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Chrispin NGOUAMO1
Et
Les autres.
(655-654-877)
IUT-FV De Bandjoun
Département de Génie Electrique
10/08/2018
1 Etudiant en DUTAII2
2
Exercice 2: Continuité
Montrer directement que la fonction x7−→ sin( cosx) est continue sur R.
1 1 2x
5).f (x) = ( cosx)ex 6).f (x) = 1−2x 7).f (x) = (1+2x)3 8).f (x) = 1−x2
G-Problème
1).Calculer de deux facons différentes la dérivé de (x) = (1 + x)n n étant un
entier naturel.
En déduire le calcul de S1 = C1n + 2C2n + 3C3n + . . . + nCnn
2). Calculer de même S2 = 2C2n + 6C3n + . . . + n(n − 1)Cnn
3). En déduire le calcul de S3 = 22 C2n + 32 C3n + . . . + n2 Cnn
0
C-Trouver les points d’intersection avec les axes
3 2 −x−3
1).y = e−x . sinx 2).y = 2x +3x x2 −1
2x
3).y = Arctan 1−x 2
D-Trouver
q 3 les asymptotes
q 2 aux courbes suivantes
x x −1
1). y = x−1 2).y = x 2x−1 3).y = Coth(x)
Exercice 9: Problèmes:
Problème 1: Un rectangle de base x est inscrit dans un triangle isocèle de
hauteur 50cm et de base 100cm. Calculer la variation de l’aire du rectangle
si x augmente de ∆x.
Problème
√ 6: La période d’un circuit oxcillant en radio en secondes:
T = 2π LC (L en henrys, C en µf arads). On a : L = 1000pH et C =
1
2000
µF
si C varie de picofarads, calculer la variation ∆T de la période (1picof arad =
10−12 f arad) On exprimera ∆T en microsecondes.
Exercice1:
a)Déterminer
q les limites des fonctions suivantes
√ √ arctan(2. sinx)− π4 ( sin3x)(ln(1+x2 ))
1).limx→+∞ x + x− x 2).limx→ π6 cos3x
3).limx→0 ( (1−e2x )( cosx−1)
)
b)Déterminer√le domaine de définition des fonctions suivantes:
x− √3
1). Arctan 1+x 3
2). xx2lnx
−1
7
Exercice 2:
a) Calculer les primitives
R√
suivantes:
dx 2
−x + 2xdx
R
1) 2+ cosx 2)
56
b) Montrer que Arcsin 65 − Arcsin 35 = Arcsin 13
5
Exercice 4:
a)Etudier et représenter la courbe de f(x): f (x) = 12 ln | 1+x
1−x
|
b)Résoudre l’équation différrentielle suivante:newline y 00 −y = (2x+1)e−2x
Exercice1:
a) Déterminer
q les √
limites des fonctions suivantes
√ sin π.x tanx 1/x2
1).limx→+∞ x + x − x 2). limx→0 ln( (x−1)22 ) 3). limx→0 ( x
)
b)Déterminer le domaineq de définition des
q fonctions suivantes:
√
x− √3
√ √
1). Arctan 1+x 3 2). x − 2 x − 1 + x + 2 x − 1
Exercice 2:
a)En utilisant le théoreme de Rolle,soient
f : [−1, 1] → R de classe C 1 s0 annulant en − 1, 0, 1.
on note: g : [−1, 1] → R x 7→ g(x) = 2x4 + x + f (x)
Montrer qu’il existe c ∈]-1,1[, tel que g’(c)=0.
Exercic 3: Calculerq
les primitives suivantes:
R dx R 1 1−x
1). 3+ cosx 2). x 1+x dx.
b)Montrer que Arcsin 56
65
− Arcsin 35 = Arcsin 135
4
1). f (x) = x3 −x2 −x+1
2).f (x) = ( cosx)ex .
9
RATTRAPAGE
DUT1, Septembre 2013,
Exercice 2:
Soit (a, b) ∈]0, +∞[ tel que a < b. Montre que l’application f :]0, +∞[→ R,
x → f (x) = ln(1+ax)
ln(1+bx)
est strictemenr croissante.
Exercice 3:
a)Calcul le développement limité
1/x
1).
√ DL4 au V (0) de f (x) = (1+ sinx) 2). DL3 au V (π/4) de f (x) =
tanx
b)Calculer la derivée d’ordre n de f (x) = ln(3 − 2x)
4) Calculer la dérivée
√ d’ordre n de:
a).g(x) = exp(x 3). sinx b).f (x) = x21−1
5) Soit (a, b) ∈]0; +∞[2 tel que a < b. Montre que l’application f:]0; +∞[−→
R,
x −→ f (x) = ln(1+ax)
ln(1+bx)
est strictement croissante.
6) Calculerr le d eveloppement limité
a).DL3 V (0) de f (x) = (1 + sinx)1/x
10
EXAMEN ANALYSE 1
DUT1, Février 2017
Exercice 1:
a)Déterminer la limite des fonctions suivantes:
√ Arctan(2. sinx)− π4
1).limx→+∞ ( x 3 − 1) 2). limx→ π6 cos3x
b).Calculer le développement limité DL3 au V(2) de f (x) = ex
Exercice 2:
La fonction f est sur l’intervalle [0; +∞[ par f (x) = (20x + 10)e−x/2 . on note
C la courbe représentative de la fonction f(x).
1).Calculer la dérivée nième de f(x).
2).Etudier la limite de f en +∞. 3).Etudier les variations de la fonction f et
dresser son tableau de variation.
4).Etablir que l’équation f(x)=0 admwet une unique solution strictemennt
positive.
α dans l0 intervalle [0, +∞[.Donner une valeur décimale approchée a 10−3
près de . 5).Tracer la courbe
R3
de C.
6).Calculer l”int egrale 0 f (x)dx.
Exercice 3.
a).Résoudre léquation différentielle suivante: y” + y = (2x + 1)e−2x
b).En utilisant les définitions des fonctions hyperboliques réciproques,démontré
que, quel que soit le réel x on a, 2. Argch(2x2 + 1)
c).Déterminer Delta (x2 + y 2 )dxdy ∆ est un disque élitiques fermé donné par:
R
2
x2
a2
+ yb2 = 1 a > 0, b > 0.
EXAMEN ANALYSE 1
DUT1, Fevrier 2014,
Exercice 1
a).Déterminer√ la limite des fonctions suivantes:
4 √ √
x+1− 4 x 12
1).limx→+∞ [ 3 x+1− 3 x ( x)]
√ √ 2). limx→0 xtan(π.x)−π.x
2 . tan(π.x)
Exercice 2
1
a).calculer la dérivée d’ordre n de : 1).f (x) = (1+2x)3 2).f (x) = ex ( cosx)
b).Etudier et représenter la fonction f (x) = Arctan x1 .
Exercice 1
a).Déterminer la limite des fonctions suivantes;
1).limx→1+ ( lnx)x−1 2). limx→+∞ ( exp( chx)−1
x ln(1+x)
)
b).En utilisant les définitions des fonctions circulaire réciproque,démontrer
qur si x appartient
q a ] − 1, 1[,on a
1−x
2. Arctan 1+x = Arccosx.
Exercice 2 R π/2 dx
a)Calculer la primitive suivantes: 0 1+ sin2 x
b)Calculer la dérivée d’ordre n de:
Exercice 4 .
Résoudre les équations différentielles suivantes:
a). y 0 + 2y = 2ex + 21 . sinx + 12 . cosx
b). y” − 5y 0 + 6y = (x2 − 2x + 21 )ex
RATTRAPAGE ANALYSE 1
DUT1, Septembre 2015,
Exerecice 1
a.Déterminer les limites des fonctions suivantes: 2
π.x Arctan2 (x)− π16
1).limx→1 [(2 − x) tan 2 ] 2). limx→1 x2 −1
b.Calculer
R √
les primitives suivantes:
i) ( −x2 − 2x)dx ii)f (x) = 1a arctanx
R
x
dx
a
Exercice 2:
a)Calculer la dérivée d’ordre n
1
i) f (x) = (1+2x)3 ii) f (x) = ( cos2 x). sinx
EXAMEN ANALYSE 1
DUT1, Fevrier 2016,
Exercice 3. La fonction f est définie sur l’intervalle [0, +∞[ par f (x) =
(20x + 10)e0,5x . On note C la courbe représentative de la fonction f(x).
1).Etudier la limite de f en +∞.
2).Etudier les variations de la fonctions f et dresser son tableau de variation.
3).Etablir que l’équation f (x) = 0 admet une unique solution strictement
positive.
α dans l’intervalle [0, +∞[. Donner une valeur décimale approchée a 10−3
près de α.
4).Tracer la courbe C.
16
R3
5).Calculer l’intégrale 0 f (x)dx.
RATTRAPAGE ANALYSE 1
DUT1, Mars 2016,
Exercice 2 √
a).Calculer la dérivée d’ordre n de : i) f (x) = x21−1 ii) g(x) = ex 3 . sinx
b)Calculer de développement limité
x
i)DL
√ 3 au V (0) de f (x) = ( cos3x)e ii)DL3 au V (π/4) de f (x) =
tanx.
Exercice 3. La fonction f est définie sur l’intervalle [0, +∞[ par f (x) =
(20x + 10)e−0,5x . On note C la courbe représentative de la fonction f(x).
1).Etudier la limite de f en +∞.
2).Etudier les variations de la fonctions f et dresser son tableau de variation.
3).Etablir que l’équation f (x) = 0 admet une unique solution strictement
positive.
α dans l’intervalle [0, +∞[. Donner une valeur décimale approchée a 10−3
près de α.
4).Tracer la courbe C. R
5).Calculer l’intégrale 03 f (x)dx.
RATTRAPAGE ANALYSE 1
DUT1, Septembre 2014,
17
Exercice 3; Fonction
A-Calculer la dérivée d’ordre n des fonctions suivantes:
f (x) = ( cosx)ex , g(x) = x21+1
B- Problème de la boı̂te. Pour fabriquer une boı̂te sans couvercle ,on prends
une feuille carrée en carton ou en métal dont le côté a une longueur donnée
a. A chacun des quatre angles, on découpe un carrée dont le côté est égal à
x;on rabat perpendiculairement les quatre bandes qui restent. Déterminer x
pour que le volume de la boı̂te soit maximal. √
C-Etudier et représenter graphiquement la fonction f (x) = Arcsin( 1 − x).
EXAMEN ANALYSE 1
DUT1, Février 2016,
Exercie 1
a)Donner la définition de la limite d’une fonction f(x).
b).Déterminer la limite des fonctions suivantes:
1 Arctan(2. sinx)− π4
i)limx→0+ sinx) lnx ii) limx→ π6 cos3x
Exercice 3. a)Calcul de
q développement limit e
DL3 au V (0) de f (x) = (1 + sinx).
√
b).Calculer la dérivée d’ordre n de: f (x) = ex 3 ( sinx)
Exercice 4 q
a).Calculer l’intı́ntégrale suivante: 1t ( 1−t
R
1+t
)dt
2
R
b).Déterminer I = ∆ y dxdy par changement de variable en passant des co-
ordonnées rectangulaires aux coordonnées polaires. (0 ≤ r ≤ 1; 0 ≤ θ ≤ 2.π)
c).Résoudre l’équation différentielle suivante: y” − 4y 0 + 4y = 7. sinx − cosx
Exercice 1.
a).Déterminer la limite des fonctions suivantes:
sin3x. ln(1+x2 )
i)limx→0 (1−e x )( cosx−1) ii) limx→1 [ x36−1 − x24−1 ]
R 1 q 1−t
b.Calculer l’intégrale suivante: t
( 1+t
)dt
Exercice 2
a)Pour fabriquer une boı̂te sans couvercle ,on prends une feuille carrée en
carton ou en métal dont le côté a une longueur donnée a. A chacun des
quatre angles, on découpe un carrée dont le côté est égal à x;on rabat per-
pendiculairement les quatre bandes qui restent. Déterminer x pour que le
volume de la boı̂te soit maximal.
C-Etudier et représenter graphiquement la fonction f (x) = ln( chx)
20
Exercice 1:
t
La fonction f est définie sur l’intervalle [0, +∞[ par f (t) = (20t + 10)e− 2 . On
note C la courbe représentative de la fonction f(t).
i).Calculer les dérivées 1ere , 2eme , 3eme et neme de f (t).
ii).Etudier la limite de f(t) en inf ty.
iii).Etudier les variations de la fonction f et dresser son tableau de variation.
Soit α dans l0 intervalle [0, +∞[.
iv).Etablir que l’équation f (t) = 0 admet une unique solution strictement
positive.
Donner une valeur décimale approchée à 10−3 prés de α.
v)Tracer la courbe C. R
vi)Calculer l’intégrale 03 f (t)dt.
Exercice 2:
a).Soit I1 = ∆ (x2 + y 2 )dx.dy, ∆ est un disque élitiques fermé donné par:
R
2
x2
a2
+ yb2 = 1 a > 0, b > 0.
i).Donner la matrice Jacobienne de I1 et calculer le Jacobien ρ de cette ma-
trice.
ii).Donner la formule du changement de variable de I1 passant par des coor-
données cartésiennes en coordonnées polaires.
iii).Déterminer la valeur de I1 par cette formule de changement de variable.
Exercice 3:
a)Calcul de DL4 AU V (0) de f (x) = ln(1 + tan(x)).
b)Déterminer√ le domaine de définition des fonctions suivantes:
x− √3
i)Arctan( 1+x 3
) ii) xln(x)
x2 −1
.
c)En utilisant la définition des fonction hyperboliques réciproques, démontrer
que pour x appartenant à [0, π2 [ on a:
21
CORRECTION TD ANALYSE 1
1
3).f (x) = sinx− cosx
. f existe si et seulement si sinx 6= cosx; or sinx =
cos(x − π2 )
1) ≥ 0
D’où Df = [ π4 + k.π; π2 [U ] π2 ; 3π
4
]
q√ q √
5). f (x) = x − 2 x − 1 + x + 2 x − 1
√
f√existe si et seulement si l ⇐⇒ bracex − 1 ≥ 0, x − 2 x − 1 ≥ 0 et x +
2 x − 1 ≥ 0.
D’abord, x − 1√≥ 0 donne x ≥ 1 c’est à dire x ∈ [1, +∞[.
Ensuite, x − 2 x − 1 ≥ 0 soit x2 ≥ 4x − 4 soit x2 − 4x + 4 ≥ 0, ce qui est
toujours vraie car x2 − 4x + 4 = (x − 2)2 .
Enfin, la 3ième condition se ramène à la 2ième en élevant au carré membre à
membre.
donc Df = [1, +∞[ √
x− √3
√
6).f (x) = arctan[ 1+x 3
] . f existe si et seulement si 1 + x 3 6= 0; soit
√
−1 − 3
x 6= √
3
; x 6= 3
22
√
3
D’où Df = R \ {− 3
}.
Exercice 2: Continuité
Démonstration
Les fonctions sinus et cosinus étant continues sur R alors la composé sin( cosx)
l’est aussi; d’où le résultat.
0 si on pose Y = cosX.
D0 une part, sinX = 0 ⇔ sinX = sin0 = 0+2kπ et X = π −0+2kπ ⇔
⇔ = 2k.π et X = π + 2k.π, k ∈ Z. √ 2
2
D’autre
√
part, 2Y
√
− 2Y − 1 = 0; lediscrimant ∆ = 12 = (2 3) ⇔ Y =
1− 3 1+ 3
2
et Y = 2 . √ √ √
Ainsi, on √cosX = 1−2 3 ou cosX = 1+2 3 ⇔ X = Arccos( 1−2 3 ) ou X =
Arccos( 1+2 3 ).
Or on a posé X = Arctanx ⇒ x = tan(X) ainsi, on a x = tan(2k.π), x =
tan(π + 2k.π) k ∈ Z,√ √
x = tan( Arccos( 1−2 3 )) ou x = tan( Arccos( 1+2 3 ))
√ √
D’où S = tan[ Arccos(1−2 3)]; tan[ Arccos(1+2 3)]; x = tan(2k.π), x = tan(π + 2k.π)
√ √ √
2)Résolution dans R de 3 1 + x − 3 1 − x = 6 1 − x2 .
L’équation est équivalente à: (1 + x)1/3 − (1 − x)1/3 = [(1 − x)(1 + x)]1/6 ⇔
1/3 (1−x)1/3
(1+x)1/3 −(1−x)1/3 = (1−x)1/6 (1+x)1/6 ⇔ (1−x)(1+x) 1/6 (1+x)1/6 − (1−x)1/6 (1+x)1/6 =
1
(1+x)1/6 (1−x)1/6 1+x 1/6
⇔ (1−x) 1/6 − (1+x)1/6 = 1 ⇔ ( 1−x ) − ( 1+x1)1/6 ;
1−x
1+x
posons X = ( 1−x ).
1
il vient que X. X = 1 ⇔ X 2 − 1 = X ⇔ X 2 − X − 1 =√ 0. √
Le discriminant de l0 équation est ∆ = 5; sur ceX = 1−2 5 ou X = 1+ 5
2
.
Or X = ( 1+x
1−x
)1/6 ⇔ 1+x
1−x
= X6
6 −1
⇔ 1 + X = X 6 − xX 6 ⇔ x(1 + X 6 ) = X 6 − 1; soit x = XX6 +1.
23
√ √
(( 1−2
5 6
) −1) (( 1+25 6
) −1)
D’où x = √
1− 5 6
ou x = √
1+ 5 6
( 2 ) +1 ( 2 ) +1
√
3)Résolution dans R Arcsin2x + Arcsinx 3 = Arcsinx.
Cette équation n’admet√ de solution dans mathbbR que si:
i) − 1 ≤ 2x ≤ 1; ii) − 1 3 ≤ 1 √et iii). √
− 1 ≤ 1.
1 1 3 3
i)⇒ x ∈ [− 2 ; 2 ]. ii) ⇒ x ∈ [− 3 ; 3 ] et iii) ⇒ x ∈ [−1, 1].
L’intersection de ses 3 intervalles nous donnes x ∈ [− 12 ; 12 ].
√ √
Arcsin2x + Arcsinx 3 = Arcsinx ⇔ sin( Arcsin2x + Arcsinx 3) =
sin( Arcsinx); √ √
⇔ sin( Arcsin2x). cos( Arcsinx 3) + cos( Arcsin2x). sin( Arcsinx 3) =
x; ⇔ √ √ √
2x 1 − 3x2 + 1 − 4x2 (x √ 3) = x car { sin( Arcsinx) = x(avec x ∈
[−1; 1]) et√ cos( Arcsinx)
√ √ = 1 − x2 √
⇔ √ x(2 1 − 3x + 3 1 − 4x2 − 1) = 0 ⇔ x = 0 ou 3 − 12x2 =
2
1 − 4 − 12x2 √
2 2 2
⇔ √x = 0 ou 3 − 12x √ = 1 − 2 4 − 12x + 4 − 12x ⇔ x = 0 ou − 2 =
−2 4 − 12x2 ⇔ 4 − 12x2 = 1
⇔ x = 0 ou 4 − 12x2 = 1 ⇔ 12x2 = 3 ⇔ x2 = 14 ⇔ x = 12 ou x = − 12
D’où S = {0; − 12 ; 21 }.
4)Preuve que Arccosx + Arcsinx = π2 .
Posons f (x) = Arccosx + Arcsinx et g(x) = π2
f 0 (x) = ( Arcsinx)0 + ( Arccosx)0 = − √1−x 1
2 +
√ 1
1−x2
= 0.
0
g (x) = 0.
Calculons par exemple f(1) et g(1).
f (1) = Arccos(1) + Arcsin(1) = 0 + π2 = π2 et g(1) = π2 .
comme f 0 (x) = g 0 (x) et f (1) = g(1) alors f = g
d0 où Arccosx + Arcsinx = π2 .
5) (Trivial)
5
6)Preuve que Arcsin 13 + Arcsin 35 = Arcsin 56 65
5
Posons A = Arcsin 13 + Arcsin 53 et B = Arcsin 56 65
5
SinA = sin( Arcsin 13 + Arcsin 53 );
5
= sin(qArcsin 13 ). cos(qArcsin 35 ) + cos( Arcsin 13 5
). sin( arcos 53 )
5
= 13 ∗ 1 − ( 53 )2 + 35 ∗ 1 − ( 13 5 2
)
4 36 20 36 56 56
= 13 + 65 = 65 + 65 = 65 . sinA = 65 .
on a aussi B = Arcsin( 65 ) et sinB = sin( 56
56
65
) = 56 65
. Donc SinA =
SinB Ainsi A = B.
5
D’où Arcsin 13 + Arcsin 35 = Arcsin 56 65
.
7)Calcul de A = Arcsin( 23π 4
), B = Arccos( sin 145π
23
),
−1 −1
C = cos( Arcsin( 2 ) et D = sin( Arccos( 3 )). Pour calculer A, il faut et
il suffit de chercher la mésure principale de 23π 4
.
24
−π ≤ 23π4
+ 2kπ ≤ π ⇔ − 27π 4
≤ 2kπ ≤ − 19π 4
⇔ − 27
8
≤ − 19
8
− 3, 735 ≤ −2, 375 dons k = −3.
Ainsi la mésure principale de 23π
4
est 23π
4
− 6π.
π
D’où A = − 4 .
On a cosB = ( sin 145π23
) avec B ∈ [0, π] ⇔ cos( 145π23
− π2 ) = cosB.
⇔ B = 67π 11
+ kπ. B ∈ [0, π] ⇔ 0 ≤ 6711
+ kπ ≤ π (on montre que k = −6)
π
D’où A = 11 .
Calcul de C et D (Cas Triviaux)
8)Simplification
q des expressions:
x −x
f (x) = ln 1−thx . On sait que th(x) = eex −e
1+ thx
+e−x
.
v v
u ex −e−x u ex +e−x +ex +e−x
u 1+ x −x u x −x
ainsi, f (x) = ln t ex +e−x = ln t x e−x+e x −x
1− ex −e−x e +e −e +e
e +e ex +e−x
q x
√
= ln 2e2e−x = ln e2x = x.
D’où f (x) = x q
g(x) = Arctanx 1− cosx
1+ cosx
. P osonst = tan( x2 et on aura
1−t2
{x = 2. Arctan(t) et cosx = 1+t2
.
2
1− 1−t2
1+t
De ce f ait, g(x) = Artansqrt ; Ainsi 2
1+ 1−t2
q
2 −1+t2
√ 1+t
D’où y 0 = −( Arcsin2x
√
1−x2
+ 2.√Arcsinx
1−4x2
)
0 0U
7)y = sin2x. sinx
x
. Rappel : ( V ) = U VV−V
U 0
2
0
y 0 = ( sin2x. sinx) x−1(
x2
sin2x. sinx)
D’où y 0 = − 1+x
2
2
ièmes
D)Calculons les dérivées √n des expressions suivantes.
1)f (x) = sinx + cosx = 2. cos(x − π4 )
√ √ √
f 0 (x) = 2[− sinx(x − π4 )] = 2. cos(x − π4 + π2 ) = 2. cos(x + π4 )
√ √
f 00 (x) = 2[− sin(x + π4 )] = 2. cos(x + 3π )
√ √ 4
D’où f (x) = 2. cos(x − 4 + 2 ) = 2. cos(x + (2n−1)
(n) π nπ
4
π)
0 1 00 2 000 6
2)f (x) = 1x. f (x) = − x2 ; f (x) = x3 f (x) = − x4 .
n n!
D’où y 0 = (−1)
x( n+1)
3)f (x) = cosx. f 0 (x) = −2. sin2x = 2. cos(2x + π2 );
f 00 (x) = −4. sin(2x + π2 ) = 4. cos(2x + π)
D’où f (n) (x) = 2n . cos(2x + nπ 2
)
4 1
4)f (x) = x2 = 4( x2 ).
f 0 (x) = 4(− x23 ); f 000 (x) = 4( x64 ) f 000 (x) = 4( −24 x5
).
4(−1) n (n+1!)
D’où f 00 (x) = xn+2
26
2 −6x+2
5)f (x) = 3x x2 −3x+2
Par une division euclidienne, on a:f (x) = 3 + x23x−4 −3x+2
;
2
on montre que (x − 3x + 2) = (x − 1)(x − 2)
a b
f (x) = 3 + x−1 + x−2 ;on montre que a = 1 et b = 2
1 2
Dès lors, f (x) = 3 + x−1 + x−2
f 0 (x) = − (x−1)
1 2
2 − (x−2)2 f 00 (x) = (x−1)
2 24
3 − (x−2)3
1 2
D’où f (n) (x) = 3k + (−1)n n![ (x−1)n+1 + (x−2)n+1
] avec {k = 1 si n =
0 et k = 0 si n 6= 0
f 00 (x) = (1−x)
2 2
3 − (1+x)3 ; f 000 (x) = (1−x)
6 6
4 + (1+x)4
1 (−1)n
D’où f (n) (x) = n![ (1−x)n+1 + (1+x)n+1
]
G-PROBLEMES.
1).Calcul de deux facons différentes la dérivé de (x) = (1 + x)n n étant un
entier naturel.
i) 1ière facon.
f 0 (x) = n(1 + x)n−1
ii) 2ième facon. On remarque que f (x) = nk=0 Cnk 1n−k .xk = nk=0 Cnk xk
P P
Posons f (x) = x2
2 −a2
Ainsi, limx→a xx−a = limx→a f (x)−f
x−a
(a)
= f 0 (a) = 2a.
2) limx→0 sin4x
sinx
= limx→0 sin4x
sinx
∗ 4x
4x
= limx→0 sin4xsinx
∗4∗ x
sinx
sin4x 1 sinX
= limx→0 4x ∗ sinx ∗ 4 = 4 car limx→0 X = 1
x
D’où limx→0 sin4x
sinx
=4.
6)limx→0 √1−sinx .
cosx √
P osons X = cosx ⇔ x = ArccosX; √
et on aura sinx = 1 − X2
2
Ainsi limx→0 √1−sinx cosx
= limx→1 √1−X
1−X
q
1−X 2
√ √
limx→1 1−X = limx→1 1 + X = 2
√
D’où limx→0 √1−sinx cosx
= 2
Exercice 9: Probèmes
Prolème 1. Calculons ∆x
Ici, juste le problème 7 sera traité; les autres peuvent bien être traiés par
l’étudiant connaissant suffisament son cours.
Exercice 1.
a)Calcul de limites. √ √ √ √ √ √
q √ √ ( x+ x− x)( x+ x+ x)
i) limx→+∞ x + x − x = limx→+∞ √ √ √ (Expression
x+ x+ x
conjuguée) √ √
= limx→+∞ √x+ √x−x√ = limx→+∞ √ x
√ √
x+ x+ x x+ x+ x
= limx→+∞ q 1 √ = limx→+∞
x
1+ x
+1
Arctan(2. sinx)− π
ii) limx→ π6 cos3x
4
.
2. cosx
[ Arctan(2. sinx)] a pour dérivée 1+(2. sinx)2
Arctan(2. sinx)− π4
Ainsi limx→ π6 cos3x
= 2. cosx
limx→ π6 1+(2. sinx)2
1
∗(− 3. sin3x ) (règle de l0 hospital)
√
2. cos π6
= 1+(2. sin π )2 ∗ (− 3. sin π ) = − 63 .
1
6 2 √
Arctan(2. sinx)− π4 3
D’où limx→ 6 π
cos3x
= − 6
sin3x)(ln(1+x2 )) 2
iii)limx→0 ( ((1−e sin3x
2x )( cosx−1) ) = limx→0 1−e2x ∗ limx→0 ln(1+x )
cosx−1
2x 2(1−x2 )
1+x2 (1+x2 )
= limx→0 3.−2e
cos3x
2x ∗ limx→0 − sinx = − 23 ∗ limx→0 − cosx
=3
sin3x)(ln(1+x2 ))
D’où limx→0 ( ((1−e 2x )( cosx−1) ) = 3
√
x− √3
b)Détermination le Domaine de définition des suivantes. i) Arctan( 1+x )
√ 3
Cette fonction existe si et √seulement si 1 + x 3 6= 0 car Arctanx varie entre
−∞ et + ∞; soit√x 6= − 33
D’où Df = R\{− 33 }
ii)f (x) = x2x−1 = (x−1)(x+1)
x
Exercice 2:
a)Calculons les primitives:
R dx
i)I1 = 2+ cosx .
P osons t = tan( x2 ) =⇒ x = 2. Arctant,
2 1−t2
dx = 1+t 2 dt et cost = 1+t2 .
2dt
1+t2 2 √ 2
R R R
Ainsi I1 = 2 = 3+t2
dt = ( 3)2 +t2
dt
2+ 1−t2
1+t
√2 dt √2 . Arctan( √t3 ) + k avec k un réel.
