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Cas cliniques de gynécologie

Cas clinique n° 1
Une primigeste à la 28e semaine de grossesse présente une hauteur uté- d. coelioscopie
rine à 24 cm, les bruits du cœur sont présents, le col est long et fermé, la e. caryotype
pression artérielle est à 15/9 et on note une albuminurie à 1g/24h. la
patiente est hospitalisée et au cours de la surveillance , on constate ne 3- quelles sont les anomalies biologiques favorables au diagnostic
élévation de la pression artérielle 18/10 et une augmentation de l’albumi a. hyperprolactinémie
b. hypoestrogénie
nurie. A la 34e SA, la hauteur utérine est à 27 cm, le fœtus est en siège, la
c. hyperandrogénie
PA est instable et l’enregistrement des BCR montre un tracé plat.
d. test au progestatifs positif
1- Parmi les examens biologiques suivant, le quel aurait été le plus utile e. réponse explosive de LH à la LH-RH
pour prévoir les complications ultérieures :
a. créatininémie 4- parmi les traitement suivants lequel ou lesquels sont utiliser pour
b. urée sanguine traiter ce trouble de cycle :
c. uricémie a. estroprogestatifs normodosés (Stédiril®)
d. cholestérolémie b. microprogestatifs (Microval®)
e. glycémie c. dexaméthasone
d. bromocriptine (Parlodel®)
2- Quel(s) traitement(s) aurait du être débuter à la consultation de la 28 e e. acétate de cyprotérone (Androcur®)
SA : ≥

a. régime sans potassium 5- lequel parmi les traitements suivants est le mieux adapté pour le trai-
b. anxiolytiques tement de l’hirsutisme :
c. repos au lit a. estroprogestatifs normodosés (Stédiril®)
d. régime sans sel b. microprogestatifs (Microval®)
e. hypotenseurs c. dexaméthasone
d. spironolactone (Aldactone®)
3- quels sont les deux examens qui permettent de dépister une souffrance e. acétate de cyprotérone (Androcur®)
fœtale :
a. échographie fœtale 5- parmi les traitements suivants, lequel est utilisé en première intention
b. dosage de l’œstriol urinaire en cas de désir de grossesse :
c. dosage de prégnandiol urinaire a. citrate de clomifène (Clomid®)
d. enregistrement du rythme fœtal b. acétate de cyprotérone (Androcur®)
e. dosage des ß-hCG c. bromocriptine
d. résection cunéiforme des ovaires
4- lors de la consultation de la 34e SA,que propose vous : e. dexaméthasone
a. césarienne en urgence
Cas clinique n° 3
b. poursuite de la grossesse avec surveillance rapprochée
Mme M est enceinte pour la deuxième fois. En raison d’une macrosomie
c. accouchement par voie basse en urgence avec déclenchement lors de sa première grossesse, un contrôle de la glycémie est pratiqué en
d. antihypertenseurs et repos au lit début de grossesse et revient normal. A 24 SA la prise de poids est de 10
e. vasodilatateurs pour améliorer la circulation placentaire Kg, le test de O’Sullivan montre une glycémie à 1.60g/l. Antécédents
familiaux : diabète paternel.
Cas clinique n° 2
Mme A âgée de 27 ans, consulte pour aménorrhée secondaire de 08 mois. 1- Quel examen va faire le diagnostic de diabète gestationnel
Elle a été réglée à l’âge de 13 ans et a présentée ensuite une spanio mé- a. hyperglycémie provoquée avec 75 g de glucose
norrhée. A l’examen clinique : poids = 65Kg, taille = 1,65m. On retrouve b. hémoglobine glycosylée
un hirsutisme apparu à la puberté et s’aggrave lentement depuis. Au TV c. glycémie post-prandiale
on palpe deux gros ovaires indolores. Les résultats du bilan hormonal d. fructosaminémie
sont les suivants : prolactinémie (12ng/ml), estradiol (100 ng/ml), testosté- e. cycle de glycémie veineuse sur 24 heures
rone (0.80ng/ml), test de stimulation par la LH-RH : LH passe de 6 à 36,
2- Le diagnostic de diabète gestationnel est confirmé, quelle (s) anomalie
FSH passe de 2 à 6. La prise du Duphaston entraîne une hémorragie de
liée au diabète peut être dépistée à l’échographie :
privation.
a. macrosomie
1- Quel est le diagnostic le plus probable : b. anomalie du tube neural
a. adénome à prolactine c. malformations cardiaques
b. ménopause précoce d. hydramnios
c. aménorrhée psychogène e. malformations urinaires
d. syndrome de Stein Leventhal
e. syndrome de Kallman de Morsier 3- Quels sont les risques sur la grossesse :
a. HTA gravidique
2- Parmi les examens complémentaires suivants, lequel est le plus utile b. infection urinaire
pour confirmer le diagnostic : c. menace d’accouchement prématuré
a. courbe thermique d. mort fœtale
b. dosage de la 17-OH progestérone e. accouchement dystocique
c. échographie endovaginale

