Vous êtes sur la page 1sur 20

Martial Cadiou

LA MISSION ESCHATOLOGIQUE
DE
VLADIMIR POUTINE

« Les Russes sont la promesse d’une culture à venir au moment


où les ombres du soir s’allongent. » Oswald Spengler

« Sans l’Orthodoxie, il n’y aurait pas de Russie. »


Poutine au monastère de Valaam

« Les Russes marchent à travers les ténèbres de tous les âges


païens,
Les Russes marchent, mettant à terre les ennemis et les guerres
qu’ils mènent,
Les Russes marchent, libérant ainsi tous les peuples de la
Troisième Rome,
Les Russes marchent vers la Jérusalem céleste
La marche russe
En 2020, Vladimir Poutine a réussi à faire modifier la Constitution russe
afin de prolonger sa présence à la tête de la Russie jusqu’en 2036. Cet
acte politique de la plus haute importance nous conduit à ces réflexions
quant à la mise en place du scénario eschatologique suivant.

Vladimir Poutine est une préfiguration de l'Antéchrist (1), soit le Messie


de la Tradition primordiale ou polaire.

Nous allons, au cours de cet article, tenter de le démontrer. Cependant, le


lecteur verra que cet Antéchrist n'est absolument pas celui auquel les
Occidentaux pétris de judéo-catholicisme pensent. Il en est, en effet,
l'exact inverse !

En guise de préliminaire, il est bon de se souvenir que Michel Valsan,


disciple de René Guénon et instructeur spirituel du Général de Gaulle
écrivait dans la revue Études Traditionnelles, 1971 que « pour pouvoir
réaliser la restauration de l'état primordial, il faut inverser l'orientation humaine
actuelle ».

Dans un livre paru en 2000, Pierre Lorrain, journaliste, spécialiste de


l'URSS, La mystérieuse ascension de Vladimir Poutine, Éd. du Rocher,
en bon social-démocrate qu'il est, tient à nous mettre en garde contre les
engouements « millénaristes et messianiques » de Vladimir Poutine.
Cependant, ce journaliste « politiquement correct » se fourvoie, car c'est
justement là, en fait, que réside la grandeur du personnage, dans sa
prédestination et son profil prophétique et eschatologique.

Au pouvoir depuis les années 2000, Vladimir Poutine s'inscrit dans une
perspective eschatologique de type impérial (le Testament de Pierre-le-
Grand). Ce personnage énigmatique, originaire du Septentrion où règne
l'étoile polaire, incarnera donc la figure combattante d'une Russie
ressuscitée.
Pour cela, Poutine le Septentrional s'est allié au fils du dragon oriental
chinois sur l'échiquier géopolitique. Au travers leurs convergences
d'intérêts supérieurs dictées par l'horloge eschatologique, ces deux
grandes civilisations, la russe et la chinoise, se doivent de mettre en
commun leurs atouts pour briser le souffle putride de la « Grande
Prostituée » incarnée par la nation aux fondements dégénérés (2), les
États-Unis et ce que s'y cache derrière, le sionisme (3).
Avouons-le, Poutine est la préfiguration du « Lion de Septentrion »,
prédit dans l'Apocalypse de Pierre, vainqueur de la cléricaille, briseur
des nations apostates.

Luc Benoist, sous le pseudonyme de Michel de Socoa, a évoqué dans


son livre Les Grandes Conjonctions Éd.Traditionnelles, 1981, la grande
doriphorie de 1989. Doriphorie ayant lieu dans le signe du Capricorne : «
Plusieurs traditions convergentes nous font soupçonner que la fin de
notre XXe siècle verra un renouveau total de la figure du monde. La
grande doriphorie du Capricorne en 1991(4) constitue un indice
d'importance. » (cf. p.40)

La chute du communisme et ses conséquences s'inscrivent parfaitement


dans ces considérations astrologiques qui nous montrent une Russie
ressuscitée le 7 novembre 1989, soit 72 ans après la révolution
bolchevique. L'URSS sera démantelée le 8 décembre 1991, en la fête de
l'Immaculée Conception.

Selon Alexandre de Danaan, Les secrets de la Tara Blanche, Éd.


Arché, Milan et Andrei Znamenski, Shambhala, le royaume rouge,
Magie & géopolitique au cœur de l’Asie, Éd. Camion Noir, 2015, la
Russie aurait un lien mystérieux avec Shambhala ou Agarttha, le Centre
Suprême caché. Cette proximité montre à l'évidence le rôle
eschatologique de cette même Russie dans l'Endkampf.
Le Bloc de Commandement russe, noyauté par « La Fraternité des
Polaires » (5), a délégué Poutine comme l'agent révolutionnaire
prédestiné de changements géopolitiques de type impérial, ce que Jean
Parvulesco nomme « géopolitique transcendantale » ou « mystique
révolutionnaire ». Vladimir Poutine incarnerait l'avènement de « l'Empire
Eurasiatique », l'ensoleillement final de la conscience occidentale
enténébrée par les sortilèges de la « Grande Prostituée » incarnée par les
conspirations maçonnico-satanistes de l'empire américano-anglo-sioniste.

