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Textile

tout matériau susceptible d'être tissé

Un textile est un matériau susceptible d'être tissé ou tricoté. Initialement, il désigne donc un matériau qui peut se diviser en fibres ou en fils textiles,
tels le coton, le chanvre, le lin, la laine (textiles organiques) ou la pierre d'amiante (textile minéral), puis avec la découverte de nouvelles techniques,
les fibres synthétiques.

La Fileuse, William Bouguereau,


xixe siècle.

Détail d'un objet tissé. Armure toile.

L'action de séparer les fibres d'un textile s'appelle le filage. Par extension, le mot textile peut également s'appliquer au résultat après transformation,
un drap est un textile.

S'il est tissé, le textile forme un tissu. Dans le cas contraire, il forme une étoffe servant à rembourrer et orner. À la fin du xvie siècle, l'étoffe prend le
sens plus spécifique de textile servant à l'habillement ou à l'ameublement avant de devenir un nom générique pour désigner des fils enlacés sur un
métier à tisser[1]. Aujourd'hui, on trouve des tissus formés par pressage ou agglomération de textile, une extension technique moderne aboutissant à
l'expression contradictoire tissu non tissé.

On distingue deux grandes classes de textiles auxquelles s'ajoutent plusieurs sous classes possibles :

Textiles traditionnels : textiles pour lesquels on porte l'attention


sur l'apparence et le confort. Il s'agit surtout du domaine de la
mode, souvent du vêtement, mais aussi de l'ameublement
(draps, tentures, rideaux, nappes, serviettes, tapisseries).
Textiles techniques : sont classés dans cette catégorie tous
textiles pour lesquels importent les caractéristiques
mécaniques, chimiques, physico-chimiques et ayant une
application technique : géotextile, textile médical, matériaux
composites à renfort textile.
Par exemple les filtres, le feutre, les mèches, le fil, les tricots, le papier... sont des textiles.

On parle de textiles intelligents ou actifs dès lors que le textile a la capacité de sentir une information dans son environnement et d'y répondre avec
un comportement spécifique.

Histoire
Cet article contient une ou plusieurs listes (février 2018).

Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être
aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items.
D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un contenu encyclopédique plutôt que la
recherche de l'exhaustivité.

