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Arnoult
CLASSIFICATION
Histoire, Principes & Méthodes
Introduction:
Les classifications des êtres vivants (ou fossiles) font appel à la taxonomie et à la systématique.
Taxonomie (ou taxinomie): science qui a pour objet de décrire les êtres vivants (ou fossiles), de les
regrouper en entités appelées taxons (niveaux hiérarchiques), de les identifier, de les nommer et enfin de les
classer.
Le mot taxonomie a été proposé en 1813 par les botaniste suisse Augustin Pyramus de Candolle afin de
désigner la science des lois de la classification des formes vivantes.
Systématique: science qui organise le classement des taxons et leur relations. Elle étudie la diversité
biologique et englobe la taxonomie
Chez les grecs, Théophraste, successeur d'Aristoste, laissa une histoire des plantes. Il est considéré
comme le fondateur de la botanique.
Dioscoride laisse un traité de botanique dans lequel il classe les plantes en 5 catégories utilitaires
(aromatiques alimentaires, médicinales, vineuses, vénéneuses)
Pour le monde latin, Pline l'ancien, auteur d'une histoire naturelle en 37 volumes, reprend cette
classification utilitaire (plantes comestibles, plantes vénéneuses)
Jusqu'au 16e siècle, les travaux de ces 3 auteurs étaient la référence mais il s'est avéré que, par exemple,
une même plante pouvait se trouver sous plusieurs noms et inversement, qu'un même nom désigne des
plantes différentes.
Gesner et Camérarius font éclater les classifications existants en classant le plantes par ordre
alphabétique. D'un point de vue pratique, cette classification est inutile. Le seul intérêt fut alors que le travail
des anciens n'était plus considéré comme intouchable et il pouvait être remis en question.
Par la suite, deux grandes logiques furent utilisées pour classer les espèces:
• Logique divisive: elle consiste à prendre l'ensemble des organismes, à le diviser suivant des critères
prédéfinis (donc arbitraires), en répétant cette opération jusqu'à arriver aux espèces. Cette logique
aboutit à chaque étape à un partage dichotomique (exemple: plantes à fleurs et sans fleurs)
• Logique agglomérative: elle consiste à procéder par agglomération, c'est à dire, à considérer des
espèces, les rassembler sur des critères de similarité (donc basés sur des observations) en différents
groupes puis réitérer cette opération e n constituant ses groupes de niveaux supérieurs.
Remarque: dans la classification phylogénétique, le taxon invertébré n'a plus aucune valeur
La logique divisive et la logique agglomérative n'aboutissent pas au même résultat
Logique divisive Logique agglomérative
Critères prédéfinis, arbitraires Critères de similarité observés
Animaux capables de voler Animaux incapables de Animaux munis de poils et Animaux à corps segmenté
dc munis d’ailes voler dc dépourvus d’ailes de mamelles : Souris grise et munis de 6 pattes
Rousette, anneton Souris, Collambole et roussette géante (collambole et insecte)
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John Ray, naturaliste anglais, invente le concept d'espèce selon la ressemblance morphologique des
plantes (sa mère était guérisseuse et connaissait bien les plantes).
Joseph Pithon de Tournefort comprit en 1694 que l'opération fondamentale consistait à réunir les espèces
en genres, il aboutit à la notion des niveaux hiérarchiques (taxons)
Ces niveaux hiérarchiques ont été codifiés par le naturaliste suédois, Carl Von Linné. La classification de
Linné etait fixiste et intégrait le monde vivant et le monde minéral.
Elle était hiérarchique en 7 niveaux car, dans l'esprit de l'époque, il fallait retrouver le chiffre 7, supposé
parfait car d'ordre divin (règne, embranchement, classe, ordre, famille, genre, espèce). Il utilisait la logique
divisive pour les taxons supragénériques et la logique agglomérative pour les espèces et les genres. Depuis
linné, les rangs intermédiaires ont été multipliés. (Sous ordre, infra ordre, super-famille etc.)
