NOVEMBER 2021 70144/CLK4W/CL54F

Time : Three hours Maximum : 75 marks

PART A — (25 marks)

Répondez à TOUTES les questions.

1. Traduisez en anglais le texte suivant. (10)

Il y avait jadis deux frères, sans conseil de père et

de mère, et sans autre compagnie. Pauvreté fut

bien leur amie, car elle fut souvent leur compagne.

Ensemble demeuraient les deux frères dont je vous

conte l’histoire. Une nuit, ils furent en grande

détresse, de soif, de faim et de froid : chacun de ces

maux s'attache souvent à ceux que Pauvreté tient

en son pouvoir. Ils se prirent à se demander

comment ils pourraient se défendre contre

Pauvreté qui les accable : souvent elle leur a fait

éprouver de l'ennui.
 Un homme connu pour sa richesse habitait tout
près de leur maison : ils sont pauvres; le riche est
sot. En son jardin il a des choux et à l'étable des
brebis. Tous deux se dirigent de ce côté. Pauvreté
rend fous des hommes : l’un prend un sac à son
cou, l'autre un couteau à la main ; tous deux se
sont mis en route. L'un entre dans le jardin,
promptement, et ne s'attarde guère : il coupe des
choux à travers le jardin. L'autre se dirige vers le
bercail pour ouvrir la porte : il fait si bien qu’il
l’ouvre. Il lui semble que l’affaire va bien. Il tâte le
mouton le plus gras.

2. Traduisez en anglais le texte suivant. (15)

C'est ma vie

Je m'appelle Angélica Summer, j'ai 12 ans et je

suis canadienne. Il y a 5 ans, ma famille et moi
avons déménagé dans le sud de la France. Mon
père, Frank Summer, est mécanicien ; il adore les
voitures anciennes et collectionne les voitures
miniatures.

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 Ma mère s'appelle Emilie Summer ; elle est
infirmière dans un hôpital non loin de notre
maison. Nous avons déménagé en France, parce
qu'elle a toujours aimé la culture de ce pays.
La vie en France est très différente de celle au
Canada. lci, il fait toujours chaud. Chaque
dimanche, nous allons à la magnifique plage de
Biarritz et nous achetons des glaces après avoir
nagé dans la mer.
Les Français sont très sympathiques et
accueillants. Nous parlons français lorsque nous
sommes dehors, à l'école ou au marché.
Cependant, nous continuons de parler canadien à
la maison, car mes parents ne veulent pas que je
perde ma langue natale.

PART B — (25 marks)

Répondez à TOUTES les questions:

3. Lisez le texte suivant et répondez aux questions:

(5  2 = 10)
Quelle paire d'amis firent bientôt Décadi et son
grand-père! On les voyait perpétuellement
ensemble. Ils avaient à eux deux près de quatre-
vingt ans. Mais les parts étaient inégales : l’un en
comptait moins de sept, l'autre plus de soixante-
dix. Ils ne se jalousaient pas. Le grand-père aurait
souhaité que son petit-fils eût toujours six ans, et
Décadi que son grand-père fût le plus vieux des
vieux de la commune.
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- Grand-père, c'est toi le plus vieux d'ici?

- Non pas ! mon enfant. Il y a M. Dupasquier, ce

monsieur qui te faut manger des abricots, quand
nous allons le voir. Il est d'autre siècle. Il y a Mme.
Cuchenille, qui est de 1804, l’année du sacre. Il y a
Jabin, celui qui allume les réverbères ; Il y a un an
de plus que moi. Et il y en a bien peut-être encore
d’autres, surtout dans les femmes.

-Alors quand est-ce que tu seras le plus vieux ?

- Hé ! Quand les autres seront partis... si je reste,

moi.

- Oh ! Je voudrais que tu sois vite le plus vieux.

- Mais tu fais tort aux autres, mon enfant ! Et à

moi, tu ne me rends pas service.

- Allons. Viens. Ne t'agite pas comme ça. Tu vas

t'échauffer. Ta mère nous grondera.

Le grand-père habitait, seul, une petite maison

entourée d’un jardin ni trop loin, ni trop près de
ses enfants chez lesquels il allait chaque jour
prendre son repas de midi.

Questions

(a) Quel est l'âge approximatif du grand-père de

Décadi?

(b) Qu’est-ce que le petit-fils désire?

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 (c) Que fait M. Dupasquier quand Décadi lui
rend visite?

(d) Où est-ce que le grand-père prend son

déjeuner?

(e) Construisez des phrases avec : faire tort,

peut-être.

4. Lisez le texte suivant et répondez aux questions:

(5  3 = 15)

Paris, le 2 août

Chère petite sœur,

Je suis désolé de t'écrire si tard; depuis le mois de

mai, je cherche du travail pour l'été. Cela me
prend beaucoup de temps. De plus, il y a eu les
examens de fin d'année à la faculté des Beaux-
Arts. Nous étions nombreux, et il y avait peu de
places. Enfin, ça y est ! Je viens de trouver un job
pour le mois d'août ! Guide touristique. Je suis
très content: ce n'est pas mal payé et ce travail me
plaît. Ce sera une bonne expérience.

