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CENTRE D’ENCADREMENT LA VERITE DES SCIENCES

CINEMATIQUE
Exercice : 1
Déterminer l’équation de la trajectoire des points mobiles définis par les vecteurs positions ci-
dessous :
=2 1 2 ) )
: ; : ; : ; :
+1 =2 +1 ) )

= 1 + 2cos( ) =( ) = 1 + sint
: ; : :
= 2 + 2sin( ) = +( ) = 2+

Exercice : 2
1
Un point mobile M est décrit par rapport au vecteur position :
=2 +4
a) Déterminer sa position à l’instant initial et à l’instant t = 2 s.
b) Déterminer les composantes de son vecteur vitesse en fonction du temps.
c) Déduire le module de son vecteur vitesse à la date t = 2 s.
d) Déterminer l’équation de sa trajectoire

Exercice : 3
Un mobile est lancé avec une vitesse initiale vo à déterminer. Son mouvement s’effectue dans
un plan (o, , ), les équations paramétriques qui caractérisent ce mouvement sont :
= 0,87
+ 0,5
1) Etablir en fonction de vo, l’équation cartésienne y = f(x) du mouvement
2) Calculer la dérivée y’ =
3) Sachant que cette dérivée s’annule pour x = 1. Calculer la valeur de vo.
4) Déterminer les coordonnées du vecteur vitesse à l’instant t = 2 s. calculer son module

Exercice : 4
Les coordonnées d’un point mobile M sont données par le vecteur position tel que :
=( )
: où Vo et g sont des constantes
= +( )
1) Déterminer l’expression du vecteur accélération instantanée
2) Déduire son module. On prendra : g = 10 m/s2

Exercice : 5
Un mobile M décrit une trajectoire rectiligne. Son vecteur accélération est constant pendant
toute la durée du mouvement qui est fixée à t = 5 s.
A l’instant t = 0 s, le mobile part du point Mo d’abscisse xo = -0,5 m avec une vitesse
vo = -1 m/s.
Déterminer son vecteur accélération puis sa vitesse v1 au point M1 d’abscisse x1 = +2,5 m.

Exercice 6

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Adresse : 6 rue ankou Talangaï, arrêt Libanga ya Talo 1
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Dans un plan rapporté orthonormé (o, , ), un point mobile M est repéré par les composantes
de son vecteur vitesse : = + (-2t+1)
a) Déterminer les composantes du vecteur vitesse suivant les axes du repère.
b) Déduire les composantes de son vecteur position en fonction du temps sachant qu’à
l’instant t = 3 s, =4 -3
c) Déduire l’équation de sa trajectoire.

Exercice : 7
A la date t = 0, un mobile M est en un point de coordonnées : xo = 4,0 m et yo = -1,0 m. il est
animé d’un mouvement rectiligne uniforme dans un plan muni d’un repère (o, , ). Les
coordonnées du vecteur vitesse sont : (vx = 2,0 m/s ; vy = -3,0 m/s).
a) Calculer le mobile de la vitesse
b) Donner les équations paramétriques du mouvement
c) Donner l’équation de la trajectoire.

Exercice : 8
Le vecteur position d’un mobile assimilé au point M est = x + y + z . Au cours du
2
mouvement, son accélération est = -a avec a = 4 m/s . A l’instant du lancement, sa vitesse
est Vo = 2 + 4 avec Vo en m/s et sa position +2 .
1) Déterminer le vecteur vitesse à l’instant t du mobile et le vecteur position à l’instant t.
En déduire que le mouvement est plan.
2) Déterminer l’équation cartésienne de la trajectoire.
Donner l’allure de cette trajectoire
3) Le mobile coupe l’axe (x’ox) en un point A à la date t1
a) Déterminer XA et t1
b) Déterminer le module de vitesse puis comparer-le avec celui de

Exercice : 9
L’équation paramétrique d’un mobile en mouvement rectiligne sur un axe (y’oy) est :
x(t) = t2 - 2t+1
a) Quelle est la nature de l’équation de sa trajectoire.
b) Déterminer :
- La position initiale du mobile (position Mo à t = 0 s)
- La vitesse initiale du mobile (vitesse vo à t = 0 s)
- Le module de l’accélération du mobile à un instant quelconque. Conclure
c) Calculer la distance parcourue par le mobile lorsque celui-ci rebrousse chemin.
d) Calculer la vitesse moyenne vm du mobile entre les instants t0 = 0 s et t1 = 2 s.
e) Comparer vo et v1 avec vm puis conclure.

Exercice : 10

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)
Un point mobile M est repéré par son vecteur position : ; t IR
)
a) Déterminer les composantes de son vecteur vitesse puis déduire son module
b) Déterminer les composantes de son vecteur accélération puis déduire son module
c) Déterminer l’équation de la trajectoire du point mobile M
d) Déduire la position géométrique des vecteurs suivants : et ; et ; et .

Exercice : 11
Un point mobile M est repéré par son vecteur position : x(t) = -t3+27t ; t IR
Etudier suivant les valeurs de t la nature du mouvement du point M

Exercice : 12
La position d’un mobile M dans le repère (o, , ) est donnée à chaque instant par le vecteur
=( + ( + 2) avec t 0
1) Déterminer l’équation cartésienne de la trajectoire.
2) Donner les intervalles de temps pendant lesquels le mouvement est retardé puis accéléré.

Exercice : 13
Un électron se déplace dans une région de l’espace munie d’un repère orthogonal .
Cette particule est soumise à une accélération constante 4. 10 . A date = 0,
= 2. 10 + 10 ; elle se trouve au point Mo de coordonnées (0; 0; 0,01).
1) Peut-on affirmer que le mouvement ne sera pas rectiligne ?
2) Etablir les équations horaires du mouvement
3) En déduire l’équation cartésienne de la trajectoire
4) A quelle date t1 la vitesse de l’électron est-elle parallèle à l’axe Ox ?
Cette vitesse est-elle minimale ?
5) Entre quels instants, le mouvement est-il accéléré ? retardé ?

Exercice : 14
Un élève du centre d’encadrement la perfection après avoir fini de faire le cours de physique,
il rentre chez eux en décrivant la trajectoire ci-dessous :
V(m/s)

1
t(s)
0 4 7 10
Calculer la distance parcourue par cet élève.

Exercice : 15

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Un élève en retard au cours de physique court prendre l’autobus avec une vitesse constante
de 6 m/s. Quand il est à 30 m de l’autobus, celui-ci démarre avec une accélération constante
de 0,8 m/s2.
L’élève rattrapera-t-il l’autobus ? si non à quelle distance minimale de l’autobus se trouvera-t-il

Exercice : 16
Une automobile effectue une liaison entre deux stations A et B sur un tronçon d’automobile
rectiligne x’ox. Les deux stations sont distantes de 900 m. l’automobile initialement au repos,
démarre de la station A avec une accélération a1 = 0,4 m/s2. Au bout d’une durée t1, jugeant sa
vitesse suffisante pour pouvoir atteindre la station B, l’automobile coupe le moteur. La vitesse
décroit uniformément avec une décélération de module a2 = 0.1 m/s2 jusqu’à l’arrêt en B.
a) Calculer la vitesse maximale de l’automobile
b) Calculer le temps du parcours de l’automobile.

Exercice : 17
Sur une voie rectiligne, une voiture roule à la vitesse de 90 km/h ; Soudain un enfant traverse
la route alors le conducteur se trouve à la distance de 30 m de ce dernier. Il freine
immédiatement et sa vitesse devient 45 km/h sur un parcours de 20 m.
1) Calculer la valeur de la décélération supposée constante.
2) Calculer la durée de tout le freinage
3) L’accident-t-il eu lieu ?
Exercice : 18
Une automobile part du repos et se déplace avec une accélération de 1 m/s2 pendant 10 s. on
arrête le moteur et, pendant 20 s, on laisse l’automobile ralentir en raison des frottements avec
une accélération de 5.10-2 m/s2 puis on freine. L’automobile animée d’un mouvement
uniformément varié, s’arrêt au bout de 5 s supplémentaires.
1) Calculer la distance totale parcourue par l’automobile
2) Donner les expressions de x, v et a en fonction du temps suivant les différentes phases

Exercice : 19
Un car effectue le trajet rectiligne d’une ville A vers une ville B distantes de 50 km. On donne
les différentes phases de son mouvement telle qu’il se déplace animé en A d’un mouvement
uniformément accéléré d’accélération a1 = 1,66 m/s2 pendant 10 s. puis sa vitesse devient
constante et égale à v. enfin son mouvement est uniformément retardé pendant 5 s et le car
arrive en B avec une vitesse nulle.
On demande d’évaluer la durée totale du parcours.

Exercice : 20
Deux cyclistes C1 et C2 roulent dans le même sens sur une voie rectiligne. A l’instant t = 0, le
cycliste C1 démarre d’un point A avec une accélération a1 = 3 m/s2. Au même moment le
cycliste C2 passe par le pont B situé à une distance de 34,5 m du point A avec une vitesse
V2 = 25,2 km/h
1) Préciser les origines d’espace et de temps
2) Etablir les équations horaires de C1 et C2
3) Calculer la date et le lieu de leur rencontre
4) Calculer la distance qui sépare les deux cyclistes à la date t = 10 s.

Exercice : 21

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On considère deux positions A et B sur une autoroute rectiligne. A l’instant initial, un véhicule
M roulant à la vitesse constante de 54 km/h passe par A et se dirige vers B. Une minute plus
tard, un véhicule N roulant à la vitesse constante de 90 km/h passe par B et se dirige vers A.
sachant que AB = 2 km. On demande :
1) L’équation horaire du véhicule M
2) L’équation horaire du véhicule N
3) La date où le véhicule M passe par B
4) La date où le véhicule N passe par A
5) La date et le lieu de leur rencontre
N.B : on prendra pour origine des abscisses le point A et pour sens positif celui de A vers B.

Exercice : 22
Un bus M part de la ville A à 10h00 avec une vitesse constante V1. Un deuxième bus N part
de la ville B à 10h02 min avec une vitesse constante V2. On suppose la trajectoire entre la ville
A et la ville B parfaitement rectiligne et horizontale et de longueur 10 km.
Six (6) min après le départ du bus M, les deux bus se rencontrent au point C situé à 7,4 km de
la ville A
1) Quelle est la nature du mouvement des deux bus ?
2) En prenant pour origine des espaces la ville A et pour origine des dates l’instant de
passage du bus M par la ville A. déterminer :
a) Les équations horaires des mouvements des bus
b) Leurs vitesses V1 et V2
Exercice : 23
Une automobile est arrêtée à un feu rouge. Quand le feu passe au vert, l’automobile accélère
uniformément pendant 8 s avec une accélération de 2 m/s2. Ensuite, l’automobile se déplace
à vitesse constante. A l’instant de son démarrage, un camion la dépasse avec une vitesse
constante de 12 m/s.
Au bout de combien de temps et à quelle distance du feu, l’automobile rattrapera-t-elle le
camion ?
Exercice : 24
Un piéton part à midi d’une localité A et se dirige à la vitesse constante de 5 km/h vers une
localité B distantes de 20 km. Une heure plus tard, un cycliste poursuit le même itinéraire à la
vitesse de 20 km/h.
1) Au bout de combien de temps et à quelle distance le cycliste dépassera-t-il le piéton ?
2) Arrivé dans la localité B, le cycliste met une heure de repos puis rebrousse chemin avec
la même vitesse. Quand et où aura lieu le croisement.

Exercice : 25
Sur le quai d’une gare, une voyageuse, en retard, court pour essayer de prendre son train
avec une vitesse constate d’intensité 8 m/s. le train démarre alors qu’elle est encore à 100 m
du dernier wagon, l’accélération étant a = 0,5 m/s2.
1) La voyageuse rejoindra-t-elle son train ? sinon, à quelle distance s’en trouvera-t-elle ?
2) Reprendre la question 1) dans le cas où le démarrage du train a lieu lorsque le dernier
wagon est à 40 m de la voyageuse.
3) Quelle devrait être à l’instant du démarrage, la distance minimale entre le train et la
voyageuse pour que celle-ci atteigne effectivement le dernier wagon.

Exercice : 26

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Un automobiliste roule à la vitesse constante de 120 km/h sur une route rectiligne où la vitesse
est limitée à 90 km/h. un motard de la gendarmerie à sa poursuite. Il démarre au moment précis
où l’automobiliste passe devant lui. Le motard est animé d’un mouvement uniformément tel
qu’il atteint la vitesse de 100 km/h en 10 s.
1) Quelle est la raison de cette poursuite ?
2) Déterminer la distance parcourue lors de la poursuite et la durée de cette poursuite
3) Calculer la vitesse du motard lorsqu’il rattrape l’automobile.

Exercice : 27
1. Une automobile roule sur une route droite à la vitesse constante de 108km/h. Soudain, le
conducteur perçoit à 150m devant lui un panneau de limitation de vitesse à 60km/h. Le
conducteur actionne le frein et atteint le panneau avec la vitesse de 45km/h.
a) Donner les caractéristiques (sens et intensité) du vecteur accélération V supposé constant
d l’automobile durant la phase de ralentissement.
b) Calculer le temps mis par le conducteur pour atteindre le panneau à partir du début du
freinage.
2. Quelles devraient être l’accélération algébrique de l’automobile et la durée du freinage pour
que le conducteur atteigne le panneau à la vitesse de 60km/h.
3. En réalité, le conducteur commence par freiner 0,8s après avoir vu le panneau. Il impose à
son automobile l’accélération calculée au 1 (a). Avec quelle vitesse arrive-til au niveau du
panneau ? Est-il en infraction ?
4. Après le panneau le conducteur maintient sa vitesse constante à 60km/h. A cette vitesse, il
aborde un virage de rayon R = 150m.
a) Déterminer les caractéristiques (sens et intensité) du vecteur accélération pendant le virage.
b) Calculer la durée du virage si on l’assimile à un quart de cercle.

Exercice : 28
Une élève du centre d’encadrement la perfection puise de l’eau d’un puits à l’aide d’un seau
de 10 litres. Le puits a 15 m de profondeur, et l’élève remonte le seau à la vitesse de 3 m/s.
1-) Déterminer la position en fonction du temps du seau d’eau au cours de sa remontée
2-) Au cours d’une remontée et à 2 m du fond, le seau laisse tomber un 1L d’eau. En supposant
que le litre d’eau reste compact et tombe avec une accélération de 10 m/s2 et sans vitesse
initiale.
Déterminer le temps au bout duquel le litre d’eau touche le fond.
3-) L’impact de l’eau produit un bruit. Sachant que le son se déplace à environ 300 m/s, à quel
instant ce son rattrape-t-il le seau ?
4-) Au bout de combien de temps, l’élève s’aperçoit-elle qu’elle a perdu un peu d’eau ?

Exercice : 29

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Un mobile supposé ponctuel M effectue un trajet ABCD constitué de trois portions et
représenté par la figure ci-dessous :

D
A B C
AB et BC sont rectilignes. AC = 350 m. CD est un tronçon circulaire de rayon OC = 5 m. l’angle
vaut 60°. M passe au point A avec la vitesse VA = 10 m/s. le mouvement sur le tronçon
AB est uniforme.
1) Ecrire l’équation du mouvement de M pour cette première phase (à t = 0s, le mobile se
trouve au point A considéré comme origine des espaces).
2) Déterminer la distance AB sachant que le parcours s’est effectué en 5 s.
3) La deuxième phase du mouvement (BC) est uniformément accéléré.
a) Déterminer la valeur de l’accélération sachant que M arrive en C avec une vitesse
VC = 25 m/s. En déduire la durée de ce parcours.
b) Etablir l’équation du mouvement de M pour cette phase en prenant pour origine des
dates, l’instant où le mobile se trouve en B. l’origine des espaces reste inchangée.
4) Le mobile parcourt l’arc de cercle CD d’un mouvement uniformément accéléré.
Sachant que la vitesse du mobile en D vaut 5,5 rad/s. Déterminer :
a) L’accélération angulaire de M pour cette dernière phase
b) L’équation horaire = f(t) en considérant qu’à l’instant initial le mobile se trouve au
point C.
c) La durée du trajet CD
d) La distance totale parcourue par le mobile M de A à D

Exercice : 30
Une piste de lancement au profil représenté par la figure ci-dessous. Une portion rectiligne
AB = 10 m et un arc de cercle BC de rayon OB = 1 m et d’angle = 30o. Un véhicule M
part de A au repos et doit atteindre la vitesse de 10 m/s en B.
a) Donner la valeur de l’accélération a1 du véhicule sur le tronçon AB.
b) Donner la durée du parcourt AB
c) Ecrire l’équation horaire de l’abscisse de M en prenant comme origine des abscisses
le point A et comme origine des temps l’instant où M est en B
d) Le véhicule aborde alors le tronçon circulaire d’un mouvement d’accélération constante
= 0,1 rad/s2. Donner :
- La vitesse angulaire au repos en B
- L’équation horaire = f(t) et = f(t)
- L’instant où le mobile atteint le point C
- Les vitesses angulaires et linéaires du mobile en C.

C
A B
Exercice : 31

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Lors d’une course des voitures sur une route rectiligne et horizontale. Deux voitures A et B
disposées côte à côte sur la ligne de départ. Au signal, la voiture A démarrage avec une
accélération de 1 m/s2. Trois secondes après le départ de la voiture A, la voiture B démarre
avec une accélération de 2 m/s2. On prendra pour origine des espaces, la ligne de départ et
pour origine des dates, l’instant du démarrage de la voiture B.
1) Etablir les équations horaires de ces deux voitures
2) Déduire l’instant et le lieu de leur rencontre par rapport à la ligne de départ.
Exercice : 32
Une roue de rayon r = 50 cm a une vitesse de 180 tr/mn.
1.a) calculer la vitesse angulaire de la roue.
b) calculer la vitesse linéaire et l’accélération linéaire d’un point M situé sur la périphérie de la
roue
2) A la suite d’un freinage, la roue entame un mouvement retardé pour s’arrêter après avoir
effectué 100 tours.
a) Etablir l’équation horaire du mouvement angulaire pendant cette phase de freinage.
b) Quelle est la durée totale du freinage.
c) Déterminer la vitesse linéaire et l’accélération linéaire du point M, 5 seconde après le début
du freinage.
Exercice : 33
On fait tourner un disque initialement au repos jusqu’à atteindre une vitesse de 8 rad/s.
1) L’accélération angulaire au cours de cette phase étant de 2,5 rad/s2.
Calculer l’angle balayé par un rayon du disque au cours de ce mouvement.
2) Ecrire l’équation horaire du mouvement du disque. On prendra = 0 à t = 0.
3) Tournant à la vitesse de 8 rad/s, le disque set freiné. Il s’arrête alors au bout de 2 s.
a) Calculer cette nouvelle accélération
b) Quelle est la valeur de l’angle balayé par un rayon du disque depuis le début du
freinage jusqu’à l’arrêt complet.
c) Déduire le nombre de tours effectué par le disque au cours de cette deuxième phase.

Exercice : 34
On considère une montre comportant trois aiguilles : l’aiguille des heures, l’aiguille des minutes,
l’aiguille des secondes (ou trotteuse).
a) Déterminer la vitesse angulaire de chacune de ces aiguilles
b) La trotteuse a une longueur de 15 mm. Quelle sont les caractéristiques du vecteur
vitesse de son extrémité ?
Exercice : 35
Une roue immobile au départ est accélérée de telle sorte que sa vitesse angulaire croît
régulièrement jusqu’à 120 tr/mn en une minute. Après avoir tourné un certain temps à cette
vitesse, la roue est freinée et il faut 5 minutes pour l’arrêter, le nombre de tours total étant de
1560. Calculer la durée totale de la rotation.
Exercice : 36
Une roue immobile au départ accomplit 300 tours. Son mouvement est d’abord uniformément
accéléré d’accélération = 2 rad/s2, ensuite uniformément retardé de décélération
= -1 rad/s2
1) Quelle est la durée du mouvement
2) Déterminer le nombre de tours dans le premier mouvement
Exercice : 37

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Une roue tourne autour d’un axe immobile de telle sorte que l’angle de rotation = 0,4t2 ( en
rad et t en s). Déterminer l’accélération d’un point M de la jante de la roue à l’instant t = 3 s si
à cet instant, la vitesse linéaire du point M est égale à v = 0,45 m/s.

Exercice : 38
Une roue de rayon R initialement au repos tourne autour d’un axe fixe de telle sorte que l’angle
de rotation a pour équation horaire = 0,5 avec exprimé en radiant.
1) Déterminer l’accélération d’un point M de la jante de la roue à l’instant t = 2 s si à cet
instant, la vitesse linéaire du point M est égale à 5 m/s.
2) Après les 2 s de la première phase, la roue est freinée, il faut 6 s pour l’arrêter.
Déterminer le nombre de tours total effectué par la roue depuis l’instant initial jusqu’à l’arrêt
complet.
Exercice : 39
Un volant peut tourner dans un plan vertical autour d’axe horizontal passant par son centre.
Initialement au repos, on le lance de façon que sa vitesse devienne égale à N = 90 tours/min
en 12 s.
1- Calculer :
a) L’accélération angulaire de ce mouvement
b) Le nombre de tours effectués par le volant pendant ce temps.
2) On freine ensuite le volant. Un couple résistant ramène après 25 tours sa vitesse de
N = 90 tours/min à N1 = . Calculer :
a) L’accélération angulaire du mouvement durant la phase de ralentissement
b) La durée de ce ralentissement

Exercice : 40
Une roue, de rayon R = 0,35 m, tourne à la vitesse de 180 tours par minutes.
1) Déterminer :
a) Sa vitesse angulaire
b) La vitesse d’un point de la jante de rayon R
c) L’accélération de ce point
2) On suppose que la roue, étant initialement au repos, a été lancée jusqu’à cette vitesse,
avec une accélération angulaire constante, en 5 secondes.
Calculer cette accélération angulaire et en déduire le nombre de tours effectués.

Exercice : 41
Une roue de rayon R = 30 cm est lancée par un moteur. Partant du repos, on constate au bout
de 5 s, tout point de la circonférence à une vitesse linéaire égale à 20 km/h.
1) Calculer l’accélération angulaire supposée constante du mouvement
2) Calculée l’accélération d’un point de la circonférence à cette date
3) Au bout de 30 tr de rotation, on coupe le moteur et on freine la roue qui s’arrête après avoir
tourné pendant 30 s après le début du freinage. Calculer la décélération du mouvement
4) Calculer le nombre de tours effectués par la roue pendant la phase du freinage.

Exercice : 42

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Une roue de diamètre D = 40 cm, initialement au repos est mise en rotation avec une
accélération angulaire constante de valeur 0,8 rad/s2. A la fin d’une durée t1 ; la roue est freinée
jusqu’à arrêter avec une décélération de 1,2 m/s2. Le nombre total de tours effectués pendant
cette rotation de 200 tours. Déterminer :
1) Le nombre de tours effectués pendant chaque phase
2) La durée de chaque phase du mouvement
3) La vitesse angulaire et la vitesse linéaire maximale d’un point de la périphérie de la roue.
4) La vitesse angulaire moyenne.

Exercice : 43
1) Deux mobiles P et Q parcourent la même circonférence, l’un avec une vitesse angulaire de
2 rad/s, l’autre avec une vitesse angulaire de 2,5 rad/s dans le même sens. Au départ, ils
sont décalés de 90°, le premier étant en avance sur le second.
2) Déterminer l’instant où le deuxième mobile dépasse le premier pour la première fois.

Exercice : 44
Deux mobiles M1 et M2 partent du même point A d’abscisse angulaire égale à zéro et sont
animés des mouvements circulaires uniformément variés d’accélération respective égales à
= 1 rad/s2 et = 3 rad/s2, sur une piste de rayon égale à 50 cm. Leurs vitesses initiales sont
nulles.
1-a) Ecrire les équations horaires des abscisses angulaires M1 et M2.
-b) A quelle date, ils vont se retrouver de nouveau ensemble ?
-c) En déduire le nombre de tours effectués par chaque mobile.
2) On considère le cas où M2 part du même point d’abscisse égale à zéro une seconde avant
M1 ; leurs accélérations ne changent pas ainsi que leurs vitesses initiales. En prenant comme
origine des dates l’instant de départ de M1. Déterminer :
a) l’équation horaire = f(t) de M2
b) la date où les deux mobiles vont se retrouver ensemble.
c) la vitesse de M2 à cette position

Exercice : 45
On considère deux points mobiles M1 et M2 animés d’un mouvement circulaire uniforme sur
la même circonférence avec des vitesses angulaires respectives = 10 tr/mn et
= -20 tr/mn. Leurs positions sont données par ) et ). A l’instant t = 0, (0) = et
(0) = 0.
1) Ecrire les équations horaires de M1 et M2
2) Déterminer l’instant de la première rencontre des deux mobiles et en déduire les angles
correspondants
3) Déterminer les angles balayés par les rayons OM1 et OM2, de l’instant initial jusqu’à la
première rencontre.

Exercice : 46
2
En utilisant l’équation réduite x = at , démontrer que les espaces parcourus pendant les
intervalles de temps successifs de même valeur forment une progression arithmétique de
raison r = a

Exercice : 47
Un mobile est en mouvement le long de l’axe des abscisses

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à t = 0 ; il est à l’abscisse x0 = +2 m
à t = 1 ; il est à l’abscisse x1 = -7 m
à t = 2 ; il est à l’abscisse x2 = -14 m
à t = 3 ; il est à l’abscisse x3 = -19 m
a) Montrer que le mouvement du mobile est uniformément varié
b) Donner l’équation horaire du mouvement
c) Quelle est la vitesse du mobile à t = 2s.

Exercice : 48
Un bateau est en mouvement rectiligne uniforme à la surface de la mer avec le vecteur vitesse
. Un sous-marin, immobile à la hauteur h sous la surface, tire la torpille lorsque le bateau
passe juste au-dessus de lui. On suppose que le mouvement de la torpille est rectiligne
uniforme avec le vecteur vitesse . On assimile les trois solides à des points matériels.
1) Déterminer l’angle que fait V’ et l’horizontal pour que la torpille atteigne le bateau.
2) Calculer alors l’instant du choc et les distances parcourues par ces deux corps en
mouvement. On prendra Vo = 5 m/s ; h = OA = 50 m et V’ = 10 m/s.

x
bateau M y
O

DYNAMIQUE
MOUVEMENT DE TRANSLATION SUR UN PLAN HORIZONTAL
Exercice : 1
Un mobile de masse 1 kg est animé d’un mouvement rectiligne uniformément varié
d’accélération 2 m/s2 sur un plan horizontal. Quelle est l’intensité F de la force qui l’entraine si
la force de frottement de sens opposé à celui du mouvement a pour intensité f = 0,5 N

Exercice : 2
1) Parti du repos, un solide de masse M = 1500 g est tiré sur une piste horizontale à l’aide
d’un câble parallèle au déplacement et de tension T = 3,6 N sur une distance AB = 30 m,
les forces de frottements sont supposés négligeables (voir figure).

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a) Calculer son accélération supposée constante le long du trajet
b) Déterminer l’intensité de sa vitesse au point B
2) En réalité, le solide arrive au point B avec une vitesse de 11 m/s, qui ralentissent le
mouvement.
a) Calculer la nouvelle accélération du mouvement
b) Déduis l’intensité des forces de frottements qui s’exercent sur le solide. On donne g = 10 m/s2

A B

Exercice : 3
Un train (locomotive + wagon) pèse 500 tonnes. La résistance sur l’avancement sur la voie
horizontale est évaluée à 40000 N.
1) Au démarrage, la locomotive développe une force d’attraction constante de 80000 N.
Faire le schéma représentant toutes les forces agissant sur le train.
2) Calculer :
a) L’accélération du train sur la voie horizontale
b) Le temps au bout duquel le train atteindra la vitesse de 72 km/h
c) La distance parcourue par le train pour atteindre cette vitesse.
3) Le train roulant à la vitesse de 72 km/h. On supprime les forces et on fait fonctionner les
freins jusqu’à l’arrêt complet. Sur un schéma clair, représenter les forces agissant sur le
train.
4) Calculer :
a) L’accélération du train durant la phase de freinage qui a duré 6 min 20 s.
b) L’intensité de la force de freinage.

Exercice : 4
On considère un camion de masse M = 1250 kg se déplaçant le long d’un plan horizontal à
partir d’un point A vers B avec une force de 1500 N. Le camion part de A sans vitesse initiale.
Les frottements sont équivalents à une force d’intensité constante f = 76 N.
1) Calculer l’accélération du mouvement du camion
2) Déterminer la réaction exercée par le plan horizontal
3) Calculer le temps mis au bout duquel le camion atteindra le point B situé à 1 km de A
4) Avec quelle vitesse, le camion est-il passé à 700 m du point B. On prendra : g = 10 m/s2
Exercice : 5
1) Une automobile de masse 800 kg est arrêtée sur une route horizontale. Au démarrage,
elle est propulsée par une force constante dont la composante horizontale a pour intensité
2000 N. On néglige l’action de l’air et de toutes les forces de résistance.
Quelle est la nature du mouvement ?
2) Afin de vérifier la réponse donnée à la question 1)
a) Fais l’inventaire des forces qui s’exercent sur l’automobile ;
b) Calculer l’accélération de la voiture. Ce résultat est-il en accord avec la réponse
donnée au 1) ?
3) Calculer :
a) La distance parcourue après 5 secondes
b) La vitesse à cet instant
4) Animée de la vitesse de 12 m/s, le conducteur freine et s’arrête après 25 m à partir de
l’instant du freinage. calculer :
a) L’intensité de l’accélération de la voiture durant cette phase
b) L’intensité de la force de freinage.

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Exercice : 6
Un train démarre sur une voie rectiligne horizontale. Un pendule de longueur L = 1 m formé
d’une masse ponctuelle m suspendue à un fil inextensible de masse négligeable s’incline d’un
angle constant et se fixe dans cette position pendant toute la durée t = 1min20s de la période
de démarrage.
1) Dans quelle direction le pendule s’incline-t-il ?
2) La masse ponctuelle s’est écartée de d = 5 cm par rapport à sa position de repos verticale.
Quelle est la vitesse acquise le train le train à la fin de la période de démarrage ?
3) Quelle distance a-t-il parcouru pendant cette période ?
4) Quelle est la valeur de la tension du fil ?

