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Exercice 1
3 2 1 1 9 1 3 11
1.a) 1 − + =1− + = − + =
27 6 9 3 9 9 9 9
1 1 1 1 1·7 1·3 4 1 1
1.b) − = − = − = = =
24 56 3·8 7·8 3·8·7 7·8·3 3·7·8 3·7·2 42
√
10 1
1.c) = √
10 10
1.d) 3 ln 2 + 2 ln 3 = ln(23 ) + ln(32 ) = ln(23 · 32 ) = ln(8 · 9) = ln 72
2 1 2(x + 2) − (2x + 1) 3
1.e) − = =
2x + 1 x + 2 (2x + 1)(x + 2) (2x + 1)(x + 2)
1 1
1.f) e− ln 7 = =
eln 7 7
2 eln 5 5
1.g) eln 5−2 ln 2 = eln 5−ln(2 ) = ln 4
=
e 4
e3x + ex ex (e2x + 1) e2x + 1
1.h) = =
e2x + ex ex (ex + 1) ex + 1
−n 2 n+1 2
1 3n+1 3
1.i) · = 3n · = 3n+2(n+1)−3n = 32 = 9
3 33n 33n
x+1 x2 x−1 x
+ 1 x@2
@ x−1 1
1.j)
· 2 · = · · =
x x −1 4x Zx (x + 1)
(x − 1) 4 Zx 4
3
1.k) ln 2 = ln 3 − ln(e2 ) = ln 3 − 2
e
5
eln 5−ln 3 eln(5/3) 5 1
1.l) ln 5+ln 3
= ln(5·3)
= 3
= 2
=
e e 5·3 5·3 9
x8 · (x3 )2
1.m) −2 = x8+3·2− −2+5·3 = x
x · (x5 )3
3. Notons en premier lieu que A possède 3 valeurs interdites qui annulent au moins un des dénominateurs :
0, −1 et 2.
a) Facilement, x2 + x = x(x + 1) et x2 − 2x = x(x − 2).
1 3x + 2 3x
b) On a donc A(x) = − + .
x + 1 x(x + 1) x(x − 2)
Il s'agit de mettre au même dénominateur ces 3 fractions ; comme les 3 dénominateurs ont des
facteurs communs deux à deux, on cherche le dénominateur commun le plus simple :
ici x(x + 1)(x − 2). Ainsi :
x −4 0 2
x+4 − 0 + + +
x − − 0 + +
x−2 − − − 0 +
A(x) − 0 + − +
A cela, il ne faut pas oublier que −1 est par construction de A valeur interdite. Finalement, la
solution de l'inéquation A(x) < 0 est S =] − ∞; −4[ ∪ ]0; 2[ .
2x 1 1 2x 1 1 3 3·3 9 9
4.a) − > ⇔ > + = ⇔ x> = d'où S = ; +∞ .
3 4 2 3 2 4 4 4·2 8 8
4.b) 2x − 9x2 > 0. Le polynôme du 2d degré 2x − 9x2 = x(2 − 9x) a 2 racines : 0 et 29 . D'où
2 2
x 0 9 et S = 0; .
9
2x − 9x2 − 0 + 0 −
4
9
⇔ x = 49 = 23 ou x = − 49 = − 32 . D'où
−32 2 2 2
x 3 et S = −∞; − ∪ ; +∞ .
3 3
9x2 − 4 + 0 − 0 +
4.e) condition d'existence : le logarithme existe si x+1
2
> 0 ⇔ x + 1 > 0 ⇔ x > −1, soit E =] − 1; +∞[.
On eectue ensuite la résolution : ln x+1 ln x+1 < 1 ⇔ x+1
2
− 1 < 0 ⇔ 2 2
< e ⇔ x + 1 < 2e
⇔ x < 2e − 1 . Finalement, S =] − 1; 2e − 1[ .
4.f) condition d'existence : x 6= 0. Ensuite :
3 3 3 − 2x x 0 3
<2 ⇔ −2 < 0 ⇔ < 0, 2
x x x
puis tableau de signes cicontre. 3 − 2x + + 0 −
3 x −
D'où S =] − ∞; 0[ ∪ ; +∞ . 0 + +
2
Q − + 0 −
1 1 1 1 ln 14
4.g) 7e2x − < 0 ⇔ 7e2x < ⇔ e2x < ⇔ 2x < ln( ) = − ln 14 ⇔ x < −
2 2 14 14 2
ln 14
d'où S = −∞; − .
2
4.h) conditions d'existence : x 6= 0 et x − 1 6= 0 ⇔ x 6= 1 et x − 2 6= 0 ⇔ x 6= 2. Ensuite :
1 1 2 1 1 2 (x − 1)(x − 2) + x(x − 2) − 2x(x − 1)
+ 6 ⇔ + − 60 ⇔ 60
x x−1 x−2 x x−1 x−2 x(x − 1)(x − 2)
2 − 3x
⇔ 60 D'où le tableau de signes suivant :
x(x − 1)(x − 2)
2
x 0 3 1 2
2 − 3x + + 0 − − −
x − 0 + + + +
x−1 − − − 0 + +
x−2 − − − − 0 +
Q − + 0 − + −
2
Ainsi, S =] − ∞; 0[ ∪ ; 1 ∪ ]2, +∞[ .