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5- Sous régime bien suivi, les glycémies capillaires pré et post-prandiales Mme M, âgée de 21ans consulte pour des douleurs pelviennes bilatérales,
sont les suivantes : 0.80 g/l, 1.50, 1.20, 1.80, 1.10 et 1.70. Quelle est votre elle signale des métrorragies peu abondantes depuis 24h. Ces dernières
attitude : règles datent de 20j. ATCD : vaginite à trichomonas, curetage. A l’examen
a. continuer le même régime clinique : palpation abdominale sensible sans défense ; T°C = 37,6 ; leu-
b. diminuer les rations caloriques et glycémiques corrhées mêlées de sang et cervicite. Au TV, mobilisation utérine sensible
c. prescrire un sulfamide hypoglycémiant et douleur provoquée au niveau des CDS vaginaux ; NFS normale.
d. instituer une insulinothérapie à 2 injections NPH/j
1) Quel est le diagnostic de différentiel qu’on doit l’éliminer :
e. instituer une insulinothérapie à 3 injections/j d’insuline ordinaire avant
a. appendicite aiguë pelvienne
les repas et une insuline intermédiaire le soir.
b. nécrobiose aseptique d’un fibrome
c. grossesse extra-utérine
6- La patiente arrive au terme de 34 SA avec un équilibre glycémique
d. torsion d’un kyste de l’ovaire
satisfaisant, les mensurations fœtales sont au 70e percentile, quels élé-
e. endométriose
ments de surveillance seront pratiqués :
a. comptabilisations des mouvements actif fœtaux 2) Quels sont les facteurs de risque de salpingite aiguë :
b. RCF a. jeune âge
c. radiopelvimétrie b. rapport sexuel précoce
d. uricémie c. contraception ostroprogestatif
e. amniocentèse pour testerla maturité pulmonaire d. antécédents de curetage
e. antécédents de MST
7- Quelles sont les propositions exactes :
a. allaitement contre-indiqué 3) Parmi les examens suivants, lequel peut affirmer le diagnostic :
b. le risque de survenu de diabète à 10an est de 30% a. échographie pelvienne endovaginale
c. la contraception oestroprogestatif est contre indiquée ultérieurement b. prélèvement bactériologique au niveau du col
d. la contraception microprogestative est contre-indiquée c. sérologie du Chlamydia
e. une troisième grossesse est déconseillée d. cœlioscopie
e. dosage de l’hCG plasmatique
Cas clinique n°4
Une patiente de 45 ans, consulte pour douleur pelvienne évoluant depuis 4) Quels sont les germes le plus fréquemment en cause :
a. chlamydia
48h dans un contexte fébrile à 38°C. A l’examen, il existe une douleur sus-
b. gonocoque
pubienne sans défense, un utérus augmenté de volume et douloureux à la
c. germes anaérobies
mobilisation, une absence de leucorrhées. La bandelette urinaire est
d. streptocoque B
négative.
e. entérobactéries
1- quel (s) diagnostic évoquez vous :
a. pyélonéphrite aiguë 5) Parmi ces propositions qui concerne la coelioscopie les quelles sont
b. salpingite aiguë exactes :
c. appendicite aiguë a. son indication est formelle dans les formes compliquées de salpingite
d. nécrobiose aseptique du fibrome utérin avec signes d’irritation péritonéale.
e. cholécystite aiguë b. elle est contre-indiquée en cas de récidive de salpingite
c. la présence d’adhérences inter-hépatico-diaphragmatique est en faveur
2- Quels examens morphologiques réalisez vous :
d’une origine chlamydienne
a. échographie rénale
d. la visualisation de pyosalpinx est en faveur d’une infection à germes
b. échographie pelvienne
banals.
c. urographie intraveineuse
e. la présence d’adhérences péritubo-ovarienne est en faveur d’une infec-
d. abdomen sans préparation
tion par la Chlamydia
e. hystéroscopie diagnostique
6) parmi les pathologies suivantes, laquelle ne peut compliquer une
3- on suspecte, une nécrobiose aseptique de myome utérin, quelle est la
salpingite
localisation utérine la plus fréquente d’un myome entraînant une nécro-
a. stérilité tubaire
biose aseptique :
b. grossesse extra-utérine
a. myome sous muqueux antérieur
c. dystrophie ovarienne macro-polykystique
b. myome sous muqueux postérieur
d. endométriose
c. myome interstitiel isthmique
e. abcès de l’ovaire
d. myome interstitiel postéro-latéral gauche
e. myome sous-séreux pédiculé 7) Quel est le traitement approprié (s) sachant qu’il s’agit de salpingite à
4- quel est l’aspect échographique pathognomonique de cette pathologie : chlamydia
a. lacune irrégulière intra-myométriale a. coamoxiclav 2 semaines et tétracycline 6 semaines
b. image en cocarde avec hyperéchogénécité centrale et halo périphérique b. coamoxiclav 2 semaines et ofloxacine 6 semaines
c. aspect rigide des trompes en fil de fer c. traitement du conjoint par streptomycine
d. salpingostomie et drainage par cœlioscopie
d. image annexielle avec fins échos hyperéchogènes
e. déclaration obligatoire
e. lacune irrégulière intracavitaire.