Exercice : 7
Un ascenseur de masse totale 1800 kg s’élève d’une hauteur h entre le rez-de-chaussée et
un étage d’une tour. Le référentiel terrestre est supposé galiléen.
1) La montée comporte trois phases :
Durant 2,5s le mouvement est uniformément accéléré
Pendant les 6s qui suivent, le mouvement est uniforme sur une distance de 42m.
Enfin le mouvement est uniformément retardé durant 4s jusqu’à l’arrêt.
Déterminer la valeur de la hauteur h
2) Calculer l’intensité de la force exercée par le câble sur l’ascenseur au cours de chacune
des phases du mouvement. On donne g = 9,8 m/s2

MOUVEMENT DE TRANSLATION SUR UN PLAN INCLINE


Exercice : 8
Un automobile dont la masse totale a pour valeur M = 7 tonnes roule à la vitesse constante
V1 = 60 km/h sur une route rectiligne et horizontale. L’ensemble des forces qui s’opposent en
mouvement ont une intensité constante f = 500 N.
1.a-) Calculer l’intensité de la force motrice développée par le moteur de l’automobile ;
b-) En déduire la puissance de ce moteur
2-) pour arrêter l’automobile, le chauffeur débraie, supprimant ainsi l’action de la force motrice
(Fm) et en même temps il freine. L’arrêt intervient après un parcours de 200 m.
a-) Déterminer la nature du mouvement
b-) Calculer l’intensité des forces de freinage (fr)
3-) L’automobile redémarre et aborde avec la vitesse de V2 = 20 km/h une côte rectiligne de 2 %
a-) Déterminer la nature du mouvement de cette nouvelle phase sachant qu’après 1 km de
parcours la vitesse de l’automobile devient V3 = 40 km/h.
b-) Calculer l’intensité de la force de traction développée par le moteur. g = 10 m.s-2

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Exercice : 9
A partir du sommet A d’un plan incliné, on lâche un solide sans vitesse initiale. Les forces de
frottements se résument en une force d’intensité constante f = 0,8 N. Le solide a une masse
M = 5 kg. La pente de ce plan incliné est de 3 %
a) Déterminer l’accélération du solide
b) Quelle est la réaction exercée par le plan incliné. On donne g = 10 m/s2

Exercice : 10
Dans un parc d’attraction, un élève de la classe de terminale scientifique veut vérifier l’état de
la surface de contact de la piste d’un toboggan incliné de 20° par rapport à l’horizontale. Il part
avec l’hypothèse que s’il existe des forces de frottements sur la piste, la durée d’un parcours
de longueur 3 m sera supérieure à 1,8 s. Pour le vérifier, il lâche du sommet O de cette piste
un solide de masse m = 200 g qui glisse sur une distance OB = L = 3 m.
on prendra g = 10 m/s2
1) Il suppose les frottements négligeables
a) En utilisant le théorème du centre d’inertie, donne l’expression de l’accélération du
mouvement de ce solide et fais l’application numérique.
b) Donne les équations horaires du mouvement en supposant qu’à l’instant initial, la
position du mobile est nulle.
c) Déterminer la durée de la descente et la vitesse atteinte en B.
2) En réalité, la durée du parcours est t = 2 s. il conclut qu’il existe des forces de frottement
sur la piste. Déterminer alors l’accélération réelle du mouvement
3) Déduis-en l’intensité des forces de frottements sur la piste.

Exercice : 11
Un corps de masse m = 10 kg, posée sur un plan incliné de 30° par rapport à l’horizontal, est
lancée avec une vitesse de 14 m/s, vers le sommet de la pente. Au bout de combien de temps
revient-il à son point de départ ?
1) Lorsque les frottements sont négligeables
2) Lorsque les frottements ont pour intensité f = 20 N.
On prendra g = 10 m/s²
Exercice : 12
Sur une route inclinée AB, est placé un panneau de signalisation sur lequel est inscrit pente
10 %. On se propose alors de vérifier dans la suite l’exactitude de cette inscription. On
considère pour cela un véhicule qui aborde cette pente inclinée d’un angle par rapport à
l’horizontale, à partir d’un point A avec une vitesse VA = 36 km/h grâce une force motrice
parallèle à la ligne de plus grande pente. Il atteint le point B avec une vitesse VB = 72 km/h.
Le poids du véhicule est 5 fois plus grand que la force motrice. Les frottements sur ce plan
sont équivalents à une force opposée à la vitesse. Déterminer :
a) L’accélération du véhicule
b) Etablis la relation donnant l’accélération en fonction de
c) Calculer la pente de ce plan incliné
d) L’inscription du panneau est-elle exacte ?
On donne : AB = 500m ; = ; = 3500 ; = 50000

Exercice : 13

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Dans un stand de fête foraine, un objet (S), de masse m = 5 kg assimilable à point matériel,
est placé sur des rails horizontaux de longueur AB. Pour tester sa force, une personne pousse
cet objet avec une force constante, horizontale pendant une durée t = 3 s.
1) Déterminer la nature du mouvement de l’objet (S), en supposant qu’il glisse sans
frottements sur les rails en partant de sa position de repos.
2) Sachant qu’à la fin de la période de lancement, l’objet (S) a une vitesse égale 6 m/s,
calcule la valeur numérique de la force
3) Calculer la distance du lancement AB.
4) Arrivée en B, l’objet (S) doit s’éléver sur un plan incliné d’un angle = 30° par rapport au
plan horizontal. En supposant les frottements négligeables, quelle longueur devrait C
parcourir l’objet (S) sur le plan incliné jusqu’à ce que sa vitesse s’annule ?
On prendra g = 10 m/s2
(S)
A B

Exercice : 14
Sur une piste ayant la forme ci-dessous :
1) Un solide de masse m = 100 g est lancée avec une vitesse initiale Vo = 3 m/s. Les
frottements ralentissent le mouvement du solide puisqu’il arrive en B avec une vitesse de
2 m/s. Représenter les forces extérieures agissant sur le solide.
2) Déterminer :
a) La valeur de l’accélération du mouvement sur le trajet AB qui mesure 1 m.
b) L’intensité des forces de frottements entre A et B
3) Animé de la vitesse de 2 m/s, le solide aborde ensuite la pente BC inclinée par rapport à
l’horizontale de 30° où les frottements sont négligeables.
a) Représenter les forces extérieures agissant sur le solide le long de la pente BC. C
b) Calculer : - l’accélération du solide le long de BC
- la distance qu’il y parcourt avant de rebrousser chemin

30°
A B
Exercice : 15
Dans tout l’exercice, il y a l’existence des forces de frottement d’intensité constante 3000 N.
Sur une piste verticale constituée de deux parties dont l’une est horizontale , et l’autre
inclinée = 45 par rapport à l’horizontale de pente = 30°.
Deux véhicules V1 et V2 de masses respectives et sont reliés par un câble de masse
négligeable et séparés à la distance de (voir figure)
1) A l’instant initial, le véhicule V2 démarre pour tracter le véhicule V1 vers le sommet du plan
incliné avec une force d’intensité 12000 N.
a) Etudier la nature du mouvement de ces véhicules.
Application numérique : =3 ; = 250 kg et = 10 m/s2.
b) En déduire la tension et la réaction exercées sur le véhicule V2
2) Le câble reliant ces deux véhicules se coupe dès que le véhicule V1 affranchit le point C.
a) Etudier la nature du mouvement du véhicule V1 juste après la rupture du câble.
b) En déduire la distance d parcourue par le véhicule V1 après la rupture du câble avant
de rebrousser chemin.
c) Calculer la vitesse du véhicule V1 quand il reviendra au point B le bas du plan incliné.

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3) On suppose qu’au point B, le véhicule V1 conserve sa vitesse et roule sur le plan horizontal
AB jusqu’à son arrêt complet au point A. Calculer la distance

A B

Exercice : 16
Un solide (S) de masse 20 kg, de centre d’inertie G, posé sur un plan incliné de 30° par rapport
à l’horizontale, est lancé avec une vitesse initiale Vo = 10 m/s vers le haut. Les frottements
sont équitables à une force , parallèle au plan, de sens opposé à celui du mouvement et
égale à 20 N.
1) Déterminer l’accélération du mouvement du centre d’inertie G du solide (S). Quelle est la
nature de ce mouvement ?
2) Etablir l’équation horaire du mouvement de (S). (On prendra pour origine des espaces la
position initiale du solide et pour origine des dates, l’instant où celui-ci est lancé.
3) Quelle distance parcourt-il sur le plan incliné jusqu’à l’arrêt ?
4) Déterminer le temps que met ce solide pour parcourir cette distance.
5) Au bout de combien de temps après son lancement revient-il à sa position initiale ?
6) Déterminer l’intensité de la réaction du plan sur le solide. On donne : g = 10 m/s²

Exercice : 17
Un solide supposé ponctuel de masse m = 100 g glisse le long de la ligne de plus grande
pente AB = 2 m d’un plan incliné faisant un angle = 20° avec le plan horizontal. Le solide
est abandonné en A sans vitesse initiale.
1) On considère les frottements négligeables, calculer l’accélération et la durée du
mouvement s’il parcourt une distance de AB = 2 m.
2) En réalité cette durée est de 1,3 s à cause des forces de frottements f. calculer f
MOUVEMENT D’UN PROJECTILE EN CHUTE LIBRE DE DIRECTION
VERTICALE
Exercice : 18
Un élève de terminale veut étudier le mouvement d’une fléchette afin de déterminer la hauteur
maximale qu’elle peut atteindre.
Pour cela, la fléchette est propulsée verticalement vers le haut, par un pistolet à une altitudey
de 1,80 m du sol avec une vitesse initiale de Vo = 14,7 m/s.
On considère l’action de l’air sur la fléchette négligeable et on assimilera la fléchette à un point
matériel.
1) Déterminer la nature du mouvement du centre d’inertie de la fléchette.
2) Ecris pistolet
a) L’équation horaire de la vitesse
b) L’équation horaire du mouvement du centre d’inertie de la fléchette. 1,80 m
Origine des espaces : le sol
Origine des dates : l’instant où la fléchette quitte le pistolet.
Sens positif de l’axe du mouvement : du bas vers le haut. 0
3) a-) A quelle date la fléchette arrive-t-elle au sommet de sa trajectoire ?

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b-) Quelle est la hauteur maximale hm atteinte ?
c-) A quelle date la fléchette touchera-t-elle le sol ?
On donne g = 9,8 m/s2
Exercice : 19
Une bille (B) est lancée verticalement vers le haut à partir d’un point A situé à 5 m du sol avec
une vitesse de 20 m/s. Deux secondes après le lancement de la bille (S), on lance dans les
mêmes conditions cinématiques une deuxième bille (S’).
1) Ecrire les équations horaires de ces deux billes
2) Quel est le temps nécessaire pour atteindre la hauteur maximale par la bille (S).
3) En utilisant deux méthodes différentes, déterminer la hauteur maximale atteinte par la bille (S)
4) Déterminer la position et la vitesse de (S) à l’instant du lancement de la bille (S’)
5) Déterminer l’instant, le lieu et les vitesses de croisement de ces deux billes
6) Déterminer la date et la vitesse où la bille (S) repassera par le point A.
7) Déterminer la date et la vitesse de la bille (S) à l’arrivée au sol

Exercice : 20
Un joueur de tennis lance une balle de masse m à la verticale pour effectuer un service.
A to = 0, il lance la balle, animée d’une vitesse Vo = 6,9 m/s, à la hauteur Zo
1) Déterminer l’expression de la côte z de la balle en fonction du temps.
2) Le joueur frappe la balle à l’instant t1 lorsqu’elle se trouve à une hauteur Z1 = 2,5 m. Que
vaut t1 si la balle est alors :
- en phase ascendante ?
- en phase descendante ?
3) Déterminer la hauteur maximale atteinte en fonction de Vo, Zo et g si le joueur ne frappe
pas la balle dans sa phase ascendante.
4) Quelle devrait être la valeur de Vo pour que la balle atteigne
exactement la hauteur Z1 avant de retomber.
5) Sans utiliser les questions 3) et 4), montrer sans nouveau calcul
que la balle atteint le sommet de sa trajectoire en Z1 si et seulement si :
Vo = ). On prend g = 10 m/s² ; Zo = 1,6 m. O
Exercice : 21
Deux billes A et B assimilables à des points matériels sont disposés sur une même verticale à
1 m l’une de l’autre ; A est au-dessus de B. à l’instant initial, on lâche la bille A parcourt une
hauteur de 0,8 m, on lance la bille B vers le bas avec une vitesse de 2 m/s.
1) Ecrire les équations du mouvement des billes A et B en prenant pour origine des espaces
le point du départ de la bille A et pour origine des dates le moment de ce départ
2) a-) A quel instant aura lieu la rencontre entre les billes A et B ? on prendra g = 10 m/s²
b-) En déduire l’abscisse de la rencontre

Exercice : 22
Un mobile A est abandonné sans vitesse initiale. Après une chute libre de h = 20 m, il croise
un autre mobile B, lancé à partir du sol à la date exacte de l’abandon de A, avec une vitesse
initiale verticale. A l’instant du croisement, les vitesses de A et B sont numériquement égales.
1) Etablir l’équation horaire du mouvement de chaque mobile. NB. L’origine du repère de
chaque mobile est sa position à l’origine des dates. L’axe du mouvement étant orienté vers
le bas.
2) Déterminer la durée du mouvement de chaque mobile au moment du croisement. En
déduire la vitesse correspondante.
3) Calculer la vitesse initiale Vo2 du mobile B

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4) Déterminer l’altitude du croisement puis en déduire la hauteur par rapport au sol à partir de
laquelle A a été abandonné. On donne : g = 10 m/s²

Exercice : 23
Une roue de rayon R et de centre O tourne dans un plan vertical autour de son axe horizontal
à la vitesse constante .
1) Donner l’expression de la vitesse linéaire Vo et l’accélération a d’un point A de la
circonférence. Que peut-on dire de l’accélération angulaire du point A ?
2) A une date choisie comme origine, une goutte d’eau se détache du point A, extrémité du
rayon horizontal OA et s’élève verticalement.
Entre le départ de la goutte et son retour à la position initiale à la descente, la roue a tourné
de l’angle = 190 .
a) Ecrire l’équation horaire du mouvement de la goutte d’eau x = f(t) relativement au
repère (A, ) de l’axe vertical x’x
b) Exprimer la vitesse angulaire en fonction de ; R et g. Faire l’application numérique
pour R = 0,38 m et g = 10 m/s².
c) Le centre O de la roue se trouve à 4 cm du sol horizontal.
A quel instant la goutte d’eau arrive-t-elle au sol ?

O A

X’
Sol

MOUVEMENT D’UN PROJECTILE EN CHUTE LIBRE DE DIRECTION


QUELCONQUE

Exercice : 24
On étudie l’action d’un lanceur de ‘poids‘. On peut décrire cette action par les termes suivants :
Le lanceur projette une masse M = 7,26 kg. Lorsque la masse quitte la main du lanceur
le centre d’inertie de M se trouve en Go à 2,3 m du sol
son vecteur vitesse Vo fait un angle = 42° avec l’horizontal.
Lorsque la masse arrive au sol, son centre d’inertie se trouve en G1 à 21,8 m de la verticale
passant par Go. On donne g = 10 m/s²
1) Etablir l’équation de la trajectoire du centre d’inertie G de la masse.
2) En déduire la valeur de Vo et calculer la durée du mouvement du ‘’poids’’
y
3) Donner les caractéristiques de V en G1 (point de chute)

O x

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Exercice : 25
D’un point A de (O, ) situé à 2,20 m du sol, un basketteur sans adversaire lance le ballon
avec une vitesse contenue dans le plan (O, ) et faisant un angle = 45° avec le plan
horizontal.
1) Etablir l’équation de la trajectoire suivie par le ballon dans le système d’axes indiqués en
fonction de VA. On donne g = 10 m/s²
2) Les verticales A du ballon et C du panier sont distantes de 7,10 m et le cercle du panier
est à 3,05 m de l’horizontal.
a) Quelle doit être la valeur de VA pour que le panier soit réussi
b) Calculer la durée du trajet effectué par le ballon du point A au point C
3) Voulant arrêter le ballon, un adversaire situé à 1,40 m du tireur, saute verticalement en
levant les bras. La hauteur atteinte alors par ses mains est de 2,85 m au-dessus du sol.
et VA ayant les mêmes valeurs que précédemment. Le panier sera-t-il marqué ?
y
C

x
O

Exercice : 26
un projectile est lancé dans le champ de pesanteur (figure ci-dessous) avec une vitesse
initiale = 100 , fait un angle avec le sol horizontal. On mesure la partie horizontale
= et on trouve = 600 .
1) Etablir les équations horaires par
application du TCI
2) En déduire l’équation de la trajectoire
3) Calculer :
a) Les deux angles de tir possibles

z
M

b) La flèche C x
c) La durée du tir si l’impact se O
produit par le sol plan et horizontal
contenant le point de lancement O

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d) La vitesse lors de l’impact et l’angle que , fait avec le plan horizontal.
On donne = 9,8 .

Exercice : 27
On se propose d’étudier un « coup franc » en football. Pour cela, on suppose que :
- Le ballon est une sphère de rayon = 15
- L’influence de l’air est négligeable
- Le joueur tir directement dans le « but » selon le plan ( ; ) (figure ci-dessous)
y B

x
O A

Le ballon est posé en un point O sur le sol horizontal, face au « but » de hauteur
= 2,75 et à une distance = 28,0 . Le joueur tirant le coup franc,
communique au ballon une vitesse initiale dans le plan ( ; ; ) incliné d’un angle par
rapport à l’horizontale. Le gardien est placé sur la trajectoire du ballon, se trouve à 1 m en
avant du « but » au moment du tir.
1) Etablir les équations horaires
2) Montrer que le mouvement est plan
3) Déterminer l’équation de la trajectoire
4) Déterminer la vitesse initiale pour que le ballon pénètre dans le but au ras de la barre
transversale pour = 30° = 9,8
5) A quel instant le gardien doit-il sauter pour intercepter le ballon ?
6) Lorsque le gardien saute, ses doigts peuvent atteindre au maximum 2,75 m. Pourra-t-il
intercepter le ballon ?
7) Pourrait-on avoir le même résultat dans le cas d’un angle de tir pour la même portée
horizontale ? Justifier pour = 19,32

Exercice : 28
Une cible est située en un point C qui a pour coordonnées = 25 et = 18 . A partir
d’un point A de coordonnées = 0 et = 8 , un projectile est lancé avec une lance
= 40
1) Etablir les équations horaires puis déduire l’équation de la trajectoire
2) Déterminer les angles de tir possibles.
3) Exprimer la vitesse en fonction de Z Z
4) En déduire la vitesse au point d’impact C C

x
O
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Exercice : 29
Lors des championnats du monde d’athlétisme qui eurent lieu à Paris en Août 2003, le
vainqueur de l’épreuve du lancer du poids (Andrey MICHNEVITH) réussit un jet à une distance
D = 21,69 m. Pour simplifier les raisonnements, on ne travaillera que sur le centre d’inertie du
boulet (nom courant donné au poids).
L’entraîneur de l’un de ses concurrents souhaite étudier ce lancer. Pour cela, il dispose pour
le centre d’inertie du boulet, en plus de la valeur 21,69 m du record, de la vitesse initiale Vo
mesurée à l’aide d’un chronomètre et de l’altitude h.
Données : Vo = 13,7 m/s ; h = 2,62 m.
Un logiciel informatique lui permet de réaliser une simulation de ce lancer et de déterminer la
valeur de l’angle du vecteur vitesse initiale avec l’horizontale, soit = 43°
1- Etudier le mouvement du boulet dans le repère d’espace (O, x, y).
2- En déduire l’équation de la trajectoire et la nature du mouvement du boulet.
L’origine des espaces sera prise à l’altitude h et l’origine des dates l’instant où le boulet quitte
la main de l’athlète.
3- Vérifier que pour D = 21,69 m, = 43° et h = 2,62 m, la valeur de la vitesse initiale est
Vo = 13,7 m/s
4- L’entraineur veut ensuite savoir sur quel(s) paramètre(s) il peut travailler pour améliorer la
performance de son athlète. Celui-ci est petit que le recordman du monde, sa taille est
telle que l’altitude initiale de ses lancers n’est au maximum que de h’ = 2,45 m. l’entraineur
décide donc d’étudier l’influence de la valeur Vo de la vitesse initiale du lancer et de l’angle
de tir . Il réalise des séries des simulations à l’aide de l’ordinateur puis il trouve qu’avec
Vo = 14 m/s et un angle de tir = 41°, il peut battre le record du monde. En vous aidant
de l’équation de la trajectoire de l’équation 2), vérifier que le record du monde peut être
battu. Calculer pour cela la distance D. On prendra g = 9,8 m/s²

Exercice : 30
1) Une bille A assimilable à u point matériel est lancée du point à l’instant t = 0 avec une
vitesse verticale orientée vers le bas de norme VA = 7 m/s
a-) Montrer que l’accélération est égale à g
b-) Etablir l’équation horaire du mouvement de la bille A
2) Au même instant t = 0, on lance d’un point O une deuxième bille B assimilable à un point
matériel avec une vitesse faisant un angle = 30° avec l’horizontale
a-) Etablir les équations horaires du mouvement suivant les axes ox et oy
b-) Calculer la norme VB de la vitesse initiale pour que la rencontre des deux billes se
produise.
c-) Déterminer l’instant et l’endroit de la rencontre
On donne g = 10 m/s2 et OI = 3 m

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I x
O

Exercice : 31
Un élève en classe de terminale, décide d’utiliser ses connaissances en mécanique pour
étudier le mouvement de la flèche tirée par son pistolet. Négligeant l’action de l’air et prenant
g = 10 m/s², il considère la flèche comme un objet ponctuel de masse m = 50 g et de vitesse
initiale inclinée d’un angle par rapport à l’horizontale.
1) Dans le repère (O, ) (cf schéma ci-dessous, O étant le point du sol se trouvant sur la
verticale de M), établir, sous forme littérale, les équations horaires du mouvement de la
flèche après son lancement. En déduire l’équation de sa trajectoire et sa nature
2) Grâce à un logiciel informatique, cet élève a réussi à déterminer la vitesse initiale de
sortie de ses flèches. Il a trouvé Vo = 10 m/s. il tire sa flèche d’une hauteur d1 = 1,5 m,
l’angle est égal à 40°. A quelle distance de la verticale passant par O tombera la flèche ?
3) Cet élève veut déterminer expérimentalement la valeur de , il fait l’essai suivant : le
pistolet est incliné de 30°, son extrémité est située à une distance d2 = 1,2 m du sol. Cet
élève tire et constate que la flèche touche le sol 1,2 s après son départ du point M.
a) Calculer la vitesse initiale en utilisant les équations établies à la question 1).
b) Cette valeur est-elle en accord avec celle donnée à la question 2) ?
y

M
d

x
O
Exercice : 32
Un sportif s’apprête à réaliser l’exploit de sauter avec moto du toit d’un immeuble vers un
autre, distant de 90 m. Le toit de l’immeuble de départ est à 20 m au-dessus de celui du
deuxième.
1) a-) Sachant que le sportif et sa moto quittent l’immeuble de départ avec une vitesse
horizontale , établir les équations horaires du mouvement du centre d’inertie du système
dans le repère représenté sur le schéma ci-dessous. On négligera la résistance de l’air.
b-) En déduire l’équation de la trajectoire
2) pour des raisons de sécurités, le sportif doit atterrir à 10 m du bord de l’immeuble, soit à
100 m de l’immeuble de départ. Montrer que la valeur minimale de Vo doit être de 50 m/s.
3) On s’intéresse au mouvement du sportif et sa moto sur l’immeuble de départ. Sachant que
la moto démarre avec une accélération constante de 12,5 m/s².
Déterminer la distance minimale du parcours avant le saut. g = 10 m/s²

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O
x
Immeuble de
départ 20 m

Immeuble
90 m d’arrivée

y
Exercice : 33
Un skieur nautique de masse m = 60 kg effectue un saut à l’aide d’un tremplin. Le tremplin AB
de longueur L = 4 m est incliné d’un angle = 30° par rapport au plan de l’eau, au passage
en A, le skieur lâche le câble qui le relie au bateau tracteur. Sa vitesse est alors VA = 20 m/s.
1) Calculer l’accélération théorique du mouvement du skieur sur AB en supposant que les
frottements sont négligeables. Quelle est alors sa vitesse en B ?
2) En réalité le skieur quitte le tremplin au point B avec une vitesse effective VB = 12 m/s.
On étudie la trajectoire du skier dans le repère Bxy.
a-) Donner l’équation littérale, puis numérique du skieur
b-) Calculer la longueur du saut sur le plan de l’eau. On prendra g = 10 m/s²
N.B : dans tout le problème, on assimilera le mouvement du skier à celui d’un point matériel.

B x

Exercice : 34
Un solide (S) de masse 500 g est abandonné du point A sommet d’un plan incliné AO, dont la
plus grande pente forme un angle = 30° avec le plan horizontal.
1) Déterminer la vitesse de (S) à son arrivée en O
2) En réalité (S) arrive en O avec la vitesse de module V0 = 4,5 m/s. déterminer l’intensité
des forces de frottement qui s’opposent à l’avancement de (S).
3) Arrivée en O avec la vitesse V0 ; (S) quitte le plan incliné et tombe en chute libre.
a-) Etablir l’équation de la trajectoire du mouvementA de (S) entre O et C
b-) Déterminer l’abscisse du point de chute.
On donne OA = L = 2,5 m ; g = 10 m/s² ; OO’ = 5 m.
O x

O’
C
y
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Exercice : 35
1) Un projectile M de masse m est lancé du point O vers le haut d’un plan incliné d’un angle
= 15° avec l’horizontale avec la vitesse Vo = 3,5 m/s ; la longueur de ce plan est OA =
1,95 m.
a) Si l’on suppose que les frottements sont négligeables. Avec quelle vitesse VA le projectile
arrive-t-il en haut du plan incliné ?
b) En réalité, il y a frottement et la vitesse atteinte au point A par le projectile vaut
V’A = 1,5 m/s
Déterminer la force de frottement f parallèle à OA appliquée au projectile entre O et A, et
supposée constante sur cette distance.
2) Arrivé en A, le projectile quitte le plan incliné avec la vitesse V’A = 2 m/s
a) Dans le repère (B, Bx, By), établir l’équation de la trajectoire suivie par le projectile.
b) Quelle est la distance séparant le point B du point D de chute du projectile.
On donne m = 50 g ; g = 9,8 m/s²
y

x
O B D

MOUVEMENT D’UNE PARTICULE CHARGEE DANS UN CHAMP


ELECTROSTATIQUE
Exercice : 36
Dans le but de déterminer la nature d’une particule de charge q et de masse m, on se propose
d’étudier le mouvement de cette particule dans l’espace champ électrique créé par deux
plaques métalliques chargées.
La particule pénètre en O à l’intérieur d’un condensateur plan où règne un champ électrique
uniforme, avec une vitesse horizontale de module Vo = 2.107 m/s. La différence de
potentiel entre les plaques A et B de longueur L = 20 cm et distantes de d = 5 cm est telle que
VA – VB = 100 V. cette particule sort du condensateur au point S.
1- a.) Représenter le vecteur champ électrique et la force électrique entre les plaques A
et B
b.) Préciser le signe de la charge q. Justifier.
2- A partir d’une étude dynamique du mouvement de la particule, déterminer l’équation de la
trajectoire à l’intérieur des plaques entre le point O et le point S.

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3- a.) Calculer le rapport appelé charge massique de la particule, sachant que la déviation
angulaire à la sortie est telle que tan = 0,176.
b.) Déduire la valeur algébrique de la charge q si m = 0,91.10-30 kg
c.) Quelle est alors la nature de la particule ?
On néglige le poids de la particule devant la force électrique.

y
A
S

O x
d I O’

B
L

Exercice : 37
Une particule ( ) pénètre en O avec une vitesse horizontale dans un champ électrique
uniforme entre deux plaques A et B de longueur L = 10 cm, séparées par une distance d = 5
cm et soumises à une différence de potentiel UAB = 2.104V
1) Donner les signes des deux plaques
2) Représenter la force électrostatique et le champ à l’intérieur des plaques.
3) Déterminer l’expression littérale de l’accélération a du mouvement de la particule
4) Etablir d’équation de la trajectoire et sa nature
5) L’ordonnée du point de sortie de la particule du champ est Ys = 4 mm. Calculer la valeur
de la vitesse
On donne : = 6,64x10-27 kg ; = 1,6.10-19c y
(B)

O x
d

Exercice : 38 (A)
Un condensateur plan est constitué de deux plaques, métalliques parallèles horizontales
rectangulaires A et B de longueurs L et séparées par une distance d. En chargeant les
plaques, on crée entre elles un champ électrostatique uniforme . On raisonnera dans le plan
(O, ), le point O étant équidistant des plaques et situé à l’entrée du condensateur.
Un faisceau homocinétique de protons de masse m arrive en O avec la vitesse contenue
dans le plan (O, ) et faisant avec l’axe x’x un angle (voir schéma)
1- a.) Indiquer, en le justifiant, le sens du champ électrique et le signe de la tension
VA – VB = U pour que le faisceau de protons puisse recouper l’axe x’x
b.) Etablir l’équation de l trajectoire du faisceau de protons

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2- a.) Exprimer littéralement la relation que doit vérifier U si l’on veut que le faisceau de
protons sort du condensateur par le point O’ situé sur l’axe x’x. Calculer U
On donne : Vo = 500 km/s ; = 30° ; L = 20 cm ; d = 10 cm ; m = 1,6.10-27 kg ; e = 1,6.10-19c
b.) la tension U ayant la valeur trouvée précédemment, déterminer la hauteur maximale
atteinte par le faisceau de protons au-dessus de l’axe x’x.

x
d O
O’

B
L
Exercice : 39
Un électron pénètre horizontalement entre 2 plaques chargées A et B de longueur L séparées
par une distance d avec une vitesse .
On règle la tension UAB de sorte que l’électron sorte du champ en rasant la plaque supérieure
au point S. Pour cela, on propose d’évaluer le module du champ vecteur électrique créé
entre ces deux plaques.
1) Exprimer le vecteur accélération en fonction du vecteur champ électrique
2) Trouver les équations horaires de ce mouvement
3) Déduire l’équation de la trajectoire
4) Donner les coordonnées du point de sortie S
5) Etablir l’expression du module de au point S
y
6) Quelle est alors la valeur de E ? A
On donne : Vo = 107 m/s ; d = 0,2 m ; + + + + + + + + + +
L = 0,1 m ; me = 9,1.10-31 kg
d O x

- - - - - - - - - - - -
B

Exercice 40
1) Entre un filament (F) et une plaque (P) existe une d.d.p Uo = VP – VF > 0. Un électron émis
par (F) avec une vitesse négligeable arrive en O avec la vitesse .
Déterminer la vitesse en appliquant le théorème du centre d’inertie
On donne : Uo = 500 V ; me 9,1.10-31 kg ; e = 1,6.10-19c
2) L’électron avec la vitesse , pénètrent entre deux plaques AA’ et BB’ parallèles et
horizontales. Ces plaques ont pour longueur et la distance qui les sépare est d. La tension
entre les plaques est VB – VA supérieure à 0.