650 000 ans (date établie par l'analyse paléogénétique du pou


du vêtement[2]) Les premiers vêtements portés étaient
probablement en peaux et fourrures d'animaux rêches et
grossières, protégeant le chasseur-cueilleur préhistorique des
glaciations du Pléistocène : en utilisant des grattoirs pour racler
la viande d'animaux, ils se sont servis de leur peau comme
costume drapé ou enfilé, ont utilisé de fines lanières de cuir
pour attacher les fourrures[3].
40 000 ans, l’homme de Cro-Magnon a développé des outils
pointus plus fins comme des poinçons ou des aiguilles à coudre
en os d'animaux, pouvant percer de petits trous dans les peaux,
et ainsi lacer ou coudre des tuniques.
C'est le mouton qui fut d'abord domestiqué en Mésopotamie en
raison de la qualité de sa laine, Hammurabi appelant la
Babylone le « pays de la laine ». Facile à travailler, elle était filée
et tissée avec des techniques encore utilisées en vannerie, la
laine tissée étant plus chaude que les fourrures[4]. Le premier
outil de filage consistait en un petit bout de bois doté d'un
crochet qui permettait d'attraper le fil. Il était possible de rouler
la branche sur la cuisse afin de rendre la torsion plus rapide. Le
fil était quant à lui enroulé autour de la branche afin de pouvoir
être stocké et maintenu en place. Il est possible de filer avec la
branche. Toutefois, si ce procédé est particulièrement adapté à
l'apprentissage, il en demeure relativement lent. Une alternative
fut donc nécessaire. La maîtrise de la fabrication d'objets et de
vêtements créés avec des fibres textiles durant les temps
préhistoriques est une étape essentielle pour les chances de
survie des populations préhistoriques[5].
34 000 ans, la découverte de fibres teintes de lin naturel et de
laine de chèvre portant des marques de torsion dans des
couches d'argile de la grotte de Dzudzuana en Géorgie suggère
l'utilisation de matériaux textiles. Bien qu'elles aient pu être
utilisées comme cordage pour l'emmanchement des outils en
pierre ou pour le tressage de nattes et paniers, ces fibres ont
probablement servi au tissage de vêtements à coudre, l'équipe
de chercheurs ayant trouvé associés à ces fibres des mites, des
larves de coléoptères et des spores de Chaetomium (en) typiques
de la dégradation des textiles[6].
Le tissage rend l'étoffe plus résistante. Cette technique
néolithique nécessite le filage de la laine de mouton ou de
chèvre, de la fibre de coton, laine, lin, ou soie, ces fibres pouvant
subir une torsion à la main pour former un fil solide. L'art du
filage est attesté dès la sédentarisation des hommes qui
découvrent qu'il est possible de fabriquer un fil solide en
parallélisant les poils ou les fibres végétales (laine, lin) puis en
donnant manuellement une torsion aux faisceaux de fibres[7].
vers -8000 L'homme préhistorique apprend progressivement à
macérer les fibres végétales pour les rendre flexibles (technique
du rouissage) ainsi qu'à détacher les poils des cuirs grâce à des
silex taillés, fabriquant d'abord des feutres. Le premier feutre
est évoqué sur des motifs de peinture murales du site
néolithique de Çatal Höyük, de lin, laine, poils, fourrure, voire en
écorce d'arbre, mais le feutre reste une étoffe moins résistante
que le tissu[8].
dès -6000 en Judée une forme de tricot, le nalbinding[9].
VIe millénaire av. J.-C. le filage au fuseau et à la quenouille,
constitués de différents matériaux, pour le lin et la laine est
attesté (découverte dans le village néolithique de Sesklo de
fusaïole)[10] jusqu'à l'apparition du rouet au début du xive siècle
au Moyen-Orient. C'est au xviie siècle qu'on ajoute une pédale
au rouet pour libérer la main droite du fileur et améliorer la
technique. Mais malgré ce progrès, le tissage et le filage restent
des opérations lentes, artisanales et relativement onéreuses[7].
En 1746, la première manufacture d'indiennes mulhousienne est
créée dans ce qui est encore la République de Mulhouse
(Stadtrepublik Mülhausen) par Koechlin, Schmaltzer et Jean-
Henri Dollfus. Dans les années 1760 apparaît, au Royaume-Uni,
le premier métier à filer mécanique (Spinning jenny).
En 1771, Richard Arkwright crée la première filature industrielle.
Crompton invente quant à lui la spinning mule permettant à un
seul ouvrier de commander jusqu'à 1 000 fuseaux.
En 1812, tous les métiers à filer du Royaume-Uni produisent
autant que quatre millions de rouets[7].

Jeton de la corporation des


commerces de draperie

Le filage industriel se développe avec deux inventions : d'une part, la machine à égrener le coton pour fournir la fibre ; d'autre part, celle du métier à
tisser pour utiliser le fil. L'expansion des filatures crée un exode rural qui engendre une mécanisation agricole visant à maintenir les niveaux de
production et oblige les artisans fileurs à se reconvertir. Le travail en filature ne demandant ni force, ni aptitude spéciale, la main d'œuvre bon marché
que sont les femmes et les enfants est préférée, avant que l'évolution de la législation ne finisse par interdire le travail des enfants[7].

Matières premières
Les matières textiles sont généralement classées en trois grandes catégories en fonction de leur origine. On distingue ainsi les matières naturelles
(végétales ou animales), artificielles et les matières synthétiques.

