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Rapport Pfe Final Final
Rapport Pfe Final Final
MINISTERE DE L’INTERIEUR
DIRECTION GENERALE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES DIRECTION DE
DEVELOPPEMENT DES COMPETENCES ET DE TRANSFORMATION DIGITALE
INSTITUT DE FORMATION DES TECHNICIENS SPECIALISES CASABLANCA-AIN
BORJA
Réalisé Par :
Encadré Par :
ABOU EL FADILE AMINA
L’équipe pédagogique de l’IFTTS
BELCAID IKRAM
BYARI MAROUA
KHALIL ABDELLAH
Cycle de formation : 2021 – 2023
Remerciements
Avant tout, nous tenons à exprimer notre sincère gratitude envers Dieu tout-puissant
pour nous avoir accordé la force et le courage nécessaires pour mener à bien ce travail.
Nous souhaitons également adresser nos remerciements chaleureux à nos familles, en
particulier à nos chers parents, pour leur précieuse aide et leur soutien moral tout au long de
nos études. Nous espérons être à la hauteur de leurs attentes et nous efforcer de mériter leur
confiance et leurs encouragements.
Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude envers M. BETTAHI Saïd, directeur
de l'institut de formation IFTTS, qui nous a confié cette étude ; cette expérience restera
formatrice pour nous.
Nous souhaitons remercier de tout cœur nos encadrants, à savoir M. CHEMAOU EL
FIHRI OMAR, Mme. JAOUADI ZINEB, M. KARIM ABDELLATIF, M. JOUDA, M.
NEBBAR, M. TOUIMA ABDENNEBI pour leur accompagnement, leur disponibilité et leur
direction tout au long de ce travail.
Nous exprimons nos remerciements sincères envers les membres du jury d'avoir
accepté d'évaluer notre projet.
Nous tenons également à exprimer notre profonde reconnaissance envers l'ensemble
de nos professeurs du centre de formation IFTTS pour la richesse des connaissances que nous
avons acquises grâce à eux au cours de notre formation.
Nous adressons nos remerciements à toute la promotion 2021-2023 de génie civil à l'IFTTS.
Enfin, nous remercions nos amis et toutes les personnes dont le nom n'apparaît pas sur cette
page, mais qui nous ont apporté leur soutien de différentes manières.
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DEDICACE
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Liste des tableaux
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Liste des figures
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Table des matières
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INTRODUCTION GENERALE
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Ce rapport détaillera l'ensemble du processus, depuis la phase de conception initiale
jusqu'à la livraison finale du projet. Nous analyserons les choix de conception, les méthodes
de construction, les solutions techniques adoptées et les considérations environnementales
prises en compte. De plus, nous évaluerons les résultats obtenus par rapport aux objectifs
fixés, en mettant en évidence les réussites et les défis rencontrés tout au long du projet.
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Chapitre 1 : Présentation du Projet
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OBJECTIFS DU PFF
Les objectifs d'un Projet de Fin d'Études (PFE) peuvent varier en fonction du domaine
d'études, du niveau d'enseignement et des attentes de l'institution éducative. Cependant, voici
quelques objectifs généraux que les étudiants visent souvent à atteindre lorsqu'ils
entreprennent un PFE :
Application des connaissances : Utiliser les compétences et les connaissances
acquises tout au long de la formation pour résoudre un problème ou aborder un sujet
spécifique dans le domaine d'études.
Développement de compétences techniques : Acquérir de nouvelles compétences
techniques pertinentes pour le projet, que ce soit dans le domaine de l'ingénierie, de
la programmation, de la recherche scientifique, etc.
Recherche et analyse : Effectuer des recherches approfondies, collecter des
données, et analyser des informations pertinentes pour le sujet du PFE.
Créativité et innovation : Proposer des solutions originales et innovantes aux
problèmes identifiés dans le cadre du projet.
Présentation et communication : Développer des compétences en matière de
présentation orale, de rédaction de rapports et de documentation du projet.
Apprentissage autonome : Apprendre de manière autonome, rechercher des
informations pertinentes et s'adapter aux nouvelles connaissances et technologies.
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Description de l’ouvrage
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CARACTERISTIQUE DU PROJET :
Caractéristique géométrique :
En élévation :
Hauteur totale de la super- structure : 15.70m
Hauteur sous-plafond du RDC : 5.00 m
Hauteur sous-plafond des étages : 3.00m
En plan :
Surface totale de chaque bloc : 590.21m²
Caractéristique structurelle :
Structure : en Béton Armé
Système structurel : Portiques (Poteaux-Poutres)
Planchers : en hourdis et en dalle peine
Maçonnerie : maçonnerie en brique creuse
Cage d’Escalier : L'accès aux étages supérieurs est assuré par les escaliers.
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LOCALISATION SUR GOOGLE EARTH
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Chapitre : La planification de projet sur MS Project
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Définition de la planification
La planification a été inventée dans les années 1950 aux Etats-Unis dans le domaine
de l'industrie. Elle s'est rapidement étendue au secteur du bâtiment, dans lequel une bonne
coordination des tâches est primordiale pour le respect des délais.
Pour réaliser un ouvrage prévu en respectant le délai contractuel, il est nécessaire
d'organiser la coordination des différents intervenants, par l'établissement d'un planning
prévisionnel de réalisation des travaux.
L'objectif est de déterminer la durée et l'enclenchement des tâches de réalisation d'un
projet par rapport au facteur temps, pour respecter les délais imposés.
Le planning prévisionnel permet donc :
De définir et simuler le déroulement des travaux avant le démarrage du chantier et
ainsi d’anticiper au plus tôt les phases délicates d'exécution.
Pour les maîtres d'ouvrages, d'assurer le suivi financier et la gestion prévisionnelle
des Versements des acomptes au fur et à mesure de l'avancement des travaux.
L'utilisation de MS Project pour un projet de construction d'un logement administratif
vise à atteindre plusieurs objectifs essentiels :
La planification de projet sur MS Project, désigne l'utilisation méthodique et détaillée
du logiciel Microsoft Project afin de structurer, organiser et superviser les diverses phases,
tâches et ressources impliquées. Cette approche permet de visualiser la chronologie des
activités, d'affecter les ressources de manière efficace, de gérer les contraintes et les
dépendances, et de suivre l'évolution du projet tout au long de sa réalisation. L'intégration de
cette planification au sein offre une perspective claire de la méthodologie utilisée pour la
gestion du projet, ainsi qu'une analyse approfondie des résultats obtenus, contribuant ainsi à
une compréhension complète de la manière dont le projet a été géré et achevé avec succès.
L’utilisation de MS Project garantit une gestion efficace du projet, une utilisation
optimale des ressources et une livraison réussie dans les délais prévus, il permet d’assurer
plusieurs avantages :
Planification détaillée : MS Project permet de créer une planification détaillée du
projet, en identifiant et en organisant les tâches spécifiques nécessaires à la
construction du logement administratif. Cela inclut la définition des phases, des
échéances, des jalons et des dépendances entre les activités.
Allocation des ressources : Le logiciel permet d'affecter les ressources (main-
d'œuvre, matériaux, équipements) de manière optimale aux différentes tâches. Cela
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garantit une utilisation efficace des ressources et évite les surcharges ou les sous-
utilisations.
Suivi de la progression : MS Project offre un suivi en temps réel de la progression du
projet. Les mises à jour régulières permettent de mesurer l'avancement par rapport au
plan initial, d'identifier les éventuels retards et de prendre des mesures correctives.
Gestion des délais : En visualisant les dates d'échéance et les contraintes temporelles,
le logiciel aide à éviter les retards en mettant en évidence les activités critiques et en
permettant aux équipes de concentrer leurs efforts sur celles-ci.
Analyse des ressources : MS Project permet d'analyser la disponibilité des ressources
à chaque étape du projet, évitant ainsi les goulets d'étranglement et les conflits
potentiels.
Communication et collaboration : Le logiciel facilite la communication entre les
parties prenantes en fournissant des calendriers, des diagrammes de Gantt et des
rapports personnalisés, ce qui améliore la compréhension globale du projet et favorise
la collaboration.
Anticipation des problèmes : En identifiant les éventuels problèmes ou conflits dès
le début grâce aux fonctionnalités de MS Project, les équipes peuvent élaborer des
solutions proactives pour les résoudre.
Prise de décision informée : Les données et les rapports générés par MS Project
offrent une base solide pour la prise de décision, en fournissant des informations
concises et précises sur l'état actuel du projet.
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La planifier un projet
La planification de projet est une phase cruciale du cycle de vie d'un projet.
Pour réussir un projet sous la triple contrainte (délais, budget et périmètre), pas de
secret, il faut le planifier.
La planification d'un projet est l’activité qui consiste à déterminer et
à ordonnancer les tâches du projet, et à estimer leurs charges et déterminer les
ressources nécessaires à leur réalisation.
1. Collecte des informations : identification des exigences du projet, les objectifs, les
contraintes de temps, les budgets et les ressources disponibles.
2. Liste des tâches : Énumération de toutes les tâches nécessaires pour achever le projet,
telles que la conception, les permis, l'excavation, la construction, les tests, etc
3. Séquençage des tâches : Définition des relations de dépendance entre les tâches (par
exemple, certaines tâches doivent être terminées avant que d'autres ne puissent
commencer).
4. Estimation des durées : Estimation de la durée de chaque tâche en tenant compte des
compétences nécessaires, des ressources disponibles et des contraintes.
5. Affectation des ressources : Assignement des ressources humaines, les équipements
et les matériaux aux tâches correspondantes. Assurez-vous que les ressources sont
disponibles au bon moment.
6. Calendrier : Personnalisation du calendrier du projet en tenant compte des jours
ouvrables, des jours fériés et des jours non travaillés
7. Création du diagramme de Gantt : Utilisation de MS Project pour créer un
diagramme de Gantt qui montre visuellement la séquence des tâches et les périodes de
temps.
8. Suivi et mise à jour : Mettre régulièrement à jour l'avancement des tâches en
enregistrant les dates de début et de fin réelles.
9. Gestion des ressources : Surveillance de la charge de travail des ressources et ajustez
les affectations si nécessaire pour éviter les surcharges.
10. Révisions et ajustements : Passez en revue les performances par rapport au plan
initial, identifiez les retards ou les déviations et prenez des mesures correctives
11. Rapports et communication : Utilisez les fonctionnalités de rapport de MS Project
pour générer des rapports sur l'état du projet, la progression, les échéances, etc.
En planifiant notre projet de génie civil avec MS Project, nous optimise les ressources,
suivre la progression en temps réel et prendre des décisions informées pour garantir la réussite
de votre projet de construction ou d'infrastructure,
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Le diagramme de Gantt :
Un diagramme de Gantt est un outil de gestion de projet qui affiche les tâches d'un
projet sur une échelle de temps, Le diagramme de Gantt est largement utilisé dans la gestion
de projets pour planifier, suivre et visualiser les étapes et les délais du projet, le diagramme de
Gantt de notre projet est sous la forme suivante :
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Chapitre : Installation de chantier
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Introduction
Lorsque l'entreprise reçoit l'ordre de service du maître d'ouvrage, elle doit préparer
l'installation du chantier. Pour ce faire, l'équipe chargée du Plan d'Installation de Chantier
(PIC) doit évaluer ses besoins en termes d'espace de stockage, de zones de travail, de
consommation d'eau, d'électricité, et d'approvisionnement en véhicules, ainsi que les dates
d'occupation correspondantes. Une fois ces données collectées, une analyse est effectuée en
fonction de la surface disponible sur le chantier, du tracé et des infrastructures disponibles.
L'installation de chantier comprend toutes les constructions temporaires et les équipements
nécessaires à la réalisation du projet.
Le PIC est un document graphique basé sur le plan de masse qui permet de définir les
zones pour les travailleurs, les engins de chantier, les bâtiments temporaires, les logements, et
les installations techniques. Le PIC est essentiel pour :
1. Obtenir les autorisations nécessaires pour l'installation de grues, y compris les zones
de survol et les bâtiments voisins, ainsi que pour la gestion des travaux sur les voies et
les éventuelles déviations, en obtenant l'approbation des autorités compétentes.
2. Assurer la conformité de l'installation du chantier avec les réglementations en matière
d'hygiène et de sécurité, comme exigé par les services d'inspection du travail.
3. Le PIC est élaboré par l'entreprise de construction en se basant sur le plan de masse,
qui décrit toutes les dispositions nécessaires pour garantir le bon déroulement du
projet.
Le rôle d’un Plan d’installation du chantier
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Ordonner le chantier :
Gain de temps : diminuer les temps unitaires (TU)
Eviter les pertes (matériaux) et double emplois (matériels),
Améliorer la sécurité : humaine + matériel (clôture + gardiennage + alarme),
Améliorer la qualité (réussir du premier coup au moindre coût),
Vitrine.
Positionner les éléments
Humains : rendez-vous, accidents
Matériels : livraison, déplacements
Réseaux : fuites, pannes, raccordements, utilisations de grillages avertisseurs et
tubes de couleurs normalisées.
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Méthodologie d’élaboration d’un plan d’installation de chantier
Par mesure de sécurité, il est nécessaire d'ériger une clôture autour du chantier. Cette
clôture sera constituée de plaques de tôle nervurées, mesurant deux mètres de hauteur et six
mètres de longueur. Ces plaques seront assemblées à l'aide de chevrons de 2,50 mètres de
longueur, solidement ancrés dans le sol à l'aide de socles en béton de dimensions 30x30x30
cm.
Panneau de chantier
Un panneau obligatoire de 2,00x2,00 mètres doit être installé, bien visible depuis la
voie publique. Il devra contenir les informations suivantes :
- Objectif du projet
- Numéro de marché
- Entreprise de construction Tous Corps d’Etat
- Bureau de coordination
- Maître d’ouvrage
- Architecte
- Bureau d'Études Techniques
- Laboratoire
- Bureau de contrôle
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Accès au chantier
Les portes d'accès au chantier doivent s'ouvrir vers l'intérieur pour permettre le
passage des véhicules et des piétons. Un pictogramme rappelant l'obligation du port du casque
à l'intérieur du chantier doit être affiché.
Bureau de réunion
Dès le début du chantier, un bureau de réunion de 20m² doit être installé. Il devra être
pourvu d'une porte, de deux fenêtres, d'une table avec des chaises en nombre suffisant, de
panneaux en contre-plaqué pour afficher les plans, le planning des travaux, le cahier des
réceptions (réceptions des fouilles, du ferraillage, et autorisation de coulage), ainsi qu'un
placard pour classer les plans.
n cantonnement pour le logement des ouvriers est une zone ou un espace spécialement
aménagé pour héberger les travailleurs temporaires, généralement dans des secteurs où des
projets de construction, d'industrialisation ou d'exploitation nécessitent une main-d'œuvre
temporaire sur site., chacune mesurant 9 m².
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Sanitaires
Des équipements sanitaires sont obligatoires sur le chantier, comprenant un lavabo
avec point d'eau, des WC à la turque raccordés temporairement à l'égout, ainsi qu'une douche.
Ateliers et magasins
Les réseaux
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Grue fixe
H SC = 21.1m
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La signalisation du chantier
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CHAPITRE 2 : TOPOGRAPHIE
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La topographie
La topographie est la science qui a pour but de présenter sur une feuille plane une
portion de la surface de la terre.
Une bonne étude et connaissance de la topographie du site est nécessaire avant l'étude
technique du projet. Cette étude nous aide à formuler des hypothèses sur sa position exacte,
ses dimensions, ainsi que les possibilités de mise en œuvre.
L’étude topographique consiste à :
Limiter exactement la position foncière du terrain et donner sa surface exacte ;
Etablir le levé topographique général du terrain ;
Etablissement du plan coté
Pour la nouvelle Carte du MAROC, l’Institut Géographique chargé de la Géodésie, a
choisi le système LAMBERT qui est dérivé d’un développement conique.
La projection conique conforme de Lambert, ou plus simplement, la projection de
Lambert est l'une des projections cartographiques ou les méridiens sont des droites
concourantes, et les parallèles des arcs de cercle centrés sur le point de convergence des
méridiens.
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RELEVE TPOGRAPHIQUE DU SITE
Un levé topographique consiste à collecter des données sur le terrain afin d'en
proposer une restitution à l'échelle souhaitée sous la forme d'un plan topographique. Pour ce
faire, il est nécessaire d'établir un système de coordonnées tridimensionnel dans lequel seront
représentés l'objet ou le terrain relevé.
Les levés topographiques peuvent probablement être l'application la plus populaire
pour établir les limites des terres ou des propriétés.
Cette enquête vise principalement à recueillir des données sur les caractéristiques du
terrain et son altitude.
A partir des cartes et des levés topographiques, on détermine toutes les données qui
pourront être importantes pour faire un choix judicieux de l'ouvrage et de son implantation.
Pour appliquer un levé topographique du terrain de notre projet, on a utilisé un
tachéomètre.
Un tachéomètre est défini comme un théodolite doté d’un stadimètre. C'est donc un
instrument qui permet d’effectuer la mesure simultanée des angles horizontaux, des distances
et des angles verticaux. Il permet de conduire simultanément la planimétrie et le nivellement.
est un instrument d'optique, mesurant des angles dans les deux plans horizontaux et
verticaux. Il est utilisé pour réaliser les mesures d’une triangulation, c-à-d des angles d’un
triangle.
Un stadimètre : Instrument d'optique qui permet de lire directement sur une mire
graduée la distance entre la station de visée et celle où est placée la mire.
Une mire est une règle plate graduée, que l'on dispose verticalement sur les points
dont on veut repérer la position ou l'altitude.