5- quel (s) traitement proposez vous :


a. AINS Cas clinique n°6
b. antalgique (paracétamol) Mme A, âgée de 45ans et mère de 2 enfants, consulte pour une pesanteur
c. antibiotique pelvienne ressentie depuis 2 mois. Elle a des cycles réguliers, elle a une
d. antispasmodique contraception par DIU depuis12 ans. TV : utérus antéversé de taille
e. myomectomie en urgence normale, au niveau du CDS vaginal gauche on perçoit une masse indo-
lore fixée. Echographie : masse de 6 cm de diamètre de structure inhomo-
Cas clinique n° 5

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gène avec au sein d’une formation liquidienne des végétations groupées e. une appendicite
en amas. Le dosage de CA125 est de 80 UI/ml.
2) La cœlioscopie montre : (RM)
1) Parmi les pathologies suivantes laquelle (s) s’accompagne d’une éléva- a. Un foie granulomateux
tion de CA125 : b. Des adhérences entre le foie et le diaphragme
a. kyste endométriosique c. Des trompes rouges et inflammatoires
b. kyste dermoïde d. Un appendice nécrosé
c. salpingite aiguë e. Une grossesse extra-utérine
d. cystadénocarcinome séreux
e. cirrhose du foie 3) Parmi les examens positifs, lesquels sont positifs : (RM)
a. Transaminases
2) Les facteurs de risque de cancer de l’ovaire sont : b. ECBU des urines
a. ménarche précoce c. ECB des sécrétions cervicales et vaginales
b. ménopause tardive d. Sérologie chlamydia
c. prise d’une contraception œstroprogestative > 10 ans. e. Dosage hCG
d. multiparité
e. infertilité 4) Quel antibiotique est actif sur ce germe (RM)
a. spectinomycine
3) Vous suspectez un cancer de l’ovaire, quel examen allez vous pratiquer b. oxacilline + gentamycine
en priorité afin de confirmer le diagnostic c. coamoxiclav + ofloxacine
a. scanner abdomino-pelvien d. ampicilline + gentamycine + métronidazole
b. ponction du kyste pour étude cytologique e. coamoxiclav + cycline + métronidazole
c. IRM abdomino-pelvienne
d. cœlioscopie de première intension 5) Avec les antibiotiques on prescrit :
e. laparotomie de première intension a. traitement chirurgical à chaud
b. AINS
4) Quelle est la stratégie thérapeutique c. la pilule
a. incision médiane sous ombilicale d. le repos
b. prélèvement cytologique péritonéal e. traitement du conjoint
c. annexectomie unilatérale gauche
d. omentectomie CAS CLINIQUE N° 8
e. curage ganglionnaire lombo-aortique Mme H âgée de 23 ans enceinte pour la première fois et qui consulte chez
5) Quelle est la classification FIGO dans le cas suivant : envahissement vous pour suivie de grossesse (elle n’a jamais fait de sérologie)