R
= 3 1+( √t )2
soit I1 = 3
3
√
2 3 tan( x2 )
Donc I1 = 3 . Arctan( √
3
)
30
R √ Rq
ii)I2 = ( −x2 + 2x)dx = 1 − (x − 1)2 dx
Posons u = x − 1 = sinΘ; du R= cosΘ
I2 = (1 − sin2 Θ)1/2 . cosΘ = cos2 Θ = 21 (1 + cos2Θ)dΘ
R R
= Θ2 + sin2Θ
4
+ k = Θ2 + cosΘ.2 sinΘ + k avecq k un réel.
On a donc I2 = 12 . Arcsin(x − 1) + 21 (x − 1) 1 − (x − 1)2 + k avec k un réel.
56
b)Montrons que Arcsin 65 − Arcsin 53 = Arcsin 13 5
Exercice 3.
Calcul de développement limité:
i) Dl à l’ordre 4 au V(2) de f (x) = ex .
Posons u = x − 2 =⇒ x = u + 2. ex = eu ∗ e2 .
u2 u3 u4 2 3 4
Dl4 V (0) e = 1+u+ 2 + 3! + 4! +u (u) ⇔ ex = e2 (1+u+ u2 + u3! + u4! +u4 (u))
u 4
2 3 4
Donc DL4 au V (2) f (x) = e2 (1 + (x − 2) + (x−2) + (x−2) + (x−2) + x4 (x))
√ 2 6 24
ii) Dl à l’ordre 4 au V(π 4)de f(x)= tanx.
. f 0 (x) = 12 (1 + tan2 x) ∗ tan−1/2 x = 12 . tan−1/2 x + 12 . tan3/2 x.
f 00 (x) = − 14 (1 + tan2 x) ∗ tan−3/2 x + 43 (1 + tan2 x) ∗ tan1/2 x
f 000 (x) = [− 14 . tan−3/2 x − 41 . tan1/2 x + 34 . tan5/2 x]
= − 14 . tan−3/2 x + 12 . tan1/2 x + 43 . tan5/2 x
= 38 (1 + tan2 x). tan−5/2 x + 14 (1 + tan2 x). tan−1/2 x + 15 8
(1 + tan2 x). tan−3/2 x
On montre que f ( π4 ) = f 0 ( π4 ) = f 00 ( π4 ) = f 000 ( π4 ) = 1.
(x− π4 )2 00 π (x− π4 )3 000 π
Soit f (x) = f ( π4 ) + (x − π4 )f 0 ( π4 ) + 2
f ( 4
) + 6
f (4) + x3 (x)
(x− π4 )2 (x− π4 )3
Donc f (x) = 1 + (x − π4 ) + 2
+ 6 + x (x) 3
Exercice 4:
31
1+x
Etude et représentation graphique de la fonction f (x) = 12 ln | 1−x |.
∗Domaine de définition.
1+x
f existe si et seulement si 1−x 6= 0 et 1 − x 6= 0.
De ce f ait, Df = R\{−1; 1}.
∗ P arité de f.
f (−x) = 21 ln| 1−x
1+x
| = 12 ln| 1+x
1
| = −f (x)
1−x
Donc f est impaire. On peut donc restreindre l’étude à [0; 1[U ]1; +∞[.
∗ Limites
limx→0 f (x) = 0; limx→1+ = limx→1− = +∞
Donc la droite d’équation x=1 est asymptote verticale à la courbe de f.
limx+∞ = 0+ ; donc la droite d’équation y=0 est asymptote horixontale à la
courbe de f.
∗ Dérivée et sens de variation.
f est dérivable sur son domaine de définition comme rapport et composé de
fonctions dérivables. pour tout x élément de R\{−1; 1}, f 0 (x) = 21 | − (1−x)
2
2|∗
1−x 1
| 1+x | = 1−x2 .
Tableau de signe.
-Pour x élément de [0; 1[, f 0 (x) est positif; donc f est croissante sur
l’intervalle [0; 1[.
-Pour x élément de ]1; +∞[, f 0 (x) est négatif; donc f est décroissante sur
l’intervalle ]1; +∞[.
∗ T ableau de variation et graphe.
32
Exercic 1
a)Calcul deqlimites.
√ √ 1
i)limx→+∞ ( x + x − x) = 2
(Voir correction TD Analyse 1)
(π/2). cos(/2)
ln( sin π2 x) sin/2
ii)limx→1 (x−1)2
= [limx→1 2(x−1)
(Règle de l’Hospital)
π cos πx
= limx→1 4 (x−1. sin πx )
2
2
π cos πx
= limx→1 − 4 (x−1). sin 2
πx
2
πx
π 2 sin
= limx→1 − 8 sin πx + π (x−1). 2
cos πx
(Règle de l’Hopital)
2 2 2
2
= − π8
ln( sin π x) 2
Donc limx→1 (x−1)22 = − π8
NB: Même par application du dèveloppement limité en posant u=x-1, on
trouverait le même résultat. 3
1 tanx 1 x+ x3
2
iii) limx→0 ( tanx
x
)1/x = limx→0 e x2 ln( x
)
= limx→0 e x2
ln( x
)
1 x2 1 x2 1
limx→0 e x2 ln(1+ 3 ) = limx→0 e x2 ∗ 3 = e3
2 1
D’où limx→0 ( tanxx
)1/x = e 3
b)Déterminons le domaine de définition des fonctions:
(Voir correction TD d’Analyse 1)
Exercice 2.
g(x) = 2x4 +x+f (x); g(−1) = 1+f (−1) = 1, g(0) = f (0); g(1) = 3+f (1) =
3
g est continue sur [0; 1] et g(0) = 0 et g(1) = 3.
D0 après le theorème des valeurs intermédiaires, il existe a élément de ]0; 1[ et on a g(−1) =
g(a) = 1.
D0 après le théoreme de Rolle, il existe c élément de ]−1; a[, soit c élément de ]−
1; 1[ tel que g 0 (c) = 0.
Exercice 3:
a)Calcul des primitives:
i)I = 3+dxcosx .
R
Exercice 4:
a)Calcul du développement limité
1
i)DL4 au V (0) de f (x) = (1 + cosx)1/x = e x ln(1+ cosx)
.
2 4
or DL4 au V (0) de cosx = 1 − x2 + x24 + x4 (x)
2 4
P osons u = 1 − x2 + x24 .
2 3 4
DL4 ln(1 + u) = u − u2! + u3! − u4! + u4 (u)
2 4 2 4 2 4
2 4 (1− x + x )2 (1− x + x )3 (1− x + x )4
= 1 − x2 + x24 − 2
2
24
+ 2
6
24
− 2
24
24
2 2 2 2 4 4 4 4
= 1 − 12 + 61 − 24
1
− x2 + x4 − x6 + x46 + x24 − x48 − 5x 72
− 13x
576
+ x4 (x)
2 3 4
0r DL4 V (0) ex = 1 + x + x2 + x6 + x24 + x4 (x) soit DL4 V (0) e−x =
2 3 4
1 − x + x2 − x6 + x24 + x4 (x)
En appliquant les même règles, l’étudiant montrera la réponse finale est:
DL4
5 5 2 9 3 181 4
au V (0) (1 + cosx)1/x = e 8 (1 − x + 48 x − 16 x + 1152 x ) + x4 (x).
Exercice 1.
a) Déterminons les limites des fonctions:
ln(2−x)∗( sinx π.x
2 )
tan( π.x ) tan( π.x ) ln(2−x) ( cos π.x
i)limx→1 (2 − x) 2 = limx→1 e 2 = limx→1 e 2 )
ln(2−x). sin π.x
P osons f (x) = cos π.x
2
.
2
35
sin( π.x
2 ) + π ln(2−x).
− cos π.x
limx→1 f (x) = limx→1 2−x 2
− π2 . sinπ.x2
2
= π2 .
π.x 2
Ainsi limx→1 e tan( 2 ) ln(2−x) = limx→1 ex = e π (limite des f onctions composées)
π.x 2
Donc limx→1 e tan( 2 ) ln(2−x) = e π
2
ii)limx→ π4 ( 2. tanx−1
√ ) = limx→ π 1+ tan x
−2. sinx
(Hospital)
2
√ cosx− 2 4
= −√2 = − 2.
π.x √
Donc limx→1 (2 − x) tan( 2 ) = − 2
iii)limx→1 ( x22−1 − x33−1 ) = limx→1 ( (x−1)(x+1)
3
− (x−1)(x32 +x+1) )
2
1
= limx→1 x−1 2
( x+1 3
− x2 +x+1 ) = limx→1 1
( 2x −x−1 )
x−1 (x+1)(x2 +x+1)
= limx→1 1
( (x−1)(2x+1)
x−1 (x+1)(x2 +x+1)
1 2x+1 3
= limx→1 x−1 ( (x+1)(x2 +x+1) = 2∗3 = 12
D’où limx→1 ( x22−1 − x33−1 ) = 21
b)(Voir correction TD Analyse 1).
Exercice 2:
a) Calcul de primtives
i) R(Voir correction TD Analyse 1)
ii) 4+2.2dtcost = 2+dtcost (Voir correction CC-Analyse 1 2015 )
R
Exercice 3:
a)Calcul des √
dérivées nièmes √ √ √
i)f (x) = ex √3 . sinx. f 0 (x) = ex 3 [ cosx + 3. sinx] = 2ex 3
. sin(x + π6 )
√ √
f 00 (x) = 2ex 3 [ cos(x + π6 ) + 3. sin(x + π6 ] = 2√ e . sin(x + π3 )
2 x 3
√
f 000 (x) = 22 [ cos(x + π3 ) + 3. sin(x + π3 ] = 23 ex 3 . sin(x + π2 )
; Par conjecture,
√ on conclut que:
f = 2 e . sin(x + n.π
(n) n x 3
6
)
ii)(Voir correction TD Analyse 1)
b)Montrons que f (x) = ln(1+ax) ln(1+bx)
avec x strictement positif est strictement
croissante.
En effet, f est dérivable sur ]0; +∞[ comme composée et rapport de fonctions
dérivables. a ln(1+bx) b ln(1+bx)
− 1+bx
Pour tout x > 0, f 0 (x) = 1+ax ln2 (1+bx)
soit f 0 (x) = a ln(1+bx)(1+bx)−b ln(1+ax)(1+ax)
(1+ax)(1+bx) ln2 (1+ax)
.
0
L’étudiant virifie que f (x) > 0 et conclure.
Exercice 4:
a)Calcul de développement limité.
i)DL3 V (0) de f (x) = (1 + sinx)1/x
36
On calcul DL3 V(0) de sinx; puis on pose u=1+DL3 au V(0) sinx puis on
calcule DL3 au V(0) de eX avec X = x1 ∗ DL3 V (0) de ln(1 + u). Il s’agit ici
de faire juste des calculs.
ii)DL3 V (0) de g(x) = ex . cosx.
P osons u = x − π2 ⇔ x = u + π2
π
DL3 au V (0) g(u + π2 ) = eu+ 2 . cos(u + π2 )
π
= e 2 ∗ eu ∗ [ cosx. cos π2 − sinu. sin π2 ]
π
= −e 2 eu . sinu
π 2 3 3
= −e 2 ∗ (1 + u + u2 + u6 )(u − u6 )
π 3 3 π 3
= −e 2 [u − u6 + u2 + u6 ] = −e 2 [u + u2 − u3 ]
π (x− π )3
g(x) = −e 2 [(x − π2 ) + (x − π2 )2 − 32 ] + x3 (x)
b)Etude et représentation de la fonction f (x) = Arcsin( x22x−1 )
∗ Domaine de définition
f existe si et seulement si −1 ≤ x22x+1 ≤ 1 soit −x2 − 1 ≤ 2x ≤ x2 + 1;
( ( (
−x2 − 1 ≤ 2x −(x2 + 2x + 1) ≤ 0 −(x + 1)2 ≤ 0
C’est à dire 2 ⇔ 2 ⇔ ;ce
2x ≤ x + 1 x − 2x + 1 ≥ 0 (x − 1)2 ≥ 0
qui est toujours vraie.
DoncDf = R
∗ Limites
limx→−∞ f (x) = limx→−∞ ( x21+1 ) = limx→−∞ Arcsin( x 1∗ 1 ) = 0.
2x 2 2
De même,limx→+∞ f (x) = 0; donc la droite d’équation y=0 est asymptote
horizontale à la courbe de f.
∗Dérivée et sens de variation
f est dérivable sur R comme rapport et composé de fonctions dérivables.
2(x2 +1)−4x2 2−2x2
0 (x2 +1)2 (x2 +1)2
pour tout x élément de R, f (x) = − q 2x
= − q x4 +2x2 +1−4x2 =
1−( )2
x2 +1 (x2 +1)2
r
2(1−x2 ) (x2 +1)2 2(1−x2 ) |x2 +1|
= − (x2 +1)2 ∗ (x2 −1)2
= − (x2 +1)2 ∗ |x2 −1|
0
? f (x) = − x22+1
si x ∈] − ∞; −1[U ]1; +∞[
Donc .
? f 0 (x) = x22+1
Si x ∈ [−1; 1]
Exercice 1.
a)Calcul de limites
√ 1 1
i)limx→+∞ x( x 3 − 1) = limx→+∞ x(3 x − 1) = limx→+∞ x(e x ln 3 − 1)
P osonsX = x1 ⇔ x = X1
√ X ln 3−1
De ce f ait limx→+∞ x( x 3 − 1) = limx→0 X(eX 1ln 3 −1) = limx→0 e X =
limx→0 (ln 3)eX ln 3 (règle de l0 Hospital)
= ln 3. √
x
Donc limx→+∞
√
x( 3 − 1) = ln 3.√
ii)limx→ 3
π
3. cosx− sinx
x− π
= limx→ π3 3. cosx−
x− π
sinx
(règle de l0 Hospital)
3 3
= − 23 − 12 = −2√
Donc limx→ π3 3. cosx− x− π3
sinx
= −2.
NB: Même par changement de variable (X = x − π3 ), on a le même résultat.
iii) (Voir corection CC-2014 Analyse 1)
b)Calculons l’intégrale et les primitives
R 1 arccosx
i)I = −1 e dx.
P osons
R0
X = arccosx ⇐⇒
Rπ X
x = cosX et dx = − sinX
X
I = π (− sinx)e dX = 0 e . sinXdX.
Cherchons une primitive de eX . sinX c’est à dire yG tel que y 0 = eX . sinX.
0
P osons yG = (A. cosX + B. sinX)eX yG = [(A + B). cosX + (−A +
X
B). sinX]e . ( (
A+B =0 A = − 21
Par identification, on a ⇔
−A + B = 1 B = 12
Rπ X
Donc 0 e . sinXdX = [(− 12 . cosX + 12 . sinX)eX ]π0
R 1 arccosx
D’ù −1 e dx = 2(eπ1+1)
ii) et iii) (Voir corection CC-2014 Analyse 1)
Exercice 3:
a)Calcul de développement limité.
i) Suivre les mêmes instructions que dans le calculs de DL4 au V (0) de (1 +
sinx)1/x (Voir corection CC-2014 Analyse 1)
ii)(Voir corection CC-2014 Analyse 1)
iii) (Voir TD-Analyse 1)
a)Résoudre l’équation différentielle suivante:
y 0 2y = 4ex + sinx + cosx
0
L0 équation Homogène est : y 0 + 2y = 0 ⇔ y 0 = −2y ⇔ yy = −2 ⇔ =
38
Exercice 1:
a)Calcul des limites.
i)(Voir corection CC-2013 Analyse 1)
ii)(Voir corection CC-2015 Analyse 1)
b)(Voir corection CC-2015 Analyse 1)
Exercice 2.
x
f (x) = (20x + 10)e− 2 avec x éleḿent de [0; +∞[.
1)Calculons la dérivée nième de f (x)
x
Posons u(x) = 20x + 10 et v(x) = e− 2 .
x
u0 (x) = 20 v 0 (x) = − 12 e− 2 .
x
u00 (x) = 0 v 00 (x) = (− 21 )2 e− 2 .
x
u00 (x) = 0 v 000 (x) = (− 21 )3 e− 2 .
.. ..
. .
x
u(n) (x) = 0 v (n) (x) = (− 12 )n e− 2 .
De ce fait, f (n) (x) = n0 Cnk U (k) V (n−k)
P
x x
= Cn0 U U V (n) + Cn1 U 0 V (n−1) = (20x + 10)(− 12 )n e− 2 + n(20)(− 12 )n−1 e− 2 .
x
= [(20x + 10)(− 21 )n + 20n(− 12 )n−1 ]e− 2 .
x
D’où f (n) = 10(− 12 )n e− 2 [(2x + 1) − 4n]
2)Limite de f en +∞
x x x
limx→+∞ f (x) = limx→+∞ (20x + 10)e− 2 = [limx→+∞ 20xe− 2 + 10e− 2 = 0
car limx→+∞ −xe−x = 0 et limx→+∞ e−x = 0.
D’où limx→+∞ f (x) = 0
3) Variation de f et tableau de variation.
∗ Dérivé et sens de variation.
f est dérivable sur [0; +∞[ comme produit de deux fonctions dérivable.
x x
Pour tout x élḿent de [0; +∞[, f 0 (x) = (−10x−5+20)e− 2 = 5(−2x+3)e− 2 ;
f 0 (x) = 0 ⇐⇒ x = 23 .
Tableau de signe
•Pour tout x de [0; 23 [, f 0 (x) est strictement positif (f 0 (x) > 0); donc f est
strictement croissante sur [0; 32 [.
•Pour tout x de [ 23 ; +∞[, f 0 (x) est négatif (f 0 (x) ≤ 0); donc f est décroissante
sur [ 23 ; +∞[.
x 3
limx→0 f (x) = limx→0 (20x + 10)e− 2 = 10. et f ( 23 ) = 40e− 4 18, 9.
∗ Tableau de Varation
40
4)f (0) = 10 et f est croissante sur [0; 32 ], doncc f (x) = 0 n’admet pas de
solution dans [0; 32 ].
Comme limx→+∞ −xe−x = 0, il y a une solution dans l’intervalle ] 32 ; +∞[
Ainsi donc, L’équation f(x)=0 admet une unique solution strictement posi-
tive.
Valeur approchée à 10−3 près de ladite solution α.
f (4, 673) = 9, 997 ≤ 10 ≤ 10.0009 = f (4, 673)
D’où 4, 673 ≤ α ≤ 4, 674
5)graphe de f.
41
R 3
6)Calcul de
R3 0
f (x)dx.
− x2
R3
0 f (x)dx = 0 (20x + 10)e ; ( (
U=20x+10 U’=20
Par une intégration par parties: − x2 ⇐⇒ x ;
0
V =e V = −2e− 2
x −x −x
Ainsi, 03 f (x)dx = 03 (20x + 10)e− 2 = [(20x + 10)(−2)e 2 ]30 + 03 40e 2 ; =
R R R
−3 3
140e 2 + 20 + 40[−2e −x ]3 = −220e− 2 + 100;
2 0
D’où Z 3
3 3
f (x)dx = −220e− 2 + 100 = 20(5 − 11e− 2 )
0
Exercice 3
a)Résolution de l’équation différentielle y 00 + y = (2x + 1)e−2xx .
par y 00 + y = 0, Equation caractéristique : r2 + 1 = 0 soit r = ±i
yh = A. cosx + B. sinx
P osons yp = p(x)e−2x yp0 = e−2x (p0 (x) − 2p(x))
yp00 = e−2x (p00 (x) − 4p0 (x) + 5p(x))
P osons p(x) = ax + b; p0 (x) = a et p00 (x) (=0 (
a = 52 a = 52
et on a − 4a + 5ax + 5b = 2x + 1 =⇒ ⇔
5b − 4a = 1 b = 13
25
2 −2x
et on aura yp = ( 13 25
x + 5
)e (Solution particuliere)
D’où yG = yp + yh = A. cosx + B. sinx + 15 ( 13 5
x + 2)e−2x
b) En utilisant les définitions des fonctions hyperboliques reciproque, mon-
trons que:
P our tout réel x, 2.|x| = Argch(2x2 +q 1)
2 2
On a: Argch(2x + 1) = ln(2x + 1 + (2x2 + 1)2 − 1);
q q
= ln(2x2 + 1 + (2x2 + 2)(2x2 )) = ln(2x2 + 1 + 4x2 (2x2 + 1));
√ √ √
= ln(2x2 +√ 1 + 2|x| x2 + 1) = ln(x √
2
+ 2|x| x2 + 1 + ( x2 + 1)2 );
= ln(|x| + x2 + 1)2 = 2 ln(|x| + x2 +√ 1);
= 2. Argsh|x| car Argsh|x| = ln(|x| + x2 + 1).
D0 où le résultat. R
2 2
c)Détermination de ∆ (x2 + y 2 )dxdy où (∆) : xa2 + yb2 = 1 et a ≥ 0, b ≥ 0.
Il suffit de passer en coordonnées élliptiques et montrer que ∆ (x2 +y 2 )dxdy =
R
π
4
ab.
42
Exercice 1.
a)Détermination des limites.
√ √ √ 1 1 1
4
x+1− 4 x 12 x 4 (1+ x1 ) 4 −x 4 1
i)limx→+∞ [ √
3 √ (
x+1− 3 x
x)] = limx→+∞ 1 1 1 x 12 =
x 3 (1+ x1 ) 3 −x 3
1 1 1
x 4 [(1+ x1 ) 4 −1] 1 (1+ x1 ) 4 −1
= limx→+∞ 1 1 x 12 = limx→+∞ 1 ;
x 3 [(x+ x1 ) 3 −1] (x+ x1 ) 3 −1
1
P osons X = x
√ √ √ 1
4
x+1− 4 x (1+X) 4 −1 1+ 14 X−1
limx→+∞ [ √
3 √ (
x+1− 3 x
12
x)] = limX→0 1 = limX→0 1+ 13 X−1
(U tilisation du Développ
(1+X) 3 −1
1
X 1
= limX→0 4
1
X 4
∗ 31 = 34 .
=
3 √4 √
x+1− 4 x √ 3
D’où limx→+∞ [ √ 3 √ (
x+1− 3 x
12
x)] = 4
ii)limx→0 xtan(π.x)−π.x
2 . tan(π.x) .
Exercice 1
a) Calcul des limites des fonctions suivantes:
i)limx→1 ( lnx)x−1 .
P sons X = x − 1. On a alors x = X + 1.
X
limx→1 ( lnx)x−1 = limX→0 (ln(1+X))X = limX→0 eln(ln(1+X)) = limX→0 eX ln(ln(1+X)) =
1+x−1+x 2x
= 1+x+1−x
= 2
= x.
q
1−x
Comme voulu: Pour tout x élément de ]−1; 1], on 2. Arctan 1+x
= Arccosx
44
Exercice 2. Rπ dx
a)Calcul de l’intégrale suivante: 02 1 + sin2 x
.
π π π
R dx R dx R 2dx
0
2
1 + sin2 x
= 2
0 1+ 1 − cos2x = 2
0 3 − cos2x
;
2
P osons t = tan(x). on a :
π dt
R π2 2( 1+t R π2 2 π √
R dx 2) R 2dt
2
0 1 + sin2 x = 0 3− 1−t 2 dt = 0 2+4t2 dt = 2
0
√ √
2(1+( 2t)2 )
;
1+t2
√ √ π2 √ √ π
= [√22 . Arctan √ 2t]0 = [ 22 . Arctan 2. tanx]02 ;
= 22 ∗ π2 − 0 = 2.π 4
.
R π2 √
D’où 0 1 + sin2 x = π 4 2 .
dx
Exercice 4.
Résolution des équations différentielles suivantes.
45
Exercice 3.
a)Calcul des développement limités.
i)DL4 au V (0) de f (x) = ex ∗ Arctanx
2 3 4 3
DL4 au V (0) de ex = 1+x+ x2 + x6 + x24 et DL4 au V (0) de Arctanx = x− x3 .
2 3 4 3
DL4 au V (0) de ex ∗ Arctanx = (1 + x + x2 + x6 + x24 )(− x3 );
3 4 3 4
= x+x2 + x3 + x6 − x3 − x4 , ()On ne prend que les puissances inf érieures ou égales à 4.);
4
= x + x2 − x6 .
4
D’où DL4 au V (0) de f (x) = x+x2 − x6 +x4 (x) avec (x) → 0 Lorsque x →
0 x
ii)DL2 au xV (0) de g(x) = (1 + tanx) sin2 x .
g(x) = e sin2 x . ln(1 + tanx) .
2
DL2 au V (0) de tanx = x et DL2 au V (0) de ln(1 + x) = x − x2
2
Comme sin2 x = 1 − 2cos2x et DL2 au V (0) de cos2x = 1 − (2x) 2
= 1−
1−1+2x 2
2x2 , DL2 au V (0) de sin2 x = 2
= x2
46
x
on a DL2 au V (0) de sin2 x
= x1 .
1 2
(x− x2 ) 1− x2 x
De ce f ait, f (x) = e x =e = e.e− 2 ;
x2 2
= e(1 − 2 + 8 ), car DL2 au V (0) de ea = 1 + a + a2 ;
x
2
Donc DL2 au V (0) de g(x) = e(1 − x2 + x8 ) + x2 (x).
LC
b)Etude et représentation graphique de la fonction f (ω) = 1
1 2 2
.
[R2 +(Lω− Cω ) ]
∗Domaine de définition.
1 2
f existe si et seulement si R2 + (Lω − Cω ) ≥ 0 (ce qui est toujours vraie) et
Cω 6= 0 ⇔ ω 6= 0,
or ω est une pulsation qui est toujours positive.
Donc Df =]0; +∞[
∗Limites
→ limx→0 f (ω) = limx→0 2 LC 1 2 1 = 0.
[R +(Lω− Cω ) ] 2
LC
→ limx→+∞ f (ω) = limx→+∞ 1
1 2 2
=0
[R2 +(Lω− Cω ) ]
Comme limx→+∞ f (ω) = 0 alors la droite d’équation y=0 est asymptote
horizontale à la courbe de f.
∗Dérivée et sens de variation.
∗
f est continue dérivable sur R+ comme somme,composé et rapport de fonc-
tions dérivables.
2(Lω− 1 )(L+ 1 2 )
−LC∗ √
Cω Cω
1
∗ 0 2 R2 +(Lω− 1 )2
Cω
−LC(Lω− Cω )(L+ 1 2 )
Pour tout x de R+ , f (x) = 2
R +(Lω− 1 2
)
= 2
Cω
1 2 3
;
Cω [R +(Lω− Cω ) ] 2
0 1 2 2 1 1
f (ω) = 0 ⇔ Lω − Cω
= 0 ⇔ LCω = 1 ⇔ ω = LC
⇔ ω = √LC car ω > 0.
Tableau de signe
Exercice 1:
a) Détermination des limites des foctions:
i) (Confère correction Examen février 2017)
ii) (confère correction Examen février 2016)
iii) (confère correction Rattrapage sept 2013)
b) (Confère contrôl continu nov 2016)
Exercice 2:
a)
i) (Confère correction cc dec 2015) √
x− √3
b)Etude et représentation graphique la fonction f (x) = Arctan( 1+x 3
).
∗ Domaine de définition √
f (x) existe si et seulement si 1 + x 3 6= 0; c0 est à dire x 6= − √13 ;
donc Df =] − ∞; − √13 [ ] − √13 ; +∞[
S
∗ Limites
• limx→−∞ f (x) = Arctan( √13 ) = π6 ;
• limx→+∞ f (x)) = π6 ;
√ √
limx→− √1 x − 3 = − √1 − 3
√ 3
• limx→− √1 > f (x)=− π car 3
;
3 2 limx→− √1 (1 + 3) = 0+
3 √ √
limx→− √1 x − 3 = − √1 − 3
√ 3
• limx→− √1 < f (x)=−f racπ2 car 3
.
3 limx→− √1 (1 + 3) = 0−
3
∗ Asymptotes
• Comme limx→+∞ = limx→−∞ = π6 alors (Cf ) admet une asymptôte hori-
zontale d’équation y = π6 .
• Comme limite de f(x) au voisinage de − √13 est infinie alors la courbe
(Cf )def admetuneasymptoteverticaled0 équationx=-1 √3 .
∗ Dérivée et sens de variation
La fonction f est dérivable sur son Domaine de définition comme composée
de fonctions de dérivables et
pour tout x élément de R\{− √13 }, f 0 (x) = x21+1 > 0
D’où f est srictement croissante sur chacun des intervalles ] − ∞; − √13 [ et ] −
√1 ; +∞[.
3
∗ Tableau de variation et représentation graphique.