Les matières naturelles : ces matières premières proviennent


d’origine végétale ou animale. Chaque matière inclut divers
avantages et inconvénients, et est généralement déclinée en
différentes variétés.
La laine : d’origine animale, elle est obtenue à partir de la
toison du mouton ou d’autres animaux. Cette matière se
démarque par sa douceur et sa légèreté, mais aussi par
son confort et sa capacité à tenir chaud. Cependant, la
laine est une matière délicate, résiste mal aux frottements
et est sensible à la lumière. On distingue différentes
variétés de laine parmi lesquelles le mérinos, le cachemire,
l’angora et l’alpaga.
La soie : également d’origine animale, la soie est issue du
cocon produit par la chenille du bombyx du mûrier
communément appelée ver à soie. Cette matière aux
filaments longs et brillants est résistante tout en gardant
une certaine douceur au toucher. Le confort qu’elle procure
et sa bonne isolation en fait un produit haut de gamme au
prix souvent élevé.
Le coton : d’origine végétale, le coton est une fibre qui
recouvre les graines du cotonnier. Très doux au toucher, il
est généralement agréable à porter et bénéficie d’une
bonne robustesse et souplesse. Il a tendance à se froisser
facilement et n’est pas bon isolant.
Le lin : le lin est une matière textile extraite des fibres de la
plante du même nom. Cette matière très résistante
d’origine végétale est dotée d’un fort pouvoir absorbant et
d’une certaine fraîcheur au porter, ce qui la rend idéale pour
l’été. Le lin a cependant tendance à se froisser facilement
et à jaunir lorsqu’il est exposé à la lumière.
Les matières artificielles : ces matières sont constituées de
fibres fabriquées à partir de la cellulose extraite des végétaux.
La matière première artificielle la plus utilisée est sans aucun
doute la viscose qui est fabriquée à partir de cellulose extraite
de bois notamment. La viscose est dotée d’un bon pouvoir
absorbant et se démarque par sa brillance similaire à la soie.
Elle est en revanche critiquée pour sa facilité à se froisser et sa
faible résistance à l’humidité. À noter que ce n’est pas la seule
matière artificielle, on dénombre également le modal, le cupro
ou encore l’acétate de cellulose.
Les matières synthétiques : les matières présentées ci-dessous
sont produites par synthèse de composés chimiques provenant
majoritairement d’hydrocarbures ou d’amidon. Elles sont
généralement mélangées à des fibres naturelles afin de faire
baisser le prix de revient tout en bénéficiant des avantages
apportés par ces matières de synthèse.
Le polyester : très bon isolant thermique, le polyester est
résistant à l’usure, la luminosité et aux mites. Ce textile
supposé infroissable est cependant doté d’un faible
pouvoir absorbant et ne laisse pas respirer la peau.
Le polyamide : le polyamide matière textile résiste
parfaitement à l’usure et aux mites tout en étant un très
bon isolant thermique et bénéficiant d’une excellente
résistance à la traction. Le polyamide demeure malgré ses
qualités un textile au pouvoir absorbant faible, au toucher
froid et relativement sensible à la lumière.
L'acrylique : l’acrylique est une matière synthétique
résultant de la réaction de l’ammoniac sur un dérivé du
pétrole. C’est un textile très résistant aux tractions,
agréable au toucher, insensible aux mites mais également
un très bon isolant thermique. Comme tous les textiles de
synthèse, son pouvoir absorbant est relativement faible. Il a
également tendance à retenir l’électricité statique et à
jaunir sous l’effet de la chaleur.
L'élasthanne : cette matière synthétique est reconnue pour
son excellente élasticité. L’élasthanne est d’ailleurs
régulièrement mélangée à d’autres fibres textiles dans le
but de les rendre plus extensibles. Outre cette qualité, cette
matière très légère est agréable au toucher et
suffisamment résistante. Elle a cependant tendance à
jaunir de par sa sensibilité à la chaleur et à la lumière.
Techniques

Fibres

Fibre de bambou vue au microscope

Tissage traditionnel maya.

Articles détaillés : Fibre textile, Fibre synthétique et Liste de fibres


naturelles.
Les fibres textiles sont classées en trois grandes catégories :

Les fibres naturelles (existant à l'état naturel comme la Fibre de


bambou) ; elles furent les premières à être utilisées pour la
confection de vêtements.
Les fibres chimiques :
Les fibres artificielles (fabriquées à partir de matières
premières naturelles).
Les fibres synthétiques (obtenues par réactions
chimiques).
Les fibres minérales (silicate mixte de carbone et de
magnésium) permettent la confection de tissus ignifugés[11]
utilisés dès l'Antiquité.

Filature

Filature industrielle.

La fabrication d'un fil nécessite le décorticage et le nettoyage de la matière première (égrenage), le desserrement et la parallélisation des fibres
(cardage, peignage) puis enfin la filature.

La réalisation d'un fil est une succession d'étapes dépendant de la qualité du fil souhaité et du type de fibres à travailler, mais qui comporte toujours
au moins trois phases :

plusieurs filaments sont tirés de la filasse et rassemblés en


mèche ;
la mèche est roulée en fil par torsion ;
le fil est mis en bobine pour être tissé.
Il existe deux grands processus de filature :

la filature pour fibres longues (filature type laine) ;


la filature pour fibres courtes (filature type coton).
Pour ces deux processus, on part de bourres de fibres nettoyées, si nécessaire, qu'on transforme en ruban puis en mèche puis en fil.