ganglionnaire iliaque, atteinte de l’épiploon 1) Quels sont les examens qu’il faut faire dans les 15 premières SA
a. stade I C a. sérologie de la syphilis
b. stade II B b. sérologie de toxoplasmose et de rubéole
c. stade II C c. sérologie VIH
d. stade III B d. glycosurie, albuminurie
e. stade III C e. groupage ABO, Rhésus

6) Parmi les traitements suivant lequel est utile après la chirurgie : 2) La sérologie toxoplasmique est négative, quel recommandation il faut
a. chimiothérapie lui faire :
b. hormonothérapie a. Supprimer la consommation de la viande
c. curiethérapie endovaginale b. Supprimer la consommation du cresson sauvage
d. radiothérapie externe c. Se laver les mains avant les repas
e. aucun des ces traitements d. Laver soigneusement les aliments mangés crus
e. Eviter de changer la litière de son chat
7) L’histologie a confirmée que c’est un adénocarcinome séreux peu
différencié, sur quel élément (s) repose la surveillance évolutive. 3) Quelles sont les réponses exactes concernant la toxoplasmose
a. CA125 a. L’atteinte embryonnaire est rare au cours du premier trimestre
b. CA15 b. L’atteinte de l’enfant est particulièrement grave en fin de grossesse
c. CA19-9 c. L’infection fœtale est bénigne en fin de grossesse
d. ACE (Ag carcino-embryonnaire) d. Les lésions oculaires sont systématiques en cas de contamination
e. scanner abdomino-pelvien précoce
e. Le traitement de la mère par spiramycine supprime tout risque pour
Cas clinique n° 7 l’enfant
Une jeune femme âgée de 22 ans est hospitalisée pour des douleurs de
l’hypochondre droit d’apparition brutale. Elle se plaint également de 4) La sérologie de toxoplasmose se positive à la 20 e SA, quelle attitude
douleurs pelviennes spontanées bilatérales apparues il y a 3 semaines thérapeutique adopter :
augmentées par les rapports sexuels. Le TV réveille une douleur vive à la a. Abstention thérapeutique
mobilisation de l’utérus et à la palpation des annexes. Le VS est à 45 mm b. Spiramycine
la première heure, leucocytose à 9000. Elle a reçu un traitement par ampi- c. Pyriméthamine
cilline pendant 8 jours, sans enquête bactériologique. Après une courte d. Sulfadoxine-pyriméthamine
amélioration les douleurs sont réapparues. e. Cotrimoxazole

1) Les signes cliniques et biologiques évoquent (RM) 5) Quels examens à prévoir pour l’enfant à la naissance :
a. une hépatite a. Examen neurologique
b. une cholécystite b. Radiographie du crâne
c. une périhépatite (syndrome de Fitz-Hugh-Curtis) c. Fond d’œil
d. une salpingite d. Hémoculture
e. Sérologie de toxoplasmose sur sang du cordon

