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Exercice III.1 : Dans les piles à combustible, il est préférable de maintenir la surface de
membrane électrolyte à une température uniforme. Cela est particulièrement vraie quand
les membranes sont fabriqués de matériaux à base de céramique fragile ou cassant pour
des piles fonctionnant à haute température. Les membranes électrolytes génèrent d’énergie
thermique (due aux réactions électrochimiques) et sont refroidis par des courants de gaz sur
leurs surface supérieures (notée 1) et inférieure (notée 2). Le concepteur de pile pourrait
définir les écoulements sur les deux surfaces dans la même direction, dans des directions
opposées ou dans des directions orthogonales. Dans une étude préliminaire de l’effet des
directions relatives de l’écoulement on considère une plaque très mince (150 mm × 150 mm,
de même matériau de membrane) et produisant un flux thermique uniforme de 100 W/m2 ,
refroidie (aux surfaces 1 et 2) par l’air ( dont la température et vitesse de courant libre
sont respectivement 25◦ C et 2 m/s).
(b). Tracer la distribution de température de la surface T (x) pour des cas d’écoulements
dans des directions opposées et dans la même direction. Notez que les contraintes
thermiques sont indésirables et sont reliées aux gradients spatiales de température le
long de membrane. Quelle est la configuration qui minimiserait les gradients spatiales
de températures ?
1
Ces exercices sont tirés de Chapitre 7 du livre :
Incropera, Dewitt, Bergman, Lavine, Fundamentals of heat and Mass Transfer, Wiley
supérieure de tôle. Un arrangement standard est utilisé pour déclencher une couche limite
turbulente sur toute la surface.
L x, −
→
x To
Ti
Air
b −V −
→
x
U∞ −
→
x,
Alliage T∞
d’Aluminium
Promoteur,
δ
déclencheur
V de turbulence
Volume
du pot
Dp = 30 µm
Métal liquide
à souder
Ajutage
Azote
V, T∞ = 30 ◦ C
Azote
Chambre
à recueillir
les billes
(b) Le dispositif piézoélectrique oscille à 1,8 kHz et produit 1800 particules par second.
Déterminer la distance de séparation entre les particules lors de leur passages dans
l’azote. Déterminer aussi le volume du pot nécessaire pour une production sur une
semaine.
On se donne les propriétés suivantes pour l’Azote à Tf ≈ (Ti +T∞ )/2 = (225◦ C+30◦ C)/2 =
127, 5◦ C ≈ 400 K :
ρ = 0, 8425 kg/m3 , ν = 26, 16 × 10−6 m2 /s,
à T s = (225◦ C + 183◦ C)/2 = 205◦ C = 477 K:
µs = 248 × 10−7 N.s/m2 ,
et à T∞ = 30◦ C = 303 K :
ρ = 1, 1233 kg/m3 , ν = 15, 86 × 10−6 m2 /s, λ = 0, 0259 W/m.K,
µ = 178 × 10−7 N.s/m2 , P r = 0, 716.
(b) Après un fonctionnement à temps suffisamment long, toute l’eau est évaporée de la
plaque dont la surface devient sèche. Estimer la température de la plaque pour les
mêmes conditions de courant libre et même puissance électrique de question (a).
Schématique :
ϕs = 100 W/m2
L = 150 mm
Air
U∞ = 2 m/s
T∞ = 25◦ C
m
m
0
y =
15
L
Hypothèses :
1. Régime permanent.
3. Propriétés constantes.
Propriétés :
De tableau des propriétés de l’air à T ≈ 323 K : ν = 18, 20×10−6 m2 /s, λ = 0, 0280 W/m.K,
P r = 0, 704.
Analyse :
U∞ L 2 m/s0, 15 m
ReL = = = 1, 65 × 104
ν 8, 20 × 10−6 m2 /s
N ux = 0, 453Re1/2 P r1/3
On apr la suite,
ϕs 1/2
ϕs = hx (Ts − T∞ ) =⇒ Ts − T∞ = x (1)
Cq
Tmin = T∞ = 25◦ C
y est théoriquement infini, et toute la chaleur générée sera évacuée vers cet
écoulement. La situation opposé aura lieu en x = L.
Nous délimitons la solution par considérant les correlations pour une température
1/2 1/2
uniforme (N ux = 0, 332Rex P r1/3 ) et pour de flux thermique uniforme (0, 453Rex P r1/3 ).
dans les deux cas, le coefficient de transfert thermique varie avec x−1/2 , où x est
mesurée de bord d’attaque. On obtient ainsi pour la surface supérieure (notée
1) et la surface inférieure (notée 2) :
Ainsi, toute la chaleur générée est évacuée par les écoulements aux surfaces 1 et
2:
ϕs = (hx,1 + hx,2 ) (Ts − T∞ )
Donc
ϕs ϕs
Ts − T∞ = = (2)
hx,1 + hx,2 c [x −1/2 + (L − x)−1/2 ]
La température minimale a lieu soit en x = 0 ou en x = L, et est donnée part
Tmin = T∞ = 25◦ C.
x = L−x
1
x = 2
L.
