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L’A.D.N.

ou la trace de notre origine divine

L’ADN ou acide désoxyribonucléique est une molécule complexe présente


dans toutes les cellules vivantes. L’ADN est une molécule et le code
génétique est un ensemble d’assignations entre les triplets de nucléoides et
acides aminés que les cellules utilisent pour traduire les gênes en protéines.

Elle est présente dans le noyau de toutes les cellules eucaryotes (ou «
noyau-vrai ») qui composent les organismes multicellulaires. Elle a la
forme d’une double hélice formée de deux barreaux ou brins
complémentaires (polymères constitués de blocs élémentaires reliés les uns
aux autres par des nucléides). La forme serpentiforme est ici évidente car
cela la met en relation avec la caducée d’Hermès et le symbolisme de
l’échelle qui permet la relation entre le Ciel et la Terre, le microcosme et le
macrocosme. L’ADN se situe entre le « Ciel » et « la Terre ».
L’arrangement complexe des molécules qui créé la vie c’est l’information
issue de la conscience/lumière qui anime de l’intérieur ces molécules.

Luz correspondrait à la partie la plus centrale de l’ADN dans laquelle


circule la conscience/lumière qui est l’information pure dont l’origine est
située hors du temps/espace. Tout ceci montre que les civilisations
traditionnelles connaissaient la structure et les propriétés de l’ADN avant
qu’elles ne soient redécouvertes par les savants Crick et Watson.

La structure en double hélice de l’ADN forme une sorte « de stellarator


biologique » capable de créer un vortex central de « singularité » dans
lequel serait confinée la conscience/Lumière.

Jeremy Narby, docteur en anthropologie de l’Université de Stanford


(U.S.A), Le serpent cosmique, l’ADN & les origines du savoir, Ed.
Georg, Genève, établit un rapport entre le serpent cosmique, principe et
origine de la vie dans les cultures traditionnelles et l’ADN humain. Un
autre rapprochement est opéré entre la kundalini et l’ADN (ce feu intérieur
qui « nettoie tout » sur son passage et permet la transmutation de l’être
humain tant sur le plan corporel que spirituel).

La structure de l’ADN est d’une stabilité remarquable qui n’a pas


pratiquement pas changé depuis les débuts de la vie sur terre. Il existerait
au sein des 30 000 gènes qui composent le génome humain, 223 gènes
d’origine inconnue apportés dans le chromosome 21.

L’A.D.N est tout sauf une machine dans le sens matérialiste et techno-
scientifique du terme qui prévaut aujourd’hui. La science n’est pas
parvenue à reproduire l’activité génétique de l’ADN. C’est un petit bijou
ultra-perfectionné d’auto-organisation qui sait en temps réel tout ce qu’il
doit faire.

La macromolécule d’ADN est la forme de stockage de l’information la


plus dense connue à ce jour. La molécule d’ADN représente le summum
de cette complexité. L’ADN est comme le « maître d’œuvre » qui dirige
tout le programme de construction et de réparation du corps humain.

L’ADN aurait été créé par une forme d’intelligence et conscience


extrêmement évoluée qui serait une forme de conscience supérieure. La vie
est arrivée de l’espace intersidéral d’une lointaine civilisation. Elle aurait
été « ingénieurée » ailleurs, sur une autre planète dans un laboratoire de
génie génétique d’une civilisation hyper-évoluée et n’a pu surgir
spontanément, d’une mythique « soupe primitive » (cf. p.34)

Des études récentes ont en effet montré que l’ADN émet des biophotons.
Les biophotons sont le relais entre l’information pure et la structure
matérielle de l’ADN. Cette information pure est puisée dans le vide
quantique ou Néant qui n’est qu’un plénum quantique. Le vide est le plein
en puissance. Le photon est une particule sans masse et immatérielle, il est
toutefois visible , détectable et actif dans notre monde.
C’est le plein d’information pure qui serait à l’origine du phénomène du
Corps Glorieux de Gloire du Christ car celui ci serait le réceptacle de la
conscience/lumière à son maximum.
L’ADN est un cristal liquide apériodique de type nématique chiral ou
hélicoïdal. Les 4 bases de l’ADN sont hexagonales comme les cristaux de
quartz. Le quartz est un composé d’atomes qui vibrent à une fréquence très
stable ce qui fait de lui un excellent transmetteur et récepteur d’ondes
électromagnétiques.

Francis Crick, découvreur de la structure de l’ADN en 1953 avec James


Watson, prix nobel de médecine en 1962 pensent que notre ADN est sous
contrôle d’une civilisation hyper évoluée qui peut en prendre le contrôle à
tout moment. Notre ADN serait une sorte d’interface, à la fois marqueur,
antenne, puce et computer, bio-puce RFID maintenant le contact avec ceux
qui l’auraient conçu. (cf. p. 52) Crick pense que notre ADN ne peut pas
être terrestre mais d’origine exogène très évoluée. Ainsi, la vie ne serait
pas le résultat de combinaisons aléatoires de molécules organiques simples
(les briques de base du vivant) qui seraient apparus brusquement au sein de
la fameuse « soupe primitive » ou primordiale mais elle serait arrivée sur
terre toute formée, complète et opérationnelle.

Le chercheur italien Pietro Buffa, les gènes manipulés d’Adam, les


origines humaines à travers l’hypothèse de l’intervention biogénétique
confirme l’hypothèse de Crick. Ses théories sont bien sûr rejetées par la
science officielle. Elles rejoignent la théorie des Anciens astronautes ou
néo-évhémérisme (doctrine défendue par Zacharias Sitchin) qui développe
l’idée que les anciens dieux sont des extraterrestres qui auraient par la suite
été divinisés. (chapitre VI de la Genèse).
L’homme aurait été créé par hybridation du génome d’un primate terrestre
avec celui de créatures extraterrestres. Seulement, l’homme aurait été bridé
par le fait que sur les 3,3 milliards de paires de bases de l’ADN humain,
seulement 1,5 % codent la synthèse des protéines, le reste soit 3,25
milliards de paires de bases est considéré dans le jargon scientifique
comme de l’« ADN-poubelle » résultant de la mise en sommeil d’une
grande partie de notre ADN originel.

Le projet ENCODE montre que l’ADN-poubelle serait doté de fonctions


biochimiques insoupçonnées. Selon Anton Parks, l’Adam signifierait en
sumérien « Bétail ». Les dieux négatifs ou Annunaki représentés sur les
tablettes sumériennes seraient nos « re-créateurs ». Ils auraient fait main
basse sur la banque génétique terrestre du vivant et l’auraient détournée à
leur profit pour satisfaire leur appétit de pouvoir. Notre monde serait
effectivement bien entre les mains de dieux négatifs dont l’objectif serait
de maintenir l’humanité dans la matière et de l’empêcher de réintégrer la «
Source Spirituelle Originelle ». Daniel Robin pense qu’autrefois nous
utilisions 100 % de notre ADN alors qu’aujourd’hui nous en utilisons à
peine 3 %. Les scientifiques ne comprennent pas pourquoi (normal, ils
sont évolutionnistes). Notre ADN-poubelle est un simple fossile vivant de
notre passé, d’un passé qui montre que l’humanité a régressé donc «
involué ». Ceci est confirmé par l’œuvre de Guénon et par Jean Servier,
l’homme & l’invisible.

Daniel Robin est aussi l’auteur d’un livre Homo noeticus, l’émergence de
l’homme nouveau qui exploite la relation Kundalini & « petits mystères ».
L’auteur se trompe car la kundalini ouvre la voie à l’initiation sacerdotale
et aux « Grands Mystères » et non aux petits !

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