3
4.i) conditions d'existence : les logarithmes existent si 8 − x > 0 ⇔ 8 > x ; et x − 1 > 0 ⇔ x > 1 ; enn
x − 4 > 0 ⇔ x > 4. Soit E =]4; 8[ .
Passons à la résolution : grâce aux propriétés du ln
ln(8 − x) + ln(x − 1) 6 ln 2 + ln(x − 4) ⇔ ln (8 − x)(x − 1) 6 ln 2(x − 4)
⇔ (8 − x)(x − 1) 6 2(x − 4) ⇔ −x2 + 9x − 8 6 2x − 8 ⇔ 0 6 x2 − 7x.
Ce polynôme du 2d degré a pour racines
x2 − 7x = 0 ⇔ x(x − 7) = 0 ⇔ x = 0 ou x = 7. D'où le tableau de signes :
et S = ] − ∞; 0] ∪ [7, +∞[ ∩ ]4; 8[
x 0 7
= [7; 8[ .
2
x − 7x + 0 − 0 +
5. D'après la règle de Viète, les solutions x et y de ce système sont racines du polynôme du 2d degré :
X 2 − 2X − 8. Le discriminant de ce dernier vaut ∆ = 36, donc ses racines sont −2 et 4.
n o
D'où S = (−2, 4), (4, −2)
6. Il faut commencer par noter que P est un polynôme du 2d degré ; les raisonnements qui suivent vont se
fonder sur les propriétés, normalement bien connues, de ces polynômes.
• Le graphe montre que P est convexe (courbure orientée vers le haut) sur R. Donc P 00 (x) > 0. Or
P 00 (x) = a. Donc, comme a ne peut être nul puisque le graphe est une parabole, on a a > 0.
Autre méthode : le graphe montre que lim P (x) = +∞. Or lim P (x) = lim ax2 = sign(a)(+∞) par
x→+∞ x→+∞ x→+∞
la règle des polynômes. Donc a > 0.
• Pour obtenir le signe de b, l'astuce consiste à utiliser la dérivée P 0 (x) = 2ax + b. Donc b = P 0 (0). Or
le graphe montre qu'en 0, P est strictement décroissante, donc la pente de la tangente est strictement
négative. Donc b < 0.
Autre méthode : le graphe montre que la parabole atteint son extremum en x = 2. Or on sait que l'abscisse
de l'extremum d'un polynôme du 2d degré est − 2a b
(résoudre P 0 (x) = 0). Bref, − 2a
b
= 2 avec a > 0 par
ailleurs. Nécessairement, b < 0.
• Observer que c = P (0). Or le graphe montre que P (0) est comprise entre 1 et 2. Donc c > 0.
• Observer que b2 − 4ac = ∆ est le discriminant du polynôme du 2d degré P . Or on sait que le nombre
de racines de P dépend du signe de ∆ : ∆ < 0 pas de racine, ∆ = 0 une seule racine, et ∆ > 0 deux
racines distinctes. Ici, on observe que le graphe de P coupe deux fois l'axe des abscisses (entre 0 et 1 d'une
part ; et entre 3 et 4 d'autre part), ce qui signie que P possède deux racines réelles distinctes. Donc son
discriminant b2 − 4ac > 0.
• Observer que a + b + c = P (1). Or le graphe montre que P (1) est compris entre − 21 et −1. Donc
a + b + c < 0.
• Observer que a−b+c = P (−1). Or le graphe montre que P (−1) est plus grand que 4. Donc a−b+c > 0.
Exercice 2
0 0
ex −e−x x −x
1. (a) On a : sh0 (x) = 1
ex − e−x = 1
ex − (−e−x ) = e +e = ch(x) joie !
2
= 2 2 2
0 0
ex +e−x x −x
(b) On a : ch (x) =0 1
ex + e−x = 1
ex − e−x = e −e = sh(x) joie !
2
= 2 2 2
ex −e−x +∞ −e−∞
2. (a) • On a : lim sh(x) = lim 2
= ”e 2
” = ” +∞−0
2
” = +∞.
x→+∞ x→+∞
ex −e−x −∞ −e+∞
• De même : lim sh(x) = lim 2
= ”e 2
” = ” 0−(+∞)
2
” = −∞.
x→−∞ x→−∞
x −x
On a donc sh0 (x) = e +e 2
> 0 pour x −∞ 0 +∞
tout x ∈ R comme somme de deux ex-
ponentielles strictement positives, divi- sh0 (x) +
sée par un réel positif.
e0 −e0
+∞
En outre, sh(0) = 2
= 0.
sh 0
On en déduit le tableau de variations de
−∞
sh, ainsi que le signe de sh(x) suivant
les valeurs de x. sh(x) − 0 +
(b)
0
(c) Pour étudier le sens de courbure de sh, on a besoin de sa dérivée 2de : sh00 (x) = sh0 (x) =
0
ch(x) = sh(x) d'après la question 1-b. Or la question 2-b nous donne le signe de sh(x)
redjoie ! On obtient donc :
x 0
En outre, sh00 s'annule en changeant de
sh00 (x) − + signes en 0 ; donc le point 0, sh(0) =
0
O est point d'inexion de la courbe Csh .