48
Exerice 3:
a)Calcul √ du développement limité à l’ordre 3 au V(0) de f (x) = (x). f (x) =
ln(x + √ 1 + x2 √
DL de √1 + x2 1 + x2 = (1 + x2 )1/2
DL de 1 + x2 = 1 + 12 x2 + x3 ε(x) avec limx→+∞ ε(x) = 0
f (x) dévient égale à ln(1 + x + 21 x2 ).
Posons U (x) = x + 12 x2 ; on aura f (x) = ln(1 + u(x)).
1
1+u(x)
= 1 − u(x) + u2 (x) + u3 (x) + · · ·
Par un remplacement adéquat de u(x) et après calcul, on aura:
1
1+x+ 1 x2
= 1 − x + 21 x2 + 2x3 ;
2
1
= (1 − x + 21 x2 + 2x3 )dx
R R
DL ln(1 + u(x)) = 1+x+ 12 x2
dx
d’où DL de f (x) = Argsh(x) au V (0) à l0 ordre 3 est f (x) = x − 12 x2 + 16 x3 +
x3 ε(x) avec limx→0 ε(x) = 0.
b)Soit (a, b) ∈]0; +∞[2 tels que a < b. Montrons que f (x) = ln(1+ax) ln(1+bx)
est
strictement croissante.
f est dérivable sur ]0; +∞[ comme quotient de deux fonctions dérivables sur
cet intervalle
a
et sa dérivée
b
est:
0 1+ax
ln(1+bx)− 1+bx ln(1+ax)
f (x) = [ln(1+bx)]2
pour tout x de ]0; +∞[.
a < b et x > 0 donc ax < bx aussi 1 + ax < 1 + bx; par conséquent ln(1 +
ax) < ln(1+bx) car la f onction logarithme est stictement croissante sur ]0; +∞[.
1 1
1 + ax < 1 + bx ⇒ 1+bx < 1+ax ⇒
/ 0 < ln(1+ax)
1+bx
< ln(1+bx)
1+ax
car si a0 < b0 et c < d alors a0 × c < b0 × d;
donc aln(1+bx)
1+ax
> aln(1+ax)
1+bx
>0:
ln(1+ax)
de plus, [ln(1 + bx)] > 0 d0 où f 0 (x) > 0; donc f (x) =
2
ln(1+bx)
est strictement
croissante sur ]0; +∞[.
Exercice 4:
a)Confère correctionR Rattrapage analyse 1 2013.
b)Déterminons I = ∆ y 2 dxdy. (
x = r.cosθ r > 0
En coordonnées polaires, on a ;
y = r.sinθ θ ∈ [0; 2π]
y 2 = r2 .sinθ;
RR 2
le jacobien en coordonnées polaire est j = r.
On a I = r .sin2 (θ)r.dr.dθ θ ∈ [0; 2π], r ∈ [0; 1];
1 4 1
I = [ 4 r ]0 × [ 21 θ − 41 sin(2θ)]2π
0 ;
0 π
d où I = 4 .
c)Résolution de l’équation différentielle suivante.
49
y 00 − 4y 0 + 4y = 7sinx − cosx.
Posons y 00 − 4y 0 + 4y = 0 son équation caractéristique est r2 − 4r + 4 = 0
c’est à dire (r − 2)2 = 0 donc r = 2.
On a y0 = (ax + b)e2x .
Déterminons maintenant la solution particulière.
Posons y = u.cosx + vsinx;
y 0 = −u.sinx + v.cosx;
y 00 = −u.cosx − v.sinx;
On a alors −u.cosx − v.sinx + 4u.sinx − 4v.cosx + 4u.cosx + 4v.sinx =
7sinx − cosx;
soit (3u − 4v)cosx ( ( − cosx;
+ (−5b + 4a)sinx = 7sinx
3u − 4v = −1 u = −23
par identification, ;⇒ .
4u − 5v = −7 v = −17
La solution partivulière est yp = −23cosx − 17sinx
D’où y = (ax + b)e2x − 23cosx − 17sinx.
Exercice 1:
confére corrections anciens sujets.
Exercice 2:
a).confére correction anciens sujets (problème de la boı̂te TD analyse 1
problème 7.)
b)Etude et représentation graphique de la fonction ln(chx).
∗ Domaine de définition
f existe si et seulement si chx > 0 c’est à dire 21 (ex + e−x ) > 0; ce qui est
toujours vraie car ex > 0 et e−x > 0.
donc Df = R.
∗ Limites.
limx→−∞ f (x) = +∞ et limx→+∞ = +∞.
∗ Dérivée et sens de variation.
f est dérivable sur R comme composée de fonctions dérivables.
Pour tout x élément de R, f 0 (x) = shx
chx
= thx.
0 x −x
Et f (x) = 0 ⇔ shx = 0 ⇔ e − e = 0, donc x = 0.
limx→−∞ f (x)
x
= −1 et limx→−∞ [f (x)+x] = −ln(2) : Donc la droite d’équation
y = −x − ln(2) est asymptote oblique à la courbe de f au voisinage de −∞.
limx→+∞ f (x)
x
= 1 et limx→+∞ [f (x) − x] = −ln(2) : Donc la droite d’équation
y = x − ln(2) est asymptote oblique à la courbe de f au voisinage de +∞.
∗ Tableau de variation et courbe.
51
Exercice 3:
a) Calculons le développement limité.x
DL5 au V (0) de f (x) = (tanx + 1) sin2 x .
3 x5
sinx = x − x6 + 120 ;
2 2 x4
sin x = x − 3
x
sin2 x
= 1x3 = x(3−x3 1
2) = x +
1√
2(x− 3
− 2(x+1√3)
x− 3
1 1
1 − √ √
= x
+ 1−2√x3 − 1+2 3
√x
3 3
x 1 1 2 2
sin2 x
= x
− √
2 3
(2 + 3
x + 29 x4 ).
tan(x+)1 = 1 + x + 13 x3 + 15 2 5
x + 0(x5 )
x 1 1 2 2 2 4
2 5 x − 2√3 (2+ 3 x + 9 x )
f (x) = (tan(x) + 1) sin2 x = (1 + x + 13 x3 + 15
x)
[1− 1
√ (2+ 2 x2 + 2 x4 )]ln(1+x+ 1 x3 + 2
x5 )
f (x) = e x 2 3 3 9 3 15
= −1 − 13 x2 − 152 4
x + 2√1 3 (2x + 23 x3 + 154 5
x + 23 x3 + 29 x5 + 92 x5 + 29 x5 )
= −1 − 13 x2 − 152 4
x + 2√1 3 (2x + 43 x3 + 45
32 5
x );
[−1− 1 x2 − 2
x4 + 1
√ (2x+ 4 x3 + 32 x5 )]
f (x) = e 3 15 2 3 3 45
;
u u2 u3 u4 u5
or e = 1 + u + 2 + 6 + 24 + 120 ;
en posant u = −1 − 13 x2 − 15
2 4
x + 2√1 3 (2x + 43 x3 + 32 5
45
x ),
x 2 3 4 5
f (x) = (tanx + 1) sin2 x = 1 + u + u2 + u6 + u24 + 120
u
.
Il suffit de développer et prendre comme partie principale les puissances de
x inférieures ou égales à 5.
b) i- (confère correction TD Analyse 1 (Exercice 4-E)).
ii- (confère correction TD cc Analyse 1 nov 2016).
Exercice 4:
a)Détermination de I = ∆ y 2 dx.dy par changement de variable en passant
R
Exercice 1:
t
La fonction f est définie sur l’intervalle [0, inf ty[ par f (t) = (20t + 10)e− 2 .
i).Dérivés:
• f 0 (t) = 20e−t/2 − 21 (20t + 10)e−t/2 = (15 − 10t)e−t/2 .
• f 00 (t) = −10e−t/2 − 12 (15t − 10t)e−t/2 = ( 10 2
t − 352
e−t/2 ).
000 −t/2 1 35 −t/2 5 55 −t/2
• f (t) = 5t − 2 (5t − 2 )e = (− 2 t + 4 e ).
Calcul de f(n).
Posons u = (20t + 10) et v = e−t/2 .
u0 = 20; u00 = 0.
v 0 = − 21 e−t/2 ; v 00 = 41 e−t/2 , · · · , v (n) = (− 21 )n e−t/2 .
Par la formule de Leibniz, on a:
f (n) = (u.v)(n) = nk=0 Cnk u(n) v (n−k) = u.v (n) + nu0 .v (n−1)
P
f 0 (t) = 0 ⇒ t = 10
15
= 1, 5 car e−t/2 6= 0.
Tableau de signe.
40[−2e−t/2 ]
−3/2
=−140ee + 40 − 80e−3/2 + 80.
R3 3
Donc 0 f (t)dt = −220e− 2 + 120.
i)formule
( de changement de(variable.
x
a
= r.cosθ x = ar.cosθ
On a x ; soit .
b
= r.sinθ y = br.sinθ
ii)Matrice Jacobienne M (ρ) et calcul du jacobien ρ.
∂y
! !
∂x
∂r ∂r
a.cosθ b.sinθ
M (ρ)= ∂x ∂y .= .
∂θ ∂θ
−ra.sinθ br.cosθ
ρ=det(M (ρ))=abr.cos2 θ + abr.sin2 θ = abr |cos2 θ + {z
sin2 θ} = abr
1
Donc ρ = abr.
iii) Déja fait.
Exercice 3:
a)DL4 au V (0) de f (x) = ln(1 + tan(x))
3
tan(x) = x − x3 + x4 ε(x);
3
ln(1 + tan(x)) = ln(1 − (−x + x3 )),
3
posons u = −x + x3 .
ln(1 − u) = −(u + 12 u2 + 14 u4 + u4 ε(u)).
3 3 3 3 3
ln(1 + x − x3 ) = −(−x + x3 + 12 (−x + x3 )2 + 31 (−x + x3 )3 + 41 (−x + x3 )4 )
3 2 2 2
=−[−x + x3 + 12 x2 (−1 + x3 )2 + 13 x3 (−1 + x3 )3 + 41 x4 (−1 + x3 )4 ]
3 3 2 2 2
ln(1 + x − x3 ) = −[−x + x3 + 21 x2 (−1 + x3 )2 + 31 x3 (−1 + x3 )3 + 14 x4 (−1 + x3 )4 ]
À vous de développer et de prendre comme partie principale le polynôme de
dégré inférieure ou égal à 4. Et sur cette base, DL4 au v(0) ln(1 + tan(x)) =
p(x).
b)Domaine de définition des fonctions suivantes:
i) (Voir correction CC Analyse 1 dec-2015)
ii) (Voir correction CC Analyse 1 dec-2015)
1
c)Démeontrons que Argth(sinx) = Argch( cosx ).
√
Argchu = ln(u + u − 1). 2
55
q
1 1 2
Argch( cosx ) = ln( cosx + 1−coscos2 x
x
).
(1+sinx)(1+sinx)
Argth(sinx) = 12 ln( 1+sinx
1−sinx
) = 12 ln( (1+sinx)(1+sinx) );
2
= 12 ln( 1+2sinx+sin
√cos2 x
x
);
1 1+2 1−cos2 x+1−cos2 x
= 2 ln[ √ cos2 x ];
1−cos2 x)2
= 12 ln[ (1+
cos2 x
√
];
(1+ 1−cos2 x 2 1
=ln[ cosx√
) ]2 ;
1 1−cos2 x
=ln[ cosx + cosx ]; q
1 2
Par suite Argth(sinx) = ln[ cosx + 1−cos
cosx
x
].
1
Comme Argth(sinx) et Argch( cosx ) ont la même expression, alors,
1
Argth(sinx) = Argch( cosx ).
56
DEUXIEME PARTIE:
ALGÈBRE LINÉAIRE
57
Exercice 1: Résoudre
les systèmes linéaires suivants.
x − 2y + 3z = 5 x + 2y − z = 5
−y + z = 1
2x − 4y + z = 5 ; 2x + y + z = 10 ; −5x + 2y − z = −1 ;
3x − 5y + 2z = 8 x − 2z = 4
x + 2z = 0
2x + y − z = 3
x−y+z =2 ;
x + y + 2z = 0
−y + z = 1 y − 2z = 3
10x + 9y + z = −50
−5x + 2y − z = −1 ; −2x − 3y + z = 2 ; 9x + 10y + 5z = 40 ;
x − 2z = 4 3x + y − 2z = 0
x + 5y + 9z = 180
10x + 9y + z = −50 x − 2y + 3z = 0
x + 2y − z = 0
9x + 10y + 5z = 41 ; −5x + 2y − z = 0 ; 2x + y − 2z = 0 ;
3x − 6y + 2z = 0 x−z =0
x + 5y + 9z = 180
x − y + 3z = 0 2x + y − z = 0
−y + z = 1
−x + 4y + z = 3 ; x − y + z = 1 ; 3x + 2y − z = 2 ;
−3y − 4z = −3 x + 2y − 3z = −2 x − 2z = −1
− − − x−y+z−t=1
x y z t = 3
y − 2z = 3
2x − z + 3t = 9
x + y − z − t = −1
−2x − 3y + z = −2 ; ; ;
3x + 3y + 2z = 4 x+y+z−t=0
3x + y − 3z = 1
−x − 2y + z − t = 0 x−y−z+t=2
x + 2y − 3z = 4
3x + 4y + z + 2t = 3 x − 2y + z + t = −2
x + 3y − z = 11
6x + 8y + 2z + 5t = 7 ; 2x − y − z − t = −1 ; ;
x + y + +z + t = −8 2x + 5y − 5z = 13
9x + 12y + 3z + 10t = 13
x + 4y + z = 18
y+z =5
x+z =4
.
x + y + 2z = 9
−x + y = 1
( Exercice 3: Résoudre
( les systèmes linéaires
( suivants dans C. (
x − iy = 1 ix − iy = 1 + i (1 + 2i)x − iy = 1 (1 + i)x − iy = 1
; ; ; .
ix − y = 1 ix + y = 1 − i ix − (1 + i)y = 1 + 3i ix + (1 − i)y = −1
Exercice 4: Résoudre les systèmes en utilisant la méthode du pivot de
Gauss.
3x − y + 2z = a
x + y + 2z = 5
−x + 2y − 3z = b ; x − y − z = 1 .
x + 2y + z = c
x+z =3
Exercice 5: Pour quelles valeurs de m, lw système est-il de Cramer?
Lorsqu’il
( est de Cramer, trouver
( l’ensemble de solutions en foncctoion de m.
x + (m + 1)y = m + 2 mx + (m − 1)y = m + 2
; .
mx + (m + 4)y = 3 (m + 1)x − my = 5m + 3
TRAVAUX DIRIGÉS-NOMBRES COMPEXES DUT1
Exercice 1:
1- Montrer que le nombre complexe: Z = (3 + i)(2 − i)(1 + 3i)(1 − 2i) est
réel.
2+i
2- Calculer le nombre complese z tel que: 3−i = 8+2i
z
et écrire sous forme
algébrique.
2 −(1+2i)3
3- Ecrire sous forme algébrique le nombre complexe: (2+i)
(1−i3 +(2−i)2 )
; (2 − i)3 .
(1+i)
4- Ecrire sos forme trigonométrique chacun des complexes: Z1 = 1−i
; Z2 =
√
(1+i
√ 3) .
( 3+i)
5- Soit λ un réel donné, calculer x et y pour que (x + i)(λ + iy) = 4 +
2i, discutez.
6- Soit α un réel donné calculer le module et l’argument du complexe:
tan(α))2
Z = (1+i
(1+ tan2 α)
.
7- Calculer les racines quatrièmes de Z=-7-24i.
8- Résoudre l’équation x6 = i où x est un complexe. En déduire les lignes
π
trigonométriques de l’arc √12 . √
9- Calculer le nombre ( 2+ 3+(2
2−i
3−1)i 17
) .
10-Déterminer z pour que z, z 2 , et Z 4 aient des images alignées.
11-Déterminer z pour que z, z1 et 1 − z aient même module.
12-Résoudre dans C les équations suivantes:
a) 2z 2 − iz + 3 − i = 0; b) z 2 = −z 2 ;
c) x4 − 30x2 + 289 = 0 d) x4 + 4x3 + 6x2 + 4x − 15 = 0;
e) z 4 − 2z 2 . cosθ + 1 = 0; f ) z 6 − iz 3 − 1 − i = 0;
g) 3z 2 − 5|z 2 | + 2 = 0; h) z 4 = 24i − 7;
i) |z| = z; j) 4iz 3 +2(1+3i)z 2 −(5+4i)z+3(1−7i) = 0 (Chercher d0 abord une racine réelle)
59
Exercice 3:
1) Résoudre dans R l0 équation : B(x) = x4 + x3 + x2 + x + 1 = 0.
2) Décomposer B(x) en produit de polyômes irréductibles de R[X].
3) En déduire cos( 2π
5
) et cos( 4π
5
).
Exercice 4:
En posant u = z+ z1 , résoudre l’équation 2z 6 −8z 5 +17z 4 −21z 3 +17z 2 −8z+2 =
0.
Exercice 5:
On considère le polynôme suivant: G(x) = 10x4 − (39 + 3i)x3 + 60x2 − (39 +
3i)x + 10 et la fraction rationnelle u = x + x1 .
1- Calculer u2 et montrer que la fraction rationnelle G(x)x2
peut s’exprimer
comme polynôme du second dégré de u.
2- En déduire les zéros de G(x)..
3- Décomposer en éléments simples la fraction rationnelle 10x+3
G(x)
.
Exercice 6:
1- Résoudre Z 5 = 1; les solutions seront sous forme trigonométrique, les
représenter dans un plan complexe.
2- Démeontrer que la somme des solutions est nulle.
3- En déduire que: cos( 2π
5
) + cos( 4π
5
) = − 12 .
4- Exprimer cos( 5 ) en fonction de cos( 2π
4π
5
), puis cos( 2π
5
) et cos( 4π
5
).
Exercice 7:
1- Quel est l’ensemble des nombres complexes z vérifiant |z − 1| = |z + 1|.
2- Exprimer géométriquement le résultat trouvé, en considérant un plan affine
euclidien orienté rapporté à un repère orthonormé direct (o,~i, ~j) et en asso-
ciant à tout point M(x,y) du plan son affixe z, c’est-à-dire le nombre complexe
60
1−z
Exercice 8: Déterminer l’ensemble des complexes tels que 1−iz
soit:
a) Réel.
b) Imaginaire pur.
Exercice 9:
Soient z1 et z2 deux nombres complexes de module 1, d’arguments respectifs
z1 +z2
θ1 et θ2 et vérifiant z1 z2 6= −1. Soit Z = 1+z 1 z2
: Exprimer Z en f onction de θ1 et θ2 . V érif ier
R.
Exercice 10:
Soit a un nombre réel. Déterminer les racines quatrièmes du nombre com-
plexe Z défini par:
Z = 8a2 − (1 + a2 ) + 4a(1 − a2 )i.
Exercice 11:
Soient n un entier naturel et θ un réel, θ 6= 0[2π]. Simplfier les sommes
suivantes.
1) S1 = nk=0 cos(kθ);
P
2) S2 = nk=0 sin(kθ).
P
Exercice 12:
1 − itan(a)
Soit n un élément de N ∗ . Résoudre dans C l0 équation ( 1−iz
1+iz
)n = 1 + itan(a)
; a étant un réel do
Exercice 13:
Soit θ un réel donné. Soit n un entier naturel non nul. Simplifier le nombre
complexe Z défini par:
Z = Πn−1 kπ kπ
k=0 [exp(4i n ) − 2. cosθ.exp(2i n ) + 1].
A-Polynômes
Exercice 1: Factoriser dans R[X] les polynômes suivants:
a) −x8 + 2x4 − 1; b) 1 − x8
1 5 1 4
c) x7 + x6 + x5 + x4 + x3 + x2 + x + 1; d) 32 x + 16 x + 81 x3 + 14 x2 + 12 x +
1, (On déterminera d0 abord les racines réelles)
61
e) x4 − x3 + x2 − x + 1; f ) − x3 + x2 − x + 1;
2i.π
g) x6 + 2x5 + 4x4 + 4x3 + 4x2 + 2x + 1, (On montrera que j = e 3 est une
racine multiple)
2i.π
h) 2x3 + 3x2 + 6x + 1 − 3j, (On montrera que j = e 3 est une racine mul-
tiple)
i) x2 − 23 x + 12 j) x2 + x + 1 k) x4 + 1
l) x8 − 1; m) x4 − 3x3 − 12x2 + 48x − 64, (Sachant qu’il y a deux racines
opposées).
n) x4 − x3 − 3x2 + 5x − 2; o) 2x3 − 15x2 + 36x − 23;
p) x4 −5x3 +9x2 −15x+18. (Sachant qu’il y a deux racines dont le produit
vaut 6).
Exercice 2:
a) Résoudre dans C l’équation (z + 1)n = e2ina ; a étant un réel donné. b) En
déduire la valeur de P = Πn−1 kπ
k=0 sin(a + n )
c) Soit n un entier naturel et un réel vérif iant α 6= 0[π]. Décomposer en
produit de polynômes irréductibles dans R[X] le polynôme P défini par:
P = X 2n − 2X n . cos + 1.
Exercice 3:
a) Pour n ∈ N, montrer que le polynôme An = (x−1)n+2 +x2n+1 est divisible par B =
x2 − x + 1.
b) Déterminer le reste de la division euclidienne de p(x) par q(x):
p(x) = (x + 1)n q(x) = x2 + 1
p(x) = (x + 1)n q(x) = (x − 1)2
p(x) = xn + x + 1 q(x) = (x − 1)2
p(x) = x2n + 2xn + 1 q(x) = x2 + 1
p(x) = (x − 1)n−2 + (x + 2)n − 2 q(x) = (x − 1)n
c) Effectuer la division suivant les puissances croissantes de x4 + x3 − 2x + 1
par x2 + x + 1 à l’ordre 2.
Exercice 4:
Utiliser l’algorithme d’Euclide pour déterminer le P.G.C.D(p,q) dans les cas
suivants:
p(x) = x3 − x2 − x − 2 q(x) = x3 − 1
p(x) = x5 + x4 − 6x3 − x2 − x + 6 q(x) = x4 + 2x3 − x − 2
p(x) = x5 + 2x4 + x3 − x2 − 2x − 2 q(x) = x4 + 3x2 + 3x − 2
p(x) = x5 + x4 + 2x3 + 2x2 + x + 1 q(x) = p0 (x)
p(x) = x6 − x4 − x2 + 1 q(x) = x4 + 2x3 − 2x − 1
62
B-Fractions rationnelles.
Exercice 5: Décomposer en éléments simples dans C[X] puis dans R[X], les
fractions rationnelles suivantes.
6x3 +3x2 −5 x4 −x+2 6x3 +3x2 −5 3 x8 +x+1 x4 +1 x5
x4 −1
; (x−1)(x 2 −1) ; x4 −1
; (x2 +x+1)(x−1)2 ; x4 (x−1)3 ; x2 (x2 +x+1)2 ; (x4 −1)2 ;
1 x5 +1 1 1 1 x2 +1
x2 (x−1)3
; (x−2) 4 ; (x2 −1)(x2 +1)2 ; x3 (1+x3 ) ; (x+1)3 x(x−1) ; (x−1)4 (x3 +1) ;
1 1 3
;
(x−1)3 (x2 +1) (x+1)3 (x2 +x+1)2
; x6x−1 .
63
Exercice 1.
1)Résolvez
( de trois (03) manières dif f érentes lesysytème suivant. Discutez selon les valeurs de a.
(a + 1)x − (a − 1)y = 1
(a − 1)x − (a + 1)y = 1
2)T rouver les solutions de :
3x + 2z = 0
3y + z + 3t = 0
x+y+z+t=0
2x − y + z − t = 0
3)Résoudre
le système suivant :
x+y−z =0
x−y =0
x + 4y + z = 0
Exercice 2:
1)Trouver les racines quatrièmes de: Z=-7+24i.
2.Résoudre l’équation d’inconnu Z: (Z2 + 1)n = (Z − 1)2n
Exercice 3:
1) Quel est le reste de la division euclidienne de:
P=Xn + X + 1 par Q = (X − 1)2
2)Déterminer les racines complexes et réelles du polynôme.
1 1
P (X) = 32 X 5 + 16 X 4 + 18 X 3 + 41 X 2 + 21 X + 1
En déduire sa f actorisation dans C(X) et dans R(X).
3)Déterminer le P.G.C.D des polynômes A = 2X 4 +X 3 −X 2 −2X−2 et B =
X 4 + 3X 3 − 3X 2 − 2.
En utilisant l0 algorithme d0 Euclide. En déduire les f actorisations de A et B dans R(X).
4)Décomposez en éléments simples la fraction rationnelle:
X 4 −X+2
P (X) = (X−1)(X 2 −1)
Exercice 1.
1)Résolvezde trois manières différentes le système suivant.Discutez selon les
valeurs de a.
(
(a + 1)x − (a − 1)y = 1
(a − 1)x − (a + 1)y = 1
Soit B(x) = x4 + x3 + x2 + x + 1
a-Résoudre dans C léquation B(x)=0;
64
Exercice 2
1-Résoudre l’équation d’inconnue Z: (Z + 1)n = (Z − 1)n
2-Décomposer en éléments simples la fraction rationnelle:
8 +X+1
P (X) = XX4 (X−1) 3
Exercice 3:
1-Quel est le reste de la division euclidienne de:
P = X 2n + 2X n + 1 par Q = X 2 + 1
2-Déterminer le P.G.C.D des polynômes A = X 5 +2X 4 +X 3 −X 2 −2X −2 et
B = X 4 + 3X 2 − 2.
En utilisant l’algorithme d’Euclide. En déduire les factorisations de A et B
dans R(X).
0 2 3
Soient a = e−1−e2 +e3 , b = 2e1 −e2 +e3 et c = 2e1 −2e2 +e3 trois vecteurs de R3 .
1)Montrer que β 0 = (a, b, c) est une base de R3 .
2)Déterminer la matrice de passage P de β à β’. Calculer P −1 .
3)Déterminer la matrice R de u dans la base β’.
4)
a)Calculer P −1 AP en fonction de R.
b)Calculer R4 .
c)En déduire les valeurs de A4n .
Exercice 1: Complexes
1)Calculez
√
la partie réelle et la partie imaginaire du nombre complexe A =
1+i 3 125
( 1+i ) .
2)a-Résoudre léquation d’inconnu Z ∈ C. Z 3 −(16−i)Z 2 +(89−16i)Z +89i =
0.
b-Quelle est la particularité du triangle formé par les trois points dont les
affixes sont les solutions de (1); faire le schéma.
3)Résoudre léquation d’inconnue Z ∈ C Z = Z 3 .
4)Pour n ∈ N et (a, b) ∈ R2 , calculer
C = nk=0 cos(a + kb) et S = nk=0 sin(a + kb).
P P
Exercice 3: Polynômes
1)a − Déterminer les racines complexes et réelles du polynôme.
1 1
P (X) = 32 X 5 + 16 X 4 + 18 X 3 + 41 X 2 + 21 X + 1
b − En déduire sa f actorisation dans C(X) et dans R(X).
2)Déterminer le rest de la division euclidienne de (x + 1)n par (x2 + 1).
3)Déterminer le P.G.C.D de P et Q et en déduire les racines communes de P
et Q;
P = x5 + x4 − 6x3 − x2 − x + 6 et Q = x4 + 2x3 − x − 2.
5
4)Décomposer la fraction rationnelle suivante dans R(X): (x16x
4 −1)2
NB: Toute réponse non justifiée est fausse(mettre les réponses dans un
tableau).
66
Exercice 1.
67
2 −1 !
1 −2 −1
1.Soient les matrices A = 1 0 et B = . Calculer (si
3 4 0
−3 2
2 2
possible) A,BA,A et B .
2.Soit P(x)=x5 + 6x4 + 14x3 + 16x2 + 9x + 2
a)Vérifier que -1 est une racine de P(x) et trouver son ordre de multiplicité.
b)Mettre alors P(x) sous la forme d’un produit de facteurs irréductible dans
R[X].
1
c)Décomposer en éléments simples. P (x) .
Exercice 2
Soit R3 l’espace vectoriel munit de la base canonique B = (~i, ~j, ~k) et f une
application définie dans R3 par son expressionn analytique telle que:
0
x = ax + 4y
Pour tout ~u(x,y,z) on associe ~u0 (x’,y’,z’)=f(~u) tel que: y 0 = x + 2y
0
z = x + 2y + 2z
où a est un scalaire.
1) Montrez que f est un endomorphisme.
2) Donnez la matrice A de f dans la base canonique et déterminer la valeur
du paramètre a pour laquelle f n’est pas bijective.
Pour cette valeur de a déterminer dans la question précédente, trouver Kerf
et Imf.
Pour toute la suite de l’exercice, on suppose a=5.
