Sœur Sanderson,
septembre 1901)

« Lorsque le peuple de Dieu sonde les Écritures avec le désir de connaître


la vérité, Jésus est présent en la personne de Son représentant, le
Saint-Esprit, ravivant le cœur des humbles et des contrits. » (Ellen G. White,
Ms 15, 7 décembre 1898, Le don du Saint-Esprit)

« La joie du Christ était dans de nombreux cœurs ce sabbat après-midi-là.


Vous devez garder à l’esprit qu’il s’agissait d’une expérience nouvelle pour
ces chères âmes récemment arrivées à la foi. Nous savions que l’Invité
céleste était parmi nous. Non seulement nous avions la promesse : ‘Là où
deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux’, mais
nous avions l’assurance que le Christ était derrière cette promesse, et que
bien qu’il fût invisible aux yeux naturels, nous discernions par la foi la
présence de notre Sauveur. » (Ellen G. White, Lettre 23 à Sœur A E
Wessels, 6 février 1899)

« La révélation de Christ à Jean est un message merveilleux, digne, exalté,


solennel. Présenter ce message avec une emphase courageuse demande
tous les talents que Dieu a donné aux hommes. Lorsque Jean l’a reçu, il fut
travaillé par le Saint-Esprit, car Christ Lui-même vint du ciel et lui
dit ce qu’il devait écrire. » (Ellen G. White, MS 139, 1903, ‘Le message de
l’Apocalypse’)
« L’incarnation de Christ, sa divinité, son expiation, sa vie merveilleuse au
ciel comme notre avocat, la fonction du Saint-Esprit, — tous ces thèmes
vivants et vitaux du christianisme sont révélés de la Genèse à l’Apocalypse. »
(Ellen G. White, Special Testimonies on Education, page 235)
« Jésus attend pour souffler sur tous ses disciples, pour leur donner
l’inspiration de Son esprit sanctifiant, et transfuser l’influence vitale de
lui-même à son peuple. Il veut leur faire comprendre que dorénavant ils ne
peuvent servir deux maîtres. Leur vie ne peut être divisée. Christ doit

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vivre dans ses agents humains, travailler à travers leurs facultés et agir
à travers leurs capacités. Leur volonté doit être soumisse à sa volonté, ils
doivent agir avec son esprit, afin que ce ne soit plus eux qui vivent, mais
Christ qui vive en eux. Jésus cherche à leur faire comprendre qu’en leur
donnant son Saint-Esprit il leur donne la gloire que le Père lui a
donnée, afin que lui et son peuple puissent être un en Dieu. » (Ellen
G. White, Signs of the Times, 3 Octobre 1892, ‘La foi apporte la lumière’)
« Christ souffla sur ses disciples, et dit : “Recevez le Saint-Esprit”.
C’est le grand don du ciel. Christ leur transmis, par l’Esprit, sa propre
sanctification. Il les a imprégnés de sa puissance, afin qu’ils puissent gagner
des âmes à l’Évangile. Désormais Christ vivrait à travers leurs facultés
et parlerait à travers leurs paroles. Ils avaient le privilège de savoir qu’à
partir de maintenant, lui et eux seraient un. Ils devaient chérir ses principes
et être contrôlés par son Esprit. Ils ne devaient plus suivre leur propre voie,
ni prononcer leurs propres paroles. Les paroles qu’ils prononçaient
devaient provenir d’un cœur sanctifié et tomber de lèvres sanctifiées. Ils ne
devaient plus vivre leur propre vie égoïste ; Christ devait vivre en eux
et parler à travers eux. Il leur donnerait la gloire qu’il avait auprès
du Père, afin que lui et eux soient un en Dieu. » (Ellen G. White,
General Conference Bulletin, 1er Octobre 1899, ‘Christ notre exemple’)
« ‘Après ces paroles, Il souffla sur eux et leur dit : Recevez le Saint-
Esprit. Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés ;
et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus.’ Le Saint-Esprit
n’était pas encore pleinement manifesté, car Christ n’avait pas encore été
glorifié. L’effusion plus abondante de l’Esprit n’eut lieu qu’après l’ascension
de Christ. Ce n’est qu’après l’avoir reçue que les disciples purent accomplir
la mission de prêcher l’Évangile au monde. Mais l’Esprit était maintenant
donné dans un but particulier. Avant que les disciples ne puissent remplir
leurs fonctions officielles dans l’église, Christ souffla Son Esprit sur
eux. » (Ellen G. White, Desire of Ages page 805, ‘La paix soit sur vous’)
« Là, je contemplai Jésus, souverain sacrificateur, se tenant devant le Père.
Autour de la bordure de ses vêtements, il y avait des grenades, entremêlées
de clochettes d’or. Ceux qui se levèrent avec Jésus dirigeaient leur
foi vers lui dans le lieu très saint, et priaient : ‘Père, donne-nous
ton Esprit.’ Jésus alors soufflait sur eux le Saint-Esprit. Dans ce
souffle il y avait de la lumière, de la puissance, beaucoup d’amour,
de joie et de paix. » (Ellen G. White, Premiers Écrits, page 55, ‘Expérience
chrétienne et visions’)