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Un écran fluorescent (E) est placé perpendiculairement aux plaques à distance D + de O.
a) Déterminer la position du point d’impact M de l’électron sur l’écran en exprimant la
distance O’M en fonction de Uo, U, , d et D.
Uo = 500 V ; = 4 cm ; d = 2 cm ; D = 50 cm ; U = 50 V
b) On peut régler la tension U. Comment doit-on régler la valeur de U pour que l’électron
sorte effectivement du champ électrostatique existant entre les deux plaques, sans être
intercepté par l’une des plaques.
3) La tension U est de nouveau fixée à 50 V. Le vecteur est à présent incliné sur
l’horizontale d’un angle et dirigé vers le haut. Calculer la valeur de l’angle pour que
l’électron sorte parallèlement à OO’
y (E)
(F) (P)
A A’

d 2
O O’ x

L 2
B B’ D+

Exercice : 41
Un faisceau homocinétique d’électron pénètre en O situé au milieu des armatures A et B
horizontales d’un condensateur avec une vitesse horizontale. Les armatures de longueur
L, distantes de d sont soumises d’une tension UAB positive.
L’électron se déplace dans le vide, on néglige le poids de l’électron.
1) Etablir l’équation de la trajectoire dans un repère (O, ) convenablement choisi
2) Déterminer le déplacement ym de l’électron et l’angle de déviation de loa trajectoire de
l’électron à la sortie du condensateur
3) On place un écran E perpendiculaire à l’axe Ox à une distance D de O
a) Evaluer l’ordonnée yp du point d’impact p sur E.
b) Calculer la vitesse de l’électron en ce point sur E.
Données : L = 2 cm ; d = 1 cm ; D = 52 cm ; Vo = 107 m/s ; me = 9,1.10-31 kg ; e = 1,6.10-19c

MOUVEMENT D’UNE PARTICULE CHARGEE DANS UN CHAMP


MAGNETIQUE

Exercice : 42
La figure illustre le principe d’un tube à faisceau d’électron. Un canon à électrons produit des
électrons qui sont injectés en O1 avec une vitesse négligeable et qui sortent en O2 avec une
vitesse V. L’expérience se déroule dans le vide. On néglige le poids des particules devant les
autres forces, et on applique les lois de la mécanique classique.
1) Les électrons sont d’abord accélérés entre les plaques M et N par une tension

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a) Quel doit être le signe de cette tension ?
b) Exprimer la vitesse V des électrons en fonction de leur masse m, de la valeur absolue
de leur charge e, et de la tension = | |.
A.N : ; ;
2) Les électrons pénètrent ensuite dans un champ magnétique uniforme orthogonal au plan
de la figure et dirigé vers l’avant.
a) Montrer que le mouvement des particules est circulaire uniforme
b) Exprimer le rayon R de la trajectoire en fonction des caractéristiques de la particule, du
champ magnétique et de la vitesse de la particule. A.N :

M N A

Exercice : 43
On se propose de séparer les hélions
= 5. 10 et = 6,7. 10

Ses noyaux sont accélérés par une tension = 8000 d’un accélérateur de charge.
Au point S, ses noyaux quittent l’accélérateur et pénètrent dans un spectrographe de masse
où règne un champ magnétique B. Ils sont enfin reçus sur l’écran fluorescent donnant les
points d’impact et
1) Déterminer en fonction de e, U, ou les
vitesses et des noyaux au point S.
2) Indiquer le sens du champ en justifiant
P
3) a.) Donner les expressions littérales des S
rayons et de chaque isotope et
calculer leurs valeurs numériques pour B = 1 T
b.) En déduire la distance entre et

Exercice : 44
On envisage la séparation d’un mélange naturel d’isotopes du nickel à l’aide d’un
spectrographe de masse. On néglige le poids des ions devant les forces magnétiques.
L’échantillon est introduit dans la chambre d’ionisation (I). Les ions Ni2+ produits sont accélérés
dans le vide entre 2 plaques parallèles P1 et P2 par une tension U de valeur absolue 3880V.

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1-) Préciser sur un schéma, justification à l’appui, le sens du vecteur champ électrique entre
P1 et P2 et représenter la tension U.
2-) Déterminer la vitesse v1 des ions à leur passage par le trou O2 .
3) Déterminer la distance A1A2 séparant les points d’impact des ions et .
On donne : ; B = 0,50 T ; charge élémentaire

Exercice : 45
On place un élément chimique inconnu X dans une chambre d'ionisation. Elle produit des ions
qui sont introduits avec une vitesse nulle en P1 (voir la figure). La masse des ions est notée
m et on donne e= 1,6 10-19 C.
1. Entre P1 et P2 on applique une différence de potentiel U =UP1P2.
Exprimer la vitesse VB des ions au trou B de la plaque P2 en fonction
de n, e, m et UP1P2.
2. En B ouverture très petite, les ions pénètrent avec une vitesse
horizontale dans une région où règne un champ magnétique
perpendiculaire au plan de la figure. Les particules sont détectées au
point C.
2.1 Indiquer le sens du champ magnétique.
2.2 Déterminer la nature du mouvement dans le champ
magnétique.
2.3 Quelle est la vitesse en C?
3. Exprimer la distance BC en fonction de m, n, e, UP1P2 et B (où B est la norme du champ
magnétique).
4. On sait que X est : soit l'isotope de masse atomique 59 du nickel qui conduit à l'ion Ni2+, soit
de l'aluminium (isotope de masse atomique 27) qui conduit à Al3+, soit de l'argent (isotope
de masse atomique 108) qui conduit à Ag+.
Calculer numériquement les distances BC correspondant à chacun des trois ions.
On donne : B=1 T , UP1P2 = 1000 V et mp = 1,67 10-27kg
On trouve approximativement BC=27,4mm. Quel est l'élément X?

Exercice : 46
On se propose de séparer les ions Li et 7Li+ de masses m1 et m2 à l’aide d’un spectrographe
6 +

de masse.
1). Les ions pénètrent en O dans le champ électrique uniforme existant entre les deux
plaques verticales P1 et P2 pour y être accélérés jusqu’en O’. Les plaques P1 et P2 distantes
de d=10cm, sont soumis à la tension U= VP1 –VP2= 2000V.

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a). Quelle est la nature du mouvement des ions Li+ entre les plaques P1 et P2 ?
b). Les ions 6Li+ et 7Li+sortent en O’ du champ électrique avec des vitesses respectives V1 et
V2, leur vitesse en O est négligeable.

Etablir la relation =

2). A leur sortie en O’, les ions Li+ pénètrent dans une région où règnent un champ magnétique
uniforme normal au plan du schéma.
a). Préciser en le justifiant le sens du vecteur
b). Montrer que le mouvement d’un ion Li+ s’effectue dans le plan du schéma
c). Montrer que la valeur de la vitesse est constante
d). Montrer que la trajectoire est circulaire. Exprimer son rayon R
3). Après leurs déviations les ions 6Li+ et 7Li+ arrivent en F1 et F2.
Exprimer la distance F1F2 entre les deux types d’ions en fonction de B, m1, m2, U et e. Données
: m1=6u ; m2= 7u ; q=e= 1,6 10-19 c ; 1u=1,67.10-27kg

MOUVEMENT D’UN SATELLITE AUTOUR DE L’ORBITE


Exercice : 47
La loi de newton sur l’attraction universelle s’exprime par la relation , d est la distance
-11
des corps en interaction de masse M et m ; G = 6,67.10 USI, constante de gravitation
universelle.
1-a) Donner l’expression de l’accélération de la pesanteur au niveau du sol en fonction de
la masse M de la terre, de la constante G et du rayon R de la terre.
b-) En déduire la valeur de la masse M de la terre sachant que = 9,81 m/s² et R = 6400 km

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c-) Montrer qu’à l’altitude h, peut s’exprimer sous la forme
)
2-) Un satellite artificiel évolue à haute altitude h, décrivant un cercle concentrique à la terre
a-) Montrer que le mouvement du satellite est circulaire uniforme
b-) Calculer sa vitesse linéaire pour h = 36000 km
c-) Déterminer la période de révolution du satellite en heure
d-) Comparer cette période à celle de la terre autour de l’axe des pôles.
Comment qualifie-t-on ce satellite ?

Exercice : 48
Dans tout le problème on admet que : la terre présente une répartition de masse à symétrie
sphérique ; on peut confondre le champ gravitationnel de la terre et le champ de pesanteur
terrestre noté g. Les satellites artificiels de la terre sont considérés comme ponctuels.
Données numériques : G = 6,67.10-11 ; = 6,38.103 km ; = 9,80 m/s²
Le tableau suivant donne les caractéristiques des orbites circulaires de météostat et de spot,
satellites artificiels de la terre.
Satellite n°1 Satellite n°1
(méteostat) (Spot)
3
Période T (min) 1,43.10 101
4
Rayon de l’orbite r (km) 4,21.10 7,2.103

1) Calculer pour chacun des satellites le rapport . Que montrez-vous ?


2) a-) Etablir que dans le référentiel géocentrique, le mouvement d’un satellite de masse m
en orbite circulaire est uniforme
b-) Donner l’expression de la vitesse V en fonction de G, M (masse de la terre) et r.
On rappelle que r = R + h
3) Dans le cas des satellites de la terre, montrer que peut s’écrire sous la forme =
Déduire la valeur de la masse M de la terre

Exercice : 49
1) On considère un satellite en rotation sur une orbite circulaire autour de la terre à l’altitude
du satellite est 3200 km. Calculer la vitesse de satellite et le temps nécessaire pour faire
deux tours de terre. La valeur de l’accélération de la pesanteur g au-dessus de la terre est
donnée par la relation
)
: accélération de la pesanteur au sol est 9,81 m/s² ; : rayon terrestre ; : altitude
2) Quelle devrait être l’altitude du satellite pour qu’il paraisse immobile à un observateur
terrestre ? on suppose que le plan de l’orbite est celui de l’équation terrestre
Exercice : 50
1) Une fusée de masse totale M = 100 tonnes, s’élevant verticalement sous l’action de la
poussée exercée par le moteur a une accélération a = 8 m/s². g = 10 m/s².
Calculer la valeur de F
2) Cette fusée place à l’altitude h = 500 km un satellite artificiel sur une orbite circulaire ayant
pour centre, le centre de la terre.
a) Montrer qu’à cette altitude, on a :
)
b) Sachant que ce satellite décrit cette orbite avec une vitesse dans le module est
constante est 7,7 km/s et que le rayon de la terre est R = 6400 km.

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Calculer l’accélération du satellite à l’altitude h puis la durée d’une révolution
( = 10 m/s² )
3) En réalité ce satellite est géostationnaire
a) Qu’appelle satellite géostationnaire ?
b) Quel est le rayon de son orbite ?

Exercice : 51
La terre est assimilée à une sphère de rayon R animée d’un mouvement de rotation uniforme
autour de l’axe des pôles, de masse M dont la répartition est homogène et à symétrie
sphérique. On souhaite placer un satellite de masse ms en orbite autour de la terre, dans ce
but, on emploie une fusée de masse mf. On néglige les forces de frottements.
I) Les moteurs de la fusée exercent une force verticale d’intensité F
a) Etablir l’expression littérale de l’accélération de la fusée lorsqu’elle quitte le sol en
fonction F, mf, et g0
b) Calculer sa valeur numérique sachant que F = 106 N, mf = 50 tonnes et
g0 = 9,8 m/s². NB : 1 tonnes = 1000 kg
c) Au-dessous de quelle valeur de F, la fusée serait-elle incapable de quitter le sol ?
II) Le satellite décrit une orbite circulaire de rayon r dans plan équatorial terrestre à
l’altitude Z. Etablir en fonction de la constante de gravitation G, de la masse M de la
terre, du rayon R de la terre et de l’altitude Z, les expressions :
a) Du champ de pesanteur g
b) De la vitesse du satellite
c) De la période de révolution T.
III) A quelle distance Z0 faudrait-il placer ce satellite pour qu’il puisse être géostationnaire
(c’est-à-dire de période T0 = 24h) ?
On donne : G = 6,67.10-11 SI. M = 5,98.1024 kg. R 6400 km.

Exercice : 52
Un satellite artificiel de centre d’inertie S, tourne autour de la terre. Son orbite est assimilable à
un cercle de même centre O que celui de la terre. Le point S est constamment à une altitude h
1) Montrer que le mouvement circulaire du satellite est uniforme.
2) Exprimer la vitesse linéaire de S en fonction de R (rayon de la terre), h et (intensité de la
pesanteur au sol)
3) a-) Exprimer la période T du satellite en fonction de R, h et
b-) Montrer que
)
c-) Calculer V et T si h = 36000 km. Conclure. On donne : R = 6400 km.

MOUVEMENT D’UN PENDULE CONIQUE AUTOUR D’UN AXE FIXE

Exercice : 53
Une boule métallique M ponctuelle de masse m = 30 g est suspendue à l’extrémité d’un fil
inextensible de longueur l = 1 m et de masse négligeable. L’autre extrémité du fil est fixée au
A d’axe vertical ( ) tournant autour de lui-même à la vitesse angulaire constante.
Pour une valeur une valeur suffisante, le fil s’incline d’un angle et M décrit dans le plan
horizontal un mouvement circulaire uniforme de centre O. on prendre g = 10 m/s².
1) En faisant l’étude dynamique dans un référentiel galiléen, établir la relation
entre et
2) Quelle est la vitesse minimale de en dessous de laquelle le fil ne s’incline pas ? ( )

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3) Calculer la tension du fil
a) Pour = 30°
b) Pour les deux valeurs de : = 6 rad/s et = 2 rad/s

Exercice : 54 A
Une barre verticale zz’ tourne sur elle-même à la vitesse angulaire constante .
On prend g = 10 m/s², soient deux points A et B de zz’ tels que AB = 2,4 m. M
Une masse ponctuelle est reliée à ces deux points par deux fils souples
inextensibles de longueur AM = BM = l = 1,5 m. On donne m = 0,5 kg et = 6 rad/s.
1) Quelles sont les tensions de AM et BM lorsque la vitesse de régime est atteinte ?
2) a-) Pour quelle valeur de la tension du fil BM n’est plus tendue ? B
b-) Quelle est alors la valeur de la tension du fil AM ? Z’

Exercice : 55
On dispose d’un ressort à spires non jointives de longueur à vide Lo, de raideur k. On néglige
la masse du ressort dans tout le problème. On enfile sur ce ressort une tige OT sondée sur un
axe ( ) faisant avec la verticale descendante un angle ( < 30°). Une des extrémités du
ressort est fixée en O, tandis que à l’autre, on accroche un corps de masse m ; coulissant sans
frottement. Le système est au repos.
1) Faire l’inventaire des forces appliquées au corps C O
2) Calculer la longueur L1 du ressort à l’équilibre
3) Calculer l’intensité de la force exercée par la tige OT sur C
On donne : Lo = 0,2 m ; k = 25 N/m ; = 30° ; m = 200 g ; g = 9,8 N/kg
4) La tige étant supprimée ; l’ensemble tourne autour de ( ) à la vitesse
angulaire constante. Le ressort n’oscille pas et a une longueur L2
a) Préciser la trajectoire décrite par le point C
b) Exprimer la longueur L2 en fonction de , k, Lo et m.
c) Calculer L2 sachant que = 7 rad/s

Exercice : 56
On considère un ressort R, de masse négligeable, à spires non jointives enfilé sur une tige
OA. Cette tige est soudée perpendiculairement en O à un axe de rotation vertical ( ). L’une
des extrémités du ressort est fixée en O tandis que l’autre extrémité on accroche une bille de
masse m = 200 g coulissant sans frottement sur la tige OA. La longueur à vide du ressort est
Lo = 20 cm, sa raideur est k = 50 N/m. La limite d’élasticité du ressort est atteinte lorsque la
tension T prend la valeur limite Tmax = 5 N. On donne : g = 10 N/kg
1) La tige OA tourne autour du point O, à la vitesse angulaire = 6 rad/s
a-) Exprimer la longueur L1 du ressort en fonction de , k, Lo et m. calculer L1
b-) Quelle doit être la vitesse angulaire maximale pour ne pas détériorer le ressort ?

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2) La tige OA est supprimée. Le système ressort bille est maintenant fixé en O à l’axe de
rotation verticale qui tourne à la vitesse angulaire constante . A cette vitesse l’axe de
rotation du système ressort bille décrit un cône de demi-angle au sommet =
a) Exprimer en fonction de Lo, ; g ; k et . Calculer
b) Montrer que la limite d’élasticité du ressort n’est pas atteinte.

Exercice : 57
1) Un ressort R de longueur à vide Lo = 20 cm, dont on néglige la masse, s’allonge de 0,1
mm quand il est soumis à une traction de 0,01 N.
Calculer la constante k raideur de ce ressort
2) Le ressort R chargé d’une masse m = 0,1 kg est fixé à son extrémité supérieure au point
A d’un axe vertical AZ, autour duquel on le fait tourner. Sachant que l’axe du ressort décrit
un cône de demi-angle au sommet égal à 60°.
a) Calculer la longueur L du ressort
b) Quel est le nombre de tours par minute effectués par le centre d’inertie G de la masse m.
c) Brusquement le ressort se casse. Sachant que le point A est situé à 1,36 m du sol.
A quel instant après la cassure du ressort, la masse m arrivera-t-elle au sol ?
On prendre g = = 10 USI.
d) A quelle distance de Z tombe-t-elle ?

Exercice : 58
1) On considère un ressort élastique (R) de masse négligeable à spires non jointives, de
longueur à vide Lo, suspendu verticalement par l’une de ses extrémités. Lorsqu’il est tendu
sous l’action d’un poids de masse m, sa longueur à l’équilibre est L. y
Déterminer la constante de raideur k du ressort. A.N : Lo = 20 cm; A
L = 24 cm et m = 200 g
2) Le système ressort-masse est fixé par une articulation en A à une
tige verticale y’y qui l’entraine en rotation à une vitesse angulaire
constante
a) Montrer qu’au cours du mouvement de rotation, l’axe du
système ressort-masse s’incline d’un angle par rapport à la verticale.
b) Exprimer la vitesse angulaire en fonction de Lo, m, g, k et . En
Y’
déduire la période de la rotation autour de l’axe y’y. A.N : = 30° ; g = 9,8 m/s²

Exercice : 59
1) On considère un ressort vertical à spires non jointives de masse négligeable. Sa longueur
à vide est Lo = 20 cm. Quand on y suspend un solide de masse m = 200 g, sa longueur
devient L1 = 21 cm. Calculer la constante de raideur k de ce ressort. On donne g = 10 m/s²
2) Ce ressort muni de la masse m est fixé par son extrémité supérieure à une tige verticale
qu’un moteur fait tourner d’un mouvement uniforme autour de son axe ( ) décrivant ainsi
un cône de révolution de demi-angle au sommet . La longueur du ressort devient alors
L2 = 23 cm. Calculer :
a) La tension T du ressort
b) L’angle que fait l’axe du ressort avec la tige
c) La vitesse de rotation de la tige en tours par seconde

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Exercice : 60
Un solide ponctuel de masse m = 250 g suspendu à un ressort à spires non jointives de masse
négligeable et de longueur à vide Lo = 20 cm lui-même communique un allongement de 10
cm.
1) Calculer la constante de raideur k du ressort. (g = 10 m/s²)
2) On fait tourner l’ensemble du ressort et du point matériel autour d’un axe vertical à la
vitesse de rotation de 67,10 tours par minute, l’ensemble décrit alors, sur le plan horizontal,
un cône de révolution
a) Déterminer la longueur et la tension du ressort au cours de la rotation
b) Quel angle fait le ressort avec l’axe vertical ?

Exercice 61
On considère un ressort, de masse négligeable, à spires non jointives enfilé sur une tige (OT). La
tige inclinée d’un angle = 60°, est soudée en O à un axe de rotation vertical ( ). L’une des
extrémités du ressort est fixée en O tandis que l’autre extrémité on accroche une bille (B) de masse
m = 200 g coulissant sans frottement sur la tige. La longueur à vide du ressort est Lo = 20 cm, sa
raideur est k = 50 N/m. On prendra = 10
1) Le système est immobile. Calculer la longueur du ressort à l’équilibre.
2) Le système tourne autour de l’axe ( ) à la vitesse angulaire
constante et la longueur du ressort devient L2 = 25 cm
a) Déterminer la valeur numérique O
de la vitesse angulaire
b) En déduire l’intensité de la réaction R exercée
par la tige (OT) sur la bille (B)
3) Pour quelle valeur de la vitesse angulaire
la bille (B) décolle de la tige (OT) ? ( )

DERAPPAGE D’UN CYCLISTE DANS UN VIRAGE ET MOUVEMENT


CURVILIGNE
Exercice : 62
Une moto se déplace sur une ligne droite à la vitesse de 57,6 km/h doit négocier un virage
circulaire de rayon R = 100 m avec une vitesse constante V. il décide de ralentir sur allure
100 m avant le début du virage. La décélération pendant le ralentissement est constante et a
pour intensité 0,78 m/s².
1) Calculer
a) La vitesse V à la fin du ralentissement
b) La durée du ralentissement
2) La piste est horizontale. Quel est l’angle dont le pilote doit incliner sa machine par rapport
à la verticale

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3) Calculer l’intensité de la résultante des forces qui s’appliquent sur la moto de masse (pilote
y compris) égale à 130 kg.
Exercice : 63
Un cycliste parcours un virage circulaire de rayon R = 40 m sur une route horizontale. Le virage
est relevé d’un angle tel que tan = . Avec quelle vitesse constante le cycliste doit-il aborder
le virage pour éviter tout dérapage.
Exercice : 64
On considère un axe ) vertical, tournant à la vitesse constante , sur lequel est fixée une
tige (t) horizontale.
1) On enfile sur la tige un ressort (R1), de masse négligeable, et de raideur k, fixé en O (voir
figure) et portant à son extrémité un anneau coulissant sans frottement sur la tige (t).
Déterminer l’allongement du ressort en fonction de , m, k et longueur du ressort à vide.
A.N : = 50 ; =4 ; = 200 = 48

( ) ( )
(t)
O

( )

2) On enfile un second ressort (R2) sur la tige (t). (R2) a la même raideur que (R1), mais la
longueur à vide est . Une de ses extrémités est fixée à l’anneau (A1). A l’autre extrémité
est fixée un anneau (A2), identique à (A1) (voir figure).
Les anneaux, dont l’épaisseur est négligeable, coulissent sans frottement sur la tige.
Déterminer les allongements et les tensions des ressorts en fonction de , m, k, et .
A.N : = 50 ; =4 ; = 200 ; = 48 = 60,2

( ) ( ) ( ) ( )
(t)
O

( )
Exercice : 65
Un cône creux, d’axe vertical a son sommet vers le bas. Sur la paroi intérieure, tourne sans
frottement à vitesse angulaire constante, un point matériel. L’angle au sommet du cône est
= 60° et la distance du sommet du cône au plan de la trajectoire est h = 20 cm.
Déterminer la vitesse angulaire en fonction de g, h et . Faire l’application numérique.

Exercice : 66
Une petite sphère solide de masse m assimilable à un point matériel peut glisser sans
frottement sur la face intérieure de la demi-sphère. On désigne par M la position et l’angle
que font les rayons OS et OM. On communique à ce solide à partir d’une position initiale M
une vitesse tangente à la demi-sphère telle qu’il décrive un mouvement uniforme un cercle
horizontal passant par ce point M, sur la face intérieure de la demi-sphère.

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1) En utilisant le TCI, donner l’expression du module V de la vitesse
du solide en fonction de , g et R O
2) Calculer V pour la position M telle que SA =
3) En déduire la vitesse angulaire du solide. M
On donne R = 0,8 cm et g = 10 m/s².
A S

Exercice : 67
La terre tourne autour du soleil en un an soit 365 jours pour effectuer un tour complet. En
admettant que le mouvement de la terre autour du soleil est circulaire et uniforme et que le
rayon de la trajectoire est de R = 150.103 km. Calculer :
a) Le module du vecteur vitesse de ce mouvement de la terre
b) Le module du vecteur accélération correspondant
c) La vitesse angulaire caractéristique puis la distance parcourue en un an

TRAVAIL ET PUISSANCE DES FORCES, ENERGIES DES SYSTEMES


MECANIQUES ET NOTION DES CHOCS

EXERCICE 72

On considère le dispositif décrit sur le schéma dans lequel tous les frottements sont
négligeables. A l’instant la bille(2) de masse =2 est immobile en B et on lâche en A
sans vitesse initiale la bille(1) de masse = 100g.

1) Déterminer les vitesses et des billes après le choc supposé élastique.

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2) Déterminer la hauteur maximale h à laquelle la bille(1) remonte après le choc et
calculer alors la valeur de la réaction de la pente circulaire de rayon r=1m sur la

A O
bille(1)

r=1m

EXERCICE 74

On considère le dispositif ci-après :


Le système est maintenu à l’équilibre, à l’instant t= 0, on abandonne le système
Cylindresans
pleinvitesse
homogène de
initiale et on néglige les frottements. masse m= 2 kg et de rayon
r= 30 Cm.
Fil inextensible et de masse
° = 300 g = 200 g
négligeable
Tapez une équation ici. ( )

1) En appliquant le TEC, calcul l’accélération du système.


2) Calcule la tension de chaque brin du fil.
3) Quelle est la distance parcourue par au bout de t=2S ?
On donne g=10m/ .
EXERCICE 75
Un solide (S), assimilable à un point matériel de masse m glisse sans frottement sur le
support ci-dessous.

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O D

r
C

Le solide possède en A, une vitesse =1 . Calcule sa vitesse en B.


1) Il aborde maintenant le tronçon circulaire. Calcule la vitesse du solide au
point C.
On donne h=8m ; r=3m ; g=10m ; = 30°
EXERCICE :76
Un solide ponctuel (S) de masse m=100g est lancé du point A d’une glissière ABC avec une
vitesse de 20m/s. Sur la portion AB qui est horizontale, les frottements sont équivalents à
une force d’intensité f=75N.
Sur la portion BC de rayon r=10cm, les frottements sont négligeables. On donne g=10m/
et AB=20m.
1) Détermine la valeur du solide (S) en B.
2) Etablis l’expression de la vitesse du solide au point M en fonction de .
3) Etablis l’expression de la réaction R de la glissière sur le solide (S) au point M en
fonction de , puis en fonction de .
4) Déduis sa valeur numérique en C. On donne : = .

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O C

A B
EXERCICE 77

Un point matériel de masse est animé avant le choc d’une vitesse .Le point
matériel de masse est au repos.

Le choc est supposé élastique. Après le choc les vitesses de sont et font
des angles et avec la direction de . Exprimer en fonction de .
EXERCICE 78
Un ressort de raideur k auquel est accrochée une masse M est suspendu verticalement,
l’ensemble est en équilibre.
Une particule de masse m arrive de bas en haut sur la masse M avec la vitesse . Calculer le
déplacement maximal de M après le choc.
1) En le supposant parfaitement élastique.
2) En le supposant parfaitement mou (m et M restent solidaires).

EXCERCICE 79

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Une bille, assimilée à un point matériel M de masse m, est lâchée sans vitesse initiale depuis
le point A d’une gouttière situé à une hauteur h du point le plus bas O de la gouttière. Cette
dernière est terminée en O par un guide circulaire de rayon disposé verticalement. La bille,
dont on suppose que le mouvement a lieu sans frottement, peut éventuellement quitter la
gouttière vers l’intérieur du cercle. On désigne par g l’accélération de la pesanteur (cf figure
ci-dessous) A

ya

h C
M

1) Calculer la norme de la vitesse de la bille en O.


2) Exprimer la norme de la vitesse de la bille en un point M quelconque du cercle
repéré par l’angle .
3) Ecrire l’expression de la réaction R du guide circulaire sur la bille.
4) On lâche la bille sans vitesse initiale depuis une hauteur = 2a. Calculer, en degrés
la valeur de l’angle pour laquelle la bille quitte le guide.
5) Calculer la valeur de la composante suivant l’axe ox de la vitesse de la bille au
moment où elle quitte le guide.
6) Calculer la valeur maximale de la hauteur atteinte dans ces conditions par la bille
après qu’elle ait quitté le guide.
Exercice : 80

Un camion de masse M = 10 tonnes aborde un plan incliné de côte 5 % qu’il faut gravir à la
vitesse constante de 36 km/h.
1) Sachant que les forces de frottements qui s’opposent qui s’opposent à l’avancement du
camion ont une intensité constante f = 1500 N et que le moteur exerce une force de traction
parallèle au plan incliné. Calculant en utilisant le T.E.C.
a) La force de traction du moteur
b) La puissance fournie par le travail
2) Au cours de la montée, un obstacle surgit à 40 m devant le véhicule ; à cet instant le
chauffeur débraie, supprimant la force de traction et aussitôt il se met à freiner ;
Quelle est, en utilisant le T.E.C, l’intensité de la force de freinage supposée constante qui
s’exerce sur le véhicule pour obtenir l’arrêt juste avant l’obstacle ?