Un croquis est un dessin fait rapidement, à main levée, sans recherche de détails dans
le but de dégager à grands traits, l'essentiel du sujet, du motif, c’est une explication visuelle,
en tant qu'outil de communication
Un croquis topographique est une représentation simplifiée de la carte. Il représente
les principaux ensembles topographiques présents sur une carte. Il suppose d’être synthétique
et de savoir hiérarchiser les phénomènes topographiques.
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LISTE DES COORDONNEES DU TERRAIN
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Liste des coordonnées du terrain :
Matricule X Y
P1 296670.090 334196.440
P2 296811.590 334184.100
P3 296809.960 334165.640
P4 296808.010 334162.350
P5 296801.710 334162.350
P6 296807.370 334158.410
P7 296801.640 334158.740
P8 296770.710 334151.410
P9 296780.680 334108.350
P10 296784.700 334109.350
P11 296798.120 334052.010
P12 296755.980 334032.670
P13 296752.830 334043.580
P14 296755.360 334044.180
P15 296753.860 334050.540
P16 296715.350 334038.830
P17 296668.180 334141.580
P18 296665.310 334150.100
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CALCUL DES GISEMENTS ET DES DISTANCES
X N 1 = X P 1 + D P 1 N 1 . sin(¿ P 1 P 2 )
= 296670.090+92.31.sin (105.54)
X N 1 = 296762.051m
Calcul de point N2 :
Calcul de gisement P9P8 :
P8 296770.710 334151.410
P9 296780.680 334108.350
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ΔX= = 296780.680-296770.710=9.97m
ΔY= 334108.350-334151.410= -43.06m
Δy 43.06
V P 8 P 9 = tg−1( ¿ = tg−1( ¿ = 85.52 gr
Δx 9.97
¿ P 8 P 9 = V P 9 P 8 + 300 = 85.52 + 100 = 185.52 gr
= 296770.710+36.68.sin (185.52)
X N 2 = 296778.981m
Calcul de point N3 :
Calcul de gisement P17P18 :
P17 296668.180 334141.580
P18 296665.310 334150.100
= 296665.310+61.67.sin (179.32)
X N 3 = 296689.622m
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Calcul de point N4 :
Pour obtenir l’emplacement exacte de 1er arbre (point N4) nous avons utilisés la
méthode d’intersection des cercles , nous avons mesurés la distance entre le cote gauche de
l’amphi et l’arbre1 qui nous a donnée d=22m, et puis on a fait un cercle de rayon =22.64m,
obtenu par le rayon de l’arbre qui a un périmètre de 4m
P 4.00
Rcercle 1=d + Rarbre 1 => Rcercle 1=d + = 22.00+
2π 2π
Rcercle 1=22.64 m
On a mesuré aussi la distance entre l’arbre1 et le milieu de terrain qui égale d’=32.62m
Alors,
P 4.00
Rcercle 2=d + Rarbre 2 => Rcercle 2=d + = 32.62+
2π 2π
Rcercle 1=33.26 m
Par la suite on effectue les deux cercles a l’aide des valeurs mesurés au-dessus, et on
prend le point de leur intersection, et nous avons trouver les cordonnées suivants :
X N 4=¿296723.3454 ; Y N 4 =¿334164.8449
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Calcul de point N5 :
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Calcul de point N6 :
Pour les deux regards on va travailler avec quatre cercles pour obtenir l’emplacement
exacte, chaque intersection des deux cercles donne l’emplacement d’un coin de regard alors
on obtient :
Pour le 1er point on a : d1=9.60m ; d1’=22.30m
Pour le 2eme point on a : d2=11.35m ; d2’=21.80m
Et par la suite on a les coordonnées de centre de regard1(point N6) sont :
X N 6 =¿ 296722.1237; Y N 6=¿ 334150.1594
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Calcul de point N7 :
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CALCUL DES CONTENANCES
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Points - + X Y + -
P1 296670,09 334196,44
N1 108,89 296762,051 334188,417 -80,77
N2 -77,06 296778,981 334115,675 -96,76
N3 -110,80 296689,622 334094,877 25,91
P17 -19,68 296668,18 334141,58 58,45
P18 296665,31 334150,1
2S = 17474,62458m2
S=8737,31m2
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RELVE TOPOGRAPHIQUE DU PROJET
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LISTE DES COORDONNEES DU PROJET
Matricule X Y
F1 296706.2578 334134.817
F2 296710.1248 334136.5924
F3 296705.7682 334146.0818
F4 296699.2316 334143.0809
F5 296694.3679 334140.848
F6 296698.7245 334131.3585
F7 296700.0289 334131.9574
F8 296700.5285 334130.8693
F9 296690.6821 334126.3488
F10 296692.0168 334123.4414
F11 296695.3345 334116.215
F12 296705.1809 334120.7354
F13 296705.8091 334119.3669
F14 296703.7302 334118.4125
F15 296708.1285 334108.8321
F16 296712.8543 334111.0016
F17 296719.2402 334113.9333
F18 296716.0761 334120.8254
F19 296725.9106 334125.3404
F20 296722.5513 334132.6577
F21 296721.2165 334135.5652
F22 296711.0974 334130.9195
F23 296713.0391 334126.6902
F24 296709.116 334124.8891
F25 296706.9047 334129.7058
F26 296704.2693 334128.4959
F27 296703.1729 334130.8839
F28 296707.2121 334132.7383
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Liste des coordonnées pour bloc 2 :
Matricule X Y
F29 296698.2197 334174.1058
F30 296702.5136 334173.662
F31 296702.0352 334169.0329
F32 296713.1107 334167.8883
F33 296713.4396 334171.0705
F34 296714.2953 334179.0765
F35 296703.5032 334180.1919
F36 296704.2829 334187.7355
F37 296697.2934 334188.4577
F38 296692.1209 334188.9923
F39 296691.0372 334178.5063
F40 296693.3127 334178.2711
F41 296693.1579 334176.7733
F42 296682.3808 334177.8871
F43 296681.5633 334169.9777
F44 296681.2345 334166.7955
F45 296692.0116 334165.6816
F46 296691.8885 334164.4907
F47 296690.4608 334164.6382
F48 296689.3874 334154.2518
F49 296694.7107 334153.7016
F50 296701.8652 334152.9622
F51 296702.9386 334163.3487
F52 296698.7061 334163.7861
F53 296698.9413 334166.0613
F54 296694.5202 334166.5182
F55 296694.7904 334169.132
F56 296697.6749 334168.8339
55
CALCUL DES GISEMENTS ET DES DISTANCES
ΔX=296710.1248-296706.2578 =3.87
La distance entre F1 et F2:
ΔY=334136.5924 - 334134.817= 1,78
D F 1 F 2 = √ Δ X 2+ ΔY ²
ΔX 3.87
V F 1 F 2 = tg−1( ¿ = tg−1( ¿ = 72.56 gr =√ 3.8 72 +1.78 ²
ΔY 1.78
¿ F 1 F 2 = V F 1 F 2 =72.56 gr D F 1 F 2 =4.26m
56
¿ F 3 F 4 = V F 3 F 4 +300=327.38 gr
57
Calcul de gisement F7F8 :
F7 296700.0289 334131.9574
F8 296700.5285 334130.8693
58
F10 296692.0168 334123.4414
F11 296695.3345 334116.215
59
Calcul de gisement F13F14 :
F13 296705.8091 334119.3669
F14 296703.7302 334118.4125
60
Calcul de gisement F16F17 :
F16 296712.8543 334111.0016
F17 296719.2402 334113.9333
61
Calcul de gisement F19F20 :
F19 296725.9106 334125.3404
F20 296722.5513 334132.6577
62
F22 296711.0974 334130.9195
F23 296713.0391 334126.6902
63
Calcul de gisement F25F26 :
F25 296706.9047 334129.7058
F26 296704.2693 334128.4959
64
Calcul de gisement F29F30 :
F29 296698.2197 334174.1058
F30 296702.5136 334173.662
ΔX=296702.5136-296698.2197= 4.29
La distance entre F29 et F30:
ΔY=334173.662- 334174.1058= -0.44
D F 29 F 30 = √ Δ X 2+ ΔY ²
Δy 0.44
V F 29 F 30 = tg−1( ¿ = tg−1( ¿ = 6.51 gr =√ 4.29²+ 0.44 ²
Δx 4.29
¿ F 29 F 30 = V F 29 F 30 +100=106.51 gr D F 29 F 30 =4.31m
D F 38 F 39 10.55m
ΔY=334178.5063- 334188.9923= -10.49
ΔX 1.08
V F 38 F 39 = tg−1( ¿ = tg−1( ¿ =6.53 gr
ΔY 10.49
¿ F 38 F 39 = V F 38 F 39+200 = 206.53gr
68
Calcul de gisement F41F42 :
F41 296693.1579 334176.7733
F42 296682.3808 334177.8871
69
Calcul de gisement F44F45 :
F44 296681.2345 334166.7955
F45 296692.0116 334165.6816
70
Calcul de gisement F47F48 :
F47 296690.4608 334164.6382
F48 296689.3874 334154.2518
71
Calcul de gisement F50F51 :
F50 296701.8652 334152.9622
F51 296702.9386 334163.3487
72
Calcul de gisement F53F54 :
F53 296698.9413 334166.0613
F54 296694.5202 334166.5182
73
CALCUL DES CONTENANCES
Calcul de contenance pour bloc 1 :
Points - + X Y + -
F1 296706.2578 334134.817
F2 -0.49 296710.1248 334136.5924 11.26
F3 -10.89 296705.7682 334146.0818 6.49
F4 -11.40 296699.2316 334143.0809 -5.23
F5 -0.51 296694.3679 334140.848 -11.72
F6 5.66 296698.7245 334131.3585 -8.89
F7 1.80 296700.0289 334131.9574 -0.49
F8 -9.35 296700.5285 334130.8693 -5.61
F9 -8.51 296690.6821 334126.3488 -7.43
F10 4.65 296692.0168 334123.4414 -10.13
F11 13.16 296695.3345 334116.215 -2.71
3.15
F12 10.47 296705.1809 334120.7354
F13 -1.45 296705.8091 334119.3669 -2.32
F14 2.32 296703.7302 334118.4125 -10.53
F15 9.12 296708.1285 334108.8321 -7.41
F16 11.11 296712.8543 334111.0016 5.10
F17 3.22 296719.2402 334113.9333 9.82
F18 6.67 296716.0761 334120.8254 11.41
F19 6.48 296725.9106 334125.3404 7.32
F20 -4.69 296722.5513 334132.6577 10.22
F21 -11.45 296721.2165 334135.5652 -1.74
F22 -8.18 296711.0974 334130.9195 -8.88
F23 -1.98 296713.0391 334126.6902 -6.03
F24 -6.13 296709.116 334124.8891 3.02
F25 -4.85 296706.9047 334129.7058 3.61
F26 -3.73 296704.2693 334128.4959 1.18
F27 -4.69 296703.1729 334130.8839 4.24
2.94
F28 296707.2121 334132.7383
2S = 1180.42m2
S=590.21m2
74
Calcul de contenance pour bloc 1 :
Points - + X Y + -
F29 296698.2197 334174.1058
F30 3.82 296702.5136 334173.662 -5.07
F31 10.60 296702.0352 334169.0329 -5.77
F32 11.40 296713.1107 334167.8883 2.04
F33 1.18 296713.4396 334171.0705 11.19
F34 -9.94 296714.2953 334179.0765 9.12
F35 -10.01 296703.5032 334180.1919 8.66
F36 -6.21 296704.2829 334187.7355 8.27
F37 -12.16 296697.2934 334188.4577 1.26
F38 -6.26 296692.1209 334188.9923 -9.95
F39 1.19 296691.0372 334178.5063 -42.38
F40 2.12 296693.3127 334178.2711 -1.73
F41 -10.93 296693.1579 334176.7733 -0.38
F42 -11.59 296682.3808 334177.8871 -6.80
F43 -1.15 296681.5633 334169.9777 -11.09
F44 10.45 296681.2345 334166.7955 -4.30
F45 10.65 296692.0116 334165.6816 -1.04
F46 -1.55 296691.8885 334164.4907 -1.04
F47 -2.50 296690.4608 334164.6382 -10.24
F48 4.25 296689.3874 334154.2518 -10.94
F49 12.48 296694.7107 334153.7016 -1.29
F50 8.23 296701.8652 334152.9622 9.65
F51 -3.16 296702.9386 334163.3487 10.82
F52 -3.16 296698.7061 334163.7861 2.71
F53 -4.19 296698.9413 334166.0613 2.73
F54 -4.15 296694.5202 334166.5182 3.07
F55 3.15 296694.7904 334169.132 2.32
F56 296697.6749 334168.8339
2S = 1180.42m2
S=590.21m2
75
CHAPITRE 3 : MECANIQUE DES SOLS ET GEOTECHNIQUE
76
Introduction
Une étude géotechnique est réalisée pour évaluer les propriétés mécaniques et physiques du
sol et des roches d'un site. Elle permet de fournir des informations essentielles aux ingénieurs
et architectes pour concevoir des structures sûres et durables, en prenant en compte les
conditions géologiques, la stabilité du sol, et les risques liés aux mouvements de terrain, tels
que les glissements de terrain ou les affaissements.
77
Cette étude géotechnique porte sur les points suivants :
La lithologie des terrains
Les caractéristiques géotechniques des sols rencontrés
Les modalités des fondations : Le niveau d’assise, le type de fondation et
tassement
La contrainte admissible du sol d’assise
Les paramètres sismiques
Les dispositions constructives à prévoir ;
Figure : Photo de l’emplacement du futur projet
78
RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE DU SOL
Description De l’ouvrage
Le projet de construction des logements administratifs est situé dans l’aire de l’IFTTS zone Nord-
Ouest, desservi par deux voies publiques, Boulevard de Ibn Tachfine et Rue Lardin.
79
80
N°de sondage Profondeurs Nature de sol
0.00 à 1.20 Remblai hétérogène
Sondage 1 1.20 à 3.80 Tuf sableux
3.80 à 5.00 Sable.
0.00 à 1.00 Remblai hétérogène
Sondage 2 1.00 à 3.70 Tuf sableux
3.70 à 4.90 Sable.
0.00 à 1.10 Remblai hétérogène
Ces sondages réalisés, nous ont donnés un profil lithologique qui représente
graphiquement la séquence des différentes couches de sols rencontrées dans une région
donnée, généralement sous la surface de la Terre.
Ce profil permet de visualiser la composition et la disposition des couches géologiques
de différents sondages extraits dans une zone spécifique
Les coupes lithologiques corresponds aux sondages sont remises en annexes
81
Aucune trace d’eau n’a été détectée au niveau des sondages exécutés et jusqu’aux
profondeurs atteintes
Un sondage carotté complémentaire a été réalisé lors des travaux de terrassement, la
coupe lithologique moyenne obtenue formations est consignée ci-après :
ESS
AIS DE LABORATOIRE
Les essais de laboratoire de sol sont des procédures analytiques essentielles réalisées
en laboratoire afin d'évaluer en profondeur les propriétés et la composition d'un échantillon de
sol. Ces essais revêtent une importance capitale dans une multitude de domaines liés à la
construction, car ils fournissent des données cruciales pour comprendre la qualité et les
caractéristiques du sol sur un site donné.
L'une des raisons fondamentales de la réalisation de ces essais est de déterminer
comment le sol réagira aux charges et aux contraintes qui lui seront imposées une fois qu'une
structure, telle qu'un bâtiment, sera construite. Voici quelques aspects clés de l'importance des
essais de laboratoire de sol dans le contexte de la construction : Ces essais sont exécutés selon
des procédures et des normes nationales et ou internationales.
A partir du rapport d’essais on retient les caractéristiques géotechniques des
échantillons prélevés.
Remblai
- - - - -
hétérogène
Tuf sableux - 1.85 1.2 25 1%
Sable. - 1.85 1.2 25 1%
82
ÉTUDE DES FONDATIONS
L'étude des fondations est une phase essentielle qui comprend l'établissement d'un
rapport d'essais donnant les caractéristiques des différentes couches de sol soumises à des
essais.
A partir du rapport d’essais on retient les caractéristiques géotechniques des
échantillons prélevés.