Filature de fibres continues ou filage :


Pour les fibres synthétiques : par filage, on obtient un
filament. Les filaments sont convertis (coupés) ou craqués
pour obtenir des fibres pouvant être mélangées ;
Pour les fibres naturelles : Un ver à soie est capable de
sécréter un filament pouvant mesurer jusqu'à 1 500 m. La
soie n'entre généralement pas dans les processus de
filature décrits au-dessus. On assemble les filaments des
soies, puis on fait un retordage de ces assemblages, qui
peuvent ensuite être coupés pour être mélangés à d'autres
fibres.

Tissage
Le tissu est obtenu par le tissage qui est le résultat de l'entrecroisement, dans un même plan, de fils disposés dans le sens de la chaîne et de fils
disposés, perpendiculairement aux fils de chaîne, dans le sens de la trame. Le liage obtenu entre ces fils de chaîne et trame se définit par une armure.

On distingue trois grandes classes fondamentales d'armures : toile, sergé et satin.

Il existe des armures dérivées des trois précédentes : le reps, le cannelé, le croisé, le satin à répétition, etc. Un tissu peut être composé de plusieurs
armures différentes et dans ce cas on parle de tissu façonné (e.g. Le velours de Gênes).

Le métier Jacquard permet la sélection de fils de chaîne de façon indépendante tandis que les métiers à cadres font une sélection de cadres et donc
de groupes de fils.

Selon l'utilisation qui est faite des fils, on parle de duites (fils de trame) et de fils (fils de chaîne). On peut aussi trouver des fils fantaisie quand une
grande importance est donnée à l'esthétisme du fil au lieu de sa régularité. Il existe aussi les fils dit techniques utilisés dans des applications
techniques.

Le tissage s'accompagne d'étapes précises dont les plus importantes sont :

le bobinage : les fils sont disposés sur les bobines ;


l'ourdissage : préparation de la chaîne sur le métier à tisser ;
le rentrage : les fils de chaîne sont enfilés dans des tiges
métalliques (les lisses) puis dans les dents du peigne ;
une fois la pièce textile descendue du métier industriel et
jusqu'à l'informatisation, les tissus de luxe (drap d'Elbeuf)
destiné à l'habillement connaissent le rentrayage qui consiste à
réparer à l'aiguille les grappes, c'est-à-dire les erreurs commises
par le métier à l'occasion de la rupture d'un fil de chaîne ou de
trame ou tout autre incident.
Tricot

Articles détaillés : Tricot et Tricot (textile).


Plusieurs méthodes de tricotage ont été développées.

Le tricotage à mailles cueillies, appelé aussi tricotage trame est le plus connu. Il permet l'obtention de tricot jersey, interlock, côte 1x1, côte anglaise,
etc. Ces mailles sont fréquemment utilisées dans les sous-vêtements, les tee-shirts, les pull-overs, les chaussettes, etc.

Le tricotage à mailles jetées ou chaîne permet la réalisation d'articles indémaillables. Les armures les plus fréquentes sont la charmeuse, l'atlas, le
satin. Ces mailles sont utilisées dans la confection de maillots de bain, de lingerie, de voilages.

Non-tissé

Article détaillé : Textile non-tissé.


Les non-tissées sont des textiles dont les fibres sont maintenues de façon aléatoires, ils sont souvent classés selon leur domaine d'application ou
leurs caractéristiques techniques.

Voie de fabrication

voie humide (dite papetière)


voie aérodynamique
voie fondue

Voie de consolidation

mécanique
aiguilletage
couture-tricotage
thermollage

Applications
Les non-tissés les plus connus sont les feutres. Mais le grand public connaît également cette technologie sous la forme des lingettes ménagères ou
cosmétiques.
Pansements
Isolation thermique ou phonique
géotextile (drainage de liquide)
filtres
feutres

Ennoblissement

Article détaillé : Ennoblissement.


Les techniques d'ennoblissement ont pour but de modifier les propriétés du textile « brut ».

Une fois les textiles préparés (flambage, désencollage, etc.), ils peuvent recevoir une opération de teinture ou d'impression.

Pour leur donner « de la main » (du toucher), des apprêts mécaniques (émerisage, grattage, etc.) ou des apprêts chimiques sont utilisés. Enfin, des
fonctions (bactériostatisme, déperlance, hydrophilie, protection UV, etc.) peuvent être greffées sur ces textiles par apprêts chimiques.

Teinture

Article détaillé : Teinture.


Nom Caractéristiques

Ikat Procédé asiatique de teinture où les parties du fil à préserver de la teinture sont cachées par un fil noué sur le fil de la trame.