Poutine incarne « l'Empire rouge de la Fin du Cycle », porteur du grand


dessein impérial eurasiatique.

Dans son ouvrage, Terre et Mer, Carl Schmitt explique la nature de


l’opposition métaphysique de la Russie et de l’Angleterre, soit l’Ours et
la Baleine ou Léviathan, la puissance terrestre contre la puissance
maritime.

Cette doctrine présente des affinités avec les théories avancées par
Samuel Huntington, disciple de l’ethno-racialiste sioniste, ancien agent
de l’Arab Bureau, Bernard Lewis, dans son ouvrage, Le Choc des
Civilisations publié en 1993 dans Foreign Affairs. Il s’agit de la revue du
Council on Foreign Relations (CFR) de New York qui résout le conflit
entre les blocs eurasiatiques continentaux et le bloc atlantiste comprenant
les nations inféodées aux USA, prédisposées au libre-échange et au
libéralisme démocratique au bloc eurasien, plus enclin au centralisme et
la spiritualité. Le bloc atlantique, thalassocratique est identifié au Kali
yuga, la modernité, nomade, quantitatif, l'absence de vraie spiritualité, de
la démocratie de la pire extraction qu' Évola et Guénon détestaient tant.

« L'Empire eurasiatique de la Fin » est providentiellement tenu d'incarner


très précisément le IVe Reich, l 'Imperium transcendantal de l'histoire, où
la confrontation religieusement ouverte entre le Catholicisme et
Orthodoxie trouvera sa résolution impériale eurasiatique finale, avec
l'avènement du « Millénium Christi » (6). Là, est l'objet métapolitique et
spirituel de Poutine et des groupes géopolitiques puissants tournés vers la
réalisation du Grand Imperium eurasiatique qui le protègent et l'assistent.
Le sort de l'Europe et le sort actuel du monde dépendant de la Russie, du
redressement final de la Russie. C'est précisément aussi qu'en continuant
l’œuvre de ses prédécesseurs tsaristes, notamment Nicolas II, que s'inscrit
Poutine, délégué du « Centre Suprême » ou « Agarrtha » que ce dernier
entend ressusciter la superpuissance mondiale à dessein eschatologique.

Dans ces conditions, Poutine serait l'instrument de la tradition


hindoue appelée la Paravrtti, le « Grand Renversement » !

Dans son Veilleur, où en est la nuit ? : introduction à l'Apocalypse,


Jean Robin, Éd. G. Trédaniel a évoqué la mission satanique qui est
impartie aux États-Unis dans l'eschatologie promise. Il compare les USA
à la « Grande Prostituée » devant laquelle toutes les nations
s'assujettissent. Cette prostitution des États devant l'Empire nous est
résumée ainsi par le géopoliticien russe, Alexei Jedrichine-Wandam : « il
n’y a qu’une chose qui puisse être pire que l’hostilité avec les Anglo-
Saxons : c’est l’amitié avec eux. »
En écho, dans son chapitre « Géopolitique d'une conjoncture planétaire
finale » in Vladimir Poutine & L'Eurasie Éd. Les Amis de la Culture
Européenne, Jean Parvulesco, nous renseigne plus précisément du rôle
néfaste et interlope que joueront les États-Unis dans la mise en place de
l'Endkampf.

En proie à un Deep State ou État-Profond d'obédience sioniste, obéissant


à une ousia, ténébreuse, inavouable, cruelle, offensive, intransigeante,
totalitaire, fourbe, hors d'accès du vulgum pecus, les États-Unis,
missionnés, prédestinés dès leur existence pour de noires
perspectives, se doivent de prendre part au grand jeu géopolitique de
redessinement du continent eurasiatique par le biais d'un dispositif
politico-stratégique agressif et concerté avec ses vassaux dont la Grande-
Bretagne, l'Allemagne, Israël, la Turquie, l'Arabie Saoudite, le vilain petit
Qatar et malheureusement la France républicaine sociale-démocrate !

Les lignes de forces et d'agissements de cet État profond passent par la


mise en place d'actions conspiratrices terroristes d'envergure, (11
septembre, « Charlie Hebdo », attentats du 13 novembre de Paris, de
Londres, Madrid, Nice) sans nom et sans visage, obéissant aux
injonctions d'une « centrale enterrée », totalement inconnue, «
inconnaissable ». Ce que Guénon nomme la « Contre-Agarrtha ».

Cependant, ce bloc de conspiration mondialiste secret des USA, ne


cachant en rien ses volontés hégémoniques, bute sur la contre-stratégie
impérialiste de l'axe eurasiatique initié par Poutine et le Bloc de
commandement russe. Cet axe eurasiatique ou « Empire eurasiatique de
la Fin » figure comme le concept opérationnel de Kontinentalblock
théorisé par le géopoliticien de l'Ordre du Dragon Vert, Karl Haushofer.