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6) Dans le cas ou le nouveau-né présente une lésion de choriorétinite au
Cas clinique n°8 FO le traitement de base par Rovamycine puis Rovamycine-Fansidar,
Une jeune femme de 27 ans a accouché il y a 6 mois, dans des conditions pendant combien de temps il doit être poursuivi :
normales. Elle n’a pas allaité et consulte pour absence de retour de a. 6 mois
couches. L’examen met en évidence un utérus de volume normal. Au b. 12 mois
niveau mammaire, il existe une galactorrhée. c. 24 mois
d. Jusqu’à abaissement des titres sérologique à des niveau faible, avec
1) Quelles sont les caractéristiques de la galactorrhée du syndrome
cicatrisation des lésions oculaires
aménorrhée-galactorrhée :
e. Jusqu’à la négativation des titres sérologiques
a. Bilatérale
b. Multipore
c. Séreuse Cas clinique 10
d. Lactescente Une femme enceinte de 8 mois, mal surveillée pendant la grossesse est
e. Sanglante hospitalisée pour hématome rétroplacentaire. Parmi les examens biolo-
giques, le bilan d’hémostase est le suivant : temps de Quick : 45%, TCA :
2) Quels sont les médicaments responsables d’un syndrome 42s (T : 32s), V : 40%, fibrinogène (o,50g/l), plaquettes (110000 mm 3)
d’aménorrhée-galactorrhée :
1) Quel est le diagnostic le plus probable de ce trouble de coagulation
a. Dogmatil® (sulpiride)
a. Déficit en vitamine K
b. Tagamet® (cimétidine)
b. Hépatite fulminante
c. Primpéran® (métoclopramide)
c. Fibrinolyse aiguë
d. Lasilix® (furosémide)
d. Thrombocytopénie par hémodilution
3) En dehors d’un microadénome à prolactine, quelles sont les autres e. Coagulopathie de consommation
causes :
2) Quels examens vont confirmer le diagnostic
a. Hydrocéphalie
a. Dosage du facteur de Willebrand
b. Tumeur de la poche de Rathke
b. Dosage du facteur antihémophilique
c. Microadénome hypophysaire
c. Dosage des PDF
d. Adénome du sein
d. Recherche des complexes solubles (test à l’éthanol)
e. Insuffisance rénale
e. Mesure du temps de saignement

Cas clinique n°9 3) On craint une hémorragie de la délivrance, quel élément du bilan
d’hémostase peut prévoir ce risque plus que d’autres :
Une jeune de 32 ans, présente une séroconversion de toxoplasmose
a. Thrombopénie à 110000/mm3
durant sa grossesse (6e mois). L’examen clinique est normal, présence
b. Fibrinogène à 0.50g/l
d’asthénie depuis 3 semaines.
c. L’allongement du TCA