Mahaju Méthode de teinture par réserve, l'étoffe à teindre est nouée en différents endroits pour jouer sur la densité de couleur.

Batik Technique inventée à Java consistant à masquer avec de la cire les parties non teintes

Impression

Tissus imprimés.

Article principal : Impression textile.


L’impression est la décoration d’une étoffe par un motif répétitif. Historiquement, l’impression daterait du IIe millénaire av. J.-C. et serait originaire des
Indes[12].

Nom Caractéristiques

S’applique pour les supports de deux fibres distinctes. La pâte d’impression contient un agent chimique qui détruit l’une
Dévorage
des fibres.

Flocage Le motif est encollé et saupoudré de fibres textiles courtes pour un aspect velours.

Impression à cadre Un rouleau creux, contenant la couleur et découpé aux endroits à imprimer, passe sur l’étoffe ; l’opération est répétée une
rotatif fois par couleur.

Impression à la planche Procédé artisanal. Les motifs sont sculptés dans une planche qui est ensuite appliquée sur l’étoffe.

Impression par rouleau Version mécanique de l’impression à la planche.

Impression
Le motif est gravé sur du vernis fixé sur un cadre puis appliqué sur l’étoffe.
sérigraphique

Procédé artisanal. Le motif est pré-découpé dans une plaque qui s’applique sur l’étoffe et les couleurs sont appliquées à la
Pochoir
brosse.

Thermocollage Collage de motifs figuratifs ou de patterns (strass ou perles synthétiques) en planches.

Textiles à usage technique


Les TUT sont de plus en plus dénommés textiles techniques et fonctionnels. Ils contribuent à la diversification du secteur textile traditionnel, en
réponse aux délocalisations notamment.

Ils regroupent des tissages de matériaux dont les performances et propriétés fonctionnelles qui diffèrent de celles des fibres textiles traditionnelles.
On les retrouvera notamment surtout dans des applications techniques et parfois 'extrêmes' : ailes d'avions, voiles de bateaux, pansements, vestes
de pompier, prothèses médicales, stabilisateur de route, para-grêle, dirigeables, etc.

La production de TUT croît régulièrement depuis les années 1990 (Marché estimé à 65 milliards d'euros en 1995, puis à 85 milliards d'euros en 2005,
et qui pourrait atteindre 100 milliards d'euros vers 2010.

Le 1er producteur et le 1er consommateur de textile technique en Europe serait l'Allemagne où la recherche est pilotée par un réseau de compétences
supra régional dit Conseil en Recherches Textiles, avec 16 unités de recherche (en 2007) et de nombreux partenaires institutionnels et industriels.

Article détaillé : Géotextile.


Un nouveau type de textile fait son apparition : les Smart Textiles incorporant de l'électronique pour plus d'interaction avec l'utilisateur ou
l'environnement. Ces nouveaux produits promettent des applications dans les domaines du médical (vêtement avec capteur cardio-vasculaire,
respiratoire, thermomètre, etc.), du loisir (veste avec lecteur MP3 intégré, mode : vêtement lumineux), de la sécurité (dossard clignotant et
communicant, etc.). On évoque aussi des tissus susceptibles de produire de l'électricité, c'est-à-dire jouant le rôle de panneaux solaires, susceptible
de recharger des batteries de téléphone, ordinateur, etc. voire d'alimenter des dirigeables.

Performance des textiles

Articles détaillés : Résistance évaporative thermique et


Schmerber.

Applications
bactériostatisme
résistance mécanique
anti-statisme
protection feu
oléofuge / hydrofuge
géotextiles / agrotextiles
smart textiles / Textronique
Caractéristique mécanique

comparaison d'essais en traction de différentes fibres.


comparaison d'une éprouvette métallique de même finesse
qu'un fil textile.
Matériau composite

Métrologie des textiles

Article détaillé : Métrologie.

Typologie

Article détaillé : Liste des tissus.


Nom Caractéristiques Utilisation

Habillement,
Bachette Tissu de coton semblable à une bâche mais en plus léger
ameublement

Habillement, chemiserie
Batiste Fine toile de lin
(vieux)

Bogolan Tissu teint suivant une technique utilisée au Mali, Burkina Faso, Guinée Habillement

Buckram Textile, généralement à base de coton et plus rarement de lin, rigidifiée par un trempage de nitrocellulose Reliure

Calicot Toile de coton Drap de lit, etc.

