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L'HYDRO-ECONOMIE EN QUESTION
01 01 2006
- Le logement Social existant (4,5 millions de logements) via les Bailleurs Sociaux
- La construction neuve ou les réhabilitations dans le logement Social (plan Borloo)
- Le logement groupé ou diffus privé via par ex. Anah (copropriétés, syndics, lotissements)
- La construction des maisons neuves (maisons à 100 000 €) via les CMISTES & promoteurs
- Le pôle Solidarité (les démunis) via les réseaux de travailleurs sociaux de tous horizons
- L'ensemble des particuliers existants via €co-technique$ et les nouveaux partenariats à définir.
Il est évident que chaque cible doit bénéficier d'une stratégie appropriée à sa texture.
Par définition il y a une différence fondamentale entre un dispositif hydro-économe et la "famille" des
économiseurs, limiteurs de débit, réducteurs de débit et autre stop douche.
- Un dispositif hydro-économe est un "appareil" qui a été conçu pour délivrer un volume d'eau précis et
"contrôlé" par rapport à un système ou un principe donné et connu.
- Un économiseur d'eau (ou limiteur de débit ou réducteur de débit ou régulateur de débit ou stop douche
etc…) est un objet qui réduit la surface de passage de l'eau en amont du puisage, quelle que soit la forme
donnée à cette surface de passage (rond, mono trou, ou multi trou, carré, ovoïde, en étoile etc…)
L'image la plus significative du limiteur de débit est tout simplement la "rondelle" percée d'un trou
calibré. (il faut 7 mm2 environ (soit un trou de 3 mm de Ø pour un débit de 8 l/mn sous 3 bars de
pression statique).
- Quand au stop douche ou "douchettes à gâchette ou stop", ces dispositifs sont fortement proscrits par
le CSTB pour leur dangerosité. En effet la fonction stop est déjà celle d'un mitigeur (qui permet de
stopper l'eau sans toucher aux réglages). Pour les mélangeurs le fait de stopper l'eau à l'extrémité du
flexible augmente très largement le risque d'éclatement du flexible et le risque de brûlures. Il induit
également la communication du circuit eau froide avec le circuit eau chaude (risque de renvoi d'eau par
contre-pression). Par ailleurs le stop douche n'a aucun effet bénéfique sur les chaudières gaz à
production instantanée. Enfin "l'économie", sur les douhcettes (qui débitent en 15 et 20 l mn)est
tronquée car elle ne joue en fait que sur le temps d'arrêt de la douche entre le "mouillage" et le
"savonnage" ce que font très bien les mitigeurs dont le prix est parfois inférieur au prix d'un stop douche
ou d'une douchette à stop.
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Bureaux : 9 rue Edouard Herriot – 21300 CHENOVE - Tel : 03.80.52.99.75 – fax : 03.80.52.99.74 – Port : 06.85.42.72.29
web: www.eco-techniques.fr mail : hamer@eco-techniques.fr Siège Social : 16, rue Lamartine – 21300 CHENOVE
Sarl au Capital de 8385 € – RCS DIJON 96B271 – SIRET 40767775600022 – APE 291 – FR 5040767775600022 B.P.B.F.C LONGVIC – banque : 10807 – guichet : 00402 – Cpte : 95021221924 – Clé : 07
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Créateur de solutions hydro économes
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Pour qu'une action d'hydro-économie soit réussie et acceptée, le premier critère à préserver est le confort de
l'utilisateur des dispositifs générateurs d'économie. En effet pratiquement personne n'est prêt à "sacrifier"
une partie de son confort au profit de l'économie de l'eau, car celle-ci, bien que rare à l'état pur, fait partie des
attentes de base. Mais avec l'évolution de la pollution, l'augmentation de l'usage et des rejets pollués, cet état
de fait risque d'évoluer très sensiblement.
La norme E.A.U exige un débit minimal de 0.2 l/seconde soit 12 litres minutes pour un robinet (à 3 bars
statique) lamba. Par sécurité les fabricants équipent leurs robinets de mousseurs à 15 l/minute de classe B. Par
essence, ne peuvent être considérés comme "économiques" que les produits dont le débit est, sous 3 bars de
pression statique, égal ou inférieur à 10 litres/minutes maximum.
Comment peut-on économiser de l'eau sans modification de son confort ? En premier lieu, il faut observer que
l'économie d'eau n'est possible que sur l'eau "courante", à l'exclusion évidente de tout remplissage et de
l'arrosage. Dans un logement standard (du studio au T4), les 4 points de puisages "équipables" en hydro-
économie sont : l'évier de la cuisine, le lavabo de la Sdb, la douche et la chasse d'eau.