Exercice : 81
Un solide (S), supposé ponctuel, de masse m = 100g, lancé du sol à partir d’un point A à la
vitesse VA = 10 m/s, glisse sans frottement suivant la ligne AO = L d’un plan incliné d’un angle
= 30° avec l’horizontal (le sol).
1) Calculer l’énergie cinétique du solide (S) au point A.
2) En choisissant comme état de préférence de Ep de pesanteur, le plan horizontal passant
par A. Déterminer :

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a) L’énergie mécanique du système ‘’terre-solide’’ au point O ;
b) L’énergie cinétique du solide en O. En déduire sa vitesse en ce point.
3) Au point O, le solide quitte le plan incliné.
a) Déterminer les équations horaires du mouvement de (S) dans le repère (O, i, j).
b) Déduire la durée de chute. On donne : AO = L = 7,5 m et g = 10 m/s²

x
O

K
A Exercice : 82
Un skieur de masse 80 kg quitte sans vitesse en A et A
les frottements sont équivalents à une force constante
de valeur f = 180 N sur le trajet AC. h
On donne : AC = 20 m, h = 5 m et g = 10 m.s-2 B C 10°
a) Calculer sa vitesse en C : VC ; il saute.
45°
b) Calculer la longueur de son saut : CD

Exercice : 83
D
On lance un projectile (M), supposé ponctuel, de masse m, suivant une piste dont la figure
représente la trace ABC dans un plan vertical. AB est horizontal, BC circulaire, de rayon R,
tangente en B à AB. Les frottements ainsi que la résistance de l’air sont négligeables.
Le lancement est effectué en faisant agir sur M initialement au repos en A, une force ,
horizontale, d’intensité F constante, sur une longueur AA’ = L.
1) Déterminer :
a) La vitesse Vc du projectile au point C en fonction de F, M, R, L, g et
b) La valeur minimale Fo de F pour que M atteigne le point C.
A.N : m = 100 g ; R = 80 cm ; = 60° ; L = 50 cm ; g = 10 m/s²
2) On suppose que la force a pour intensité F = 2,0 N, les autres valeurs numériques sont
celles de la question 1.
a) Déterminer dans le repère (C, X, Y), l’équation de la trajectoire de (M) quand il a quitté C.
b) Déterminer la distance au point B du point d’impact D sur la plan horizontal contenant AB.

y
O

C x

A A’ B D

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Exercice : 84
On considère un point matériel M de masse m glissant sans frottement sur un rail comportant
3 parties : une partie inclinée AB ; une partie horizontale BC et une partie circulaire CDE de
centre O et de rayon r. A l’instant initial, on lâche M du point A sans vitesse initiale.
1) En appliquant le T.E.C, calculer la vitesse VB de M en B et la vitesse VC de M en C.
En déduire la nature du mouvement de M sur la portion BC.
2) Lorsque le point M est dans la position repérée par l’angle c
a) Déterminer en utilisant le T.E.C la vitesse V de ce point M en fonction de VC , r, et g.
En déduire sa valeur numérique au point D.
b) Déterminer l’expression de la réaction R en fonction de VC , r, , g et m.
En déduire sa valeur numérique en D.
On donne AB = 3 m ; r = 1 m ; = 30o, m = 0,1 kg et g = 9,8 m/s2

O D

M
B C
Exercice : 85
Un jeu d’attraction consiste à pousser un chariot de masse m = 5 kg sur la piste dont est
représenté ci-dessous.
Le but du jeu est de faire arriver le chariot sur le plateau CD. Le chariot est poussé seulement
entre A et B. après B, il se déplace seul.
1) Exprimer l’énergie cinétique au point B en fonction de F et l (on suppose que F = constante
et de direction horizontale).
2) Quelle doit être la valeur de F pour que le chariot arrive au point C avec une vitesse nulle ?
on négligera la force due aux frottements. On donne AB = l = 5 m
3) En réalité les frottements ne sont pas négligeables sur la portion AB puisque arrivée en
C, le chariot rebrousse chemin et arrive au point B à la vitesse de 23 km/h. il s’arrête 2 m
après le point B.
a) Quelle est l’intensité de la force de frottement ?
b) En tenant compte de la force de frottement calculée en 3.a), calculer la valeur réelle
de F nécessaire pour que le chariot atteigne le point C avec une vitesse nulle. On
donne g = 9,8 m/s2 C D

h = 20 m

A B
Exercice : 86
Un solide ponctuel (S) de masse m = 100 g est lancé d’un point A d’une glissière ABC avec
une vitesse de 20 m/s (voir figure) sur la portion AB qui est horizontale, les frottements sont
équivalents à une force d’intensité f = 75 N. Sur la portion circulaire BC de rayon r = 10 cm,
les frottements sons négligeables. On donne : g = 10 m/s² et AB = 20 m.
1) Déterminer la valeur VB du solide (S) au point B

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2) a-) Etablir l’expression de la vitesse VM du solide au point M en fonction de VB, g, r et .
b-) Etablir l’expression de la réaction R de la glissière sur le solide (S) au point M en
fonction de VB, m, r, g et .
O C
c-) En déduire sa valeur numérique au point C. On donne : ( )=

M
A B
Exercice : 87
Un mobile M de masse 60 kg glisse sur une piste AB circulaire de rayon r et de centre O tel
que = 60°. BC est une partie rectiligne horizontale de longueur BC = 2r. Toute la trajectoire
du mobile est située un plan vertical. On prendra g = 10 m/s².
Le mobile M démarre sur la piste A avec une vitesse nulle. On admettra que les frottements
entre le mobile et la piste le long du trajet ABC se réduisent à une force unique d’intensité
constante.
1) Exprimer la vitesse du mobile en B et en C (VB et VC) en fonction de F, r, m, g et
2) Le mobile arrive en C avec une vitesse nulle. Déterminer la valeur de la force
A O

B C
Exercice : 88
Une boule homogène de masse m = 500 g et de rayon R = 20 cm est abandonné au sommet
A d’un plan incliné de pente 80%. Cette boule roule sans glisser et est soumise à des forces
de frottements d’intensité 0,5 N sur tout le parcours ABC. (AB = 1 m)
1) Calculer :
a) L’accélération de la boule le long du plan incliné.
En utilisant le théorème de l’énergie cinétique : A
b) La vitesse VB de la boule au point B situé sur l’horizontal
c) La réaction R du plan incliné sur la boule. B C
2) En supposant qu’au point B, la boule conserve
sa vitesse et roule sur le plan horizontal BC jusqu’à
son arrêt complet au point C.
Calculer la distance BC, sachant que la durée de cette phase de mouvement est t = 5 s.

Exercice : 89
Un solide de petite dimension P de masse m = 100 g, assimilable à un point matériel est placé
au sommet A d’une sphère de rayon r = 1 m. on déplace légèrement le point matériel de sorte
qu’il quitte la position A avec une vitesse que l’on considère A
comme nulle, puis glisse sans frottement le long de la sphère. P(m)
1) Donner l’expression du mobile de la vitesse de P en
fonction de l’angle avant qu’il ne quitte la sphère.
2) Donner l’expression du mobile de la réaction exercée
par la sphère sur le solide P en fonction de
3) En déduire l’angle lorsque le point P quitte la sphère.
Quelle est la vitesse en ce point.
Exercice : 90

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Une bille (B) supposée ponctuelle de masse m = 50 g est utilisée comme projectile d’une
fronde. Elle est accrochée à l’extérieur d’un fil inextensible de masse négligeable, de longueur
L = 0,40 m. on fait tourner l’ensemble dans un plan vertical. La bille effectue un mouvement
circulaire de centre C. elle passe au point H le plus élevé de la trajectoire
avec une vitesse VH = 15 m/s. On néglige les frottements de l’air.
1) Déterminer la tension du fil lorsque la bille (B) passe au point H
2) La bille est lâchée en A tel que le rayon CA fasse
avec la verticale du centre C un angle = 30o H
a) Déterminer la valeur de la vitesse VA
b) Le centre C étant à une altitude ZC = 1,40 m au-dessus
du sol. Quelle est l’altitude maximale Zm atteinte par la bille ?
c) Quelle est la durée du vol de la bille ? on prendra g = 10 m/s2
C

A
Exercice : 12
Un wagon de masse une tonne roule à la vitesse constante de 10 m/s sur une voie rectiligne
et horizontale. Il vient heurter un second wagon de masse deux tonnes initialement au repos.
Déterminer :
a) La vitesse de l’ensemble si le choc est considéré mou
b) La vitesse du premier wagon après le choc, si le second part avec une vitesse de 6 m/s.

CENTRE D’INERTIE, MOMENT D’INERTIE, MOMENT CINETIQUE ET


MOMENT DES FORCES

Exercice : 13
Le long d’une barre de masse , de milieu O et de longueur L, est placé deux corps ponctuels
A et B de même masse m = 2M dont l’un est situé à une distance = et l’autre =
Déterminer la position du centre d’inertie G par rapport à O dans les deux cas suivants :
a) Si les corps A et B sont situés des côtés opposés par rapport à O
b) Si les corps A et B sont situés du même côté par rapport à O

Exercice : 14
Soit une barre homogène AB de milieu O, de longueur L et de masse m sur laquelle se trouve
deux masses ponctuelles fixes, l’une de masse 2m, situé au point C distant de A de , l’autre,
de masse 3m situé au point D, distant de B de .
A quelle distance de O se trouve le centre d’inertie G du système (barre-masse) ?

Exercice : 15
Déterminer le centre d’inertie d’une tige de masse négligeable, de milieu O et de longueur L
portant a ses deux extrémités deux masses ponctuelles de masses respectives =2

Exercice : 16

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Sur la périphérie d’un disque de centre O, de rayon R et de masse négligeable, est disposée
trois points matériels A, B et C régulièrement répartis formant un triangle équilatéral.
On donne : = 15 = 15 .
Déterminer la position du centre d’inertie G par rapport au centre O en fonction du rayon R
dans les trois cas suivant : = 10 ; = 30 ; = 50 puis conclure

Exercice : 17
Une tige homogène AB de longueur 2L = 20 cm porte à ses extrémités les masses ponctuelles
= 10 g et = 20 g.
Déterminer la position du centre de gravité du système dans chacun des cas suivants :
1) Dans le cas où la tige a une masse négligeable
2) Quand la masse de la tige est m = 20 g.
3) Pour chacun des cas précédent, déterminer le moment d’inertie du système par rapport
au centre d’inertie G

Exercice 18
Une sphère homogène de masse M = 1 kg et de rayon R = 20 cm tourne autour d’un axe fixe
à la vitesse angulaire = 3 rad/s. Calculer le moment cinétique de la sphère dans les deux
cas suivants
a) L’axe de rotation passe par le centre de la sphère
b) L’axe de rotation passe par la périphérie de la sphère

Exercice : 19
Une platine de tourne disque de moment d’inertie J = 3.10-2 kg.m2 par rapport à son axe de
rotation ( ) est entrainé à la vitesse de 33.3 tours.min-1
1) La platine ne supportant pas de disque, on coupe l’alimentation du moteur. Elle effectue
15 tours avant d’immobiliser. Calculer le moment supposé constant des forces de
frottement.
2) La platine tournant de nouveau à la vitesse de 33.3 tours.min-1 en 30 secondes.
Déterminer :
a) L’accélération angulaire du mouvement
b) Le nombre de tours effectués durant ce ralentissement
c) En admettant que le moment des forces de frottement est resté le même, déterminer
le moment d’inertie J’ de l’ensemble par rapport à l’axe ( )
d) En déduire la masse m du disque. On donne = 50
Exercice : 20
Un disque plan D, vertical et homogène, de masse m = 1 kg, de rayon R = 10 cm, d’épaisseur
constante, peut tourner autour d’un axe horizontal, perpendiculaire à son plan et passant par
son centre O. Les frottements sur l’axe sont équivalents à un couple résistant de moment Mr.
Le disque D, parti du repos, acquiert en un temps t = 10 s une vitesse de 300 tours par minute
sous l’action d’un couple moteur de moment constant Mm = 1,82.10-2 N.m
1) Déterminer l’accélération angulaire du mouvement
2) En déduire :
a) Le moment du couple résistant
b) Le nombre de tours effectués par le disque

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c) Le travail fourni par le moteur dans l’intervalle de temps considéré
Exercice : 21
Un volant a une masse M = 200 kg. Sa masse est uniformément répartie sur la surface d’un
cylindre de diamètre 60 cm et d’axe de révolution ( ). Partant du repos, ce volant atteint une
vitesse de 300 tours par minute à la date t.
1) Calculer :
a) Le moment d’inertie du volant
b) Son moment cinétique à la date t
c) Le travail fourni au volant à cette date
2) Cette vitesse passe de 300 tours par minute à 150 tours par minute en une minute.
a) Calculer le travail perdu par le volant
b) La puissance dissipée dans le même temps
Exercice : 22
Une roue de masse m = 100 g, de rayon R = 30 cm, de centre O peut tourner autour de l’axe
( ) passant par son milieu O. On place en deux points A et B diamétralement opposés et sur
la périphérie de la roue deux solides ponctuels de masses m1 = 20 g et m2 = 30 g.
1) Déterminer la position du point G centre d’inertie du système par rapport à l’axe ( )
2) La roue initialement au repos est mise en rotation jusqu’à ce que le solide de masse m1
atteigne la vitesse de V1 = 1,2 m/s
a) Déduire la vitesse V2 du solide de masse m2
b) Calculer la vitesse angulaire de rotation de la roue au moment où m1 a atteint la vitesse V1
c) La vitesse V1 étant atteinte après 5 s de rotation ;
Déterminer la nature du mouvement de l’ensemble.

Exercice : 23
Un volant ayant la forme d’un anneau circulaire a une masse M = 2 tonnes et un rayon R = 60
cm. Ce volant permet l’avancement d’un véhicule par transformation de son énergie cinétique
de rotation en énergie cinétique de translation du véhicule.
La masse totale du véhicule, volant y compris est M’ = 20 tonnes et les frottements ont une
intensité constante de 500 N.
1) Calculer :
a) Le moment d’inertie du volant
b) L’énergie cinétique du volant lorsqu’il tourne à 3600 tours par minute
c) La variation de l’énergie cinétique du volant ainsi que la puissance dissipée lorsque la
vitesse du volant diminue de moitié en une minute.
2) En utilisant le T.E.C, quelle est alors la distance parcourue par le véhicule s’il doit monter
une pente de 15%. On donne : g = 10 m/s²

Exercice : 24
On réalise un système matériel composé :
- D’une part par une tige homogène de longueur L = 1 m et de masse m = 200 g.
- D’autre part par une boule considérée comme ponctuelle accrochée à une extrémité de la
tige. La masse de la boule est m’ = 100 g.
1) Faire un schéma du dispositif. Soit O le centre de la tige, montrer que le centre d’inertie G
du système vérifie la relation OG =
2) On fait passer un axe ( ) au point G, montrer que le moment d’inertie du système par
rapport à l’axe ( ) a la forme =

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3) Un moteur fixé à l’axe lance la rotation du système dans un plan vertical. Après une minute
la vitesse de rotation du système est 120 tr/min
a) Calculer l’accélération angulaire du système
b) En utilisant le T.E.C, déterminer le moment du couple des forces exercées par le
moteur. On néglige les frottements
Exercice 24
Un cylindre creux de moment d’inertie =1,2. 10 Kg et de rayon r=100mm peut tourner
d’un axe ( ) qui passe par son centre de gravité. Un câble inextensible de masse négligeable
est fixé par l’une de ses extrémités à solide S de masse M=5Kg comme l’indique de schéma
suivant.

Le cylindre est mis en mouvement par un moteur qui exerce pour lui un couple de moment
constant. Le solide S part du repos et parcourt une distance x=0,8m pendant 4 secondes. On
néglige tous les frottements.

Déterminer :
1) L’accélération du mouvement de S.
2) La tension du câble. r
3) Le moment du cuple moteur.
4) L’énergie cinétique du système au bout de 4 secondes.
On donne : g=10m , = 30°

POULIES MOBILES ET MOUVEMENTS MIXTES

Exercice : 25
Un volant peut être schématisé par un anneau de rayon r = 50 cm et de masse M = 32 g
entièrement répartie sur sa périphérie ; et par deux barres homogènes de sections constantes,
disposées suivant deux diamètres perpendiculaires et ayant chacune une masse m = 12 g.
1) Calculer le moment d’inertie de ce système par rapport à un axe ( ) passant par le centre
du système.
2) Le volant est maintenant mobile autour d’un axe horizontal fixe passant par O. il est mis
en mouvement par un moteur électrique qui exerce sur le volant un couple de moment
constant Mm. Un câble inextensible de masse négligeable est enroulé sur le volant ; l’autre
extrémité est fixé à un solide (S) de masse M1 = 20 kg. Le solide (S)
s’élève verticalement en partant de repos d’une hauteur h = 50 m en
un temps t = 25 s.

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a) Montrer que le mouvement de (S) est rectiligne uniformément varié

b) Calculer l’accélération de (S) et la tension du câble + ( )


c) Calculer le moment Mm du couple moteur
3) Au bout de ces 50 m de montée, le câble casse, le moteur est arrêté.
Le volant s’arrête sur 10 tours sous l’effet d’un couple de freinage de
moment Mr. Calculer la valeur de Mr O

Exercice : 26 (S)
Un appareil de lavage utilise sur un chantier se présente de la façon suivante :
- Un cylindre creux B(toute sa masse est répartie à sa périphérie), homogène, de masse
m = 50 kg et de rayon R = 0,2 m qui peut tourner sans frottement autour de son axe de
révolution disposé horizontalement. Il est mis en rotation par un moteur électrique qui
exerce un couple de moment constant Mm.
- Un câble inextensible de masse négligeable est enroulé sur le cylindre, une extrémité étant
fixée au cylindre. A l’autre extrémité où suspend un corps a de masse M = 1000 kg
1) Le corps s’élève en partant du repos ; le câble ne glisse pas sur le cylindre.
Etablir l’expression de l’accélération a du mouvement du corps A en fonction de Mm, m, R, B
g et M
2) Le corps A s’élève d’une hauteur h = 50 m en un temps t1 = 25 s ; Calculer : +
a) Son accélération
b) Le moment Mm du couple moteur ;
c) La vitesse de A à cet instant
3) Au bout de ces 50 m de montée, la charge est détachée automatiquement sans à coup et
le moteur électrique débrayé. Le cylindre est alors arrêté en 10 tours sous l’effet d’un A
couple freinage de moment constant.
Quelle est la valeur de ce couple ? On prendra g = 10 m/s²

Exercice : 27
Un cylindre horizontal homogène de masse M = 20 kg, de rayon r = 10 cm, mobile autour de
son axe de révolution ) supporte un solide (S) de masse m = 10 kg, par l’intermédiaire d’une
corde enroulée sur la surface du cylindre.
1) Le solide (S) partant du repos, tombe d’une hauteur de 3 m en entraînant la rotation du
cylindre. En utilisant la méthode énergétique, déterminer :
a) L’accélération du solide (S)
b) En déduire sa vitesse en fin de cette chute ainsi que la durée correspondante.
On donne : g = 10 m/s²
2) A la fin de cette chute, la corde quitte le cylindre lancé, celui-ci s
e trouve alors soumis à un couple résistant moment constant R
qui l’arrête après une rotation de 10 tours. Calculer : ( )
a) Le moment Mr de ce couple
b) L’accélération angulaire
c) La durée du freinage.
Exercice : 28 (S)
1) Sur gorge d’une poulie creuse de masse m = 2 kg et de rayon R = 20 cm, mobile d’un axe
horizontal, passe un fil dont une des extrémités porte une masse M1 = 2 kg et l’autre est
fixée sur la gorge d’une poulie. Le système est abandonné à lui-même, sans vitesse initiale
(voir figure 1)
Déterminer l’accélération linéaire de M1 et l’accélération angulaire de la poulie

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2) Le même dispositif ramène à son état initial comprend un autre fil disposé horizontalement
qui s’écroule sur la même poulie et entraîne une masse M2 = 4 kg qui glisse sans frottement
sur un plan horizontal (figure 2).
a) Quelle est l’accélération linéaire des masses M1 et M2 ?
b) Quelle est la vitesse acquise après un trajet de 2,45 m ?
c) Calculer la tension du fil au cours du mouvement.
M2

R O R O
( ) ( )

M1 M1

Exercice : 29
Deux solides S1 et S2 de masses respectives m1 et m2 sont reliés par un fil inextensible de
masse négligeable passant par la gorge d’une poulie de rayon r tournant sans frottement
autour d’un axe horizontal passant par son milieu. S1
Le moment d’inertie de la poulie par rapport à ( )
l’axe est noté .On abandonne le système
sans vitesse initiale (voir figure)
1) Donner l’expression de l’accélération des masses
2) Déduisons la vitesse acquise par chacune des masses au bout de t = 10 s.
S2
3) Quelle est la distance parcourue par les masses pendant ce temps ?
4) En déduire le nombre de tours effectués par la poulie.
On donne m1 = m2 = 100 g ; = 8.10-5 kg.m2 ; r = 1 cm ; g = 10 m/s²
Exercice : 30
Deux corps de masses m1 = m2 = 2 kg peuvent glisser sur un plan horizontal. Une force de
frottements f1 = 6 N s’oppose au mouvement du corps de masse m1, une force f2 = 4 N s’oppose
au mouvement du corps m2. Les deux corps reliés par un crochet d’attelage C. Un fil passant
sur une poulie de masse négligeable. Tournant sans frottement, relie le corps de masse m2 à
un corps de masse m3 = 4 kg. On prendra g = 10 m/s²
1) On laisse le système sans vitesse initiale, après 187,5 cm de parcours, en passant par un
dispositif O, le crochet C s’ouvre. Quelle est à cet instant la vitesse de m1 ; m2 ; m3
2) Au bout de combien de temps la distance entre m1 et m2 a-t-elle augmenté de 1,25 m ;
Le plan horizontal est de dimension suffisante m1 m2
C

Exercice : 31
m3
Un corps A de masse M = 1,66 kg peut lisser sur une longue table horizontale, comme
l’indique la figure. On suppose que les masses des fils et des poulies sont négligeables, ainsi
que les frottements. Le système abandonné à lui-même prend un mouvement uniformément
accéléré.
1) Calculer directement la différence de ces tensions.
2) Calculer le temps mis par le corps A, partant du

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A
repos en O, pour atteindre le point S à une
distance OS = 2,189 m. S
3) Au moment où le corps A passe en S, le fils relié au
corps B casse brusquement.
a) Décrire le mouvement ultérieur de l’ensemble
des corps A et B’. B’
B
b) Calculer le temps qui s’écoule entre le départ de A du point O et son retour au même
point. On prendra : g = 9,8 m/s² ; mB = 0,490 kg ; mB’ = 0,30 kg
Exercice : 32
On considère le dispositif suivant : les corps A et B sont reliés par un fil inextensible de masse
négligeable, passant par la gorge d’une poulie dont on néglige la masse. On donne :
M = 1,340 kg ; m = 0,670 kg et g = 9,8 m/s².
1) Le corps A est fixe sur la table horizontale par un fil qui l’immobilise. On brûle le fil. Quelle
est la nature du mouvement pris par le corps A ? calculer son accélération.
2) On incline la table sur laquelle glisse le corps A d’un angle convenable sur l’horizontale
de façon que le système soit en équilibre.
a) Donner la valeur de l’angle
b) A étant immobilisé, on ajoute sur B une surcharge de masse m’.
A la date t = 0, on lâche le corps A qui, après un parcours de 1 m, atteint la vitesse de 2 m/s.
Calculer la valeur de la masse m’ ainsi que la durée de ce parcours de 1 m.
M
A

B
B m

Exercice : 34
Deux corps A et B de masses identiques mA = mB = m sont reliés comme le montre la figure
par un fil inextensible passant dans la gorge d’une poulie de masse de masse négligeable.
B entraîne A dans sa chute.
1) Pour quelle valeur de la tension du fil est-elle égale au ¼ du poids du corps A, il peut
glisser sans frottement sur le plan incliné
2) Calculer l’accélération du mouvement si mA = mB = 2 kg
3) Le glissement du corps A sur le plan incliné ne se fait avec des frottements.
Calculer l’intensité de ces frottements qui déterminent l’équilibre du système
4) En réalité, ces frottements se réduisent à une force d’intensité 20 N.
En déduire la nouvelle accélération du mouvement. On prendra g = 10 m/s²

(B)

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Exercice :35
Soit le système suivant : (P) est une poulie de centre O, d’axe horizontal, de rayon R = 10 cm,
de moment d’inertie (par rapport à O) J tel que : J = 0,01 kg.m2. Le fil reliant les masses
m1 = 600 g et m2 = 400 g est inextensible et de masse négligeable. Les masses sont de petites
dimensions et on néglige tous les frottements.
On prendra g = 10 m/s² et on donne : angle = 30°. Au moment où on lâche m1, sans vitesse
initiales, m1 est à une distance h = 4 m du sol.
1) Nature du mouvement des masses ? Déterminer l’expression de l’accélération de m1 et
m2 en fonction de m1 ; m2, R, g, J et . Calculer ensuite cette accélération.
On utilisera le théorème de l’énergie cinétique.
2) Déterminer la vitesse des masses m1 et m2 à l’instant où m1 arrive au sol
3) A l’instant t1 où m1 arrive au sol, le fil se casse et quitte la poulie. Que devient alors le
mouvement de m2 ? On précisera notamment l’accélération de m2 ainsi que le sens du
mouvement de m2.
(P)

A m2

m1
h
B

Exercice : 36
Un corps A de masse m = 1500 g peut glisser sur une longue table horizontale. Il est réuni par
des fils fins à deux autres corps. L’un B de masse m = 750 g et l’autre B’ de masse
m’ = 500 g. On suppose que les masses des fils et des poulies sont négligeables ainsi que les
frottements, le système est abandonné à lui-même.
1) Calculer l’accélération de ce mouvement et calculer directement la différence de ces
tensions.
2) Calculer le temps mis par le corps A, partant du repos en O, pour atteindre le point L à une
distance OL = 200 cm.
3) Au moment où le corps A passe en L, le fil qui le relie au corps B se casse brusquement.
a) Décrire le mouvement ultérieur de l’ensemble des corps A et B’
b) Calculer le temps qui s’écoule entre le départ de A du point O et son retour au même
point. g = 10 m/s²

A
(P’) (P)
O L

B
= 60° h

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Exercice : 37
Un solide A de masse M1 peut glisser sans frottement sur un plan incliné faisant un angle
avec le plan horizontal. Un autre solide B de masse M2 peut glisser sur un plan incliné faisant
un angle avec le plan horizontal un solide C de masse M3 peut glisser sans frottement sur
le plan horizontal.
1) Quelle relation doit vérifier les masses des solides et les angles et pour que les solides
soient au repos.
On donne M1 = 400 g ; M2 = 300 g ; = 30°
En déduire la valeur de
2) On donne maintenant à la valeur 60°
a) Etablir l’expression de l’accélération du mouvement de A, B et C en fonction de M1, M2,
M3, , et g. Application numérique : M3 = M2 et g = 10 m/s²
b) Calculer la différence des tensions et la vitesse des solides après un parcours de 2 m,
si le système est lâché sans vitesse initiale. Calculer la durée de ce parcours.

B
A

Exercice : 38
Un système est constitué comme l’indique la figure ci-contre. La poulie a une masse
m1 = 1000 g répartie uniformément sur sa jante de rayon r = 20 cm. Le corps A a une masse
m2 = 2000 g et glisse sur la plan incliné d’angle = 30° sur l’horizontale ; Les frottements sont
négligeables. Le corps B a une masse m3 = 4000 g. le fil est inextensible et sa masse est
négligeable.
1) Le système est abandonné sans vitesse. Déterminer l’accélération du centre d’inertie A.
2) Après un parcours de 1 m sur le plan incliné, le fil reliant A et B se coupe.
a) Décrire qualitativement le mouvement de A après la rupture du fil
b) Calculer la distance parcourue par A après la rupture du fil avant de faire un demi-tour.
3) Calculer la vitesse de A au point O, bas du plan incliné, sachant que O est situé à 1,2 m
du point de rupture du fil.
4) En utilisant le théorème de l’énergie cinétique, calculer le module de la vitesse du corps A
au sol. On donne g = 10 m/s²

(A)

O
(B)

h=5m

sol

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Exercice : 39
Un disque homogène de masse M = 500 g et de rayon R = 10 cm est solidaire à une tige
homogène de même masse M, de longueur L = 5R et qui porte en ses extrémités A et B deux
masses ponctuelles identiques = . Sur la poulie est enroulée un fil inextensible de masse
négligeable portant à l’autre extrémité un solide de masse m’ = 6M dont le mouvement
entraine la rotation de la poulie autour d’un axe ( ) qui coïncides avec les centres d’inertie de
la poulie et de la tige (voir figure)
1) Sachant que le mouvement d’inertie du système en rotation a pour expression
Déterminer le réel B
A
2) On abandonne tout le système sans vitesse initiale.
Déterminer la nature du mouvement du solide m’ en m m
utilisant deux méthodes différentes.
Déterminer le réel tel que l’accélération du solide s’écrive a = g
3) Après une seconde de mouvement, on coupe le fil m’
et on freine le système en rotation en appliquant
un couple de forces tangentielles s’exerçant sur les extrémités de la poulie.
Calculer l’intensité de la force Fr du couple de freinage qui arrête le système après 10
tours et la durée du freinage. On donne g = 10 m/s²
Exercice : 40
Dans un chantier, pour soulever un solide (S) de masse M = 200 kg, on dispose deux poulies
identiques (A) et (B), homogènes, de même masse m = 10 kg et de même rayon = 60 . On
relie le solide (S) avec la poulie (A) par un fil inextensible et sans masse passant par la gorge de
la poulie (B). Le système partant du repos, la poulie (A) est entrainée sous l’action d’un couple
moteur de moment constant . On donne = 10
1) Etablir l’expression de l’accélération du mouvement du solide (S) en fonction de , m, , g et M
2) La poulie (B) accomplit 50 tours en 20 secondes.
a) Calculer l’accélération du mouvement du solide (S)
b) En déduire la valeur numérique de chacune des caractéristiques du moteur électrique :
- Le moment du couple constant
- La force motrice
- La puissance fournie par le moteur
3) Déterminer le moment cinétique de la poulie (B) ainsi que l’énergie mécanique du solide (S) à
l’instant t = 20 secondes. On prendra pour le niveau de référence : le sol.
4) Au bout de 50 tours accomplis par la poulie (B), le solide (S) est détaché automatiquement du fil
sans vitesse initiale
a) Décrire le mouvement ultérieur de la poulie (A) après la rupture du fil
b) En appliquant le T.E.C, calculer la vitesse du solide (S) à l’arrivée au sol en O.
c) En déduire le nombre de tours effectué par la poulie (A) quand le solide (S) arrivera au sol.
Poulie (A) Poulie (B)

+
fil

Solide

O Sol

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OSCILLATEURS MECANIQUES
PENDULE ELASTIQUE HORIZONTAL

Exercice : 1
Un solide S de masse m = 130 g, est accroché à un ressort à spires non jointives de masse
négligeable, de constante de raideur k. Il peut glisser sans frottement sur un plan horizontal.
Le centre d’inertie G de S est repéré sur un axe horizontal (Ox) dont l’origine correspond à la
position de repos de S.
Le ressort est allongé d’une longueur xo et le solide S est lâché à la date t = 0. Un dispositif
permet d’enregistrer les variations de x en fonction du temps t.
A partir de courbe enregistrée, on relève les conditions initiales à t = 0 : xo = 1 cm (amplitude
maximale) et Vo = 0 (vitesse initiale). La période des oscillations est To = 0,8 s.
1) Faire un schéma du pendule, représenter les forces qui s’exercent sur le solide en
mouvement.
2) Etablir l’équation différentielle du mouvement de l’oscillateur
3) Calculer la constante de raideur k du ressort
4) Etablir l’équation horaire du mouvement
5) Indiquer le sens du déplacement du solide lors de son passage pour la première fois par
la position d’équilibre
6) Calculer l’énergie potentielle élastique du pendule lorsque l’abscisse x est maximale. En
déduire l’énergie cinétique correspondante et l’énergie mécanique.