Axe eurasiatique regroupant la Russie, la Chine, l'Iran, la Syrie, l'Inde, la


Corée du Nord, Cuba, le Venezuela. Cet axe fera échec à
l'hégémonikon et l'hybris de l'Empire thalassocratique ou « Bête de la
Mer » ! D'après Jean Robin, Veilleur, où en est la nuit ?, la « Bête de la
Terre » (Axe Eurasiatique) tue la « Bête de la Mer » (Axe
thalassocratique).
Cette vaste conspiration terroriste sera appelée à agir dialectiquement
comme un vaste dispositif de provocation-agitation destiné à déclencher
un « tremblement de terre » géopolitique, à mettre en branle des
situations et des événements révolutionnaires préconçus par les USA eux-
mêmes, en réalité, les meneurs cachés, avec des vues inavouables,
engagés dans le sens d'une dialectique d'emprise hégémonique planétaire
dans le seul but de bloquer et contraindre la réalisation du grand rêve
impérial russe, la « Forteresse eurasiatique ».

C'est pour cette raison que « la Confrérie des Sages du Nord », a élu et
favorisé la mystérieuse ascension de Vladimir Poutine afin de «
casser » et « mettre à genoux » l'Empire américano-sioniste. En 1910,
le grand catholique Léon Bloy n'a-t'-il pas vaticiné avec une prescience
eschatologique surprenante, le retour des Cosaques et du Saint-Esprit ?
La Vierge de Fatima en 1917 n'a t-'elle pas appelé à la résurrection de la
Sainte Russie ?
Le pouvoir occulte de la « Société de Celui Qui Doit Venir » lui
fournissant les moyens militaires exceptionnels (armes scalaires (7),
technologiques et économiques) pour asseoir la réalisation du « Nouvel
Empire Eurasiatique de la Fin ».

De nombreux signes nous le montre prédestiné : sa naissance à Saint-


Pétersbourg, capitale monarchique septentrionale, le 7 octobre 1952, date
anniversaire de la victoire de la chrétienté latine (en fait Venise, le Saint-
Siège et l'ordre de Malte) sur l'empire ottoman lors de la bataille de
Lépante en 1571 et fête de Notre-Dame du Rosaire ; son ascension à la
tête de l'État russe, appelé par l'ivrogne pro-américain Boris Eltsine, le 9
août 1999, lors de l'éclipse du soleil.
Serait-ce lui l'incarnation du " Roi d’effroi " décrit dans les Centuries de
Nostradamus (Centurie X, Quatrain 72)(8) ?

Son ascension (9), il la doit au Bloc de Commandement russe, une


fraction du GRU (Services de Renseignement de l’État-major des Forces
Armées russes). Son appellation officielle est « Département militaire 44
388 ». Diviser par le chiffre de la Bête 666, on obtient 66,6 (10)! (cf.
Pierre de Villemarest, Le GRU, le plus secret des services secrets
soviétiques 1918-1988, Éd. Stock, 1988)
Poutine est donc missionné pour se débarrasser de cette conspiration
social-démocrate traître avec ses relais judéo-trotskistes subversifs
partout au pouvoir en Europe de l'Ouest (11). Conspiration social-
démocrate mise subversivement en place et dirigée, dans l'ombre, par
l'Empire américano-sioniste dont les buts inavoués sont le mondialisme,
le multiculturalisme, le cosmopolitisme, le LGBTisme, la négation des
valeurs spirituelles.

Le sort de l'Europe et le sort actuel du monde dépendent de la Russie, du


redressement final de la Russie. C'est précisément aussi qu'en continuant
l’œuvre de ses prédécesseurs tsaristes, notamment Pierre Le Grand,
Nicolas II que s'inscrit Poutine, délégué du « Centre Suprême » ou «
Agarrtha » que ce dernier entend ressusciter la superpuissance mondiale
à dessein eschatologique.

Poutine incarne la « Russie Antérieure », assumant néanmoins l'héritage


dramatique de l'URSS. Au-delà de l'Empire des tsars et du régime
nocturne incarné par le judéo-bolchevisme, émerge la « Troisième Russie
», la « Nouvelle Russie » porteuse du grand dessein impérial eurasiatique
et du courant impérial géopolitique dont il est le représentant.