1) Les symptômes suivants sont en faveur d’une toxoplasmose inva- d. Taux d’accélérine à 40%
sive sauf une : e. Taux de prothrombine à 45%
a. Fébricule persistant
b. Exanthème fugace 4) Quel traitement est indiqué pour prévenir ce risque
c. Adénopathies cervicales a. PPSB
d. Asthénie sévère b. Antifibrinolytique
e. Amblyopie c. Héparine standard
d. PFC + fibrinogène
2) Le titre de 400UI avec présence d’IgM spécifiques permet de penser e. Perfusion de plaquettes
que la date de contamination présumée remonte au :
a. 1er mois de la grossesse 5) Quels sont les examens les plus utiles pour surveiller l’efficacité biolo-
b. 2e mois de la grossesse gique du traitement prescrit :
c. 3e mois de la grossesse a. Mesure du temps de saignement
d. 4e mois de la grossesse b. Dosage de l’antithrombine III
e. 5e mois de la grossesse c. Temps de Quick
d. Temps de céphaline activé
3) Parmi les traitements suivants, lequel est approprié : e. Détermination de l’héparinémie circulante
a. Fansidar® (pyriméthamine + sulfadoxine) 3 cp/semaine
b. Bactrim® (cotrimoxazole) 4 cp/j
c. Rovamycine® (spiramycine) 2 cp/j Cas clinique 11
d. Rovamycine® 6 cp/j Primipare à 19 SA, DDR 27/09/85. Sérologie toxoplasmique négative le
e. Adiazine® (sulfadiazine) 02/12/85 ; 2e sérologie 5 semaines après positif et augmentation des titres
des Ac 1 mois plus tard.
4) Lorsque la jeune femme accouchera, le bilan néonatal doit comporter :
1) La contamination s’est faite le plus probablement :
a. Sérologie mère et sang du cordon
a. Avant la grossesse
b. Bilan biologique hépatique
b. Au mois de novembre
c. Radiographie du crâne
c. Dans la première moitié de décembre
d. Inoculation à la souris du placenta…
d. Dans la deuxième moitié de décembre
e. Radiographie du rachis
e. Dans la première quinzaine de janvier
5) Sur quel élément on peut éliminer une infection congénitale :
2) A cette période de grossesse (19 SA)
a. Inoculation à la souris négative
a. Le risque de toxoplasmose congénital est nul
b. Evolution normale de la courbe du poids et du périmètre crânien
b. Le risque de toxoplasmose congénital est faible < 10% mais grave
c. Absence de toute lésion au FO à l’âge d’un an
c. Le risque de toxoplasmose congénital est important (80%) et grave
d. Négativation de la sérologie au cours de première année
d. Le risque de toxoplasmose congénital est faible < 10% bénin
e. Absence de signes cliniques à la naissance