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« ’Qui donc, parmi les hommes, connaît les choses de l’homme, si
ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui ? de même, personne ne
connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’Esprit de Dieu.’ Si nous
sommes enseignés par Dieu, nous prierons en conformité avec sa volonté
révélée, et dans la soumission à sa volonté que nous ne connaissons pas.
Nous devons faire des supplications selon la volonté de Dieu, en nous
appuyant sur la précieuse parole, et en croyant que Christ ne s’est pas
seulement donné pour ses disciples, mais également à eux. Le
récit biblique nous dit : ‘Il souffla sur eux et leur dit : Recevez le
Saint-Esprit.’ » (Ellen G. White, Signs of the Times, 3 Octobre 1892, ‘La foi
apporte la lumière’)
« La grandeur de Dieu ne nous est pas compréhensible. ‘L’Éternel a son
trône dans les cieux.’ (Ps. 11 : 4). Cependant, par son Esprit, Il est
présent partout. Il témoigne un intérêt personnel pour chacune des
œuvres que sa main a créées et qu’Il connaît parfaitement. (Ellen G. White,
Education, page 132, ‘La Science et la Bible’, 1903)
La Bible nous montre Dieu, dans Son lieu saint et élevé, non pas
dans un état d’inactivité, non pas dans le silence et la solitude, mais entouré
de dix mille fois dix mille, et des myriades d’êtres saints, qui attendent tous
de faire Sa volonté. Par ces messagers, Il est en communication active avec
toutes les parties de Son empire. Par son Esprit, Il est partout
présent. » (Ellen G. White, Ministry of Healing, p. 417, ‘Une véritable
connaissance de Dieu’)
« L’Esprit nous est donné gratuitement par Dieu si nous l’apprécions et
l’acceptons. Et qu’est-ce que c’est ? – le représentant de Jésus-Christ.
Ce doit être notre aide constante. C’est par l’Esprit que Christ
accomplit la promesse : ‘Je ne te délaisserai point, et je ne
t’abandonnerai point.’ » (Ellen G. White, Lettre 38, 1896, à S. N. Haskell,
30 mai 1896)
« La fonction du Saint-Esprit est de contrôler tous nos exercices spirituels.
Le Père a donné Son Fils pour nous afin que, par le Fils, le Saint-Esprit
puisse venir à nous et nous conduise au Père. » (Ellen G. White, Signs
of the Times, 3 Octobre 1892, ‘La foi apporte la lumière’)
« C’est par l’Esprit que Christ habite en nous ; et l’Esprit de Dieu,
reçu dans le cœur par la foi, est le commencement de la vie éternelle. »
(Ellen G. White, Jésus-Christ, page 378, ‘La crise de la Galilée’)