De plus, linné mît aussi en place la nomenclature binomiale. Une espèce (vivante ou fossile) est dénommé
habituellement par un nom vernaculaire (exemple: le chat domestique) et scientifiquement par un nom latin
(nom scientifique) constitué de deux termes: le nom de genre (avec une majuscule) et le nom d'une espèce
(exemple: le chat domestique, Felis domesticus). Ce nom s'écrit habituellement en italique.
C'est l'existence d'un nom latin composé de 2 termes (nom générique) et espèce (nom spécifique) qui est
appelé la nomenclature binomiale.
En effet, dans une langue donnée, une même espèce peut porter différentes noms. En outre, deux espèces
différentes peuvent être connues sous le même nom vernaculaire ex: loup animal et poisson.
Les Jussieu définirent le principe de subordination des caractères. Tous les caractères ne sont pas
équivalents, certains sont plus importants que d’autres.
Il vaut mieux définir un taxon par peu de caractères constants partagés par l'ensemble des espèces ainsi
réunies plutôt que par beaucoup de caractères, labiles, qui n'amènent à aucun résultat solide. Ce principe
permit de construire en botanique, une classification performante, considérée alors comme naturelle.
Il fut appliqué aux animaux par Cuvier, à la fin du 18e siècle. Il scinda les animaux en 4 embranchements:
- Anthropoda - Mollusca
- Vertebrata - Radiata
Lamarck donna corps au transformisme (évolution des êtres vivants et hérédité des caractères acquis)
Exemple célèbre du cou de la girafe: Lamarck pense que la fonction de l'organe. La girafe, selon lui, tire sur
son cou pour atteindre les branches des arbres, ce qui provoque l'allongement de ce dernier au fil des
générations.
C'est Darwin, naturaliste anglais, qui introduisit la notion de sélection naturelle pour expliquer l'évolution des
espèces : idée de descendance avec modifications.
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C'est notamment ses observations des pinsons des îles galapagos présentant une variété de taille et de
forme de becs en fonction du régime alimentaire, qui le conduisirent sur la voie de sa théorie de la sélection
naturelle.
D'après Darwin, la ressemblance entre les espèces est due aux caractères hérités d'une espèce ancestrale.
Cette idée que Darwin expose en 1859 dans son célèbre ouvrage l'origine des espèces, est à l'origine de
toute la biologie moderne dont la phylogénie, laquelle à pour objet la recherche de la parents des espèces. Il
en découle que la communauté de descendance est le lien caché qui explique la ressemblance d'espèces
donc le regroupement au sein d'un même taxon.
L'échelle des êtres de Leibnitz, philosophe et mathématicien allemand, édicte un principe de gradation
linéaire conduisant la classification des organismes vivants suivant leur degré de perfection.
C'est une vision linéaire et fixiste qui place l'homme en haut de l'échelle.
Cette idée d'échelle des êtres est solidement ancrée dans notre culture et dans notre esprit et conduit à
certaines innove comptions fausses (obstacles) difficiles à corriger, comme par exemple:
• Anthropocentrisme: selon cette théorie, l'homme est au sommet de l'échelle (le plus évolué). Cela
conduit au maintien de certains grades dans la classification (exemples: procaryotes, invertébrés)
• Finalisme: selon la théorie, l'évolution semble avoir un ou plusieurs buts (par ex: émergence de
l'homme) or de n'est pas le cas, l'évolution n'a pas de but.
Cette idée d'échelle des êtres à d'ailleurs été reprise bien plus tard, par Haeckel, philosophe et biologiste
allemand. Il l'a transformé en un arbre généalogique des êtres vivants au sommet duquel se trouve toujours
l'homme.
Cet arbre traduit néanmoins une idée d'évolution (certains groupes dérivent d'autres groupes) car Haeckel
était un partisan des théories de Charles Darwin (l'origine des espèces) qu'il a d'ailleurs fait connaître en
Allemagne.