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e. Le risque de toxoplasmose congénital est important (80%) mais bénin 1) Quels sont les examens indispensables avant tout traitement tocoly-
tique par les ß-mimétiques :

3) Il faut dans un premier temps proposer : RM


a. Ionogramme sanguin
a. Une amniocentèse pour inoculation à la souris
b. Auscultation cardiaque de la mère
b. Proposer une ponction du sang du cordon
c. Monitoring fœtal
c. Mettre la patiente sous spiramycine pendant 1 mois
d. NFS
d. Prescrire une échographie fœtale
e. Recherche des RAI
e. Prescrire Rovamycine® 9MU/j jusqu’à l’accouchement
2) Le traitement par ß mimétique est contre-indiqué en cas :
4) A l’échographie fœtale on recherche particulièrement les anomalies a. Infection urinaire
suivantes : b. Anémie
a. Une communication interventriculaire c. Trouble du rythme cardiaque maternel
b. Une absence de différenciation sexuelle d. Hydramnios
c. Une dilatation des ventricules cérébraux e. Hypothyroïdie
d. Une ascite
e. Des calcifications intracrâniennes 3) Quel est le bilan biologique devant cette menace :
a. Echographie
5) Quel examen est demandé à l’accouchement pour le nouveau-né : b. ECBU
a. Fond d’œil c. Dosage de l’uricémie
b. Echographie transfontanellaire d. VS
c. Ponction lombaire e. Amnioscopie
d. Potentiels évoqués
e. Echocardiogramme 4) En met en évidence une infection urinaire à E. coli, cette infection est
considérée comme :
a. Un élément pathologique intercurrent
Cas clinique 12 b. Un facteur déclencheur possible
Une primipare enceinte de 30 SA sans antécédents particulier, consulte c. Un élément conduisant à discuter le traitement par ß mimétique
pour œdème des membres inférieurs et céphalées depuis 3 jours ; TA : d. Un élément conduisant à déclencher l’accouchement sans tarder
170/110 mmHg e. Un facteur de risque néonatal
1) Quel syndrome est suspecté :
5) Au bout de 24h on associe au ß mimétique l’Utrogestan® (progesté-
a. Œdème physiologique en fin de grossesse
rone naturelle), cela a pour but :
b. HTA labile habituelle en fin de grossesse
a. D’augmenter la croissance fœtale en augmentant la perfusion placen-
c. Syndrome néphrotique
taire
d. Hypertension artérielle gravidique
b. D’augmenter la maturation pulmonaire
e. Eclampsie
c. De diminuer la contractilité de la fibre musculaire lisse
2) Quels sont les éléments de gravités qu’il faut rechercher d. D’améliorer la diurèse maternelle
a. Acouphène e. De mûrir le col utérin
b. Phosphènes
c. Céphalées Cas clinique 14
d. Prurit généralisé
Une primigeste, sans antécédents particuliers, enceinte de 28 SA, con-
e. Douleurs épigastriques
sulte pour douleurs lombaires gauches avec irradiations inguinales
3) Quels examens biologiques on demande systématiquement : accompagnées de frissons, puis d’une fièvre à 39°C et de quelques vomis-
a. Protéinurie des 24 heures sements. La hauteur utérine est de 27 cm. Il existe des contractions uté-
b. Uricémie rines régulières. Les BCF sont réguliers à 150 battements/min, le col n’est
c. Enzymes hépatiques pas modifié. La présentation céphalique est fixée. Sur le plan maternel le
d. Créatinémie pouls est à 138 battements/min. La TA est à 13/08, la prise de poids est de
e. plaquettes 8kg ; au Multistix® : protéinurie + et nitrite +
1) Que présente cette malade
4) Quelle est la décision qu’il faut prendre :
a. Colique néphrétique
a. Une hospitalisation avec surveillance fœto-maternelle
b. Pyélonéphrite aiguë
b. La surveillance de la diurèse
c. Toxémie gravidique
c. La mise en route d’un traitement antihypertenseur
d. Hématome rétroplacentaire
d. Une césarienne en urgence
e. Embarras gastrique fébrile
e. Un déclenchement sous péridurale
2) Quels examens paraît-il important de les réaliser rapidement :
5) Quels sont parmi ces paramètres les signes de gravité :
a. Hémoculture
a. Hyperuricémie
b. ECBU
b. Oligoanurie
c. Echographie fœtale
c. Protéinurie > 5g/24h
d. UIV
d. Hyperplaquettose
e. Radiographie pulmonaire
e. Hypocalcémie
3) Quels sont les facteurs favorisant cette pathologie chez cette femme
Cas clinique 13 a. Sécrétion de progestérone en grande quantité
Une patiente âgée de 25 ans primipare enceinte de 32 SA présente une b. Sécrétion d’œstrogènes en grandes quantités
menace d’accouchement prématuré. On note des contractions utérines c. Position du fœtus dos à gauche
douloureuses, régulières. Le col utérin s’est modifié (court et largement d. Glycosurie éventuelle
perméable au doigt). Il n’existe pas d’écoulement de liquide. La crois- e. Anomalie rénale préexistante
sance fœtale est normale et la TA est à 12/08. 4) Quel est le traitement adéquat :