3) Calculer les valeurs propres λ1 > λ2 > λ3 de f.
4) En déduire l’ensemble des vecteurs propres asssociés à chacune des valeurs
propres.
Soit B 0 = (~e1 , ~e2 , ~e3 ) la base formée des vecteurs propres associés aux valeurs
propres.
5) Déterminer la matrice de passage P de la base B à la base B’ ainsi que
son inverse P −1 .
6) Calculez An , avec n entier naturel non nul, en déduire limn→+∞ An .
7) On donne les suites réelles (un ), (vn ) et (wn ) définie par u0 = v0 =
1, w0 = 2 et pour n ≥ 0
un+1 = 5un + 4vn
vn+1 = un + 2vn
wn+1 = un + 2vn + 2wn
Calculez : un , vn et wn en f onction de n.
Exercice 1:
68
Exercice 2:
A-Déterminer selon les valeurs du paramètre a l’ensemble des solutions du
système
( suivant:
ax + (1 − a)y = a
ax + ay = a
B-Résoudre le système linéaire suivant:
−
x + 2y 3z =4
x + 3y − z = 11
2x + 5y − 5z = 13
x + 4y + z = 18
Exercice 3:
Soient z1 et z2 deux nombres complexes de module 1, d’arguments respectifs
z1 +z2
θ1 et θ2 et vérifiant z1 z2 6= −1. Soit Z = 1+z 1 z2
: Exprimer Z en f onction de θ1 et θ2 . V érif ier
R.
Exercice 1.
1-Calculer la partie réelle et la partie imaginaire du nombre complexe suiv-
ant: √
A = ( 1+i
1+i
3 125
)
2-a)Résoudre l’équation ci-dessous d’inconnue z dans C.
z 3 − (16 − i)z 2 + (89 − 16i)z + 89i = 0. (1)
b)Quelle particularité présente le triangle formé par les trois points dont les
affixes sont solutions de (1). Représenter ces trois points dans le plancom-
plexe.
Exercice 2.
1)Factoriser en produit de polynômes irréductibles dans R[X] les expressions
69
suivantes.
x6 + 9x3 + 8; x6 − 1; x4 + x2 − 6.
2)Décomposer en élélements simples:
x3 5 +1
(x−1)(x−2)
; x2x(x−1) 2.
Exercice 3.
1)Résoudre dans R3 le système affine suivant d’inconnues (x,y,z) par la méthode
de
déterminant.
x + 2y + z = 4
2x − y + z = 2
x+y−z =1
2) Soit
3 −1 1
A= 0 1 0
1 −1 3
Exercice 1:
Soient A = x3 − x2 − 4 et B = x3 − 8x2 + 21x − 18
1. Déterminer PGCD(A;B) et en déduire une décomposition de A puis de B
en facteurs premiers.
A
2. Déterminer les pôles puis si possible, les racines de G(x) = (x−2)(x−3)2.
A
3. Après avoir rendu F = B irréductible, la décomposer en éléments simples.
Exercice 2:
3
canonique B =(~i, ~j, ~k).
R est rapporté à sa base
3 2 −2
On donne la matriceA = −1 1 1 de l’endomorphisme f de R3 .
−1 0 2
1. Déterminer le polynôme caractéristique de f. En déduire le spectre de A.
2. Déterminer les sous espaces vectoriels propres de A. En déduire que f est
diagonalisable. Donner une matrice diagonale D semblable à A.
3. Soit n un entier naturel. Calculer An en fonction de n.
Exercice 3.
70
1 1 1
1
1 −1 0
1
Soit A =
2 1 1
0
1 2 1
−1
une matrice carrée d’ordre 4 à coefficients dans R.
1. Déterminer la matrice triangulaire inférieure A< associée à A.
2. En déduire le rang et le déterminant
de A.
x+y+z+t=4
x−y+t=1
3. Soit (S) le système défini par:
2x + y + z = 4
x + 2y + z − t = 3
3.1. Donner la matrice associé au système (S) et vérifier que (1,1,1,1) est
une solution de (S). En déduire que (S) admet que (S) admet une infinté de
solutions.
3.2. Enutilisant la méthode de Pivot de Gauss, résoudre le systm̀e (S).
Execice 1.
1 0 −1
1-Déterminer la matrice inverse de 0
3 −1
−2 −1 2
2-Soit P (x) = x5 + 6x4 + 14x3 + 16x2 + 9x + 2
a)Vérifier que -1 est une racine de P(x) et trouver son ordre de multiplicité.
b)Mettre alors P(x) sous la forme d’un produit de facteurs irréductibles dans
R[X].
1
f)Décomposer en éléments simples. p(x).
Exercice 2.
Soit R3 l’espace vectoriel munit de la base canonique B = (~i, ~j, ~k) et f une
application définie dans R3 par son expressionn analytique telle que:
0
x = x + 4y
0 0
Pour tout ~u(x,y,z) on associe ~u (x’,y’,z’)=f(~u) tel que: y = x + 2y
0
z =x+y+z
où a est un scalaire.
1) Montrez que f est un endomorphisme.
2) Donnez la matrice A de f dans la base canonique et dire si A−1 existe.
71
Exercice 1:
2 −1 !
1 −2 −5
1-Soient les matrices A = 1
0 et B =
. Calculer
3 4 0
−3 4
(si possible) AB, BA, A ET B 2 .
2
Exercice 2:
Soit R3 l’espace vectoriel munit de la base canonique B = (~i, ~j, ~k) et f une
application définie dans R3 par son expressionn analytique telle que:
0
x = 5x + 4y
0 0
Pour tout ~u(x,y,z) on associe ~u (x’,y’,z’)=f(~u) tel que: y = x + 2y
0
z = x + 2y + 2z
où a est un scalaire.
1) Montrez que f est un endomorphisme.
2) Donnez la matrice A de f dans la base canonique et dire si A−1 existe.
3) calculer Kerf et Imf.
4) Calculer les valeurs propres λ1 > λ2 > λ3 de f.
5) En déduire l’ensemble des vecteurs propres asssociés à chacune des valeurs
72
propres.
Soit B 0 = (~e1 , ~e2 , ~e3 ) la base formée des vecteurs propres associés aux valeurs
propres.
6) Déterminer la matrice de passage P de la base B à la base B’ ainsi que
son inverse P −1 .
7) Calculez An , avec n entier naturel non nul, en déduire limn→+∞ An .
8) On donne les suites réelles (un ), (vn ) et (wn ) définie par u0 = v0 =
1, w0 = 2 et pour n ≥ 0
un+1 = 5un + 4vn
vn+1 = un + 2vn
wn+1 = un + 2vn + 2wn
Calculez : un , vn et wn en f onction de n.
Exercice 1:
Résoudre dans R les équations suivantes:
1). (z 2 + 4z + 1)2 + (3z + 5)2 = 0
2). z = z 3
3). z(2z + 1)(z − 2)(2z − 3) = 63.
Exercice 2:
(S) suivants d’inconnus (x,y,z)inR3 .
1-Résoudre les systèmes affines
x + 2y + z = 4
(
x + 2y − z = 1
a) ; b) x + y − z = 1
2x + 3y + 2z = −1
2x − y + z = 2
2-Pour
m ∈ R, résoudre le système d’équations d’inconnus (x,y,z)∈ R3 .
mx + y + z = 1
x + my + z = m Discutez suivant les valeurs de m.
2
x + y + mz =m
Exercice 3:
1-Factoriser en produit de polynômes irréductible dans R[X] les polynômes
suivants.
a)X 6 + 9X 3 + 8 b)X 4 − 2X 2 + 9 c)X 4 + X 2 − 6 d)X 6 − 1
2-Décomposer en éléments simples dans R les fractions rationnelles suivante:
5 +1)
X3
a) (X−1)(X−2) b) (X−1)X2 (X−2) c) X(X
2 (X−1)2
Exercice 1: Complexes
1) Recherché l’ensemble des solutions complexes de l’équation suivante.
27(Z − 1)6 + (Z + 1)6 = 0
2) Soit x ∈ R et nN ∗ ; on pose :
C(x, n) = nk=1 coskx et S(x, n) = nk=1 sinkx
P P
0 1 −1 0 1 −1 −1 1 0
2) L’expression analytique de φ est:
0 0 0
x = −x + y
x =x+y
x = −x + y
0 0 0
a) y = x − z ; b) y = x − z ; c) y = −y + z ;
0 0 0
z =y−z z =y−z z =y−z
3) Une base de Kerφ est :
74
1 −1 0
a- ~u1 1 ; b- ~u2 1 ; c- 1
1 1 −1
4) Une
base
de
Imφ
est:
1 0 1 0 0 0
a- ~u2 0 ~u3 1 b- ~u2 0 ~u3 −1 c- ~u2 0 ~u3 1
0 1 0 1 1 1
2 3
5) Soit f l’application de R dans R définie par (x+y,y+z) la fonction f est:
a- Injective b- Surjective c- Bijective.
6) Parmi les applications définies ci-dessous, laquelle n’est pas linéaire?
a- f(x,y)=(x+y,x-2y,3y) b- f(x,y,z)=(x+2y,z,x-y+z), c-f(x,y,z)=(xy,y-x).
7) Parmi les familles ci-dessous, laquelle est une base de R3
a-(1,1,2),(0,-1,1) b-(1,1,2),(0,-1,1),(1,0,1) c-(1,1,2),(0,1,1),(1,0,1)
8) Soit f l’application de R2 dans R3 définie par: f(x,y)=(x-y,x+y)
a- Une application linéaire b- un endomorphisme c- un automorphisme.
9) Soit A la matrice de taille n × n(n ≥ 2)
a- La somme des valeurs propres de A est nulle si et seulement si detA=0.
b- Le produit des valeurs propres de A est égale à son déterminant.
c- Les sous-espaces propress de A et ceux de sa transposée sont les mêmes.
10) Soit A une matrice 2 × 2 à coefficients réels.
a- Si A admet une valeur propre réelle, alors A est diagonalisable dans R.
a- Si A admet une valeur propre complexe, alors A est diagonalisable dans
C.
a- Si A admet au moins deux valeurs propres distinctes, alors A est diago-
nalisable.
Exercice 3: Complexes
Soit P = X 6 + 2X 5 + 4X 4 + 4X 3 + 4X 2 + 2X + 1
2π
On pose j = ei 3
1. Montrer que j est une racine multiple de P.
2. Factoriser P dans C[X] et dans R[X].
Exercice 1:Complexes
1-Soit x ∈ R et n ∈ N ∗ ; On pose:
c(x, n) = nk=1 cos(kx) et s(x, n) = nk=1 sin(kx).
P P
1 1
a).Déterminer l’image d’un vecteur x = (x1 , x2 ) par u.
b).Déterminer l’image de la base e(c’est à dire u(e1 ) etu(e2 ))
c).Déterminer le noyau et l’image de u.
Exercice 1:
Résolution
( de trois manières différente le systèmes.
(a + 1)x − (a − 1)y = 1
(a − 1)x − (a + 1)y = 1
∗ Par combinaison
∗ Par déterminant
! !
a+1 a−1 1 a−1
det s=det = 4a; det x=det = 2; et
a−1 a+1 1 a+1
!
a+1 1
det y=det =2.
a−1 1
x = detx
dets
1
= 2a et y = dety
dets
1
= 2a
Donc:
1 1
P our a 6= 0, S = {( 2a ; 2a )} et pour a = 0, S = { }
77
∗ Par substitution
Exercice 2:
1- Racines quatrièmes de Z = −7 + 24i:
Posons δ = x + iy ou δ = x − iy racine de Z.
2 2
x − y = −7
( (
x2 = 9 x=±3
2 2
x et y vérifient x + y = 25 ;⇒ 2 ;⇒
y = 16 y=±4
xy=12
sur ce δ = 3 − 4i ou = −3 + 4i.
Pour δ = 3 − 4i,
2 2
x −y =3
( (
x2 = 4 x=±2
2 2
x +y =5 ;⇒ 2 ;⇒ .
y =1 y=±1
xy=-2
Pour δ = −3 + 4i,
2 2
x − y = −3
( (
x2 = 1 x=±1
2 2
x +y =5 ;⇒ 2 ;⇒ .
y =4 y=±2
xy=2
S = {2 − i; −2 + i; 1 + 2i; −1; −1 − 2i}
2- Résolution de l’équation d’inconnue Z: (Z 2 + 1)n = (Z − 1)2n
Z 2 +1 n
Cette équation est équivalente à: ( (Z−1) 2 ) = 1.
Z+1 n iθ
P osons X = ( (Z−1)2 ) = re avec r ≥ 0 et θ ∈ R .
( (
n r=1 r=1
L’équation est équivalente à X = 1 soit k∈Z⇒
nθ = 2kπ θ = 2kπ
n
où k ∈ [0; n − 1]
2kπ Z 2 +1 i 2kπ
De ce fait, X = ei n c0 est a‘ dire (Z−1) 2 = e
n
Exercice 3:
1)Reste de la division euclidienne de: P (X) = X n + X + 1 par Q = (X − 1)2
En ef f et, deg Q > deg R; (R est le reste et A le diviseur), P = A(X)Q +
R et R = aX+b (avec (a, b) ∈ R2 ) car le dégré du reste est inf érieur à celui du quotient et le
plus proche possible.
P (1) = A(1)Q(1) +a + b = a + b = 3 (∗)
| {z }
0
P 0 (X) = nX + 1 = A0 (X)Q + A(X)Q0 + a
n−1
P 0 (1) = n + 1 = a (∗∗)
(∗∗) dans (∗), on a b = 2 − n; et on a donc :
R(X)=(n+1)X+2-n
2)Détermination des racines complexes et réeles du polynômes.
1 1
P (X) = 32 X 5 + 16 X 4 + 18 X 3 + 41 X 2 + 12 X + 1
1 1
P (X) = ( 32 X)5 + ( 16 X)4 + ( 18 X)3 + ( 14 X)2 + ( 12 X)1 + ( 21 X)0
1−( 21 X)6
=( 1− 21 X
) = 0 avec 1 − 21 X 6= 0; soit X 6= 2.
P (X) = 0 ⇐⇒ 1 − 12 X 6 = 0 ⇔ 12 X 6 = 1.
P osons Z(= 21 X 6 = reiθ avec r ≥ 0 ( et θ ∈ R.
r=1 r=1
Z 6 = 1⇒ k∈Z ⇒ k ∈ {0; 1; · · · ; 5}
6θ = 2kπ θ = kπ3
kπ
Z = ei 3 .
π
P our k = 0, Z = 1 P our k = 1, Z = ei 3
2π
P our k = 2, Z = ei 3 P our k = 3, Z = eiπ = −1
4π 5π
P our k = 4, Z = ei 3 P our k = 5, Z = ei 3
ona :
P our Z = 1, 12 X = 1 ⇒ X = 2 rejeté car X 6= 2.
π π π
P our Z = ei 3 , 12 X = ei 3 ⇒ X = 2ei 3 .
2π 2π 2π
P our Z = ei 3 , 12 X = ei 3 ⇒ X = 2ei 3 .
P our Z = −1, 21 X = −1 ⇒ X = −2.
4π 4π 4π
P our Z = ei 3 , 12 X = ei 3 ⇒ X = 2ei 3 .
5π 5π 5π
P our Z = ei 3 , 12 X = ei 3 ⇒ X = 2ei 3 .
π 2π 4π 5π
S={2ei 3 ; 2ei 3 ; −2; 2ei 3 ; 2ei 3 }
Déduction de la factorisation de P dans C[X] et dans R[X].
∗ dans C[X]
1 π 2π 4π 5π
P (X) = 32
(X + 2)(X − 2ei 3 )(X − 2ei 3 )(X − 2ei 3 )(X − 2ei 3 )
79
∗ Dans R[X]
1 π 2π 4π 5π
En effet, P (X) = 32 (X + 2)(X − 2ei 3 )(X − 2ei 3 )(X − 2ei 3 )(X − 2ei 3 )
4π 2π
or 3 et - 3 ont le même point image sur le cercle trigonométrique; il en est
de même pour 5π 3
et - π3 .
De ce f ait, on a :
π 2π 2π π
P (X) = 32 1
(X + 2)(X − 2ei 3 )(X − 2ei 3 )(X − 2e−i 3 )(X − 2e−i 3 )
π π 2π 2π
P (X) = 32 1
(X + 2)(X − 2ei 3 )(X − 2e−i 3 )(X − 2ei 3 )(X − 2e−i 3 )
π π π π 2π 2π
P (X) = 32 1
(X +2)(X 2 −2Xe−i 3 −2Xei 3 +4ei( 3 − 3 ) )(X 2 −2Xe−i 3 −2Xei 3 +
2π 2π
4ei( 3 − 3 ) )
π π 2π 2π
1
= 32 (X + 2)(X 2 − 2X(e−i 3 + ei 3 ) + 4)(X 2 − 2X(e−i 3 + e−i 3 ) + 4)
1
= 32 (X + 2)(X 2 − 2X. cos π3 + 4)(X 2 − 2X. cos 2π 3
+ 4)
1 2 1 2 1
= 32 (X + 2)(X − 2X( 2 ) + 4)(X − 2X(− 2 ) + 4)
1
= 32 (X + 2)(X 2 − X + 4)(X 2 + X + 4)
1
Donc P (X) = 32
(X + 2)(X 2 − X + 4)(X 2 + X + 4)
Exercice 1:
1-Résolution de trois maniéres différentes le système suivant:
(
(a + 1)x − (a − 1)y = 1
(a − 1)x − (a + 1)y = 1
Les trois méthodes sont similaires à ceux de la question 1 de l’éprueve
précédente.
L’ensemble solution est:
∗ P our a = −1, S = { }
∗ P our a = 1, S = { }
80
2
∗ P our a 6= −1 et a 6= 1, S = {( 4a−1
a2 −1
; −2aa2 +a−2
−1
)}
Soit B(X)=x4 + x3 + x2 + x + 1
c)Déduction de cos 2π 5
et cos 4π5
.
En effet, la somme des racines nièmes de l’unité d’un complexe est toujours
nul.
2π 4π 6π 8π
Donc 1 + e 5 + e 5 + e 5 + e 5 = 0, (ce qui se démontre.);
or 6π
5
et - 4π
5
ont le même point image sur le cercle trigonométrique; il en est
de même pour 8π 5
et - 2π
5
.
6π 4π 8π 2π
En remplacant e par e− 5 et e 5 par e− 5 , il vient que :
5
2. cos 2π
5
+ 2. cos 4π 5
+ 1=0
or comme cos2x = 2. cos2 x − 1 alors cos 4π 5
= 2. cos2 2π
5
− 1;
0
et on obtient l équation de second degré 2; 4. cos 5 + 2. cos 2π
2 2π
5
−1 =
0 avec comme variable cos 2π .
5 √ √ √
Son discriminant est 20 = (2 5)2 et on a comme solutions −1−4 5 et −1+4 5 .
P uisque 2π 5
∈]0; π[, cos 2π 5
> 0 et on déduit que:
√
−1+ 5
cos 2π
5
= 4
Exercice 2:
81
Autre méthode:
6x6 − 8x5 + 3x4 + x + 1
Avec P (x) = x + 3 +
x4 (x − 1)3
| {z }
h(x)
f g
h(x) = xa + xb2 + xc3 + xd4 + x−1
e
+ (x−1)2 + (x−1)3
Conclusion:
?Si n est pair, R(x) = 2[1 + (−1)p ]
? Si n est impair, R(x) = 2(−1)p
Exercice 1: Complexes
27(z − 1)6 + (z + 1)6 = 0 (E)
z−1 6 1
(E) ⇔ 27(z − 1)6 = −(z + 1)6 ⇔ ( z+1 ) = − 27 .
z−1 1 1
Posons Z = z+1 ; on alors Z = − 27 ⇒ Z = ( 3 )6 eiπ
6 6 √
∆S = −2m − 2; ∆x = m2 − 2m + 3; ∆y = 0; et ∆z = −m2 + 2m + 1.
∗ Si ∆S 6= 0, alors m 6= −1 : Donc on a une solution unique;
2 −2m+3 2 +2m+1
S = {( m−2m−2 ; 0; −m−2m−2 )}.
∗ si ∆S = 0, m = −1 :
• si ∆x 6= 0 ou ∆z 6= 0 alors S = {0};
• si ∆x = 0, ∆y = 0; ∆z = 0, alors on a une inf inité de solutions.
83
x − y + z = −1 (
x − y + z = −1
Le système dévient x − y − z = 1 ⇔ ⇔ 2z =
x−y−z =1
x−y−z =1
−2 ⇔ z = −1etx − y = 0 soit x = y.
S = {(x, −1, x)x ∈ R}.
F airedemêmepourlesautrescas.
0 1 −1
2).L’expression
analytique
de
0
φ est:
−1 1 0 x x
0
0 1 −1
. y y
=
0 1 −1 z z0
84
x0 = −x + y
soit y 0 = y − z ; (2-c).
0
z =y−z
3).kerφ = { u(∈ R3 tels que f (u) = ( 0}.
−x + y = 0 x=y
f (u) = 0 ⇔ ⇔
y−z =0 y=z
kerφ = {(x, x, x) x ∈ R} = {x(1, 1, 1) ∈ R}.
Donc une base de kerφ est u(1, 1, 1). (3-a)
3
4)Imφ= {v ∈ R tels que u ∈ R , f (u) = v}.
0 0
x = −x + y
x =β
On a: y 0 = y − z ⇒ y0 = α avec β = −x + y et α = y − z.
0 0
z =y−z z =α
De ce fait, (x0 , y 0 , z 0 ) = (β; α; α)
= (β, 0, 0)+(0, α, α) = β(1, 0, 0)+α(0, 1, 1) = β~u2 +α~u3 ; avec ~u2 (1, 0, 0) et ~u3 (0, 1, 1).
Ainsi, une base de Imφ est ~u2 (1, 0, 0), ~u3 (0, 1, 1). (4-a)
5).Une application linéaire est:
∗ Injective si son noyau est réduit au vecteur nul.
∗ Surjective si son image est égale à l’ensemble d’arrivée (Im E=F).
∗ Bijective si elle est à la fois injective et surjective.
Il ne peut exister d’application linéaire bijective que dans un espace vectoriel
de même dimension;
kerR2 6= {0E } donc elle n’est pas injective; or Im E=F d’où l’application est
surjective. (5-b)
6).Une application est dite linéaire si et seulement si f (αu + βv) = αf (u) +
βf (v) et f (αu) = αf (u).
Mais pour f (x, y, z) = (xy, y − z); ce cas montre que f (x, y, z) 6= f (x) +
f (y) + f (z) d’où elle n’est pas linéaire. (6-c)
7).Une famille est une base de E si et seulement si son déterminant dans E
est non nul.
Le déterminant du (b) donne 2; ce qui est différent de 0. donc (7-b)
8).On montre que f (αx + βy) = αf (x) + βf (y) et f (αx) = αf (x).
Donc l’application est linéaire. (8-a).
9). (9-b)
10). (10-c).
1)Calcul du PGCD de P et P 0
Les divisions euclidiennes successives nous donnes:
∗ P = (5X 4 + 4X 3 + 6X 2 + 4X + 1) × ( 51 X + 25 1
) + ( 16
25
X 3 + 24
25
X 2 + 16
25
X + 24
25
);
4 3 2 16 3 24 2 16 24 125 175
∗ 5X + 4X + 6X + 4X + 1 = ( 25 X + 25 X + 25 X + 25 ) × ( 16 X − 32 ) +
( 25
4
X 2 + 25
4
); ∗ 16
25
X 3 + 24 25
X 2 + 1625
X + 2425
= ( 25
4
X 2 + 25 4
64
) × ( 625 96
X + 125 ) + 0.
P GCD(P, P 0 ) = X 2 + 1 (Dernier reste non nul rendu unitaire)
2)Preuve que (X 2 + 1) divise P.
P = X 5 + X 4 + 2X 3 + 2X 2 + X + 1 = X 5 + 2X 3 + X + X 4 + 2X 2 + 1
Or (X 2 + 1)2 = X 4 + 2X 2 + 1,
De ce fait, P= X(X 4 + 2X 2 + 1) + X 4 + 2X 2 + 1 = X(X 2 + 1)2 + (X 2 + 1)2
Soit P = (X 2 + 1)2 (X + 1); D’où (X 2 + 1)2 divise P.
3)Reste de la division euclidienne de P = (X + 1)n par Q = X 2 + 1.
En effet, P = A(X)(X 2 + 1) + R(X) où R(X) = aX + b est le reste. et (X 2 +
1) = (X − i)(X + i)
NB: Le dégré du reste doit être strictement inférieure à celui du diviseur et
le plus proche possible; c’est pour cela que le dégré du reste est 1.
On a alors (X + 1)n = A(X)(X 2 + 1) + aX + b;
Pour X = i, on a (1 + i)n = ai + b
Pour X = −i, on a (1 − i)n = −ai + b
Après résolution du système d’équation formé par ces 2 équations,on obtient:
a = − 2i [(1 + i)n − (1 − i)n ] et b = 21 [(1 + i)n + (1 − i)n ].
D’où R(X) = − 2i [(1 + i)n − (1 − i)n ]X + f rac12[(1 + i)n + (1 − i)n ].
4).Décomposition en élément simple de B(X).
X 7 +1 P (X)
B(X) = (X 2 +1)(X 2 +X+1) = Q(X) .
On effectue la division euclidienne de P(X) par Q(X) car deg(P (X)) >
deg(Q(X)); et on trouve:
2 2 3 −X 2 +X)−2X 3 −X+1
B(X) = (X +1)(X +X+1)(X (X 2 +1)(X 2 +X+1)
−2X 3 −X+1
= B(X) = X 3 − X 2 + X + (X 2 +1)(X 2 +X+1)
.
−2X 3 −X+1 −2X 3 −X+1 a b
Posons D(X) = (X 2 +1)(X 2 +X+1) = (X−i)(X+i)(X 2 +X+1) = X+i
+ X−i + XcX+d
2 +X+1
b = − 21 (i + 1) et a = − 12 (1 − i);
On a D(X) = −X+1 X 2 +1
+ XcX+d
2 +X+1 .
Pour X = 0 ⇒ d = 0
Pour X = 1 ⇒ c = −1
−X+1 X
Ainsi B(X) = X 3 − X 2 + X + X 2 +1
− X 2 +X+1
.
Exercice 3: Complexes
1).
2π 2π 2π
On montre que P (ei 3 ) = 0; P 0 (ei 3 ) = 0 et P 000 (ei 3 ) 6= 0.
2π
Ainsi j = ei 3 est racine double de P: Donc une racine multiple de P.
86
2π
2)Il suffit de faire la division euclidienne de P par (X − ei 3 )2 ; or nous savons
que si un complexe z est racine d,un polynôme P alors son conjugué l’est
2π
aussi; d’où nous pouvons affirmer que e−i 3 est aussi racine de P(X). Donc on
2π 2π
éffectuera maintenant notre division euclidienne par (X − ei 3 )2 (X − e−i 3 ).
2π 2π
(X − ei 3 )2 (X − e−i 3 ) = X 4 + 2X 3 + 3X 2 + 2X + 1.
La factorisation nous donnera:
P (X) = (X 2 + 1)(X 2 + X + 1)2 Dans R
P (X) = (X − i)(X + i)(X 2 + X + 1)2 Dans C.
−1 −1 1 z z0
0
x =x−y−z
0
⇔ y = −x + y − z .
0
z = −x − y + z
Comme l’expression analytique de f est constitué d’équatio linéaire, alors f
est linéaire.
2).Calcul de Ker φ et Im φ;
DetA = −4 6= 0Donc f est un automorphisme car endomorphisme bijectif.
D’où Ker f = 0R3 et Im f = R3 .
3).Calcul des valeurs propres de A;
Cherchons λ ∈R et f (~u) ∈ R3 \ {0E } telsque f (u) = λu.
x − y − z = λx
(1 − λ)x − y − z = 0
f (u) = λu ⇒ −x + y − z = y ⇒ −x + (1 − λ)y − z = 0
−x − y + z = λz
−x − y + (1 − λ)z = 0
Ce système admet une infinité de solution si et seulement si son déterminant
est nul.
1 − λ −1 −1
det S=det −1 1 − λ −1 =−λ3 + 3λ2 = λ(λ + 1)(−λ + 4)
−1 −1 1 − λ
Soit λ = 0 ou λ = −1 ou λ = 2.
Notons que la valeur propre λ = 0 est rejeté car on cherche les λ ∈ R et f (~u) ∈
R3 \ {0E } tels que f (u) = λu.
Ainsi les valeurs propres sont: −1 et 2.
4)Preuve que f admet une base des vecteurs propres.
87
−x − y − z = 0
∗ Pour λ = 2, Le système devient: −x − y − z = 0 ⇒-x-y-z=0.
