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QCM Outils Maths 1

Soient α et β deux angles tels que α − β = π2 .


Parmi les armations ci-dessous indiquer celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
A. cos α = − sin β .

B. sin α = − cos β .

C. cos α · cos β = sin α · sin β.

D. cos α · sin β = cos β · sin α.

E. sin α = cos β .

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Dans
 l'espace
 euclidien
 rapporté
  au repère orthonormal direct (O, ~ex , ~ey , ~ez ), on considère les points
1 1 0
A  0 , B  1 , C  1  .
1 0 1
Parmi les armations ci-dessous, choisir celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
−→ −−→ −−→ −−→
A. OA ∧ OB = OC ∧ OB .
−→ −−→ −−→ −−→
B. OA · OB = OC · OB .

C. L'aire du parallélogramme déterminé par les points O, A et C est 3.
−→ −−→
D. L'angle (OA, OB) est + π4 .
−→ −−→ −−→
E. (OA ∧ OB) · OC = 0.

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On considère un carré ABCD. Soit M un point intérieur du segment AB et N un B M A
point intérieur du segment BC . Soit D la droite passant par M et N . Soit D 0 la droite N D D’
passant par M et orthogonale à D . On note P l'intersection de D 0 avec l'un des côtés P
CD et DA. Soit D 00 la droite passant par P et parallèle à D . On note Q l'intersection D’’

de D 00 avec l'un des côtés BC et CD. C D


Parmi les armations ci-dessous, choisir celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
−−→ −−→
A. M N · N Q = 0.
−−→ −−→ −−→ −−→
B. P Q = M N implique P Q · N Q = 0.
−−→ −−→
C. P Q = M N si et seulement si M est le milieu de AB .
−−→ −−→ −−→ −−→
D. P Q ∧ M N = ~0 implique P Q = M N .
−−→ −−→
E. P Q = M N si et seulement si N M P Q est un rectangle.

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z−i
On considère l'application f : C − {−i} → C dénie par f (z) = . On note U (1) = {z ∈ C | |z| = 1}.
z+i
Parmi les armations suivantes, indiquer celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
A. f (1) = i.

B. |f (z)| = 1 pour tout z ∈ C − {−i}.

C. f (z) est imaginaire pur pour tout z ∈ U (1) − {i, −i}.


a2 + b2 − 1 − 2ai
D. f (a + ib) = pour tout (a, b) ∈ R2 − {(0, −1)}.
a2 + (b + 1)2

i
E. f (eiθ ) = pour tout θ ∈ R − {− π2 + 2kπ, k ∈ Z}.
tan(θ − π4 )

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Soient α, θ deux nombres réels. On considère le nombre complexe z = eiθ − eiα .
Parmi les propositions suivantes, indiquer celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
A. |z| = 1 pour tout θ, α ∈ R.

B. z ∈ R pour tout θ, α ∈ R.

C. z = 2i · sin pour tout θ, α ∈ R.


θ+α
θ−α
ei

2
2

D. Re(z) = cos(θ) + sin(α) pour tout θ, α ∈ R.


1 eiθ + eiα
E. = pour tout θ, α ∈ R, les angles θ et α étant distincts (à 2π près).
z 2(1 − cos(θ − α))

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√ √
Soient les signaux s1 (t) = 2 cos(ωt) et s2 (t) = − 2 sin(ωt) où ω est un réel strictement positif et t un
réel quelconque.
Parmi les propositions suivantes, indiquer celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.

A. s1 (t) = 2eiωt

B. s2 (t) = 2eiωt

C. s1 (0) = s2 (0) = 2
√  π
D. s2 (t) = 2 cos ωt +
2
 π
E. s1 (t) + s2 (t) = 2 cos ωt +
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On considère l'équation diérentielle suivante : f 0 (t) + 2f (t) = 1.
Parmi les armations ci-dessous, indiquer celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
A. L'équation diérentielle n'admet pas de solution.

B. Il existe une innité de solutions f telles que lim f (t) = 21 .


t→+∞

C. La fonction f (t) = 3
2 est solution particulière de l'équation diérentielle.

D. L'équation diérentielle admet une innité de solutions telles que f (0) = 12 .

E. Il existe une unique solution vériant f (0) = − 12 et f (t) → 0.


t→+∞

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On considère l'équation diérentielle
df
(t) − f (t) = − sin(t).
dt
Indiquer parmi les armations suivantes lesquelles sont vraies et lesquelles sont fausses.
A. Il existe une unique solution périodique.

B. Il existe une solution f (t) qui tend vers 0 quand t → +∞.

C. Il existe une unique solution f (t) telle que f (0) = 0.

D. Il existe une unique solution f (t) telle que f (0) = 1 et f 0 (0) = 0.

E. Il existe une unique solution f (t) telle que f (0) = 1 et f 0 (0) = 1.

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d2 f df
On considère l'équation diérentielle suivante : 2
(t) − (t) + f (t) = 13 cos(t) e−t .
dt dt
Parmi les propositions suivantes, indiquer celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
√ √
A. Les racines de l'équation caractéristique associée sont 1
2 +i 2
3
et 1
2 −i 2 .
3


B. La solution

générale de l'équation diérentielle sans second membre s'écrit f (t) = A cos( 3
2 t) +
B sin( 2 t) avec A et B deux constantes réelles quelconques.
3

C. Une solution particulière de l'équation diérentielle est f (t) = (2 cos t − 3 sin t) · e−t .

D. Il existe une unique solution f telle que f (t) → 0.


t→+∞

E. Il existe une innité de solutions f telles que f (t) n'a pas de limite nie quand t → +∞.

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Soit f (x, y) = ex · sin(2xy). Parmi les propositions suivantes, indiquer celles qui sont vraies et celles
2 −y 2

qui sont fausses.


∂f
A.
2 2
(x, y) = 2 · ex −y · y cos(2xy).
∂x
∂f
B.
2 2
(x, y) = 2 · ex −y · (x sin(2xy) + y cos(2xy)).
∂x

∂2f ∂2f
C. (x, y) = (x, y).
∂x∂y ∂y∂x

D. f (x, y) est la partie imaginaire de la fonction g(z) = ez pour z = x + iy .


2

∂f ∂f
E. (x, y) = (x, y).
∂x ∂y

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Soit ω0 = xdx + ydy, ω1 = ydx + xdy et ω2 = 2ydx + xdy . Parmi les propositions suivantes, indiquer
celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
A. Aucune des trois formes diérentielles n'est totale exacte.

B. Les trois formes diérentielles sont totales exactes.

C. Seule ω1 est totale exacte.

D. Seules ω0 et ω1 sont totales exactes.

E. ω0 est totale exacte, ω1 est totale exacte et x · ω2 = 2xydx + x2 dy est totale exacte.

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dy
On s'intéresse aux solutions y = y(x) de l'équation diérentielle x − y = 0. Parmi les propositions
dx
suivantes, indiquer celles qui sont vraies et celles qui sont fausses.
A. L'équation diérentielle est linéaire.

B. Une solution particulière de l'équation diérentielle est y(x) = x + 1.

C. L'équation diérentielle est à variables séparables.

D. La forme diérentielle ω = xdx − ydy est totale exacte.



E. Une solution particulière de l'équation diérentielle est y(x) = x2 + 1.

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