De l'État totalitaire impérialiste nocturne de Staline, Poutine prépare


l'avènement de l’État impérial orthodoxe symbolisé par l'aigle bicéphale
(autorité spirituelle et pouvoir temporel), empire transcendantal qui ne
sera que la « projection intérieure » et assomptionniste des services
spéciaux russes dans leurs cheminements occultes.
Cheminements comparables à cette descente dans l'Abîme professée par
Jacob Frank et les sabbato-frankistes : « Je ne suis pas venu dans ce
monde pour votre élévation, mais pour vous précipiter au fond de
l’abîme. On ne saurait descendre plus bas. La route de l’abîme est
terrifiante et effrayante. Même notre frère Jacob en fut effrayé et n’osa
pas mettre le pied sur l’échelle céleste. Elle consiste en deux parties
convergentes qui se rencontrent au fond, une partie conduisant vers le
bas, l’autre vers le haut, et il n’y a pas d’ascension sans descente
préalable. »

Jean Robin, dans un livre hautement sulfureux, Hitler, l’élu du Dragon,


Éd. G.Trédaniel, s’étonnait que personne n’ait pointé l’antagonisme
entre l’eschatologie de la tradition polaire, hyperboréenne et judéo-
chrétienne !

Les écrits apocalyptiques – Ézéchiel, Jérémie et saint Jean – font de Gog


(12) le souverain de Magog, assimilé à Méchek et Toubal, soit Moscou et
Tbilissi.

Il est curieux que la Bible qui inverse tout, prophétisent par


l'intermédiaire de ses Prophètes de l'Ancien Testament, pour la Fin des
Temps, l'arrivée de terribles menaces en provenance du Nord :

« Comment es-tu tombé du ciel, Astre brillant, Fils de l’Aurore ?


Comment as-tu été précipité à terre, toi qui réduisais les nations, toi qui
disais : « Je monterai dans les cieux, je hausserai mon trône au-dessus
des étoiles de Dieu, je siégerai sur la montagne de l’assemblée divine à
l’extrême nord, je monterai au sommet des nuages, je serai comme le
Très-Haut.»

« J’amène du Nord une grande calamité et une grande dévastation. Le


destructeur des peuples s’est mis en marche. » (Jérémie, 4, 6-7.)

« Je te mettrai en marche depuis l’extrême Nord et je t’amènerai sur les


montagnes d’Israël. » (Ézéchiel, 39, 2.)

Interprétant la prophétie d’Ezéchiel et de Joël sur la puissance du Nord


qui doit attaquer Israël avant le retour du Christ, Harold Lindsey,
L’agonie de notre vieille planète, p. 79, Éd. Braine l’Alleud, comme d
‘ailleurs de nombreux rabbins en déduisent qu’il s’agit de la Russie : «
Gog du pays de Rosch, de Mésech et de Tubal, renvoie à la puissance qui
se situe aux extrémités du septentrion. Vous n’avez qu’à consulter un
globe terrestre pour vérifier l’exactitude de cette inclination
géographique . Il n’y a qu’une nation qui se trouve aux extrémités du
septentrion, vue d’Israël, c’est l’URSS. »

Pour la religion hébraïque, le mal est au nord. Le Nord est le lieu de


l’infortune, c’est de lui que provient la destruction. Jérémie nous explique
qu’il y a une marmite maléfique qui s’incline à partir du nord. Bref, le
Nord est considéré par les Hébreux comme un point ténébreux et
dangereux.
Lorsque les Hébreux attaquent un ancien mythe hyperboréen ou
essayent de le discréditer ou maudire, c’est qu’une vérité essentielle
mérite d’être ressuscitée (13). Cette délégitimation de la Tradition
primordiale et de ses vérités mythologiques peuvent servir la raison d’un
antisémitisme refoulé et légitime. N’est il pas dit que pour les Protocoles
des Sages de Sion, l’antisémitisme est inséparable d’antijudaïsme ?

L’Imperium hyperboréen ou polaire est païen. Saturne, le dieu de l’Âge


d’Or, en effet, n’était qu’endormi dans les régions hyperboréennes.
Horace (Carm. I,II, 30 sq), tout comme Virgile (Eglogues, IV, 5-10, 15
sq.) espérait en la venue de l’Apollon hyperboréen. Ajoutons que cette
alliance « païenne » du Septentrion et de l’Orient contre le christianisme
romain s’explique par le fait que la Tradition primordiale chère aux
guénoniens était à l’origine polaire (le swastika est pour Guénon le «
signe du Pôle »), mais que c’est le royaume souterrain de l’Agarrtha ou
de Shamballah (localisé en Asie centrale) qui en a recueilli le dépôt.

Ainsi, nous constatons le télescopage, voire l'opposition entre les


traditions eschatologiques païennes et judéo-chrétiennes, symbolisé
par le combat final entre les armées « orientales » (axe eurasiatique)
de Gog et Magog commandées par un roi venu du Nord et l'Empire
thalassocratique occidental !

Précisons que le roi de Shambhala a pour nom Magag pa Aniruddha et


un sceau marqué du swastika et le royaume d'El-Khidr (Elie) « est connu
sous le nom de Yûh […] Il est situé à l'Extrême Septentrion », c'est à dire
dans cette « terre du sanglier » (Varahi en sanskrit) qui est la terre
primordiale, la terre sacrée polaire. En effet, « la racine var, pour le nom
du sanglier, se retrouve dans les langues nordiques sous la forme bor ;
Varâhî est donc la " Borée " ».