Crêpe Tissu léger, à l'origine en soie ayant un aspect granuleux Habillement

Habillement,
Cretonne Toile de coton
Ameublement

Linge de table,
Damas Tissu jacquard mélangeant fils mats et brillants
ameublement

Dentelle Tissu ajouré Habillement

Denim Tissu de coton résistant Habillement, Jean

Faille Tissu de soie (ou acétate, polyester) à gros grains formant de petites côtes Habillement

À l'origine textile obtenu par l'agglomération de fibres animales par des opérations thermiques et Chapeau, Habitat,
Feutre
mécaniques de foulage Habillement

Tissu à l'origine de laine à l'aspect duveteux et doux au toucher. Aspect obtenu par foulage. Aussi utilisé pour
Flanelle Habillement
des tissus de coton ayant les mêmes qualités.

Gabardine Tissu serré présentant une côte en diagonale sur l'endroit Habillement

Gaze Toile légère et transparente Habillement, Médical

Indienne Étoffe de coton peinte Habillement

Jacquard Tissu réalisé avec un « métier Jacquard », à l'origine en soie

Kelsch Tissu de lin à carreaux bleus et/ou rouges Linge de maison

Chemises, lingerie,
Linon Toile de lin délicate, transparente et aérée
mouchoirs

Lustrine Tissu de coton d'armure croisée, fortement apprêté et glacé sur une face Habillement (doublure)

Métis Tissu réalisé avec une chaîne en pur coton et une trame en pur lin, contenant au minimum 40 % de lin

Tissu à fines côtes transversales utilisant les reflets des fils de soie, viscose, etc. pour créer des motifs
Moiré
changeants

Étoffe à reflets changeants obtenus en écrasant le grain du tissu avec une calandre (machine à lustrer ou
Moire
glacer les tissus) spéciale

Mousseline Tissu fin et transparent de coton ou de laine. Origine ville de Mossoul

Organdi Mousseline enduite d'un apprêt Habillement, broderie

Ameublement,
Ottoman Tissu à grosses côtes transversales
Habillement

Pongé Taffetas de soie léger et souple Habillement

Popeline Tissu de coton serré et pesant. À l'origine, tissu dont la chaine était en coton et la trame en laine retorse[13] Habillement

Habillement,
Satin Tissu plat, uni, brillant et initialement en soie
Ameublement

Serge Tissu à armure sergé Habillement

Taffetas Toile de soie légère et brillante Habillement

Habillement,
Tulle Étoffe légère à maille hexagonale
Ameublement

Tussor Tissu de soie sauvage rustique

Tweed Tissu épais en laine Habillement


Habillement,
Velours Étoffe à l'aspect velu sur l'endroit, serré sur l'envers
Ameublement

Vichy Étoffe de coton à carreaux tissé et teint d'au moins deux couleurs Habillement

Usage courant
Le textile sert à la confection de vêtements spécifiques aussi divers que variés.

Civil

sarrau nappe tapis de sol


tablier de table mouchoir
drapeau napperon écharpe tapis de
selle

linge couverture panneaux tenture

parure de lit décoratifs serviette


Drap textile rideau
taie
d'oreiller enveloppe à coussin Chiffon
mouchoirs

Religieux

Paramentiq manipule rochet voile de


ue voile mitre calice
dalmatique huméral corporal manuterge
chasuble Aube voile de costume de
Chape surplis ciboire statue

étole Coule purificatoire


antependiu nappe de Bure Tunique
m communion Suaire Surplis
bourse Calotte Barrette Aumusse
(liturgie) châle de Bannière de Camail
tapis d'autel prière procession Soutane
nappe dais de Amict
d'autel mariage
Pallium
Pale Qamis

Économie

Industrie textile

Article détaillé : Industrie textile.

Bobines coniques de fil


textile

L'industrie textile débute par une chaîne de transformation partant de matières premières fibreuses jusqu'à des produits semi-ouvrés ou entièrement
manufacturés. Elle regroupe de nombreux métiers et commence par transformer des matières premières (fibres naturelles, artificielles ou
synthétiques, pigments, additifs) en fils. Les métiers associés sont notamment la filature, le guipage, le moulinage ou encore la texturation. À partir
de fils unidimensionnels, le tissage ou tricotage (ou des techniques de tissus non-tissés) produisent des surfaces textiles bidimensionnelles (voire
tridimensionnelles[14]) qui peuvent être teintes et/ou imprimées et/ou brodées. Des propriétés particulières leur sont éventuellement apportées par
des apprêts chimiques, mécaniques, des enduction, contre-collage, etc.). Les surfaces textiles sont alors transformées en habits, meubles, rideaux ou
utilisées pour de nombreux autres buts (ex : géotextiles stabilisants des routes, des voies ferrées..), pour drainer des terrains (agrotextiles), pour faire
voler des hélicoptères, suppléer une articulation déficiente ou encore protéger un pompier du feu (textiles techniques fonctionnelles).