Ces théories persistent de nos jours notamment aux États Unis dans la majorité de la population et surtout
chez les sectes protestantes et le créationnisme. Georges Cuvier élabore la théorie de catastrophisme pour
concilier les observations paléontologiques et le créationnisme.
Remarque: le théories scientifiques se succèdent les unes les autres lorsque de nouvelles découvertes
entraînent la formulation de nouveaux concepts
Les contextes culturels, religieux et politiques sont aussi des facteurs importants dans l'apparition d'une
nouvelle théorie scientifique.
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• 1887: néo-lamarckisme: transformisme mais refus de la sélection naturelle comme cause première de
l'origine des nouvelles espèces.
• 1893: néo-darwinisme: Weismann et Romanes: darwinisme modifié retenant le principe de la sélection
naturelle et éclairé par la génétique, et qui manquait à Darwin
• 1900: redécouverte des lois de Mendel chez d'autres espèces végétales et invention du concept de
mutation: Hugo de Vries
• 1910: théorie mutationniste: Vries et Morgan
• 1930-1947: acceptation universelle du néo-darwinisme sous l'intitulé de théorie synthétiques de l’évolution
(néo-darwinisme)
Elle n'est pas tout à fait synthétiques et elle n'intègre pas la biologie du développement, élément majeur de
l'évolution. Elle est l'aboutissement de différents travaux, notamment en:
- Statistique: Fisher
- Systématique: Ernst Mayr (1942)
- Génétique: Donzhanski (1937)
- Biologique: Huxley et Rensch
- Paléontologique: Simpson
Selon cette théorie, certaines mutations génétiques entraînent des changements moléculaires (protéines)
qui sont neutres au regard de la sélection naturelle. Le polymorphisme génétique important observé dans les
populations ne s'accompagne pas d'effets phénotypiques corrélatifs.
• 2000: evolutionary developmental biology (évo-devo). Cette théorie est née suite :
- A l'exposition des découvertes en génétique (gènes de régulation, gènes architectes)
- A l'émergence de la biologie du développement faisant le lien entre le géniture et le phénotype
- Aux récents avancées en paléontologie
espèces se transforment au Sélection naturelle, sélection Mutation / Gene, Reprend théorie Top nombreux pour
cour du temps selon un sexuelle / Séparation précoce des genotype, précédentes en les être cités: code
changement graduel avec cellules sexuelles et somatiques / phenotype / micro et précisant / Sélections génétique,
des chaînons manquants / Pangenese: mécanismes macro evolution. naturelle et sexuelle / transcription, exon,
Environnement qui joue rôle hypothétique conçu par Darwin pour mutation Introns gêne
important / Hérédité des expliquer l'hérédité / Hasard des homéostasie,
caractères (transmission au innovations évolutives homéoboite
descendants
4 niveaux fondamentaux du vivant sont reconnus par à peu près tous les scientifiques:
• Individu: unité matérielle et objective
• Espèce: définition de Mayr, zoologiste américain " une espèce est en population ou un ensemble de
populations dont les individus peuvent effectivement ou potentiellement se reproduire entre eux et
engendre une descendance viable et féconde dans des conditions naturelles
• Population: unité génétique et écologique. Elle comprend tous les individus d'une même espèce qui
dans un lieu donne, sont capables
• Embranchement: taxon d'ordre supérieur. Il est caractérisé par un plan d'organisation qui résume les
grands traits d'une structure anatomique particulière
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Cette classification, qui découle des travaux de Linné, utilise des logiques différentes (divisive,
agglomérative) selon les niveaux. Elle se base sur des critères de similitude (morphologique, anatomique
et embryologiques) qui ne reflètent pas jours une parenté biologique.