LA CAPACITE PORTANTE
Calcul de tassement
86
Le calcul de tassement est divisé en deux relation, la première sert a calculé le
tassement initial, et la deuxième pour le tassement de consolidation
Le tassement total c’est la somme des deux relations.
s f =si + sc
2
c f ∗1−ν
si= ∗q∗B
E
Avec :
L
c f : le coefficient de forme c f =
B
ν : le coefficient de poisson (=0.33)
E : module de réaction sol
B : longueur de la semelle
1.35 2
∗1−0.33
2.15 =0.12m
si= ∗17.44∗2.15
180
si=12 cm
87
'
H∗C c σV 0+ Δ σ z
sc = ∗log
1+ e0 σ p'
Avec :
H : hauteur initiale de la couche(=1.10m)
C c : indice de compression (=0.12)
e 0 : indice de vide (=0.810)
'
σ V 0: contrainte verticale(=3*1.85=5.50t/m²)
σ p ' : pression de pré consolidation (=250t/m²)
qLB
Δ σ z : variation de la contrainte Δ σ z=
(L+ Z)(B+ Z)
On a
17 . 44∗2. 15∗1. 35
Δ σ z= =5 .54 t
( 2.15+1.3 )∗(1.35+1.3)
10∗0 . 12 2 . 41+5 .54
sc =1 . ∗log =¿-0.10m
1+0 . 810 250
Alors le tassement final est :
s f =12−10=2 cm
88
LES RECOMMANDATIONS CONSTRUCTIVES
89
CHAPITRE 5 : : REGLEMENT D’URBANISME/ ARCHITECTURE
ET DESSIN
90
REGLEMENT D’URBANISME
91
ARCHIRECTURE ET DESSIN
CONCEPTION ARCHITECTURELLE
Remarque :
Les étages :
Dans notre projet nous avons des étages type qui sont réservés pour les logements de
différentes surfaces :
1er logement de surface de 112.20m²
Un salon 21.83m²
Une chambre 1 14.37m²
Une chambre 2 13.68m²
Une chambre 3 12.19m²
Une cuisine 11.87m²
Un S.D. B 7.45m²
Un W.C 5.46m²
Un hall 17.50m²
Un salon 22.63m²
Une chambre 1 15.05m²
Une chambre 2 19.15m²
Une chambre 3 14.39m²
Une cuisine 13.20m²
Un S.D. B 6.79m²
94
Un hall 21.21m²
95
Plan de masse
96
Plan de masse 3d
97
Plan RDC1
98
Plan RDC2
99
Plan 1er étage
100
Plan 2eme étage
101
Plan 3eme étage
102
Plan café
103
Les COUPES
LES FACADES
Une façade d'un bâtiment est en effet la face extérieure visible depuis l'extérieur
lorsque l'on regarde le bâtiment selon un axe perpendiculaire centré, en utilisant un repère
cardinal de position de l'observateur ou en prenant en compte le contexte environnemental
immédiat. Les façades jouent un rôle essentiel dans l'esthétique, la fonctionnalité et la
perception d'un bâtiment, car elles sont souvent la première chose que l'on voit et elles
peuvent refléter le style architectural, l'histoire et la fonction du bâtiment.
LES PERSPECTIVES
Une perspective est en effet un procédé artistique et graphique qui permet de
représenter un objet tridimensionnel (comme un bâtiment) sur une surface bidimensionnelle
(comme une feuille de papier ou une toile) de manière à donner l'illusion de la profondeur et
de la dimension. Cela se fait en utilisant des techniques telles que la réduction de la taille des
objets à mesure qu'ils s'éloignent du point de vue de l'observateur, la convergence des lignes
parallèles vers un point de fuite, et d'autres techniques visuelles pour créer une impression de
profondeur et de réalisme.
La perspective est un outil puissant en art et en illustration, car elle permet de rendre
les objets et les scènes plus réalistes en imitant la manière dont nous percevons le monde en
trois dimensions. Elle est largement utilisée en architecture, en peinture, en dessin technique
et dans de nombreuses autres disciplines visuelles pour créer des représentations précises et
convaincantes de l'espace tridimensionnel
104
Coupe BB :
105
Coupe CC:
106
Coupe AA:
107
Façade Principale de bâtiment 1 :
108
Façade gauche de bâtiment 1
109
Facade principale batiment 2
110
Facade gauche batiment 2 :
111
Façade principale du café
112
Facade arriere café
113
Perspective conique de bâtiment
114
3d du projet
115
CHAPITRE 6 : TECHNOLOGIE DE CONSTRUCTION
116
Introduction
117
LES ELEMENTS DE CONSTRUCTION (GROS ŒUVRE)
Les terrassements
Le terrassement et les fouilles des ouvrages sont les opérations consistant à creuser,
déplacer ou remblayer le sol pour créer un espace adéquat permettant de construire les
différents éléments maçonnés nécessaires à la réalisation d'un ouvrage.
Les travaux de terrassement et de fouilles sont cruciaux pour assurer une base solide et
sécurisée sur laquelle seront érigés les éléments structurels de l'ouvrage, assurant ainsi sa
durabilité et son bon fonctionnement à long terme.
Les techniques de terrassement et de fouilles varient en fonction des caractéristiques
du sol, de la taille de l'ouvrage et des contraintes spécifiques du projet. Ces opérations doivent
également prendre en compte les considérations environnementales et de sécurité pour
minimiser l'impact sur l'environnement et protéger les travailleurs impliqués dans le chantier.
Durant la réalisation de ce projet, on a effectué plusieurs types de terrassement
tels :
Excavation : L'excavation est le processus de creusement ou d'enlèvement de
matériaux du sol ou du sous-sol d'un site de construction pour créer un espace en
dessous du niveau du terrain naturel en général moins de 2 mètres de largeur
Ces espaces excavés peuvent être utilisés pour diverses fins, telles que la construction
de fondations de bâtiments, de tranchées pour les canalisations, les fondations de
routes, les tunnels, les piscines, les puits, etc.
118
Fouille en rigole : les fouilles en rigole sont creusées à des endroits spécifiques d'une
construction et vont recevoir les semelles de fondation, avec une largeur au fond qui
est généralement inférieure à 2 mètres.
119
STRUCTURE PORTEUSE
120
La mise à la terre
La mise à la terre pour les bâtiments est une pratique cruciale en matière de sécurité
électrique et de protection contre les risques d'incendie et d'électrocution. Elle vise à créer une
connexion électrique fiable entre le système électrique du bâtiment et la Terre, garantissant
ainsi la stabilité des installations électriques et la sécurité des occupants
Il existe plusieurs raisons importantes pour lesquelles la mise à la terre est
cruciale :
121
122
Les escaliers
Les escaliers sont des éléments architecturaux essentiels dans les bâtiments pour
permettre aux personnes de se déplacer verticalement entre les différents niveaux d'un édifice.
Ils sont constitués d'une série de marches ou de marches reliées par des paliers, formant un
chemin continu d'accès entre les étages. Les escaliers peuvent être à usage intérieur ou
extérieur, et ils jouent un rôle important en termes de circulation, de sécurité et de design dans
un bâtiment.
Ils sont caractérisés par les éléments suivants :
La trémie (ou chevêtre) : Un vide créé dans le plancher entre deux étages afin
de permettre d'installer l'escaliers.
Marches : Les marches sont les surfaces horizontales des escaliers sur
lesquelles les gens marchent en montant ou en descendant.
Contremarches : Les contremarches sont les surfaces verticales entre les
marches. Certains escaliers peuvent être ouverts, c'est-à-dire sans
contremarches, tandis que d'autres peuvent en avoir pour une meilleure
stabilité et sécurité.
Giron : Il représente la profondeur horizontale d'une marche, c'est-à-dire la
distance horizontale entre le nez de la marche et le début de la marche suivante.
Le nez de marche : la partie saillante la plus en avant d'une marche d'escalier.
La paillasse (crémaillère cas d’escalier en bois) : Supporte les marches et les
contre-marches
L’échappé :la hauteur libre verticale entre deux marches successives d'un
escalier.
La volée : Une succession de marches ;
Le jour : Espace libre entre deux volées ;
Le palier de départ : Un palier de départ d'escalier est un plateau horizontal
situé au bas d'un escalier. Il s'agit généralement de la première marche ou de
l'espace plat où les personnes peuvent se tenir avant de commencer à monter
l'escalier.
Le palier intermédiaire : est une plateforme horizontale située entre deux
tronçons d'escalier. Il s'agit d'un espace plat qui permet aux utilisateurs de faire
une pause ou un changement de direction lorsqu'ils montent ou descendent un
escalier long ou haut.
Le palier d’arrivée : Le palier d'arrivée d'un escalier est la plateforme
horizontale située au sommet de l'escalier. C'est l'endroit où les utilisateurs
atteignent le niveau supérieur du bâtiment ou de l'étage après avoir gravi les
marches de l'escalier.
La ligne de foulée : La ligne de foulée fait référence à une ligne imaginaire
tracée à partir du nez de chaque marche d'escalier jusqu'au point vertical où se
trouve le nez de la marche suivante.
123
L’échappée (échappée de tête) : la distance mesurée horizontalement entre le
nez de la dernière marche d'un escalier et un obstacle, généralement un plafond
ou une structure en surplomb, situé au-dessus de l'escalier.
Les murs d'échiffre : murs adjacents à un escalier, le long desquels les
marches de l'escalier sont construites ou encastrées
La cage d’escalier : La cage d'escalier est l'espace vertical à l'intérieur duquel
un escalier est installé. C'est l'enveloppe ou le volume qui entoure l'escalier
La formule de GLONDEL :
La formule de GLONDEL est une formule utilisée pour calculer la hauteur de la
contremarche dans un escalier. Elle est utilisée pour obtenir une hauteur de contremarche
optimale qui assure une montée confortable et sécurisée pour les utilisateurs de l'escaliers
La formule est la suivante : 2H + G = 60 à 64cm
Avec : G : le giron
H : la hauteur de la contre-marche
124
125
Les escaliers de secours :
126
127
LES PLANCHERS
Les planchers sont des éléments horizontaux dans une construction qui séparent les
différents niveaux d'un bâtiment. Ils constituent la surface sur laquelle les occupants
marchent, travaillent, et où les meubles, équipements et autres charges sont placés
Il existe plusieurs types de planchers :
Dalle pleine en Béton Armé :
Une dalle pleine en Béton Armé est un élément de l’ossature en Béton Armé collée
sur place avec des armatures.
Les dalles pleines en béton armé sont constituées d'une épaisseur uniforme de béton
armé, dans notre cas elle est de 13cm. Le béton est renforcé avec des barres d'acier, également
appelées armatures, qui sont incorporées dans la dalle pour augmenter sa résistance à la
traction et sa capacité à supporter les charges.
128
Le béton : Le béton est un mélange de ciment, de sable, de gravier et d'eau. Lorsqu'il
est mélangé, le ciment réagit chimiquement avec l'eau pour durcir et former une
substance solide. Le béton est très résistant à la compression, ce qui signifie qu'il peut
supporter des charges importantes en étant pressé.
Le ciment
129
La fabrication du ciment passe par plusieurs étapes, notamment l'extraction des
matières premières, leur broyage, leur mélange dans les proportions appropriées, leur
cuisson à des températures élevées dans un four rotatif, puis le broyage final pour
obtenir le ciment en poudre. Le processus de cuisson dans le four crée le clinker, qui
est la phase principale du ciment.
Il existe plusieurs types de ciment, dont les plus courants sont le ciment
Portland, le ciment Portland composite et le ciment Portland au laitier. Chacun de ces
types de ciment a des caractéristiques spécifiques et est utilisé dans diverses
applications de construction en fonction de ses propriétés, c’est le CPJ45
Armature en acier :
130
131
Le coffrage :
132
133
Dalle en hourdis :
Un plancher à hourdis, également appelé plancher hourdis ou plancher poutrelles-
hourdis, est un type de plancher couramment utilisée dans la construction de bâtiments,
caractérisée par l’isolation acoustique, installation rapide….
Il se compose de poutrelles en béton ou en acier qui sont espacées à des intervalles
réguliers et soutenues par des murs porteurs ou des poteaux. Entre les poutrelles, des éléments
préfabriqués appelés hourdis sont placés pour former une surface plane sur laquelle le
revêtement de sol final peut être installé.
On distingue différents types du plancher et qui sont : « 12+4 », « 16+4 », « 20+5 »,
« 25+5 ». Le premier chiffre indique l’épaisseur des hourdis et le deuxième indique
l’épaisseur la table de compression.
L’hourdis est un bloc de béton plein creux, de terre cuite ou de polystyrène placé
entre les poutrelles d’un plancher préfabriqué en béton.
Un treillis métallique est un assemblage de fils métalliques croisés et soudés pour
former une grille ou un réseau. Il est généralement fabriqué à partir de fils d'acier ou d'autres
matériaux métalliques, tels que l'acier inoxydable ou l'aluminium
Dans notre cas on a utilisé un plancher à corps creux de type 25+5.
134
Finition : La dalle de plancher est finie en lissant la surface et en laissant sécher le béton.
Selon les besoins, d'autres finitions telles que le polissage ou l'application de revêtements
de sol peuvent être effectuées.
135
LES BALCONS
136
LES POUTRES
Les poutres sont des éléments structurels horizontaux utilisés dans les bâtiments pour
supporter des charges verticales et transmettre ces charges aux poteaux ou aux murs porteurs.
Elles font partie intégrante de la structure du bâtiment et jouent un rôle essentiel dans sa
stabilité et sa résistance.
On distingue deux types de poutres concernant la descente des charges :
Une poutre isostatique : est une poutre qui est conçue de manière à être parfaitement
équilibrée ou statiquement déterminée, ce qui signifie qu'elle a un nombre suffisant de
supports et de liaisons pour maintenir son équilibre sans nécessiter de calculs
complexes. En d'autres termes, une poutre isostatique est une poutre dont le nombre de
supports et de réactions est égal au nombre d'incertitudes (déplacements et rotations)
de la structure.
Une poutre hyperstatique : est un type particulier de poutre qui présente plus de degrés
de liberté et de supports que nécessaire pour maintenir sa stabilité structurelle. En
d'autres termes, une poutre hyperstatique est une poutre qui est plus "rigide" que ce qui
serait nécessaire pour résister aux charges auxquelles elle est soumise. Cette rigidité
supplémentaire peut rendre l'analyse et la conception de la structure plus complexes.
Les poutres hyperstatiques sont couramment rencontrées dans les structures de génie
civil, les bâtiments et les ponts, où la complexité de la charge et de la géométrie peut
entraîner la nécessité d'introduire plus de supports ou de points d'appui que ce qui serait
strictement requis pour une poutre statiquement déterminée.
LES POTEAUX
Les poteaux sont des éléments structurels utilisés dans la construction pour
supporter des charges verticales et transmettre ces charges au sol. Ils sont généralement
constitués de béton armé, c'est-à-dire du béton renforcé par des barres d'acier, également
appelées armatures.
Les poteaux jouent un rôle essentiel Lorsqu'ils sont utilisés en conjonction avec des
poutres pour former des cadres ou des portiques, ils deviennent des éléments structuraux
clés pour résister aux forces horizontales telles que celles générées par les séismes et les
vents.
137
L’ETANCHIETE
L'étanchéité désigne la propriété d'un matériau, d'une structure ou d'un système qui
empêche ou limite le passage de liquides, de gaz ou de particules à travers ses surfaces ou ses
joints. Dans le contexte du bâtiment et de la construction, l'étanchéité est une caractéristique
essentielle pour assurer la protection des éléments structurels et des espaces intérieurs contre
les infiltrations d'eau, d'humidité, d'air, de poussière et d'autres éléments indésirables.
Domain d’application
Une bonne étanchéité est essentielle dans diverses parties du bâtiment, notamment :
Toiture : Une toiture étanche empêche l'eau de pénétrer à l'intérieur du bâtiment,
protégeant ainsi les espaces intérieurs et les matériaux de construction contre les dommages
liés à l'humidité.
Façades : Une étanchéité adéquate des façades assure que les murs extérieurs sont
protégés des infiltrations d'eau et que l'humidité n'endommage pas les isolants ou les éléments
de construction.
Fenêtres et portes : Les encadrements de fenêtres et de portes doivent être étanches
pour empêcher l'infiltration d'eau ou d'air et pour assurer l'efficacité énergétique du bâtiment.
Sols et sous-sols : Une étanchéité appropriée des sols et des sous-sols est essentielle
pour éviter les problèmes d'humidité et de moisissures.
Salles de bains et cuisines : Les zones humides comme les salles de bains et les
cuisines nécessitent une étanchéité spéciale pour éviter les fuites d'eau et les dégâts.
Types d’étanchéité
Pour assurer une bonne étanchéité, on utilise différents matériaux et méthodes, tels que
les membranes d'étanchéité, les mastics, les produits de scellement, les revêtements étanches,
etc…
Le cas pour notre projet, on va utiliser l’étanchéité bicouche qui représente une
méthode d'étanchéité qui implique l'application de deux couches de matériaux étanches
distincts pour former une barrière étanche. Cette approche est couramment utilisée dans la
construction pour améliorer la durabilité et la résistance à l'eau des surfaces, notamment les
toits, les terrasses et les fondations. Les deux couches servent de protection supplémentaire
contre les fuites et les infiltrations d'eau.
138
Cette méthode est souvent préférée dans les applications où une grande fiabilité et une
protection accrue contre les fuites sont nécessaires, et elle est fixée suivant les étapes
suivantes :
Préparation de la surface : La surface à étanchéifier doit être soigneusement
préparée pour s'assurer qu'elle est propre, sèche, lisse et exempte de débris, de fissures
ou de défauts.
Application de la première couche : La première couche d'étanchéité est appliquée
sur la surface préparée. Cette couche peut être constituée de divers matériaux, tels que
des membranes bitumineuses, des feuilles d'EPDM, des revêtements liquides, etc. Elle
est souvent fixée mécaniquement ou collée à la surface.
Installation de renforts (si nécessaire) : Dans certaines applications, des renforts tels
que des tissus d'étanchéité ou des armatures peuvent être incorporés dans la première
couche pour renforcer la résistance de l'étanchéité.
Application de la deuxième couche : Une fois que la première couche est en place,
une deuxième couche d'étanchéité est appliquée par-dessus. Cette deuxième couche est
souvent du même type de matériau que la première, mais elle peut être installée de
manière à chevaucher les joints de la première couche, créant ainsi une protection
supplémentaire contre les fuites.
Finition et scellement : Les bords, les joints et les détails spécifiques sont
soigneusement scellés pour garantir une étanchéité complète. Des mastics, des
adhésifs ou des produits d'étanchéité spéciaux peuvent être utilisés pour cette fin.
Test d'étanchéité : Après l'installation des deux couches, un test d'étanchéité peut être
effectué pour s'assurer que la surface est bien étanche et qu'aucune infiltration d'eau
n'a lieu.