−x − y − z = 0
x=α
P osonsx=α et y = β; il vient que y = β .
z = −α − β
1 0
On a deux vecteurs propres ~u1 0 et ~u2 1 . (u1 et u2 s’obtiennent
−1 −1
par les coefficients de α et β respectivement.)
2x − y − z = 0 (E1 )
x − 2y + z (−E2 )
∗ Pour λ = −1, Le système devient: −x + 2y − z = 0 (E2 ) ; soit −3y + 3z = 0 (E1 ) + 2(E3 )
−x − y + 2z = 0 (E3 ) 3y − 3z = 0 (E1 ) + 2(E2 )
(Coefficient)
Ainsi, f admet une base de vecteurs propres. 5).∗ Matrice de passage P de
la base des vecteurs propres.
1 0 1
Cette matrice est P= 0 1 1 dans la base B = (u1 , u2 , u3 ).
−1 −1 1
∗ Détermination de l’inverse P −1 de P.
Il y a plusieurs méthodes de calcul(par la commatrice, par l’inversion nor-
male avec la matrice, par la resolution d’un système déquations. )
On passera
par la resolution
d’un système déquations.
x x 1 x2
P −1 =
y y1 y2 .
z z1 z3
1 0 1 x x 1 x2 1 0 0
P −1 est tel que : 0 1 1 × y y1 y2 = 0 1 0 .
−1 −1 1 z z1 z3 0 0 1
Ce produit conduira à trois systèmes d’équations à 3 inconnues et la résolution
permetd’avoir:
2
− 13 − 13
3
P −1 = − 31 23 − 13 .
1 1 1
3 3 3
6).Calcul de An .
2 0 0
La diagonalisation de la matrice A donne: D=P −1 .A.P = 0 2 0
0 0 −1
n
2 0 0
D n = 0 2n 0 .
n
0 0 (−1)
88
2n 0
1 0 1 0 2 −1 −1
−1 1
n n
A = P.D .P = 3 0 1 1 × 0 2n
0 × −1 2 −1 .
−1 −1 1 0 0 (−1)n 1 1 1
Après tout calcul fait, on trouve:
2n+1 + (−1)n −2n + (−1)n −2n + (−1)n
0 1 −1
b).Expression analytique de φ.
Soient u(x, y, z) ∈ R3 et v(x0 , y0,
z 0 ) ∈R3 tels que f (u) = v.
x0
−1 1 0 x
f (u) = v ⇒ 0 1 −1 × y = y 0 ;
0 1 −1 z z0
0
x = −x + y
soit y 0 = y − z .
0
z =y−z
2π
Pour k = 2, x = 3 3e−i 3 . √ √ √
i 2π 2π
De ce fait, X 3 − 3 =√ (X − 3 3)(X√ − 3
3e 3 )(X −
√
3
3e−i 3 );
2π 2π
Donc A(X) = (X − 3 3)(X − 3 3ei 3 )(X − 3 3e−i 3 ) dans C[X].
On déduit que:√ √ √
A(X) = (X − 3 3)(X 2 + 3 3X + 3 3). dans R[X].
∗ B(X) = X 9 + X 6 + X 3 + 1
90
B(X) = X 6 (X 3 + 1) + X 3 + 1 = (X 3 + 1)(X 6 + 1)
B(X) = (X + 1)(X 2 − X + 1)(X 4 − X 2 + 1)(X 2 + 1) dans R.
par factorisation, on montre que: √ √
π π
X 2 − X + 1 = (X − e√3 )(X − e− 3 ) =√ (X − 12 − 23 i)(X
√
− 1
2
+ 3
2 √
i);
3 1 3 1 3 1 3
4 2
X − X + 1 = (X + 2 − 2 i)(X + 2 + 2 i)(X − 2 − 2 i)(X − √ 2
+ 21 i).
et
√
(X 2 + 1)√ = (X − i)(X√+ i). D’où B(X)
√
= (X + 1)(X √
− 12 − 23 i)(X − 21 +
3
2
i)(X + 23 − 12 i)(X + 23 + 21 i)(X − 23 − 12 i)(X − 23 + 12 i)(X − i)(X + i).
dans C.
3).Décomposition en éléments simples.
5 4 +1 X 4 (X+1)+1
F (X) = X X+X 3 −X = X(X−1)(X+1) .
X 3 1 1 1
F (X) = X−1 + X(X−1)(X+1) = X 2 + X + 1 + X−1 + X(X−1)(X+1) .
a b c 1 1
Posons B(X) = X + X−1 + X+1 = X−1 + X(X−1)(X+1) ;
On montre que a = −1, et b = c = 12 .
1
Ainsi, F (X) = X 2 + X + 1 + 23 . X−1 + 12 . X+1
1
− X1 .
x01 = α
Il vient que x02 = −3α + 2β α, β ∈ R.
0
x3 = β
et (x01 , x02 , x03 ) = α(1, −3, 0)+β(0, 2, 1) = α.~u1 +β.~u2 avec ~u1 = (1, −3, 0) et ~u2 =
(0, 2, 1).
Ainsi, une base de Im(u) est { (~u1 , ~u2 ) }. avec ~u1 = (1, −3, 0) et ~u2 =
(0, 2, 1).
92
GENERALITES
A-METROLOGIE
Exercice 1:
En mécanique, on considère la force de gravitation qui existe entre deux
points matériles de masse m et m’, distans de r. Elle a pour module F =
0
G m.m
r2
. Déterminer l’équation aux dimensions de la constante de gravitation
G.
Exercice 2:
~ = 1 q2 ~r
En électricité, on définit le champ électrostatique par la relation E 4πεo r r
~ µo
et le champ magnt́ique par la relation B = 4π q~v ∧ r3 . ~
r
Exercice 3:
L’energie a pour équation aux dimensions [ξ] = L2 M T 2 .
1-Vérifier l’homogénité de l’expression ξ = qV qui donne l’énergie potentielle
électrostatique d’une charge électrique q placée en un point où le potentiel
électrostatique est V.
2-Cette expression permet de définir l’électron-volt (eV) comme unité d’énergie
(énergie potentiel d’un électron placé en un point où le potentiel est égal à
1V). Quelle est la correspondance joule-électron-volt, sachant que la charge
de l’électron est 1, 6.10−19 C.
Exercie 4:
L’indice de réfraction du verre mesuré par la méthode du prisme est donné
par la relation: n = ( sin A+D 2
m
)/ sin A2 , où A est l’angle du prisme, Dm
l’angle de déviation minimum.
Déterminer l’incertitude relative et l’incertitude absolue sur n.
Application numérique: A= 60◦ , ∆A = ∆Dm = 10 = 3.10−4 rad; n =
1, 33625.
Exercice 1:
~ et B
Soient les vecteurs A ~ d’origine O situés dans un plan xOy et formant
respectivement les angles α = 30◦ et β = 180◦ avec Ox. Leurs modules sont
A=10 et B=6.
1). Calculer la somme S~=A ~ + B.
~
~ =A
2). Calcul de même le vecteur défini par D ~ − B.
~
Exercice 2:
~ B
Soient dans un système de coordonnées cartésiennes, trois vecteurs A, ~ et C
~
de composantes respectives (2,1,1); (-3,4,0); et (0;1;0).Calculer:
~B
1-Le produit scalaire A. ~ 2-L0 angle entre A ~ et B
~
~∧C
1-Le produit vectoriel A ~ 2-L0 angle entre A ~ et C
~
Exercice 3:
Soit un triangle quelconque ABC de côté a,b et c tels que l’on puisse écrire
−→ −→ −→
AB = ~a; BA = ~c et CA = ~b. Démontrer les relations classiques dans les
triangles:
1).a2 = b2 + c2 − 2bc. cosA en utilisant le produit scalaire de deux vecteurs.
a b c
2). sinA = sinB = sinC ,, en utilisant le produit vectoriel.
Exercice 4:
Trouver le volume du parallélépipède de côtés A ~ = ~j − 2~k et C
~ = 3~i − ~j; B ~ =
~i + 5~j + 4~k.
Exercice 5:
Trouver le volume du tétraèdre de sommets (2,1,1);(1,-1,2);(0,1,-1);(1,-2,1).
Exercice 1:
Soient un champ de scalaires f (u1 , u2 , u3 ) et un déplacement élémentaire
→
−
quelconque dl de composantes dl1 = h1 .du1 , dl2 = h2 .du2 et dl3 = h3 .du3 .
Exprimer les composantes du gradient de f dans les divers systèmes de coor-
données (cartésienne, cylindriques et sphérique.)
Exercice 2:
Soit un champ de scalaires f (x, y, z) = 4x2 + 2y 2 + 2z 4 .
1).Calculer le gradient de f.
2).On considère la surface de niveau: f (x, y, z) = 4x2 + 2y 2 + 2z 4 − Cte;
déterminer le vecteur unitaire de la normale à cette surface au point M(-
96
1,1,1).
Exercice 3:
Calculer la divergence et le rotationnel:
1).du rayon vecteur ~r = x~ex + y~ey + z~ez .
2).du vecteur A = kr/r3 où k est une constante.
−→ −−−→
3).Vérifier la relation rot(gradf ) = ~0 dans le cas particulier où f=k/r.
Exercice 4:
~ = xz~i − y 2~j + 2x2 y~k; trouver :
Si φ = x2 yz 3 et A
→
− →
− ~ ~ d).− → ~
a). ∇φ b). ∇ A c).div(φA) rot(φA).
D-INTEGRALES VECTORIELLES
Exercice 1:
Si ~r = (t3 + 2t)~i − 3e−2t~j + 2. sin(5t)~k, trouver :
2
a). dr
dt
b). ddt2r à t = 0.
Exercice 2:
Une particule se déplace avec une accélération donnée par ~a = 2e−t +5. cost.~j−
3. sint.~k si au temps t = 0, la particule est située à (1; −3; 2) et sa vitesse
est alors 4~i − 3~j + 2~k, trouver:
a).La vitesse b).Le déplacement de la particule pour un temps t > 0.
Exercice 3:
Si A~ = (3x2 − 6yz)~i + (2y + 3xy)~j + (1 − 4xyz 2 )~k
Calcul de de (0; 0; 0) à (1; 1; 1) le long des trajets C suivants:
a).x=t, y = t2 z = t3 .
b).Les droites de (0; 0; 0) à (0; 0; 1) puis jusqu’à (0; 1; 0) et enfin jusqu’à
(1; 1; 1)
c).La droite joignant (0; 0; 0) à (1; 1; 1)
Exercice 4:
a)Montrer que la force F~ = (y 2 . cosx + z 3 )~i + (2y. sinx − 4)~j + (3xz 2 + 2)~k
dérive d’un potentiel
b).Déterminer ce potentiel
c).Calculer le travail fourni par le champ de force pour déplacer un point
matériel de(0; 1; −1) à ( π2 ; −1; 2).
Exercice 5:
97
Un point matériel fait une fois le tour du cercle ~r = a( cosθ~i + sinθ~j) dans
le champ de force F~ = (x~i − y~j)/(x2 + y 2 ).
a).Calculer le travail recu.
b).La force dérive t-elle d’un potentiel?
Exercice 6:
Si F~ = (3x−2y)~i+(y+2z)~j−x2~k; Calculer C F~ ~r de (0, 0, 0) à (1, 1, 1) où C est le chemin suivant :
R
a).La courbe x = t, y = t2 , z = t3 .
b).La droite joignant les deux points.
c).La droite joignant (0, 0, 0) à (0, 1, 0), puis (0, 1, 1)et enfin (1, 1, 1).
d).La courbe x = z 2 , z = y 2 .
Exercice 7:
Trouver C F .d~r pour F~ = (x − 3y)~i + (y − 2x)~j et où C est la courbe
~
R
E-MECANIQUE
Exercice 1:
Une particule se déplace le long d’une trajectoire donnée par ~r = (t2 + t)~i +
(3t − 2)~j + (2t3 − 4t2 )~k. Trouver:
a).Sa vitesse; b).Son accélération; c).Le module de sa vitesse. d).Le module
de son accélération au temps t=2.
Exercice 2:
Un point matériel se déplace le long de sa courbe définie par x = e−t . cos(t); y =
e−t . sin(t). Trouver le module:
a).De la vitese. b).De l’accélération à un instant donné t.
Exercice 3:
Trouver:
a).Le vecteur unitaire T porté par la tangente; b).Celui porté par la normale
principale N;
c).Le rayon de courbure R; d).La courbure k de la courbe x = t, y = t2 /2, z =
t.
Exercice 4:
A l’instant t et dans le référentiel R(O;x,y,z), déterminer l’expression des
98
Exercice 5
Trouver
a).L’accéleration tangentielle; b).L’accélération normale d’un point matériel
qui se déplace sur l’éllipse ~r = a. cos(ωt)~i + b. sin(ωt)~j.
Exercice 6:
Un point se déplace sur l’axe Ox d’un référentiel orthonormé R(O;x,y,z) avec
−−→R
une accélération (aM )R = −k(vM 2 R
) ~ex où k est une constante positive, (vM )
la vitesse instantanée de M dans R et ~ex un vecteur unitaie dirigé vers les x
positifs. A l’instant t = t0 = 0, x0 = 10m et (vM )R = v0 = 30m/s.
1).Calculer dans le référentiel R, la vitesse v du point M lorsqu’il se trouve
au point d’abscisse x1 = 120m; on prendra k = 10−2 m−1 .
2).Quel est le temps t1 au bout duquel la vitesse v1 est atteinte?
3).Evaluer l’accélération initiale a0 du point M ainsi que l’accélération moyenne
entre t0 et t1 .
Exercice 7:
Un point matériel de masse 5 unités se déplace sous l’action d’un champ de
force le long d’une courbe dont le vecteur positiion est une fonction du temps
~r = (2t3 + t)~i + (3t4 − t2 + 8)~j − 12t2~k. Trouver:
a).La vitesse; b).La quantité de mouvement:
c).Láccélération d).Le champ de force à instant quelconque t.
Exercice 8:
Un projectile M de masse m est lancé dans un plan vertical Oyz avec une
vitesse initiale v0 faisant un angle θ avec l’horizontale Oy. On supposera que
le référentiel est celui du laboratoire R(O;x,y,z), lié à la surface de la terre,
est galiléen et que l’accélélaration de pesanteur ~g est constante. Le projectile
est soumis à une force de frottement de la forme F~ = −mk~v où k est une
constante et la vitesse de M dans R.
1).On suppose que k 6= 0.
a).Ecrire l’équation fondamentale de la dynamique et la projeter suivant les
trois axes du référentiel R.
b).Donner les équations horaires du mouvement.
c).Calculer le temps ts nécessaire à M pour atteindre le sommet S de sa tra-
jectoire.
99
Exercice 9:
Dans un reférentiel R(O;x,y,z) une particule M décrit une hélice circulaire (H)
sur un cylindre d’axe Oz et de rayon R. A l’instant t = 0, M se trouve en M0 de
coordonnées (R,0,0). La vitesse angulaire de la projection Hz du point M sur
le plan Oxy est constante et égale à ω0 . Les équations paramétriques du mou-
vement de M dans le référentiel
√ R sont: x = R. cos(θ) y = R. sin(θ), et z =
Rθ
√
3
; on prendra R = 3cm et ω0 = πrd.s−1 .
1).Calculer, par rapport à R, les composantes des vecteurs vitesse (~vM )R et
accélération (~aM )R du mobile. préciser l’orientation du vecteur accélération.
2).En déduire le module du vecteur vitesse.
3).Evaluer l’angle β entre le vecteur vitesse et l’axe Oz.
4).Déterminer à l’instant t:
a)La longueur rectiligne s parcourue par M ainsi que sa cote si t = t1 = 2s.
b)Le rayon de courbure ρc de (H).
c)Les coordonnées spatiales (x1 , y1 , z1 ) du mobile M à l’instant t1 .
d)L’hodographe de pôle O du mouvement.
5)Quelle est l’équation de la trajectoire de la projection Hx du point M sur
le plan Oyz?
Exercice 10:
1).Un petit cube de cuivre M, assimilable à un point de masse m, est immo-
bile sur un plan incliné en acier doux faisant un angle θ avec l’horizontale.
Le cube se met en mouvement lorsque θ = θ0 = 28◦ . Calculer le coefficient
de frottement statique µs . On suppose que le référentiel du laboratoire R est
Galiléen et l’accélération de la pesanteur g = 9, 81m.s−1 .
100
Exercice 11:
Soient deux points A(a,0,0) et B(0,b,0) d’un référentiel R(I;x,y,z); a et b
sont des constantes positives. Une force F~ , dont le point d’application est
M(x,y,0) a pour expression:
F~ = −xy~ex + y 2~ey
1).Calculer le travail effectué par F~ si le point M décrit:
a)Le segment [AB] DE A à B.
b)Le contour fermé ABA en parcourant le segment de A à B puis de B à A.
c)Le contour fermé ABA en parcourant d’abord le segment [AB] puis la ligne
brisée BI, IA.
−→
2).Evaluer rotF~ .
3).Conclure.
Exercice 12:
Considérons les trois forces suivantes:
F~1 = −mg~ez ; F~2 = −kx~ex et F~3 = k 0~r/r3 ; m,g,k et k’ sont des constantes
positive et ~r = x~ex + y~ey + z~ez .
1).Montrer que ces forces sont conservatives.
2).Quelle est l’énergie potentielle d’interaction associée à chacune de ces
forces?
Exercice 13:
Une
particule M a pour coordonnées à l’instant t:
X=2A(1 + cos(ωt))
Y=A. sin(ωt)
Z=0
où A et ω sont des constantes positives.
1).Trouver l’équation de la trajectoire en coordonnées cartésiennes; préciser
sa nature.
101
Exercice 1:
Exercice 2:
a).Donner les énoncés suivants:
i)La loi de Fourier; ii)La loi de Newton pour le transfert de chaleur iii)Théorème
de Green Ostrogradsky iv).Théorème de Stokes Ampère.
b).Donner la relation régissant le transfert d’énergie électromagnétique entre
deux surfaces.
c). i). Montrer que la force F~ = (y 2 . cosx+z 3 )~i+(2y. sinx−4)~j +(3xz 2 +2)~k
dérive d’un potentiel.
ii).Calculer le travail fourni par le champ de force pour déplacer un matériel
de (0, 1, −1) à ( π2 , −1, 2).
Exercice 3:
Exercice 1:
a).La pression (P) d’un gaz a volume V et température absolue T sont liés
suivant l’équation du gaz
(P + VA2 )(V − B) = CT où A, B et C sont les constantes.
i)Enoncer le princpe de dimensionnement homogène.
ii)Déterminer les unités et les dimensions de A,B et C.
b)La vitesse v, des ondes surfacique dans un liquide peut être liée a leur
longueur d’ondes λ, tension supperficielle du liquide σ et sa densité volu-
mique ρ par l’équation suivante: v = Kλα σ β ργ où K est une constante sans
dimension. Déterminer les valeurs de α, β et γ en utilisant les dimensions.
Exercice 2:
a).Donner trois modes de transfert de chaleur, tout en écrivant les lois physiques
qui les régissent.
b).Enoncer les théorèmes suivants. i)Théorème de Green Ostrogradsky ii).Théorème
de Stokes Ampère.
Exercice 3:
Un point matériel de masse 2 se déplace dans un champ de force dépendant du
temps t et donné par l’équation F~ = 12t2~i+(18t−8)~j −6t~k En supposant que
pour t = 0 le point matériel se trouve en ~r0 = 3~i −~j + 4~k avec la vitesse ~v0 =
6~i + 15~j − 8~k, trouver:
a)La vitesse.
b)La position à un instant quelconque t.
c)L’énergie cinétique du point matériel aux temps t = 1 et t = 2.
d)Le travail fourni par le champ pour déplacer le point matériel du point où
il se trouve en t = 1 au point où il se trouve en t = 2.
e)La quantité de mouvement du point matériel en t = 1 et en t = 2.
f)L’impulsion fournie en déplacant le point matériel de t = 1 à t = 2.
Exercice 4:
103
a).Si l’excitation d’une oscillation forcée est sinusoïdale, l0 équationdif f érentielledumouvements0 écrit
représente l’amplitude et la pulsation de l’excitation.
Définir les expressions suivantes.
i)Régime transitoire, ii)Régime permanent,
iii)Résonance d’amplitude, iv)Résonance de phase et résonance d’énergie.
b).Si φ = 2x y z et si A = x z i − 2y 2 z 2~j + 2xxy 2~k, trouver:
2 2 4 ~ 2 ~
→
− −−→ ~ →
− → −
i) ∇φ ii)div gradφ iii)div Aiv)M ontrerque ∇. ∇φ = ∇2 φ.
Exercice 1:
a).Montrer que l’équation suivante est homogène c2 µ0 ε0 = 1.
µ0 est le perméabilité de vide, ε permitivité de vide et c la vitesse de la
lumière.
b)La vitesse v, des ondes surfacique dans un liquide peut être liée a leur
longueur d’ondes λ, tension supperficielle du liquide σ et sa densité volu-
mique ρ par l’équation suivante: v = Kλα σ β ργ où K est une constante sans
dimension. Déterminer les valeurs de α, β et γ en utilisant les dimensions.
Exercice 2:
a).Donner trois modes de transfert de chaleur, tout en écrivant les lois physiques
qui les régissent.
b).Enoncer les théorèmes suivants. i)Théorème de Green Ostrogradsky ii).Théorème
de Stokes Ampère.
Exercice 3:
Un point se déplace sur l’axe Ox d’un réfŕentiel R(o,x,y,z) avec une accélération
(aM )R = −k(vM 2 R
) ~ex . où k est une constante positive, (VM )R la vitesse in-
stantanée de M dans R et ~ex un vecteur unitaire dirigé vers les x positifs. A
l’instant t = t0 = 0, x = x0 = 10m et (vM )R = v0 = 30m/s.
i).Calculer dans le référentiel R, la vitesse v du point M lorsqu’il se trouve
au point d’abscisse x1 = 120m, on prendra k = 10−2 m−1 .
ii).Quel est le temps t1 au bout duquel la vitesse v1 est atteinte?
iii).Evaluer l’accélération initiale a0 du point M ainsi que l’accélération moyenne
entre t0 et t1 .
Exercice 4:
Si l’excitation d’une oscillation forcée est sinusoïdale, l0 équationdif f érentielledumouvements0 écrit :au
représente l’amplitude et la pulsation de l’excitation.
Définir les expressions suivantes.
104
Exercice 1:
−−→ ~ − −→ ~
a).Exprimer les composantes de gradφ, div A, RotA dans le système de co-
ordonnées cylindrique.
~ = (2xy + z 3 )~i + (x2 + 2y)~j + (3xz 2 − 2)~k.
b).Soit A
→
− ~ = ~0.
i).Montrer que ∇ ∧ A
ii).Trouver une fonction φ telle que A ~=→ −
∇φ.
~
c).On donne ~r = x~i + y~j + z k avec r le module du vecteur ~r, calculez:
−−→
i).gradr2 ii).div(~r)
Exercice 2:
i)Enoncer le principe de dimensionnemenet homogène.
ii)Est ce qu’une quantité physique peut être mesurable et sans dimension?
iii)Montrer que l’équation suivante est homogène; c2 µ0 ε0 = 1.
Exercice 3:
Un point se déplace sur l’axe Ox d’un réfŕentiel R(o,x,y,z) avec une accélération
(aM )R = −k(vM 2 R
) ~ex . où k est une constante positive, (VM )R la vitesse in-
stantanée de M dans R et ~ex un vecteur unitaire dirigé vers les x positifs. A
l’instant t = t0 = 0, x = x0 = 10m et (vM )R = v0 = 30m/s.
i).Calculer dans le référentiel R, la vitesse v du point M lorsqu’il se trouve
au point d’abscisse x1 = 120m, on prendra k = 10−2 m−1 .
ii).Quel est le temps t1 au bout duquel la vitesse v1 est atteinte?
iii).Evaluer l’accélération initiale a0 du point M ainsi que l’accélération moyenne
entre t0 et t1 .
Exercice 4:
Si l’excitation d’une oscillation forcée est sinusoïdale, l0 équationdif f érentielledumouvements
représente l’amplitude et la pulsation de l’excitation.
Définir les expressions suivantes.
i)Régime transitoire, ii)Régime permanent,
iii)Résonance d’amplitude, iv)Résonance de phase et résonance d’énergie.
EN1
A-METROLOGIE
Exercice 1:
0
En mécanique F = G m.m r2
. Equation aux dimensions de G.
m.m0 F.r2
F = G r2 ⇒ G = m.m0 .
[F ][r2 ]
Par le principe de l’homogéneité dimensionnelle, [G] = [m][m 0] ;
Exercice 2:
~ = 1 q2 ~r et B
En électricité, E ~ = µo q~v ∧ ~r3 .
4πεo r r 4π r
1)Equations aux dimensions de ε0 et µ0 .
2)
∗E ~ = 1 q2 ~r ⇒ E = 1 q2 ⇒ εo = q2 ,
4πεo r r 4πεo r 4πr E
[q] [q]
Ainsi [εo ] = [4π][r2 ][E] = [r2 ][E] car [4π] = 1;
[I][t] [I][t] F
= [r2 ][E]
= [F ] car F = qE ⇒ E = q
et F = ma.
[I][t]
×[r2 ]
[I]2 [t]2 I 2 t2
= [m][a][r]2 = M LT −2 L2 = T 4 I 2 M −1 L−3 .
Donc [εo ] = T 4 I 2 M −1 L−3 .
∗B~ = µo q~v ∧ ~r3 ⇒ B = µo |q|v. 2sinα où α = mes(~q, ~v )
4π r 4πr
4πr2 B [r]2 [B]
soit µo = |q|v. sinα
⇒ [µ o ] = [q][v]
car [4π] = [ sinα] = 1
2
[r] [m][a] 2 −2
−2 −2
or F = BIl ⇒ B = m.a Il
⇒ [µo ] = [I] L M LT
2 [t][l][v] = I 2 T LLT −1 = M LT I .
−2 −2
Donc [µo ] = M LT I
2)µo et εo sont liés par la relation εo µo c2 = 1.
Vérification de l’homogeneité de cette relation.
D’une part [1] = 1.
D’autre part, [εo ][µo ][c2 ] = (T 4 I 2 M −1 L−3 )(M LT −2 I −2 )(L2 T −2 )
= T 4 T −4 I 2 I −2 M M −1 L3 L−3 = 1.
Comme [εo ][µo ][c2 ] = [1] = 1, alors cette équation est homogène.
Exercice 3:
L’energie a pour équation aux dimensions [ξ] = L2 M T 2 .
1-Vérification de l’homogénité de l’expression ξ = qV
On a [qV ] = [q][V ]; et on sait que [V ] = [U ];
or E = Ud et F = qE soit F = q.U d
;
qU [m][a][d]
soit m.a = d ⇒ [U ] = [V ] = [q] .
106
Exercice 1:
Soient les vecteurs A~ et B
~ d’origine O situés dans un plan xOy et formant
respectivement les angles α = 30◦ et β = 180◦ avec Ox. Leurs modules sont
A=10 et B=6.
1). Calcul de la somme S ~=A ~ + B.
~
∗ Origine : Le point O.
∗ M odule :
On a S ~=A ~ + B.
~
2= 2 2
S A + B + 2AB. cos(A, ~ B)
~ α = β − α = 180◦ − 30◦ = 150◦
= A2 + B 2 + 2AB. cosγ √
= 102 + 62 + 2 × 10 × 6 × cos150◦ = 136 − 60 3 ' 32, 07
S 2 = 32, 07 ⇒ S = 5, 6.
∗ Sens et direction :
~ −
~ et Ox c’est á dire θ = (S,
Soit θ formé entre S
→
Ox); d’après le théorème des
sinus, on a:
S B
sinα
= sin(θ−α) ⇒ sin(θ − α) = B. Ssinα = 0, 53
sin(θ − α) = 0, 53 ⇒ θ − α = 32, 3 ⇒ θ = 32, 3 + α = 62, 3
~ est tel que mes(S,
D’où θ = 62, 3◦ d’où S ~ O~x) = 62, 3◦ .
2). Calcul de même du vecteur défini par D ~ =A ~ − B.
~
0
∗ P oint d application P oint O.
∗ M odule : D2 = A2 + B 2 − 2AB. cos(A, ~ B)
~ = 136 + 120. cos π = 239, 92.
6
0
D où D = 15, 4.
∗ Sens et direction : Donné par rapport à (Ox).
