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Un secret p.

grimbert ed le livre de poche coll lgf

Le secret philippe grimbert.

Exposé de Jane Austen. A) L’autobiographie est un genre littéraire, qui se présente comme la biographie d’une personne réelle faite par elle-même. Le mot autobiographie est formé de : auto, élément provenant du grec autos qui veut dire « soi-même, lui-même ». bio, élément provenant du grec bios qui signifie « vie ». graphie, élément du grec et veut
dire « écrire ». La différence avec un récit de vie est qu’une autobiographie est une histoire inspirée de faits réels alors qu’un récit de vie fictif est une histoire inventée de toute pièce. B) Un secret de Philippe Grimbert est un roman autobiographique racontant sa jeunesse. Il parait le 5 mai en 2004 aux éditions Grasset et Fasquelle. Il a remporté de
nombreux prix comme le prix Goncourt des lycéens en 2004 et celui des lectrices de Elle en 2005. Le roman est adapté au cinéma par Claude Miller en 2007. C) C’est l’histoire d’un garçon qui était mal dans sa peau. Ses parents Tania et Maxime étaient des sportifs assidus. Il se sentait très différent de ses parents car lui n’était pas sportif mais très
bon à l’école. Donc il s’inventa un frère aîné, sportif, bagarreur et dominateur. Un frère qui le protégerait, lui montrerait l’exemple. Avec le temps, l’idée de ce frère se transforme en une obsession. Puis un jour, dans le grenier, il découvrit un vieux chien en peluche qu’il emporta avec lui pour le montrer à ses parents.

bio, élément provenant du grec bios qui signifie « vie ». graphie, élément du grec et veut dire « écrire ».

Il a remporté de nombreux prix comme le prix Goncourt des lycéens en 2004 et celui des lectrices de Elle en 2005. Le roman est adapté au cinéma par Claude Miller en 2007.
C) C’est l’histoire d’un garçon qui était mal dans sa peau. Ses parents Tania et Maxime étaient des sportifs assidus. Il se sentait très différent de ses parents car lui n’était pas sportif mais très bon à l’école. Donc il s’inventa un frère aîné, sportif, bagarreur et dominateur. Un frère qui le protégerait, lui montrerait l’exemple. Avec le temps, l’idée de ce
frère se transforme en une obsession. Puis un jour, dans le grenier, il découvrit un vieux chien en peluche qu’il emporta avec lui pour le montrer à ses parents. Sa mère fut troublée et son père le gronda. Heureusement, il y avait Louise pour l’aider dans ses chagrins. Le garçon reconstitua une histoire officielle de sa famille avant sa venue, à partir des
maigres fragments qu’on lui avait donnés. Lorsqu’il eut quinze ans, les mauvaises plaisanteries antisémites d’un camarade de classe, au cours de la projection d’un documentaire sur les camps d’extermination, le mirent en rage. Il se jeta sur lui. Pour la première fois de sa vie, il se bagarra. Il en sortit couvert de bleus dont il ne révéla l’origine qu’à
Louise. Elle sentit que le moment était venu de lui avouer le grand secret de son origine.
Pendant cette période et avec l’aide de Louise, le jeune homme reconstitua peu à peu la vérité.
Il parait le 5 mai en 2004 aux éditions Grasset et Fasquelle. Il a remporté de nombreux prix comme le prix Goncourt des lycéens en 2004 et celui des lectrices de Elle en 2005. Le roman est adapté au cinéma par Claude Miller en 2007.

Le roman est adapté au cinéma par Claude Miller en 2007.