139
LES SECONDES ŒUVRES
Le second œuvre correspond à tous les travaux qui sont réalisés à la suite du gros
œuvre lors de la construction d’un bâtiment. La première partie est relative à l’ossature de
l’ouvrage, alors que la seconde concerne son habitabilité, non couverte par la garantie
décennale.
Le second œuvre a donc pour fonction d’aménager et d’habiller la structure pour la
rendre habitable, ils contiennent l’ensemble des travaux suivants :
La PLOMBERIE
L’ELECTRICITE
LA MENUISERIE
REVETEMENT
FAUX PLAFOND
LA PEINTURE
LA CLIMATISATION
AMENAGEMENT EXTERIEURE
La PLOMBERIE
140
La légèreté : Les tuyaux en PVC sont beaucoup plus légers que les tuyaux en
métal, ce qui facilite leur manipulation et leur installation. Cela réduit
également les coûts de transport et de main-d'œuvre nécessaires pour les
installer.
La facilité d'installation : Les tuyaux en PVC sont généralement faciles à
couper, à assembler et à installer. Ils utilisent souvent des raccords collés ou
emboîtés, ce qui simplifie le processus de connexion des tuyaux et permet une
installation rapide et efficace.
La durabilité : Le PVC est un matériau durable qui peut résister aux chocs,
aux vibrations et aux contraintes mécaniques courantes dans les systèmes de
plomberie. Il peut également résister aux variations de température, ce qui le
rend adapté aux applications intérieures et extérieures.
La résistance chimique : Le PVC est résistant à de nombreux produits
chimiques couramment présents dans les systèmes de plomberie. Cela en fait
un choix approprié pour les installations où les produits chimiques peuvent être
présents, comme dans les usines et les laboratoires.
Le faible coût : Comparé à certains autres matériaux de tuyauterie, le PVC est
généralement moins cher, ce qui en fait un choix économique pour de
nombreux projets de plomberie.
L’eau potable est l’eau destiné à la consommation : boisson, cuisson des aliments,
etc…. Elle doit être non nuisible et agréable au gout
141
L’eau que nous consommons provient des sources, des nappes phréatiques et des eaux
de surfaces. Cette dernière a donc besoin d’être traitée pour devenir potable et être distribuée
par le réseau. C’est la commune qui en est responsable et gère le réseau.
L'alimentation en eau potable est un aspect essentiel de la plomberie, qui consiste à
fournir de l'eau propre, saine et potable aux habitations, aux bâtiments commerciaux, aux
institutions et à d'autres installations. C'est un processus complexe qui implique la collecte, le
traitement, la distribution et la fourniture d'eau potable à partir de sources
d'approvisionnement telles que les sources naturelles, les rivières, les lacs, les réservoirs ou
les puits, cette opération est faite suite à une succession des étapes :
1. La collecte de l'eau : L'eau est généralement prélevée à partir de sources
naturelles, de captages souterrains ou de réservoirs spécialement construits
pour le stockage de l'eau.
2. Le traitement de l'eau : Après la collecte, l'eau brute subit un processus de
traitement pour la purifier et la rendre potable. Le traitement peut inclure des
étapes telles que la filtration, la désinfection (généralement avec du chlore), la
clarification, la sédimentation et l'élimination des impuretés.
3. Le stockage : Une fois traitée, l'eau potable est stockée dans des réservoirs
d'eau ou des châteaux d'eau avant d'être distribuée aux utilisateurs finaux. Le
stockage permet de maintenir une réserve d'eau disponible en cas d'urgence ou
de pointe de demande.
4. La distribution : L'eau potable est ensuite acheminée à travers un réseau de
canalisations et de conduites enterrées ou aériennes pour atteindre les points
d'utilisation dans les bâtiments et les habitations. Ces canalisations sont
généralement en matériaux tels que le PVC, le cuivre ou le PER.
Pour l’alimentation en eau potable on utilise les tuyaux en PER (polyéthylène
réticulé), qui représentent un choix populaire pour de nombreuses applications de plomberie
en raison de leur flexibilité, de leur résistance à la corrosion, de leur facilité d'installation et de
leur coût abordable.
Ils sont largement utilisés dans les systèmes d'alimentation en eau potable, de
chauffage et de refroidissement, et ils ne nécessitent généralement pas d'isolation thermique
supplémentaire, car ils ont de bonnes propriétés isolantes, et puis ils sont conformes aux
normes de qualité de l'eau potable, et
L'installation des tuyaux en PER est relativement simple, car ils sont légers et
flexibles. Ils peuvent être coupés avec des outils de plomberie standard, et les raccords
142
spécifiques au PEX, tels que les raccords à compression ou les raccords à sertir, sont utilisés
pour les assembler.
Les raccords sont des pièces utilisées pour relier ensemble les tuyaux et les conduites,
permettant ainsi de créer un réseau de plomberie fonctionnel. Les raccords jouent un rôle
essentiel dans l'installation et l'assemblage des systèmes de plomberie, car ils permettent de
créer des jonctions étanches et sécurisées entre les différents éléments du réseau.
Dans notre construction, on a utilisé des raccords en PVC qui s ’adapter à tous les
usages des tuyaux.
Les joints sont des dispositifs utilisés pour assurer l'étanchéité et la solidité des
connexions entre les différents éléments d'un réseau de plomberie, tels que les tuyaux, les
Raccords et les appareils sanitaires. Ils sont essentiels pour prévenir les fuites d'eau et
garantir le bon fonctionnement du système de plomberie.
143
La robinetterie désigne l'ensemble des dispositifs et équipements utilisés pour
contrôler le débit et la distribution de l'eau dans les systèmes de plomberie. Les robinetteries
sont essentielles pour réguler l'écoulement de l'eau, que ce soit pour l'alimentation en eau
potable, les équipements sanitaires, Tel :
Les robinets
Les mitigeurs (robinetterie sanitaire)
Les robinets thermostatiques
Les robinets d'arrêt
Les robinets à boisseau sphérique
Les robinets à levier de chasse
Les robinets de jardin
144
L’EVACUATION DES EAUX USEES
Les eaux usées sont l’ensemble des eaux domestiques utilisées au quotidien. Elles
regroupent les eaux ménagères et les eaux vannes (eaux des toilettes).
L'évacuation des eaux usées : est un processus essentiel dans la gestion des eaux
usées pour assurer leur élimination sûre et hygiénique hors des bâtiments et des zones
urbaines. L'évacuation adéquate des eaux usées est vitale pour préserver l'environnement et la
santé publique en évitant la contamination des sources d'eau potable et en protégeant les
écosystèmes aquatiques.
L’eau usée est soumise aux plusieurs opérations pour devenir traité :
1. Collecte interne : À l'intérieur des bâtiments, les eaux usées sont collectées à partir
des appareils sanitaires tels que les toilettes, Les siphons, les lavabos, les douches et
les éviers.
Les siphons sont des dispositifs de plomberie utilisés pour empêcher les mauvaises
odeurs et les gaz d'égout de remonter des conduites d'évacuation dans les bâtiments. Ils sont
couramment utilisés sous les éviers, les lavabos, les baignoires, les douches et les autres
appareils sanitaires pour maintenir une barrière d'eau qui empêche les odeurs désagréables de
s'échapper des conduites d'évacuation vers l'intérieur des pièces
2. Conduites d'évacuation : Les conduites d'évacuation sont des tuyaux spécialement
conçus pour transporter les eaux usées depuis l'intérieur des bâtiments jusqu'au réseau
d'assainissement ou aux installations de traitement des eaux usées. Ces conduites
peuvent être en PVC, en fonte, en acier, ou d'autres matériaux appropriés pour ce type
d'usage.
3. Réseau d'assainissement : Les eaux usées provenant de plusieurs bâtiments sont
collectées dans un réseau d'assainissement urbain. Ce réseau est constitué de
canalisations souterraines plus grandes qui transportent les eaux usées vers les stations
d'épuration ou les installations de traitement appropriées.
4. Stations d'épuration : Les stations d'épuration sont des installations spéciales où les
eaux usées subissent un traitement plus approfondi pour éliminer les contaminants
restants avant d'être rejetées dans l'environnement.
5. Traitement et rejet : Les eaux usées sont soumises à des processus de traitement qui
peuvent inclure des étapes de filtration, de décantation, de traitement biologique et de
désinfection. Une fois traitées, les eaux épurées peuvent être rejetées dans les cours
d'eau, les rivières, les lacs ou les océans, conformément aux normes
environnementales établies.
145
L’ELECTRICITE
L’électricité est une source essentielle de bien-être dans nos sociétés modernes. Sans
électricité, nous serions incapables d'utiliser une grande variété d'appareils électroménagers,
tels que les réfrigérateurs, les machines à laver, les fours à micro-ondes, etc. Ces appareils
facilitent notre vie quotidienne en nous faisant gagner du temps et en rendant certaines tâches
plus faciles à accomplir.
A cet effet il faut appliquer une bonne installation qui permet de distribuer cette
Énergie en toute sécurité et qui contient plusieurs composantes :
Un coffret de coupure ;
Un ou plusieurs compteurs ;
Un disjoncteur
Un tableau de répartition
Un certain nombre de circuit ;
L’appareillage.
Le coffret de coupure
146
147
Le Compteur
Le Compteur il s'agit d'un appareil essentiel dans les réseaux électriques car il permet
de suivre et de quantifier la consommation d'électricité par un ménage de manière précise, ce
qui est nécessaire pour établir la facturation et gérer l'approvisionnement en électricité.
Le disjoncteur
Le disjoncteur un dispositif de protection électrique utilisé pour interrompre le flux
d'électricité dans un circuit en cas de surcharge, de court-circuit ou de tout autre
dysfonctionnement électrique potentiellement dangereux. Il joue un rôle essentiel dans la
sécurité des installations électriques en évitant les risques d'incendie, de dommages matériels
et d'électrocution.
Les appareils
Les appareils également appelés dispositifs de raccordement, sont des composants ou
des équipements utilisés pour connecter et relier différents éléments d'un système ou d'une
installation électrique, et permis eux on cite
Les interrupteurs : sont des appareils destinés à couper et à rétablir le
courant sur le circuit électrique en charge. Ils peuvent être muraux ou sur
fils, actionnés par boutons ou bascule. Pour faciliter son emploi, on le
place du côté de la serrure à une h=1.10m et pour éviter la confusion, le
bouton doit être en bas pour rétablir le courant et en haut pour le couper ;
Les prises peuvent être sur un socle mural ou sur un câble. Elles doivent
être installer à 25cm du sol dans la cuisine et salle d’eau, et à 5cm du sol
dans les autres pièces, sauf exception ;
Les douilles : permettent l’alimentation d’une ampoule en courant
électrique. Elle se comporte en générale d’une bague de fixation, d’un
culot, d’un socle, d’une coquille et d’une bague isolante.
Il faut bien noter qu’une prise de terre permet d’écouler les courants de fuite ou de
défaut vers la terre. Une bonne mise à la terre est une condition impérative pour que les
interrupteurs différentiels puissent assurer leur fonction de protection des personnes.
148
149
Les étapes de pose d’une installation électrique
Une installation peut être encastrée ou apparente suivant d’éventuels impératifs. Dans
notre projet, on va appliquer une canalisation encastrée, et ça par une succession des étapes
Mise en place des canalisations :
On commence par découper les tuyaux en respectant les longueurs nécessaires.
Le raccordement se fera en utilisant des mouchons pour les raccords directs,
des coudes pour les angles et des T pour les dérivations ;
L’assemblage se fera par une colle métallique, après passage des câbles ;
Les tuyaux seront calés dans leur saignée par des clous plantés en biais tous
50cm
Les boitiers seront placés dans leur logement et scellés par du plâtre très épais ;
Ce même plâtre servira pour des scellements partiels des tubes en pratiquant
une application par mètre ;
Après avoir procédé à la vérification de la bonne marche de l’installation, on
bourre de plâtre toutes les signées déjà débarrassés des clous.
Le tracé de la canalisation :
On trace sur les murs et les plafonds la position des appareils en les
matérialisant par des symboles connus ;
On relie des différents points par le chemin le plus courant en évitant les
obstacles (canalisation d’eau, de gaz…)
La largeur du tracé des saignés doit être exactement égale au diamètre des
tubes prévus, cette largeur sera augmentée pendant le creusement ;
La profondeur de la saignée doit dépasser de 1cm le diamètre des tube prévus.
150
Remarques :
Un câble encastré doit toujours être protégé par un conduit résistant aux chocs ;
Les conduits blindés B peuvent être posés avant et après la maçonnerie ;
Les conduits ordinaire O doivent être mis en tranchées ou soignées après la
maçonnerie ;
Les conduites MRB (Métallique Blindé Rigide) et MSB (Métallique Souple
Blindé) sont interdits dans les salles de bain ;
Les conduits orange doivent être complétement encastrés dans les matériaux
incombustibles et sont interdits en apparence et dans les vides ;
La section du câble doit être inférieur au 1/3 de la section intérieure du
conduit ;
Les canalisations électriques ne doivent pas être au-dessous des canalisations
des eaux ;
151
La canalisation doit suivre la ligne droite entre deux postes, pour faciliter le
repérage en cas de travaux ;
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153
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155
LA MENUISERIE
156
Les constituants détaillés d‘une porte
Montant : une pièce verticale qui compose la structure de support d'un cadre ou d'un
châssis. Les montants sont généralement utilisés pour créer des ouvertures
rectangulaires
Traverse : est une pièce horizontale qui forme un cadre ou un châssis avec des
montants verticaux (jambages).
Les charnières : Ce sont les dispositifs qui permettent au vantail de pivoter et de
s'ouvrir et se fermer. Les charnières sont fixées sur le côté de la porte et sur le bâti (le
cadre de la porte) pour assurer le mouvement.
Le seuil : C'est la partie inférieure du bâti qui se trouve au niveau du sol. Il assure
l'étanchéité et l'isolation de la porte lorsqu'elle est fermée.
La poignée ou la poignée de tirage : C'est l'élément que l'on saisit pour ouvrir ou
fermer la porte. La poignée peut être constituée de divers matériaux, comme le métal,
le plastique ou le bois.
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Le verrou : C'est un dispositif de fermeture qui permet de maintenir la porte fermée
en position verrouillée. Il peut prendre différentes formes, comme une serrure avec
une clé, une targette ou un loquet.
Le chambranle : C'est l'encadrement décoratif autour de la porte, fixé sur le mur. Il
sert à masquer les joints entre le bâti et le mur et à donner une finition esthétique à
l'ouverture.
Le judas ou l'œilleton : C'est un petit dispositif optique (souvent en verre) installé sur
la porte pour permettre de voir à travers sans ouvrir la porte.
Le système de fermeture automatique (facultatif) : Certaines portes peuvent être
équipées d'un mécanisme de fermeture automatique, comme un ressort ou un dispositif
hydraulique, qui assure la fermeture de la porte après son ouverture.
Les types des portes utilisés :
158
La porte coulissante en aluminium pour les balcons :
Les portes coulissantes en aluminium pour les balcons sont une option populaire
esthétique moderne et épurée dans de nombreuses constructions résidentielles et
commerciales. Elles offrent plusieurs avantages et caractéristiques spécifiques adaptées à une
utilisation en extérieur.
Les portes coulissantes en aluminium peuvent être dotées de systèmes d'isolation
thermique et acoustique pour améliorer l'efficacité énergétique du bâtiment et réduire les
nuisances sonores de l'extérieur, ils sont conçus pour résister aux conditions météorologiques
extérieures, notamment la pluie, le vent, la neige et les rayons UV. Elles
conservent leur aspect esthétique au fil du temps.
L’aluminium est un matériau léger, durable et résistant à la corrosion,
ce qui le rend idéal pour une utilisation en extérieur, il peu exigeant en
matière d'entretien. Un nettoyage régulier pour éliminer la saleté et la
poussière suffit généralement pour maintenir leur apparence.
159
La porte pivotante pour l’entrée de centre commercial :
Une porte pivotante est un type de porte qui s'ouvre autour d'un axe vertical central,
généralement situé au milieu de la porte. Contrairement aux portes à charnières
conventionnelles qui s'ouvrent latéralement, les portes pivotantes tournent sur leur axe central
pour permettre l'entrée et la sortie. Les portes pivotantes sont souvent utilisées dans les
bâtiments commerciaux
Les portes pivotantes sont disponibles dans une variété de matériaux, y compris
l'aluminium, le verre, l'acier inoxydable, le bois et même des combinaisons de ces matériaux.
Ils peuvent être automatisées pour faciliter l'entrée et la sortie des visiteurs, en
particulier lorsque le trafic est important. Les portes pivotantes automatisées peuvent être
équipées de capteurs pour détecter les piétons et s'ouvrir automatiquement.
Dans notre projet, ,nous avons utilisés une porte pivotante de 3m de largueur.
160
Les fenêtres
Les fenêtres sont des ouvertures dans les murs d'un bâtiment qui sont conçues pour
laisser passer la lumière naturelle, permettre la ventilation et offrir une vue sur l'extérieur.
Les fenêtres désignent l’ouverture ou la baie laissée dans un mur afin de permettre la
pose de la croisée. Elle est constituée généralement de :
La baie : est une ouverture laissée dans un mur à 90cm minimum du plancher.
Elle est limitée par deux jambages, un appui sur le mur d’allège et un linteau à
la partie supérieure.
La croisée : est un ouvrage fermant la baie en permettant l’éclairage.
Le cadre : se compose de deux montants dormants, d’une traverse de haut et
une autre de bas ou pièce d’appui pour le rejet des eaux vers l’extérieure.