Exercice 2:
~ B
Soient dans un système de coordonnées cartésiennes, trois vecteurs A, ~ et C
~
de composantes respectives (2,1,1); (-3,4,0); et (0;1;0).Calcul:
~B
1-du produit scalaire A. ~
~B
A. ~ = −6 + 4 + 0 = −2.
~ et B
2- de L0 angle entre A ~
On a:
107
~B ~ = A.B. cos(A, ~ B)
~ ⇒ cos(A, ~ B)
~ = cos( A. ~B~
A. A.B
)
~ B) ~ ~
~ = cos−1 ( ) = cos−1 ( √ √ ) = 99, 3◦
A. B −2
soit mes(A, A.B 6. 25
Donc mes(A, ~ B)
~ = 99, 3◦
1-du produit vectoriel A ~ ∧ C.~
~∧C
A ~ = −~i + 0~j + 2~k.
0
2-L angle entre A ~ et C~
~ ~
On sait que ||A ∧ C|| = A.C.| sinβ| avec√ β = mes(A, ~ C).
~
~ ~
On tire β = Arcsin( ||A∧ C||
A.C
) = Arcsin( √56 ) = 65, 9
~ B)
D’ù mes(A, ~ = 65, 9◦ .
Exercice 4:
~ = ~j − 2~k et C
~ = 3~i −~j; B
volume du parallélépipède de côtés A ~ = ~i + 5~j + 4~k.
En effet, V = |(A~ ∧ B).
~ C|;
~
~∧B
or A ~ = −2~i + 6~j + 3~k;
~ ~ C
ainsi (A ∧ B). ~ = −2 + 30 + 12 = 40
Donc V = 40U.V (U.V = unité de volume)
Exercice 5:
−→ −→ −−→
Appliquer la formule V = 16 |(AB ∧ AC).AD|
Exercice 1:
Soient un champ de scalaires f (u1 , u2 , u3 ) et un déplacement élémentaire
→
−
quelconque dl de composantes dl1 = h1 .du1 , dl2 = h2 .du2 et dl3 = h3 .du3 .
Expréssion des composantes du gradient de f dans les divers systèmes de co-
ordonnées (cartésienne, cylindriques et sphérique.)
∂f ∂f ∂f ∂f ∂f ∂f
On a df = ∂u 1
du1 + ∂u 2
du2 + ∂u 3
du3 = h11 ∂u 1
dl1 + h12 ∂u 2
dl2 + h13 ∂u 3
dl3 .
−−→ → − −−−→ − → −−−→ −→
P ar ailleurs on a : df = gradf. dl ⇒ df = grad1 f.dl1 + grad2 f.dl2 +
−−−→ − →
grad3 f.dl3 ;
−−→ ∂f ∂f ∂f
P ar identif ication, gradf ( h11 ∂u 1
dl1 ; h12 ∂u2
dl2 ; h13 ∂u 3
dl3 )
∗ Coordonnées Cartésiennes (x, y, z)
−−→
hx = hy = hz = 1, Ainsi nous pouvons écrire gradf ( ∂f ; ∂f ; ∂f ).
∂x ∂y ∂z
∗ Coordonnées Cylindriques (ρ, θ, z)
−−→
hρ = 1; hθ = ρ et hz = 1, ainsi : gradf ( ∂f ; 1 ∂f ; ∂f ).
∂ρ ρ ∂θ ∂z
∗ Coordonnées Sphériques (φ, θ, r)
−−→ ∂f ∂f ∂f
hφ = r, hr = 1, hθ = r. sinθ ⇒ gradf ( 1r ∂φ 1
; r. sinθ ; ).
∂θ ∂r
Exercice 2:
108
Exercice 3:
Calcul de la divergence et du rotationnel:
1).du rayon vecteur ~r = x~ex + y~ey + z~ez .
→
−
div~r = ∇.~r div~r = 3
−→ →
− −→
rot~r = ∇ ∧ ~r rot~r = ~0.
2).du vecteur A = kr/r3 où k est une constante.
~=→
div A
−
∇.~r div~r = 0
−→ ~ → − ~ −→ ~ ~
rotA = ∇ ∧A rotA = 0.
−→ −−−→
3).Vérifier la relation rot(gradf ) = ~0 dans le cas particulier où f=k/r.
Juste avec l’application directe des formules, vous y arriverez.
Exercice 4:
~ = xz~i − y 2~j +
appliquer les formules appropieées. Si φ = x2 yz 3 et A
2 ~
2x y k; trouver :
→
−
a). ∇φ = (2xyz 3 )~i + (x2 z 3 )~j + (3x2 yz 2 )~k
→
− ~
b). ∇ A = −y
~ = −x2 y 2 z 3
c).div(φA)
−→ ~
d).rot(φA) = 2x4 yz 3~i + x3 yz 3 (1 − 4y)~j.
D-INTEGRALES VECTORIELLES
Exercice 1:
Si ~r = (t3 + 2t)~i − 3e−2t~j + 2. sin(5t)~k, trouvons a`t = 0 :
a). dr
dt
En dérivant r par rapport á t, et en remplacant t par 0, on a:
dr
dt
= 2~i + 6~j + 10~k.
2
b). ddt2r .
En dérivant 2 fois r, il vient que:
109
d2 r
dt2
= −12~j
Exercice 3:
Si A ~ = (3x2 − 6yz)~i + (2y + 3xy)~j + (1 − 4xyz 2 )~k
Calcul de de (0; 0; 0) à (1; 1; 1) le long des trajets C suivants:
a).x = t, y = t2 z = t3 .
→
−
dr a pour composantes dx, dy et dz. F~ .dr = (3x − 2y)dx + (y + 2z)dy − x2 dz
→
−
F~ .dr = (3t − 2t2 ) + (t2 + 2t3 )2t − t2 × 3t2 = t4 + 2t3 − 2t2 + 3t.
~ →− R1 4 3 2
C F .dr = 0 (t + 2t − 2t + 3t)dt = −3, 03.
R
? (0, 0, 0) à (0, 1, 1)
~ →− R0 1
C 1 F .dr = 1 (3x − 2)dx = − 2 .
R
Exercice 4:
a)Preuve que la force F~ = (y 2 . cosx + z 3 )~i + (2y. sinx − 4)~j + (3xz 2 + 2)~k
dérive d’un potentiel
−→
En effet, il suffit de montrer que rotF~ = ~0 puis conclure.
b).Détermination ce potentiel
Soit φ ce potentiel.
−−→
on a F~ = −gradφ.
Fx = − ∂φ
∂φ 2 3
∂x = −y cosx − z
∂x
(1)
−−→
~
F = −gradφ ⇔ Fy = − ∂φ
⇔ ∂φ
= 4 − 2ysinx (2)
∂y ∂y
∂φ ∂φ
Fz = − ∂z = −2 − 3xz 2 (3)
∂z
(1) ⇔φ = (−y 2 cox − z 3 )dx = −y 2 sinx − xz 3 Cste(y, z).
R
3
(2) ⇔ 4 − 2ysinx = ∂(−ysinx−xz∂y +Cste(y,z)) = −2ysinx + ∂Cste(y,z) ∂y
⇔Cste(y,z)= 4dy = 4y + Cste(z) soit φ = −y 2 sinx − xz 3 + 4y + Cste(z).
R
∂(−y 2 sinx−xz 3 +4y+Cste(z))
(3) ⇔ −3xz 2 − 2 = ∂z
= −3xz 2 + ∂Cste(z)
soit Cste(z) = −2dz = −2z + c
R
(Cste = constante)
2 3
Donc φ = −y sinx − xz + 4y − 2z + c c ∈ R
110
Exercices 6 et 7:
Confère correction exercice 3 et un peu de rèflexion.
E-MECANIQUE
Exercice 1:
Une particule se déplace le long d’une trajectoire donnée par ~r = (t2 + t)~i +
(3t − 2)~j + (2t3 − 4t2 )~k. Calcul à t = 2 de:
a).Sa vitesse;
On a V~ = d~ r
dt
= (2t + 1)~i + 3~j + (6t2 − 8t)~k;
à t = 2, V~ = 5~i + 3~j + 8~k. √ √
En norme (M √ odule) V = 25 + 9 + 64 = 7 2;
Donc V = 7 2m/s ' 9, 9m/s
b).Son accélération;
~
~a = ddtV = 2~i + (12t − 8)~k,
16~k.
à t = 2, ~a = 2~i + √ √
En module,√a = 4 + 256 = 2 65;
D0 où a = 2 65m/s2 ' a = 16, 12m2 .
Exercice 2:
Confère exercice précédent.
Donc T~ = √ 1 ~ i + √ t ~ j + √ 1 ~ k.
t2 +2 t2 +2 t2 +2
~;
b).Celui porté par la normale principale N
On sait que ~a = aT T~ + aN N
~ ; ce qui donne N
~ = 1
aN
(~a − aT T~ );
q
~
or a2 = a2T + a2N soit aN = a2 − a2T ; a = || ddtV || = ||~j|| = 1 et
aT = dV
dt
= 2√2t
t2 +2
= √t2t+2
q 2
q
également, aN = 1 − t2t+2 = 2
t2 +2
~ = q 1 [~j − √ 2t
De ce f ait, N ( √t21+2~i + √ t ~ j + √ 1 ~ k)]
2 t +2 t2 +2 t2 +2
t2 +2
= ···
~ = −√
N 1
(t~i − 2~j + t~k)
2(t2 +2)
~
Donc N = − √ 12 (t~i − 2~j + t~k)
2(t +2)
c).Le rayon de courbure R;
2 V2
On sait que: aN = VR ⇒ R = aN
Applications
√
N umériques :
( qt2 +2)2
R= 2
t2 +2
√ √ 3
2
soit R = 2( 2t +2) .
d).La courbure k de
A faire par l’étudiant.
Exercice 6:
Un point se déplace sur l’axe Ox d’un référentiel orthonormé R(O;x,y,z) avec
−−→R
une accélération (aM )R = −k(vM
2 R
) ~ex où k est une constante positive, (vM )
112
Exercices 7 et 8:
A corriger par létudiant.
Exercice 9:
Dans un reférentiel R(O;x,y,z) une particule M décrit une hélice circulaire (H)
sur un cylindre d’axe Oz et de rayon R. A l’instant t = 0, M se trouve en M0 de
coordonnées (R,0,0). La vitesse angulaire de la projection Hz du point M sur
le plan Oxy est constante et égale à ω0 . Les équations paramétriques du mou-
vement de M dans le référentiel
√ R sont: x = R.cos(θ) y = R.sin(θ), et z =
Rθ
√
3
; on prendra R = 3cm et ω0 = πrd.s−1 .
1).Calcul des composantes des vecteurs vitesse (~vM )R et accélération (~aM )R
du mobile par rapport à R tout en précisant l’orientation du vecteur accélération.
113
ω0
car 3 = R. t dans y donne : y = Rsin(ω0 × ω0 ) = R.sinz.
114
Donc y = R.sinz.
Aω 4 − 3cos2 ωt
2 2
Rappel: Pour une éllipse!d’équation (x−r)
!a2
+ (y−s)
b2
=
!
1, les 4 sommets
!
ont
r−a r+a r r
pour coordonnées ; ; et . (qui
s s −b + s b+s
sont les 04 points particuliers).
! ! !
0 4A 2A
pour nottre équation, les 04 points sont: E1 ; E2 ; E3
0 0 −A
!
2A
et E4 .
A
• Aux points E1 et E2 , Y = 0 ⇔ sinωt = 0 ⇒ ωt = 0.
Ainsi V = Aω.
• Aux points E3 et E4 , x = 2A ⇔ cosωt = 0 ⇒ ωt = π2 .
√
Ainsi V = 2Aω ou V = Aω 4 − 3cos2 ωt.
115
3).
∗ Composante tangentielle.
2
aT = dvdt
= 3Aω √ .sinωt.cosωt .
4−3cos2 ωt
∗ Composante
q normale.
aN = a − aT ; avec ~a = d~
2 2 v
dt
= (−2Aω 2 cosωt)~i + (−Aω 2 sinωt)~j.
En remplacant la norme de a et celle de aT par leurs expressions, on aboutit
à:
2Aω 2
aN = √4−3cos 2 ωt .
∗ Rayon de courbure. q
2 2
aN = Vρc ⇒ ρc = aVN = A2 (4 − 3cosωt)3 .
4) Rappel :
−−→ −−−→
ds = 21 |OM ∧ M M 0 |
En ef f et, ~a = (−2Aω 2 cosωt)~i+(−Aω 2 sinωt)~j = −ω 2 [(2Acosωt)~i+(Asinωt)~j]
−−→
= −ω 2 [(X − 2A)~i + Y ~j]; or IM = (X − 2A)~i + Y ~j + 0k;
−−→
soit ~a = −ω 2 IM .
−−→ 2
On aura [S]tt10 = 21 c(t1 − t0 ) = 21 |OM ∧ V~ | 2ω
π
= π.A 2
.
116
Exercice 1:
soit x = 2.
Donc F = KAρV 2 .
Exercice 2:
a)Enoncés suivants:
φ = −λS ∂T ∂x
(en coordonnées cartésienne.)
ii)La loi de Newton pour le transfert de chaleur;
”Pour un écoulement de température ∞ autour d’une structure à une température
uniforme Tp de surface S, l’expression du flux de chaleur en convection est la
suivante:
φ = h.S.(Tp − T∞ ) où h est le coefficient de transfert thermique.”
iii)Théorème de Green Ostrogradsky; (Il est encore connu sur le nom de
théorème de flux-divergence)
”L’intégrale de la divergence d’un champ vectorielle sur le volume dans R3 et
le flux de ce champ à travers la frontière de volume (ce qui est une intégrale
de surface) est telle que:
RRR
~ RR
~
v div A.dv = Ads”.
iv).Théorème de Stokes Ampère.
”Pour un champ ~ et un contour C enserrant une surface S, on a:
vectoriel A,
H
~ RR − → ~ −→
C A.dl = (S) rotA.dS.”
b).Relation régissant le transfert d’énergie électromagnétique entre deux sur-
faces.
ρ = σ.εp .S(Tp4 − T∞ 4
) où :
ρ = Flux de chaleur transmit par rayonnement en W;
σ= Constante de Stefan (5, 67.10−8 W.M −2 .K −4 );
Tp = Température de la surface en K;
T∞ = Température environnant à la surface en K;
S = aire de la surface en m2 .
c) confère correction TD (Exercice 5 du D).
Exercice 3:
~r0 = 3~i − ~j + 4~k
(
~ 2~ ~
m=2kg, F = 12t i + (18t − 8)j − 6tk; à t = 0 ~ ;
~v0 = 3~i + 7, 5~j − 4~k
trouvons:
a)La vitesse:
~
On sait que F~ = m.~a ⇒ ~a = m F
⇒ ddtV = m1 F~ ;
soitV~ = m1 F~ = (6t2~i + (9t − 4)~j − 3t~k)dt = 2t3~i + ( 92 t2 − 4t)~j − 23 t2 + cste.
R
Rappel: EC = 21 mV 2 .
√
∗ à t = 1, V~ = 5~i + 8~j − 5, 5~k; V = 119, 25m/s; soit V 2 = 119, 5.
De ce f ait, EC = 119, 25J.
∗ à t = 2, V~ = 19~i + 17, 5~j − 10~k; V 2 = 767, 25.
Donc EC = 767, 25J.
d)Travail déplacement le pour matériel de t = 1 à t = 2.
W = EC 2 − EC 1 = 648; Donc W = 648J.
e)La quantité de mouvement à t = 1 et à t = 2.
On a P = m.v.
Exercice 1:
a).La pression (P) d’un gaz a volume V et température absolue T sont liés
suivant l’équation du gaz
(P + VA2 )(V − B) = CT où A, B et C sont les constantes.
i)Enoncd́u princpe de dimensionnement homogène.
(cours)
ii)Détermination des unités et des dimensions de A,B et C.
∗ [B] = [V ]; ddonc [B] = L3 et unité(B) = m3 .
∗ [P ] = [ VA2 ] soit [P ] = [V[A]2 ] ;
On aura [A] = [P ][V ]2 or [P ] = M L−1 T −2 ; [A] = M L−1 T −2 L6 ;
Donc [A] = M L5 T −2 unité(A) = kg.m5 .s−2 .
∗ [C][T ] = [P ][V ]; soit [C].Θ = L3 M L−1 T −2 ;
Donc [C] = Θ−1 M L2 T −2 et unité(C) = k −1 kg.m2 .s−2 .
b)La vitesse v, des ondes surfacique dans un liquide peut être liée a leur
longueur d’ondes λ, tension supperficielle du liquide σ et sa densité volu-
mique ρ par l’équation suivante: v = Kλα σ β ργ où K est une constante sans
dimension. Détermination des valeurs de α, β et γ en utilisant les dimen-
sions.
En effet, [V ] = [λ]α [θ]β [ρ]γ .
Soit LT −1 = α
L × M .L .T
β β −2β
× M λ .L
−3β
= Lα+β−3λ .M β+λ .T −2β .
α + β − 3λ = 1
α = −1
De ce fait, β + λ = 0 d’où β = 21 .
λ = − 12
2β = 1
Exercice 2:(Déjà).
Exercice 3:
Le principe de résolution est le même que l’exercice 3 du Contrôle continu
119
Exercice 4:
a)Confère cours.
~ = x2 z~i − 2y 2 z 2~j + 2xxy 2~k, trouvons:
b) φ = 2x2 y 2 z 4 et si A
→
− −−→
i) ∇φ = gradφ = (4xy 2 z 4 )~i + (4x2 yz 4 )~j + (8x2 y 2 z 3 )~k.
−−→
ii)div gradφ = 4y 2 z 4 + 4x2 z 4 + 24x2 y 2 z 2 .
~ = 2z(x − 2yz).
iii)div A
→
− →−
iv)Preuve que ∇. ∇φ = ∇2 φ.
→
− → − ~i + ∂φ~j + ∂φ ~k)( ∂φ~i + ∂φ~j + ∂φ ~k)
∇. ∇φ = ( ∂φ∂x ∂y ∂z ∂x ∂y ∂z
∂2φ ∂2φ 2
= ∂x2
+
∂y 2
+ ∂∂zφ2 ;
~i + ∂φ~j ∂φ ~ 2 ∂2φ ∂2φ ∂2φ
or ∇ 2
φ = ( ∂φ
∂x ∂y
+ ∂z
k) = ∂x2
+ ∂y 2
+ ∂z 2
;
→
− →
− 2
D’où ∇. ∇φ = ∇ φ.
Toute l’épreuve est traité plus haut et les questions de cours sont triviales.
Exercice 1:
−−→ ~ − −→ ~
a).Expressions des composantes de gradφ, div A, RotA dans le système de
coordonnées cylindrique.
−−→ −−→ −−→ −−→
∗ gradφ = (gradφ)r~er + (gradφ)θ~eθ + (gradφ)z~ez ;
−−→
dM = dr~er + rdθ~eθ + dz~ez .
−−→ −−→ −−→ −−→ −−→
dφ = (gradφ.dM ) = (gradφ)r dr + (gradφ)θ dθ + (gradφ)z dz;
or dφ = ∂φ∂r
dr + ∂φ
∂θ
dθ + ∂φ ∂z
dz.
−−→
D’où gradφ = ∂r ~er + ∂θ ~eθ + ∂φ
∂φ ∂φ
∂z z
~e .
~ →
− ~
∗ div A = ∇.A;
div A~ == 1 [ ∂(rAr ) + ∂Aθ ] + ∂Az .
−−→ ~ r→ − ∂r ~ ∂θ ∂z
∂Aθ
∗ RotA = ∇ ∧A = ( 1r ∂A
∂θ
z
− ∂z
)~er + ( ∂A
∂z
r
− ∂A
∂r
z
)~eθ + ( ∂A
∂r
θ
− 1r ∂A
∂θ
r
)~ez .
b).Soit A~ = (2xy + z 3 )~i + (x2 + 2y)~j + (3xz 2 − 2)~k.
→
− ~ = ~0.
i).Preuve que ∇ ∧ A
Calcul trivial avec la formule stantard du produit vectoriel.
ii).Trouvons une fonction φ telle que A ~=→ −
∇φ.
Le principe de résolution est le même que celui de l,exercice 4 du TD de
physique (Voir correction)
Au final, φ(x, y, z) = x2 y + 2z 3 x + y 2 − 2z + c c=constante. c).On donne
120
Exercice 2:
Confère cours et prècédente correction.
Exercice 1:
1.Coordonnées cylindriques.
a) Calculer la surface d’un cercle de rayon << a >> de centre O situé dans
le plan xOy. Calculer aussi sa circonférence.
b) Calculer la surface latérale et le volume d’un cylindre circulaire droit de
rayon << a >> et d’axe Oz.La hauteur du cylindre est H.
2.Coordonnées sphériques.
a) Calculer la surface et le volume d’une sphère de centre O et de rayon
<< a >>.
Exerxixe 2:
On considère un gaz parfait en équilibre en équilibre isotherme:
Altitude 0 P ression p0
M asse volumique ρ0
Altitude 0 P ression p
ρ
M asse volumique ρ p
= ρp00
La variation de p avec l’altitude est dp = −ρgdz (g constant).
a) Exprimer p en fonction de en fonction de p0 , ρ0 , g et z.
−−→
b) Calculer grad(p) en coordonnées cartésiennes.
Exercice 3:
Dans un repère orthonormé (O, ~ax , ~ay , ~az ) on associe à tout l’espace le vecteur
−−→
champ V~ (M ) = ~ax ∧ OM .
1.Indiquer la direction, le sens et la norme de V~ (M ). Dessiner les lignes de
champ correspondantes.
2.Calculer les composantes de V~ (M ).
3.Montrer que la circulation ĺémentaire δC de V~ (M ) n’est pas une différentielle
totale.
4.On considère les points A(R, 0, 0) et B(0, R, 0). Calculer les circulions
C1 , C2 et C3 sur les trajets respectifs:
−→ −−→
a)Ligne brisée AO et OB
b)Arc de cercle AB
−→
c) Segment AB.
5.Soit le vecteur champ V~ 0 = (M ) = y~ax + x~ay .
a)Montrer que ce champ dérive d’un potentiel scalaire.
b)Exprimer le potentiel scalaire f 0 et déterminer les surfaces équipotentielles.
En déduire la forme des lignes de champ.
123
Exercice 4:
Calculer le flux du champ du vecteur V~ (M ) = x~ay à travers la surface limitée
par OPQR (carré):
O(0,0,0); P(0,0,l); Q(l,0,l); R(l,0,0).
Exercice 5:
On considère les vecteurs ~u(2, 0, 1) et ~v (−2, 1, 4).
a) Calculer ~u ∧ ~v . En déduire ||~u ∧ ~v ||.
b) Calculer la surface du parallélogramme (~u, ~v ).
124
Exercice 1:
On considère un segment de droite AB de longueur 21 de milieu O et portant
une densité linéique de charges uniformes.
~
1) Calculer le champ électostatique E(M ) en un point situé à une distance r
de la droite.
Donner son expression lorsque M se trouve dans le plan médiateur de AB.
~
2) On suppose que le fil est infini. Calculer E(M ) et V.
Exercice 2:
1)Une spire circulaire de centre O et de rayon R porte une densité linéique
de charges λ uniformes. Calculer le champ et le potentiel électrostatiques en
un point M de son axe situé à une cote z de son centre.
2) a) Même question pour un disque de centre O et de rayon R uniformément
électrisé en surface.
b) Etendre le résultat trouvé à un plan.
Exercice 3:
Une sphère de centre O et de rayon << a >> porte une densité volumique
ρ de charges uniformes.
Calculer le potentiel au centre de la sphère.
Exercice 4:
1) On considère deux plans parallèles situés en x = 0 et x = l et portant des
densités superficielles de charges respectives −σ et + σ.
En utilisant le résultat de l’exercice 2, calculer le champ et le potentiel créés
par cette distribution dans tout l’espace (on suppose que le potentiel du plan
x = 0 est nul).
2) On place entre les deux plans une sphère conductrice de rayon R faible l
à une distance << a >> de l’armature de potentiel nul. On suppose que la
sphère est un volume équipotentiel si l’on considère sa charge propre q. (q
sa charge superficielle est le potentiel total de la sphère est nul)
Calculer cette charge q en fonction de V0 , R, a et l (V0 est le potentiel du
plan x = l).
Exercice 5:
Deux droites de charges identiques occupent l’axe des x et l’axe des y avec
des densités λ = 20C/m uniformes.
~
Calculer le champ électrostatique E(M ) au point M (3, 3, 3)m.
125
Exercice 6:
On considère le carré ABCD avec A(−2; −2; 0), B(2; −2; 0), C(2; −2; 0), D(−2; 2; 0)
et les deux plans x=4m et y=4m. Le carré porte une densité linéique de
charges λ = 0, 2µC/m. Les deux plans portent une densité superficielle de
charges σ − 50ηC/m2 .
Calculer le champ électrostatique créé par cette distribution au point M(0,0,4)m.
Exercice 7:
On considère une sphr̀e de rayon << a >> portant une densité volumique ρ
de charges uniformes.
Calculer le champ et le potentiel créés par cette distribution de charges.
Tracer l’allure de E(R) et V(R).
Exercice 8:
Un cylindre infiniment long de rayon R porte une densité de charge q uni-
forme. Calculer le champ et le potentiel électrostatique en tout point de
l’espace. La surface du cylindre est à un potentiel V0 .
Exercice 9:
En appliquant le théorème de Gauss, calculer le champ créé en tout point
de l’espace par un plan électrisé portant une densité superficielle de charge σ.
Exercice 10:
Un fil infini porte une densité linéique λ de charges uniformes. Un cylin-
dre de rayon 2m et de même axe que le fil porte la densité surfacique
σ = (−1, 5/4π)µC/m2 unif orme.
Calculer le champ électrostatique créé par ces distributions en tout point de
l’espace. (λ = 5/4µC/m).
Exercice 11:
Un condensateur plan à faces parallèles sur la face inférieure de la plaque
supérieure de la densité surfacique σ uniforme et sur la face supérieure de la
plaque inférieure la densité −σ. En considérant les plaques infinies, calculer
le champ E ~ dans l’espace à l’aide du théorème de Gauss.
Exercice 12:
Le volume compris entre deux cylindres r1 = 2m et r2 = 4m de même axe
porte une densité uniforme de charge ρ.
Calculer le champ E ~ en tout point de l’espace.
126
Exercice 13:
Une charge ponctuelle Q = 2000pC est placée à l’origine. Une distribution
sphérique de charge R1 = 1m et concentrique, a pour densité σ1 = 40/m2 .
1) Calculer la densité sphérique superficielle de charge σ2 de rayon R2 = 2m
qui donnerait E~ = ~0 pour R > 2m.
2) Calculer dans ce cas le champ E ~ et le potentiel en tout point de l’espace.
Exercice 14:
En appliquant le théorème de Gauss, évaluer le champ créé par une couche
cylindrique uniforme de longueur infinie en un point extérieur au cylindre.
Calculer aussi le potentiel en ce point. La couche est uniformément chargée
en surface.
Exercice 15:
Une boule de rayon R1 , portant une densité volumique de charge ρ est en-
tourée d’une sphère concentrique de rayon R2 portant une densité superficielle
de charge σ.
1) Déterminez σ = f (ρ) pour que la charge de la boule soit égale et opposée
à celle de la sphère.
~
2) Déterminez la répartition spaciale du champ électrostatique E(R). Graphe
de son amplitude E(R).
Exercice 16:
L’atmosphère terrestre contient des charges réparties d’une facon homogène
avec une densité volumique. La terre est supposée une sphère de rayon
a = 6400km. Le champ électrique terrestre étant supposé radial et dirigé
vers l’intérieur. Calculer ρ sachant que le champ a pour valeur 100V /m au
voisinage du sol et 25V /m à l’altitude de 1, 5km.
Exercice 17:
L’espace entre deux plans x = +a et x = −a porte une charge positive de
densité ρ uniforme.
Calculer le champ et le potentiel en tout point de l’espace sachant que le plan
x = 0 est à un potentiel V0 .
Exercice 18:
Soit deux conducteurs cylindriques de rayon r, de longueur l, d’axes parallèles
distants se << a >>. On suppose l très grand devant << a >> , lui-mm̂e
très grand devant r. Les fils portent les charges avec des densités linéiques
−λ et + λ.
127
Exercice 19:
A une distance R d’un point O, le potentiel d’une distribution de charges a
pour expression :
q 1 −R
V = 4πε 0 R
e a avec a cste et q > 0.
~
1) Calculer le champ E(R) à la distance R de O et le flux φ envoyé par ce
champ à travers une sphère (S) de centre O et de rayon R. Que deviennent
ces expressions lorsque R −→ 0? Interpreter ces résultats.
2) Calculer la densité volumique des charges ρ à la distance R. Calculer la
somme q’ des charges contenues dans la sphère (S). Que devient cette quantité
lorsque r tend vers l’infini?