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a. Ampicilline Une primigeste âgée de 35 ans, a eu une grossesse normale jusqu'à 37 SA.
b. Macrolide Elle consulte pour céphalées pulsatiles. Elle a des antécédents de cystite à
c. Quinolone de 3e génération répétition avant la grossesse. Elle se plaint depuis 24h de douleurs épi-
d. Sulfamide gastriques violentes et quelques troubles visuels. HU = 31 cm, BCF bien
e. Furane perçus, présentation céphalique en gauche engagée, le col est court,
ramolli perméable au doigt. Elle présente des œdème récents, mais la
5) Quelles complications sont à craindre chez cette patiente : prise de poids et normale (+8 kg), TA : 150/90 et il existe une protéinurie à
a. Accouchement prématuré
2g/l.
b. Choc infectieux
c. Eclampsie 1) Cette femme présente :
d. Hématome rétroplacentaire a. Une HTA gravidique
e. Chorio-amniotite b. Une toxémie légère
c. Une toxémie sévère
6) Après l’accouchement, quel est l’examen qu’il faut prescrire d. Une néphropathie interstitielle
a. UIV dans le post-partum immédiat e. Une récidive d’infection urinaire
b. UIV 4 mois après l’accouchement
2) Quelle est la conduite à tenir :
c. Recherche de BK et compte d’Addis
a. Hospitalisation immédiate
d. Hystérosalpingographie
b. Prescription d’examens biologiques et nouvelle consultation
e. Rien si la patiente à répondue au traitement
c. Arrêt du travail, sédatifs, consultation après 24h
d. Prescription d’hypotenseurs
Cas clinique 15 e. Prescription d’aspirine et nouvelle consultation quelques heures plus
Mme L G3 P2 se présente à la maternité à 38 SA et demie. Le col est mi- tard
long, dilaté à 2 doigts ; les contractions utérines sont régulières depuis 2
3) Quels sont les examens à faire en première intension
heures. Le travail débute ensuite et 6 heures plus tard la patiente est à 7
a. Un bilan ophtalmologique
cm de dilatation. La surveillance du travail est normale, la présentation
b. Une échographie obstétricale
met du temps à s’engager en occipito-iliaque droite postérieur mal fléchie
c. Une fréquence cardiaque fœtale
malgré les contractions de bonne intensité. L’expulsion est lente mais
d. Une créatininémie et une uricémie
spontanée, en occipito-pubien, sans épisiotomie, d’un enfant en bonne
e. Une électrophorèse des protides
santé pesant 3,5Kg. La suite est normale
1) Cet accouchement est considéré : 4) On envisage :
a. Prématuré a. Une mise en observation
b. A terme b. Le déclenchement de l’accouchement
c. Naturel c. Une césarienne, rapidement
d. Eutocique d. Une étude des catécholamines
e. Spontané e. Une ponction biopsie rénale

5) Quels sont les traitements qu’on peut les utiliser :


2) Pour parler de début du travail quel élément manque à l’entrée de a. IEC
patiente (RM) b. Diazoxide
a. La rupture des membranes c. Alpha méthyldopa
b. Les contractions utérines efficaces d. Bêtabloquants
c. La perte du bouchon muqueux e. Indométacine
d. Les modifications cervico-isthmique
e. Une présentation engagée 6) Quels risques court cette patiente :
a. Eclampsie
3) Quels éléments expliquent la lenteur de l’engagement b. Hématome rétroplacentaire
a. Présentation céphalique postérieur c. HTA chronique
b. Une flexion imparfaite de la présentation d. Placenta prævia
c. La nécessité d’une rotation importante e. Accouchement prématuré
d. Une disproportion fœto-pelvienne
e. Un défaut d’intensité des contractions
Cas Clinique 17
4) Quel élément le plus important permet d’expliquer la lenteur de la 2 e Une primipare de 25 ans présente une métrorragie à 10 SA, elle avait un
phase du travail test de grossesse positif 3 semaines auparavant. Au TV l’utérus corres-
a. Une expulsion très douloureuse pond à une grossesse de 2 mois, le col est fermé et il n’y a ni douleur ni
b. Une éventuelle anesthésie péridurale masse annexielle.
c. Une flexion imparfaite de la présentation 1) Quel est le diagnostic le plus probable :
d. Une disproportion fœto-pelvienne a. Menace d’avortement
e. La nécessité d’une rotation importante b. Môle hydatiforme
c. GEU
5) La délivrance est normale car
d. Cancer du col
a. La durée est normale
e. Fibrome
b. Non hémorragique
c. Dirigée 2) Toutes les manœuvres utérines sont indiquées sauf une :
d. Spontanée a. Examen au spéculum
e. Le placenta est complet b. Badigeonnage du col à l’acide acétique
c. Colposcopie
Cas Clinique 16 d. Frottis cervical
e. Frottis de l’endomètre

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3) Pour vérifier la vitalité fœtale on demande avant tout :
a. Dosage des prolans
b. Dosage de l’estriol
c. Dosage de la prolactine
d. Echographie
e. Monitoring cardiaque fœtal

4) Quels thérapeutique choisir quand l’enfant est vivant :


a. Bêtamimétiques
b. Cerclage du col
c. Dilatation du col
d. Curetage
e. Surveillance simple

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