Les vantaux : sont composés de :
Montants ou meneaux fixes ou mobiles selon le type de fenêtre, c’est la partie
verticale centrale qui reste fixe quand on ouvre les battants ;
Les traverses qui composent les différentes parties du cadre : traverse haute et
traverse basse ;
Battant central recevant la crémone ou le système de fermeture ;
Les chambranles sont des baguettes destinées à cacher les joints entre bois et
maçonnerie ;
Les parcloses sont des fines baguettes placées au-dessus pour renforcer le système
de maintien des vitres.
Les ouvrants : les parties mobiles d'une fenêtre, c'est-à-dire les éléments qui
peuvent être ouverts ou fermés pour permettre la circulation de l'air et la
lumière naturelle dans une pièce.
Le châssis : est la structure qui encadre et supporte l'ensemble de la fenêtre, y
compris les ouvrants (parties mobiles) et le vitrage (verre)
161
Les limites d‘une fenêtre
Les jambages : parties verticales d'un cadre de fenêtre(montants), situées de
chaque côté de l'ouverture. Ils sont essentiels pour soutenir le poids du châssis
de la fenêtre et pour assurer sa stabilité.
Un appui : désigne une surface horizontale située en-dessous de la fenêtre, à
l'intérieur de la pièce. C'est une extension du seuil de la fenêtre à l'intérieur de
la maison.
Le mur d’allège : la partie de mur située sous la fenêtre avec 1m de distance.
C'est la partie du mur qui se trouve entre le bas de la fenêtre et le sol.
Contrairement à la partie de la fenêtre qui contient le vitrage
Un linteau : est un élément architectural qui sert à soutenir les matériaux du
mur au-dessus d'une baie. Le linteau n’est pas partie intégrante de la fenêtre
mais est indispensable pour soutenir la structure du mur autour de celle-ci. a)
Le cadre
Les rideaux automatiques : également connus sous le nom de rideaux
motorisés, sont des systèmes de rideaux qui sont fabriqués par le coton, le
polyester, le lin, le velours, la soie, et même des matériaux spéciaux comme le
tissu obscurcissant pour bloquer la lumière, ils sont des systèmes qui peuvent
être ouverts et fermés à l'aide d'un moteur électrique au lieu d'être manipulés
manuellement. Ces rideaux sont de plus en plus populaires en raison de leur
commodité et de leur intégration dans les maisons intelligentes.
Le cache rideau : Les caches-rideaux sont des éléments fabriqués à partir de
tissu, le cuir, le métal, le bois et même des matériaux décoratifs comme des
perles ou des cordons. Ils sont principalement utilisés pour maintenir les
rideaux ouverts d'une manière élégante. Ils permettent de laisser entrer la
lumière naturelle et de créer une apparence bien rangée lorsque les rideaux ne
sont pas fermés.
162
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La fenêtre soufflet pour les S.D.B :
Les fenêtres soufflets, également connues sous le nom de fenêtres à vasistas, sont des
fenêtres qui s'ouvrent vers l'intérieur à partir d'un point d'articulation situé en haut de la
Fenêtre.
Elles sont souvent utilisées dans les salles de bains pour offrir une ventilation efficace
tout en préservant l'intimité et en empêchant l'eau de pluie d'entrer.
164
LE CARRELAGE
165
Le granito poli pour terrasse : Le granito poli est une excellente option pour une
terrasse en raison de sa durabilité, de sa résistance aux intempéries et de son
esthétique attrayante
le granito est composé de granulats de pierre naturelle, de ciment et d'autres
matériaux. Il est très durable et peut résister aux conditions extérieures difficiles, y
compris les variations de température, les intempéries et l'exposition au soleil.
Le granito est relativement facile à entretenir. Il peut être nettoyé avec de l'eau et
du savon doux. Un scellant périodique peut être appliqué pour protéger la surface
et maintenir sa brillance.
166
LE FAUX PLAFOND
Les faux-plafonds sont des plafonds suspendus constitués par l'assemblage d'éléments
dont la forme et les dimensions varient avec leur nature et selon les fabricants.
Les principales fonctions des faux-plafonds sont :
Isolation acoustique ;
Isolation thermique ;
Protection antipoussière ;
Protection contre l'incendie ;
Eclairage par translucidité ;
Décoration
Habillage des transports de fluides ;
Gaine de ventilation.
La variété des matières utilisées et les différents modèles selon lesquels ils sont fabriqués
permet leur utilisation dans tous les locaux, à usage public ou privé aussi bien dans la
construction neuve que dans l'aménagement des locaux existants. Ils peuvent être
démontables dans le cas où ils n'assureraient pas une protection contre l'incendie. Ils peuvent
être étanches à l'air. Leur aspect de surface peut être : lisse, perforé, fissuré, plan, nervuré, etc.
Le plafond en staff :
Le staff est réalisé à partir de plâtre qui est armé de filasse, de fibre de verre coupé ou de
jute. Mais dorénavant, il est possible de réaliser un plafond imitant le staff grâce à des
matières synthétiques, dont le polystyrène. Ces matériaux offrent l'avantage d'être moins
onéreux et plus simples à mettre en place.
Un plafond staff peut être constitué de nombreux ornements différents, tels que des
moulures, des corniches ou encore des rosaces. Grâce à ces nombreuses possibilités
décoratives, il était principalement utilisé dans les maisons de caractère et nobles. Depuis peu,
le plafond staff se retrouve aussi dans des habitations plus modernes, notamment car il permet
de réaliser de nombreuses formes différentes
Un plafond en staff est généralement composé de plusieurs éléments qui contribuent à sa
structure et à son apparence décorative. :
Panneaux de staff : Les panneaux de staff sont la composante principale d'un
plafond en staff. Ils sont fabriqués à partir de plâtre renforcé de fibres de verre, ce
qui les rend robustes et légers. Ces panneaux peuvent avoir différentes formes,
motifs et reliefs pour créer le design souhaité.
Rails ou montants : Les rails métalliques ou les montants en bois sont fixés au
plafond existant pour servir de base solide sur laquelle les panneaux de staff seront
fixés. Ils sont installés de manière à créer un support solide et de niveau pour les
panneaux.
167
Corniches : Les corniches sont des moulures décoratives en staff qui sont fixées le
long de la jonction entre le mur et le plafond. Elles ajoutent une touche esthétique
et élégante au plafond.
Rosaces : Les rosaces sont des éléments circulaires ou décoratifs en staff qui sont
généralement placés au centre du plafond. Elles servent de points focaux décoratifs
et sont souvent utilisées pour encadrer des luminaires suspendus, des lustres ou des
ventilateurs de plafond.
Motifs décoratifs : Les plafonds en staff peuvent comporter divers motifs
décoratifs tels que des arabesques, des motifs floraux, des motifs géométriques,
des rosaces sculptées, etc. Ces motifs ajoutent une esthétique personnalisée au
plafond.
Colle spéciale : Une colle spéciale, conçue pour être utilisée avec les panneaux de
staff, est utilisée pour fixer les panneaux aux rails ou montants. Cette colle garantit
une adhérence solide.
Vis et chevilles : Dans certaines installations, des vis et des chevilles peuvent être
utilisées pour renforcer la fixation des panneaux de staff aux rails ou montants.
Finition : Après l'installation, le plafond en staff peut être peint ou fini selon les
préférences du propriétaire. Les finitions courantes incluent la peinture, la patine
ou la dorure à la feuille d'or pour créer un aspect final souhaité.
Joints et enduits : Les joints entre les panneaux de staff sont généralement scellés
avec un enduit spécifique pour les plaques de plâtre, puis lissés pour créer une
surface lisse et uniforme.
169
LA PEINTURE
170
171
Le liant : une émulsion d'eau et de résine acrylique ou polymère.
Si la peinture acrylique est largement utilisée, c'est parce que ses avantages sont
nombreux. Quasiment sans odeur, elle est utilisable en intérieur comme en extérieur. Facile à
appliquer, la peinture acrylique sèche rapidement. Même les couleurs les plus claires ne
jaunissent pas au fil du temps.
D'un bon pouvoir couvrant, la peinture acrylique est résistante à l'humidité, tout en
laissant le support respirer. Le nettoyage des outils est également facilité puisqu'il suffit de les
rincer à l'eau.
Additifs : Les additifs peuvent être inclus pour améliorer certaines propriétés
de la peinture, telles que la résistance aux UV, la résistance à la corrosion, la
résistance aux intempéries, la réduction de la formation de bulles, etc.
Catalyseurs ou durcisseurs : Certains types de peintures polyuréthanes
nécessitent l'ajout d'un catalyseur ou d'un durcisseur pour déclencher le
processus de durcissement de la résine. Cela est courant dans les peintures
polyuréthanes à deux composants, où le catalyseur est mélangé avec la peinture
juste avant l'application.
La peinture polyuréthane est un revêtement appliqué sur la surface d’un matériau
afin de la protéger contre la corrosion, les intempéries, l’abrasion et d’autres agressions
externes susceptibles de dégrader le matériau avec le temps. La peinture PU s’applique
aussi bien sur le bois que sur le métal.
172
Peinture époxy pour cuisine/salle de bain/WC
La peinture époxy est couramment utilisée dans des environnements exigeants, tels
que les salles de bains, les cuisines, les garages, elle est composée de deux composants
principaux : la résine époxy et le durcisseur. Ces deux composants doivent être
soigneusement mélangés selon les proportions spécifiées par le fabricant pour déclencher le
processus de durcissement. Une fois mélangés, ils réagissent chimiquement pour former un
revêtement solide et durable.
La peinture époxy est réputée pour sa résistance exceptionnelle à l'usure, à la
corrosion, à l'abrasion, à la chaleur, aux produits chimiques agressifs et à l'eau. Elle est non
poreuse, ce qui signifie qu'elle empêche la pénétration de liquides, ce qui la rend idéale pour
les applications nécessitant une protection contre l'humidité et les produits chimiques.
La préparation de subjectile :
La préparation adéquate des surfaces (que ce soit des murs, des meubles, des portes,
ou d'autres supports) avant de les peindre est essentielle pour assurer une adhérence solide de
la peinture, une finition uniforme et une durabilité à long terme.
1. Le nettoyage : on commence par nettoyer la surface à peindre pour éliminer la
saleté, la poussière, la graisse, les taches et toute autre contamination. Utilisez
un détergent doux, de l'eau tiède et un chiffon propre ou une éponge. Dans
certaines situations, un nettoyage plus intensif avec un dégraissant peut être
nécessaire.
2. La réparation des imperfections : Repérez et réparez toutes les imperfections
sur la surface, telles que les fissures, les trous, les éclats de peinture ou les
aspérités. Utilisez un enduit de rebouchage approprié pour les fissures et les
trous, puis poncez la surface pour obtenir une finition lisse.
3. Le ponçage : Le ponçage est souvent nécessaire pour créer une surface
uniforme et adhérente. Il aide également à enlever les anciennes couches de
peinture qui s'écaillent. Utilisez du papier de verre ou une ponceuse électrique
en fonction de la taille de la surface. Assurez-vous de retirer la poussière de
ponçage avec un chiffon humide ou un aspirateur.
4. Le dégraissage : Si la surface est sujette à l'accumulation de graisse ou d'huile,
il peut être nécessaire de la dégraisser avec un solvant approprié. Cela est
courant dans les cuisines et les surfaces métalliques.
5. Le Masquage : Utilisez du ruban adhésif de masquage et des bâches en
plastique pour protéger les zones que vous ne souhaitez pas peindre, comme les
plaintes, les cadres de fenêtres et les interrupteurs.
L’application de la peinture
Après la bonne préparation du subjectile, et la vérification que la surface à peindre est
propre et prête pour recevoir la peinture, il est l temps de l’appliquer, on commence tout
d’abord par :
173
On mélange la peinture avant de l'appliquer pour garantir une consistance
uniforme et une répartition homogène des pigments.
174
Application de la peinture conformément aux instructions du fabricant en utilisant
la méthode appropriée (pinceau, rouleau, pistolet pulvérisateur), on Assure que les
recommandations en termes de temps de séchage entre les couches si vous en
appliquez plusieurs
La 2ème couche n’est appliquée qu’après rebouchage des crevasses subsistant par
un mastic, à la colle contenant une proportion de plâtre afin d’aplanir la surface du
subjectile. Cette couche sera plus épaisse et plus corsée que la 1ère couche.
Pour la peinture extérieure, la 1ère couche contient autant de liant que de solvant,
et la 2ème couche doit être grasse.
La peinture intérieure est généralement maigre, mais dans le cas des plâtres neufs,
elle nécessite une peinture relativement grasse pour nourrir les plâtres et reboucher
leurs pores. Cette peinture doit être perméable à l’aire pour que le plâtre situé dans
des locaux humides puisse respirer.
175
LA CLIMATISATION
176
Dans notre projet, nous avons choisis d’installer la climatisation monobloc qui est un
type de système de climatisation qui comprend toutes ses composantes principales dans une
seule unité, ce qui signifie qu'il n'y a qu'une seule unité visible à l'intérieur de la pièce. Cela le
distingue des systèmes de climatisation split, qui se composent d'unités intérieures et
extérieures distinctes.
Dans un système monobloc, toutes les composantes, y compris le compresseur, le
condenseur, l'évaporateur et le ventilateur, sont regroupées dans une seule unité, généralement
installée dans une fenêtre, sur un mur ou au sol, ils peuvent être déplacés d'une pièce à l'autre
en fonction des besoins de refroidissement ou de chauffage.
Les systèmes monoblocs sont généralement plus faciles à installer que les systèmes
split, car il n'est pas nécessaire de connecter des unités intérieures et extérieures par des
tuyaux frigorifiques. Cela les rend adaptés aux applications résidentielles et légères.
177
AMENAGEMENT EXTERIEUR
Le pavage
Le pavage est un élément d'aménagement extérieur qui consiste à revêtir une surface,
généralement une allée, une cour, une terrasse ou une place publique, avec des pavés, des
dalles ou des briques. Le pavage est une option populaire pour les espaces extérieurs en raison
de sa durabilité, de sa variété de styles, de formes et de couleurs, ainsi que de sa facilité
d'entretien.
Le pavé est généralement perméable à l'eau, ce qui signifie qu'il permet à l'eau de
s'infiltrer dans le sol, contribuant ainsi à la gestion du drainage. Cependant, la perméabilité
dépend du type de pavé et du matériau de jointoiement, il peut être combiné avec d'autres
éléments d'aménagement paysager tels que des jardins, des plantations, des murs de
soutènement, des éléments d'eau et des éclairages extérieurs pour créer un environnement
extérieur complet.
178
Il existe de nombreux types de pavés disponibles, notamment les pavés en béton, les
pavés en pierre naturelle (comme le granit, le calcaire et le grès), les pavés en briques et les
pavés en pierre reconstituée. Chaque type de pavé a ses propres caractéristiques esthétiques et
fonctionnelles.
Les pavés en béton sont un type courant de pavés utilisés dans l'aménagement
extérieur. Ils sont fabriqués à partir de béton préparé avec du ciment, de l'eau, du sable et des
granulats, puis moulés en différentes formes, tailles et couleurs pour créer des pavés de
revêtement de sol attrayants et fonctionnels, ils sont résistants aux intempéries, aux UV et à
l'usure. Ils sont conçus pour résister aux contraintes extérieures, ce qui les rend durables et
adaptés à une utilisation à long terme.
L'entretien des pavés en béton est généralement simple. Un nettoyage périodique à
l'eau et au savon doux est souvent suffisant pour maintenir leur aspect. Les pavés en béton
sont également résistants aux taches et aux déversements courants.
Les pavés utilisés sont de dimensions 60 x40 x10
179
5. Le remplissage des joints : une fois que tous les pavés sont en place, on
remplit les joints entre les pavés avec du sable de pose.
6. Un compactage final
7. Le nettoyage : balayage de toute la surface pour éliminer l'excès de sable
180
Les aires de loisirs
181
Les terrains de sport : sont des éléments essentiels des aires de loisirs, car ils
offrent aux gens la possibilité de pratiquer divers sports et activités physiques
en un seul endroit. Ces terrains polyvalents sont conçus pour accueillir une
variété de sports et d'activités, ce qui les rend populaires auprès des
communautés et des individus de tous âges
le terrain de notre projet contient le basketball et le football et le tennis, avec
les dimensions de 15x10
182
Espaces verts et zones de jardinage
Les espaces verts et les zones de jardinage sont des espaces spécialement aménagés
pour la culture de plantes, de fleurs, de légumes, d'arbustes et d'arbres. Ces zones sont
conçues pour permettre aux jardiniers amateurs ou professionnels de cultiver une variété de
végétaux, souvent à des fins esthétiques, alimentaires ou récréatives.
La préservation des espaces verts dans les zones résidentielles reste néanmoins un
argument fort pour les nouveaux aménagements. Selon des études préétablies, la présence
d’espaces verts rehausse la valeur des propriétés immobilières et les différents types d’espaces
ouverts influent largement sur la valeur ajoutée de ce type de biens.
Les zones de jardinage dans les résidences jouent un rôle significatif dans la création
d'environnements plus attrayants, durables et bénéfiques pour les résidents. Leur importance
réside dans plusieurs aspects clés :
Amélioration de la qualité de vie : Les zones de jardinage offrent un espace
extérieur où les résidents peuvent se détendre, se divertir et se connecter avec
la nature. Cela contribue à améliorer la qualité de vie en offrant un équilibre
entre la vie en intérieur et en extérieur.
Bien-être mental et physique : Le jardinage est une activité qui favorise le
bien-être mental en réduisant le stress et en améliorant l'humeur. De plus, il
encourage l'activité physique, ce qui est bénéfique pour la santé physique des
résidents.