Nous avons ici l'indication et la confirmation que le Messie de la


Tradition primordiale hyperboréenne et polaire n'est autre que
l'Antéchrist des judéo-chrétiens et vice-versa.

La conclusion « eschatologique », voire « géopolitique » revient au Gaon


de Vilna (14), éminente autorité spirituelle du judaïsme qui annonçait il y
a deux siècles, à propos des ultimes convulsions précédant l'ère
messianique, que lorsque les Russes (Gog) s'empareraient de la Crimée
(2014), lorsqu'ils viendraient en Syrie (à l'invitation du chiite alaouite
Bachar Al-Assad), puis lorsque leurs navires franchiraient le Bosphore, le
Messie serait aux portes... Toute ressemblance avec des événements
récents n'étant pas fortuite induit la prochaine libération de la Palestine et
la fin d'Israël prophétisé par Henry Kissinger dans le journal The New
York Post (propriété du néo-conservateur Rupert Murdoch), le 17
septembre 2012 : « Dans 10 ans, il n'y aura plus d'Israël. »
Notes

(1) Selon les vaticinations « antéchristiques » de saints Irénée, Ambroise,


Augustin, d'Adson, moine normand, l'Antéchrist serait issu de la tribu
biblique de Dan. Turbulents, ils étaient tenus en suspicion de la part des
autres hébreux. Jacob les avait comparés au Serpent ou Céraste (Genèse
49 :17). Adson, abbé de Montier-en-Der, écrivit vers 954 son fameux
traité alors que les Danois ou Vikings terrorisaient la Normandie. Les
Danites ou Dans étaient d'excellents guerriers comme les Celtes et
comme eux, adoraient le dragon. Le nom de Dan est typiquement
nordique et tire son étymologie des Dé Danann, qui envahirent autrefois
l'Irlande et vouèrent un culte à la Déesse Dana ou Ana. Selon les antiques
Annales irlandaises, les Tuatha de Dana sont issus de la tribu de Dan.
Plus tard, au gré des inimitiés de circonstances, on fera venir l'Antéchrist
d'Allemagne, puis de Russie.
Les Russes d'aujourd'hui sont les descendants des Varègues, d'origine
scandinave donc nordique.
L’historien Vassilij Tatiscev (1686-1750) dans son Histoire de la Russie
nous apprend que les fondateurs de l’État russe sont venus en Russie de
Finlande. Le prince varègue Rurik, fondateur légendaire de l’État russe,
est associé au royaume de Finlande.
Poutine, si ce n'est la taille, présente toutes les caractéristiques
morphologiques du type nordique. Vladimir Poutine est lié
symboliquement à Vladimir Ier le Grand, fondateur de la Russie, converti
au christianisme orthodoxe à Chersonèse en Crimée et destructeur de
l’empire juif-khazar (on comprend ainsi mieux le sens de la récupération
de la Crimée [ex-Gazaria] en 2014 par Poutine).
L'ancêtre de Vladimir Ier était le Viking suédois Rurik, qui fonda la
dynastie royale qui devait gouverner la Russie pendant 600 ans. Le film
du russe Andréi Kravchuk, tourné en grande partie en Crimée, intitulé
Viking, sorti en 2016 retraçant l'épopée de Vladimir Ier a été encensé par
Poutine et le Kremlin. Et, alors que Poutine inaugurait en novembre 2016
une statue géante du prince Vladimir juste devant le Kremlin, il a déclaré
devant son gouvernement, rassemblé aux pieds de la statue: " Le prince
Vladimir est resté dans l’Histoire à jamais comme l’unificateur et le
défenseur des terres russes, en homme politique visionnaire, qui a jeté les
fondations d’un État fort, unifié, centralisé".

(2) Voir notre chapitre « La Régence noire de l'hydre sioniste » (cf.


Martial Cadiou, Le Chemin d'Esaü (Aperçus sur l'initiation
sacerdotale), Éd. Edilivre-Aparis, 2019)

(3) La Matrice mondiale s'était choisie en la personne de Barack Obama,


un homosexuel et en ce qui lui tient lieu de femme, un transsexuel, du
nom de Michelle/Mickaël Obama. Depuis l'élection de ce couple maudit
à la Maison Blanche, fétiches de la Rainbow Culture, les États-Unis
chercheront par tous les moyens à polluer et promouvoir dans tous les
pays du monde, notamment en Afrique, leurs immondes lois pro-LGBT.
(cf. Hélène Vissière, « L'Amérique en Trans » in Le Point n°2299 du
29/09/2016)

(4) Poutine a été introduit dans la politique en 1991 grâce à l'opération


Félix et deviendra le chef des services secrets russes en 1998. (cf. Pierre
de Villemarest, La Lettre du Centre Européen d’Information )

(5) Une de ses premières initiatives fut de faire sceller une plaque d'or à
la mémoire de Youri Andropov, proche de la Fraternité des Polaires.
(cf. Jean Parvulesco, Poutine & l'Eurasie, p. 73, Éd. Les Amis de la
Culture Européenne, 2005)
Selon le Grand Maître de la Loge « Mount Zion » (Mont Sion) Giole
Magaldi, Masons illimited responsability company, Éd. Chiarelettere –
Poutine est membre de la Loge Golden Eurasie ainsi que Parsifal et
Valhalla.