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« En décrivant aux disciples le ministère du Saint-Esprit, Jésus cherchait à
leur communiquer la joie et l’espérance qui remplissaient son cœur. Il se
réjouissait en pensant au secours puissant qu’il avait préparé pour son église.
Le Saint-Esprit était le plus excellent de tous les dons qu’il pût solliciter de
son Père, pour le bien de son peuple. Il devait être donné comme un moyen
de régénération sans lequel le sacrifice de Christ resterait inefficace. Le
pouvoir du mal était allé grandissant, pendant des siècles, et les hommes se
soumettaient à cette captivité diabolique avec une docilité étonnante. La
résistance au péché et la victoire ne seraient rendues possibles
qu’au moyen de la troisième Personne de la Divinité, qui viendrait,
non pas avec un pouvoir amoindri mais avec la plénitude de la
puissance divine. C’est l’Esprit qui nous permet de bénéficier de l’œuvre
accomplie par le Rédempteur du monde. C’est l’Esprit qui rend le cœur
pur ; c’est par l’Esprit que le croyant devient participant de la nature divine.
Christ a donné Son Esprit comme une puissance divine afin que nous
puissions vaincre toutes les tendances héréditaires et cultivées au mal, et
pour imprimer son propre caractère sur Son église. » (Ellen G. White, Jésus-
Christ, page 675, ‘Que votre cœur ne se trouble pas’)
« Le prince de la puissance du mal ne peut être tenu en échec que par la
puissance de Dieu dans la troisième personne de la Divinité, le
Saint-Esprit. » (Ellen G. White, Special Testimonies for Ministers — No. 10, page
37)
« À l’occasion de Son ascension et de Son inauguration, qui était un jubilé
dans le ciel, Christ a voulu faire un don à ceux qui avaient été avec Lui et à
ceux qui croiraient en Lui. Quel don Christ pourrait-Il faire, suffisamment
riche pour signaler et honorer Son ascension sur le trône de la médiation ?
Il doit être digne de Sa grandeur et de Sa royauté. Christ donna Son
représentant, la troisième personne de la Divinité, le Saint-Esprit.
Ce don était inégalable. L’Esprit divin, convertissant, éclairant, sanctifiant
serait le don qu’Il offrirait, parce qu’Il donnerait tous les dons en un seul. Le
jour de la Pentecôte, Christ a donné le Saint-Esprit à Ses disciples, comme
leur Consolateur. Il devait demeurer à toujours dans Son église. (Ellen
G. White, Ms 44, 1898, ‘La perle de grand prix’, 29 mars 1898)
« Le Seigneur nous a instruit que c’est le lieu où nous devons nous installer,
et nous avons toutes les raisons de penser que nous sommes au bon
endroit. Nous sommes rassemblés en tant qu’école, et nous devons prendre
conscience que le Saint-Esprit, qui est une personne tout comme
Dieu Lui-même, se trouve dans ces lieux, sans être vu par les yeux

14
humains, que le Seigneur Dieu est notre Gardien et notre Aide. Il
entend chaque mot que nous prononçons et connaît chaque pensée de
notre esprit. » (Ellen G. White, Ms 66 1899, Discours à Avondale, 25 mars
1899)
« L’Esprit Saint conduit toujours à la Parole écrite. Le Saint-Esprit est
une personne ; car il rend témoignage à nos esprits que nous
sommes les enfants de Dieu. Lorsque ce témoignage est rendu, il
est accompagné de ses propres preuves. Dans ces moments-là nous
croyons et sommes assurés que nous sommes les enfants de Dieu. Quelle
preuve forte de la puissance de la vérité nous pouvons donner aux croyants
et aux incroyants lorsque nous pouvons exprimer les paroles de Jean ‘Nous
avons connu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est
amour ; et celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu
demeure en lui.’ Le Saint-Esprit a une personnalité, sinon Il ne
pourrait pas porter témoignage à nos esprits et avec nos esprits
que nous sommes les enfants de Dieu. Il doit être également une
personne divine, sinon Il ne pourrait sonder les secrets qui sont
cachés dans la pensée de Dieu. ‘Qui donc, parmi les hommes, connaît
les choses de l’homme, si ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui ? De
même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’Esprit de
Dieu.’ » (Ellen G. White, Ms 20 1906, tapé le 6 février 1906)
« Le Consolateur que Christ a promis d’envoyer après Son
ascension au ciel est l’Esprit dans toute la plénitude de la Divinité,
rendant manifeste la puissance de la grâce divine pour tous ceux qui
reçoivent Christ et croient en Lui comme un Sauveur personnel. Telles
sont les trois personnes vivantes de la céleste triade ; au nom de ces
trois grandes puissances – Le Père, le Fils, et l’Esprit Saint – ceux qui
reçoivent Christ par une foi vivante sont baptisés, et ces puissances
coopéreront avec les sujets obéissants du ciel dans leurs efforts pour vivre
une vie nouvelle en Christ. » (Ellen G. White, Special Testimonies, Series B No.
7, page 63, ‘Sortez et séparez-vous’)
« Lorsque, au jour de la résurrection, ces disciples virent leur Sauveur, et
que leurs cœurs brûlèrent au-dedans d’eux en entendant ses paroles,
lorsqu’ils considérèrent sa tête, ses mains et ses pieds qui avaient été
meurtris pour eux, lorsque, avant son ascension, Jésus les conduisit jusqu’à
Béthanie, et que, les mains levées au ciel pour les bénir, il leur dit : ‘Allez
par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle’ ajoutant : ‘Voici, je suis
avec vous tous les jours’ (Marc 16 : 15 ; Matthieu 28 : 20) ; lorsque, au jour