Alors, il vient qu’à cette position
ϕs
Tmax = T∞ +
c [2(L/2)−1/2 ]
Donc
100 W/m2
Tmax = 25◦ C + 1/2
= 30, 0◦ C
2, 74 W/m . K × 2 × (0, 15 m)2 )1/2
Tmin = T∞ = 25◦ C.
La température de surface est rendu minimale quand les courants air sur les
deux face de la plaque sont des directions opposées, car un petit coefficient de
transfert thermique à la surface 1 est couplé à un grand coefficient de transfert
à la surface 2, et vis versa.
(b) La distribution de tempéraure est tracée d’après équation (1) et (2) avec c = CT et
c = Cq . Le résultat es montré dans la figure suivante.
31
sées direct
io n
pp o
ctio
ns o rme même
30 i re e u nifo
D tur
péra
T s (x) ◦ C
29 T e m
28
Directions opposées
27
Flux uniforme
26
25
0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 0.14
xm
Notez, qu’en générale, les gradients en espace de température sont plutôt plus petit
pour les écoulements opposés.
Schématique :
Air
T + dT dΦ U∞ = 20 m/s,
T T∞ = 20◦ C
Ti = 300◦ C
V = 0, 1 m/s
δ = 2 mm
L=5m dx To
x
Hypothèses :
(1) Régime permanent pour tout point géométrique dans un repère galiléen, (2) Variation
négligeable de température à travers l’épaisseur de tôle, (3) Effet négligeable de la con-
duction le long de tôle, (4) Effet de rayonnement négligeable, (5) Écoulement turbulent
sur la surface supérieure, (6) Transfert thermique négligeable à la surface inférieure, (8)
propriétés constantes.
Propriétés :
Analyse :
(a) Considère un volume de contrôle (fixe dans l’espace) comme montré sur la figure. Si
Ėentrée et Ėsortie dénotent respectivement l’énergie entrant et sortant du volume de
contrôle, le bilan de l’énergie conduit alors à
Ėentrée − Ėsortie = 0
car la tôle est en mouvement de gauche à droite, avec dΦ = hx (b cot dx) (T (x) − T∞ ).
D’où :
ρV (b · δ)cp dT − hx (b · dx) (T (x) − T∞ ) = 0,
Dans le cas où on suppose que le volume est lié à la tôle, le régime sera évidemment
non permanent. Le premier principe de la thermodynamique, appliqué par unité de
temps, impose e l’absence de travail :
D’où
dT hx
=− (T − T∞ ) (2)
dt ρδcp
Il vient alors qu’en tenant compte de
dT dT dx dT
= · =− V (3)
dt dx dt dx
on se rend compte que (2) est équivalent à (1), et est récupérée en rapportant (3)
dans (2).
En intégrant (1) de x = 0 à x = L on obtient
Z To Z L
dT L 1 L
= hx dx = hL
Ti T − T∞ ρV δcp L 0 ρV δcp
4/5
où hx = (λ/x) × 0, 0296Rex P r1/3 . Il vient alors,
4/5
hL = (λ/L) × 0, 037ReL P r1/3 .
D’où
Ti − T∞ LhL
ln =
To − T∞ ρV δcp
Soit
To − T∞ LhL
= exp −
Ti − T∞ ρV δcp
0, 0338 W/m.K
hL = × 0, 037 × 3, 79 × 106 × (0, 69)1/3 = 40, 5 W/m.K
5m
On obtient alors,
5 m × 40, 5 W/m.K
◦ ◦
To = 20 C+(280 C) exp − 3 = 213◦ C
2770kg/m × 0, 1 m/s × 0, 002 m × 981 J/kg.K
Remarques :
2. Dans le cas où on voudrait prendre en compte l’effet de rayonnement, on doit vérifier
d’abord l’ordre de sa contribution à l’échange thermique. Pour une émissivité représentative
ε = 0, 2 et Tenvironnement = Tenv = T∞ , la valeur maximale de coefficient d’échange par
radiation est
On conclu alors, que l’hypothèse d’effet négligeable de rayonnement est bien appro-
priée au problème.
