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Charles Darwin était un naturaliste anglais qui a rapporté de nombreuses observations ( certaines

qu’il avait pu recueillir lors de ses voyages et d’autres observées par différentes personnes ) comme :
les similitudes morphologiques & anatomiques entre différents organismes & leurs schémas de
répartition géographique. Sur la base de ces informations, il a supposé que tous les organismes
vivants proviennent d’une origine commune à travers des processus d’évolution & de diversification
où l’organisme subit de légers changements cumulatifs puis la nature passe au crible et choisit. Ainsi
les changements bénéfiques sont préservés par la nature résultant en une nouvelle espèce, et ce,
pendant des milliers & des millions d’années.

« Analogy would lead me one step further, namely, to the belief that all animals and plants have
descended from some one prototype. But analogy may be a deceitful guide. Nevertheless all living
things have much in common, in their chemical composition, their germinal vesicles, their cellular
structure, and their laws of growth and reproduction. We see this even in so trifling a circumstance
as that the same poison often similarly affects plants and animals; or that the poison secreted by the
gall-fly produces monstrous growths on the wild rose or oak-tree.
Therefore I should infer from analogy that probably all the organic beings which have ever lived on
this earth have descended
from some one primordial form, into which life was first breathed. » (Origin Of Species - Chapter XIV,
page 394)

Selon Darwin, la nature a expérimenté un nombre incalculable de formes transitionnelles où des


changements nuisibles ou inutiles se sont produits. En plus du rôle de criblage de la nature, il a émis
l’hypothèse que la nature contribue au développement de nouveaux traits dans les organismes.
Ainsi, lorsqu’un organisme acquiert certains traits -en réponse à l’environnement- il transmet ces
traits à sa progéniture ; conformément à l’hypothèse de Lamarck : que la girafe à long cou était
autrefois à cou court, mais les changements environnementaux et la nécessité d’étirer son cou pour
manger depuis la cime des arbres ont allongé son cou à travers des générations, jusqu’à ce qu’il
devienne ce qu’il est aujourd’hui.

« Effects of Use and Disuse. -- From the facts alluded to in the first chapter, I think there can be little
doubt that use in our domestic animals strengthens and enlarges certain parts, and disuse diminishes
them; and that such modifications are inherited. Under free nature, we can have no standard of
comparison, by which to judge of the effects of long-continued use or disuse, for we know not the
parent-forms;… » (Origin Of Species - Chapter V, page 178)

Le point crucial ici est l’hypothèse de Darwin selon laquelle les organismes vivants résultaient de ces
changements par coïncidence, en d’autres termes : sans intention.

« Mere chance, as we may call it, might cause one variety to differ in some character from its
parents, and the offspring of this variety again to differ from its parent in the very same character
and in a greater degree; but this alone would never account for so habitual and large an amount of
difference as that between varieties of the same species and species of the same genus. » (Origin Of
Species - Chapter IV, Divergence of Character)
« With several kinds this is effected by the light and incoherent pollen-grains being blown by the
wind through mere chance on to the stigma; and this is the simplest plan which can well be
conceived. An almost equally simple, though very different, plan occurs in many cases, in which a
symmetrical flower secretes a few drops of nectar, and is consequently visited by insects; and these
carry the pollen from the anthers to the stigma. » (Origin Of Species - Chapter VI, Difficulties of the
Theory)

« No one will pretend that so perfect a structure as the abnormal double uterus in woman could be
the result of mere chance. But the principle of reversion, by which a long-lost structure is called back
into existence, might serve as the guide for its full development, even after the lapse of an enormous
interval of time. » (Descent of Man – Chapter II)

Selon Darwin, il n’y avait pas de plan de création de ces nombreuses espèces, il le souligna dans
plusieurs de ces écrits.

« Founded on descent with modification; that the characters which naturalists consider as showing
true affinity between any two or more species, are those which have been inherited from a common
parent, and, in so far, all true classification is genealogical; that community of descent is the hidden
bond which naturalists have been unconsciously seeking, and not some unknown plan of creation, or
the enunciation of general propositions, and the mere putting together and separating objects more
or less alike. » (Origin of Species – Chapter XIV).