15
de la Pentecôte, le Consolateur promis descendit sur eux ; que la puissance
d’en-haut leur fut donnée, et que les âmes des croyants tressaillirent dans
l’assurance de la présence effective de leur Seigneur qui était
monté au ciel, alors, quoique leur sentier, comme celui de leur Maître, fût
parsemé de sacrifices et aboutît au martyre, ils n’auraient pas voulu échanger
le ministère de l’Évangile de sa grâce et la ‘couronne de justice’ qu’ils
recevraient à sa venue, contre la gloire d’une trône terrestre, qui avait fait
l’objet de leur espérance pendant la première partie de leur carrière de
disciples ! (Ellen G. White, La Grande Controverse, page 263, ‘Des ténèbres à la
lumière’)1
« Notre sanctification est l’œuvre du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Elle est
l’accomplissement de l’alliance que Dieu a conclue avec ceux qui s’unissent
à Lui, pour se tenir avec Lui, avec Son Fils et avec Son Esprit dans une sainte
communion. Êtes-vous né de nouveau ? Êtes-vous devenu un être nouveau
en Jésus-Christ ? Alors coopérez avec les trois grandes puissances
du ciel qui travaillent en votre faveur. En agissant ainsi vous révélerez
au monde les principes de la justice. » (Ellen G. White, Signs of the Times, 19
juin 1901, ‘La prière de Christ en notre faveur’)
« La Divinité est émue de compassion pour la race [humaine], et
le Père, le Fils et le Saint-Esprit se sont donnés à l’élaboration du
plan de la rédemption. » (Ellen G. White, Australasian Union Conference
Record, 1er avril 1901, ‘Une lettre importante’, voir également Review and Herald,
2 mai 1912, ‘Les sanatoriums comme centres d’influence et de préparation’)
« Le Saint-Esprit est le Consolateur, au nom de Christ. Il personnifie
Christ, tout en étant une personnalité distincte. Nous pouvons avoir
le Saint-Esprit si nous le demandons et si nous prenons l’habitude de nous
tourner vers Dieu et d’avoir confiance en Lui plutôt qu’en un agent humain
fini qui peut commettre des erreurs. » (Ellen G. White, Ms 93 1893, ‘Privilèges
et responsabilités des Fils de Dieu.’)
« Le Saint-Esprit est un agent indépendant agissant en toute
liberté d’action. Le Dieu du ciel se sert de son Esprit comme il lui
semble bon. Aucun esprit humain, aucun jugement, ni aucune méthode
propres aux hommes ne peuvent limiter son action, ni décider de la façon
dont il va opérer. On ne peut pas davantage ordonner au vent de souffler
dans une certaine direction, ni de se comporter de telle manière. Bien que