Exercice : 2
On considère l’ensemble formé par un solide S de masse m = 250 g fixé à l’extrémité d’un
ressort de masse négligeable à spires non jointives, de raideur k = 100 N/m et dont l’autre
extrémité est liée à un support fixe. Par un guidage approprié, le centre d’inertie de S se
déplace sans frottement dans l’axe du ressort. L’ensemble est tel que le mouvement de S a
lieu dans une direction horizontale (voir figure).
1) On déplace S de 5 cm à partir de sa position d’équilibre en étirant le ressort et on le lâchant
sans vitesse initiale à l’origine des dates.
a) Etablir l’équation différentielle du mouvement.
b) Montrer que l’équation horaire de S est de la forme . sin( ), dans laquelle
on déterminera a, ainsi que la valeur de la période To du mouvement de S.
2) En prenant comme l’origine des énergies potentielles le plan horizontal contenant l’axe du
ressort, exprimer les valeurs des énergies cinétique et potentielle du système (solide-
ressort-terre) en fonction du temps t.
3) Montrer que l’énergie mécanique du système se conserve.
4) Calculer la vitesse du système au passage par la position d’équilibre.

Exercice : 3
Un ressort de constante de raideur k = 100 N/m, d’axe horizontal, est lié à un corps (A) de
masse m1 = 360 g qui peut glisser sans frottement sur un plan horizontal. L’autre extrémité du

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ressort est fixe. Un deuxième corps (B) de masse = , animée d’une vitesse parallèle
à l’axe du ressort, heurte le corps (A) au repos.
1) Calculer la vitesse du corps (A) juste après le choc supposé élastique, sachant que
= 0,8 m/s
2) Après le choc, déterminer :
a) L’équation différentielle du mouvement du solide (A) ; en déduire la nature de ce
mouvement ;
b) L’équation horaire de ce mouvement. On prendra pour l’instant initial, l’instant du choc.
K
x A B
X’
0
Exercice : 4
On dispose d’un pendule élastique horizontal. Le solide S fixé à l’extrémité libre du ressort,
glisse sans frottement sur un plan horizontale suivant l’axe (x’x).

(S)

x
0
On veut déterminer les équations caractéristiques ( ); ( ) ) du
mouvement du solide S en exploitant le graphique ci-dessous

1) Quelles soont :
a) L’amplitude du mouvement de S ;
b) La période des oscillations.
2) a-) Donne l’abscisse du mobile à l’instant t = 0
b-) Déduis sa vitesse à cet instant.
3) Etablis les équations
a) ( ) : abscisse du mouvement à l’instant t
b) ( ) où = : vitesse du mobile à l’instant
c) ) où = : accélération du mobile à l’instant

Exercice : 6

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A l’extrémité M d’un ressort horizontal, de raideur k, à spires non jointives, est fixé un objet de
masse m, le tout coulisse sans frottement sur un support.
On écarte l’objet de sa position d’équilibre Mo (ressort ayant sa longueur naturelle) en
l’amenant en M1 tel que : et on le lâche avec une vitesse ( > 0)
1) Exprimer, en fonction de k, m, x et
a) L’énergie cinétique du solide ;
b) L’énergie potentielle élastique ;
c) L’énergie mécanique du système (ressort + solide)
2) Calculer l’énergie mécanique du système à l’instant de lancement
3) On admet que le système est conservatif. Calculer :
a) L’amplitude du mouvement xm ;
b) La vitesse du solide lorsque l’extrémité du ressort passe par la position d’équilibre.
4) a-) A partir de l’expression de l’énergie mécanique, établir l’équation différentielle
caractéristique du mouvement du solide.
b-) l’équation du mouvement du solide est de la forme : cos( )
Déterminer la période propre
On prendra l’instant de lancement comme origine des dates.
Données : k = 20 N/m ; x1 = 4 cm ; m = 200 g ; V1 = 2 m/s.

Exercice : 7
Deux solides indéformables S1 et S2 de masses respectives M1 = 0,10 kg et M2 = 0,40 kg,
peuvent glisser sans frottement sur une tige horizontale (T). Le solide S1 est li é à l’extrémité
d’un ressort R à spires non jointives, de masse négligeable, de raideur k = 30 N/m. L’autre
extrémité du ressort est fixée en A à la tige (T). L’ensemble [ ] étant à l’équilibre, R non
déformé, on lance S2 placé à l’autre extrémité de la tige vers S1. Au moment du choc, il y a
accrochage des deux solides, formant alors un ensemble solidaire S de centre d’inertie G.
1) Avant le choc, la vitesse du centre d’inertie de S2 étant V2 = 0,4 m/s, déterminer la vitesse
du centre d’inertie de S après le choc
2) Après le choc, S lié au ressort poursuit son mouvement, les spires du ressort restent non
jointives. Déterminer la nature du centre d’inertie de S et en déduire l’équation horaire du
mouvement.
L’origine des espaces correspond à la position de G à l’instant du choc, l’origine des temps
est prise à l’instant du choc.

R
(T)
x X’

Exercice : 8

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Un solide S1 de masse m1 = 500 g est abandonné au sommet A d’un plan incliné d’angle
= 20° sur l’horizontale. A partir de B, S1 aborde un plan horizontal sur lequel il continue à
frotter sans frottement.
1) En utilisant le T.E.C, déterminer la vitesse de S1 en B.
2) En admettant que le passage du plan incliné au plan horizontal ne modifie pas la vitesse
du solide. Montrer que le mouvement de S1 sur le plan horizontal est rectiligne uniforme.
3) S1 vient heurter un autre solide S2 de masse m1 = 200 g immobile à l’extrémité d’un ressort
de raideur k = 50 N/m. Au moment du choc, S1 et S2 s’accrochent.
a) Calculer la vitesse de l’ensemble après le choc
b) En utilisant la méthode énergétique, déterminer la nature du mouvement de l’ensemble
à l’extrémité du ressort.
c) Donner équation horaire.
Origine des dates, l’instant du choc et l’origine des espaces la position de S2 avant le
choc. On donne AB = 1 m ; g = 10 m/s2

B Exercice : 9 C
Dans tout l’exercice on négligera les forces de frottements.
Une piste située dans un plan vertical est constituée de deux parties, une partie rectiligne (OA) et
une partie circulaire (AB) de centre C et de rayon .
On dispose d’un ressort de constante de raideur k sur la partie rectiligne. L’une des extrémités du
ressort est fixe, l’autre est reliée à un solide ponctuel (S1) de masse . à l’équilibre, (S1) est au
point O tel que = 2 . On déplace (S1) et on le lâche sans vitesse initiale (voir la figure ci-dessous).
1) Déterminer la nature du mouvement du solide (S1) dans le repère (x’Ox).
2) Un solide (S2) de masse = initialement au repos en O est propulsé avec une vitesse
lors d’un choc avec (S1).
a-) Exprimer en fonction de , la vitesse V1 avec laquelle (S1) a propulsé (S2), sachant que le
choc étant élastique.
Montrer que le mouvement de (S2) sur la piste rectiligne (OA) est uniforme.
b-) Exprimer la réaction de la piste sur (S2) au point M en fonction de
c-) En déduire en fonction de , la vitesse pour qu’elle puisse atteindre le point B,
sommet de sa trajectoire circulaire.
d-) Quelle est dans cette condition la vitesse de (S2) au point B ?
3) a-) Etudier dans le repère ( , ) le mouvement ultérieur du solide (S2)
b-) Le solide (S2) retombe sur la piste rectiligne en un point D.
Déterminer en fonction de , la distance . Conclure
4) A l’arrivée du solide (S2) au point D, il heurte de nouveau (S1). A cet instant, (S1) passait par D
dans le sens du vecteur pour la 2ème fois.
a-) Donner l’équation horaire ( ) de (S1). On prendra pour origine des espaces, le point
er
O et celle des temps, l’instant du 1 choc.

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A.N : = 10 ; = 100 ; = 10 = 50
b-) déterminer l’intervalle de temps qui sépare les deux chocs.
c-) En déduire le temps , mis par (S2) pour parcourir la piste circulaire (AB).

C
(S1) (S2)
M
x O X’ A

Exercice : 10
Un solide ponctuel S de masse m = 0,20 kg mobile sur une table à coussin d’air horizontale,
est accroché à deux ressorts R1 et R2 identiques de masse négligeable entre deux points A et
B comme l’indique la figure ci-dessous.
La longueur à vide de chaque ressort est 0 = 15cm et la constante de raideur k = 10N/m. la
distance des points d’attache A et B vaut L = 40cm.
L

1-) Déterminer à l’équilibre l’allongement x0 de chaque ressort.


2-) Le solide S étant en équilibre, on l’écarte horizontalement de 3 cm vers B et on le lâche
sans vitesse initiale à la date t = 0 ; l’origine O des abscisses coïncidant avec la position du
centre d’inertie G du solide S à l’équilibre. On néglige les frottements.
a-) Etablir l’équation différentielle du mouvement du centre d’inertie du solide.
b-) Ecrire l’équation horaire du mouvement du centre d’inertie du solide en précisant les
valeurs numériques de l’amplitude Xm, de la pulsation et de la phase initiale 0
c-) A quel instant le solide passe – t – il par l’abscisse 1,5 cm en allant dans le sens négatif
des élongations pour la première fois ?

PENDULES ELASTIQUE VERTICAL ET INCLINE

Exercice : 11
Soit un ressort (R) de masse négligeable et de longueur à vide Lo = 30 cm. (R) est disposé
verticalement et accroché à un support par son extrémité supérieure. Si on fixe à l’autre
extrémité un solide de masse M = 500 g, (R) s’allonge de 5 cm. On retire ce solide de masse
M et on le remplace par un autre solide ponctuelle de masse m = 100 g. A partir de sa position

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d’équilibre, on tire le solide de masse m vers le bas, verticalement de 3 cm puis on l’abandonne
sans vitesse initiale.
1) Déterminer
a) La nature du mouvement et la loi horaire du mouvement du solide de la masse m. on
utilisera la méthode énergétique.
b) La vitesse du solide au passage par la position d’équilibre.
2) On recommence en lâchant le solide m dans les mêmes conditions initiales avec une
vitesse initiale verticale Vo = 0,30 m/s. Déterminer l’équation du mouvement du solide de
masse m.
Exercice : 12
Un masse m, suspendue à un ressort vertical de raideur k = 26 N/m effectue des oscillations
libres de période To = 0,52 s.
1) Calculer la valeur de la masse m.
2) Quelle est l’allongement du ressort à l’équilibre ?
3) La masse m est écartée de sa position d’équilibre de 3 cm vers le bas, puis lâchée sans
vitesse initiale à l’instant t = 0. Quelle est l’équation horaire du mouvement ?
4) Calculer la vitesse de m au passage au point d’abscisse x = 1,5 cm, mesurée à partir de
sa position d’équilibre ; l’axe est verticale dirigée vers le bas.
5) Quelles sont pour le système terre-pendule quand m est au point x = 1,5 cm.
a) L’énergie cinétique
b) L’énergie potentielle élastique (niveau de référence : ressort détendu)
6) L’énergie potentielle de pesanteur (on la prendra nulle à l’équilibre). Déduire l’énergie
mécanique du système au point d’abscisse x = 1,5 cm.
7) Calculer la valeur de la vitesse de l’objet lorsqu’il passe par sa position d’équilibre

Exercice : 13
1) Un solide S de masse m = 200 g est suspendu à un ressort de masse négligeable,
parfaitement élastique. Le ressort est allongé à l’équilibre de 8 cm. Evaluer la constante
de raideur du ressort. On donne g = 10 m/s2
2) Le solide est tiré vers le bas de 4 cm à partir de sa position d’équilibre, puis abandonné
sans vitesse initiale à l’instant t = 0.
a) Montrer que son mouvement est sinusoïdal, déterminer la pulsation propre de cet
oscillateur.
b) Etablir l’équation horaire du mouvement
c) L’énergie potentielle de pesanteur étant considéré comme nulle à la position
d’équilibre, déterminer l’énergie mécanique de l’oscillateur

Exercice : 14
Un ressort a un allongement de 5 cm lorsqu’on y fixe une force de 10 N
1) Calculer sa constante de raideur
2) Lorsqu’on accroche une masse de 2 kg, ce ressort partant sans vitesse initiale de descente
de 2 cm de sa position initiale en produisant des oscillations
a) Calculer son allongement à l’équilibre
b) Donner la nature du mouvement et son équation horaire
c) Quelle est l’énergie potentielle du ressort pour le point le plus bas du système ?

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Exercice : 15
Un solide s de masse m = 0,1 kg est suspendu à l’extrémité mobile d’un ressort à spires non
jointives de raideur k = 10 N/m. on écarte verticalement le solide de sa position d’équilibre de
2 cm vers le bas et on le lâche. On négligera l’épaisseur du solide ainsi que les frottements.
1) Etablir l’équation différentielle du mouvement
2) Déterminer la fréquence propre fo et la période propre To
3) Donner l’équation horaire du mouvement sachant qu’à l’instant initial t = 0, le solide passe
par la position d’équilibre dans le sens des élongations décroissantes.
4) Calculer l’accélération à l’instant t = 2 s
5) Déterminer la valeur de l’énergie mécanique du système à cet instant.
Exercice : 16
L’une des extrémités d’un ressort à spires non jointives de longueur à vide Lo = 30 cm, est fixé
à un point A d’un support. A l’autre extrémité est soudée un solide (S) de masse m = 200 g qui
peut osciller sans frottement sur un plan incliné d’un angle = 30° par rapport à l’horizontale.
1) A l’équilibre, la longueur du ressort est L = 32 cm.
a) Représenter les forces appliquées sur le solide (S).
b) Ecrire la condition d’équilibre et calculer la constante de raider k du ressort.
2) On écarte le solide (S) de sa position d’équilibre vers le bas de 5 cm puis on l’abandonne sans
vitesse initiale.
a) Déterminer la nature du mouvement du solide (S).
on utilisera la méthode énergétique.
b) En déduire son équation horaire. On prendra comme origine
des temps, l’instant où le solide est abandonné à lui-même et
comme origine des abscisses, la position du solide (S) à l’équilibre.
c) Calculer la vitesse du solide (S) au passage
par la position d’équilibre ; prendre g = 10 m/s2
Exercice : 17
Un solide de masse m = 200 g pouvant glisser sans frottement le long de la ligne de plus
grande pente d'une table à cousin d’air inclinée d’un angle = 10° avec l’horizontale. Le solide
S est suspendu à l’extrémité inférieure d’un ressort à spires non jointives, de masse
négligeable et de raideur k. on prend g = 9,8 m/s2
1) A l’équilibre, le ressort s’allonge de 6 cm.
a) Représenter les forces appliquées sur ce solide
b) Ecrire la condition d’équilibre et déterminer la
constante de raideur k.
2) On écarte le solide de sa position d’équilibre vers
le bas d’une distance =5 . On l’abandonne sans
vitesse initiale à un instant pris comme origine des dates.
a) Etablir l’équation différentielle du mouvement.
b) Déterminer l’équation horaire du mouvement
PENDULE DE TORSION
Exercice : 18
Un volant est assimilé à une circonférence de rayon R = 20 cm et de masse M = 200 g.
Le centre de gravité O du volant est fixé à un fil métallique vertical OO’, de constante de torsion
C = 0,036 Nm/rad, dont l’extrémité supérieure O’ est fixée à un support. Le volant peut ainsi
osciller dans un plan horizontal autour du fil OO’. On écarte le volant d’un angle = 0,05 ,
puis on l’abandonne sans vitesse initiale
1) Etablir l’équation horaire des petites oscillations du volant. En déduire la période T des
oscillations en fonction de M, R et C. Calculer T et l’énergie cinétique maximale du volant.

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Que peut-on dire de l’énergie mécanique totale à un instant t ?
2) On fixe sur le volant en chacun des points D, E et F, régulièrement espacés, des masses
ponctuelles m. On constate alors que la période des oscillations a été multipliée par un
facteur . En déduire la relation entre m, M et . Calculer m pour = 2.

Exercice : 19
On dispose d’un fil métallique dont-on veut déterminer la constante de torsion C. On suspend
à l’extrémité inférieure du fil une tige de masse M = 120 g portant à ses deux bouts deux
sphères ponctuelles A et B de même masse m = m’ = 20 g. La tige de longueur L = 20 cm est
fixée au fil en son milieu O.
1) Représenter les forces agissantes sur la tige.
2) Calculer le moment d’inertie du système (tige + masse)
3) On écarte la tige de sa position d’équilibre d’un angle = 0,1 rad A
dans le plan horizontal et on l’abandonne sans vitesse initiale.
a) Déterminer la nature du mouvement
b) Donner l’expression de la pulsation propre
4) La durée de 10 oscillations identiques vaut t = 6s.
Déterminer : (m) (m)
a) La valeur To de la période des oscillations
b) La constante de torsion C du fil

Exercice : 20
On considère une tige métallique AB de longueur L sur laquelle peuvent glisser deux masses
considérées comme ponctuelles. La tige placée horizontalement est fixée en son centre O par
un fil de torsion verticale. Le moment d’inertie de la tige par rapport l’axe est .
1) Les masses étant situées symétriquement par rapport à O, à la distance d de ce point, on
écarte légèrement la tige de sa position d’équilibre horizontale d’un angle puis le lâche
sans vitesse initiale.
a) Déterminer la nature du mouvement pris par la tige
b) Donner l’expression de la période T des oscillations en fonction de Jo, m, d et C (C
constante de torsion du fil et Jo moment d’inertie de la barre sans surcharge).
2) La barre chargée de ses masses a une période T = 3,14 s ; tandis que
quand on enlève les masses, 10 oscillations durent 30 secondes.
a) Calculer le moment d’inertie Jo de la tige
b) En déduire la constante de torsion du fil ( )
c) Déterminer la masse de la tige métallique
d) Comment se répartissent les énergies potentielles et cinétiques lorsque =
-2
On donne AB = L = 40 cm ; m = 5.10 kg ; OC = OD = d =10 cm A C D B
Exercice : 21 O
Un cylindre plein homogène en platine, de rayon R = 2 cm, de hauteur h = 2 cm et de masse
volumique = 21,5 g/cm, est suspendu à un fil de torsion vertical, dirigé suivant l’axe du
cylindre. L’extrémité supérieure du fil est attaché à un point fixe.
1) Calculer la masse du cylindre et en déduire son moment d’inertie.
2) On place symétriquement par rapport au fil deux masselottes identiques m = m’ = 75 g à
la distance R/2 du fil. On fait tourner le cylindre, muni de ses deux masselottes, autour de
sa position d’équilibre d’un angle = rad, puis on le lance vers sa position d’équilibre
avec une vitesse = 1 rad/s à l’origine des dates. En utilisant la méthode énergétique,
déterminer :

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a) L’équation différentielle du mouvement ainsi que la période du pendule ainsi constitué
b) La valeur de la constante de torsion du fil si le pendule bat la seconde (g = 10 m/s2)
c) L’équation horaire du mouvement

Exercice : 22
Un pendule de torsion est constituée au moyen d’une tige de longueur L = 60 cm et de masse
m = 100 g, fixée à l’une des extrémités d’un fil de torsion dont l’autre extrémité est fixée à un
support fixe. Le centre de gravité de la tige est sur l’axe du fil. Cette tige oscille dans un plan
horizontal comme l’indique la figure.
a) On écarte la tige de sa position d’équilibre d’un angle = rad,
puis on l’abandonne sans vitesse initiale. Etablir l’équation du Fil de torsion
mouvement oscillatoire autour de sa position d’équilibre et en
déduire C sachant que le pendule bas la seconde.
b) Ecrire l’équation horaire du mouvement en prenant pour t = 0, tige
l’instant où la tige est à
= rad
c) En déduire l’équation de sa vitesse au passage par sa position d’équilibre

Exercice : 23
Une barre rigide homogène, horizontale, de section constante, de masse m et de longueur l
suspendue à un fil de constante de torsion C passant par son milieu, peut tourner autour de
ce fil assimilé à l’axe ( ).
A partir de sa position d’équilibre, on écarte la barre d’un angle dans le plan horizontal,
puis on l’abandonne sans vitesse initiale à l’instant t = 0.
1) Par une étude énergétique, donne la nature du mouvement de la barre.
2) Déduis-en la constante de torsion C du fil sachant que la période d’oscillation du pendule
est To = 3,97 s.
3) Ecris l’équation horaire du mouvement de la barre
4) Calcule la vitesse angulaire du pendule à son
passage par la position d’équilibre. Fil de constante de torsion

PENDULE SIMPLE
Exercice : 24
Un pendule simple de longueur l = 98 cm est écarté de sa position d’équilibre d’un petit angle
de 6°. A l’instant t = 0, on l’abandonne sans vitesse initiale.
1) Etablir l’équation différentielle de son mouvement
2) Déterminer la loi horaire du mouvement
O
Exercice : 25
Un pendule simple est constitué par un point matériel A de masse m = 50 g suspendu à un
point fixe O par l’intermédiaire d’un fil de longueur l = 50 cm.
A partir de sa position d’équilibre, on écarte le pendule d’un angle = 60° et on l’abandonne A
sans vitesse à l’instant t = 0. B
table
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1) En appliquant le théorème de l’énergie cinétique, déterminer la vitesse
linéaire du point matériel.
a) A son passage à la position = 30°
b) A son passage par la verticale et représenter ce vecteur vitesse.
2) Calculer la tension du fil à la position verticale
3) Lorsque le point matériel A arrive à la verticale, il rencontre un solide
ponctuel B de masse = 100 g, immobile placé sur une table.
Déterminer les vitesses de A et B après le choc supposé parfaitement élastique. Prendre g = 10 m/s2
Exercice : 26
Une bille S assimilable à un point matériel et de masse m = 50 g, est reliée à un point fixe O
par l’intermédiaire d’un fil inextensible, de masse négligeable et de longueur l = 0,50 m. On
néglige les frottements. O
Le fil est écarté de sa position d’équilibre verticale d’un angle
= = rad, puis la bille est lancée vers le bas
avec le vecteur vitesse perpendiculaire au fil.
A une date t quelconque, la position de la bille est repérée par A
l’angle = que fait le fil avec la position d’équilibre verticale.
Donnée g = 10 m/s2
1) Exprimer la valeur de la vitesse de la bille à une date t B
en fonction de , l, g, et C
2) Exprimer la valeur T de la tension du fil en fonction de m, , l, g, et
3) Quelle doit être la valeur minimale de pour que la bille atteigne le sommet de sa
trajectoire, le fil restant tendu ? Faire l’application numérique.
Exercice : 27
Un pendule simple constitué d’un fil inextensible de longueur l = 40 cm porte à l’une des
extrémités libre une masse de 50 g. O A
1) Calculer la période de ce pendule lorsqu’elle oscille.
2) Le pendule part d’un point A sans vitesse initiale et passe par un 60°
point M où le fil fait un angle de 60° avec la verticale
a) Calculer la vitesse du pendule en ce point
b) Quelle est la tension du fil au point M M
3) Déterminer la vitesse du pendule au passage à la position d’équilibre
4) Au passage à la position d’équilibre,
le fil rencontre une pointe située à 15 cm du point O.
Déterminer l’angle maximal que fait le petit pendule.
PENDULE PENSANT

Exercice : 28
Un disque homogène de masse M, de rayon R, de centre d’inertie G peut osciller librement
dans un plan vertical, autour d’un axe horizontal , orthogonal au plan du disque et passant
par un point O de sa périphérie.
Ecarté de sa position d’équilibre de faible valeur, le disque oscille autour de .
1) Etablir l’équation différentielle du mouvement :
a) En utilisant l’équation = dont on précisera la signification des différents termes
b) En écrivant que = 0, E représente l’énergie mécanique totale du système, dans le
champ de pesanteur, à un instant donné.

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2) Donner l’expression en fonction de R et g, de la période des oscillations de faibles
amplitudes. A.N : R = 20 cm ; g = 9,8 m/s2
3) On fait maintenant osciller le disque autour d’axe , parallèle à , et passant par un point
O’ situé sur le rayon GO entre G et O et tel que d(G,O’) = x
a) Déterminer pour quelle valeur de x, la période d’oscillation T passe par un minimum.
b) Donner la représentation graphique de la période T = f(x), pour x [0; ]

Exercice : 29
On place deux petites billes A et B assimilables à des points matériels aux extrémités d’une
tige (T) de masse négligeable, mobile autour d’axe horizontal, perpendiculaire à la tige en O.
On donne (A) m1 = 4 m ; (B) m2 = 3 m ; OA = 2 L et OB = L.
Le système étant en équilibre, on l’écarte dans un sens choisi comme positif d’un angle ,
puis on l’abandonne sans vitesse initiale à la date t = 0.
1) Etudier la nature du mouvement pris par la tige.
2) Donner l’expression de l’élongation )
3) a-) Quelle est la période du pendule ainsi constitué ?
b-) Quelle est la longueur du pendule simple synchrone au pendule composé ainsi
constitué.
4) Quelles sont des vitesses de (A) et de (B) lorsque le pendule passe par sa position
d’équilibre ? Quelle est l’énergie cinétique du système ?
On donne m = 10 g ; L = 10 cm ; = 0,1 , g = 10 m/s2

Exercice : 30
Un pendule composé est constitué d’une tige homogène de masse m = 100 g et de longueur
l = OB = 50 cm. On fixe à son extrémité inférieure B un solide supposé ponctuel de masse O
= 20 . Ce pendule est mobile dans le plan verticale autour d’un axe de rotation ( ) ( )
horizontal et passant par l’extrémité supérieure O de la tige.
1) Déterminer
a) La position du centre d’inertie G de ce pendule
b) Le moment d’inertie de ce système par rapport à l’axe ( )
2) On écarte ce pendule de sa position d’équilibre d’une faible amplitude et on le lâche sans
vitesse initiale. B(m)
Déterminer :
a) La nature du mouvement de ce pendule
b) Sa période. On donne g = 10 m/s2

Exercice : 31
Un pendule d’une horloge est constituée d’une tige (longueur = L, masse = m, moment
d’inertie = ) et disque (masse = m, rayon = R, moment d’inertie = ) dont le centre
d’inertie est confondue avec l’extrémité inférieure de la tige (voir figure).
1) Déterminer l’expression du moment d’inertie du pendule
par rapport à l’axe de rotation ( )
( )
2) Déterminer la position du centre d’inertie du pendule
3) Sachant que ce pendule bat la seconde afin d’indiquer
correctement l’heure, déterminer la longueur de la tige L
4) Pour des petites oscillations, déterminer l’équation
différentielle du centre d’inertie du pendule et montrer
que ce pendule est un oscillateur harmonique.

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5) Sachant que l’amplitude des oscillations est 8° et
qu’à l’instant initial, le pendule passe par sa position
d’équilibre, déterminer son équation horaire.

Exercice : 32
On considère un disque homogène de rayon R = 20 cm et de masse M = 1000 g. Ce disque
peut osciller dans un plan vertical autour d’un axe ) passant par le point O milieu d’un rayon.
On fixe un solide S supposé ponctuel de masse = à la périphérie du disque (voir figure).
1) Déterminer
a) La position du centre d’inertie G de ce système
b) Son moment d’inertie par rapport à l’axe )
2) On écarte le pendule ainsi constitué d’une faible amplitude O ( )
dans le plan vertical et on l’abandonne sans vitesse initiale.
a) Etablir l’équation différentielle du mouvement oscillatoire
de cet oscillateur mécanique
b) Déterminer la période du mouvement
c) Ecrire l’équation horaire du mouvement )
d) Calculer la longueur du pendule simple synchrone de ce
pendule pensant. On donne g = 10 m/s2 (S)

Exercice : 33
On considère un disque homogène de masse m = 2 kg, de rayon r = 20 cm et de centre
d’inertie G. Il est mobile sans frottement autour d’un axe passant par un point O du disque.
Son moment d’inertie par rapport à l’axe est = 6. 10
1) Déterminer la distance OG Axe ( )
2) Calculer la période des petites oscillations de ce pendule
composé et la longueur de son pendule simple synchrone.
On prendra g = 10 m/s2 O
3) Le disque est écarté de 60° de sa position d’équilibre,
puis abandonné sans vitesse initiale.
Déterminer la valeur linéaire d’un point A de la périphérie
G
lors du passage du disque par la position d’équilibre Disque

Exercice : 34 A
Un cerceau en bois repose sur l’arête d’un couteau horizontal O, perpendiculaire au plan du
cerceau. Soit m la masse du cerceau, R son rayon.
O
1) Quelle est la longueur du pendule synchrone ?
2) On fixe M, point du cerceau diamétralement opposé à O,
une bille d’acier pratiquement ponctuelle, de masse m’.
Donner l’expression de la période To des petites oscillations
en fonction du rayon R et de l’intensité g de la pesanteur.
3) Un électro-aimant exerce sur la bille une force constante,
verticale, dirigée vers le bas. Déterminer la nouvelle période T
en fonction de R, m, m’, F et g.