Esthétique et ambiance : Les zones de jardinage ajoutent de la beauté et de
l'esthétique aux résidences. Des jardins bien entretenus avec des plantes en
fleurs, des arbres et des aménagements paysagers peuvent créer une ambiance
agréable et relaxante.
Engagement communautaire : Les zones de jardinage dans les résidences
favorisent l'engagement communautaire. Les résidents peuvent travailler
ensemble pour entretenir les jardins, échanger des conseils de jardinage et
renforcer les liens sociaux.
Réduction de l'empreinte carbone : Les zones de jardinage peuvent
contribuer à réduire l'empreinte carbone en fournissant des espaces pour la
plantation d'arbres et de végétaux qui absorbent le dioxyde de carbone (CO2).
Réduction de la chaleur urbaine : Les zones de jardinage contribuent à
réduire les îlots de chaleur urbains en fournissant de l'ombre et en évaporant
l'eau, ce qui peut abaisser la température ambiante dans les zones
résidentielles.
183
Type de plantions utilisés
Le Plumerai alba :
Le Plumerai alba est apprécié dans le monde entier pour
sa beauté et son parfum envoûtant. Il est souvent cultivé dans les
jardins, les parcs et les paysages tropicaux pour ajouter une touche
exotique et parfumée à l'environnement. Ses fleurs sont également
utilisées dans la fabrication de parfums et d'huiles essentielles.
Le Palmier :
Les palmiers sont très appréciés en raison de plusieurs caractéristiques attrayantes.
Tout d'abord, leur apparence évoque instantanément une ambiance
tropicale, avec leurs feuilles longues et élégantes qui rappellent les
paysages paradisiaques des îles lointaines. Ces feuilles ont souvent une
forme gracieuse et une couleur vert vif, ce qui ajoute à leur attrait
visuel.
En outre, les palmiers sont réputés pour leur capacité à fournir
de l'ombre, créant ainsi des zones plus fraîches et plus agréables,
particulièrement importantes dans les régions chaudes et ensoleillées.
Leurs feuilles fournissent un abri naturel contre les rayons ardents du
soleil, permettant aux gens de se détendre à l'ombre rafraîchissante des
palmiers. Cela en fait des ajouts prisés pour les espaces extérieurs tels
que les jardins, les piscines et les parcs, où l'on recherche un
environnement confortable.
Le gazon :
Le gazon sauvage ou naturel est une approche d'aménagement extérieur qui vise à
créer un espace de jardin qui ressemble à une prairie ou à un environnement naturel plutôt
qu'à une pelouse traditionnelle bien entretenue.
184
185
La pergola
186
187
CHAPITRE : gestion des déchets ménagers
188
Introduction
La gestion des déchets est un enjeu crucial dans notre société moderne, et elle occupe
une place de plus en plus importante dans notre quotidien. Elle englobe un large éventail
d'activités visant à collecter, traiter, recycler et éliminer les déchets de manière responsable et
respectueuse de l'environnement. Cette gestion efficiente est essentielle pour plusieurs raisons
majeures.
Tout d'abord, elle contribue de manière significative à la préservation de notre planète.
Les déchets non gérés adéquatement peuvent causer une multitude de problèmes
environnementaux, tels que la pollution de l'air, de l'eau et des sols. Ils peuvent également
nuire à la biodiversité en détruisant les habitats naturels et en mettant en danger de
nombreuses espèces animales et végétales. En adoptant des pratiques de gestion des déchets
respectueuses de l'environnement, nous pouvons réduire ces impacts négatifs et préserver la
beauté et la diversité de notre planète pour les générations futures.
De plus, une gestion efficace des déchets contribue à la lutte contre le changement
climatique. Les décharges et l'incinération de déchets produisent des émissions de gaz à effet
de serre qui contribuent au réchauffement de la planète. En promouvant le recyclage, la
réduction à la source et l'utilisation d'énergies renouvelables dans le traitement des déchets,
nous pouvons réduire ces émissions et contribuer à atténuer le changement climatique.
Enfin, une gestion responsable des déchets favorise un mode de vie durable pour les
générations futures. Elle encourage la réduction de la consommation excessive, la réutilisation
des objets, et le recyclage des matériaux, ce qui réduit la pression sur les ressources naturelles
et économise de l'énergie. De plus, elle crée des emplois dans l'industrie du recyclage et de la
gestion des déchets, ce qui contribue à stimuler l'économie locale.
189
190
Les modes de collectes
La collecte des déchets dans les résidences se fait généralement par le biais de
plusieurs méthodes.
Tout d'abord, il y a la collecte en porte-à-porte, où des camions de collecte passent
régulièrement dans les quartiers pour ramasser les déchets ménagers. Ensuite, les conteneurs
de tri sélectif sont souvent mis en place, permettant aux résidents de séparer les déchets
recyclables (papier, plastique, verre, etc.) des déchets non recyclables.
Certains endroits proposent également des points de collecte communautaires où les
résidents peuvent apporter leurs déchets spéciaux tels que les déchets électroniques, les
encombrants ou les produits chimiques. L'objectif est d'encourager le tri et le recyclage pour
réduire l'impact environnemental global des déchets.
Pour notre cas et dans les logements collectifs et les services de proximité, la méthode
efficace de collecte des déchets est la mise en place de points de collecte centralisés à
l'intérieur ou à proximité immédiate des bâtiments pour que les résidents peuvent ainsi
déposer leurs déchets dans ces conteneurs de manière facile.
En parallèle, des équipes de collecte régulières peuvent être organisées pour vider ces
conteneurs selon un calendrier prédéfini. Il est important de sensibiliser les résidents à
l'importance du tri des déchets et de leur expliquer le fonctionnement de ce système. De plus,
des campagnes éducatives peuvent être mises en place pour encourager la réduction à la
source et l'adoption de comportements éco-responsables. L'efficacité de ce système repose sur
une organisation bien pensée, une communication claire et une participation active de la
communauté.
Pour optimiser la collecte des déchets dans les logements collectifs, un système en
circuit fermé avec des horaires définis peut être très efficace.
191
192
Surveillance et maintenance régulières : Affectation d’une équipe en charge
de surveiller les points de collecte et de s'assurer qu'ils restent propres et en bon
état. Les conteneurs doivent être vidés régulièrement pour éviter les
débordements.
Sensibilisation et éducation continue : Organisation des ateliers, des séances
d'information ou des campagnes de sensibilisation pour éduquer les résidents
sur l'importance du tri des déchets, les horaires de collecte et les consignes à
respecter.
En combinant ces éléments, en peuvent établir un système de gestion des
déchets efficace et bien organisé pour les logements collectifs, encourageant le tri
sélectif et contribuant ainsi à réduire l'empreinte environnementale.
193
Le choix de poubelles
Description de poubelle
Bien sûr, parlons plus en détail des matériaux, tailles et modes de lavage des poubelles
adaptées à la gestion des déchets dans les logements collectifs et les établissements de
proximité :
Modes de lavage
Lavage manuel : Les poubelles en plastique peuvent être nettoyées à l'aide d'eau
chaude, de savon et d'une brosse. Veillez à bien rincer et sécher après le lavage.
Lavage à haute pression : Pour les poubelles en métal, un lavage à haute
pression peut être utilisé pour éliminer les saletés tenaces. Assurez-vous de sécher
soigneusement pour éviter la corrosion.
Produits de nettoyage désinfectants : Utilisez des produits de nettoyage
spéciaux, désinfectants et respectueux de l'environnement pour garantir une
propreté maximale et réduire les odeurs.
194
Types de poubelles :
Dans un contexte de gestion des déchets pour les logements collectifs le choix des poubelles
doit être adapté à la politique de tri et de collecte mise en place.
Poubelles pour ordures ménagères :
Opter pour des poubelles de grande capacité, robustes et résistantes aux intempéries. Elles
doivent être bien scellées pour éviter les odeurs et les fuites.
Poubelles de tri sélectif (le cas dans notre projet):
Utiliser des conteneurs colorés ou clairement étiquetés pour différencier les différents types
de déchets : plastique, papier, verre, métal, etc. Ces poubelles doivent être suffisamment
spacieuses pour collecter chaque type de déchet de manière séparée.
195
Poubelles pour compostables :
Prévoyez des poubelles spécifiques pour les déchets compostables. Elles doivent être aérées
et bien fermées pour éviter les odeurs. Opter pour des matériaux biodégradables
Poubelles pour déchets dangereux :
Si nécessaire, mettre en place des poubelles spéciales pour les déchets dangereux tels que
les piles, les ampoules, les produits chimiques, etc. Ces poubelles doivent être clairement
identifiées et sécurisées.
Poubelles pour verre :
Utiliser des conteneurs spécifiques en verre résistant pour collecter les déchets en verre. Ils
doivent être bien signalés et situés à des endroits accessibles.
Poubelles pour encombrants :
Prévoyez des zones de dépôt pour les encombrants tels que meubles, appareils
électroménagers, etc. Ces zones doivent être aménagées pour faciliter le dépôt des gros
déchets.
196
197
CHAPITRE 7 : STRUCTURES
198
Introduction
L'étude des structures est une étape cruciale et incontournable dans le processus de
construction. Cette étude consiste à appliquer les connaissances acquises au cours de la
formation pour concevoir une structure efficace et sécurisée. Elle implique de calculer les
charges et les contraintes auxquelles la structure sera soumise afin de s'assurer qu'elle résistera
aux différentes conditions et restera stable.
L'objectif de cette étude est donc de garantir la solidité et la durabilité de l'ouvrage,
tout en respectant les normes de sécurité et de réglementation en vigueur. Une fois l'étude
réalisée et la structure conçue, elle peut être mise en œuvre dans le processus de construction,
permettant ainsi la réalisation de bâtiments et d'ouvrages d'art fonctionnels et fiables.
L’ouvrage en question est un bâtiment en (R+3). La conception de ce projet s'élabore
en tenant compte des aspects fonctionnels, structuraux et formels, ce qui oblige à tenir compte
des données suivantes :
Capacité d'accueil
Utilisation du bâtiment
Configuration des étages
Système de fondation
Système structurel
Les conditions économiques
L'ossature d'un bâtiment est la structure porteuse qui soutient le poids de la
construction et transfère les charges verticales (poids du toit, des murs, des planchers, etc.)
vers les fondations, tout en résistant aux forces horizontales telles que les vents et les séismes.
L'ossature est un élément essentiel de tout bâtiment, car elle garantit sa stabilité, sa solidité et
sa durabilité.
Pour constituer l'ossature on utilise classiquement des structures composées :
Murs, voiles béton ;
Arc ;
Poteaux ;
Pile de pont.
Poutrelle béton ;
Poutrelle métal
Dalles ;
199
L’ETAT LIMITE
L'état limite ultime (ELU) est la condition critique où une structure atteint sa
capacité maximale de résistance et risque de subir une déformation excessive, une défaillance
ou un effondrement. Les ingénieurs prennent en compte divers facteurs de sécurité lors de la
conception pour garantir que la structure est en mesure de supporter des charges bien au-delà
des charges normalement prévues.
Cet état correspondant à :
Limite de l’équilibre statique (pas de renversement ; pas de glissement).
Limite de résistance de chacun des matériaux (pas de rupture de sections critiques de
structure).
Limite de la stabilité de forme (pas de flambement)
L'état limite de service (ELS) :
L'état limite de service (ELS) Contrairement à l'ELU qui se concentre sur la capacité
de résistance maximale d'une structure, l'ELS se concentre sur les conditions normales de
fonctionnement de la structure tout au long de sa durée de vie. L'ELS vise à s'assurer que la
structure reste fonctionnelle et conserve ses performances prévues dans des limites
acceptables sans provoquer de détérioration ou de défaillance inacceptables.
On prendre en considération :
Etat limite de compression de béton ;
Etat limite d’ouverture des fissures ;
Etat limite de déformation.
200
LES ACTIONS PERMANANTES ET VARIABLES
Les "actions permanentes" et les "actions variables" sont des termes utilisés pour
décrire les charges qui agissent sur une structure et qui doivent être prises en compte lors de
l'analyse et de la conception.
Les actions permanentes sont les charges qui restent constantes ou quasi-constantes
pendant toute la durée de vie de la structure. Elles comprennent principalement le poids
propre de la structure, les poids des matériaux de construction (béton, acier, etc.), les éléments
structuraux fixes tels que les murs, les planchers, les fondations, etc., ainsi que d'autres
charges permanentes comme les installations permanentes (ascenseurs, escaliers, systèmes de
plomberie, etc.). Les actions permanentes ne changent généralement pas avec le temps et sont
considérées comme stables.
Exemples :
Le poids du béton d'un bâtiment.
Le poids des éléments en acier dans une structure métallique.
Le poids des fondations et des murs en béton.
Les actions variables sont les charges qui peuvent varier au fil du temps ou en
fonction des conditions d'utilisation de la structure. Elles comprennent les charges
d'exploitation, les charges de circulation, les charges climatiques (vent, neige), les charges
dues à l'occupation humaine, les équipements mobiles, etc. Les actions variables peuvent
changer en fonction des circonstances et sont donc considérées comme moins prédictibles que
les actions permanentes.
Exemples
La charge de neige sur un toit, qui dépend des conditions climatiques.
La charge de circulation sur un pont, qui varie en fonction du nombre et du type de
véhicules qui y circulent.
La charge due aux occupants et à leur mobilier dans un bâtiment.
201
LES TYPES DES CHARGES
Afin de dimensionner un ouvrage, il faut évaluer les charges qu’il devra supporter. Les
charges sont des forces, des déformations ou des accélérations qui s'appliquent sur la structure
ou ses composantes. Elles occasionnent des contraintes, des déformations ou des
déplacements sur les structures. L'étude des charges est appelée l'analyse structurale.
Charges permanentes (ou charges mortes) G :
Ce sont des charges qui restent constantes ou quasi-constantes pendant toute la durée
de vie de la structure. Elles comprennent le poids propre de la structure, les matériaux de
construction, les éléments structuraux fixes tels que les murs, les planchers, les fondations,
etc., ainsi que les installations permanentes comme les ascenseurs, les escaliers, les systèmes
de plomberie, etc. Les charges permanentes sont stables et ne varient pas significativement
dans le temps.
Pour calculer la charge on applique la formule suivante : Nu=1.35G+1.5Q
Charges variables Q :
Les charges variables sont des charges qui peuvent varier au fil du temps ou en
fonction des conditions d'utilisation de la structure. Elles comprennent les charges
d'exploitation telles que le poids des meubles, des équipements et des occupants pour les
bâtiments, les charges de circulation pour les ponts, les charges de stockage pour les
structures industrielles, etc. Les charges variables peuvent changer en fonction des
circonstances et sont moins prédictibles que les charges permanentes.
Pour calculer la charge on applique la formule suivante : Nu=G+Q (sauf pour les
poteaux on utilise la formule précédant)
202
203
La DESCENTE DE CHARGES
L'objectif de ce processus est d'analyser comment les charges appliquées sur une
structure sont réparties et transférées à travers tous les éléments porteurs, depuis le sommet de
la structure jusqu'à sa fondation. Cela permet de s'assurer que chaque élément de la structure
est correctement dimensionné et capable de supporter les charges qui lui sont attribuées
La descente de charges est essentielle pour garantir que les contraintes et les
déformations à l'intérieur de la structure restent dans des limites acceptables, évitant ainsi les
défaillances potentielles ou les surcharges qui pourraient endommager la construction.
Lors de la descente de charges, pour déterminer les charges qui seront transmises par
la dalle aux poutres ou aux voiles, il est essentiel de prendre en compte les surfaces de
plancher reprises par ces éléments. Ces surfaces de planchers reprises par les poutres ou les
voiles sont appelées "surfaces d'influence". Elles jouent un rôle crucial dans la répartition
des charges et la transmission des charges verticales le long de la structure.
Lorsqu'une charge est appliquée à la dalle d'un niveau supérieur, elle est répartie sur la
surface d'influence des poutres ou voiles situés en dessous. Ces éléments porteurs transfèrent
ensuite les charges vers les niveaux inférieurs et finalement vers les fondations.
204
Les charges sont appliquées en premier au plancher ;
Le plancher s’appuyant sur son pourtour sur des poutres transmet à ces dernières
les charges et surcharges qui lui sont appliquée ;
A leur tour les poutres s’appuyant sur les porteurs verticaux (poutre et voiles ou
murs) ici les poteaux transmettent à ces derniers une charge concentrée (effort
normal de compression)
Les poteaux sont ainsi amenés à collecter les charges et surcharges transmis par les
différents étages, niveaux pour les transmettre à leur tour aux fondations.
205
ETUDES DES ELEMENTS STRUCTUREUX
Les Plan B. A :
206
207
Structure en RoboBat :
208
Cette phase est fabriquée à l’aide de logiciel de RoboBAT, ou plus précisément
"Robot Structural Analysais", est un logiciel d'ingénierie de la construction développé par
Autodesk.
Il est principalement utilisé par les ingénieurs civils et les architectes pour la conception,
l'analyse et la modélisation des structures de bâtiments
Le logiciel permet de créer des modèles 3D complets de structures complexes, y
compris des bâtiments, il permet d'appliquer une variété de charges, telles que les charges de
vent, les charges sismiques, les charges mortes et vivantes, et de simuler le comportement de
la structure sous différentes conditions.