1
Voir TS, p. 379 : « la sensation ineffable de la présence de Jésus ».

16
nous ne puissions pas voir l’Esprit de Dieu, nous savons que des hommes
qui étaient morts par leurs offenses et leurs péchés, sont convaincus et
convertis sous son action. » (Ellen G. White, Review and Herald, 5 mai 1896
‘Action du Saint-Esprit rendue manifeste dans la vie’)
« Aux pauvres, aux opprimés et aux tyrannisés de la terre, Christ dit : ‘Si
vous m’aimez, gardez mes commandements. Et je prierai le Père, et il vous
donnera un autre Consolateur, c’est-à-dire l’Esprit de vérité (qui est Christ
formé dans l’espérance de la gloire) ; que le monde ne peut recevoir,
parce qu’il ne le voit pas, ni ne le connaît : mais vous le connaissez ; car il
demeure avec vous, et sera en vous. Je ne vous laisserai pas sans
consolation’ » (Ellen G. White, Ms 24, 22 février 1898)
« Il n’est pas essentiel pour nous d’être capables de définir exactement ce
qu’est le Saint-Esprit. Jésus nous dit que l’Esprit est le ‘Consolateur, l’Esprit
de vérité qui vient du Père’. Il est clairement déclaré à propos du Saint-
Esprit que dans son œuvre destinée à révéler aux hommes toute la vérité,
‘il ne parlera pas de lui-même’. Jean 15 : 26 ; 16 : 13. La nature du Saint-
Esprit est un mystère. Les hommes ne peuvent l’expliquer, parce
que le Seigneur ne le leur a pas révélé. D’aucuns, aux vues
fantaisistes, peuvent rapprocher des passages de l’Écriture et les
interpréter à la manière humaine, mais l’acceptation de ces vues
ne fortifiera pas l’Église. A l’égard de tels mystères, qui demeurent
trop profonds pour l’entendement humain, le silence est d’or. »
(Ellen G. White, Conquérants Pacifiques, pages 46-47, Le don du Saint-Esprit)
« Le Seigneur donne à Ses ouvriers des talents qui, sanctifiés par Son Saint-
Esprit, les placera en position de force. Aucun d’entre eux ne doit céder à
la tentation de se revêtir d’un manteau de propre justice, de sorte que le
Consolateur, le Saint-Esprit de Dieu, ne puisse, par la grâce de Jésus-Christ,
pénétrer dans le cœur, l’adoucir et le rendre aimant et compatissant.
Mes frères, que vos cœurs soient humbles et contrits. C’est ainsi que, par
la présence de Christ, vous deviendrez semblable à Christ en
caractère. » (Ellen G. White, Pacific Union Recorder, 26 juillet 1906, ‘Un mot
aux porte-fardeaux’)
« Christ déclara qu’après son ascension, il enverrait à son église, comme
son plus grand don, le Consolateur, qui devait prendre sa place. Ce
Consolateur est le Saint-Esprit, -- l’âme de sa vie, l’efficacité de son église,
la lumière et la vie du monde. Avec son Esprit, Christ envoie une influence