Csh Concave Convexe
(d) La tangente TO à la courbe Csh au point O a pour équation : y = sh0 (0)(x − 0) + sh(0).
0 0
Or sh0 (0) = ch(0) = e +e
2
= 1. Donc TO : y = x.
Comme le point O est point d'inexion de Csh , cette tangente TO traverse Csh au point O.
3. Commençons par calculer les limites de ch en +∞ et en −∞ :
ex +e−x +∞ +e−∞
• lim ch(x) = lim 2
= ”e 2
” = ” +∞+0
2
” = +∞.
x→+∞ x→+∞
ex +e−x −∞ +e+∞
• lim ch(x) = lim 2
= ”e 2
” = ” 0+∞
2
” = +∞.
x→−∞ x→−∞
TO : y = x
•
1
• x
O
Exercice 3
x 0 1 +∞
Comme x > 0 sur 2
on voit R∗+ ,
que f 0 (x) est du signe de ln x, bien f 0 (x) − 0 +
connu.
+∞ 1
On a : f (1) = 1 − ln 1
− 1
= 0.
1 1 f
0
(b)
5. (a) On a :
0 1
(ln x)0 x2 − (ln x)(x2 )0 · x2 − (ln x) · 2x
00 ln x x x − 2x ln x
f (x) = 2
= − 2 2
= − 4
=
x (x ) x x4
x(1 − 2 ln x) 1 − 2 ln x
= = .
x4 x3
(b) Comme x3 > 0 sur R∗+ , on voit que f 0 (x) est du signe de 1 − 2 ln x. Résolvons donc :
√
1 − 2 ln x > 0 ⇔ 1 > 2 ln x ⇔ 12 > ln x ⇔ e1/2 > x, où d'ailleurs e1/2 = e.
La dérivée 2de f 00 (x) s'annule
√ donc en √
changeant
√ de√signes en e ; donc le x 0 e
point e, f ( e) est point d'inexion
1 y=1
Cf
• • x
√
1
6. O e
Exercice 4
p ex + q
x
p ex + q
x −x pe + q
ln(p e + q) − ln(q e + p) = ln = ln = ln q+p ex
q e−x + p q e1x + p ex
x
x
pe + q e
= ln ex = x .
= ln x
q+p e
2. Pour tout x réel, p e qx + q e−p x > 0 comme somme de deux termes strictement positifs (des expo-
nentielles, multipliées par p > 0 et q > 0). Donc ϕ est bien dénie sur R : Dϕ = R.
3. On a : ϕ(0) = ln p e0 + q e0 = ln(p + q) = ln 1 = 0 (se souvenir que q = 1 − p).
0
p e qx + q e−p x pq e qx − e−p x
0 pq e qx − pq e−p x
4. (a) ϕ (x) = ln p e + q e
0 qx −p x
= = = .
p e qx + q e−p x p e qx + q e−p x p e qx + q e−p x
(b) La question 2 assure que pq > 0 et p e qx + q e−p x > 0. Reste donc à étudier le signe du
numérateur :
e qx − e−p x > 0 ⇔ e qx > e−p x ⇔ qx > −px ⇔ px + qx > 0 ⇔ (p + q)x > 0 ⇔ x > 0.
D'où le tableau de signes :
x 0
e qx −e−p x − 0 +
peqx +qe−px + +
ϕ0 (x) − 0 +
pq e0 − e0 pq · 0
(c) ϕ (0) =
0
0 0
= = 0. A noter, donc, que la courbe représentative de ϕ présente une
pe + qe p+q
tangente horizontale au point 0, ϕ(0) = 0 .
5. Comme p > 0, notons d'abord que lim (px) = +∞ et lim (px) = −∞. Idem avec qx.
x→+∞ x→−∞
• Calculons lim ϕ(x) = ” ln p e −∞
” = ” ln p(+∞) + q · 0 ” = ” ln(+∞)” = +∞.
+∞
+qe
x→+∞
• Calculons lim ϕ(x) = ” ln p e−∞ + q e+∞ ” = ” ln p · 0 + q(+∞) ” = ” ln(+∞)” = +∞.
x→−∞
6. Au nal :
x −∞ 0 +∞
ϕ0 (x) − 0 +
+∞ +∞
ϕ
0