128
Exercice 1:
On considère un segment de droite AB de longueur 21 de milieu O et portant
une densité linéique de charges uniformes.
~
1)a- Calculer le champ électostatique E(M ) en un point situé à une distance
r de la droite.
b-Donner son expression lorsque M se trouve dans le plan médiateur de AB.
~
2) On suppose que le fil est infini. Calculer E(M ) et V(M).
Exercice 2:
Dans un repère orthonormé (O, ~ax , ~ay , ~az ), on associe à tout l’espace le vecteur
champ V~ (M ) = −2(y~ax + x~ay ).
1-Montrer que ce champ dérive d’un potentiel scalaire et déterminer ce po-
tentiel scalaire.
2-Déterminer les surfaces équipotentielles ainsi que l’équation des lignes de
champ.
Exercice 3:
On dispose de n génératrues électriques de f.e.m E et de résistances internes
r chacun que l’on doit brancher sur une résistance extérieure R donnée. On
se propose de faire le groupement suivant:
-p branches en parallèle
-m branches en s erie dans chaque branche
1) Faire le schéma correspondant à ce type de montage
2) Donner l’expression du courant I qui traverse R en fonction de n,E,r,R et
m.
3) m étant la seule variable, déterminer la condition à satisfaire pour que le
courant I soit maximum.
4) En déduire l’expression de p dans les conditions de la question 3 en fonc-
tion de Imax , r et E.
5) Montrer alors que dans ce cas, la puissance dissipée dans R est maximale.
Note: Les exercices sont indṕendants. Les documents ne sont pas au-
torisés. Toute réponse non justifiée est nulle.
Note: Les exercices sont indṕendants. Les documents ne sont pas au-
torisés. Toute réponse non justifiée est nulle.
−−→
1) On sait que = div gradU. On donne en coordonnées sphériques le
vecteur A ~ =− −→
grad U tel que Ar = ∂U , Aθ= 1 ∂U , Aϕ = 1 ∂U . L’expression de
∂r r ∂θ rsinθ ∂ϕ
la divergence en coordonnées sphériques est :
div A~ = 12 ∂ (r2 Ar ) + 1 ∂ (sinθ.Aθ ) + 1 ∂Aϕ . Donner l’expression du
r ∂r rsinθ ∂θ rsinθ ∂ϕ
laplacien de U en oordonnées sphŕ=eriques.
Soit le potentiel scalaire U (r, θ) = − Ar + rB3 (3cos2 θ−1) en coordonées shpériques
(indépendant de ϕ), où A et B sont des constantes.
a) Montrer que le laplacien de U est nul.
b) Calculer le champ de vecteurs E ~ qui dérive de ce potentiel.
3) Soient f (x, y, z) et ~a(x, y, z), une fonction scalaire de point et une fonc-
−−→
tion vectorielle de point, respectivement. Montrer que: div f~a = ~a.gradf +
f div ~a.
Soit ~r = x~i + y~j + z~k le rayon vecteur. Calculer la divergence du vecteur
unitaire ~u = ||~~rr|| . Faire le même calcul en utilisant la relation précédente.
130
Questions de cours:
1-Donner l’intérêt des trois systèmes de coordonnées (système de coordonnées
cartésiennes, cylindriques, sphériques).
2-Quelles différences faites-vous entre produit scalaire et un produit vectoriel?
Exercice 1:
Le potentiel dans le vide d’une distribution de charges en un point M situé
à une distance r du centre O d’un repère cylindrique est donné par:
−r/a
V = qe4πε0 avec q > 0 et a > 0.
~ au point M.
1. Calculer le champ électrique E
2. Calculer:
~ limt→+∞ V et limt→+∞ E.
limt→0 V ; limt→0 E; ~
~
3. Représenter V et E en fonction de r.
Exercice 2:
A l’instant initial, une particule électrisé (charge q > 0) de masse négligeable,
entre au point O avec une vitesse initiale ~v0 dirigée suivant l’axe des x dans
un champ électrique uniforme E ~ (voir figure 1). On rappelle qu’à chaque
instant t > t0 = 0, les composantes du vecteur accélération ~γ de la particule
et du champ électrique E ~ pour 0 < x < 1 sont données par:
2
d x
0 dt2
~ d2 y
E E et ~γ dt2
0 d2 z
dt2
1. Ecrire l’équation de la relation fondamentale de la dynamique appliquée
à la particule.
2.Montrer que le mouvement de la particule est un mouvement plan(en par-
ticulier le plan xOy).
3.Déterminer les équations différentes décrivant le mouvement de la particule
sur les axes x et y.
4.Déterminer l’équation de la trajectoire ; de quel type de trajectoire s’agit-
il?
5.Quelle est la condition à satisfaire pour que la particule qui entre en A
puisse sortir heurter par les deux plaques?
6.Déterminer les composantes du vecteur V à la sortie de la zone ou règne
le champ électrique E ~ et déterminer la nature du mouvement a traversée de
cette zone.
131
Exercie 1:
Deux condensateurs de capacité C1 et C2 sont couplés en parallèles. On
dispose en série avec l’ensemble précédent un troisième condensateur de ca-
pacité C3 et égale à C1 . On applique à l’ensemble une tension de E = 500V.
1. Faire le schéma de ce circuit électrique.
2. Donner l’expression de C2 en fonction de C1 sachant que la capacité
équivalente à l’ensemble est égale à C2 .
3. Faire l’application numérique pour C1 = 5µF
4. Calculer les charges Q1 , Q2 ET Q3 prises respectivement par C1 , C2 et C3 .
Note: Les exercices sont indṕendants. Les documents ne sont pas au-
torisés. Toute réponse non justifiée est nulle.
Note: Les exercices sont indṕendants. Les documents ne sont pas au-
torisés. Toute réponse non justifiée est nulle.
Exercice 2:
Dans le montage de la figure, la lampe L s’allume lorsque la tension U aux
bornes de la capacité atteind la valeur 140V et s’éteint lorsque cette tension
chute à 80V.
1. Etudier et tracer la courbe de la tension auc bornes de la capacité.
2. Calculer la période de relaxation: C’est le temps qui sépare deux allumages
successifs de la lampe L.
NB: La résistance de la lampe est négligeable.
134
Exercice 3:
Deux condensateurs C1 = 2µF et C2 = 3µF présentent respectivement entre
leurs armatures les tensions 100V et 50V.
1. Quelle est l’énergie électrostatique W du système constitué par ces deux
condensateurs?
2. On couple ces condensateurs en parallèle; les armatures reliées entre elles
portant initialement des charges de même signe.
a) Calculer la tension à leurs bornes;
b) Calculer la nouvelle énergie W’ de l’ensemble;
c) Comparer W’ et W.
Exercice 1:
Questions de cours
1.Que vaut le rotationnel d’un champ de vecteur qui dérive d’une fonction
scalaire?
2.Enoncer le théorème de Gauss.
3.Donner le rôle du théorème de Gauss.
4.Enoncer le théorème d’Ampère.
5.Enoncer la règle du flux maximal de Maxwell.
Exercice 2:
Deux condensateurs C1 = 2µF et C2 = 3µF présentent respectivement entre
leurs armatures les tensions 100V et 50V.
1. Quelle est l’énergie électrostatique W du système constitué par ces deux
condensateurs?
2. On couple ces condensateurs en parallèle; les armatures reliées entre elles
portant initialement des charges de même signe.
a) Calculer la tension à leurs bornes;
b) Calculer la nouvelle énergie W’ de l’ensemble;
c) Comparer W’ et W.
Exercice 3:
Une sphère conductrice S de rayon R esr reliée à un générateur qui maintient
son potentiel à une valeur V constante. Au voisinage de S se trouve une
autre sphère conductrice S’, isolée, de rayon R’ et portant la charge Q’. Les
centres des deux sphères, situés dans un même plan horizontal, sont distants
de l.
1. Faire le schéma correspondant à la description précédente.
2. a) Calculer:
• la charge Q de S,
• le potentiel V’ de S’,
en fonction de V,Q’,R,R’ et l. On supposera R et R’ petits devant l.
b) Application numérique:
R = 5cm; R0 = 20cm; l = 1m; V = 9kV et Q0 = 5µF.
3. a) Calculer littéralement et numériquement la force F qui s’exerce entre
136
Exercice 1:
Une bobine longue possède n spires par unité de longueur et de section S
régulièrement reparties sur sa longueur l. Un courant I parcourt ce cette
bobine. On suppose que cette bobine est infinie (solénoïde).
1.1)Déterminerl0 expressiondel0 inductionmagnétiquecréeaucentredusolénoïdeenf onctionde
1.2) Déterminer l’expression du flux propre φ0 en foncyion de µ0 , n, I, S et I.
1.3) En déduire l’expression de l’inductance propre L du solénoïdeenf onctiondeµ0 , n I et S.
Exercice 2:
On se propose d’étudier le schéma de la figure 2.
À l’instant t = 0, le courant i estt nul, qc = 0 et uc = 0.
2.3) On ferme l’intérrupteur KL et l0 intérrupteurKC reste ouvert.
2.3.1) Dans ce cas, déterminer l’équation différentielle qui régit le fonction-
nement du circuit. On prendra le courant débité par le générateur E comme
variable temporelle de cette équation.
2.3.2) Résoudre l’équation homogène. On notera iL1 , la solution de cette
équation homogène.
2.3.4) Trouver une solution particulière de l’équation différentielle avec sec-
ond membre. On notera iL2 , cette solution particulière.
2.3.4 En déduire la solution générale de l’équation complète.
2.4) On ouvre l’intérrupteur KL et on f erme l0 intérrupteur KC .
2.4.1) Dans ce cas, déterminer l’équation différentielle qui régit le fonction-
nement du circuit. On prendra la charge q du condensateur comme variable
temporelle de cette équation.
2.4.2) Résoudre l’équation homogène. On notera iL1 , la solution de cette
équation homogène.
2.4.4) Trouver une solution particulière de l’équation différentielle avec sec-
ond membre. On notera iL2 , cette solution particulière.
2.4.4 En déduire la solution générale de l’équation complète.
Exercice 3:
Une distribution volumique de charge (densité ρ), admet le point O comme
centre de symétrie et crée le potentiel V défini par:
R
V (R) = 4πεq0 R e− a
137
Exercice 1:
Une sphère de rayon R = 50Cm, est isolé et porte la charge Q = 5µC.
1) Calculer le potentiel V de cette sphère.
2) Calculer la valeur que peut prendre V sachant que le champ dans l’air sec
ne peut dépasser 3000kV m−1 .
Exercice 3:
A l’instant initial (t0 = 0), une particule de masse m négligeable et de charge
q > o, entre dans un champ électrique E ~ uniforme avec une vitesse ~v0 per-
pendiculaire à E~ (voir figure 1).
d2 x
v0 dt2 0
~v dtdy →
− d2 y
; γ dt2 ~
et E E .
2z
0 d 0
dt2
1. Déterminer les équatios diff erentielles
décrivant le mouvement de la particule
suivant les axes x,y et z.
On exploitera la RFD appliquée à la
particule: F~ = q E ~ = m→−γ.
2. Montrer que le mouvement de la particule
est un mouvement plan. Préciser ce plan.
3. Déterminer l’équation de la trajectoire.
Comment appelle-t-on cette équation?
Le champ E ~ agit sur une distance << l >>
et la distance qui sépare les deux plaques
est << e >> . 4. Déterminer la condition à vérifier pour
que la particule émerge en B.
~
5. Quelle est la vitesse de la particule à la sortie du champ E.
138
Questions de cours:
1. Définir Cyclotron.
2. Donner un exemple d’application du principe du Cyclotron.
3. Enoncer la loi de Laplace.
4. Qu’appelle-t-on isotopes.?
5. Comment procède-t-on pour déterminer les lignes de champ.
Exercice 1:
Calculer le flux du champ du vecteur V~ (M ) = 2x~ay à travers la surface
limitée par OPQR (carré):
O(0, 0, 0); P (0, 0, 1); Q(1, 0, 1); R(l, 0, 0).
Exercice 2:
A l’instant initial, une particule électrisée (charge q > 0) de masse négligeable,
entre au point O avec une vitesse initiale ~v0 dirigée suivant l’axe des x dans
une induction magnétique uniforme B ~ (voir figure 1). On rappelle qu’à
chaque instant t > t0 = 0, les composantes de la vitesse ~v de la partic-
ule et de l’induction magnétique uniforme B ~ sont données par:
dx
0 dt
~
B 0 et ~v dy .
dt
−B 0
On utilisera la RFD appliquée à la particule: mγ = F~ = q~v ∧ B ~ où γ est le
vecteur accélération.
1. Montrer que le mouvement de la particule est un mouvement plan.
Préciser ce plan.
2. Déterminer les équations différentielles décrivant le mouvement de la par-
ticule suivant les axes x et y.
.
3. Montrer que le mouvement suivant l’axe des x est sinuso . . idaledelaf orme :
x=Asin(ωt + ϕ).
Et déterminer les expressions de ω, ϕ et A.
4. Montrer que le mouvement suivant l’axe des y est de la forme:
y = C.cosωt + k
Et déterminer les expressions de C et k.
5. Montrer que la trajectoire du mouvement de la particulr est un cercle de
rayon R = vω0 et de centre ζ = (0, vω0 ).
6. Donner deux applications de l’induction magnétique.
139
Exercice 1:
1.a)∗ Calcul de la surface du cercle de rayon << a >> et de centre O situé
dans le plan xOy.
On a ds = dr.dθ Rcar l = r.dθ;
soit S = 0 r.dr. 02π dθ
Ra
(
1 2 a 2π 0<r<a
= [ 2 r ]0 [θ]0 avec ;
0 < θ < 2π
= 21 a2 2π = πa2
d0 où S = πa2 .
∗ Calulons aussi sa circonférence.
On dp = adθ ⇒ dp = 02π adθ = a 02π dθ = a[θ]2π
R R
0 = 2πa
Donc P = 2πa.
b) ∗ Calcul de la surface latérale d’un cylindre circulaire droit de rayon
<< a >> et d’axe Oz. la hauteur(du cylindre est H.
0<z<H
∗ En ef f et, dS = dz.a.dθ avec ;
0 < θ < 2π
soit S = 0H dz.a. 02π dθ = a[θ]2π H
R R
0 [z]0 = 2πaH
Donc S = 2πaH.
∗ Calcul du volume du même cylindre.
0<r<a
En efffet, dV = dr.dz.r.dθ avec 0 < θ < 2π ;
R R R R
0<z<H
Soit dV = dr. r.dθ.R dz; R
ce qui donne: V = r 0a r.dr 02π dθ 0H dz = r[ 12 r2 ]a0 [θ]2π H 1 2
R
0 [z]0 = 2 a 2π.H =
2
πa .H
Donc V = πa2 .H.
2)Coordonnées sphériques.
a) Calcul de la surface d’un cercle de rayon << a >> de centre O situé dans
le plan perpendiculaire à xOy. (
0<R<a
En effet, dS = dR.Rd avec ;
0 < φ < 2π
Soit S = 0a R.dR. 02π dφ = [ 12 R2 ]a0 [φ]2π 2
R R
0 = πa .
2
Donc S = πa .
b) Calcul de la surface et le volume d’une sphère de centre O et de rayon
<< a >> .
• Calcul de la surface (
0<φ<π
En effet, dS = a.dφ.a.sinφ.dθ avec ;
0 < θ < 2π
140
= a2 .sinφ.dφ.dθ;
S = a2 02π sinφ. 02π.dθ = a2 [−cosφ]π0 [θ]2π 2
R R
0 = a 4π;
1
Donc S = 4πa .
• Calcul du volume
On a dV = R2 .dR. sin φ.dφ.dθ R
Soit V = 0 R .dR. 0π sinφ.dφ. 02π dθ = [ 13 R3 ]a0 [−cosφ]π0 [θ]2π=
Ra 2
= 43 πa3 ;
R
0
Donc V = 34 πa3 .
Exercice 2:
variation de p avec l’altitude est dp = −ρ.g.dz (g constant).
a) Expression de p en fonction P0 , ρ0R, g et z.
On a d − ρ.g.dz ⇒ dP = − ρ.g.dz ⇒ dP = − ρ.g dz ⇒ ln(P ) = − ρ.g
R
P P P p P
z +
ρ0 .g
− z
ln(c) ⇒ ln(P ) = − ρP00.g z + ln(c) ⇒ P = C.e P0
or pour z = z0 =ρ 0, P = P0 ; soit C = P0 .
− 0 gz
Donc P = P0 e P0 .
−−→
b) Calcul de grad(P ) en coordonnées cartésiennes.
−−→ →
− ρ
− P0 gz
On sait que grad(P ) = ∇.P = ∂P ∂x
~
e x + ∂P
∂y
~
e y + ∂P
∂z
~
e z + = (−ρ 0 .g.e 0 )~ez ;
−−→ ρ0
− P gz
D’où grad(P ) = (−ρ0 .g.e 0 )~ez
Exercice 3:
−−→
Repère: (O, ~ax , ~ay , ~az ), Vecteur Champ: ~ay ∧ OM .
1-Indication de:
∗ La direction de V~ (M );
~ et ~az .
V(M) est dirigé suivant la droite perpendiculaire à la fois M
∗ Sens de V~ (M );
Il est tel que le trièdre (O, ~ax , ~ay , ~az ) soit direct.
∗ Norme de V~ (M );
−→ −−→ √
On a: Oz ∧ OM = −y~i + x~j ⇒ ||V~ (M )|| = x2 + y 2
√
Donc V (M ) = ||V~ (M )|| = x2 + y 2 .
Dessin des lignes de champ correspondantes.
Rappel:
Ligne de champ: C’est tout vecteur perpendiculaire au vecteur champ.
V~ (M )x = −y
~
On a V (M ) V~ (M )y = x ;
V~ (M )z = 0
3-Preuve que la circulation élémentaire δC de V~ (M ) n’est pas une différentielle
141
totale.
−→
En effet, ceci est vrai si et seulement si rotV~ (M ) 6= ~0.
−→ ~
rotV (M ) = ∇ ∧ V~ (M ) = 2~az ; d’où le résultat.
4-Soit A(R, 0, 0) et B(0, R, 0). Calcul des circulations:
−→ −−→
a).C1 : Ligne brisée AO et OB.
On a: δC1 = V~ (M ).dM ~ ⇒ R−→ −−→ δC1 = R−→ V~ (M ).dM ~ +R−−→ V~ (M ).dM
~ :
AO et OB AO OB
or V~ (M ).dM~ = −y.dx + x.dy,
= A0 (−y.dx + x.dy) + 0B (−y.dx + x.dy)
R R
dés lors, δC
R 1 R
soit C1 = A((−y.dx + x.dy) + 0 (−y.dx ( + x.dy)
y = 0 ⇔ dy = 0 x = 0 ⇔ dx = 0
Sur (OA) : (OB):
z=0 z=0
d’où C1 = 0
b).C2 : Arc de cercle AB. (
R cosθ = Rx ⇒ x = R.cosθ et dx = −R.sinθ.dθ
C2 = AB (−y.dx+x.dy) or
sinθ = Ry ⇒ y = R.sinθ et dy = R.cosθ.dθ
0 < θ < π2 .
−y.dx + x.dy = (R2 sin2 θ + R2 cos2 θ)dθ = R2 .dθ;
Rπ π 2
ce qui implique que : C2 = 02 R2 dθ = R2 [θ]02 = πR2 ;
2
Donc C2 = πR2 .
c). C3R : Segment [AB];
C3 = [AB] (−y.dx + x.dy); on a y = ax + b.
A ∈ (AB) ⇔ a = −1 et B ∈ (AB) ⇔ b = R.
De ce f ait, y = −x + b et dy = −dx.
on a − y.dx +Rx.dy = (x − R)dx − x.dx = −R.dx.
on aura C3 = R0 −R.dx = −R[x]0R = R2 ;
d’où C3 = R2 .
x2 − y 2 = 2C.
Donc x2 − y 2 = C.
D’où la forme des lignes de champ est hyperboliques.
Exercice 1:
Segment [AB]; longueur: 2l; densité linéique de charge: λ.
~
1) ∗ Calcul du champ électrostatique E(M ) en un point situé à une distance
r de la droite.
Supposons λ > 0.
Choisissons un élément de longueur dl sur le segment [AB]. Cet él’ement de
de longueur contient un élément de charge dq tel que dq = λ.dl. Comme dl
est infiniment petit, assimilons le à un point p.
L’élément de charge dq crée au point M est un élément de champ.
−−→
dE = 4π dq
× PM
−−→ 3 (TAF: Retouver la formule final à partir de cette rela-
0
||P M ||
tion.)
dEr = πε0λ.dl
( (
dEr = dE.cosα P M2
cosα
; soit λ.dl
dEz = dE.sinα dEz = πε0 P M 2 sinα
l = OA = OH + HP + P A
HP = r.tanα; dHP = cosr2 α dα = dl
cosα = P rM ⇒ P M = cosα r
~
2)Calcul de E(M ) lorsque le fil est infini.
π
α= 2
−−→
En effet, dE = 4πdq
× PM
−−→ 3
(
0
|| P M ||
dq = λ.dp, P H = r.tanα
On sait que ;
dl = dP H ⇒ dl = cosr2 α
−−→ −−→ −−→
P M = P H + ~r ⇒ P M =q~r(tan(α) + 1)
−−→ √ sin2 α 1 r
||P M || = r tan2 α + 1 = cos 2 α + 1 = r cos2 α = cosα .
−−→ 3
E~ = R α2 dq × P M = R α2 λ × r2 + r(tanα+1)
α1 4πε PM α1 4πε0 cos α r3
cos3 α
λ R α2
E = 4πrε 0 α1
(tanα + 1)cosα.dα
λ R α2
= 4πrε0 α1
(sinα + cosα)dα
λ
= − 4πrε0 [−cosα + sinα]αα21
λ
E = − 4πrε 0
(−cosα2 + sinα2 + cosα1 − sinα1 ).
Exercice 2:
1) En effet, dE ~ M = dE ~ M 1 + dE ~M 2
= −dE ~ M 1r~ar + dE ~ M 2z~az + dE ~ M 2r~ar + dE
~ M 2z~az
= 2dE~ M 1z~az (1);
or dEM 1r = dEM 2r
dEM 1z = dEM − cosα
dq 1
= K AM 2 cosα K = 4πε 0
λ.dl
= K AM .cosα (2)
2
z
√
cosα = AM ; AM = R2 + z 2 ;
dl = R.dθ et 0 ≤ θ ≤ π.
dEM 1z = K.λ.R.dθ
(R2 +z 2 )
× (R2 +zz 2 )1/2
dEM 1z = (RK.λ.R.z
2 +z 2 )3/2 dθ
K.λ.R.z R π
EM 1z = (R2 +z2 )3/2 0 dθ
π.K.λ.R.z
EM 1z = (R 2 +z 2 )3/2 (3)
(3) dans (1) : E ~ M = ± 2π.K.λ.R.z
2 2 3/2 ~
az .
(R +z )
Donc E ~ M = ± 2π.K.λ.R.z ~a .
(R2 +z 2 )3/2 z
ou
Pour un point M de côte z positif, on a E ~M = 2π.K.λ.R.z
~a . et pour un point
(R2 +z 2 )3/2 z
z de côte négatif, on a: E ~ M = − 2π.K.λ.R.z
2 2 3/2 ~
az .
(R +z )
2)
On a:
~ M = 2dEM 1z~az
dE
144
= 2dEM 1 cos(α)~az
2k.dq
AM 2
cos(α)~az (1)
or dq = σ.dS, cos(α) = (R2 +zz 2 )1/2
AM 2 = R2 + z 2 , dS = R.dR.dθ
dE~ M = 2.k.σ.dS cos(α)~az
AM 2
dE~ M = 2 2 3/2 ~az
2zkσR.dE.dθ
(R +z )
EM = 2zkσ 0R (R2 +zr 2 )3/2 dR
R
1
= 2πzkσ[ 21 × 1 (R2 +z R
2 )3/2 ]0
2
EM = 2πzkσ[− (R2 +z1 2 )1/2 + 12 ];
~ M = ±2πzkσ[− 2 1 2 1/2 + 1 ]~a − z.
soit E (R +z ) 2
b)Etendre le résultat à un plan.
P our un plan, R −→ ∞
soit √R21+z2 −→ 0;
De ce f ait E~ M = ±2πzkσ~az .
Exercice 3:
Calcul du potentiel au centre de la sphère.
En effet, dV = k.dq R
= K.ρ.dz
R
;
2
dρ = R sin(ρ).dρ.dR;
0≤ρ≤π
0 ≤ θ ≤ 2π
0 ≤ R ≤ a,
2
dV = kρR sin(ρ)dρ.dθ.dR
R
= K.P R.dR.sin(ρ).dρ.dθ
d0 où V = K.ρ. 0a R.dR × 0π sin(ρ)dρ × 02π dθ
R R R
Exercice 5:
~
Calcul du champ électrostatique E(M ) au point M (3, 3, 3) avec λ = 20µC/m.
~
On a bien λ > 0 et on sait que E = 2πελ0 r ~ar .
~
En effet, E(M ~
) = E(M ~
)d1 + E(M )d2 = 2E(M )d1 .cosα.~az ; √
√ √
λ
or E(M )d1 = 2πε0 r , r = 3 + 3 = 3 2 et cosα = 3√3 2 = 22 ,
2 2
√
λ √ 2 λ
de ce fait, E(M )d1 = 2πε0 .3 2
× 2
= 12πε0
;
λ
Donc E(M ) = 6πε 0
.
145
Exercice 6:
A(−2; −2; 0), B(2; −2; 0), C(2, 2, 0), D(−2; 2; 0). x = 4, y = 4.
barre longueur 2l. E(M ~ ) = 2πελ0 r sinθ.~ar
Plan chargé: E(M~ ) = 2εσ0 ~ar .
~
E(M ~
) = E(M ~
)AB + E(M )BC + E(M ~ )CD + E(M~ ~
)DA + E(M ~
)py + E(M )px
~
= 4E(M )AB .cosα.az − E(M~ ~
)py .ay − E(M )px .~ax
2λ σ σ
= πε0 r cos.sinθ.~az − 2ε0 ~ay − 2ε0 ~ax ;
soit E(M ) = πε2λ0 r cosα.sinθ − εσ0 = ε10 ( πr 2λ
cosα.sinθ − σ).
√ √
or r = 42 + 22 = 2 5; √
ID 2
sinθ = DM = DM = √r22+22 = 66 ;
√
cosα OM
r
= 255; √ √
1
ce qui implique E(M ) = ( 2λ√
ε0 π(2 5)
× 2 30
30
− σ) = 1 λ 6
(
ε0 15π
− σ)
√
1 λ 6
Donc E(M ) = (
ε0 15π
− σ).
Exercice 8:
Calcul du champ et du potentiel électrostatiques en tout point de l’espace.
La surface du cylindre est à un potentiel V0 .
Soit M un point extérieur au cylindre .
Supposons ρ > 0.
Choisissons une surface de Gauss cylindrique de hauteur H et passant par le
point M où on veutP calculer le champ.
RR −→
~ dS = Qint ;
On a E. ε0
−→
or dS = dSL~nL + dSinf ~ninf + dSsup~nsup ,
~ −
E.
→ ~
dS = E.dS L~
~ sup .~nsup + EdS
nL + EdS ~ inf .~ninf
or E~ = E~ar
~ r−
soit E
→
dS = E.dSL .~ar .~ ~ sup~ar ~nsup
n + EdSinf ~ar ~ninf + EdS
L
~ ar = ~nL ⇔ cos(~ar , ~nL ) = 1
−
→
~
Er .dS = E.dSL car ~ar ⊥ ~nsup ⇔ cos(~ar , ~nsup = 0) ;
~ar ⊥ ~n
Pinf
⇔ cos(~ar , ~ninf = 0)
RR −−
→
~ dSL = Qint Or M est à l0 extérieur du cylindre;
On aura dès lors E. ε0
2h ρR2
E × 2πrh = ρπR ε0
⇔ E= 2ε0 r
~ = ρR2 ~ar .
Donc E 2ε0 r
Cas où M est à l’intérieur du cylindre.
ρπr2 h ρr
E × 2πrh
| {z } = ε0 ⇒ E = 2ε 0
;
S2
~2 =
D’où E ρr
~a .
2ε0 r
146
2)Calcul de potentiel
∗ Cas où M est à l’extérieur du cylindre.
~ = −−
E
−→
gradV ⇔ V = − 2ε
R ρR2
dr;
0r
2
d0 où V1 = − ρR
2ε0
ln(r) + k k = cste.
∗ Cas où M à l’intérieur du cylindre.