M
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Exercice : 35
On considère le système mécanique suivant, composé :
D’un cylindre (C) homogène, de masse m et de rayon R, mobile sans frottements autour
de son axe de révolution ( ) supposé horizontal.
D’une tige creuse (t) de masse négligeable, de longueur l, fixée sur le cylindre suivant un
diamètre de ce dernier, le milieu de la tige se trouvant sur l’axe de révolution ( ).
De trois solides S1, S2 et S3 dont on suppose ponctuels et dont les masses égales ont
pour valeur commune m.
Les trois solides sont enfilés et bloqués sur la tige (t) de manière que S1 soit u dessus de
l’axe de rotation lorsque le système est en équilibre.
1) Déterminer la position du centre de gravité G du système par rapport à l’axe de rotation
( ) en fonction de
2) Déterminer l’expression du moment d’inertie de l’ensemble par rapport à l’axe de rotation
( ) en fonction de m, R,
3) On donne ; = 2 et = 3 . Exprimer la période T des petites oscillations du
pendule en fonction de R et g ; puis calculer sa valeur pour R = 0,1 m et g = 10 m/s2.
4) Donner l’expression de la longueur L du pendule simple synchrone à ce pendule pesant.
Calculer sa valeur.

(t)

( )

PHENOMENES PERIODIQUES

STROBOSCOPIE
Exercice : 1
Dans l’étude stroboscopique d’une lame vibrante on utilise un stroboscope de fréquence
variable : Ne éclairs par seconde.
1) Sachant que la plus grande fréquence des éclairs pour laquelle la lame paraît unique et
immobile est Ne = 400 Hz. Calculer la fréquence du vibreur.
2) Quel est l’aspect de la lame quand : Ne = 200 Hz ? Ne = 800 Hz ? Ne = 395 Hz ?

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Exercice : 2
Un garagiste se sert d’un stroboscope pour équilibrer une roue. En faisant décroître jusqu’à
zéro la fréquence des éclairs, il observe l’immobilité apparente de la roue pour les fréquences
60 Hz ; 300Hz et 20 Hz.
1) Calculer la vitesse de rotation de la roue.
2) Qu’observe-t-on pour une fréquence des éclairs de : 59 Hz ? et 61 Hz ?

Exercice : 3
1) Sous éclairage stroboscopique une roue parait immobile lorsque la fréquence des éclairs
vaut : 100 Hz, 50 HZ ou 32 Hz. Expliquer le phénomène
2) Calculer en tours par minute la vitesse de rotation de la roue sachant que Ne = 100 Hz est
la fréquence la plus élevée permettant l’immobilité apparente
3) Quelle est la vitesse apparente de la roue si la fréquence des éclairs est Ne = 101 Hz ?

Exercice : 4
Un disque blanc portant un secteur noir est fixé sur l’arbre d’un moteur dont on veut déterminer
la vitesse angulaire de rotation. Le moteur étant en rotation uniforme, on éclaire le disque avec
une lumière stroboscopique. Le secteur noir semble immobile lorsque la fréquence des éclairs
est Ne = 60 Hz.
1) Déterminer les valeurs possibles de la fréquence et de la vitesse angulaire de rotation du
disque.
2) Lorsqu’on augmente progressivement la valeur de la fréquence des éclairs, on observe à
nouveau l’immobilité apparente pour Ne = 120 Hz, puis on ne l’observe plus.
En déduire la valeur de la vitesse angulaire de rotation du disque.
3) Qu’observe-t-on sur le disque pour les valeurs suivantes de la fréquence des éclairs :
Ne = 240 Hz ; Ne = 360 Hz et Ne = 118 Hz.

Exercice : 5
Un disque percé de 8 trous régulièrement répartis sur une circonférence tourne à raison de 5
tr/s. Une corde vibrante parait immobile quand on la regarde à travers les trous.
1) Quelles sont les fréquences possibles ?
2) Calculer la fréquence exacte sachant qu’un autre procédé, on l’a trouvé voisin de 435 Hz.

Exercice : 6
Un disque est percé de p trous régulièrement répartis sur sa circonférence. La fréquence des
éclairs d’un stroboscope est égale à 100 Hz. On observe un mouvement qui semble effectuer
une période en 4 s dans le sens du mouvement réel
1) Quelle est la période réelle de ce mouvement ?
2) Déterminer le nombre de trous réels du disque à ce phénomène sachant qu’il tourne à
raison de 5 tr/s

Exercice : 7
Un stroboscope à disque est constitué d’un disque opaque percé de p trous régulièrement
répartis sur une circonférence. Le disque tours à raison de n tours par seconde. Il intercepte
un faisceau lumineux et un bref éclair se produit chaque fois qu’un trou passe devant la source
lumineuse.
1) Exprimer la fréquence Ne en fonction de p et n

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2) Le disque troué qui produit des éclairs a p = 10 trous. Avec ce stroboscope, on éclaire une
lampe vibrante. Sachant que la plus grande valeur de n pour laquelle la lame est
immobilisée en apparence dans une position où elle est écartée au maximum de sa
position d’équilibre est n = 10, calculer la fréquence du vibreur.
3) Quel est l’aspect de la lame quand n vaut successivement 5 ; 20 ; 9.9 tr/s ?

Exercice : 8
Pour déterminer la vitesse de rotation de l’arbre d’un moteur, l’on utilise un stroboscope de
fréquence 100 Hz. Le mouvement apparent a lieu dans le sens direct à la vitesse d’un tour en
deux secondes. Calculer la vitesse de rotation réelle de l’arbre.

Exercice : 9
Sur un disque noir est peint un rayon blanc. La fréquence de rotation du disque est N = 24 Hz.
Ce disque est éclairé par un stroboscope de fréquence Ne pouvant varier de 10 Hz à 50 Hz.
Déterminer la fréquence réelle des éclairs dans les deux cas suivants :
a) Le disque apparaît immobile avec un rayon blanc
b) Le disque apparaît immobile avec deux rayons blancs

Exercice : 10
Un ventilateur comporte trois pales identiques. La fréquence des éclairs est 100 Hz.
Pour quelles vitesses de rotation exprimées en tr/min le ventilateur paraît-il immobile ?

ONDES PROGRESSIVES
Exercice : 11
On considère une lame horizontale dont l’extrémité A vibre verticalement. En A est fixé un fil
horizontal de longueur AB = 1,20 m de masse m = 24 g. Le fil est tendu, grâce à une force de
tension F = 8 N. La fréquence N = 50 Hz des vibrations se propage le long du fil à la vitesse
V. un système supprime la réflexion de l’onde à l’extrémité B du fil.
1) Calculer la longueur d’onde et la célérité de propagation du mouvement vibratoire
2) L’amplitude à l’extrémité A de la lame est a = 10 mm.
a) Etablir l’équation horaire du mouvement de A et celle du point C du fil tel que
AC = x = 70 cm où l’élongation de A est nulle et croissante
b) Représenter dans le même axe les sinusoïdes des temps des diagrammes de ces
deux mouvements des points A et C

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Exercice : 12
L’extrémité O d’une lame vibrante a un mouvement sinusoïdal rectiligne de fréquence
f = 50 Hz et d’amplitude a = 3 mm.
1) A l’origine des dates, le point O se trouve à sa position d’élongation maximale positive.
a) Etablir l’équation horaire du mouvement du point O.
b) Calculer le module de la vitesse maximale de ce point.
2) La lame est reliée à un fil horizontal le long duquel la célérité des ondes est V = 5 m/s. on
néglige la réflexion de l’extrémité du fil. Calculer la longueur d’onde.
3) L’origine des dates est maintenant choisie telle que l’équation horaire du mouvement du
point O est : .
a) Ecrire l’équation horaire de la vibration du point M situé à la distance x du point O.
b) Représenter l’aspect de la corde à la date t = 0,05 s.

Exercice : 13
L’extrémité S d’une corde vibrante a un mouvement d’équation = 2 100 (cm).
1) En déduire la fréquence de ce mouvement vibratoire
2) La distance qui sépare deux points successifs vibrant en opposition de phase est de
1,2m.
a) Calculer la longueur d’onde de la vibration
b) En déduire la vitesse de propagation des ondes
c) Représenter l’aspect de la corde à l’instant t = 1,25 s

Exercice : 14
On considère une lame vibrante OA dont O est fixe et A libre. En A, est attachée une corde
élastique AB tendue horizontalement de telle sorte qu’il n’y ait pas réflexion des ondes en B.
La fréquence de vibration de la lame est N et son amplitude a.
1) Etablir l’équation horaire du mouvement de A sachant qu’à l’instant initial t = 0, A passe
par la position d’équilibre avec une vitesse initiale . A.N : a = 1 cm ; N = 50 Hz
2) Etablir l’équation horaire du mouvement d’un point M de la corde, situé à la distance x de
A. sachant que la distance entre M1 et M2 deux points consécutifs et vibrant en phase est
d = 20 cm. Calculer :
a) Calculer la célérité des ondes
b) Représenter l’aspect de la corde à l’instant t = 0,05 s
Exercice : 15
A l’extrémité d’un vibreur animé d’un mouvement vertical sinusoïdal de fréquence N = 100Hz
qui décrit un segment de longueur l = 2a = 4 mm, on accroche un stylet qui tombe sur une
nappe d’eau en un point S. la vitesse de propagation est V = 40 cm/s
1) Quel est le phénomène observé ?
2) Ecrire l’équation du mouvement S. on prendra comme origine des temps l’instant où la
perturbation débute en S, le point étant à sa position d’élongation maximal positive
3) Ecrire l’équation d’un point M situé à 16 mm de S. comparez les mouvements de S et
de M
4) Représenter dans le même système d’axes ) et )

Exercice : 16
A l’extrémité d’une lame vibrant verticalement, est fixée un fil de longueur l = 2 m, de masse
m = 20 g soumis à une tension F = 4 N. on admettra qu’il n’y a pas de réflexion aux extrémités
du fil. La fréquence du mouvement de la lame est N = 100 Hz.
1) Quel est la longueur d’onde de la vibration

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2) L’extrémité S de la lame a un mouvement sinusoïdal d’amplitude a = 2 mm.
Ecrire l’équation horaire du mouvement de S, ainsi que celle du point M du fil situé à la
distance SM = x = 65 cm. On suppose qu’à l’instant initial, le point S passe par la position
d’équilibre dans le sens négatif décroissant. Comparer les mouvements de S et M
3) Le mouvement de S commence à l’instant t = 0, S partant dans le sens négatif.
Dessiner dans un même système d’axes, les diagrammes des mouvements de S et de M

Exercice : 17
Une lame vibrante est animée d’un mouvement sinusoïdal de fréquence 100Hz. Elle est munie
d’un dispositif qui frappe verticalement en point S1. Une corde tendue de grande longueur
(supposée infinie). Les vibrations de la lame produisent sur la corde des ondes transversales
d’amplitude 3,0 mm. La vitesse de propagation des ondes sur les cordes est C = 0,4 m/s.
L’origine des temps étant prise à l’instant où l’élongation est nulle en S1, le point S1 allant
vers le haut :
1. Ecrire l’équation du mouvement de S1.
2. Déterminer la distance x du premier point qui vibre en opposition de phase avec la
source
3. Représenter dans un système d’axes les courbes des points S et M

Exercice : 18
L’extrémité O d’une lame vibrante décrit un mouvement rectiligne sinusoïdal de fréquence
N = 50 Hz et d’amplitude a = 0,5 cm. Cette lame est reliée par O à 1 m du fil le long duquel
les vibrations se propagent à la vitesse de 5 m/s. il n’y a pas de réflexion à l’extrémité du fil
1) Donner l’équation du mouvement du point O sachant qu’à l’instant t, le point O passe par
sa position d’élongation maximale négative (sens positif vers le haut)
2) Etablir l’équation de la vibration d’un point M situé à 22,5 cm de O
3) Donner la représentation de FRESNEL de la vibration de M en fonction du temps
4) Déterminer le nombre de point en quadrature de phase avec la source

Exercice : 19
Une lame vibrante est animée d’un mouvement sinusoïdal de fréquence 100 Hz elle est munie
d’une pointe qui frappe verticalement la surface libre de l’eau en un point S. les vibrations de
la pointe produisent à la surface de l’eau des ondes transversales d’amplitude 1 mm. La
vitesse de propagation des ondes est 0,40 m/s. On suppose qu’il n’y a ni réflexion, ni
amortissement des ondes.
1) Ecrire l’équation de S et M situé à la distance d = 1,4 cm de S. On prendra l’origine des
temps l’instant où la perturbation S ; le point s’allant vers le haut.
2) Représenter graphiquement la coupe de la surface de l’eau passant à t = 0,035 s
3) Représenter graphiquement la coupe de la surface de l’eau passant par S à x = 1,4 cm
4) Quelle est la vitesse maximale d’un point de la surface de l’eau

Exercice : 20
L’extrémité S d’une corde élastique vibrante, tendue horizontalement, est animée d’un
mouvement transversal sinusoïdal de fréquence N = 50 Hz et d’amplitude a = 1cm. Des ondes
se propagent alors le long de cette corde à la célérité V = 1 m/s. A l’instant t = 0, l’élongation
du point S est maximale et positif

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1) Ecrire l’équation du mouvement :
a) Du point S
b) D’un point M situé à 1,5 cm de S
2) a-) Donner les courbes représentatives des deux mouvements dans même système
d’axe
b-) Déduire de ces courbes le décalage horaire entre les deux mouvements

Exercice : 21
Un vibreur est animé d’un mouvement sinusoïdal de fréquence f = 50 Hz. A la lame du vibreur
est fixée l’extrémité O d’une corde élastique tendue horizontalement. L’autre extrémité de la
corde comporte un dispositif qui empêche la réflexion des ondes. Le vibreur impose un
mouvement sinusoïdal vertical d’amplitude a = 5 mm au point O.
1) Calculer la longueur d’onde de la vibration si les ondes ont une célérité de 10 m/s.
2) En prenant comme origine des temps l’instant où la lame du vibreur passe par sa position
d’équilibre dans le sens descendant et en supposant que le sens positif des élongations
est ascendant.
a) Ecrire l’équation de O ;
b) Ecrire l’équation du point A situé à 5 cm de O et du point B situé à 15 cm de O.
c) Quelle est la différence de phase entre les mouvements de A et B ? Que peut-on
conclure ?
3) Représenter l’aspect de la corde à t = 0,04 s. Donner les abscisses des points qui vibrent :
- En phase
- Opposition de phase
4) A t = 0,04 s, où se trouve ?
a) Les points ayant une vitesse positive ?
b) Les points ayant une vitesse négative ?

Exercice : 22
On considère que le mouvement d’un point situé à l’extrémité de la lame vibreur est rectiligne
sinusoïdale d’amplitude a = 1 mm et de fréquence 100 Hz.
1) Ecrire l’équation horaire du mouvement du point O en prenant la position médiane comme
origine des élongations et en admettant que, à l’instant t = 0, l’élongation est maximale
positive.
2) Quelle est l’expression de la vitesse du point O à l’instant t ? calculer sa valeur numérique
à l’instant t = 3 s.
3) On attache au point O une corde de très grande longueur qu’on assimilera à une corde
infiniment longue. Le mouvement de O se fait perpendiculairement à la corde. Sachant
que la célérité de la propagation des ondes transversales de la corde est de 40 m/s.
Déterminer :
a) La longueur d’onde
b) L’expression de l’élongation en fonction du temps d’un point M situé à la distance x de
O, l’élongation de O étant toujours maximale et positive à t = 0
c) A l’instant t = 0,02 s, donner la position et la vitesse d’un point situé à 1 m du point O.

Exercice : 23

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L’extrémité O d’une lame vibrante décrit un mouvement rectiligne sinusoïdal vertical, de
fréquence N = 50 Hz et d’amplitude a = 0,5 cm. Cette lame est reliée par O à un fil le long
duquel se propage la vibration à la célérité de 5 m/s. il n’y a pas réflexion à l’extrémité de la
corde.
1) Donner l’équation horaire du mouvement du point O sachant qu’à l’instant initial, ce point
passe par sa position d’élongation maximale (sens positif vers le haut)
2) a-) Etablir l’équation de la vibration d’un point M de la corde située à 7,5 cm de O.
b-) Représenter dans un même système d’axes, les graphes des mouvements de O et de
M. comment vibrent ces deux points ?
3) Déterminer le nombre de points de la corde vibrant en quadrature de phase avec la source
O. La longueur de la corde étant de 1 m.
4) Quel est l’aspect de la corde à l’instant t = 0,03 s.

Exercice : 24
Un vibreur est muni d’un point fixe dont l’extrémité, animée d’un mouvement vertical
sinusoïdal, de fréquence N = 25 Hz et d’amplitude 2,5 mm, frappe en un point O, la surface
d’un liquide au repos. On néglige l’amortissement du mouvement et on suppose qu’il n’y a pas
de réflexion des ondes sur les parois du récipient.
1) La distance entre 6 crêtes consécutives est d = 10 cm.
a) Définir la longueur d’onde d’un mouvement vibratoire
b) Calculer la longueur d’onde et la célérité des ondes à la surface du liquide.
2) Ecrire l’équation du mouvement du point O, yo = f(t), en supposant qu’à l’instant initial
t = 0, yo = 0, le mouvement allant dans le sens positif des élongations.
3) Ecrire l’équation du mouvement d’un point M situé à 3 cm de O et celle du mouvement
d’un point N situé à 5,5 cm de O. Que peut-t-on dire du mouvement de M par rapport à
celui de N ?
4) Représenter le graphe du mouvement de M

Exercice : 25
A l’une des extrémités O d’une lame vibrante, on attache une corde élastique horizontale
passant par la gorge d’une poulie (voir figure) O A
La lame vibrante est soumise à des vibrations
Sinusoïdales d’amplitude a = 2 mm et de
fréquence f = 100 Hz. Un dispositif amortisseur empêche la réflexion des ondes en A
La corde étant tendue par une masse m = 100 g, la vitesse des propagations des ondes vaut m
dans ce cas 20 m/s.
1) Calculer la masse linéique de la corde. On donne g = 10 m/s2
2) A l’instant t = 0, le point O commence à vibrer à partir de l’origine des élongations avec
une vitesse positive vers le haut. Etablir :
a) L’équation horaire Yo(t) du mouvement du point O
b) L’équation horaire YM(t) d’un point M situé à la distance x de la source.
c) Comparer le mouvement de O à celui de M pour x = 25 cm.
3) Représenter l’aspect de la corde à l’instant t = 0,05 s.

Exercice : 26
On réalise l’expérience de Melde avec une corde tendue par un solide de masse m = 160 g
1) Calculer la vitesse de propagation lorsque la masse linéique vaut 1 g/m

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2) Sachant que la lame vibre avec une amplitude de a = 4 mm à la fréquence N = 100 Hz.
a) Calculer la longueur du segment qu’elle décrit
b) Ecrire l’équation horaire de la source O. on prendra pour origine de temps, instant où
le point O est à l’élongation maximale positive.
3) Ecrire l’équation du mouvement d’un point M situé à la distance x = 60 cm, comment vibrent
les points M et O ?
4) Tracer dans un même repère les mouvements de O et M.
5) Quel est l’aspect de la corde à l’instant t = 0,0175 s ?

Exercice : 27
Les graphiques (1) et (2) ci-après représentent les sinusoïdes des points S et P avec S la
source des ondes et P un point de la corde situé à la distance SP = x. on donne a = 3 cm.
1) a-) Déterminer à partir du graphique (1) les conditions initiales (élongation et sens de
déplacement de S à l’instant t = 0)
b-) Donner la période T ainsi que la pulsation du
mouvement de S
c-) Ecrire l’équation horaire du mouvement de S.
2) a-) S et P vibrent-ils en phase ? en opposition de phase ?
en quadrature de phase ?
b-) Déterminer l’instant où le point P commence à vibrer (1) (2)
c-) Déterminer la célérité des ondes le long de la corde s y
+a
achant que SP = 2 cm.
d-) Quelle est la longueur d’onde du mouvement vibratoire ?
e-) Représenter l’aspect de la corde à t = 0,03 s. t(s)
O
0,005

-a

Exercice : 28
Un vibreur est relié à l’une de ses extrémités S d’une corde. A l’instant t = 0, S commence à
vibrer à partir de sa position d’équilibre, prise pour origine des élongations, avec une vitesse
positive. Ces vibrations de période T, de fréquence N, d’amplitude a, ont pour célérité 20 m/s.
on néglige les réflexions des ondes à l’autre extrémité de la corde. Les élongations YS(t) de S
et YM(t) de M du point ci-dessous représentées :
y(m) YS(t) YM(t)
-3
2.10

t(s)
O

-2.10-3
0,015

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1) a-) Quelles sont les valeurs de l’amplitude a et de la fréquence N des vibrations ?


b-) Déterminer le retard avec lequel le point M commence son mouvement par rapport
à S. Déduire la valeur SM = x.
2) Les points S et M vibrent-ils en phase, en opposition de phase ou en quadrature de
phase ? Justifier votre réponse
3) Etablir les équations horaires YS(t) et YM(t) des mouvements de S et M.

Exercice : 29
Une corde élastique de longueur L = OD = 1,68 m est tendue horizontalement entre ces deux
extrémités O et D. Un vibreur communique au point O un mouvement rectiligne sinusoïdal, les
ondes incidentes arrivent au point D et elles seront absorbées par un dispositif qui empêche
la réflexion des ondes.
A l’origine des dates (t = 0), le mouvement de O commence avec une fréquence N = 100 Hz,
la loi horaire de son mouvement est : yo(t) = a.sin( + ).
1) Etablir la loi horaire du mouvement d’un point M situé au repos à la distance x = OM.
2) La figure suivante représente l’aspect de la corde à une date t1

y(mm)
2

D x
0
37,5 cm

-2

a) Déterminer graphiquement l’expression de t1 en fonction de la période T. Calculer t1


b) Calculer la longueur d’onde . Déduire la célérité V de l’onde.
c) A partir du graphe, déduire la valeur de la phase initiale
3) Soit A un point de la corde situé à une abscisse XA = 12,5 cm de O.
a) Etablir la loi horaire du mouvement du point A.
b) Représenter, sur le même graphe, les sinusoïdes des temps des points O et A.

Exercice : 30
L’une des extrémités S d’une corde élastique SA de longueur L, tendue horizontalement selon
l’axe Ox d’un repère ( ) de la figure ci-dessous, est reliée à un vibreur qui lui impose un
mouvement vibratoire sinusoïdal de fréquence N et d’amplitude YM. Chaque point de la corde
est repéré par son abscisse x et son ordonnée y dans le repère R. Le mouvement vibratoire,
issu de S, se propage le long de la corde avec un amortisseur négligeable. Un dispositif

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approprié, placé en A, empêche toute réflexion des ondes. Le mouvement de S débute à
l’instant t = 0.
1) L’étude du mouvement, en fonction du temps, d’un point M1 de la corde tel que M1 est situé
à la distance x1 de S et de l’aspect de la corde à l’instant t1 donné, ont fourni les courbes
(1) et (2) de la figure ci-dessous. Identifier les deux courbes.
2) Par exploitation des deux courbes ci-dessus, détermine :
a) La longueur d’onde , la période T et la célérité V de l’onde.
b) L’instant t1 et la distance x1.
3) Déterminer l’équation ys(t) du mouvement de S au cours du temps.

y(mm) y(mm)
2 2

X(10-2m) 3 4 6 8 t(10-2s)
20 40 0
0

-2 -2
Courbe 2
Courbe 1

INTERFERENCES MECANIQUES
Exercice : 31
Les deux extrémités S1 et S2 d’un vibreur sont distantes de 6 cm. La fréquence des vibrations
est N = 10 Hz. La célérité des ondes transversales à la surface de l’eau vaut C = 24 cm/s.
1) Calculer la longueur d’onde des vibrations
2) Combien de franges d’amplitude maximale observe-t-on sur le segment S1S2 si les deux
sources sont en phase ?
3) Préciser l’état vibratoire des points suivants :
a) M tel que S1M = 2,5 cm et S2M = 4,9 cm
b) N tel que S1N = 3 cm et S2N = 6,6 cm
Exercice : 32
Une lame a deux pointes crée des ondes circulaires de fréquence N = 100 Hz ; en deux points
sources S1 et S2 d’une nappe d’eau distants de D = 2 cm. Ces ondes interfèrent entre S1 et S2
1) Décrire le phénomène observé sur la surface de l’eau
2) Les ondes parties de S1 et S2 vibrent en phase, avec une phase initiale nulle, et ont une
amplitude a
a) Ecrire les équations horaires des mouvements de S1 et S2 en fonction de a
b) Etablir l’équation du mouvement d’un point M entre S1 et S2 tel que S1M = d1 et
S2M = d2 en fonction de a, d1, d2 et de la célérité C de propagation
3) Sachant que la distance séparant le premier point de repos au deuxième point de repos
est d = 1,8 cm.
a) Déterminer la valeur de la célérité C de propagation des ondes
b) Combien existe-il des points de repos sur le segment de droite (S1S2) ?
Exercice : 33

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Deux pointes identiques, animées d’un mouvement vibratoire sinusoïdal vertical de fréquence
25 Hz et d’amplitude 0,5 cm, frappent la surface d’une nappe d’eau aux points S1 et S2 distants
de 5,3 cm. La célérité des ondes à la surface de l’eau est 0,20 m/s. A l’instant t = 0, le point S1
est à son élongation maximale au-dessus de la surface de l’eau.
1) Les pointes vibrent en phase.
a) Décrire le phénomène observé
b) En utilisant la construction de Fresnel, déterminer l’équation horaire y(t) du point N de
la surface de l’eau située aux distances S1N = 3,2 cm et S2N = 3 cm des pointes.
2) La vibration de S2 présente maintenant un retard de phase de sur la vibration de S1.
a) Déterminer l’expression de l’élongation résultante du point M
b) Quelle est la relation (différence de marche) qui détermine les positions des points de repos ?
c) Combien en existe-t-il entre S1 et S2 ?
d) Les représenter le long du segment S1S2 en prenant pour origine du repère le milieu O du
segment S1S2
Exercice : 34
Deux pointes créent à la surface de l’eau des vibrations sinusoïdales transversales de même
amplitude et même période. L’équation du mouvement de la première source est
= asin(50 ). La deuxième source est en quadrature avance sur la première
S1S2 = D = 35 cm. La célérité de vibrations V = 5 m/s
1) Ecrire l’équation du mouvement de la deuxième source
2) Déterminer l’équation du point M tel que S1M = d1 = 43 cm et S2M = d2 = 63 cm.
3) Déterminer le nombre de points immobiles entre S1S2
Exercice : 35
On fait tomber goutte à goutte de l’eau à raison de 80 gouttes à la minute sur la surface d’une
nappe d’eau au repos.
1) Qu’observe-t-on ?
2) Sachant que la distance entre deux crêtes consécutives est de 45 cm. Calculer la célérité
des ondes à la surface de l’eau.
3) On créait entre deux points de cette surface situé à 21 cm l’un de l’autre deux
ébranlements transversaux, périodiques de période T = 0,1 s d’amplitude a = 1 cm et qui
à partir de S1 et S2 se propagent dans toutes les directions de la surface du liquide
a) Etablir les équations horaires des deux sources S1 et S2 en prenant pour origine des
espaces la position d’équilibre des deux sources et pour origine des dates le début du
mouvement, l’élongation s’effectuant dans le sens des élongations croissantes.
b) Déterminer la perturbation que subit le point M situé à des distances d1 de S1
et d2 de S2
c) Combien existe-t-il des points de repos sur le segment S1S2 ?

Exercice : 36
Deux pointes verticales produisent en deux points S1 et S2 de la surface d’un liquide, deux
perturbations transversales sinusoïdales en phase, d’amplitude a et de période T.
On donne T = 0,44 s ; S1S2 = 60 cm ;
1) En utilisant la construction de Fresnel, établir littéralement l’équation du mouvement
résultant en un point M de la surface du liquide situé à la distance d1 de S1 et d2 de S2. En
déduire la condition pour laquelle ce point est immobile.
2) Sur la droite S1S2, la distance de deux franges immobiles consécutives est de 11 cm. En
déduire la longueur d’onde et la vitesse de la vibration qui se propage à la surface du
liquide.

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3) Calculer le nombre de franges d’amplitude maximale qui se forme à la surface du liquide.
4) Déterminer l’état vibratoire de chacun des points suivants :
- A situé à 36 cm de S1 et 80 cm de S2
- B situé à 10 cm de S1 et 43 cm de S2

Exercice : 37
On réalise une expérience de l’interférence à la surface de l’eau.
Deux pointes distantes de 3 cm frappant la surface de l’eau en deux points S1 et S2 qui
constituent ainsi deux sources de vibration sinusoïdale en phase de même amplitude
a = 2 mm et de même fréquence f = 50 Hz. La célérité des ondes à la surface de l’eau est
V = 25 cm/s.
1) Calculer la longueur d’onde des ondes issues de S1 et S2
2) Les équations horaires des mouvements de S1 et S2 sont : )= )=
Un point M de la surface de l’eau est situé à la distance d1 de S1 et d2 de S2
a) Etablir l’expression littérale de l’élongation du mouvement résultant au point M en
supposant que les vibrations de S1 et S2 arrivent en M avec la même amplitude.
b) Calculer l’amplitude du mouvement de M si d1 = 3 cm et d2 = 4 cm. Conclure.
c) Déterminer le nombre de franges d’amplitude nulle entre S1 et S2.