• Le oiseaux et beaucoup d'insectes ont des ailes mais elles ne s'inscrivent pas dans un même plan
d'organisation. Elles sont dites analogues (et non pas homologues). Elles correspondent à une adaptation
au vol (fonction commune) reposant sur le même principe (surface portante) mais réalisée différemment.
Elles correspondent à une adaptation au vol (fonction commune) reposant sur le membrane principe
(surface portante) et réalisée quasiment de la même manière (transformation du membre antérieur chiridien
des tétrapodes)
Remarque: chez les oiseaux, les doigts sont courts et la surface portante est assurée par les plumes. Chez
les chiroptères, les doigts sont longs et fins et supportent une paroi tendue entre eux appelée pa...
Romer, paléontologie américain spécialiste des verte tentes, représentait l'arbre vivant sous forme
d'arborescence en bulles. Ces représentations mélangeaient la généalogie (relation d'ancêtres à
descendants) et la phylogenie (relations de parenté: qui est plus proche de qui ?). Ces deux notions
proches ne doivent pas été confondues !!!
Les fossiles connus sont placés chronologiquement à l'endroit supposé où ils constituent les ancêtres
(notion de généalogie) de certains groupes: par exemple: le Cynognathus et l'Archaeopteryx
Les groupes considérés comme apparentés sont placés les uns à côté de autres.
La systématique phylogénétique (cladistique) est fondée par Hening en 1950 (biologiste allemand,
taxinomiste, spécialisé dans les diptères (groupe des mouches et des moustiques)
Cette classification se propose de retrouver les parents évolutives entre espèces en les rassemblent en
groupes monophylétiques ou clades (groupes comportant un ancêtre commun et la totalité de ses
descendants)
PRINCIPE: Classer les êtres vivants en fonction de leur parenté (qui est plus riche de qui ?) en retraçant leur
histoire évolutive
MÉTHODES: Utilisation de caractères homologues (hérédités d’un ancêtre commun); ces caractères peuvent
être de différentes non moléculaires (anatomiques, morphologiques, physiologiques…) et/ou moléculaires
(séquences d’ADN, ARN, AA)
Ces caractères souvent également être polarisés c’est à dire qu’il est d »fini pour chaque caractère un état
ancestral (plésiomorphe) et un état dérivé (apomorphe)
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Un clade étant également défini comme l’ensemble des taxons qui partagent un état d »rivé d’un ou
plusieurs caractères (synapomorphie)
REPRÉSENTATION GRAPHIQUE: arbre phylogénétique ou sont localisé les taxons en bout d ebranche et les
ancêtres communs hypothétiques au niveau des noeuds.
Les arbres phylogénétique sont construits en utilisant le principe de parcimonie (choix de l’arbre le plus
économe en innovations évolutives)
LUCA POCARYOTES
Archaebactéries (Holobacterium sp)
Eucaryotes (Zèbre de burchell)
Les phylogenèse moléculaires rapprochent les archaebactéries des eucaryotes. L’ancêtre commun du vivant
est LUCA (Last Universal Common Ancestor).
Le terme procaryote caractérise des organismes sans véritable noyau maus ne constitue pas un clade (car il
comprend une partie seulement des descendants d’un ancêtre commun): c’est un groupe paraphylétique.
B. Eucaryotes
Les eucaryotes (organismes vivants dont le génome est contenu dans un noyau limité par une enveloppe
nucléaire) sont constitué de 2 clades:
• Bicontes (cellules flagellées à 2 flagelles): Lignée verte + phylums d’unicellulaires chlorophylliens ou
non (certainsa anciens protozoaires)
• Unicontes (cellule à 1 flagelle): Métazoaires, champignons, amoebozoaires et choanoflagellés
Les espèces animales au sens classique forment donc le clade des métazoaires au sein des unicontes.