En déclin en occident, cette industrie demeure cependant dynamique dans les secteurs du textile technique et du textile de luxe. La majorité des
1 280 entreprises textiles actives en France se situe dans les régions : Alsace, Champagne, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord, Normandie, Picardie,
Rhône-Alpes, par exemple, des entreprises telles que Jules Tournier & Fils et la société Bel Maille, spécialistes des tissus techniques.
L'industrie textile est florissante en Asie (Inde, Bangladesh, Chine, etc.) où sont implantées des usines officielles ou des sous-traitants (y compris
travaillant pour de grandes marques). Il est reproché à ces usines de rarement respecter le règlement européen REACH, et de mal protéger la santé
ou l'intégrité physique de (leurs) personnel (et souvent, des enfants y travaillent). Les rares usines traitant leurs eaux ne filtrent pas les produits
chimiques (Nonylphénol par exemple) qui polluent l'eau et les sols locaux et contribuent à la pollution globale, aussi subie par les pays acheteurs de
ces vêtements. Certains polluants et des microplastiques, voire des nanoplastiques (dégradation des fibres synthétiques) quittent les vêtements au
fur et à mesure des lavages, polluants des eaux mal filtrés par les usines d'épuration, ou les boues d'épuration. 80 % des légumes français
contiendraient notamment du Nonylphénol.
Les grandes marques (françaises ou autres) arborent des écolabels ou des assertions environnementales ou socio-environnementales sur leur site,
mais ne peuvent ou déclinent contrôler leur chaîne d'approvisionnement. L'étiquetages des vêtements et autres textiles produits hors Europe ne
permet pas de savoir si le règlement REACH ou d'autres exigences environnementales sont respectés, ni la législation internationale du travail, y
compris pour des vêtements haut-de-gamme si le textile a été importé sans traçabilité [15].

Les ouvriers des usines textiles asiatiques sont en outre mal payés ; selon la sociologue et autrice d'une enquête sur la « fast fashion » et ses impacts
socio-environnementaux, résumée dans un ouvrage intitulé Une mode éthique est-elle possible ? (2018)[16], majdouline Sbaï, à la fin des années 2010,
50 % des textiles sont en outre « vendus en soldes. Quand on regarde le découpage du prix d’un vêtement, il apparaît que les phases de production et
de transport représentent le plus souvent moins de 10 % du prix final. Le salaire de l’ouvrier ne représente même pas 1 % de ce prix. 90 % de la valeur
va à la conception, au marketing, à la distribution et à la marge (...) les soldes sont devenues le business model de la fast fashion (...) C’est une
logique de vente événementielle quasi-permanente pour que les gens aient envie de revenir dans les magasins. Les marques font du réassort
permanent pour que les gens aient soif de nouveauté. Le prix initial auquel était vendu un produit ne veut plus rien dire. Des marques produisent
même spécialement pour les soldes. Certaines marques produisent en effet à ces occasions des vêtements avec le même design mais avec un tissu
de moins bonne qualité pour le vendre moins cher », avec comme point d'orgue le Black Friday.
En réaction à cette tendance des mouvements comme le collectif De l'éthique sur l'étiquette (créé par quarante-sept syndicats et organisations de
consommateurs et de solidarité internationale)[17] plaident pour un commerce équitable, le retour de la qualité et de la transparence sur les prix et les
filières et pour une éthique sociale et environnementale[18], y compris dans le secteur de l'habillement[19].

De nombreuses marques déploient progressivement des technologies de traçage pour améliorer la transparence d'approvisionnement et la traçabilité
des textiles[20]. Comme le groupe H&M qui solidifie sa collaboration avec TextileGenesis™, une technologie pour tracer toutes les matières
cellulosiques et synthétiques, ainsi que le polyester recyclé[21].

Arts textiles

Broderie Tapisserie
Dentelle Bonneterie
Napperon Tricot
Patchwork

Pratique : usages et entretien

Article détaillé : Étiquetage pour l'entretien des textiles.