Exercice : 38
Deux points S1 et S2 vibrent en phase perpendiculairement à la surface de l’eau avec une
fréquence de 100 Hz. On obtient sur la surface de l’eau des franges d’interférences. On prend
un point M sur la kime frange comptée à partir de la médiane zz’ de S1S2. On mesure ses
distances à S1 et S2, on trouve MS1-MS2 = 12 mm. Procédant de la même manière avec M’
pris sur la (k+3)ième frange de même nature et de même côté que M on trouve
M’S1-M’S2 = 36 mm.
1) Calculer la longueur d’onde des ondes
2) Calculer la vitesse de propagation des ondes
3) Préciser la nature de la frange envisagée
4) Quel est le nombre de franges de cette nature sur S1S2 sachant que S1S2 = 56 mm.

Exercice : 39
Une lame vibrante en acier exécute N = 100 vibrations par seconde. Cette lame horizontale est
munie d’une fourche dont les deux branches verticales et de longueurs égales sont distantes
de 50 mm. Les pointes de la fourche déterminent en deux points S1 et S2 de la surface d’un
bain de mercure, deux perturbations transversales, sinusoïdales, de même période, en phase,
d’amplitude égale à 2 mm.
1) Déduire et expliquer qualitativement le phénomène observé
2) Etablir l’équation du mouvement d’un point M, de la surface de mercure, situé à une
distance d1 de S1 et d2 de S2.
3) On prend un point P sur la n-ième frange comptée à partir de la médiatrice z’z de S1S2. On
mesure ses distances à S1 et S2 et l’on trouve : PS1-PS2 = 24 mm. En procédant de même
avec un point P’ pris sur la (n+4)-ième frange de même nature et du même côté de z’z, on
trouve P’S1-P’S2 = 56 mm. Calculer la longueur d’onde et la célérité de propagation du
mouvement vibratoire sur la surface du mercure.
Préciser la nature de la n-ième frange envisagée.

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Exercice : 40
Un vibreur est muni d’une pointe fine animée d’un mouvement sinusoïdal de fréquence 25
Hz et d’amplitude a = 2,5 cm. Il frappe en O, un point de la surface d’un liquide au repos. On
provoque l’immobilité apparente du phénomène par éclairage stroboscopique.
1) Quelle relation doit exister entre la fréquence des éclairs et la fréquence .
Quelle est la valeur maximale de ?
2) La distance séparant six crêtes consécutives est de 10 cm. Calculer la longueur d’onde
et la célérité.
3) Ecrire l’équation de O sachant que sa phase initiale est nulle
4) Ecrire l’équation du mouvement d’un point M situé à 3 cm de O et celle du mouvement
d’un point N situé à 5,5 cm de O. Que peut-t-on conclure ?
5) Le vibreur est maintenant muni d’une fourche. Les extrémités des points de la fourche
frappent à la fréquence de 25 Hz en deux points O1 et O2 séparés d’une distance
d’ = 72 cm. Les ondes se propagent à la surface du liquide avec la célérité de 0,50 m/s.
a) Trouver la condition pour qu’un point de la surface soit :
- Sur une ligne de vibration maximale,
- Sur une ligne de vibration nulle
b) Déduire l’état vibratoire des points P et Q tel que PO1 = 17 cm, PO2 = 10 cm et
QO1 = 9 cm et QO2 = 5 cm.
c) Déduire le nombre de points de vibration maximale et au repos sur [ ]
Exercice : 41
La pointe d’un vibreur frappe en S1 et S2 de la surface de l’eau contenue dans une cuve avec
une fréquence = 100 . On mesure la distance entre 5 rides consécutives et l’on trouve
= 1,60 .
1) Calculer la célérité de l’onde entretenue à la surface de l’eau.
2) On éclaire la surface de la cuve avec la lumière émise par un stroboscope.
a) La fréquence des éclairs est = 100 , quel est l’aspect de la surface de l’eau ?
b) La fréquence des éclairs est maintenant = 101 ,qu’observe-t-on ?
c) Quelle est la valeur de la fréquence apparente ?
3) Un deuxième vibreur identique au 1er détermine en un point S2 de la même surface de
l’eau une autre perturbation transversale en retard de phase de par rapport à celle
produite par le premier vibreur en S1. A l’instant initial, S1 se trouve à une position minimale.
a) En utilisant la construction de Fresnel, établir l’équation du mouvement d’un point M
situé à une distance de S1 et à une distance de S2
b) Déterminer le nombre de points des plans nodaux puis déduire le nombre de points
des plans ventraux entre les sources S1 et S2 sachant que = 4,20

Exercice : 42
On utilise au diapason dont l’une des branches est munie d’une fourche dont les pointes
verticales et distantes de 20 cm, frappent légèrement la surface de l’eau. L’élongation de
a pour expression ( ) . La pointe est en quadrature de phase avance sur .
La célérité des ondes est = 10 ; le diapason vibre avec une fréquence = 100 dont
l’amplitude des vibrations est = 2 .
1) Qu’observe-t-on à la surface de l’eau ?
2) a-) Ecris l’équation du mouvement de
b-) Ecris l’équation du mouvement résultant au point M placé de et de de
la surface de l’eau.

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3) Donne le nombre et la position par rapport à , des points d’amplitude maximale sur
le segment
4) Calcule l’amplitude du mouvement de M si = 12,6 et = 85,1 puis conclure.
5) Quelle est la vitesse maximale d’un point d’amplitude maximale.

Exercice : 43
Les deux pointes d’une fourche, actionnée par un diapason vibrant à la fréquence = 25 ,
produisent en deux points et de la surface d’une nappe d’eau des vibrations sinusoïdales
de même amplitude , en phase. La célérité des ondes est = 0,5 . On donne = 9,5
1) On considère les trois points suivants :
défini par = 20 et = 16 ;
défini par = 19 et = 24 ;
défini par = 13 et =9 ;
a) Quelle est l’amplitude de variation de chacun de ces points ?
b) Deux points sont situés sur la même frange d’interférence. Lesquels ?
c) Montrer que les deux points précédents vibrent en opposition de phase
d) Détermine le point d’intersection de la frange portant ces deux points avec le segment
2) Que est le nombre de franges à amplitude nulle ?
3) Tracer l’allure de ces franges. On se contentera de préciser leurs intersections avec

ONDES STATIONNAIRES
Exercice : 44
L’extrémité A d’une lame vibrante horizontale est animé d’un mouvement vertical rectiligne
sinusoïdal d’amplitude a = 2 mm et de fréquence f = 100Hz. On fixe en A une corde AB
horizontale à laquelle la lame impose des vibrations transversales. L’extrémité B de la corde
est fixée et les cordes émises par la source A se réfléchissent en B. la corde AB a une
longueur L = 1,60 m et la célérité des ondes vaut v = 40 m/s
1) Ecrire l’équation horaire du mouvement de A sachant qu’à t = 0, le point A, quitte sa
position d’équilibre dans le sens des élongations positives
2) Déterminer le nombre de fuseaux observés entre A et B en admettant que le point A est
un nœud de vibration
3) On suppose que la tension est quatre fois plus grande que sa première valeur ; combien
de fuseaux observera – t – on entre A et B ? conclure.

Exercice : 45
Le long d’une corde AO se propagent des ondes transversales sinusoïdales qui partent du
point A et se réfléchissent au point O. la fréquence des ondes est N = 100 Hz. L’équation
horaire du mouvement d’un point C d’abscisse Xc = OC est = 8. 10 sin(5 x)cos(200 t)
1) a-) Donner l’expression de l’amplitude de l’onde résultante en C
b-) Cette onde est qualifiée d’onde stationnaire ? Pourquoi ?
2) Le fil présente entre A et O, 4 fuseaux. Déterminer
a-) La longueur d’onde
b-) La célérité de propagation C des ondes
c-) La longueur L = AO
3) déterminer les vitesses des points d’abscisses x1 = 5 cm et x2 = 35 cm à l’instant
t = 6,25.10-2s. Ces deux points appartiennent – ils au même fuseau ? Pourquoi ?

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Exercice : 46
1) Le long d’une corde tendue se propage une onde progressive sinusoïdale avec une célérité
constante V = 15 m/s. L’élongation, exprimée en centimètre, du point M1 de la corde est :
= asin(100 )
a) Donner pour cette onde les valeurs numériques de la période T, de la pulsation , de
la longueur d’onde et du nombre d’onde k.
b) Après le passage en M1, l’onde arrive au point M2 de la corde. La distance M1M2 étant
de d = 5 cm, comparer les amplitudes des mouvements des points M1 et M2 et leur
phase.
2) On considère maintenant la propagation le long de la corde tendue de deux ondes
sinusoïdales, de même amplitude, de même fréquence et de même célérité V, se
propageant en sens inverse.
Décrire le phénomène résultant de leur superposition en un point M d’abscisse x donné.
3) Le point M1, ventre de vibration, a pour élongation, en centimètre : = 2sin(100 )
a) Préciser l’expression de l’élongation du point M2 situé à la distance d
b) Comparer les amplitudes des mouvements de M1 et M2 et leur phase.

Exercice : 47
Un vibreur de fréquence f = 100 Hz produit sur une corde de longueur L = 1 m des ondes
stationnaires transversales avec un nœud à chaque extrémité (il n’y a pas d’autres). La corde
est soumise à la tension F = 400 N.
1) Dessiner l’aspect de la corde et calculer sa masse
2) La largeur maximale d’un fuseau est de 4 mm. Donner l’équation horaire du mouvement
d’un point M situé à la distance x = 25 cm de l’extrémité fixe. On ne tiendra pas compte
de la première réflexion
3) Quelle valeur prendra F pour observer 4 fuseaux ?

Exercice : 48
Une onde plane se propage selon la direction et le sens de l’axe (x’x) à la célérité C. La
perturbation qui s’écrit en x = 0, (0, ) = asin( ). Une deuxième onde sinusoïdale de même
nature, de même fréquence et de même amplitude, se propagent mais en sens inverse. Au
point d’abscisse x = 0, (0, ) = asin( ).
1) Écrire les expressions de ( ) et ( )
2) La superposition de ces deux ondes donnent une perturbation ( ) = 5. 10 cos xsin
a) Comment appelle-t-on cette onde ? Justifier votre réponse
b) Calculer la pulsation des ondes qui se superposent, leur période, leur longueur
d’onde ainsi que leur célérité.
c) Déterminer les abscisses des plans nodaux et les plans ventraux des vibrations.

Exercice : 49
On considère deux ondes sinusoïdales, transversales de même amplitude a et de même
amplitude . Les ondes (1) et (2) se propagent en sens inverse avec la même célérité suivant
un axe x’x orienté de la gauche vers la droite

(1) (2)
X’ O x

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Au point O d’abscisse x = 0, l’élongation crée par l’onde (1) agissant seule est :
(0, ) = Acos( ) et celle de l’onde (2) agissant seule est : (0, ) = Acos( ).
1) Déterminer les élongations ( ) et ( ) créées par les ondes (1) et (2) agissant seules
au point M d’abscisse x
2) a-) Déterminer l’amplitude et la phase de la vibration résultante en M
b-) Que peut-t-on dire de l’onde résultante ? Justifier votre réponse
3) En prenant = et N = 50 Hz, déterminer :
a) Les positions par rapport à O des nœuds vibration
b) La vitesse maximale d’un point correspondant à une vitesse sachant que la largeur des
ventres est de 4 mm.

Exercice : 50
Une corde AB de longueur L = 1 m est fixée à sa partie supérieure (A) à l’une des
branches d’un diapason vibrant à la fréquence de 50 Hz (voir figure). L’extrémité est
fixée par une plaque et porte un solide de masse m
A
1) Sachant que la corde vibre en un seul fuseau pour m = 2 kg; calculer la masse mc
de la corde
2) Pour quelle valeur de m, la corde vibre t – elle en présentant 3 fuseaux ?
3) L’équation du mouvement du point B étant )= (m)
M a) Etablir l’équation du mouvement résultant au point M situé à la distance x = BM
b) La corde vibre en deux fuseaux et l’amplitude des vibrations des ventres vaut
Br 2 cm. Quelle sera l’amplitude des vibrations du point M situé à 60 cm de A ?

Exercice : 51
Une corde vibrante de longueur 2 m vibre en 3 fuseaux quand elle est tendue par une somme
de deux masses et . si on enlève la masse = 3 kg, l’autre vibre seule en 5 fuseaux.
1) a-) Déterminer la valeur de la masse
b-) Calculer la célérité des ondes pour la masse
c-) En déduire la fréquence du vibreur. On donne = 0,15 kg/m.
2) La corde étant tendue par une masse et on fait varier la fréquence du vibreur entre
50 Hz et 150 Hz. Pour quelles valeurs des fréquences observe – t – on des fuseaux
stables ?

Exercice : 52
Une corde vibrante de longueur AB = L = 1,2 m vibre en 4 fuseaux quand elle est tendue par
une masse .
Si on ajoute une masse = 700 g, elle vibre en 3 fuseaux.
3) a-) Déterminer la valeur de la masse
b-) Calculer la célérité des ondes dans chaque cas
c-) En déduire la fréquence du vibreur. On donne = 2.10-2 kg/m (masse linéique)
4) la corde est maintenant tendue par une masse M = + et on fait varier la fréquence
du vibreur entre 30 Hz et 75 Hz. Pour quelles valeurs des fréquences observe – t – on des
fuseaux stables ?
Indiquer leurs nombres.

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5) Le vibreur impose maintenant en A des vibrations transversales. L’extrémité B de la corde
est fixée et toujours tendue par la masse M et les ondes émises par la source A se
réfléchissent en B.
a) Etablir l’équation du mouvement d’un point N situé à une distance de B avec
( ) = 2 100 (cm)
b) On suppose que la tension est cinq fois plus petite que celle de la masse
M = + .
Combien de fuseaux observera-t-on entre A et B ? Conclure.

INTERFERENCES LUMINEUSES
Exercice : 53
1) une source monochromatique S éclaire deux fentes S1 et S2, distantes l’une de l’autre
de 3 mm et distant de S de 50 cm. La source S est sur la perpendiculaire au plan S1S2
et équidistante de S1 et S2. On observe des interférences sur un écran E placé à
D = 3 m du plan de S1S2. Entre la sixième frange brillante située avant la frange centrale
et la sixième frange brillante située après la frange centrale, on mesure la distance L
et on trouve L = 7,2 mm. Quelle est la longueur d’onde de la radiation émise par S ?
2) On place en S 1 une lame L1 à face parallèle d’épaisseur e1 = 0,05 mm et d’indice
n1 = 1,75. Calculer le déplacement x1 du système de franges. Qu’on observe t – on sur
l’écran ? On enlève la lame L1 en S1 et on déplace la source S de 2,5 mm parallèlement
à S1S2. De combien et dans quel sens se déplace la frange centrale ?
On ramène la frange centrale à sa position initiale O, en plaçant devant l’une des deux
fentes une lame L2 à faces parallèles d’indice n2 = 1,5. Où doit – on la mettre ?
Quelle épaisseur e2 convient – il de lui donner ?
3) On remplace la source monochromatique par une source de lumière qui émet deux
radiations de longueurs d’ondes = 0,52 et = 0,60 m. Cette source est placée
en S. Montrer qu’il est possible d’observer sur l’écran une coïncidence des franges
sombre et une autre coïncidence des franges brillantes.
Déterminer leurs distances par rapport à la frange centrale
4) On place la source précédente par une source de lumière blanche
a) qu’observe t – on ?
b) on place la fente d’un spectroscope, parallèlement à la frange centrale à 4 mm de
celle – ci, dans le plan de E.
Combien compte t – on de cannelures sombres dans le spectre ?
c) Déterminer les longueurs d’onde des radiations manquantes.
Limite du spectre visible : (0,4 ; 0,8 )
5) On reprend tout le dispositif du numéro 1. L’ensemble est plongé dans un liquide, S est
à L = 13,2 mm sur l’écran E, combien peut – on compter de franges brillantes ?

Exercice : 54
Dans le dispositif de YOUNG, la source S émet une radiation lumineuse de longueur d’onde
qui éclaire les fentes S1 et S2 distantes de a = 7.10-1 mm. On observe le phénomène
d’interférences dans un écran situé à une distance D = 1 m du plan des fentes.
1) Comment appelle-t-on la zone où on observe ce phénomène ?
2) Sur l’écran, le milieu de la 7ème frange brillante est situé à x = 4,2 mm du milieu de la frange
centrale. Calculer :
a) L’interfrange i
b) La longueur d’onde de la radiation

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3) La source S émet maintenant deux radiations, l’une de longueur d’onde = 0,420 et
l’autre de longueur d’onde inconnue ;
a) Décrire le phénomène observé sur l’écran
b) Sur l’écran, le milieu de la 8ème frange brillante de la radiation de longueur d’onde
coïncide avec le milieu de la 7ème frange brillante de la radiation de longueur d’onde
. Calculer
c) Calculer la distance entre deux coïncidences successives.
Exercice : 55
On observe un phénomène d’interférences lumineuses à l’aide d’un dispositif de YOUNG. Les
fentes (2) sont distantes de a = 2 mm. L’écran est placé à D = 3 m des fentes. On compte
k = 7 franges brillantes de part et d’autre de la frange centrale. La distance entre les deux
franges extrêmes est b = 12,6 mm.
1) Calculer l’interfrange. En déduire la longueur d’onde de la radiation utilisée.
2) Avec quelle précision connait-on sachant que a et b sont mesurés à 0,1 mm près et D à
1 cm près ?
3) On déplace de y = 2,5 mm vers le haut et parallèlement à l’écran la source principale S
située à d = 50 cm de la plaque portant les fentes. De combien et dans quel sens se
déplace la frange centrale ?
4) On ramène S à sa position initiale et on place devant S2 une lame de verre à faces
parallèles, d’épaisseur e = 60 et d’indice de réfraction n = 1,5. De combien et de quel
côté se déplace la frange centrale ?
5) On retire la lame de verre et on immerge tout le dispositif dans l’eau d’indice de réfraction
= . Quelle est la nouvelle valeur de l’interfrange ?
6) Le dispositif est de nouveau dans l’air. On superpose à la radiation précédente, une autre
radiation de longueur d’onde = 0,50 et on observe simultanément les deux systèmes
de franges. Quelle est la distance entre le centre du champ et la première coïncidence des
franges brillantes ?
7) La source S émet maintenant une lumière blanche. Qu’observe-t-on sur l’écran ? on place
la fente d’un spectroscope à x = 5 mm de la frange centrale. Déterminer le nombre de
cannelures observées et les longueurs d’onde des radiations correspondantes.

Exercice : 56
Soit trois fentes fines, parallèles F, F1, et F2. Ces fentes coupent le plan de la figure en S, S1,
et S2 et sont perpendiculaires à ce plan.
Une source monochromatique éclaire S, la lumière provenant de F est diffracté par F1 et F2.
1) Quelle est la direction des franges observées sur l’écran. Pourquoi sont – elles dites
délocalisées ?
2) La distance comprise entre la troisième frange brillante et la cinquième frange brillante
située de part et d’autre de la frange centrale est d = 6,4 mm. Quelle est la longueur d’onde
de la lumière émise par la source monochromatique ? on donne S1S2 = a = 1,5 mm ;
d=2m
3) On place derrière la fente F1 une lame de verre très faible d’épaisseur e = 4,8 m et d’indice
absolu n = 1,5. Dans quel sens et de combien se déplace la frange centrale ? quel est
alors l’ordre de la frange qui a pris sa place en O ?
4) La fente F est à présent éclairée par une lumière composée de deux radiations
monochromatique de longueur d’ondes respectives 1 = 0,42 m et 2 = 0,60
a) Qu’observe t – on sur l’écran ?

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b) A quelle distance du point O observe t – on sur l’écran de la première coïncidence entre
deux franges brillantes correspondant aux deux systèmes de frange ?

F1
F O
D
F2
Exercice : 57 E
On a réalisé l’expérience des fentes de Young en lumière monochromatique de longueur
d’onde . On donne S1S2 = a = 1 mm et D = 2 m.
1) a-) Décrire le phénomène
b-) Quel aspect de la nature de la lumière cette expérience illustre-t-elle ?
2) La distance entre le milieu de la 7ème frange sombre située au-dessus de la frange centrale
et le milieu de le 2ème frange sombre située en dessous de la frange centrale est 10,4 mm.
En déduire la longueur d’onde de la lumière utilisée
3) Déterminer la nature de la frange située à 3,25 mm du centre O de l’écran.
4) Successivement les sources secondaires S1 et S2 émettent des radiations de longueur
d’onde = 0,50 et = 0,60 .
a) Quelle est l’observation faite sur l’écran
b) Déterminer la distance qui reste entre
deux coïncidences successives. S1
S O O’

S2
D

Exercice : 58
Une source S monochromatique de longueur d’onde éclaire deux fentes S1 et S2 distantes de
=1 , situées dans un plan vertical distant de = 1 de la source S. Un écran (E) vertical
est placé à une distance D = 2 m des fentes. On observe des franges sur l’interférence d’écran.
1) Expériences des fentes de Young.
a) Faire le schéma représentant le dispositif expérimental
b) Décrire l’expérience de fentes de Young
c) Interpréter théoriquement cette expérience
d) Donner les deux conditions d’obtention des franges d’interférences
e) Que se passe-t-il si on masque la fente S1 ?
f) La source S émet maintenant une lumière blanche. Définir la lumière blanche.
Qu’observe-t-on sur l’écran ?
2) Indiquer d’autres expériences d’interférences lumineuses
3) Calculer l’interfrange si la source émet une radiation de longueur d’onde = 0,42
4) On déplace la source S de 1 cm vers le haut. De quel sens et de combien se déplace le
système de franges ?

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5) On introduit tout le dispositif dans l’eau. Calculer le nouvel interfrange et conclure. On
donne =
6) La source S émet à présent deux radiations lumineuses de longueurs = 0,58 =
0,68 .
a) Qu’observe-t-on sur l’écran (E) ?
b) A quelle distance de la frange centrale se produit la première coïncidence entre deux
franges brillantes.

Exercice : 59
Une lumière monochromatique issue d’une fente F, tombe sur un écran E percé de deux fentes
F1 et F2 parallèles à F. un dispositif spécial permet de faire varier la distance a entre les fentes
F1 et F2 (F1F2 = a) qui restent toutefois situées à égale distance de F
a) On dispose un écran K, parallèle à E et à une distance d de celui – ci. Qu’observe t -
on sur l’écran K ?
b) La longueur d’onde de la lumière monochromatique est . On mesure dans l’écran K
l’intervalle L séparant N franges brillantes consécutives. Etablir la formule donnant a en
fonction de , N, d et L. (on supposera établie la formule de l’interfrange)
c) Calculer a lorsque = 0 ,55 m, L = 7,2 mm ; d = 1,20 m et N = 7
d) On augmente l’intervalle a = F1F2. Qu’en résulte –t-il sur le phénomène observé sur
l’écran ?
e) D’autre part on remarque que pour un interfrange inférieur à 0,2 mm, l’observation du
phénomène devient très difficile à l’œil nu. Quelle est alors la valeur limite a, de la
distance F1F2 séparant les deux fentes ?
f) Combien observe –t-on de franges brillantes sur l’intervalle L = 7,2 mm de l’écran K
quand a = a, ? la mesure de l’intervalle est faite à partir d’une frange brillante

Exercice : 60
Un dispositif interférentiel est constitué de deux fentes fines parallèles F1 et F2 distantes de
a = 2 mm. Ces fentes reçoivent une radiation lumineuse monochromatique d’une fente F
parallèle à F1 et F2 et à égale distance d’elles. On observe sur un écran E situé à D = 2 m de
deux fentes, des interférences lumineuses.
1) La distance séparant les milieux de la troisième frange brillante à gauche de la frange
centrale numérotée 0 et de la troisième frange obscure à droite est de 2,75 mm. Donner
l’expression de l’interfrange en fonction de , a et D. En déduire la longueur de la radiation
monochromatique.
2) On plonge tout le dispositif dans un milieu interférentiel transparent d’indice n. On obtient
une interfrange de 0,40 mm. Quel est l’indice de réfraction de ce liquide ?
3) On mesure sur l’écran E l’intervalle L séparant k franges brillantes consécutives. Ecrire
l’expression de L en fonction de et de k

Exercice : 61
On réalise des interférences lumineuses au moyen du dispositif de Young. Données
numériques : a = 1 mm et D = 2 m.
La fente F étant initialement à la même distance que F1 et F2, on éclaire au moyen de la source
lumineuse monochromatique F qui émet la radiation de longueur d’onde = 0,420 .
1) Préciser la position de la frange centrale sur l’écran E. Calculer l’interfrange .

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2) Préciser la nature et le numéro de la frange située à une distance de 3,78 mm du centre
O du champ d’interférences.
3) Etablir l’expression de la différence de marche en fonction de a, et D.
4) On donne à la fente F le déplacement vertical y = 1 cm vers le bas. Dire de ce qu’on
observe sur l’écran E. Etablir l’expression de la différence de marche en fonction de y, x,
D, d et a. Calculer le déplacement de la frange centrale.
5) F se trouvant dans la position précédente, on ramène la frange centrale à sa position
initiale en plaçant devant l’une des fentes F1 ou F2 une lame de verre d’épaisseur e, d’indice
de réfraction n = 1,55. Préciser devant quelle fente la lame a été placée et calculer son
épaisseur e.
Exercice : 62
Deux sources ponctuelles et , cohérentes et synchrones, produisent des interférences
lumineuses à l’aide des fentes de Young. La longueur d’onde de l’onde lumineuse est de 0,589
.
1) Sur l’écran E, on numérote les franges brillantes successivement et on mesure la distance
entre le milieu de la frange brillante affectée du numéro zéro et le milieu de la frange
brillante affectée du numéro 15. On trouve 1,77 mm. Sachant que D = 0,60 m.
Déterminer la distance entre les fentes .
2) Les sources et sont éclairées par une onde lumineuse de longueur d’onde
= 0,480 .
a) Calculer la fréquence de l’onde lumineuse
b) Calculer la distance séparant deux franges sombres consécutives sur l’écran E.
3) sont maintenant éclairées par une onde lumineuse de longueur d’onde . On
constate que le milieu de la seconde frange sombre occupe la place qu’occupait le milieu
de la seconde frange brillante du système précédent. La frange centrale est notée zéro.
Déduire de cette expérience la longueur d’onde et la fréquence de l’onde.

Exercice : 63
On a réalisé le phénomène d’interférences lumineuses dans le but de déterminer la longueur
d’onde d’une lumière monochromatique, avec le dispositif des fentes de Young. L’écart entre
les fentes est a = 2,0 m. On observe sur l’écran des bandes étroites brillantes et obscures qui
s’alternent
1) Comment appelle-t-on ces bandes ?
2) Comment explique-t-on le phénomène qui se produit sur l’écran ?
3) La distance entre 21 franges brillantes consécutives sur l’écran est = 1,2 . Quelle est
la valeur de l’interfrange ?
4) En déduire la valeur de la longueur d’onde
5) L’écart entre les fentes est connu à 0,1 mm près et la distance entre le plan des fentes et
l’écran à 1 cm près. Quelle est la précision sur la mesure de la longueur d’onde ?

Exercice : 64
Une source S éclaire deux fentes F1 et F2 fines, parallèles et distantes l’une de l’autre de
2 mm. La source S se trouve sur la perpendiculaire au plan des fentes, à égale distance de
chacune d’elles. Un écran est placé à la distance D = 3 m du plan des fentes.
1) On éclaire la source en lumière monochromatique de longueur d’onde . Des franges
d’interférences apparaissent sur l’écran et l’on compte 5 franges brillantes de part et
d’autre de la frange centrale O. Occupant dans leur ensemble une longueur b = 9 mm.
En déduire .

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2) Avec quelle approximation connait-on , sachant que b a été mesurée à 0,1 mm près, F1F2
à 0,1 mm près et D à 1 cm près ?
3) On place alors devant la fente F1 une lame à faces parallèles d’épaisseur 60 et d’indice
de réfraction n = 1,5. De combien et dans sens se déplace la frange centrale ?
4) On éclaire la source en lumière blanche, la lame précédente étant enlevée.
Qu’observe-t-on sur l’écran ?

Exercice : 65
Un laser (source lumineuse un faisceau cylindre et mince de lumière monochromatique) émet
une lumière de longueur d’onde 63 micromètres. Il éclaire le dispositif des fentes de YOUNG.
L’écran est disposé parallèlement au plan des fentes à une distance L = 4 m de ce plan. La
frange observée au centre de l’écran sera numérotée zéro. On constate que sur l’écran la
distance entre le milieu de la frange située au centre de l’écran et le milieu de la frange brillante
numérotée 20 est d = 20 cm.
1) Déterminer l’écartement à des fentes
2) Si on place une cellule photoélectrique à vide, à cathode recouverte de potassium (travail
d’extraction du potassium égal à 2,25 eV) en un point situé à 3,5 cm situé de la frange
centrale (perpendiculairement à la frange centrale) cette cellule fonctionnerait-elle ?
Exercice : 66
Deux fentes de Young F1 et F2 sont distantes de a = 1 mm. L’écran d’observation est à D = 2
m. La radiation utilisée a pour longueur d’onde = 0,54
1) A quelle distance se trouve les milieux de la 3ème frange brillante et la 3ème frange obscure
par rapport au milieu de la frange centrale.
2) La frange émise par F1 et F2 est maintenant constituée deux radiations de longueurs d’onde
= 0,54 et = 0,60 . Préciser les positions où l’on observe la 1ère et la nième
coïncidences des franges brillantes
3) La lumière de longueur d’onde = 0,60 tombe sur une cellule photoélectrique à la
cathode de césium, dont le travail d’extraction vaut 1,87 eV.
Cette lumière peut-elle provoquer l’effet photoélectrique ? Si oui, calculer la vitesse
maximale d’émission des électrons.
Exercice : 67
Dans un dispositif d’interférences lumineuses, les sources ponctuelles cohérentes et en phase
S1 et S2 sont distantes d’une longueur a = S1S2. Le plan P d’observation des franges est
perpendiculaire au plan de la figure et parallèle à S1S2.
1) Faire le schéma d’un dispositif permettant d’obtenir les sources cohérentes
2) Représenter la marche des faisceaux lumineux et préciser l’orientation des franges
observées dans le plan P.
3) La distance IO du plan des sources S1S2 à l’écran P est D = 50 cm, la longueur d’onde de
la radiation utilisée est = 0,55 et l’interfrange = 0,275 .
Calculer l’écartement a = S1S2
4) L’interfrange a été obtenue en mesurant la distance L séparant les milieux des franges
brillantes numérotées 1 et 11. On a trouvé = (2,75 ± 0,05) sachant que D est connue
à 1 mm près. Avec quelle précision a est-elle connue, en supposant négligeable
l’incertitude de
Exercice : 68

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Un écran E parallèle au segment O1O2 est éclairé par deux sources cohérentes ponctuelles O1 et O2.
L’écran E et le segment O1O2 sont distants de L = 200 cm. Il se forme alors des franges d’interférences.
1) La longueur d’onde en lumière monochromatique étant = 0,60 et deux franges obscures
sont distantes de 0,08 cm. Calculer la valeur du segment O1O2.
2) Combien de franges obscures observe-t-on si le champ d’interférences a pour largeur 22 mm ?
3) Successivement les sources ponctuelles O1 et O2 émettent des radiations de longueur d’onde
= 0,60 et = 0,54 .
a) Quelle est l’observation faite sur l’écran ?
b) Déterminer la distance qui existe entre deux coïncidences successives.