209
ETUDES DES POTEAUX
Poteau P4
La descente de charge :
Observations :
13279,00=1000*(2,775+0,25+2,395) *2,45
19551,00=1500*(2,775+0,25-0,1+2,395) *2,45
211
Le prédimensionnement de poteaux :
α=0.708
Calcul de la section réduite de béton Br avec Ath=0 à partir de la relation
suivante :
− [
N u Br∗fc 28
Ath= a 0 . 9∗1. 5
∗1 . 15
=0]
fe
N u∗0.9∗1.5 0.54∗0.9∗1.5
On trouve que : Br= = 0.708∗20 = 0.05 m²
a∗fc 28
Br=0.05 m
212
On a Br= (a-0.02) (b-0.02)
Alors (a-0.02) (b-0.02) =0.05
0.05
Donc b= 0.25−0.02 +0.02=0.23cm
Calcul de l’Elancement λ :
Lf 2.31
On a λ = 2√ 3* = 2√ 3* = 32.01
a 0.25
λ = 32.01
Calcul de coefficient de flambage α :
Puisque λ<50<70 :
0.85
0.85
Donc α= 1+ 0.2(
32.01 =
) 1+ 0.2∗0.915 =0.719
35
α= 0.719
Calcul de section réduite Br :
Br= (a-0.02) (b-0.02) = (0.25-0.02) (0.25-0.02) =0.0529m²
Br=0.0529m²
Ath= [ ] [ ]
N u Br∗fc 28 0 . 54 0 . 0529∗20
− ∗1 . 15 − ∗1 .15
a 0 . 9∗1. 5 = 0 .719 0 . 9∗1 .5
fe 400
= -0.939 cm²
213
Ath= -0.939 cm²
A (4u) =4.00cm²
0.2
A (0.2%) = ∗a∗b =1.25cm²
100
A (0.2%) =1.25cm²
Amin=sup (A4u ; A0.2%) =4.00cm²
Amin= 4.00cm²
A sc=sup (Ath; Amin) =4.00cm²
214
Alors :
A sc=4.00cm²
Φmax 10
On a Φt > 3 => Φt > 3
DESSIN DU POTEAU :
215
Poteau 39 :
La descente de charge :
218
Observations :
31097.00=1000*(2,27+0,40+3,38) *(1,98+0,25+2,91)
46645,50=1500*(2,27+0,25+3,44)*(1,98+0,25+2,91)
Le prédimensionnement de poteaux :
On a G= 454323,504N= 0.45MN
Q= 171033,50N= 0.17MN
Pour le prédimensionnement des poteaux il faut suivre les étapes suivantes :
Calcul de la descente de charge sur le poteau :
Nu= 1.35G + 1.5Q = 1.35*0.45 + 1.5*0.17 = 0.87MN
Nu=0.87MN
Nu’= 1.15* Nu = 1.15*0.87=1.00MN
Nu’=1.00MN
Fixer l’Elancement λ =35 pour déterminer a :
Lf Lf
On a λ = 2√ 3* avec λ=35 alors a = 2√ 3*
a λ
2.31
Donc a = 2√ 3* = 0.22 cm
35
Alors on prend a= 25 cm
Calcul de coefficient de flambage α :
0.85 0.85
α= 1+ 0.2( λ ) = 1+ 0.2( 35 ) =0.708
35 35
α=0.708
Calcul de la section réduite de béton Br avec Ath=0 à partir de la relation
suivante :
Ath= [ ]
N u Br∗fc 28
− ∗1 . 15
a 0 . 9∗1. 5 =0
fe
219
N u∗0.9∗1.5 1.00∗0.9∗1.5
On trouve que : Br= = 0.708∗20 = 0.095 m²
a∗fc 28
Br=0.095m²
220
On a Br= (a-0.02) (b-0.02)
Alors (a-0.02) (b-0.02) =0.05
0.095
Donc b= 0.25−0.02 +0.02=0.39cm
On prend b=40cm
Donc on a les données suivantes :
- Nu=1.00MN;
- Lf = 0.7*L0 = 0.7*3.3= 2.31m;
- a=25 cm; b=40cm;
- fc28=20MPA;
- Fe E400
Le ferraillage de poteau :
Calcul de l’Elancement λ :
Lf 2.31
On a λ = 2√ 3* = 2√ 3* = 32.01
a 0.25
λ = 32.01
Calcul de coefficient de flambage α :
Puisque λ<50<70 :
0.85
0.85
Donc α= 1+ 0.2(
32.01 =
) 1+ 0.2∗0.915 =0.719
35
α= 0.719
Calcul de section réduite Br :
Br= (a-0.02) (b-0.02) = (0.25-0.02) (0.40-0.02) =0.0874m²
Br=0.0874m²
Calcul de section théorique Ath :
[
N u Br∗fc 28
−
Ath= a 0 . 9∗1. 5
∗1 . 15 ] −
[
1. 00 0 . 0874∗20
= 0 .719 0 .9∗1 .5 ]
∗1 . 15
fe 400
221
= 0.36 cm²
Ath= 0.36 cm²
A (4u) =5.20cm²
222
0.2 0.2
A (0.2%) = ∗a∗b = ∗25∗40 =2cm²
100 100
A (0.2%) =2cm²
Amin=sup (A4u ; A0.2%) =5.20cm²
Amin= 5.20cm²
A sc=sup (Ath; Amin) =5.20cm²
Alors :
A sc=5.20cm²
223
DESSIN DU POTEAU :
Coupe horizontale :
Coupe transversale :
224
Etude des poutres
Poutre 25x40
226
Observations :
12543= 1000*5,55*2,26
18814,6= 1500*5,55*2,26
On a comme constantes les valeurs suivantes :
227
3.5
fe 400 α l=
On a ɛ l= = =1.33 et 35
1.5∗200 1.5∗200 (3.5+ ɛ l ¿ )= =0.724 ¿
(35+1.33)
228
µl=0.8∗α l ( 1−0.4 α l )
Puisque qu’on a µl >µ u alors on pose bc =10‰ et on travaille avec le deuxième cas
Pser∗l ² 0 .048∗5 . 55 ²
M ser = = =0. 18MN.m M ser = 𝟎.
8 8
𝟏𝟖𝑴𝑵. 𝒎
Calcul de α’/𝒚𝟏 :
nσ ' bc 15∗12
𝛂’ = = =0.491 𝛂’ =0.491
n σ ' bc + σ ' st 15∗12+186.67
𝒚𝟏 = 𝛂’ ∗ 𝐝=0.419*0.35=0.172 𝒚𝟏 = 𝟎. 𝟏72
Calcul de Z :
α’ 0.491
Z=d*(1- )= 0.35*(1- )= 0.293 Z=0.293
3 3
Calcul de M rsb:
M rsb=0.5*b*𝒚𝟏 *σ ' bc*z = 0.5*0.25*0.172*12*0.293 = 0. 066MN.m 𝑴𝒓𝒔𝒃=0. 076MN.m
229
Puisque qu’on a M ser ≥ M rsb
Donc la section est avec acier comprimé ;
230
'
nσ ' bc ( y 1−d ) 15∗12∗(0.172−0.05) σ sc =118.78 MPa
σ sc = = =127.67MPa
y1 0.172
M ser −M rsb 0.18−0.076
A sc= = =2.74cm² A sc=¿ 2.74cm²
(d−d )σ sc
'
( 0.35−0.05 )∗127.67
A st =
[ M rsb M ser −M rsb
z
+
( d−d ' )
'
∗1
] =
0.076 0.18−0.076
+ ∗¿
1
=32.47 cm ²
σ st 0.293 0.35−0.05 186.67
A st =32.47 cm ²
Calcul de suspentes :
Pser 0.048
A sp= = =1.8 cm ² A sp=1.8 cm ²
√2 σ st √ 2∗186.67
Le choix d’acier longitudinales :
Pour les armatures longitudinales comprimés (supérieures) : on a A sc=¿
2.74cm² alors on va travailler avec un intervalle de [2.74 ;3.01], pour choisir :
3HA12 (3.39)
Pour les armatures longitudinales tendus (inferieurs) : on a A st ∈
[32.47 ;35.72], on choisit deux lits des armatures
- 6HA25 (29.45)
- 3HA16 (6.03)
Pour les suspentes : on a A sp ∈ [1.8 ;1.98], on choisit : 3HA10(2.36)
Le choix d’acier transversales :
En calculant l’effort tranchant de la poutre étudiée :
Pser∗l 0.048∗5.55
V u= = =¿0.133MN V u=0.133 MN
2 2
Calcul de contrainte de cisaillement limite τ ' u:
Puisque on a les armatures droites (fissuration peu nuisible), la contrainte est calculée
par la formule suivante :
'
τ u=min
( 0.15∗f c 28
Yb ) (
; 4 MPa =min
0.15∗20
1.5
; 4 MPa )
¿ min ( 2 MPa ; 4 MPa )
231
232
Calcul de contrainte de cisaillement τ u :
On va calculer la contrainte de cisaillement pour la comparer avec celle limite :
Vu 0.133
τu= = =1.52MPa τ u =1.52 MPa
b∗d 0.25∗0.35
Alors, St =12 cm
Smax ≤ 31.5 cm
Smax ≤ 30 cm
233
Dessin de poutre :
Coupe transversale :
Coupe longitudinale
234
CALCUL DE LA DALLE
Dalle pleine en béton armé :
Lx 4.52
On a Lx=4.52m et Ly=5.55m ρ= Ly = 5.55 =0.81
Détermination de G/Q :
Calcul de µ :
M ux 0.008
µx = = =0.07 µx =0.07
b∗d∗f bu 1∗0.12∗11.33
µ x∗M uy 0.07∗0.005
µy= = =0.044 µx =0.044
M ux 0.008
Calcul de α :
Calcul de Z :
237
L’E.L. U :(v=20) :
On a µx = 0.0617 Et µ y = 0.7246
M serx = µx ∗ Pser ∗ 𝒍𝒙²=0.0617*0.0050*4.52²=0. 0063MN.m M serx =0.
0063MN.m
M sery = µ y ∗ M serx =0.7246*0.0063=0. 0046MN.m M sery =0. 0046MN.m
Calcul de α’/𝒚𝟏 :
n σ ' bc 15∗12
𝛂’ = ' = =0.491 𝛂’ =0.491
nσ + σ ' st
bc
15∗12+186.67
𝒚𝟏 = 𝛂’ ∗ 𝐝=0.491*0.1=0.049 𝒚𝟏 = 𝟎. 𝟎𝟒𝟗
Calcul de Z :
α’ 0.491
Z=d*(1- ) = 0.1*(1- )= 0.084 Z=0.084
3 3
Calcul de 𝑴𝒓𝒔𝒃 :
M rsb=0.5*b*𝒚𝟏* σ 'bc*z = 0.5*1*0.049*12*0.048
Alors :
M serx 0.00630
A serx= = =4.02cm² A serx= 𝟒.
Z∗σ ' st 0 .084∗186.67
𝟎𝟐𝒄𝒎²
M serx 0.0046
A sery= = =2.93cm² A sery = 𝟐.
Z∗σ ' st 0 .084∗186.67
𝟗𝟑𝒄𝒎²
𝐴𝑠 ≥ 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗𝑓𝑡28𝑓𝑒≥0.23*0.1*1* 1.8400≥1.04cm²
Puisque 𝐴𝑠 ≥ 1.04𝑐𝑚² alors la condition de non fragilité a été vérifiée
Pour les armatures parallèles a x :
Puisque qu’on a 𝐴𝑠𝑥 = 𝐴𝑠𝑒𝑟𝑥 = 4.02𝑐𝑚², alors nous avons un intervalle de travail de
[4.02 ; 4.42] avec une majoration de 10%, c’est pour cela on va choisir : 5HA10 qui a une
section de 4.22cm²
238
Pour les armatures parallèles a Y :
Puisque qu’on a 𝐴𝑠𝑦 = 𝐴𝑠𝑒𝑟𝑦 = 2.93𝑐𝑚², alors nous avons un intervalle de travail de [2.93 ;
3.22] avec une majoration de 10%, c’est pour cela on va choisir : 6HA8 qui a une section de
3.22cm²
CALCUL DE LA SEMELLE
La modélisation du bâtiment est effectuée sur une fondation en semelles isolées, ainsi
les charges appliquées aux têtes des semelles sont obtenues en faisant le cumul des charges
transmises par les poteaux.
Les semelles doivent assurer la transmission des charges vers le sol, en prenant compte
de sa portance fixé dans notre projet 2.2 bars, on pose sous chaque poteau une semelle isolée.
Semelle S4 :
On a Nu=1.15*[1.35*G P 4 +1.5*Q P 4]
Nu=1.15*[1.35*0.318 +1.5*0.072] =0.62MN
Nu= 0.6MN
N ser = G+Q =0.318+0.072 = 0.39MN
N ser 0.39MN
Avec : a=0.25m ;
b=0.25m ;
Fe=400MPa;
σ sol=2.2bar=0.22MPA
σ bt =0.6+0.06*20=1.8MPa
σ st =186.676MPa
239
Calcul de ferraillage :
On a des semelles isolées, donc la surface de semelle est :
G+ Q 0.318+0.072
S=
σ sol
= 0.22 =1.77 m²
S=1.77m²
La larguer de la semelle :
a 0.25
A≥√(S* b ) ≥√ (1.77* 0.25 )≥1.33m
Sup=27.5cm
d=30 cm
Et on a h= d+0.05=0.30+0.05=0.35m
Alors:
h= 0.35m
L’étape suivante c’est de calculer la contrainte de sol, et de la comparer avec celle
donnée par le laboratoire :
240
N ser + Psemelle
σ sol =
S semelle
241
Avec :
Psemelle : poids volumique de semelle (=0.025MN/m 3)
Alors
0.39+ 0.016
σ sol = =0.22 MPa
1.82
σ sol =¿0.22MPa
0.64∗( 1.35−0.25 )
A S /¿ B ≥ =8.50 cm ²
8∗0.30∗347.82
E.L.S:
'
N ser ( B−b) 0.41∗(1.35−0.25)
A s/ ¿B ≥ A s/ ¿B ≥ ≥10.07cm²
8 d σ st 8∗0.30∗186.676
242
Puisque on a A s/ ¿B (E . L . U )≥ A s/ ¿B (E . L . S) , on opte la valeur maximum entre
les deux, et puis :
A s/ ¿B =10.30 cm ²
A S /¿ B= A A /¿ B=10.30 cm ²
Alors on va choisir les mêmes aciers pour les deux nappes inférieures et
supérieure
Dessin de semelle :
Coupe transversale :
Coupe transversale :
243
244
Semelle S2 pour poteau 39 :
On a Nu=1.15*[1.35*G P 40 +1.5*Q P 40]
Nu=1.15*[1.35*0.45 +1.5*0.17] =0.87MN
Nu= 0.87MN
N ser = G+Q =0.45+0.17= 0.62MN
N ser 0.62MN
Avec : a=0.25m ;
b=0.40m;
Fe=400MPa;
σ sol=2.2bar=0.22MPA
σ bt =0.6+0.06*20=1.8MPa
σ st =186.676MPa
Calcul de ferraillage :
On a des semelles isolées, donc la surface de semelle est :
G+ Q 0.45+0.17
S=
σ sol
= 0.22 =2.82 m²
S=2.82m²
245
La larguer de la semelle :
a 0.25
A≥√(S* b ) ≥√ (1.77* 0.40 )≥1.33m
h= 0.5m
L’étape suivante c’est de calculer la contrainte de sol, et de la comparer avec celle
donnée par le laboratoire :
N ser + Psemelle
σ sol =
S semelle
246
Avec :
Psemelle : poids volumique de semelle (=0.036MN/m 3)
Alors
0.62+ 0.036
σ sol = =0.22 MPa
2.90
σ sol =¿0.22MPa
1.05∗( 2.15−0.40 )
A S /¿ B ≥ =14.67 cm²
8∗0.45∗347.82
E.L.S:
247
'
N ser ( B−b) 0.66∗(2.15−0.4)
A s/ ¿B ≥ A s/ ¿B ≥ ≥17.18cm²
8 d σ st 8∗0.45∗186.676
Dessin de semelle :
Coupe transversale :
248
Coupe transversale :
249
CHAPITRE 8 : VOIRIES ET RESAUX DIVERS
250
Introduction
251
LE TACE ROUTIER
La route
Une route est une surface spécialement aménagée sur le sol dans le but de faciliter la
circulation des véhicules et de permettre également le déplacement des piétons.
252
Il faut au moins 3m et mieux encore 3,50 m pour que les véhicules de tous gabarits
qui puissent se croiser et se dépasser en toute sécurité ;
La largeur de voie peut être réduite à 3m (exceptionnellement 2,50m) sur les routes
peu fréquentées.
Pentes transversales des chaussées :
Chaussée en béton de ciment : 2.0% ;
Enduit superficielle ou enrobé : 2.5% ;
Chaussée non revêtue : 4.0%.
La plateforme : La surface horizontale préparée et aménagée pour supporter la
chaussée et la circulation des véhicules. C'est la partie de la route qui fournit la base
solide sur laquelle la structure routière est construite.
L’assiette :la surface préparée et nivelée du terrain sur laquelle une route, une voie de
circulation ou une voie ferrée est construite. C'est la partie du sol qui est aménagée
pour accueillir l'infrastructure de transport.
L'emprise : C'est la surface totale requise pour implanter l'infrastructure routière, y
compris la chaussée, les accotements, les voies, les trottoirs, les bermes, les talus, les
fossés, etc.
Les accotements : aussi appelés bords de chaussée, sont les parties de la route situées
sur les côtés de la chaussée proprement dite. Ils sont généralement revêtus d'une
surface moins robuste que la chaussée principale, souvent avec de l'herbe, du gravier
ou du béton non armé, ils sont plusieurs fonctions comme la Sécurité, le stationnement
d’urgence, l’écoulement des eaux, l’aménagements cyclables et piétonniers.