Schématisation :
T
Φ′
/m
0 W
Élément chauffant 100
′
=
c
Ti = 300 K P éle
λ = 240 W/m. K Air
D = 0, 01 m
Hypothèses :
Propriétés :
Analyse :
(a) Pour une unité de longueur de l’élément, le bilan de l’énergie aux conditions de
régime permanent se traduit par :
Avec
U∞ D 10 m/s × 0, 01 m
ReD = = = 3087
ν 37, 39 × 10−6 m2 /s
on obtient ReD P r = 2118 > 0, 2. On peut alors utiliser la correlation de Churchil
et Bernstein :
1/2
" 5/8 #4/5
0, 62ReD P r1/3 ReD
N uD = 0, 3 + 1+
[1 + (0, 4/P r)2/3 ]
1/4 282.000
D’où :
où
4h (4 × 105, 2 W/m2 K)
a= = 3 = 0, 0173 s−1
Dρcp (0, 01 m × 2700 kg/m × 900 J/kg. K)
et
0
Pélec 1000 W/m
b/a = = = 302, 6 K
πDh π × 0, 01 m × 105, 2 W/m2 .K
Alors,
(593 − 300) K
[1 − exp(−0, 0173 t)] = = 0, 968
302, 6 K
D’où t ≈ 200 s.
Remarques :
On conclu alors que, bien que l’échange par rayonnement soit petit, il n’est
néanmoins pas négligeable.
ii. La valeur Tf admise est très proche de la valeur obtenue. On en déduit alors
que les propriétés de l’air déterminées à priori de tableau sont suffisamment
précises.
Hypothèses :
Analyse :
Alors,
h(πD) (T − T∞ ) + εσ(πD) T 4 − Tenv
4 0
= Φélec ,
soit
(π × 0, 01 m) h (T − 300) K +
soit
Ψ(T ) = Ah (T − 300) + B T 4 − 3004 − 1000,
et
Ψ0 (T ) = Ah + 3BT 3
Φ0ray = (πD)σ T 4 − T∞
4
= 114.8 W/m,
et
Φ0ray
hr = = 13, 7 W/m.K.
(πD) (T − T∞ )
(b) Avec Bi = (h+hr )(D/2)/λ = 117, 1 W/m2 .K(0, 01/2) m/240 W/m. K = 0, 0024
1, le comportement transitoire peut être analyser en utilisant la méthode de la
capacité globale.
Le bilan d’énergie conduit alors à :
dT
ρcp (πD2 /4) 0
= Φélec − h(πD) (T − T∞ ) + εσ(πD) T 4 − Tenv
4
dt
qui est une équation différentielle à résoudre numériquement avec T (t = 0) =
T∞ . Soit
d (T − T∞ )
= a − b (T − T∞ ) + c T 4 − Tenv4
dt
où a, b et c sont des constantes du problème posé. La solution numérique de cette
équation peut être effectuée par la méthode de Runge-Kutta ou en utilisant la
fonction ode() de Scilab. Les évolutions de températures de l’élément, avec ou
sans rayonnement, est montrée sur la figure suivante :
600
Sans rayonnement
550
Avec Rayonnement
500
T (K)
450
400
350
300
0 100 200 300 400 500 600 700 800 900 1000
t (s)
0
Φélec = h(πD) (T − T∞ ) + εσ(πD) T 4 − Tenv
4 0
= Φélec (h),
1000
950
Puissance électrique dissipée, Pélec
900
850
800
750
700
5.0 5.5 6.0 6.5 7.0 7.5 8.0 8.5 9.0 9.5 10.0
Vitesse de courant libre, U∞
Remarques :
Bien que la dissipation thermique par convection dépasse largement la dissipation par
rayonnement, cette dernière reste néanmoins importante pour l’écart de température (Ts −
Tenv ) imposé dans le problème, et doit être prise en compte dans l’analyse.
Schématisation :
Dp = 30 µm
FD
Plomb
ρp = 8230 kg/m3
cp = 240 J/kg.K
λ = 38 W/m.K
hsf = 42 kJ/kg
mg Tf = 183◦ C
V, T∞ = 30 ◦ C
Azote
Hypothèses :
(1) Trasfert thermique par rayonnement négligeable, (2) Réponse de l’évolution thermique
suit le modèle de la capacité globale.
Analyse :
(a) Soit CD le coefficient de traı̂née. En supposant que la chute des balles a lieu à vitesse
constante, le bilan des forces aggisant sur toute balle conduit alors à :
Force
| de{ztraı̂née} = mg
|{z}
D
12
4 D 3
0 0 1
π
1 @ A CD ρf V 2 π A ρp g
2
2 3 2
@
soit : 2 3
1 D 4 D
2
π CD ρ f V = π ρp g
2 2 3 2
D’où
4 ρp g
CD = Dp
3 ρf V 2
4 1 (1)
= × 130 × 10−6 m × (8230/0, 8425) × 9, 8 m/s2 2
3 V
16, 59 m2 /s2
=
V2
Or,
VD V × 130 × 10−6 m
ReD = =
ν 26, 16 × 10−6 m2 /s (2)
= (4, 97 s/m) × V
On peut résoudre les équations (1) et (2) pour CD et ReD pour toute valeur de
V tel que les valeurs obtenues (pour CD et ReD ) doivent être consistantes avec le
diagramme de de la variation de CD avec ReD pour une sphère (voir fiche de cours
no. 5).