Dans la classification traditionnelle, les animaux constituaient le règne animal.Ils étaient divisé en 2 groupes:
- Protozoaires: animaux unicellulaires
- Métazoaires: animaux pluricellulaires
C. Métazoaires
Les métazoaires (animaux) sont des organismes pluricellulaires fondamentalement mobiles (environ 1 211
000 espèces connues).
Comme tout clade (groupe monophylétique), les taxons en faisant partie présentent des caractères dérivés
propres (synapomorphies) parmi lesquels:
• Matrice extracellulaire com prenant diverses protéines fibreuses (collagène, fibronectine…)
• Desmosomes
• Spermatozoides munis d’un acrosome (Cellule uniflagelllée: uniconte)
Remarques:
1. Les animaux ne possédant que 2 feuillets embryonnaires séparés par un mésoglée sont biens des
diploblastiques. Leur plan d’organisation est spécifiques (et différent de celui des triploblastiques) MAIS
le terme diploblastique ne correspond pas à un niveau taxinomique (clade) de la classification
phylogénétique.
• EUMÉTAZOAIRES:quasiement tous les autres animaux dont les principaux caractères dérivés propres sont:
- Epithélium reposant sur une lame basale
- Système nerveux développé, avec présence de synapses chimiques
- Cavité digestive tapissée par de l’endoderme
- Gènes Hox (homéogènes) contrôlant le développement
2. CTÉNOPHORES: béroé, ceinture de Vénus, groseille de mer dont les principales apomorphies sont:
• Colloblastes: Structures adhésives regroupées sur des tentacules rétractiles
→ Animaux aquatiques (marins, principalement planctoniques)
- Taille: qq cm à 1,5m
- Nutrition: Carnivore, capture de proies à l’aide de tentacules
- Reproduction: Principalement sexuée(hermaphrodisme dominant)
- Symétrie radiaire
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D. Protostomiens
Schizocoelie: Le coelome se forme par constitution de massifs cellulaires pleins qui se creusent
secondairement de cavités coelomiques
Lophotrochozoaires
synapomorphies=essentiellement caractères moléculaires (gènes ARN 18s etc.)
Ecdysozoaires
synapomorphies= Exosquelette (cuticule) contenant de la chitine
+ Croissance discontinue par mue: renouvellement de la cuticule
Groupe principale: Euarthropodes (1 000 000 espèces) dont les synapomorphies sont:
- Corps métamérisé: constitué de segments parfois fusionnés ex: fourmi rousse des bois (segment corps,
fusion au niveau de la tête)
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- Chaque segment est entouré de plaques squelettiques appelés sclérites articulées entre elles et format
l’exosquelette (cuticule). Il existe trois types de sclérose dont les pleurites (latéral), les sémites (ventral)
et les tergites (dorsal)
- Fondamentalement, une paire d’appendices pluri-articulées par segment (métamère)
D. Deutérostomiens
Entérocoelie: le cœlome forme une poche qui sera détachée du tube digestif
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Principaux groupes:
- Echinides: oursins - Ophiurides: ophiures
- Astérides: étoile de mer - Holothurides: concombre de mer
Vertébrés (52 000)
Poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux, mammifères
(termes pour al plupart issus de la classification traditionnelle)
Dans la classification phylogénétique, que deviennent les groupes classiquement connus de la classification
traditionnelle ?
- POISSONS (30 000): Groupe paraphylétique → Impossible de nommer les poissons d’un seul terme
phylogénétique car ils n’ont pas d’ancêtre commun exclusif proche et direct. Certains d’entre eux (ex:
dipneustes) sont plus proches des mammifères que des poissons classiques → Pas de caractères
dérivés propres. Sinon, On peut dire que ce sont des craniates non tétrapodes
- REPTILES (7000): Groupe paraphylétique → Impossible de nommer les reptiles d’un seul terme
phylogénétique car ils n’ont pas d’ancêtre commun exclusif proche et direct. Certains descendants
(oiseaux) d leur ancêtre sont exclus des reptiles → Pas de caractères dérivés propres