17
réconciliatrice et une puissance qui enlève le péché. » (Ellen G. White, Review
and Herald, 19 mai 1904, ‘La promesse de l’Esprit’)
« L’ascension triomphale de Christ au ciel était le signal que Ses disciples
allaient recevoir la bénédiction promise. Ils devaient attendre cet événement
avant de commencer leur travail sans la présence visible de leur Maître
bien-aimé. Alors qu’Il était encore avec eux, Il leur ordonna de ne pas
quitter Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis ‘ce que je
vous ai annoncé, dit-il ; car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de
jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit.’ Lorsque Christ franchit les portes
du ciel, Il fut intronisé, au milieu des chants de millions d’anges. Dès que
cette cérémonie a été accomplie, le Saint-Esprit descendit sur Ses
disciples en riches courants, conformément à la promesse de
Christ, et ils ne furent plus orphelins. Avec quelle rapidité Christ a
accompli Sa promesse, et fait descendre des parvis célestes la garantie de
Son amour ! Après Son inauguration, l’Esprit est venu et Christ a
été véritablement glorifié, avec la gloire qu’Il avait depuis toute
l’éternité avec le Père. Durant Son humiliation sur la terre, l’Esprit n’était
pas descendu avec toute son efficacité ; et Christ a déclaré que s’Il
ne s’en allait pas, il ne viendrait pas, mais que s’Il s’en allait, Il
l’enverrait. C’était une représentation de Lui-même, et après
qu’Il ait été glorifié, ce fut manifeste. » (Ellen G. White, Signs of the
Times, 17 mai 1899, ‘La promesse de l’Esprit)
« Embarrassé de l’humanité, Christ ne pouvait pas être
personnellement en tous lieux ; c’est pourquoi il leur était avantageux
qu’Il les quitte, qu’Il aille vers Son Père, et qu’Il envoie l’Esprit Saint pour
qu’il soit son successeur sur la terre. L’Esprit Saint est Lui-même,
dépouillé de la personnalité humaine et indépendante de celle-ci.
Il allait se représenter Lui-même comme l’Omniprésent, partout
présent par Son Esprit Saint. » (Ellen G. White, lettre 119 à James Edson
White et Emma White, 18 février 1895)
« Embarrassé de l’humanité, Christ ne pouvait pas être
personnellement en tous lieux ; c’est pourquoi il leur était
avantageux qu’Il les quitte, qu’Il aille vers Son Père, et qu’Il envoie
l’Esprit Saint pour qu’il soit son successeur sur la terre. L’Esprit
Saint est Lui-même, dépouillé de la personnalité humaine et
indépendant de celle-ci. Il allait se représenter Lui-même, partout
présent par Son Esprit Saint, — comme l’Omniprésent. ‘Mais le
Consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous

18
enseignera [bien que vous ne puissiez le voir] toutes choses, et vous
rappellera tout ce que je vous ai dit… Cependant je vous dis la vérité : il
vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le
Consolateur ne viendra pas vers vous ; mais, si je m’en vais, je vous
l’enverrai.’ » (Ellen G. White, British Present Truth, 30 mai 1895, ‘La présence
éternelle’)
« Le Saint-Esprit est le représentant du Christ, mais dépouillé de
la personnalité humaine et indépendant de celle-ci. Embarrassé
de l’humanité, Christ ne pouvait être présent partout en
personne. Il leur était donc avantageux qu’Il aille vers le Père et
qu’Il leur envoie l’Esprit pour lui succéder sur la terre. Dès lors,
personne n’aurait un avantage découlant de Sa présence dans un
endroit plutôt que dans un autre, ou de son contact personnel
avec Christ. Par l’Esprit le Sauveur serait accessible à tous. Dans
ce sens Il serait plus proche d’eux que s’Il n’était pas monté au
ciel. ‘Celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai
connaître à lui.’ Jésus voyait l’avenir de Ses disciples. Il en suivait un à
l’échafaud, un autre vers la croix, un exilé parmi les rochers solitaires de la
mer, d’autres encore persécutés et mis à mort. Il les encouragea en leur
assurant qu’Il serait avec eux dans toutes leurs épreuves. Cette promesse
n’a rien perdu de son efficacité. Le Seigneur connaît tout ce qui concerne
Ses fidèles serviteurs qui, à cause de Lui, sont prisonniers ou bannis sur des
îles désertes. Il les réconforte par Sa présence. Lorsque, à cause de la
vérité, le croyant se tient à la barre d’un tribunal inique, Christ se tient à ses
côtés. Tout l’opprobre qui atteint le disciple retombe sur Jésus qui est
condamné à nouveau, dans la personne de Son disciple. Si l’un des Siens est
incarcéré, le Sauveur ravit le cœur de Son amour. Lorsqu’un de Ses disciples
endure la mort à cause de Lui, Christ dit : ‘Je suis celui qui vit, et qui était
mort ; et, voici, je suis vivant à toujours… j’ai les clefs de la mort et du
séjour des morts.’ Apoc. 1 : 18. La vie qui est offerte en sacrifice pour moi
sera conservée pour la gloire éternelle. En tout temps et en tous lieux, dans
toutes les tristesses et toutes les afflictions, lorsque les perspectives
paraissent sombres et l’avenir angoissant, quand nous nous sentons dénués
de tout et délaissés, le Consolateur nous est envoyé en réponse à la prière
de la foi. Les circonstances peuvent nous éloigner de tous nos amis
terrestres ; mais aucun événement, aucune distance, ne peuvent nous
séparer du Consolateur céleste. Où que nous soyons, où que nous allions,
Il est toujours à notre droite pour nous soutenir, nous encourager et réjouir
nos cœurs. Les disciples ayant toujours quelque peine à saisir le