Je vais accompagner un groupe de Jaconais dans

l'ouest de la France pendant un mois. Chartres,
Blois, Chambord, Poitiers...Un parcours de six
cent kilomètres qui nous permettra de visiter des
parcs, des musées, des châteaux... et le
Futuroscope !

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Ils sont une quinzaine, plus leur professeur, ainsi
qu'une responsable française payée par l'agence de
voyages. Je l'ai rencontrée hier après-midi. Elle
s’appelle Julie Barthe. Elle a 25 ans et parle six
langues: anglais, allemand, italien, espagnol,
arabe et japonais. Cette jeune femme est
formidable; et elle a beaucoup de charme.
Nous partons demain. Nous quittons Paris à 6h30
du matin. Direction: Chartres. Je suis vraiment
heureux de partir. Je vais revoir beaucoup de
choses: des cathédrales, des abbayes, des
châteaux. Pour moi, c'est idéal.
Et toi, comment vas-tu? Comment se passent tes
études à Washington? Est-ce que tu donnes des
leçons de français aux jeunes americains?
J'attends de tes nouvelles.
Ton grand frère qui t'aime
Olivier
Questions
(a) Que fait Olivier dans la vie?
(b) Qui est Julie Barthe? Pourquoi accompagne-
t-elle le groupe?
(c) Quand est-ce qu'Olivier a rencontré Julie?
(Précisez la date)
(d) Nommez les lieux touristiques que le groupe
va visiter.
(e) Repérez le synonyme des mots suivants dans
le texte: « travail», « université » et
«enseignant ».

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 PART C — (5 × 5 = 25 marks)

Répondez à CINQ questions au choix.

5. Relevez les verbes au passé simple et écrivez leur

infinitif :
Le lendemain matin, à huit heures, je revêtis la
blouse blanche et je l'invitai à me suivre. Il me fit
observer que c'était l’heure de sa première leçon.
« Tu n'y perdras rien, lui dis-je; c'est aussi une
leçon que je vais te donner». Je le menai tout droit
à un des ateliers de tournage, et je m'arrêtai avec
un de nos plus vieux ouvriers, le père Garnet.

6. Mettez les verbes entre parenthèse au mode / au

temps qui conviennent :
(a) Quoiqu'il –––––––––– (faire) un travail
sincère. Le directeur ne l'apprécie pas.
(b) Bien que le décor de ce restaurant ––––––––
(être) beau, le repas est mauvais.
(c) Quand bien même elle –––––––––– (être)
bien qualifiée, elle n'a pu trouvé un bon
emploi.
(d) Même si je –––––––––– (travailler) dur, je
n'obtiens pas de bonne note.
(e) Bien qu'elle ne –––––––––– (voir) pas les
films, elle connaît les noms de tous les
acteurs.

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7. Associez :

(a) Comme il pleut (i) Nous devons trouver

un nouveau
appartement

(b) Il prend des (ii) Il est allé voir le

médicaments médecin

(c) Puisque papa va (iii) Parce qu’ elle a mal

être muté aux pieds

(d) Elle marche (iv) Parce qu’il est

lentement enrhumé

(e) Comme il avait (v) Prend un parapluie

de la fièvre

8. Complétez avec une expression du but :

(a) Prenons un taxi pour aller à l’aéroport

–––––––––– nous soyons à l’heure

(b) Le professeur explique l’emploi du subjonctif

–––––––––– les apprenants le comprennent
mieux

(c) Elle chuchote quelque chose à l’ oreille de son

amie –––––––––– personne ne l’ entende.
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 (d) Viens chez nous –––––––– nous partions
ensemble au cinéma.

(e) La secrétaire a été méticuleuse dans son

travail –––––––––– le directeur ne la critique
pas.

9. Complétez avec au cas où, à condition que ou

Sinon :

(a) Fais tes devoirs, –––––––––– je ne te

permettrai pas sortir avec tes amis.

(b) Prenez un parapluie, –––––––––– il

pleuvrait.

(c) Je suis prêt à nettoyer notre jardin, –––––––

quelqu’ un m’aide.

(d) Tu auras un beau cadeau pour ton

anniversaire –––––––––– tu obtiennes un
bon résultat à l’examen.

(e) Le technicien doit venir passer ce soir,

–––––––––– téléphone-lui encore une fois.

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10. Complétez les phrases avec une expression de la
conséquence :

(a) Elle est sortie sans son pull –––––––––– elle

a pris froid.
(b) Il y a un long embouteillage ––––––––––
nous restons dans le même endroit depuis 4
heures.
(c) Tu es –––––––––– poli que tout le monde te
respecte.
(d) Mon fils sortait tous les jours –––––––––– il
a obtenu une mauvaise note dans l’ examen.
(e) Le directeur a raté l’avion –––––––––– il a
dû annuler la réunion.

11. Mettez les verbes au temps convenable : présent,

imparfait et passé composé :

Quand j’ –––––––––– (visiter) l’Exposition

universelle, j’ –––––––––– (avoir) envie de crier :
« Vive la France ! » Je –––––––––– (être) fier de
voir l’exposition de notre pays, je –––––––––– (se
dire) : il y en a chez nous qui –––––––––– (avoir)
de belles inventions.
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