Vous êtes sur la page 1sur 4

Systèmes informatiques embarqués :

Aujourd’hui la majorité des appareils comportent des systèmes embarqués, que ce soit dans
l’électroménager ou les transports, ils sont indispensables au bon fonctionnement de nos
appareils quotidiens. Les systèmes embarqués désignent un système électronique et
informatique autonome qui réalise en temps réel une tâche précise au sein de l’appareil. Ce
terme désigne à la fois le matériel utiliser et le logiciel qui lui est associé.

Interface :
Les systèmes les plus simples se focalisent sur une seule tache, ils ne comportent alors pas
d’interface utilisateur ou uniquement des boutons et/ou des LED. Les systèmes les plus
complexes et dédiés à plusieurs taches peuvent comporter une variété d’interfaces ;
notamment un écran tactile ou à boutons, ou encore des joysticks. Plus récemment,
l’explosion du web a causé à de nombreux systèmes embarqués d’obtenir une interface
similaire à celle d’une page web, pratique car permettant d’éviter le cout d’un système
sophistiqué tout en conservant une interface complète. On compte également certains
systèmes comportant une forme de reconnaissance vocale.

Contraintes :
Les deux caractéristiques principales d’un système embarqué sont sa faible consommation
en énergie ainsi qu’une taille limitée. Ses deux limitations entrainent un certain nombre de
contrainte :
- L’autonomie : elle peut parfois se retrouver réduite à pour assurer une faible consommation
d’énergie.
- Une mémoire limitée : à cause des restrions spatiales elle peut rarement dépasser quelques
Go.
- La puissance de calcul doit être précise pour éviter une trop grande consommation
d’énergie.
- Une contrainte temporelle : Les temps d’exécution d’une tache sont déterminés. Les
systèmes embarqués doivent agir en temps réel.

Fonctionnement :
Les systèmes embarqués utilisent généralement des microprocesseurs à basse
consommation énergétique ou des microprocesseurs, dont la partie logicielle est
entièrement programmée dans le matériel, généralement en mémoire dans une mémoire
morte (ou ROM, elle désigne une mémoire informatique non volatile pouvant être lue par
l’utilisateur mais pas modifier).

Interface :
Les systèmes les plus simples se focalisent sur une seule tache, ils ne comportent alors pas
d’interface utilisateur ou uniquement des boutons et/ou des LED. Les systèmes les plus
complexes et dédiés à plusieurs taches peuvent comporter une variété d’interfaces ;
notamment un écran tactile ou à boutons, ou encore des joysticks. Plus récemment,
l’explosion du web a causé à de nombreux systèmes embarqués d’obtenir une interface
similaire à celle d’une page web, pratique car permettant d’éviter le cout d’un système
sophistiqué tout en conservant une interface complète. On compte également certains
systèmes comportant une forme de reconnaissance vocale.

Fiabilité :
Dans la majorité des cas, les systèmes embarqués se doivent de fonctionner en continu
pendant plusieurs années sans erreur. En conséquence, leurs logiciels sont toujours
développés et testés avec beaucoup plus d’attention que d’autres appareil, les pièce mobiles
non fiables sont également proscrites.
Pilotage d’un objet connecté :

Un objet connecté est un objet ayant la capacité de se connecter à un réseau de connexion


(wifi, Bluetooth, réseau internet mobile comme la 5g…). Il peut également selon les cas
recevoir, stocker, traiter et transmettre des données, recevoir et donner des instructions pour
fonctionner.

Caractéristiques :
Un objet connecté est le point de départ d’un système destiné à apporter un service et il est
composé de plusieurs éléments :
- Un dispositif de communication pour transmettre les données
- Une carte électronique pour prétraiter des informations
- Un ou plusieurs capteurs pour collecter les données
Son but est d’apporter une information utile à l’utilisateur. Certains objets connectés sont
également capables de prendre des décisions par eux-mêmes (piloter) ou d’alerter
l’utilisateur en fonction des données captées. Certains sont capables de prétraiter des
informations et de transmettre uniquement les plus pertinentes.

Fonctionnement :
La plupart du temps, les objets connectés ne sont pas directement reliés à Internet, ils
communiquent les données captées à des passerelles via une liaison radio (ou filaire dans
certains cas). Ces passerelles sont généralement des box d’accès à Internet ou des
smartphones agissant comme un modem (périphérique informatique reliant un ordinateur à
un réseau analogique). Les objets connectés grand public utilisent le plus souvent le Wifi ou
le Bluetooth. Il existe en revanche une grande variété de réseaux de communication pour les
objets connectés destinés aux entreprises : les réseaux mobiles (GSM, GPRS, 3G, 4G), des
nouveaux réseaux conçus pour les objets connectés (Zigbee, Sigfox, LoRa..)
Les données collectées par les objets connectés sont envoyées aux passerelles et sont
ensuite hébergées sur des serveurs (ou dans le « cloud ») et analysées grâce à des
algorithmes sur des plateformes de services. C’est ici que l’objet connecté prend toute sa
valeur et que le service est véritablement créé

Interface :
L’interface permet à l’utilisateur d’avoir accès au service. Elle peut prendre de nombreuses
formes comme un tableau de bord sur un site web, d’une action automatique
(déclenchement d’une machine), d’une alarme (par SMS par exemple) ou encore d’une
notification d’un document par email.
Si l’interface est dite « ouverte », alors d’autres fournisseurs de service peuvent proposer
leur propre interface pour présenter les données collectées. Un même objet connecté peut
ainsi être piloté par plusieurs application mobile.

Usage :
Les objets connectés sont utilisés tout le temps dans notre vie de tous les jours ainsi que
dans de nombreux domaines. Voici quelques exemples :
- Santé : aide aux diagnostiques, aide de suivi des patients…
- Urbanisme : éclairage, transports publiques, eau…
- Domotique : les maisons comptent de plus en plus d’appareils connectés comme des
alarmes, le chauffage, les volets…

Vous aimerez peut-être aussi