(6) D'ailleurs sa première visite à l'étranger, en tant que nouveau


président de la Russie fut auprès du pape polonais Jean Paul II avec
lequel il eut deux entrevues : l'une officielle, l'autre officieuse. La
dernière portant sur l'assomption de l’Église, c'est à dire, l'« Ecclesia Una
» des premières communautés de la Chrétienté.
La mort du patriarche Alexis II, décédé le 5 décembre 2 008 à Moscou,
défavorable à un rapprochement envers l’Église de Rome leva l'obstacle.
À son endroit, fut nommé, par le Saint-Synode, le métropolite de
Smolensk et de Kaliningrad, Cyrille, qui, lui passe pour favorable à la
réunification.
Jean Biès, dans son Athos, voyage à la Sainte Montagne, Éd. Dervy-
Livres, 1980, considère l'Orthodoxie pour la dernière chance de
l'Occident. De nombreux théologiens ont ainsi pressenti dans
l'Orthodoxie un rôle important pour « la rencontre des religions » puisqu’
à leurs yeux, l'Orthodoxie constitue comme une synthèse de la «
spiritualité enstatique » du Soi, qui caractérise l'Orient non-chrétien, et de
la « spiritualité extatique » du Toi, d'origine sémitique.
Le moine athonite (Mont Athos), le Père Cyrille résume ainsi les choses
:
« Retourner à la foi orthodoxe, ce n'est pas retourner à autre chose qu'à
la foi de vos ancêtres. Avant 1054, (année du Grand Schisme
d'Occident), de détestable mémoire, l'Europe occidentale était, elle aussi,
orthodoxe. » Jusqu'au Ve siècle, la liturgie y était souvent célébrée en
grec ( dont il vous reste le Kyrié Eleïson). saint Hilaire de Poitiers ne
défendait-il pas l'Orthodoxie au côté d'un saint-Athanase d'Alexandrie
contre le pape Libère [ …] ? C'est en retrouvant cette Église primitive
que l'Occident redeviendra chrétienne.
Bernard Baudouin, L’Église Orthodoxe, gardienne de la Tradition Éd.
De Vecchi, nous rappelle que l’Église Orthodoxe, est restée envers et
contre tout, fidèle aux préceptes des Pères de l’Église. Cette Église serait
l’un des réceptacles de la Tradition primordiale.

(7) Lors de son discours devant le parlement russe à Moscou, le 1er mars
2018, le maître du Kremlin a envoyé un message clair aux USA et valets
en dévoilant de nouvelles armes à la technologie incomparable :
« Comme vous le comprenez, rien de tel n'existe chez qui que ce soit dans
le monde. Et je vous rassure, si un jour ils [l'Empire] y parviennent,
nous aurons encore une longueur d'avance. »
(https://youtu.be/VanOVShKsCM)
(8) Selon le philologue Rudy Cambier, Le Chemin du Vieux moine : le
Dernier Templier, Tome 1, Éd. Pierre de Lune ( à rapprocher de Pierre
de Luna, plus connu sous le nom de Benoît XIII), le véritable auteur des
Centuries est un moine cistercien, Yves de Lessines, 15 ème abbé de
l'abbaye Notre Dame de Cambron (1328-1329). Les célèbres quatrains
originels, rédigés en picard ancien, auraient été composés entre 1323 et
1328, peu après la destruction de l'ordre du Temple, aux confins de la
frontière belge, à partir de matériaux puisés dans la bibliothèque disparue
du pape légitime, mais néanmoins contesté et déposé, Benoît XIII. Celui-
ci disposait d'une véritable bibliothèque de 2800 manuscrits. 2600
disparaîtront mystérieusement. (cf : Gérard Touzeau, Benoît XIII, le
trésor du pape catalan, Éd. Mare Nostrum)

Voici le fameux quatrain qui nous occupe ici :

Quatrain X.72 :

« L'an mil neuf cens nonante neuf sept mois,


Du ciel viendra un grand Roy d'effrayeur:
Resusciter le grand Roy d'Angolmois,
Avant après Mars regner par bonheur. »

Mars est évidemment la guerre (ce que confirme la figure suscitée), c’est
à dire le glaive divin qui tranchera - « avant après » - entre les bons et les
mauvais, en prélude au Jugement dernier.