« Nothing can be more hopeless than to attempt to explain this similarity of pattern in members of
the same class, by utility or by the doctrine of final causes. The hopelessness of the attempt has been
expressly admitted by Owen in his most interesting work on the 'Nature of Limbs.' On the ordinary
view of the independent creation of each being, we can only say that so it is; that it has pleased
the Creator to construct all the animals and plants in each great class on a uniform plan ; but this is
not a scientific explanation. » (Origin of Species – Chapter XIV, Conclusion )

Darwin publia ses idées en 1859 dans son livre « Sur l’origine des espèces ». Il a ensuite voulu fournir
un mécanisme détaillé sur la façon dont les traits acquis sont hérités. Ainsi, des années après « Sur
l’origine des espèces », il a publié son hypothèse « Pangenèse » où il supposait que, lorsque la nature
affecte les cellules de l’organisme ces cellules somatiques sécrètent de petites particules, que Darwin
appelait des « gemmules » qui s’agrègent dans les organes reproducteurs de l’organisme & sont
transmises à ses progénitures.
Mais, d’où vient l’ « origine commune » Darwin ?
D’où vient cette « forme primordiale » sur laquelle vous avez construit vos idées et à laquelle vous
avez attribué tous les organismes vivants ?
Darwin n’a pas expliqué cela dans son livre. Mais, dans sa correspondance avec le botaniste Joseph
Dalton Hooker, il a conjecturé que la forme primordiale provenait d’un étang chaud par des facteurs
tels que : la lumière, la chaleur et l’électricité.

Ainsi, Darwin a approuvé la notion de « génération spontanée » ; répandue à son époque, cette
notion supposait que les organismes vivants pouvaient se développer spontanément à partir d’objets
inanimés. Par exemple, on croyait que les insectes provenaient des restes et que les asticots de la
viande pourrie.
Voici en bref les piliers de la théorie de l’évolution de Darwin :
1-Un organisme vivant a en quelque sorte émergé de la matière inanimée.
2-Une nature qui accorde aux organismes vivants de nouveaux traits qui les transforment en
différentes espèces.
3-Les traits acquis sont hérités.
4-Une nature qui sélectionne et compose des systèmes biologiques par de simples changements
successifs.
La conclusion est que : les organismes vivants ont évolué sans intention ni volonté d’un auteur
conscient qui sait ce qu’il fait.

Darwin a chargé tous les organismes vivants de l’univers là-dessus.

Maintenant… quelle est l’évaluation globale de ces piliers sur laquelle Darwin a établi sa conclusion ?

1 > Quant à la « génération spontanée », c’est un mythe qui a été réfuté expérimentalement; le
plus célèbre par l’expérience de Francesco Redi (200 ans avant Darwin).

Pour rappel : Francesco Redi était un scientifique italien né à Arezzo le 18 février 1626. Il a
complété des diplômes en médecine et en philosophie de l'Université de Pise. Après avoir
obtenu son diplôme, Redi déménagea à Florence pour devenir médecin du Grand-Duc de
Toscane.

Redi a été inspiré par le travail de William Harvey, qui a correctement décrit la circulation sanguine
autour du corps. Cela l'a conduit à développer son propre travail expérimental. Son travail le plus
célèbre a été un document intitulé « Esperienze Intorno alla Generazione degl'Insetti » (Expériences
sur la génération des insectes) qu'il a publié en 1668. Ce travail a fourni des preuves contre la théorie
de la génération spontanée. La théorie de la génération spontanée, les êtres vivants peuvent se
former à partir d'objets non vivants, ont été proposés par Aristote & ont été largement acceptés
pendant des millénaires. Les gens croyaient que les asticots sortiraient de la viande pourrissante.
Dans l'expérience, Redi a préparé trois groupes de pots, chacun avec des morceaux de viande à
l'intérieur. Un groupe de pots a été recouvert de gaze, un groupe a été laissé ouvert et un groupe a
été complètement scellé.

Dans le groupe de pots laissés ouverts, Redi a trouvé des larves sur la viande. Redi a remarqué
que dans les pots qui étaient complètement scellés, il n'y avait pas d’asticot. Dans le groupe de
jarres qui étaient couverts de gaze, il remarqua qu'il n'y avait pas d'asticot sur la viande, mais
des larves apparaissaient sur la gaze. Cette expérience a fourni des preuves qui ont réfuté la
théorie de la génération spontanée. Il a montré que les esprits provenaient d'oeufs posés par
des mouches. Cette expérience était importante, car c'était l'une des premières expériences
contrôlées dans l'histoire.
De plus, l’expérience de Louis Pasteur publiée cinq ans après le livre de Darwin a prouvé que les
organismes -autrefois supposés être générés spontanément à partir d’objets inanimés comme des
restes- proviennent en fait de l’air contaminé et non de la nourriture elle-même. En effet, la
stérilisation par « pasteurisation » et le lait pasteurisé dérivent du nom de Pasteur. La vérité est qu’il
est rationnellement réfuté d’imaginer un organisme vivant émergeant spontanément d’objets
inanimés ! Cependant, ils ont insisté pour le tester et quand ils l’ont fait, le mythe a été réfuté
scientifiquement & rationnellement.