19
sens spirituel de Ses paroles, le Christ dut s’expliquer. Par l’Esprit,
dit-Il, Il se manifesterait à eux. (Ellen G. White, Desire of Ages, pages 669-
670, ‘Que votre cœur ne se trouble pas’)
« Lorsque le Seigneur dit à Pierre ce qu’il devait faire, il se tourna et
demanda : ‘Seigneur, que doit faire cet homme ?’ Le Seigneur répondit :
‘Que t’importe ? Toi, suis-moi’. Combien sont comme Pierre aujourd’hui ?
Ils sont intéressés par les affaires des autres, mais négligent leur propre
devoir. Notre rôle consiste à suivre Christ et ensuite nous pourrons
conseiller les autres. Ce que nous voulons, c’est une religion individuelle,
une piété individuelle. Nous désirons l’Esprit Saint de Christ dans nos
familles. » (Ellen G. White, Review and Herald, 16 avril 1899, ‘Christ devrait
être notre conseiller’)
« Tous ceux qui consacrent au service de Dieu leur corps, leur âme et leur
esprit recevront sans cesse de nouvelles forces physiques, mentales et
spirituelles. Les ressources inépuisables du ciel sont à leur disposition.
Christ leur communique le souffle de son propre Esprit, la vie de
Sa propre vie. Le Saint-Esprit déploie ses plus hautes énergies
pour agir dans le cœur et l’esprit. » (Ellen G. White, Testimonies volume
6, page 306, ‘Le travail missionnaire médical’)
« L’influence de l’Esprit Saint est la vie de Christ dans l’âme. Nous
ne voyons pas encore Christ et ne lui parlons pas, mais Son Saint-Esprit est
tout aussi proche de nous à un endroit qu’à un autre. Il agit en chaque
personne qui reçoit Christ et œuvre par elle. Ceux qui connaissent la
présence de l’Esprit révèlent les fruits de l’Esprit : ‘l’amour, la joie, la paix,
la longanimité, la douceur, la bonté, la foi.’ » (Ellen G. White, The Bible Echo,
17 juin 1901, ‘Paroles de réconfort’)
« Christ déclara qu’après son ascension, il enverrait à son église, comme
son plus grand don, le Consolateur, qui devait prendre sa place. Ce
Consolateur est le Saint-Esprit, -- l’âme de sa vie, l’efficacité de son
église, la lumière et la vie du monde. Avec son Esprit, Christ envoie une
influence réconciliatrice et une puissance qui enlève le péché. » (Ellen G.
White, Review and Herald, 19 mai 1904, ‘La promesse de l’Esprit’)
« Toutes les professions du christianisme ne sont que des expressions de
foi sans vie jusqu’à ce que Jésus imprègne le croyant de sa vie
spirituelle, qui est le Saint-Esprit. » (Ellen G. White, Spirit of Prophecy,
volume 3, page 242, ‘Rencontre des frères’, 1878)