Cette éclipse du soleil eut lieu dans le signe du Lion, symbole du Christ
et de l’Antéchrist et indique la naissance politique d’un personnage
important : ici, Poutine.
L´arrivée prophétique de Poutine á la tête de la Russie, le Président Russe
de l´époque, Yeltsine, dans un Discours á la Nation en Aout 1999, s
´adressa á la Nation Russe dans ces mots prophétiques « J´ai décidé de
vous donner un homme qui va consolider et redresser notre Nation, cet
homme, c´est Poutine. »

(9) Son ascension à la tête de la Russie (son ascension ne se fit-elle pas


lors de l'éclipse du soleil en août 1999 ?), il la doit à l'opération Félix,
qui, en février 1991, fut organisée et développée par une fraction du
GRU, émanation directe des conseils révolutionnaires des Forces Armées
soviétiques. Le réseau Félix sera impliqué dans la gestion des fonds
secrets du Parti Communiste de 1987 à 1993, ce qui représentait 600
entreprises créées en Russie et ailleurs.

(10) Dans son chapitre sur Seth in Symboles fondamentaux de la Science


Sacrée, Éd. Gallimard, René Guénon reconnaît que :

« (...) le nombre 666 n'a pas une signification exclusivement


maléfique ; s'il est le “ nombre de la Bête ”, il est tout d'abord celui
d'Hakathriel ou “l'ange de la couronne”. D'autre part, ce nombre est
également donné par le nom de “Sorath”, qui est, suivant les
kabbalistes, le démon solaire, opposé comme tel à l'archange Mikaël ; “
Sorath ” est en outre l'anagramme de “sthur”, qui signifie “chose
cachée” : est-ce là le “nom de mystère” dont parle “l'Apocalypse” ?
Mais si “ sathar ” signifie “ cacher ”, il signifie aussi “ protéger ” ; et
en arabe, le même mot “ satar ” évoque presque uniquement l'idée de
protection, et même souvent d'une protection divine et providentielle… »

Et pour troubler le néophyte, il ajoute :

« Pourrait-on, sans trop de fantaisie linguistique, en rapprocher le


grec “sôter”, “sauveur” ? Et faut-il dire à ce propos qu'il peut et qu'il
doit y avoir même, entre les désignations du Christ (El-Messîh, en
arabe) et celles de l'Antéchrist (El-Messîkh), une singulière
ressemblance ? »

En hébreu, Esther (Ishtar) a pour nombre 661, et si l'on fait précéder son
nom de la lettre « he », signe de l'article défini, dont la valeur est 5, on
obtient 666...
Ce qui démontrerait que le très redouté 666 apocalyptique, n’est pas un
nombre d'homme, comme on le prétend à tort, mais un nombre de femme
!

(11) Cette suspicion ou entreprise de dénigrement occulte,


subversivement agissante, en France, notamment par le biais de sa coterie
judéo-trotskiste (Kouchner, Bernard Henry Lévy, Glucksman père et fils,
Daniel Cohn-Bendit, Julien Dray, Raphaël Enthoven, etc.) à l'égard de la
figure militante de Poutine n'a pour but que d'empêcher qu'il ne soit
reconnu pour ce qu'il est en réalité, une préfiguration du Christ
Pantocrator (Christ en gloire et vainqueur et non souffreteux et humilié).
Le nationaliste John H.Monk, dans les années 1950, dans sa revue basée
au Texas, Grass Roots pouvait écrire : « Le communisme des Trotski et
le communisme soviétiqu[stalinien] sont des ennemis ».
Tout se passe donc, comme si une « grande centrale de décision occulte »
s'activait inlassablement dans l'ombre pour maintenir sur la brèche
l'opposition de plus en plus exacerbée de l'ensemble de l'information et
des options gouvernementales européennes contre les tentatives de la
Russie pour affirmer sa présence politique en Europe et au Moyen-orient.
Les sentiments anti-russes des gouvernements socialistes secrètement
trotskystes (Cambadélis et sa clique de l'OCI) sont soutenus par l'hostilité
agissante dans l'ombre d'un super-pouvoir occulte (« Contre-Initiation »),
super-pouvoir occulte, matérialiste, anti-religieux, secrètement «
sataniste » installé à Londres, Washington et Tel-Aviv.
Ainsi les médias européens – presse, radio, télévision se mobilisent
constamment contre les positions politiques de Poutine. Peut-être
sentent-ils obscurément que Poutine incarne ce qu'ils ne sont plus, et ne
pourront jamais être. Poutine est le reproche vivant adressé aux
Occidentaux et à ses élites dégénérées. Il symbolise la négation du
politiquement correct, de la décadence occidentale avec son lot de lois
homophiles, athées, multiculturelles.