2 > Quant à la nature ajoutant de nouveaux traits à un organisme par l’usage et la désuétude –
comme l’exemple du cou de la girafe – c’est aussi un mythe; réfuté par les découvertes de Gregor
Mendel.

Mendel, des années après Darwin, a prouvé que les traits génétiques de la progéniture, quelle que
soit leur variété, n’incluront rien en dehors du pool génétique des ancêtres. Il a également été réfuté
par des découvertes scientifiques en épigénétique qui montrent que des facteurs externes &
environnementaux peuvent modifier la façon dont le matériel génétique est lu dans un organisme;
activer certains traits & en supprimer d’autres, mais ils ne peuvent pas ajouter de matériel génétique
qui n’existait pas en premier lieu.
3 > Quant à l’héritage des traits acquis, c’est un mythe comme le prouve une simple observation. Par
exemple, les muscles qu’un forgeron & un charpentier développent dans leur travail ne sont pas
hérités par leur progéniture. Cependant, les disciples de Darwin ont insisté pour expérimenter cette
hypothèse. Weismann, par exemple, a coupé la queue de 19 générations de souris et de leur
progéniture pour découvrir -après tout ce mal de tête- que la progéniture de ces souris a continué à
faire pousser des queues. En d’autres termes, le trait acquis : la queue coupée, n’a pas été transmise
à la progéniture.
4 > Maintenant, que reste-t-il des piliers de la théorie de Darwin ? Vous direz : « La sélection
naturelle est valide. »
Ma réponse serait que la partie valable de la sélection naturelle n’est ni l’invention de Darwin ni son
idée originale ! Il est bien connu qu’il est plus difficile pour un animal plus faible de s’acclimater à des
conditions environnementales difficiles. Mais la « sélection naturelle » de Darwin va au-delà de cela
pour signifier l’émergence de systèmes biologiques complexes à partir de simples changements
successifs aléatoires.
Voulez vous comprendre ce que la sélection naturelle signifie pour Darwin ? Son imagination
débordante a fait naître l’idée que la nature & « l’usage & la désuétude » donnaient aux ancêtres des
structures physiques simples qui auraient pu apporter certains avantages. Ainsi, la sélection naturelle
les a sauvés sans aucune prévision que l’accumulation de ces structures produirait plus tard un
organe pleinement intégré ; comme l’aile de l’oiseau ou l’œil de l’animal !
Comprendre la logique de Darwin ; imaginez une décharge de ferraille qui est traversée par un grand
nombre d’aveugles et chacun d’eux ramasse au hasard un morceau de ferraille. Ensuite ils entrent
dans un bâtiment par une porte à sens unique qui se ferme après que chaque personne soit entrée.
Des millions d’années passent avec des gens aveugles ramassant de la ferraille et entrant dans le
bâtiment ; où ils finiront par mourir. Un jour, vous ouvrez la porte de l’immeuble et un avion géant
BOEING surgit, piloté par un aveugle et s’envole dans le ciel ! Vous vous demandez : « Comment
l’aveugle a-t-il pu faire l’avion ? » On vous dit qu’il n’avait pas l’intention de le faire mais ce qui s’est
passé, c’est qu’un aveugle avant lui a ramassé un morceau de ferraille utile, a survécu plus longtemps
et l’a transmis à ceux qui l’ont suivi. On a ramassé un tissu qui le protégeait du froid, un autre a
ramassé un morceau de métal qui l’abritait du soleil, un a pris un manche de commande d’avion et
l’a utilisé pour remuer sa nourriture pendant la cuisson, un autre a ramassé une feuille de verre et l’a
utilisé comme bouclier dans sa guerre contre les ennemis aveugles. Ainsi les aveugles de différentes
générations ont transmis de la ferraille à leurs descendants, puis –involontairement et sans
l’intervention d’une personne- les pièces se sont assemblées pour former ce grand avion qui a tout
simplement décollé. N’osez pas entretenir l’illusion que quelqu’un voulait intentionnellement que
l’avion soit construit ou volé !! Dans la même logique, Darwin considérait que la sélection naturelle
rafistolait aveuglément les structures des organismes vivants. Ainsi, par exemple, dire :  «  Les ailes
aident les oiseaux à voler », c’est décrire leur pseudo but ; un but imaginaire, pas réel ! De plus, pour
Darwin, la vue est un pseudo but pour l’œil parce qu’il n’y a pas d’acteur volontaire et intentionnel
qui voulait que l’œil voie ou que l’aile batte. Tout cela résultait plutôt d’accumulations de hasard
aveugle ! C’st la blague de la « sélection naturelle aveugle » que Darwin a inventée. En plus de
paraître absurde pour tout esprit sain, elle a été invalidée par les découvertes scientifiques de la
« complexité irréductible » dans toutes les structures détaillées (d’organismes) et leurs relations.
En d’autres termes, les structures et les organes des organismes vivants sont si complexes et intégrés
que toutes les parties doivent exister en même temps pour que le système fonctionne. Ainsi
l’évolution progressive des différentes parties n’est pas possible même au niveau de la plus petite
unité de la vie : la cellule, que Darwin voyait comme une simple tache sous le microscope de son
époque. La sélection naturelle dépeinte par Darwin est donc aussi un mythe ! Tout s’effondre donc !
Sur de tels mythes -réfutés par l’esprit, les sens & les expériences- Darwin a construit l’idée la plus
ridicule & la plus stupide de l’histoire : que cette création finement réglée & magnifique est venue
par des évènements fortuits & qu’elle ne nécessite aucune connaissance ou sagesse ! Maintenant,
que reste-t-il de la théorie de Darwin ? Ses délires qui ressemblent à une entrée dans un concours
« Wildest imagination » où des scientifiques naturels s’affrontent pour faire rire le public. Ce qui
reste est son imagination qui ressemble à des histoires au coucher du prince grenouille, de la
princesse cygne & des souris de Cendrillon se transformant en beaux chevaux ! *-*
Mais avec un ajout : la conversion en chevaux a demandé beaucoup de temps ! :D
Une imagination qui met des plumes sur des dinosaures chasseurs de moustiques puis ils se mettent
à voler ! Une imagination où un ours noir nageant pendant des heures avec la bouche ouverte pour
avaler autant d’insectes que possible est comparée à une baleine qui ouvre la bouche pour avaler du
poisson & -sur la base de cela : les « similarités »- Darwin a tissé l’histoire d’une baleine évoluant à
partir d’un ours ; comme dans le fac-similé de la première édition de « Sur l’origine des espèces » :