20
Christ, l’Esprit de Dieu dans l’Ancien Testament (1
Pierre 1:10-11)
« Dans toutes ces révélations [Ancien Testament] de la présence
divine, la gloire de Dieu a été manifestée par Christ. Non seulement
à l’avènement du Sauveur, mais à travers tous les âges après la chute et la
promesse de la rédemption, « Dieu était en Christ, réconciliant le monde
avec lui-même. » 2 Corinthiens 5 : 19. Le Christ était le fondement et le
centre du système sacrificiel à l’époque patriarcale et à l’époque juive.
Depuis le péché de nos premiers parents, il n’y a plus de
communication directe entre Dieu et l’homme. Le Père a remis
le monde entre les mains du Christ, afin que par son œuvre
médiatrice, il rachète l’homme et confirme l’autorité et la
sainteté de la loi de Dieu. Toute la communion entre le ciel et la
race déchue s’est faite par le Christ. C’est le Fils de Dieu qui a donné
la promesse de la rédemption à nos premiers parents. C’est lui qui s’est
révélé aux patriarches. Adam, Noé, Abraham, Isaac, Jacob et Moïse ont
compris l’Évangile. Ils ont cherché le salut à travers le Substitut et le Garant
de l’homme. Ces saints hommes d’autrefois ont communié avec le Sauveur
qui devait venir dans notre monde dans une chair humaine ; et certains
d’entre eux ont parlé avec le Christ et les anges célestes face à face. Le
Christ n’était pas seulement le chef des Hébreux dans le désert – l’Ange en
qui était le nom de Jéhovah, et qui, voilé dans la colonne de nuée, marchait
devant l’armée - mais c’est lui qui donna la loi à Israël. Au milieu de
l’effroyable gloire du Sinaï, le Christ déclara à l’oreille de tout le peuple les
dix préceptes de la loi de son Père. C’est Lui qui donna à Moïse la loi gravée
sur les tables de pierre.

C’était le Christ qui parlait à son peuple par l’intermédiaire des


prophètes. L’apôtre Pierre, écrivant à l’église chrétienne, dit que
les prophètes « qui ont prophétisé touchant la grâce qui vous était
réservée, ont fait de ce salut l’objet de leurs recherches et de leurs
investigations, voulant sonder l’époque et les circonstances
marquées par l’Esprit de Christ qui était en eux, et qui attestait
d’avance les souffrances de Christ et la gloire dont elles seraient
suivies. » 1 Pierre 1 : 10, 11. C’est la voix du Christ qui nous parle
à travers l’Ancien Testament. ‘Le témoignage de Jésus est l’esprit

21
de la prophétie.’ Apocalypse 19 : 10. » (Ellen G. White, Patriarchs et
prophets, page 366, ‘La loi et les alliances’)

« Le Sauveur avait parlé par tous les prophètes. ‘L’Esprit du Christ


qui était en eux’ ‘attestait d’avance les souffrances de Christ et la
gloire dont elles seraient suivies.’ 1 Pierre 1 : 11. » (Ellen G. White,
Desire of Ages, page 234, ‘Le Royaume de Dieu est proche’)

« Veillons à étudier les paroles du Christ, tant dans l’Ancien que


dans le Nouveau Testament, et prenons garde de ne pas être des agents
qui travailleront à rendre sans effet la parole de Dieu en exaltant les
traditions et les opinions des hommes. » (Ellen G. White, Signes des temps, 2
avril 1896, ‘La piété du cœur est essentielle’)

« C’est l’Esprit du Christ qui a parlé par Hénoc ; cet Esprit ne s’est
pas uniquement manifesté par des expressions d’amour, de compassion et
de supplication ; ce ne sont pas que des choses douces qui sont dites par
des hommes saints. Dieu met dans le cœur et sur les lèvres de ses messagers
des vérités à dire qui sont acérées et tranchantes comme une épée à deux
tranchants. » (Ellen G. White, Patriarches et prophètes, page 86, ‘Seth et Hénoc’)

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23
Le don du Saint-Esprit est le don le plus
précieux qui apporte la paix de Dieu à nos
âmes. Dans ses efforts pour nous
empêcher de recevoir ce don, Satan a créé
de nombreux débats parmi les chrétiens
concernant l’identité du Saint-Esprit.
L’esprit de débat n’est pas en harmonie
avec l’Esprit de Dieu et suggère que ces
débatteurs n’ont pas l’Esprit de Jésus.
Cette compilation de citations de l’Esprit
de prophétie est destinée à une étude
personnelle et non à gagner des débats.
Que chacun se laisse convaincre dans le
calme et la douceur de la conviction de
l’Esprit.
Puissiez-vous être bénis dans votre lecture
et trouver la joie dans le don gratuit du
Saint-Esprit.
24

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