(12) Selon Patrick Daniel, La Matrice de Gog - Magog serait situé en


Crimée et Gog serait le dirigeant de cette région. Selon les Septante, Gog
est synonyme d'Agag. Agag est un terme générique employé pour parler
des rois d’Amalek, c'est un titre comme tsar ou chef.
Dans la Genèse, il est écrit qu’Amalek était le petit-fils d’Ésaü, qu’on
appelait aussi Édom. On entend parler d’Agag pour la première fois dans
Nombres 24:7.
Tubal et Magog sont mentionnés dans la Genèse, au chapitre 10, comme
descendants de Japhet, un des trois fils de Noé. « Les fils de Japhet sont
Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Méshec, et Tiras » (v. 2).
Ros/Rosh, Méshec, Tubal et Magog sont d’anciens noms de ceux dont les
descendants s’installèrent dans la région territoriale de la Russie
moderne.
On montre le côté ambigu de Gog selon l'eschatologie judéo-chrétienne
dans un autre verset de l’Ancien Testament, dans le livre du prophète
Amos : « Le Seigneur me fit voir ceci : Voici, un essaim de sauterelles
survint, et voici, une des jeunes sauterelles dévastatrices était Gog, le
Roi » (Amos 7:1, Version des Septante).

Ces sauterelles nous rappellent le chapitre 9 de l'Apocalypse de Saint-


Jean :

La cinquième trompette
de « l’Apocalypse de Jean »

« Et le cinquième Ange sonna. Alors je vis un astre qui du ciel avait chu
sur la terre. On lui remit la clef du puits de l’Abîme. Il ouvrit le puits de
l’Abîme et il en monta une fumée, comme celle d’une immense fournaise.
Le soleil et l’atmosphère en furent obscurcis – et, de cette fumée, des
sauterelles se répandirent sur la terre ; on leur donna un pouvoir pareil à
celui des scorpions de la terre. On leur dit d’épargner les prairies, toute
verdure et tout arbre, et de s’en prendre seulement aux hommes qui ne
porteraient pas sur le front le sceau de Dieu. On leur donna, non de les
tuer, mais de les tourmenter durant cinq mois. La douleur qu’elles
provoquent ressemble à celle d’une piqûre de scorpion. En ces jours-là,
les hommes rechercheront la mort sans la trouver, ils souhaiteront mourir
et la mort les fuira !
Or ces sauterelles, à les voir, font penser à des chevaux équipés pour
la guerre, sur leur tête on dirait des couronnes d’or, et leur face rappelle
des faces humaines ; leurs cheveux, des chevelures de femmes, et leurs
dents, des dents de lions ; leur thorax, des cuirasses de fer, et le bruit de
leurs ailes, le vacarme de chars aux multiples chevaux, se ruant au
combat, elles ont des queues pareilles à des scorpions, avec des dards ;
et dans le queue se trouve leur pouvoir de torturer les hommes pendant
cinq mois. À leur tête, comme roi, elles ont l’Ange de l’Abîme ; il
s’appelle en hébreu : Abaddon, et en grec : Apollyon. »
(13) Dans le livre de Christophe Levalois, La Terre de Lumière : Le
Nord et l’Origine, Éd. Chez l’auteur, 1985 – Le Nord correspond à une
époque édénique, l’âge d’or (Satya Yuga chez les Hindous). Selon la
tradition chinoise, le souverain incarne le pôle. « (…) le chef se tient en
Haut, au Nord et il est le Centre (…) (cf. Marcel Granet, La religion
des Chinois, Éd. Payot)
Le Nord est la « porte des dieux ». Dans le Livre d’Hénoch (chap.
XXXIII), on peut y lire : « Puis, je me dirigeai vers le septentrion aux
limites de la Terre. Et là, vers les confins du monde, je vis un prodige
grand et magnifique. Je vis les portes du Ciel ouvertes (…) »
Pour la tradition hindoue, tout au Nord s’élève le mont Mérou, séjour des
dieux.
Selon V. Demin, le mot « Nord » s'avère « quasiment identique » au
terme ossète narty qui signifie les « braves » (bogatyri). La racine nar est
très répandue dans le sanscrit où elle est porteuse de sens mythologiques
essentiels ( le nom nara est un des noms de l'Âme supérieure, il désigne
en outre une boisson divine de l'immortalité, l'eau ou l'élément liquide en
général ).
Selon Demin, la légendaire Hyperborée se confondrait avec le nom de
Thule ou Fuie. Cela permet à Demin de faire remonter l’ Ultima Thule de
Virgile et de Goethe au mot russe tula qui signifie, dans le Dictionnaire
de V. Dal', « lieu secret » ou « lieu caché » (les noms zatulie, pritulie,
ainsi que le verbe tulif - « cacher »). De là on passe au toponyme russe
Toula : ce nom de la ville se rapporterait ainsi au lieu secret et refléterait
« la situation géographique de la ville située au croisement des riches
gisements géologiques, minéralogiques et géo-physiques ».

(14) Gaon signifie ventre des reptiles en hébreu.


A exploiter ce qui suit

Cf : symbolisme de saint Georges & Elie

Vous aimerez peut-être aussi