« In North America the black bear was seen by Hearne swimming for hours with widely open mouth,
thus catching, like a whale, insects in the water. Even in so extreme a case as this, if the supply of
insects were constant, and if better adapted competitors did not already exist in the country, I can
see no difficulty in a race of bears being rendered, by natural selection, more and more aquatic in
their structure and habits, with larger and larger mouths, till a creature was produced as monstrous
as a whale. » (Origin of Species, page 184)

Certains pourraient dire : « Mais qu’en est-il des connaissances de Darwin ? Qu’en est-il des
nombreuses observations qu’il a assemblées dans son livre et de l’exactitude de ses observations ? »
Ma réponse est que Darwin était comme un programme avec une grande quantité d’entrées, mais
avec la mauvaise équation pour relier ces entrées, ce qui aboutissait à une mauvaise conclusion ! Par
conséquent, les informations substantielles de Darwin ne lui ont pas été très utiles. Il est très
important de comprendre que ces observations d’oiseaux, de reptiles, d’insectes, etc. ne font pas
partie de la théorie de l’évolution. Nous discutions ici de « la théorie », elle-même que Darwin a
avancée pour expliquer ses observations. En dehors de ses observations & de son invention du terme
« sélection naturelle » -avec un sens erroné -, l’ « innovation » de Darwin était invalide alors que son
entrée valide n’était pas nouvelle. Oui, l’ « innovation » de Darwin était invalide alors que son
entrée valide n’était pas nouvelle !
Par conséquent, c’est une erreur de dire : « La théorie de Darwin a des erreurs. » parce que la théorie
de Darwin est essentiellement une combinaison d’erreurs : des mythes réfutés par l’esprit & la
science, des erreurs logiques & des fantasmes absurdes, pour arriver à la conclusion que l’ajustement
& la précision dans les organismes ne nécessitent pas d’intention, de volonté ou de connaissance ! La
règle méthodologique que nous avons apprise aujourd’hui est la suivante : le mensonge ne peut être
fondé que sur le mensonge. Il ne peut jamais provenir d’une connaissance correcte ou d’un esprit
sain. Où que vous appliquiez cette règle, vous trouverez que c’est vrai. Nous avons ici l’exemple : le
mythe de Darwin selon lequel « les organismes sont le produit du hasard ».

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