EFFET PHOTOELECTRIQUE
Exercice : 1
Une radiation monochromatique de longueur d’onde = 0,36 éclaire la cathode de
potassium d’une cellule photoélectrique. On établit la tension entre l’anode et la
cathode, tension qui peut prendre plusieurs valeurs.
L’énergie minimale à fournir pour extraire un électron du potassium est = 2,26 .
1) Quelle est la condition nécessaire à l’extraction d’un électron de la cathode ?
L’exprimer en fonction des fréquences.
Montrer que cette condition est satisfaite dans l’exercice.
2) Calculer :
a) La vitesse maximale de chaque électron à la sortie du métal, en supposant que
l’électron émis n’est pas relativiste.
b) La valeur absolue de , potentiel d’arrêt de la cellule.
3) Montrer que | | est une fonction affine de N, fréquence de la radiation, et calculer la
fréquence pour laquelle est nulle.
On donne : = 6,62. 10 ; = 3. 10 ; = 1,6. 10 ; = 9,1. 10
Exercice : 2
L’énergie d’excitation d’un électron du métal de la cathode d’une cellule photoélectrique à
vide est Wo = 1,90 ev
1) Calculer la longueur d’onde correspondant au seuil photoélectrique
2) La cathode est éclairée simultanément par trois radiations de longueur d’onde 1 = 0,70
m ; 2 = 0,60 m ; 3 = 0,50 m
a) Dans quelle condition l’émission photoélectrique se produit-elle ?
b) En déduire la (les) longueur(s) d’onde correspondante(s)
3) La cellule est éclairée uniquement par la radiation de longueur d’onde 3 = 0,50 m
a) Quelle est vitesse maximale d’émission d’un électron ?
b) Quelle est la vitesse d’arrivée sur l’anode d’un électron émis avec la vitesse de 4,5.105
m/s, la tension entre l’anode et la cathode étant UAC = 5,0 v ?
c) A partir de quelle valeur de UAC, l’intensité du courant photoélectrique est-elle nulle ?
comment appelle-t-on cette valeur ? on donne : h = 6,64.10-34J.S ; e = 1,6.10-19C ;
c = 3.108m/s ; 1ev = 1,6.10-19J ; me = 9,1.10-31Kg ; 1 m = 10-6m
Exercice : 3
On dispose d’une cellule photoélectrique dont la fréquence seuil caractérisant la photocathode
est Vs = 4,4.1014Hz

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1) Calculer en joules puis en électrons-volts, l’énergie d’extraction des électrons de cette
photocathode
2) La cellule photoélectrique est placée dans un circuit photoélectrique. La tension UAC à ses
bornes est variable. On éclaire la cellule avec lumière monochromatique de fréquence
V = 5,639.1014Hz
a) Calculer la vitesse maximale des électrons émis
b) Définir le potentiel d’arrêt Uo.
Etablir son expression en fonction de l’énergie maximale puis calculer sa valeur.
On donne : h = 6,62.10-34J.S ; e = 1,6.10-19c ; C = 3.108m/s ; me = 9,1.10-31Kg
Exercice : 4
1) Un électron a une énergie cinétique EC = 0,5 ev.
Calculer son énergie au repos et dite se cet électron doit être considéré comme
relativiste (c’est-à-dire que sa vitesse v est telle que 0,14)
2) La couche sensible d’une cellule photoélectrique est césium. Le travail d’extraction d’un
électron est Wo = 1,8 ev. On constate que l’énergie maximale des électrons émis est
EC = 0,5 ev
a) Quelle est la plus longue longueur d’onde de la radiation utilisée permettant
l’extraction des électrons
b) A quel potentiel faut-il porter la couche sensible par rapport au fil collecteur pour
arrêter le débit d’électrons de la cellule ? on donne : h = 6,64.10-34J.S ;
e = 1,6.10-19C ; c = 3.108m/s ; me = 9,1.10-31Kg

Exercice : 5
L’énergie de liaison dans l’électron dans l’atome d’hydrogène est d’environ 3,6 ev
1) Quelle est la fréquence seuil de l’atome d’hydrogène ?
2) Quelle est la longueur d’onde de l’onde électromagnétique avec laquelle il faut irradier les
atomes d’hydrogènes pour arriver à arracher des électrons et que ceux-ci aient une
vitesse maximale de 50 m/s ?
3) Cette onde électromagnétique a une puissance de 10 mW. Quel est le nombre de
photons par unité de temps transporté par l’onde ?
4) Le rendement de l’irradiation est de 45%. Quelle est l’intensité du courant ainsi produit ?

Exercice : 6
On éclaire une cellule photoélectrique avec une radiation monochromatique de longueur
d’onde 1 = 440mm. Le seuil photoélectrique de la cellule est o = 550 mm. La différence de
potentiel entre l’anode A et la cathode C est UAC = 24,75 volts
1) Calculer le travail d’extraction W o d’un électron de la photocathode
2) Quelle est l’énergie cinétique maximale Ecmax d’un électron au sortir de la cathode ?
3) Calculer la vitesse VA avec laquelle cet électron atteint l’anode
4) Le courant d’intensité IS = 0,8 A qui traverse la cellule photoélectrique résulte des
électrons arrachés à la cathode par un bombardement des photons dont 0,5% sont
efficace. Quelle est par seconde, le nombre N des photons qui frappent cette cathode ?
On donne : e = 1,6.10-19c ; C = 3.108m/s ; h = 6,62.10-34J.S ; 1nm = 10-9m ; 1 = 10-6A

Exercice : 7
Une cellule photoélectrique possède une photocathode au césium. Elle est éclairée par une
radiation monochromatique de longueur d’onde = 0,425 . La puissance captée par la
photocathode est P = 1 Watt. Les mesures donnent alors :

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- Intensité du courant de saturation : Is = 2 mA
- Potentiel d’arrêt : Uo = 1 V. Déterminer
1) La fréquence et l’énergie des photons incidents
2) L’énergie cinétique maximale de sortie des électrons photo-émis
3) La valeur du travail d’extraction W o du césium
4) Le nombre d’électrons émis par seconde
5) Le nombre de photons captés par seconde
6) Le rendement quantique de la cellule
Exercice : 8
Une cellule photoélectrique à cathode métallique (strontium) est éclairée simultanément par
deux radiations monochromatiques de fréquences 1 = 6,62.1014HZ et 2 = 4,84.1014HZ. Le
seuil photoélectrique de la cathode est o = 0,60 m
1) Ces radiations provoquent-elles toutes deux l’effet photoélectrique ? justifie la réponse
2) Calculer la vitesse maximale avec laquelle les électrons sortent de la cathode
3) Quel est le potentiel d’arrêt à appliquer pour qu’aucun électron ne parvienne à l’anode ?
4) Le rendement de la cellule photoélectrique étant r = 0,02, en déduire la puissance
rayonnante de la cathode si Imax = 10-6A

Exercice : 9
Une cellule de césium a une sensibilité optimale S = 75 mA/W lorsqu’on l’éclaire par une
radiation de longueur d’onde = 380 nm
1) Calculer le rendement quantique r pour cette radiation
2) La tension entre l’anode et la cathode vaut 1,5 V. le courant de la saturation a pour
intensité Is = 4 A. Calculer à la saturation, la puissance énergétique du faisceau incident
et le flux de photons incidents
3) Quelle est la vitesse maximale des électrons émis sachant que la longueur d’onde seuil
vaut = 653 nm ?
4) Quelle est leur vitesse maximale lorsqu’ils atteignent l’anode ?

Exercice : 10
Dans un laboratoire des travaux pratiques de sciences physiques, un élève se propose de
déterminer le rendement quantique d’une cellule photoélectrique. Pour se faire, il l’éclaire
avec un faisceau lumineux de longueur d’onde = 632,8 nm et dont la puissance de la
radiation est P = 0,5 mW. Lors de cette expérience, il a pu relever l’intensité du courant de
saturation dans le circuit : = 36 nA ainsi que le potentiel d’arrêt : Uo = 0,2 V.
1) Calcule l’énergie d’un photon associé à cette radiation
2) Détermine le nombre de photons émis par cette radiation en une seconde
3) Quel est le nombre d’électrons émis par la photocathode en une seconde
4) Quelle est l’énergie cinétique maximale d’un électron après son extraction du métal ?
5) Quel est le rendement de la cellule photoélectrique ?

Exercice : 11
Une source lumineuse est considérée comme ponctuelle. Elle rayonne uniformément une
puissance Po dans tout l’espace et elle est placée à une distance de la photocathode d’une
cellule photoémissive. Cette photocathode d’aire s est une portion de sphère de centre O
1) Evaluer la puissance P, reçue par la cathode. Calcule P pour Po = 1 W, = 1m, s = 2 cm2
2) Calcule le nombre N de photons reçus par la cathode chaque seconde si la longueur
d’onde de la radiation extractive vaut = 2.10-10m

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3) Calculer le nombre n de photons efficaces lorsque l’intensité du courant de saturation est
Imax = 10-9 A, ainsi que le rendement quantique de la cellule

Exercice : 12
On dispose d’une cellule photoélectrique à vide dont on veut déterminer le seuil de la
fréquence o. On réalise pour cela une expérience permettant d’établir l’expression du
potentiel d’arrêt Uo en fonction de du rayonnement utilisé. Les variations de Uo en fonction
de sont représentés par le graphe suivant :
( )

(10 )
O 4,6 7

Cette représentation conduit à la relation : Uo = ( - o)


1) Déterminer à partir de ce graphe
a) La valeur de la fréquence seuil o
b) La valeur de la constante de Plank h
c) L’énergie minimale wo (en ev) pour extraire un électron de la cathode de cette cellule
2) On éclaire la cellule par une lumière monochromatique de longueur d’onde = 0,428 m.
Déterminer :
a) Le potentiel d’arrêt pour la lumière utilisée
b) L’énergie cinétique maximale (en ev) d’un électron au sortir de la cathode. On
donne : e = 1,6.10-19c ; C = 3.108m/s ; 1ev = 1,6.10-19J

COURANT ALTERNATIF
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Exercice : 1
Une bobine de résistance interne R et d’inductance L est connectée à un générateur qui
délivre entre ses bornes une tension alternative sinusoïdale u = U , de valeur
efficace U = 5 V et de fréquence f
1) Donne, sans démonstration, l’expression de l’impédance Z de la bobine en fonction de R,
L et f
2) La tension efficace U est maintenue constante et égale à 5 V, on fait varier la fréquence
f. lorsque cette fréquence est f1 = 50Hz, l’intensité du courant traversant la bobine est
I1 = 1 A ; lorsque cette fréquence devient f2 = 100Hz, l’intensité efficace prend la valeur
I2 = 0,625 A. Calcule :
a) Les valeurs de la résistance r et de l’inductance L de la bobine
b) La puissance électrique moyenne consommée dans la bobine au cours de chacune
des expériences
Exercice : 2
1) On branche un voltmètre aux bornes d’une source de courant alternatif. Il indique 220 V.
la fréquence du courant est 50 HZ. Quelle est la valeur de la tension de la source ?
2) On dispose en série, aux bornes de la source précédente, une résistance pur r, une
bobine B, de résistance R et de coefficient d’inductance L et un ampèremètre. Celui-ci
indique alors 3,5 A. Un voltmètre branché aux bornes de la seule résistance r indique
Ur = 140 V, et aux bornes de la bobine B, Ub = 120,8 V
a) Déterminer les impédances Zr de la résistance, Zb de la bobine et Z de l’ensemble
b) Calculer les valeurs de r, R et L
c) Déterminer le déphasage entre la tension aux bornes de la source et l’intensité du
courant
d) Ecrire l’expression de l’intensité du courant en prenant comme origine des temps
l’instant où la tension est nulle

Exercice : 3
Entre deux points P et Q d’une prise de courant, existe une différence de potentiel
sinusoïdale : u(t) = 200 2 cos100 t
On relie P et Q par un résistor de résistance R et une bobine de résistance r = 10 et
d’inductance L montés en série. L’intensité efficace du courant qui parcourt ce circuit est I =
5A. La tension efficace aux bornes de R est 20V
1) Déterminer la fréquence et la valeur efficace de la tension instantanée aux bornes du
circuit
2) Calculer :
a) La valeur de R
b) L’impédance du circuit
c) L’inductance L
3) Déterminer l’expression i(t) de l’intensité instantanée qui traverse ce circuit

Exercice : 4
On réalise l’un des 3 montages ci-contre
On établit une tension continue entre A et B et on observe le passage d’un courant

R L L C
A B A R B A R B
Fig 1 Fig 2 Fig 3

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On établit une tension continue entre A et B ; on observe alors le passage d’un courant
permanent
On établit entre A et B une tension sinusoïdale u(t) = 10 2sin100 t.
On observe les résultats suivant
- Intensité efficace 2A
- Puissance moyenne consommée 12 watts
1) Dire en justifiant lequel des 3 montages a été réalisé ?
2) Donner les caractéristiques des appareils constituants le montage
3) Exprimer i(t). On donne cos(0,3 ) = 0,6 et = 0,318

Exercice : 5
On considère le dipôle AC associant en série un résistor de résistance R1 = 20 , ainsi qu’une
bobine b de résistance R2 et d’inductance inconnues. Ce dipôle est alimenté par la tension
sinusoïdale u = U 2 100 ,
On relève les tensions les tensions efficaces A B C
UAB = U1 = 50 V, UBC = U2 = 50 V ; UAC = U = 90 V

1) Calcule l’intensité efficace du courant, l’impédance totale Z et l’impédance Zb de la


bobine
2) Construis le diagramme de Fresnel correspondant
3) Calcule les éléments caractéristiques R2 et L de la bobine
4) Exprime le facteur de puissance en fonction de U1, U2 et U. Fais l’application numérique

Exercice : 6
Entre deux points A et C d’un circuit, on place en série :
. Entre A et B une bobine d’inductance L et de résistance r
. Entre B et C un condensateur ohmique de résistance R
Le générateur de tension sinusoïdale délivre un courant i(t) = Im sin t entre A et C. On
désigne par la phase de la tension uAC(t) par rapport à i(t) ; Z1 l’impédance de la portion
(AB) ; la phase de UAB(t) par rapport à i(t)
Les mesures des tensions efficaces entre les différents points donné UAB = UBC = 70 V et
UAC = 70 3 V. On donne R = 100 et = 100 rad.s-1A B C
1) Exprime L, r R
a- UAB(t) en fonction de Z1, Im, 1
b- UBC(t) en fonction de R, Im et
2) Construis le diagramme de Fresnel en tensions efficaces relatif à cette expérience
3) Calcule et
4) Calculer les valeurs de Z1, r, L
5) Donner l’expression de UAC(t)
Exercice : 7
Une portion de circuit MN comprend en série un condensateur ohmique de résistance
R1 = 75 ohms et un condensateur de capacité C = 32 F
Aux bornes M et N de cette portion de circuit, un générateur impose une tension sinusoïdale
de fréquence f
1) La tension aux bornes du condensateur est UC = 72V et l’intensité efficace du courant est
I = 0,72A. Calculer :

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a) L’impédance du condensateur
b) La fréquence de la tension sinusoïdale appliquée
c) L’impédance de la portion de circuit MN
d) Le facteur de puissance de la portion de circuit MN
2) Pour la même fréquence f, quelle doit être la valeur de la résistance R2 d’un autre
condensateur ohmique monté en série avec la portion MN pour que le facteur de
puissance soit égal à 0,86 ?

Exercice : 8
On constitue un dipôle en plaçant en série une bobine B d’inductance L et de résistance r
avec un conducteur ohmique de résistance R. On applique aux bornes de cette association
une tension sinusoïdale de fréquence f = 50 HZ et d’expression u = U 2 ; l’intensité
instantanée est alors i = I 2 cos( )
On donne U = 82,5 Volts et I = 2 Ampères. Un voltmètre branché successivement aux
bornes de R puis de B donne respectivement UR = 40 Volts et UB = 60 Volts
1-a) Déterminer R
b-) en prenant l’horizontale comme origine des phases, déterminer à l’aide de la
construction de Fresnel
- La phase de i par rapport à u
- La phase B de la tension UB aux bornes de B par rapport à u
c-) Calculer L et r
2- Quelle est la capacité C du condensateur qu’il faut mettre en série avec le dipôle
précédent pour que l’intensité i soit en phase avec la tension aux bornes de la nouvelle
association.
Exercice : 9
Entre A et B, on maintient une d.d.p sinusoïdale u = Um sin de fréquence 50 HZ
1) Un conducteur ohmique, de résistance R = 100 branché entre A et B, est traversé par
un courant d’intensité efficace 1,2 A. calcule la tension efficace UAB existant entre A et B
2) Une bobine de résistance négligeable, placée seule entre A et B laisse passer également
un courant d’intensité 1,2 A
a) Détermine l’inductance L de la bobine
b) Donne l’expression de la tension instantanée de la bobine
3) On monte en série entre A et B le conducteur ohmique et la bobine précédents avec un
condensateur de capacité C = 10 F. Calcule
a) La d.d.p aux bornes de chaque appareil
b) Construis le diagramme de Fresnel correspondant
c) Calcule la puissance consommée dans la portion de circuit AB
4) Quelle serait la capacité du condensateur qu’il aurait fallu associer en série maximale
avec le conducteur ohmique et la bobine pour obtenir une intensité maximale ? Comment
nomme-t-on le phénomène ?

Exercice : 10
Un circuit est alimenté par une tension sinusoïdale de fréquence N = 50 HZ et de valeur
efficace U = 100 V. Ce circuit est constitué d’une bobine de résistance R = 20 et
d’inductance L = 0,2 H et d’un condensateur de capacité C = 20 montés en série
1) Calcule les impédances aux bornes
a) De la bobine
b) Du condensateur
c) De l’ensemble du circuit

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2) a- Ce circuit est-il capacitif ou inductif ?
b- Quel est le déphasage de la tension aux bornes du circuit par rapport à l’intensité ?
3) a- Calcule l’intensité efficace du courant
b- Déduis-en l’expression de l’intensité instantanée si l’expression de la tension est
u(t) = U 2sin ot
4) on règle la fréquence à la valeur N = No pour laquelle l’intensité soit la plus grande
possible. Calculer :
a- la valeur de No ; l’intensité efficace Io
b- la tension efficace aux bornes du condensateur

Exercice : 11
Au cours d’une manipulation destinée à illustrer la loi d’ohm en courant alternatif, on dispose
en série entre les points M et N les dipôles suivants :
. Une résistance non inductive R
. Un condensateur de capacité C = 80 F
. Un ampèremètre A d’impédance négligeable
On applique entre M et N une tension sinusoïdale de fréquence f = 50 Hz et de valeur
efficace
U = 125 Volts. L’ampèremètre indique un courant d’intensité efficace I = 2,5 A.
1) Calcule
a) La valeur arrondie de R
b) Le déphasage entre la tension instantanée u(t) et l’intensité instantanée i(t) dans le
circuit
2) Ecris l’expression de u(t) en considérant comme origine des phases, la phase de
l’intensité i(t)
3) On place en série avec R et C, une bobine de résistance interne nulle pour que la tension
et l’intensité soient en phase
a) Comment appelle-t-on cette bobine ? Quel est le phénomène réalisé ?
b) Calcule l’inductance L de la bobine
c) Quelle sera alors l’intensité efficace Io du courant dans le circuit ?
On prendra 2 = 10

Exercice : 12
Quand dit-on qu’un courant est alternatif ?
On monte en série aux bornes d’un générateur une résistance R = 20 , un condensateur de
capacité C = 30 F et une bobine d’inductance L = 0,5H et de résistor r = 6 . La tension aux
bornes du générateur a pour valeur instantanée u(t) = Uo cos( t). Sa valeur efficace est de
220V et sa fréquence de 50 Hz (courant de la S.N.E).
a) Quel est le module de l’impédance de ce circuit ? En déduire l’amplitude de l’intensité du
courant ?
b) Calculer la tension aux bornes de chaque élément du circuit
c) Quelle valeur de la capacité devrait-on choisir pour que l’intensité soit maximale dans le
circuit ? Dans ce cas, quelle est l’impédance du circuit
d) Montrer que, quand l’impédance est maximale dans le circuit, la tension aux bornes de la
bobine pure est opposée à celle aux bornes du condensateur

Exercice : 13

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Une bobine de résistance r et d’inductance L est montée en série avec un condensateur de
capacité C et un conducteur ohmique de résistance R = 40 . Le circuit est alimenté par une
tension sinusoïdale de valeur efficace U = 100V et de fréquence variable N.
1) On mesure la tension efficace aux bornes du conducteur ohmique et on remarque qu’elle
passe par un maximum UR = 80V lorsque la valeur de la fréquence est No = 50 Hz
d) Calculer la valeur de r
e) Quelle relation lie L et C ?
2) La fréquence est maintenant égale à . La tension UR est alors égale à 40V
a) Calculer l’impédance du circuit
b) En déduire les valeurs de L et C
c) Tracer le diagramme de Fresnel correspondant au circuit
d) Quel est le déphasage entre la tension et l’intensité instantanée aux bornes du circuit

Exercice : 14
On considère une portion de circuit de 3 dipôles associés en série : un résistor de résistance
R, une bobine B de résistance r et d’inductance L et un condensateur de capacité C
Cette portion de circuit est branchée aux bornes d’un générateur délivrant une tension
sinusoïdale u(t) à l’aide d’un voltmètre, on a mesuré les tensions efficaces UR = 24V, UC =
24V et U = 30V ( tension à la source ) ; u(t) est en retard de = /6rad par rapport à i(t)
1) la tension du résistor est R = 200 et la fréquence est N = 100Hz. Calculer :
a) l’intensité efficace I du courant
b) l’impédance ZC du condensateur
2. Sachant que la tension instantanée aux bornes du circuit a pour expression :
U(t) = UR(t) + UB(t) +UC(t)
a) soit B la phase de uB aux bornes de la bobine par rapport à i(t). Représenter sur le
diagramme de Fresnel les tensions uR du résistor, uB de la bobine, uC du condensateur et
U du circuit. Faire apparaitre B et
b) Montrer que = et =
Calculer les valeurs et

Exercice : 15
On dispose en série une bobine de résistance r et de coefficient d’auto-induction L et un
condensateur de capacité C = 0,10 F
Pour déterminer L et r, on mesure à la fréquence f = 2,9 KHz, les tensions aux bornes de la
bobine (L,r) et aux bornes du dipôle rLC séries. Les tensions efficaces mesurées aux bornes
de ces deux dipôles sont identiques
1) Etablir, en fonction de r, L, C et f, les expressions littérales des impédances :
a) Aux bornes de la bobine ;
b) Aux bornes du dipôle rLC série
2) Déterminer en fonction de C et de f, l’expression littérale du coefficient d’auto-induction L
de la bobine, puis calculer les valeurs numériques de L et r si le coefficient de surtension
Q = 100.

Exercice : 16
Une portion de circuit AB est constituée par une résistance R = 500 , une bobine d’inductance
L = 0,5H et de résistance négligeable et un condensateur de capacité C = 2.10-6F associés en

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série. On applique entre A et B une tension UAB = U 2 cos t. La tension efficace U est égale
à 100V ; on désigne l’intensité instantanée du courant dans le circuit :
i = I 2cos ( )
1) Donne, en fonction de R,L,C et , les expressions :
a) De l’impédance Z de la portion de circuit
b) Du déphasage du courant i par rapport à la portion appliquée UAB ?
2) Pour quelle valeur o de la pulsation , le courant i est-il en phase avec la tension UAB ?
3) étant égale à o. Calculer les valeurs numériques de :
a) L’intensité efficace I
b) La puissance moyenne P consommée dans le circuit
4) UL et UC étant les valeurs efficaces de la tension aux bornes de la bobine et du
condensateur. Donner les expressions littérales et les valeurs numériques des rapports
et lorsque o

Exercice : 17
Un circuit comprend un condensateur de capacité C et une bobine d’inductance L et de
résistance R = 80 A B
(L, R)
C
L’ensemble du circuit set soumis à une tension sinusoïdale u telle que
u(t) = U 2 cos( ) avec U = 100 V et, parcouru par un courant d’intensité efficace
I = 0,5 A. la tension efficace aux bornes du condensateur vaut Uc = 120 V
1) Calculer l’impédance Z du circuit
2) Sachant que l’impédance du condensateur est supérieure à celle de la bobine, calculer la
phase de la tension u(t) par rapport à l’intensité i(t)
3) On désigne par B la tension aux bornes de la bobine par rapport à l’intensité du courant.
Trouver la valeur de B à l’aide du diagramme de Fresnel

Exercice : 18
On monte en série une résistance de valeur R = 200 , une bobine d’inductance L = 2H et un
condensateur de capacité C = 0,02 F. On branche ce circuit à la source de tension
sinusoïdale qui maintient entre ses bornes A et B une différence de potentiel de valeur
efficace constante égale à 100 volts et de fréquence N variable
L C
A R D E B

1) a. Calculer la valeur No de la fréquence pour laquelle l’intensité efficace est la plus


grande possible
b. Calculer la valeur numérique Io de ce maximum de l’intensité efficace
2) Calculer N = No, les valeurs efficaces des tensions du résistor, de la bobine, du
condensateur.
3) pour N = No, l’expression de la valeur instantanée du courant électrique est :
i(t) = Io 2cos ot où o est la pulsation correspondant à la fréquence No
a. Donner les expressions des valeurs instantanées ur(t), uL(t) et uc(t) des tensions aux
bornes du résistor, de la bobine et du condensateur respectivement

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b. Quelle serait l’indication d’un voltmètre alternatif si on le branchait entre les points B et
D du circuit ?
4) Calculer, pour N = No la puissance consommée
a. Dans le résistor
b. Dans l’ensemble du circuit

Exercice : 19
On dispose d’un générateur de courant alternatif sinusoïdal de tension u(t) = U 2 sin t et de
fréquence N variable.
On branche entre les bornes en série une bobine d’inductance L = 0,2H de résistance R =
40 et un condensateur de capacité C = 5 F. On donne N = 50Hz
1.a) Montrer que le circuit est à prédominance capacitif
b) Quelle est la valeur du déphasage entre le courant et la tension ?
c) Donner l’expression i(t) de l’intensité instantanée du courant qui parcourt ce circuit
2) On agit sur le générateur de telle sorte que le courant et la tension soient en phase
a) Quelle est la valeur o de la pulsation du courant ?
b) Donner la période To de ce circuit oscillant
3) On ajoute dans le circuit, en série un condensateur identique au précédent dans les
conditions de la question 2.
Quelle est la valeur T de la nouvelle période ? C L, R C

( )

Exercice : 20
On considère un circuit électrique AB constitué :
D’un conducteur ohmique de résistance R ;
D’une bobine d’inductance L et de résistance interne négligeable ;
D’un condensateur de capacité C

A B
R L
C

Un générateur électrique délivre, aux bornes du circuit AB, une tension sinusoïdale de valeur
efficace U = 7,4 V et de fréquence f variable.
1) Donner, sans démonstration, l’expression de l’impédance Z du circuit AB en fonction de R,
L, C et de f.

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2) On fait varier la fréquence f et, pour chacune de ses valeurs on mesure l’intensité efficace
I du courant. On obtient alors la courbe ci-après

I(mA)

148

F(Hz)
600

a) Quel phénomène physique se produit dans le circuit quand f = 600 Hz ?


b) Que devient alors l’expression de l’impédance du circuit ? En déduire la valeur de R.
3) On considère les valeurs f1 et f2 (f2>f1) de la fréquence qui correspondent à l’intensité
efficace avec = 148
a) Etablir les expressions de f1 et f2 en fonction de R, C et L.
b) Montrer que = . Comment appelle-t-on cette différence ?
c) On donne = 79,61 . Calculer L puis C.

Exercice : 21
Sous le contrôle de leur professeur, un groupe d’élève est chargé de déterminer les
caractéristiques électriques d’une bobine et d’un condensateur démonté d’un poste
récepteur radio, ils associent, en série la bobine (L, r), le condensateur C, un conducteur
ohmique de résistance R = 80 et un ampèremètre de résistance négligeable.
Aux bornes de cette association, ils branchent un générateur de basse fréquence délivrant
une tension sinusoïdale de valeur efficace U = 3 V et de fréquence N variable.
1) Représenter par un schéma clair le circuit électrique réalisé par ces élèves.
2) Les mesures faites sur l’intensité du courant I et la fréquence N ont permis de tracer la
courbe ci-dessous.

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I(mA)

30

21,21

850 869 875 N(Hz)

a) Déterminer graphiquement à la résonnance les valeurs :


No de la fréquence
Io de l’intensité efficace du courant
b) Calculer :
L’impédance Z du circuit
La valeur de la résistance r de la bobine
3) Etablir l’expression de en fonction de R, r et L.
4) On donne = 850 et = 875 . Déterminer :
a) L’inductance L de la bobine
b) La valeur de la capacité C du condensateur.

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