La différence avec un récit de vie est qu’une autobiographie est une histoire inspirée de faits réels alors qu’un récit de vie fictif est une histoire inventée de toute pièce. B) Un secret de Philippe Grimbert est un roman autobiographique racontant sa jeunesse. Il parait le 5 mai en 2004 aux éditions Grasset et Fasquelle. Il a remporté de nombreux prix
comme le prix Goncourt des lycéens en 2004 et celui des lectrices de Elle en 2005. Le roman est adapté au cinéma par Claude Miller en 2007. C) C’est l’histoire d’un garçon qui était mal dans sa peau. Ses parents Tania et Maxime étaient des sportifs assidus. Il se sentait très différent de ses parents car lui n’était pas sportif mais très bon à l’école.
Donc il s’inventa un frère aîné, sportif, bagarreur et dominateur. Un frère qui le protégerait, lui montrerait l’exemple. Avec le temps, l’idée de ce frère se transforme en une obsession. Puis un jour, dans le grenier, il découvrit un vieux chien en peluche qu’il emporta avec lui pour le montrer à ses parents. Sa mère fut troublée et son père le gronda.
Heureusement, il y avait Louise pour l’aider dans ses chagrins. Le garçon reconstitua une histoire officielle de sa famille avant sa venue, à partir des maigres fragments qu’on lui avait donnés. Lorsqu’il eut quinze ans, les mauvaises plaisanteries antisémites d’un camarade de classe, au cours de la projection d’un documentaire sur les camps
d’extermination, le mirent en rage. Il se jeta sur lui. Pour la première fois de sa vie, il se bagarra. Il en sortit couvert de bleus dont il ne révéla l’origine qu’à Louise.
Elle sentit que le moment était venu de lui avouer le grand secret de son origine. Pendant cette période et avec l’aide de Louise, le jeune homme reconstitua peu à peu la vérité.
Ses parents, les membres de sa famille: Marcel, Esther, et même Louise, sont juifs. Ses parents ont été mariés une première fois dont Tania à Robert qui avait une sœur, Hannah, femme de Maxime. Hannah et Maxime avaient un fils qui s’appelait Simon à qui appartenait le chien en peluche. Tania et Maxime étouffent leurs sentiments. Cependant, le
regard admiratif de Maxime envers Tania n’échappe pas à Hannah. Puis vient la guerre. Maxime a comme obligation de porter l’étoile jaune auquel il refuse de se soumettre. C’est là que la famille décide de passer en zone libre. Les hommes partent d’abord. Tania les rejoint. Hannah part avec Louise, Simon et Esther. Un jour, la Gestapo les contrôle
alors Hannah, anéantie de se savoir impuissante face à la force qui attire Maxime et Tania, volontairement, montre ses véritables papiers d’identité. Elle est arrêtée ainsi que son fils.
Ne voyant arriver que Louise et Esther, Maxime est fou de douleur. Puis, avec le temps Tania et Maxime deviennent amants pendant ces quelques mois.
Mais la guerre s’achève et chacun part de son côté. En attendant toujours le retour d’Hannah.
Hannah et Simon ne reviennent pas. Avec le temps, Maxime et Tania se marient, ouvrent leur magasin de sport. Vient alors la naissance du petit garçon. Après avoir su la vérité, il se sentit mieux dans sa peau. A la fin, on apprend que Hannah et Simon sont morts dans les chambres à gaz. D) Le récit parle de deux époques différentes pendant et après
la guerre. Le narrateur raconte que Louise, une amie, va lui parler de la vie de ses parents pendant la guerre et surtout des camps de concentration et des lois contre les juifs qui maintenant ne sont plus présentes. Son père et sa mère n’étaient pas ensemble à l’époque car Maxime était avec Hannah et ils ont eu un garçon nommé Simon, son demi-
frère. Maxime attendait le retour de sa femme Tania et de son fils Simon. C’est un secret persistant sur sa femme qui s’est laissé prendre par la Gestapo avec son fils, le demi-frère caché du narrateur. Après la guerre, Maxime s’est marié avec Tania, ils ont ouvert un magasin, ont eu un enfant et ils ont su la vérité sur Tania et Simon. Aussi à l’époque,
le chien en peluche appartenait à Simon, alors que plus tard il sera au narrateur. E) Dans le livre, l’auteur aborde beaucoup le thème de la 2ème guerre mondiale car il parle des lois contre les juifs, des camps de concentrations et de la Gestapo. F) p(143-144) : « L’étau se desserre et il pleure, pour la première fois depuis l’arrivée de Louise et
d’Esther. Il ne cherche pas à se cacher de Tania, lorsqu’elle se hisse sur la berge. Il lui offre sa douleur, les yeux nus. Face à lui, elle reste immobile, ruisselante. Elle tend sa main mouillée, il s’en saisit et y enfouit son visage. Elle s’approche de lui, il entoure sa taille de ses bras et appuie sa joue sur l’étoffe du maillot. Il touche enfin le corps de Tania.
Après s’être allongé tant de fois en rêve dans sa chaleur, c’est la peau glacée de la nageuse qui s’offre à lui. L’eau de la Creuse se mêle à ses larmes. Ils restent ainsi un long moment puis se détachent, toujours sans un mot. Tania s’allonge à côté de lui et tous deux fixent le ciel. La ville dort, seul le grondement sourd de l’usine trouble le silence.
Maxime sait qu’il ne résistera plus. La nuit venue, il pousse la porte de la chambre, s’y glisse sans bruit, se faufile entre les draps et colle sa peau à celle de la jeune femme. La douleur le submerge. Sa bouche contre celle de Tania, dans la saveur salée de ses larmes, il se presse contre elle, sent rouler ses muscles, palpite contre le ventre de la jeune
femme. Il n’ose aucune caresse mais s’accroche à son corps, l’entoure de ses bras et de ses jambes. Il s’enivre de son parfum et sombre dans un sommeil sans rêves. Plusieurs nuits ils s’endorment ainsi, serrés l’un contre l’autre, chassant les ombres qui les entourent.
» J’ai choisi ce passage car je suis sensible à l’attirance que ressent Maxime envers Tania, sachant que les conséquences de leur amour sont tragiques.

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