L'économie d'eau n'est possible, sans dégradation du confort, que si l'on modifie son pouvoir mouillant. Pour
modifier le pouvoir mouillant de l'eau, il faut procéder à un fractionnement en gouttelettes. Par contre la taille
des gouttelettes ne doit pas être inférieure à 5 microns, pour éviter l'absorption par inhalation et ainsi le risque
de contamination par les légionnelles (légionnella pneumophila)
Le fractionnement est obtenu par accélération de la vitesse de l'eau. Il y a, à ce jour, 3 principes hydrauliques
connus permettant cette accélération sur les douches et les robinets :
Il faut cependant veiller au danger de légionnelles pour ces 2 principes, car les gouttelettes générées sont très
fines, le jet est agressif & inconfortable et la perte de température est significative. (voir les photos de jets
jointes)
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¾ Le principe "Venturi" est celui qui présente le plus d'avantages et de confort dans
le domaine de "l'hydro-économie". Associé à la technique de la "pomme
d'arrosoir", il génère un résultat incomparable permettant des débits très
performants
En effet, nous ne connaissons par de meilleur système (depuis plus d'un siècle), pour fractionner les gouttelettes
et modifier le pouvoir mouillant de l'eau, que le principe de la "pomme d'arrosoir" dont la partie diffuseur doit
être bombée de façon à élargir la "zone de couverture" de l'eau. La grille (idéalement de 6 à 8 cm de Ø) doit
comporter environ une cinquantaine de trous répartis en quinconce pour une bonne régularité du jet. (les
distributions périmètriques sont à bannir). Chaque "picot" du diffuseur aura intérieurement la forme d'un
injecteur en V, afin que chaque jet soit "accéléré" sans pour autant être agressif ; s'ils sont en matériau souple ils
permettront la destruction des cristaux de tartre par simple passage de la main. Les diffuseurs plats et sans picot
ne le permettent pas et limitent par ailleurs la zone de couverture.
Si l'on regarde les douches standard proposées sur le marché actuel, plus de 99% sont inspirées du principe de
la "pomme d'arrosoir."
Le "venturi" sert à donner à l'eau un aspect "d'émulsion foisonnante" très agréable et très confortable, qui
autorise surtout de "descendre" dans des débits qu'aucun autre principe ne permet (idéalement 7 litres minute).
Autre élément très important : La maîtrise du débit. Principe de la pression (ou colonne d'eau)
Le débit est directement lié à la pression. La pression 1 Bar correspond à une hauteur de 10 mètres. Le débit d'un
nominale de service est de 3 bars statique et sert de point de puisage est directement lié à la pression d'eau &
référence pour toutes les données techniques. Une plus celle-ci augmente plus le débit est important. Il y a 2
douchette à 15 litres/mn de débit sous 3 bars de mesures de pression : la pression statique, ou pression
réseau, et la pression dynamique (ou résiduelle) lorsque le
pression statique, aura un débit de 18 litres à 4 bars point de puisage est ouvert.
22 litres à 5 bars etc….
Si l'on a une tour de 10 étages (soit 25 mètres de hauteur) dont la pression de livraison n'est pas équilibrée par
étage (90% des cas des immeubles) il faudra une pression de livraison en pied d'immeuble, de 5,5 bars au moins
(sans compter les pertes de charges) pour que le dernier étage puisse bénéficier de 3 bars statique, avec toutes
les conséquences pour les locataires des étages inférieurs.
Les aérateurs (ou mousseurs) ne doivent comporter aucun empilage de tamis métallique
favorisant la formation du bio film, la rétention et la prolifération des bactéries. Pour une durée
de vie maximale, ils ne comportent aucune partie métallique.
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La douchette sera équipée avec un anti-vrilleur à 360° (élément de confort pour éviter les
noeuds du flexible) et surtout avec un flexible ayant une résistance mécanique supérieure
aux flexibles traditionnels du marché. En effet, toute douchette dite "économique" génère
automatiquement une pression résiduelle importante dans le flexible, ce qui n'est pas le cas
d'une douchette "standard" dont la pression résiduelle n'est que de quelques dixièmes de bars.
Si l'on reprend l'exemple de l'immeuble ci-dessus, la pression résiduelle générée par une douchette économe,
dans les étages inférieurs pourra être de 4.5 ou 5 bars, ce qui est trop important pour un flexible "standard".
Il faut maintenant parler des dispositifs économiseurs d'eau, appelés également limiteurs, régulateurs ou
restricteurs de débit. Si au niveau économie on ne peut leur contester cette fonction (car 8 ou 10 litres d'eau à
la minute, quel que soit le dispositif, seront toujours 8 à 10 litres d'eau) il n'en est pas de même quant au
confort. En effet il est parfaitement "anti-mécanique" de vouloir alimenter avec 8 litres une pomme de
douche ou un aérateur prévu pour en donner 15 ou 20. Le résultat "confort" sera catastrophique et le système
sera rejeté. C'est pour cela qu' €co-technique$ n'utilise que des dispositifs hydro-économes qui sont conçus
et réalisés pour le débit (et le confort) pour lesquels ils sont programmés.
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