Ainsi, on obtient par la méthode de tâtonnement la solution V = 2, 03 m/s et CD =
4, 03, ReD = 10, 09; du diagramme de la variation de CD avec ReD , on a à ReD = 10,
CD = 4. D’où on tire V ≈ 2 m/s.
La processus de refroidissement a lieu en deux étapes :
T − T∞ hAs
= exp − t , ici, V désigne le volume du solide
Ti − T∞ ρV c
D’où t2 = 67 × 10−3 s.
Il vient alors que le temps total pour que la bulle se solidifie complètement est
t = t1 + t2 = 82 × 10−3 s.
L = (2 m/s/(1800 s−1 ) = 1, 11 mm
Schématisation :
ST = 15 mm Tube
D = 10 mm
Ts = 100◦ C
NL = 14 lignes,
NT = 14 tubes/ligne
Air Te L = 1 m,
U∞ = 5 m/s PT = PL = 1, 5
T∞ = 25◦ C
p = 1 atm.
SL = 15 mm
Hypothèses :
(1) Régime permanent, (2) Rayonnement négligeable, (2) Température uniforme à la sur-
face.
Propriétés :
Analyse :
(Ts − T i) − (Ts − Te )
Φ = hN πDL = hN πDL∆TLM (1)
ln [(Ts − T i) / (Ts − Te )]
Avec
ST
Vmax = U∞ = 15 m/s, ReD,max = 9494
ST − D
Alors, les constantes appropriées pour la corrélation sont C = 0, 27, m = 0, 63, et
C2 = 0, 99. Il vient alors, d’après la corrélation de Zukauskas
Hypothèses :
(1) Régime permanent, (2) Chute négligeable de tempéraure à travers l’épaisseur de cylin-
dres, (3) température uniforme à la surface, (4) Propriétés constantes, (5) C2 = 1.
Propriétés :
Analyse :
Ts − Te πDNL h
= exp −
Ts − Ti ρU∞ ST cp
où NL = N/NT . Donc
ρU∞ ST cp Ts − Te
NL = − ln (1)
πDh Ts − Ti
avec
ST
Vmax = U∞ = 15 m/s, ReD,max = 8240.
ST − D
Il vient alors que avec ST /SL = 1 > 0, 7, C0 , 27 et m = 0, 63. Donc, la corrélation
Zhukauskas conduit à :
1/4
Pr
N uD = CC2 Rem
D,max P r
0,36
= 70, 1
P rs
λ
= N uD = 196, 3 W/m2 .K
h
D
D’où l’on obtient de (1), NL = 15, 7. Il vient alors que le nombre de lignes de tubes est 16,
soit NL = 16.
Schématisation :
de l’air sec,
T∞ = 35◦C Ts = 20◦C
Φconv Φévap
U∞ = 20 m/s Film d’eau, plaque Φconv
Ts
150 mm de largeur
x
L = 500 mm
Pélec Pélec
(a) Film liquide d’eau (b) Surface sèche
Hypothèses :
(1) régime permanent, (2) Propriétés constantes, (3) L’analogie entre les transferts de
chaleur et de masse est valable.
Propriétés :
Analyse :
Ėentrée − Ėsortie
| {z } | {z }
Pélect Φconv +φévap
soit :
Pélect − Φconv + φévap = 0 (1)
Φconv = hL S (Ts − T∞ )
et celui de l’évaporation
ce qui montre que l’écoulement est mixte et l’équation appropriée pour estimer hL
est :
hL L 4/5
N uL = = 0, 037ReL − 871 P r1/3
λ
D’où hL = 34, 5 W/m.K.
En utilisant l’analogie de Chilton-Colburn entre le transfert de chaleur et le transfert
de masse :
Cf Nu
CL thermique = StP r2/3 ≡ jH (0, 6 ≤ P r ≤ 60) St =
2 ReP r
Cf Sh
CL de concentration (masse) = Stm Sc2/3 ≡ jm (0, 6 ≤ Sc ≤ 3000) Stm =
2 ReSc
on déduit que
2/3
Stm (h/ρV cp ) h Pr
= = =
St (hm /V ) ρcp hm Sc
D’où −2/3 2/3
hL Pr hL α
hm,L = =
ρcp Sc ρcp DAB
Donc
2/3
34, 5 W/m.K 2, 257 × 10−5 m2 /s
hm,L = = 0, 0269 m/s
1, 16 kg/m3 × 1007 J/kg.K 0, 26 × 10−4 m2 /s
D’où
Pélec = −38, 8 W + 83, 7 W = 44, 9 W
Pélect 44, 9 W
Ts = T∞ + = 35◦ C + = 52, 3◦ C
hL S 34, 5 W/m.K × 0, 075 m 2