R ρr −ρr2
V = − 2ε0 dr = − 4ε0 + k 0
2
d0 où V2 = − −ρr
4ε0
+ k0.
Détermination de K et k 0 .
Le théorème de continuité nous permet d’ecrire:
2 ρR2
• V1 (r = R) = V0 ⇒ − −ρR 2ε0
ln(R) 6= k = V0 ⇒ k = V0 + 2ε0
ln(R)
ρR2
k = V0 + 2ε0
ln(R).
2 ρR2 ρR2
Ainsi V1 = − ρR2ε0
ln(r) + 2ε0
ln(R) + V0 ⇔ V1 = 2ε
ln( Rr ) + V0 .
2 2
• V2 (r = R) = V0 ⇒ − ρR
4ε0
+ k 0 = V0 ⇒ k0 = V0 + ρR
4ε0
ρR2
k 0 = V0 + 4ε0
.
2 2
Ainsi V2 = V0 + ρR 4ε0
− ρr
4ε0
= V0 + ρ
4ε0
(R2 − r2 )
ρ 2 2
d’où V2 = 4ε0 (R − r ) + V0 .
Exercice 1:
U = D[1 − e−a(r−r0 ) ]2 .
a). ∗ Valeur de U si r = 0. Si r = 0, on a U = D[1 − ear0 ]2
∗ Valeur minimale de U.
U 0 = 2D[1 − e−a(r−r0 ) ][−ear × (−a)e−ar ]
= 2D[1 − e−a(r−r0 ) ][ae−a(r−r0 ) ] = 2a.D[1 − e−a(r−r0 ) ](e−a(r−r0 ) )
U 0 = 0 ⇒ e−a(r−r0 ) = 1 ou e−a(r−r0 ) = 0 (impossible) car ex > 0
e−a(r−r0 ) = 1 ⇔ −a(r − r0 ) = 0 ⇔ r = r0 .
Ainsi Umin = 0.
∗ Valeur de U à l’infini.
U \r→ = D car limr→∞ e−r = 0.
∗ Allure de U. limr→0 = D[1 − ear0 ]2 > 0.
147
→
−
b)∗ C = F~ . dl = T ravail f ournie par la f orce F~ .
R
→
−
U = F~ .dr ⇒ U = F.dr
R R
Exercice 2:
D = 3 × 10−3 , q1 = 166, 6 × 10−9 C, q2 < 0.
a) Calculons cette charge. d = 0, 5m, ρAl = 2, 8g/cm3 et g = 9, 81N/Kg
F~ + P~ = ~0 ⇔ F = P ⇔ |q4πε 1 |.|q2 |
0d
2 = m.g
3
or m = ρAl V = ρAl 31 πr3 = 43 hπ( D2 )3 = ρAl6πD
|q1 ||q2 | ρAl πD3 g
⇔ 4πε 0d
2 = 6
AN :
2 D 3 ρ d2 g 2π 2 ε0 D3 ρAl d2 g
|q2 | = 2π ε03|q 1 |
Al
soit q 2 = − 3q1
.
|q1 ||q2 |
b) On applique la f ormule F = 4πε 0d
2.
c) Cette force est attractive car les deux sphères sont de nature différentes.
Exercice 1:
e = 1, 6 × 10−19 C, mep = 0, 959 × 108 C/Kg G = 6, 67−11 U.S.I
∗ Calculons m0p pour que la f orce f orce électrostatique et la f orce gravitationnelle soient équilibrées
G.mp .mp0
F~p0 /p + F~p0 /p = ~0 ⇒ Fp0 /p = FP 0 /p ⇔ K|e|e|
d2
= d2
⇔ Ke2 G.mp .mp0 ⇔ m0P = K . e .e
G mp
9 8 −19
AN : m0p = 9×10 ×0,959×10 ×1,6×10
6,67×10−11
= 2, 0704 × 109
D0 où m0p = 2, 0704 × 109 Kg.
m0p m0p 9
mp
= e
× mep = 2,0704×10
1,6×10−19
× 0, 959 × 108 = 3, 18 × 1036
m0
soit mpp = 3, 18 × 1036 ⇒ m0p = (3, 18 × 1036 )mp .
Donc m0P est 3, 18 × 1036 f ois plus grand que mp .
Exercice 2:
(Voir correction TD N ◦ : Exercice 1).
Exercice 3:
1). Schéma.
149
Exercice 1:
1)Schéma.
Exercice 1:
−r/a
On donne V = qe4πε0 q > 0 et a > 0.
1) Calcul du champ électrique au point M.
On sait que E~ = −− −→
gradV
q
Ainsi E = − dVdr
= 4πε 0
(− a1 e−r/a )
d’où E = − 4πεq 0 a e−r/a .
2)Calcu de:
q q
∗ limr→0 V = limr→0 4πε 0
e−r/a = 4πε 0
;
q
∗ limr→+∞ V = limr→+∞ 4πε0 e−r/a = 0;
∗ limr→0 E = − limr→0 4πεq 0 a e−r/a = − 4πεq 0 a ;
∗ limr→+∞ E = 0.
3)Représentation de V et E en fonction de r.
151
Exercice 2:
1)Ecriture de la relation fondamentale de la dynamique appliquée à la par-
ticule.
D’après la RFD: F~ext = m.~a.
P
ẋ 0
~ ~ q ~
soit F = m.~a ou encore m.~a = q.E; donc ~a = m E or ~a ẏ ~
et E E ;
ż 0
ẍ = 0
d’où ÿ = mq E .
z̈ = 0
2)Preuve que le mouvement de la particule est un mouvement plan.
De la relation précédente, par double intégration on aura:
x = V0 t
y = 12 qE
m
t2 .
z=0
3)Equations différentielles décrivant le mouvement de la particule sur les axes
x et y.
Différentes équations de l’avat dernier système de la question 2.
4)Equation de la trajectoire.
De la relation de la question (2), en tirant t dans l’expression de x et rem-
placant dans celle de y, on obtient:
qE 2
y = 2mV 2 x qui est l’équation d’une parabole; d’où la trajectoire est parabolique.
0
e e 1 qE 2
5) La condition est que 2
> yb ⇒ 2
> 2 mV02
l
qEl2
d0 où e > mV02
qEl2
6)A la sortie du champ, on a x = l, y = 2mV02
;
l qEl
ainsi t = V0
⇔ ẋ = V0 , ẏ = mV0
, ż = 0.
V0
D’où V~ qEl
mV0 ; Toutes les composantes de la vitesse étant constante, le
0
~ est UNIFORME.
mouvement à la sortie du champ E
Exercice 1:
Le soin est laissé aux étudiants de chercher cet exercice.(Mais il sera corrigé
lors des cours).
Exercice 2:
~ ~ 1 ; b2 ; b 3 )
A(a1 ; a2 ; a3 ) B(b
152
Exercice 3:
(Voir correction TD N ◦ 1 PHYSIQUE).
Exercice 1:
n spires par unité de longueur; section S; courant I rt longueur L.
~ = µ0 nI~ax .
B
En norme, B = µ0 .n.I avec µ0 = 4π × 10−7 est la perméabilité magnétique
du vide.
1.2) Détermination de l’expression du flux propre φ0 en foncyion de µ0 , n, I, S et I.
Le flux propre est donné par la formule:
φ0 = N BS; or B = µ0 nI.
On a: φ0 = N Sµ0 nI or NL = n ⇒ N = n.L
Il vient que: φ0 = n2 SLµ0 I.
1.3) Déduction de l’expression de l’inductance propre L du solénoïdeenf onctiondeµ0 , n I et S.
En effet, φ0 = LI = n2 SLµ0 I; d’où L = n2 µ0 SL.
Exercice 2:
On se propose d’étudier le schéma de la figure 2.
À l’instant t = 0, le courant i estt nul, qc = 0 et uc = 0.
2.3) On ferme l’intérrupteur KL et l0 intérrupteurKC reste ouvert.
2.3.1) Equation différentielle
Suivant la maille M, on a:
di di
E − Ri − L dt = 0 soit Ri + L dt = E;
di R E
D’où on a: dt + L i = L . Equation diff erentielle cherchée.
2.3.2) Résolution de l’équation homogène. On notera iL1
En effet, didtL1 + R i = 0;
L L1
soit dt = − L iL1 ; ou encore diiL1
diL1 R L1
= −R
L
dt;
R diL1 R R
c’est à dire iL1 = − L dt;
donc ln(|iL1 |) = − R L
t + C c = constante.
−f racRLt
Ainsi iL1 = Ke avec k ∈ R.
2.3.4) Trouvons une solution particulière de l’équation différentielle avec sec-
ond membre. On notera iL2 .
On a didtL1 + R i = EL ; posons iL2 (t) = A ⇒ diL2
L L1 dt
(t)
= 0;
R E E
On a alors L A = L etA = R .
Alors iL2 = E R
2.3.4 Déduction la solution générale de l’équation complète.
i(t) = iL1 (t) + iL2 (t)
R
On a alors i(t) = E R
+ = Ke− L t or à t = 0, i = 0
donc K + E R
= 0 ⇒ K = −E R
.
E −R t
D’où i(t) = R (1 − e L ).
2.4) On ouvre l’intérrupteur KL et on f erme l0 intérrupteur KC .
2.4.1) Equation différentielle. On prendra la charge q du condensateur comme
variable temporelle de cette équation.
Par la maille N, on a: E − UR − UC = 0;
soit E = Ri + qc or i = dq(t) dt
;
154
ou encore E = R dq(t) dt
+ qc .
Ainsi, on a: dqdt
+ RC1
q=E R
.
2.4.2) Résolution de l’équation homogène. On notera q1 , la solution de cette
équation homogène.
1 1
En effet q̇ + RC q = 0 soit q̇ = − RC q;
dq 1 dq 1 R 1
soit q = − RC dt; soit = − RC dt; ou bien ln|q| = − RC
R
q
t+C C =
constante;
1
q1 = Ke− RC t K ∈ R.
2.4.4) Trouvons une solution particulière de l’équation différentielle avec sec-
ond membre. On notera q2 , cette solution particulière.
1
On a: . . . q + RC q=E R
; posons q = A ⇒ . . . q = 0.
A E
On alors RC = R DON C A = C.E
D0 oùq2 = C.E
2.4.4 En déduire la solution générale de l’équation complète.
q(t) = q1 (t) + q2 (t)
par un raisonnement analoue au précédent (condition initiale prit en compte)
on trouve:
R
q(t) = EC(1 − e− L t ).
Exercice 3:
Une distribution volumique de charge (densité ρ), admet le point O comme
centre de symétrie et crée le potentiel V défini par:
R
V (R) = 4πεq0 R e− a
Avec R=distance au point O, a=constante positive et q=charge positive.
3.1) Système de coordonnées approprié à l’utiliser pour la résolution de ce
problème.
C’est le système de coordonnées sphériques qui est le plus appropié à utiliser
pour la résolution de ce problème car la distribution de charge est Volumique.
3.2) Détermination de l’expression analytique du champ en un point M situé
à une distance R de O en fonction de q, ε0 R et a.
~ −−→
E(R) = −gradV (R);
~ ∂ q −R t q ∂ 1 −R
E(R) = − ∂R ( 4πε0
e a )~eR = − 4πε0
[ ∂R
( R e a )]~eR ;
R R R
=− 4πq 0 [− R12 e− a − Ra e ]~eR = − 4πq 0 [− Ra2 a − RR2 a ]e− a ~eR ;
1 −a
~ q a+R − R
d’où E(R) = 4πε (
0 R a
2 )e
a .~
eR .
3.3) Preuve que l’expression du flux à travers la sphère (O,R) est:
R
φ(R) = εq0 (1 + Ra )e− a .
Indication: On prendra l’élément de surface:
~ = R2 sinϕdϕdθ~eR . et E(R)
dS ~ = E(R)~eR ;
En effet, φ(R) =
RR
~
E(R).d ~
S;
(S)
155
~ = R2 sinϕdϕdθ~eR ,
or dS
donc φ(R) = (S) E(R).dS, or φ ∈ [0, π] et θ ∈ [0, 2π];
RR
q R R 2 a+R q R π R 2π − R a+R
φ(R) = 4πε0 (S) R ( R 2 a )(sinϕdϕdθ) = 4πε
0 0 0 e
a (
a
)sinϕdϕdθ;
R R
q
( a+R )e− a 0π sinϕdϕ. 02π
R
= 4πε0 a
dθ;
q R −R
= 4πε 0
(1 + a
)e a (−2)(2π);
R
d’où φ(R) = εq0 (1 + Rq )e− a .
Exercice 1:
1- Potentiel VM de la sphère.
on a: VM = KQ R
AN : VM = 90000V
2-Valeur que peut prendre VM sachant que le champ dans l’air sec est inférieur
ou égale 3000V.m−1
on a: E = KQ R2
= VRM par suite, VM = E.R or E ≤ 3000V.m−1 c’est à dire
E.R ≤ 1500V finalement, VM = VM min = 1500V
EXERCIE2
Determinons les équations différencielles du mouvement
on a: F~ = q E ~ → qE = ma donc a = qE
m
ax 0
on a: ~a = mq .E~ ↔ q
ay = m .E
az 0
2-Montrons que le mouvement de la particule est plan.
Puisque le vecteur position a une seule coordonnée nulle alors,le mouvement
de la particule est plan et comme z(t)=0
alors ce plan est (xoy
3-Determinons l’équation de la trajectoire
x
x(t) = V0 t
= V0
t
ona:
y = 12 qE
m
t2 soit y = 12 qE
( x )2
m V0
z(t) = 0
3x − 5y + 2z = 8
qE 2
d’où l’équation de la trajectoire est y = 2mV 2 .x
0
156
tielle entre les amartures. tanα = m(Vq0 )2 . Uel d’où la particule emerge en B si
q.U.l
et seulement si tanα = m.e.(V 0)
2
qE
m
.t et Vx q
= V0 ;
qEl 2
d’ou V = V02 + ( mV 0
)
6-Mouvement de la particule la sortie du champ
Au dela du point B de la sortie, la particule chargee n’est plus soumise au-
cune force puisque le champ E ~ est nul. Elle se
se comporte donc comme une particule isolee et son mouvement devient
RECTILIGNE UNIFORME.
EXERCICE3
1-DEFINITION
CYCLOTRON: acceleration de particule dans lequel les particules chargées
sont generées par une source au centre et son accelerées
par un champ électrique alternatif.
3-LOI DE LAPLACE
un conducteur de longueur l parcouru par un courant I et plonge dans un
endroit ou regne un champ magnetique B est soumise une
force appelée FORCE DE LAPLACE.Donne par F~ = I~l ∧ B. ~
4-ISOTOPES: ce sont des élement chimique ayant les mêmes nombre de pro-
tons que l’élement chimique de réference, donc une même place
dans le tableau périodique des éléments mais de nombre de masse different.
Exercice 1:
Calcul le flux du champ du vecteur V~ (M ) = 2x~ay à travers la surface limitée
par OPQR (carré):
O(0, 0, 0); P (0, 0, 1); Q(1, 0, 1); R(l, 0, 0).
157
RR
φ= V dS, or dS = Rdx.dz
= 2x.dx dz 0 avec x et z ∈ [0, l];
R
φ R= 2xdxdz
2 xdx dz = 2[ 12 x2 ]l0 × [z]l0 = l3 .
R
Donc φ = l3 .
Exercice 2:
A l’instant initial, une particule électrisée (charge q > 0) de masse négligeable,
entre au point O avec une vitesse initiale ~v0 dirigée suivant l’axe des x dans
une induction magnétique uniforme B ~ (voir figure 1). On rappelle qu’à
chaque instant t > t0 = 0, les composantes de la vitesse ~v de la partic-
ule et de l’induction magnétique uniforme B ~ sont données par:
dx
0 dt
~ 0
B et ~v dy .
dt
−B 0
On utilisera la RFD appliquée à la particule: mγ = F~ = q~v ∧ B ~ où γ est le
vecteur accélération.
1. Preuve que le mouvement de la particule est un mouvement plan. (Indi-
cation)
Il suffit d’écrire les équations du mouvement et remarquer que la particule
ne se se déplace que sur deux axes.
Précisons ce plan.
La prticule se déplace juste sur les axes x et y, le plan sera donc le plan (x, y).
2.)
A base de la RFD(relation fondamentale de la dynamique)
3).
Partir du fait que chaque équation différentielle admet une solution générale
de la forme x = Asin(ωr + ϕ); ω est facilement trouvable avec l’equation
différentielle et ϕ avec les conditions initiales.
4). Le reste à chercher.(Facile après petite réflexion.)
158
Exercice 2:
On considère le réseau représenté par le schéma ci-dessous:
En utilisant le théorème de Thévenin, Calculer le courant dans la résistance
R. On donne:
E1 = 3V, R1 = R2 = R3 = 2Ω. E2 = 1V, R = 5Ω et E3 = 2V.
Exercice 3:
On considère la figure ci-contre.
Calculer, par une méthode de votre choix, le
courant I1 en fonction de E,I,R et R1 .
160
Exercice 1:
Soit le circuit de la figure ci-contre où RL est la résitance
de charge.
1) Déterminer le circuit équivalent Thévenin vu par la
charge entre les points a et b.
2) Calculer la valeur de RL qui permette de transmettre un
maximum de puissance à la charge. Quelle est alors
la valeur de la puissance transmise?
3) Calculer la puissance transmise à la charge si celle-ci
a une valeur double de celle trouvée au (2).
Exercice 2:
On désire étudier le comportement électrique
d’un générateur de type ”pile 9V ”. On réalise,
pour cela, le montage suivant:
On fait varier RC pour avoir plusieurs valeurs de I et on relève chaque fois
la valeur de U
correspondante.
Les résultats sont indiqués dans le tableau ci-contre:
Exercice 3:
161
Un circuit RLC série est alimenté par un générateur de tension sinusoïdaledef.é.mef f icace
V=5V. On donne L=5mH; C=5nF.
1)Exprimerlavaleuref f icaceVc de la tension aux bornes du condensateur
en fonction de R, L, C, V et ω.
2) Pour quelle valeur de ω cette fréquence est-elle maximale si R = 1kΩ et R =
10Ω.
3) Calculer dans les deux cas la valeur du facteur de surtension.
Exercice 2:
Une installation industrielle (U = 5, 5Kv; f = 50Hz) alimente l’association
parallèle suivante:
• 4 fours de puissance 12KW ;
• 6 moteurs inductifs de puissance de puissance mécanique utile 10KW , de
rendement 0, 9 et de facteur de puissance 0, 8(AR);
• 15 moteurs inductifs de puissance mécanique utile 8KW, de rendement 0, 8
et de facteur de puissance 0, 6(AR).
1) Faire un bilan des puissances consommées.
2) Sachant que le facteur de puissance minimale toléré est de 0, 85, calculer
la puissance réactive qui sera soumie à pénalisation.
3) Déterminer la capacit e de la batterie de condensateur `‘a placer pour
ramener le facteur de puissance à 0, 8.
Exercice 1:
1) a-C’est une source idéale de tension car on y a représenté uniquement la
162
tension seuil (U = U0 ).
2) b-C’est une source idéale de courant car on y a représenté uniquement le
courant seuil (I = I0 ).
3) a-Nulle car lorsque U0 =, U tend aussi vers 0.
4) b-Infinie car lorsque I0 = 0, I tend vers l’infini.
5) a-En générateur car la tension et le courant ont même sens.
6) b-En récepteur car le courant sort par sa borne négative.
7) I = 1A car l’intensit’e du courant varie en fonction de la résistance (Loi
d’Ohm).
Exercice 2:
On donne:
E1 = 3V, R1 = R2 = R3 = 2Ω. E2 = 1V, R = 5Ω et E3 = 2V.
Calcul du courant dans la résistance R en utilisant le théorème de thévenin.
a) Déterminons les éléments équivalents de thévenin du circuit.
∗ Déterminons la résistance Rth de thévenin.
1 ×R2
Rth = R R1 +R2
+ R3 .
AN: Rth = 3Ω.
∗ Déterminons la tension Eth de thévenin.
Par la méthode par superposition, on a:
R2 ×E1
i) Eth1 = R 1 ×R2
AN: Eth1 = 1, 5V .
R2 ×E2
ii) Eth2 = R 1 ×R2
AN: Eth1 = 0, 5V .
iii) Eth3 = E3 = 2V.
D’où Eth = Eth1 + Eth2 + Eth3 ;
AN: Eth = 4V.
a) Détermination du courant qui traverse la résistance R.
Le générateur équivalent de thévenin est:
Eth
I = Rth +R
AN: I = 0, 5A.
Exercice 3:
163
Exercice 1:
Déterminons le schéma équivalent de Thévenin vu de a et b.
Pour ce faire, déconnection la charge RL ;
On obtient le schéma suivant :
- Déterminons la résistance équivalente de thévenin.
Le schéma est celui-ci:
Nommons R1 = 40Ω; R2 = 20Ω; R3 = 120Ω.
Rth = (R1 + R2 )//R3 = (R 1 +R2 )×R3
R1 +R2 +R3
.
AN: Rth = 40Ω.
-Déterminons Eth .
En applicant les transformations source de courant-source de tension sur le
schéma ci-dessus,
on obtient le schéma suivant:
En appliquant le théorème de Milmann au Noeud N, on a:
120
R1 +R2
+ 120
R3
Eth = 1
+ R1
.
R1 +R2 3
Eth = 120V.
Le schéma équivalent de thévenin est le suivant: 2)La valeur de RL qui per-
met le transfert maximal de puissance.
RL = Rth = 40Ω (Thórème du transfert maximal de puissance.)
La valeur de cette puissance est:
E2
Pmax = 4Rthth
AN: Pmax = 90W .
3)Calcul de la puissance transmise à la charge si celle-ci a une valeur double
de celle trouvée
2
au 2.
Eth
Pmax = 4(2RL )
AN: Pmax = 45W .
Exercice 2:
1) Placons sur le schéma des appareils qui ont permis de mesurer I et U.
AN: I = 0, 642A.
u = Ri AN; u = 6, 42V .
Exercice 3:
Un circuit RLC série est alimenté par un générateur de tension sinusoïdaledef.é.mef f icace
V=5V. On donne L=5mH; C=5nF.
1)Expressionsdelavaleuref f icaceVc de la tension aux bornes du condensa-
teur en fonction de R, L, C, V et ω.
En appliquant le pont diviseur de q tension, on a:
Zc V 1 1 2
Vc = Zt avec Zc = Cω et ZT = R2 + (LΩ − CΩ );
165
V
Vc = √ CΩ
;
1 2
R2 +(LΩ− CΩ )
Soit Vc = [ √ 2 V 1 2
].
Cω R +(Lω− Cω )
2) et 3) À chercher.
Exercice 1:
1)
a)-
Debrancher la charge R
Calculer l’impédance de thévenin en court-circuitant les sources de tension
V1 et V2
Calcul de la tension de thévenin; à cet effet,
En appliquant la loi de Pouillet, on calcule le cournt dans tout le circuit.
Lorsqu’on a le courant, en appliquant la loi des mailles on obtient la tension
de thévenin.
Au final appliquer la loi de pouillet sur le circuit comportant le générateur
dr Th evenin et l’impédance de thévenin; tous deux branchées sur la charge
R.
b)-
Remplacer la charge par un court-circuit sur lequel on oriente le courant de
Norton; l’impédance de Norton est égale à celle de thévenin.
En appliquant la loi des noeuds, on voit que le courant de Norton est égal à
la somme des deux courants des branches opposées.
2)(Utiliser le théorème Maximal du transfert maximal de puissance.)
Exercice 2:
1)Trivial
2)
166
SIXIEME PARTIE:
ECONOMIE ET ORGANISATION DES ENTREPRISES(EOE)+ ETHIQUES
167
Exercice1:
une entreprise possède en stock des articles dont voici les valeurs:A1=180000;A2=300000;A3=40000;A4
A5=30000;A6=750000;A8=980000;A9=340000;A10=200000;A7=160000.
Travail á faire: Effectuer l’analyse ABC et reprsenter.
Exercice2:
Le salarié va chercher á maximiser son salaire en réduisant au maximum les
contraintes qui pèsent sur lui. le dirigeant va chercher á minimiser la masse
salariale tout en optimisant le travail de ses salariés. L’actionnaire attend
de l’entreprise qu’elle maximise son profit afin de distribuer des dividendes
économiques.
Questions:
1)Le point de vue de ces trois(03)catégories de personnes vous parait il
s’opposer ou au contraire aller dans le même sens?
2)Etes-vous choqué par un de ces points de vue?
3)Selon vous, des points de vue si différents peuvent-ils trouver des terrains
d’entente?
II. Donner:
168
III. Quels sont les grands principes du code éthique dans l’entreprise.
ETHIQUE ET DEVELOPPEMENT
1)Discuter du point de vue de l’éthique et du développement¡¡la notion de be-
soin et des ressources appliqués au métier de génie électrique et électrotechnique?¿¿
2)Discuter du point de vue de l’éthique et développement¡¡Lesgrands inno-
vations du passé et d’aujourd’hui.¿¿
ETHIQUE ET PHILOSOPHIE
1)Commenter la 2ième étymoloqique du terme¡¡éthique ¿¿
2)Définition étymologique de la corruption
3)Qu’est ce qui permet le plus souvent aux hommes d’améliorer leur com-
portement?
III- Présenter les catégories des chefs et des liaisons d’une structure hiérarchico-
fonctionnelle ou structure dite STAFF AND LINE
QUESTIONS:
1)calculer la valeur ajoutée
2)comment la valeur ajoutée se repartit elle?
3)si le dirigeant décide de distribuer 200000F aux actionnaires.Quel sera le
montant maximal d’autofinancement dont il dispora?
DEUXIEME PARTIE:
Les salariés ony eu connaissance des chiffres calculés ci-dessus et ont décidé
170
ETHIQUE ET DEVELOPPEMENT
ETHIQUE ET PHILOSOPHIE
I- Définir:
gamme de produit-juste á temps-flexibilité- qualié de produit-approvisionnement-
stock-coût de passation
QU’EST CE QUE :
a) le marché financier
b)le marché des approvisionnements
CALCULER:
a)le montant des consommations intermédiaires
b)la valeyr ajoutée créée par M.FOTSO
c)pourquoi M.FOTSO doit il créer de la richesse?
d)comment la richesse créée par M.FOTSO se repartit-elle?
II- EXPLIQUER:
a)les 03 principes de la coopérative
b)les 03 niveaux de l’environnement de l’entreprise
c)les principes de L’OST
III- DONNER:
a)les 03 grands aspects de la gestion des stocks.
b)les avantages et les inconvénients de la structure hiérachico-fonctionnelle
ou structure dite staff and line .
c)le principe de l’unité de commandement et de dire á quel type de structure
il est rattaché.
IV- EXERCICE:
le 20 janvier la sociéé FOTSO a un stock initial de marchandise évalué á 36000
tonnes. au cours de l’année elle en achète 24000tonnes et vend 16000tonnes.
Calculer le stock moyen.
QUESTIONS:
1-représenter graphiquement les ventes du tai-moto et repérer sur le graphique
les différentes phases du cycles de vie.
2-commenter chacune des phases .
3-A quel moment faut il renouveler le produit compte tenu de l’évolution du
chiffre d’affaire et de la rentabilité du produit?
Questions:
1-Définir: sous traitance, mondialiation, externalisation, valeur ajoutée.
2-Quelles sont les raisons qui poussent les grandes entreprises á sous traiter?
3-Donner la différence entre la sous traitance et l’externalisation.
B- Donner:
a) Que représente P, N et i?
b) Comment détermine t-on N?
c) Donner l’allure de la représentation graphique de:
Bi
CT = 2N + PN
Exercice 3:
La société BAHO a effectué les opérations suivantes en Mars 2012:
- 02 Mars Stock initial: 200kg à 12F/kg (stock très ancien)
- 03 Mars sortie de 40 kg
- 12 Mars sortie de 60 kg
- 15 Mars entrée de 100 kg à 24 F/kg
- 17 Mars sortie de 30 kg
- 22 Mars sortie de 80 kg
- 25 Mars sortie de 20 kg
- 28 Mars entrée de 100 kg à 28,80 F/Kg
Travail à faire: présenter la fiche de stock selon:
a) La méthode FIFO (PEPS) First in, First out.
b) La méthode CMUPACE, coût moyen unitaire pondéré après chaque entrée.
Exercice: Une entreprise possède en stock les produits dont voici les
différentes valeurs:
Bx1 = 18000; Bx2 = 30000; Bx3 = 4000; Bx4 = 2000; Bx5 = 3000; Bx6 =
75000; Bx7 = 16000; Bx8 = 98000; Bx9 = 34000; Bx1 0 = 20000; Travail à
faire: effectuer l’analyse ABC et représenter.
176