Amidon Étendoir
Eau de Javel Lessive
Lavage machine : Machine à Repassage
laver Sèche-linge
Nettoyage à sec Tache
Noix de lavage Azurage
Pince à linge

Institutions

Institut Français Textile Habillement -


http://www.ifth.org [archive]

Écoles d'ingénieur textile en Europe

École Nationale Supérieure des Arts et Industries Textiles (htt


p://www.ensait.fr) [archive] située à Roubaix
École supérieure des industries textiles de l'Est
Institut textile et chimique de Lyon (http://www.itech.fr) [archive]
École supérieure des techniques industrielles et des textiles,
rattachée depuis 2005 à HEI (Hautes Études d'Ingénieur) sous
l'option TIMTEX
École Nationale Supérieure d'Ingénieurs Sud Alsace
(anciennement ENSITM) (http://www.ensisa.fr) [archive]

Notes et références

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3. David L Reed et Jessica E Light et col, « Pair of lice lost or


parasites regained : the evolutionary history of anthropoid
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Annexes

Bibliographie : ordre chronologique


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Eyrolles, 2023, 238 p., 26 cm (ISBN 978-2-416-00807-8, SUDOC 27019407X (https://www.sudoc.fr/27019407X) , lire en ligne (https://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/fi
bres-fils-tissus-de-l-artisanat-a-l-industrie-9782416008078/) [archive]) (en ligne : présentation et extrait)

Claude Fauque, Les mots du textile, Paris, Belin, 2013, 223 p., 18
cm (ISBN 978-2-7011-6510-3,
SUDOC 168955784 (https://www.sudoc.fr/168955784) ).

Dominique Cardon, La draperie au Moyen âge : essor d'une


grande industrie européenne, CNRS éditions, 1999, 661 p., 24 cm
(ISBN 2-271-05592-X,
SUDOC 045261377 (https://www.sudoc.fr/045261377) ).

Christiane Garaud et Bernadette Sautreuil, Technologie des


tissus : aide-mémoire - 6e édition revue et augmentée, Paris, Les
Nouveautés de l'enseignement, 1982, 127 p., 21 cm
(ISBN 2-7135-0425-2,
SUDOC 000746533 (https://www.sudoc.fr/000746533) ). Autres éditions

(SUDOC 000465933 (http://www.sudoc.fr/000465933) ), (SUDOC


000320935 (http://www.sudoc.fr/000320935) ) ; éd. Casteilla (SUDOC
108664821 (http://www.sudoc.fr/108664821) ), (SUDOC 070501564 (http://
www.sudoc.fr/070501564) ),

Articles connexes

Glossaire de l'architecture : Industrie textile


draperie Textile technique
Glossaire du tissage Textiles intelligents
Linge Conservation du textile
Vêtement Tissu d'ameublement
Artisanat d'art Rue de la Vieille-Draperie
Fibre de bambou

Liens externes

Rapport sur les marchés des textiles techniques en Europe, et


sur les coopérations (http://www.bulletins-electroniques.com/ra
pports/smm07_063.htm) [archive] (ADIT/Ministère français des
affaires étrangères).
Portail canadien de l'industrie du vêtement (http://www.apparel
connexion.com) [archive] : Formations, Manufacturiers,
contracteurs, étudiants.
"La production textile. Quelles dynamiques patrimoniales (http
s://journals.openedition.org/insitu/37714) [archive]", In Situ.
Revue des patrimoines, n° 50 (Claudine Cartier, Géraud Buffa &
Mylène Beaufils (dir.)), juillet 2023.

Ressource relative à la santé : Medical Subject Headings (http


s://meshb.nlm.nih.gov/record/ui?ui=D013784)
Ressource relative aux beaux-arts : Grove Art Online (https://d
oi.org/10.1093/gao/9781884446054.article.T084029)
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Britannica (https://www.britannica.com/technology/textil
e) [archive] · Enciclopedia italiana (https://www.treccani.it/encicl
opedia/tessuto_res-c86a7cbc-8bb7-11dc-8e9d-0016357eee51_
(Enciclopedia-Italiana)/) [archive] · Enciclopedia De Agostini (htt
p://www.sapere.it/enciclopedia/tess%C3%B9to.html) [archive] ·
Nationalencyklopedin (https://www.ne.se/uppslagsverk/encyklo
pedi/l%C3%A5ng/textil) [archive] · Store norske leksikon (https://
snl.no/tekstil) [archive] · Universalis (https://www.universalis.fr/e
ncyclopedie/textile/) [archive]
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