Un terre-plein central (TPC) est une bande de terrain surélevée et gazonnée qui
sépare les voies de circulation opposées d'une route à chaussées séparées
Les fossés : sont les excavations aménagées de part et d’autre de la plateforme. Ils
sont destinés à assainir la plateforme en collectant les eaux de ruissellement et
drainées par la chaussée et les accotements.
Le talus : le talus est situé sur les côtés extérieurs de la route, entre la chaussée et les
zones environnantes, telles que les fossés, les propriétés privées, les terres agricoles ou
les talus naturels, il est responsable sur le Drainage, la Stabilisation du sol, la Sécurité,
Délimitation de la route…
253
Les devers : l'inclinaison de la chaussée d'une route ou d'une autoroute par rapport à
l'horizontale. Les dévers sont conçus pour permettre un drainage efficace des eaux de
pluie et offrir une meilleure adhérence aux pneus des véhicules, ce qui contribue à
améliorer la sécurité routière.
Les trottoirs : sont des voies réservées aux piétons le long des routes, séparées de la
chaussée utilisée par les véhicules. Ils sont conçus pour offrir un espace sûr et dédié
aux piétons afin qu'ils puissent se déplacer à pied en toute sécurité sans interférence
avec le trafic automobile.
Les bordure de trottoir : sont des éléments surélevés en béton ou en pierre qui
délimitent les trottoirs par rapport à la chaussée ou aux espaces adjacents tels que les
espaces verts, les pistes cyclables ou les parkings. Elles servent de séparation physique
entre le trottoir réservé aux piétons et les zones réservées aux véhicules ou aux espaces
verts.
254
Le trafic
Trafic fort :
Le trafic est qualifié de fort lorsque la densité de véhicules sur la route ou dans la zone
est élevée.
Trafic moyen :
Les véhicules circulent à des vitesses légèrement réduites par rapport à la limite de
vitesse en raison de la présence d'autres véhicules sur la route, mais les arrêts fréquents et les
embouteillages sont moins courants que dans le trafic fort.
L’aire de stationnement
L’aire de stationnement est un espace spécialement aménagé pour permettre aux véhicules
de se garer temporairement. Ces aires de stationnement sont généralement destinées à faciliter le
stationnement des voitures, motos, camions ou autres types de véhicules lorsqu'ils ne sont pas en
mouvement, il prend plusieurs formes :
255
Les différentes couches d’une chaussée :
Lors de la conception d'une chaussée, il est essentiel de prendre en compte la variation
de la pression exercée par les véhicules sur la structure de la chaussée en fonction de sa
profondeur. Pour optimiser la résistance et la durabilité de la chaussée, on superpose
généralement des couches de matériaux de caractéristiques mécaniques croissantes, du bas
vers le haut.
La superposition typique des couches dans une chaussée peut être la suivante (du bas vers le
haut) :
Couche de fondation (ou couche de support) :
La couche de fondation est située en dessous de toutes les autres couches et sert de
support principal pour la chaussée. Elle est généralement constituée de matériaux de
sol stables et bien compactés, tels que des graviers, des roches concassées ou des
matériaux granulaires, qui aident à distribuer les charges de circulation sur le sol
naturel en dessous.
Couche de base :
La couche de base est située au-dessus de la couche de fondation et sert à répartir les
charges de circulation de manière plus uniforme. Elle est généralement composée de
matériaux plus résistants et durables, comme du béton bitumineux (enrobé) ou du
béton de ciment, et elle contribue à la stabilité globale de la chaussée.
Cette couche peut être composée du G.N.B (Grave Non traité de Base) ou G.B.B
(Grave de Base Bien traité) ;
Couche de liaison :
La couche de liaison est placée au-dessus de la couche de base et agit comme une
transition entre la base et la couche de roulement supérieure. Elle peut être constituée
de matériaux spéciaux, tels que du béton bitumineux modifié ou des liants spéciaux,
pour améliorer l'adhérence entre la base et la couche de roulement.
256
Couche de roulement :
La couche de roulement est la couche supérieure de la chaussée, celle sur laquelle les
véhicules roulent directement. Elle doit être résistante à l'usure et offrir une surface de
roulement lisse pour assurer une conduite confortable et sûre. Cette couche est
généralement constituée de béton bitumineux (asphalte) ou de béton de ciment.
LA STRUCTURE DE LA CHAUSSEE :
257
2. Chaussée rigide (ou chaussée en béton) :
La chaussée rigide est construite en utilisant du béton de ciment comme matériau
principal. Contrairement à la chaussée souple, la chaussée rigide est moins flexible mais offre
une meilleure répartition des charges sur toute sa surface. Les dalles de béton travaillent
ensemble pour supporter les charges de circulation et minimiser les déformations. Ce type de
chaussée est souvent utilisé dans les zones à trafic lourd, comme les autoroutes.
3. Chaussée semi-rigide :
La chaussée semi-rigide est une combinaison des caractéristiques de la chaussée
souple et de la chaussée rigide. Elle utilise généralement une couche de base en béton de
ciment et une couche de roulement en asphalte. Cela permet de bénéficier des avantages des
deux types de chaussée en termes de flexibilité et de répartition des charges.
Le tracé en plan
258
Le tracé en plan d’une route est obtenu par projection de tous les points de cette route
sur un plan horizontale.
C’est une succession d’alignement droit et d’arc reliés entre eux par des courbes de
raccordement progressif.
Les caractéristiques des éléments constituant le tracé en plan doivent assurer les
conditions de confort et de stabilité et qui sont données directement dans les codes routiers en
fonction de la vitesse de base et le frottement de la surface assuré par la couche de roulement
Un tracé en plan moderne est constitué de trois éléments :
Des droites (alignements).
Des arcs de cercle.
Des courbes de raccordement (CR) de courbures progressives.
259
Le profil en long
Le profil en long est une représentation graphique des variations d'altitude le long
d'une route, d'une autoroute ou de tout autre ouvrage linéaire. Il montre comment le terrain
varie et comment la route est tracée en suivant les contours du sol.
Le profil en long est souvent utilisé en conception routière pour visualiser les
caractéristiques de la route telles que les pentes, les dénivelés, les montées, les descentes, les
courbes verticales, les tranchées, les talus, etc. Cela permet aux ingénieurs de s'assurer que la
route est conçue pour être sûre, praticable et conforme aux normes de conception.
Le profil en long est constitué d’une succession de segment de droites (rampes et
pentes) raccordés par des courbes circulaires.
260
Pour chaque point du profil en long on doit déterminer :
L’altitude du terrain naturel : Cela fait référence à l'altitude du sol naturel
ou du terrain existant le long de la route ou de l'ouvrage linéaire.
L’altitude de la ligne du projet : Elle est représentée par une ligne continue
qui suit le tracé de la route ou de l'ouvrage sur le profil en long.
La déclivité de la ligne du projet : est le taux de variation verticale de la
route par rapport à la distance horizontale parcourue. Elle est exprimée
généralement en pourcentage ou en pour mille
Le profil en travers
Le profil en travers est une autre représentation graphique utilisée en génie civil et en
conception routière pour montrer les caractéristiques de la route ou de l'ouvrage linéaire dans
une direction perpendiculaire à son alignement longitudinal (profil en long)
Contrairement au profil en long, qui montre les variations d'altitude le long de la route,
le profil en travers montre les variations d'altitude et de géométrie de la route dans une
direction transversale, c'est-à-dire de gauche à droite.
Le dessin d’un profil en travers est composé, d’une manière générale par les éléments
suivants :
Plan de comparaison ;
Ligne rouge ;
Terrain naturel ;
Chaussée ;
Accotements ;
Dévers ;
Corps de chaussée ;
Talus de déblai ;
Talus de remblai ;
Pentes des talus ;
Fossé (ouverture et profondeur) ;
Limite des terrassements (assiette) ;
Distances entre profils ;
Coupe longitudinale d’un ouvrage hydraulique ;
Sens d’écoulement (fil d’eau).
261
On constate qu’il y a 3 types de profils en travers :
Profil toute en déblais : un profil de route ou d'un ouvrage linéaire qui nécessite
uniquement des opérations de déblai sans avoir besoin d'ajouter de remblai.
Profile mixte : C’est un profil qui nécessite, pour sa réalisation les opérations de
terrassements Déblai et remblai.
262
L’APPLICATION DE LA ROUTE DE PROJET SUR COVADIS
263
264
CHAPITRE : ECLAIRAGE PUBLIC
265
Introduction
L’éclairage public est un système d'illumination installé dans les espaces publics tels
que les rues, les places, les parcs et autres lieux fréquentés par le public, avec pour objectif
principal d'assurer la visibilité et la sécurité pendant les heures de faible luminosité,
notamment la nuit. C'est un élément essentiel de l'urbanisation moderne qui a un impact
significatif sur la qualité de vie des citoyens.
De nos jours, l'éclairage public est principalement alimenté par l'électricité, utilisant
des sources lumineuses telles que les lampes à vapeur de sodium, les lampes LED et autres
technologies économes en énergie. Outre son rôle fondamental dans la sécurité des
déplacements et la prévention de la criminalité, l'éclairage public contribue également à créer
une atmosphère agréable, favorisant la vie nocturne, le tourisme et le développement
économique des zones urbaines.
L'éclairage public permet de :
266
spécifiques ou en créant des ambiances spéciales lors d'événements ou de
célébrations.
Réduire la pollution lumineuse : Une conception réfléchie de l'éclairage
public permet de minimiser la pollution lumineuse et de préserver la visibilité
du ciel nocturne pour l'observation des étoiles.
Évaluation des besoins : La première étape consiste à évaluer les besoins en éclairage
public de la région concernée. Cela implique de prendre en compte les activités
humaines prévues pendant les heures de faible luminosité, la densité de population, les
zones de circulation, les espaces verts, les points d'intérêt, les zones commerciales, etc.
Une analyse approfondie des besoins permettra de déterminer les zones prioritaires et
les niveaux d'éclairage requis.
Étude de l'environnement : Il est essentiel de prendre en compte l'environnement
urbain et naturel dans la planification. L'impact sur les écosystèmes locaux et la faune
doit être évalué afin de minimiser la pollution lumineuse et de préserver la
biodiversité.
Choix des sources lumineuses : Sélectionner les sources lumineuses appropriées est
crucial pour l'efficacité énergétique et la durabilité du système. Les technologies à
faible consommation d'énergie, telles que les lampes LED, sont généralement
privilégiées pour leur longue durée de vie et leur faible coût d'exploitation.
Conception d'un plan d'éclairage : Sur la base des besoins identifiés, un plan
d'éclairage détaillé est élaboré, indiquant l'emplacement des luminaires, leur
puissance, leur angle d'inclinaison et leur répartition spatiale. Le plan devrait tenir
compte des spécificités locales, des contraintes architecturales et des préférences des
citoyens.
Considérations esthétiques et architecturales : L'éclairage public peut être utilisé
pour mettre en valeur l'architecture, les monuments et les espaces urbains. Des
luminaires esthétiques et bien intégrés à l'environnement peuvent améliorer l'aspect
visuel de la ville la nuit.
Gestion intelligente : L'utilisation de systèmes de gestion intelligente, tels que les
capteurs, les contrôleurs d'éclairage et les horloges astronomiques, permet de réguler
l'intensité lumineuse en fonction des besoins réels et de réaliser des économies
d'énergie.
Budget et financement : La planification initiale doit également inclure une
estimation budgétaire du projet et identifier les sources de financement potentielles,
qu'elles soient publiques ou privées.
Approbation et mise en œuvre : Une fois que le plan d'éclairage public est élaboré et
approuvé par les autorités compétentes, sa mise en œuvre peut commencer, incluant
l'installation des luminaires et la mise en place des infrastructures nécessaires.
267
Suivi et entretien : Un suivi régulier et un entretien approprié du réseau d'éclairage
public sont essentiels pour s'assurer de son bon fonctionnement, de son efficacité
énergétique et de sa durabilité tout au long de son cycle de vie.
L'implantation en éclairage public fait référence à la manière dont les luminaires sont
disposés dans l'espace public pour éclairer efficacement les zones spécifiques. Différents
types d'implantation sont utilisés en fonction des caractéristiques de la zone urbaine, des
besoins d'éclairage et des objectifs spécifiques recherchés.
Implantation unilatérale
Les points lumineux sont implantés d'un seul côté de la chaussée à éclairer. Ce type
d'implantation est la moins onéreuse.
Implantation bilatérale
Les points lumineux sont implantés des deux côtés de la chaussée. Ils sont en vis-à-vis
lorsqu'ils se font face ou sont en quinconce lorsqu'ils sont implantés à mi-distance
longitudinale les uns des autres.
268
Cette solution convient particulièrement lorsque la chaussée à éclairer est large. Pour
les routes à chaussées séparées, lorsque la bande de séparation des voies n'est pas
suffisamment large, les mâts sont implantés de cette façon pour éclairer le tout.
Implantation rétro bilatérale
Les points lumineux se montrent le dos, ils sont installés sur des mâts séparés. Cette
solution est plus coûteuse comparée à l'implantation axiale des mâts puisqu'elle nécessite deux
fois plus de mâts car ceux-ci sont placés dos à dos. Ce type de configuration convient lorsque
les îlots centraux ou terre-pleins centraux sont larges.
Implantation axiale
Elle est idéale pour l'éclairage des voies piétonnes (il faut que les luminaires soient
fixés en top sur les mâts, et que leurs fluxes soient symétriques de façon à ce qu'ils éclairent
d'une façon homogène tout autour de chaque mât). Cette solution convient également pour
l'éclairage des routes à chaussées séparées par un terre-plein central. Dans ce cas-là, pour
éclairer les deux chaussées, il faut que les candélabres soient constitués de crosses doubles (un
luminaire est destiné à éclairer une voie)
269
Candélabres utilisés :
270
DIMENSIONNEMENT D’UNE INSTALLATION D’EP :
Réseaux numéro 1 :
● Hauteur de candélabre : 6m
271
Réseaux numéro 2 :
● Hauteur de candélabre : 8m
272
Réseaux numéro 2 :
● Hauteur de candélabre : 8m
273
Réseaux numéro 2 :
● Hauteur de candélabre : 8m
274
La vérification de luminaire sur dia lux :
DIA Lux est un logiciel de conception d'éclairage professionnel utilisé pour planifier,
calculer et visualiser l'éclairage intérieur et extérieur dans les bâtiments et les espaces publics.
Il offre des fonctionnalités telles que des calculs d'éclairage, des visualisations en 3D, une
bibliothèque de produits, la conformité aux normes d'éclairage, des économies d'énergie, et la
possibilité de générer des rapports.
275
La modélisation 3d de projet sur dia lux :
276
DETAIL ESTIMATIF D’ECLAIRAGE PUBLIC
277
278
CHAPITRE : ASSAINISSEMENT
279
Introduction
280
Les eaux qui circulent dans les canalisations d’une construction à usage d’habitation sont :
Les eaux ménagères proviennent de la cuisine, les lavabos, les douches…, etc. ;
Les eaux vannes sont issues des toilettes et charrient les matières fécales ou l’urine. Il
s’agit d’« eaux noires », dont les impuretés sont difficiles à traiter.
Il y a plusieurs typés de réseaux d’assainissements selon la zone d’utilisation comme :
Réseau d'égouts unitaires : Ce type de réseau combine les eaux usées domestiques
et les eaux pluviales dans un même réseau de canalisations. Les eaux pluviales sont
collectées et transportées vers les mêmes installations de traitement que les eaux
usées. Cependant, cela peut entraîner des problèmes de surcharge pendant les fortes
pluies.
Réseau d'égouts séparatifs : Contrairement au réseau unitaire, ce réseau sépare les
eaux usées domestiques des eaux pluviales. Les eaux usées sont collectées et
acheminées vers des installations de traitement, tandis que les eaux pluviales sont
dirigées vers des milieux de rejet
Réseau d'assainissement individuel : Dans les zones rurales ou peu développées, où
la mise en place de grands réseaux d'égouts est difficile, les habitations peuvent être
équipées de systèmes individuels tels que des fosses septiques. Les eaux usées sont
traitées localement sur place.
Réseau d'assainissement pseudo-séparatif (le cas dans notre projet): reçoit les
eaux usées et une partie des eaux de ruissellement en provenance directe des
habitations, c'est un système dans lequel on divise les apports d'eaux pluviales en
deux parties :
Les apports d'eaux pluviales provenant des toitures et cours intérieures qui sont
raccordées au réseau d'assainissement, à l'aide des mêmes branchements que ceux
des eaux usées domestiques ;
Les apports d'eaux pluviales provenant des surfaces de voirie, qui s'écoule par des
ouvrages particuliers déjà reçus pour cet objet par les services de la voirie
municipale (caniveaux, aqueducs, fossés avec évacuations directes dans la
nature...)
281
Les étapes de pose d’une canalisation d'assainissement
282
283
L’ALLIMENTATION EN EAU POTABLE
284
Le calcul du diamètre de la tuyauterie :
Dans notre projet, nous avons un bâtiment de deux blocs R+3 c’est-à-dire 4 niveaux
(N1.N2.N3.N4) pour chaque bloc, chacun d’eux contient un nombre quelconque d’appareils
qui ont représentés dans le schéma suivant :
285
Les calculs sont effectués a base des débits suivants :
Le coefficient de simultanéité
Dans ce sens-là on utilise le coefficient de simultanéité qui est utilisé pour estimer la
charge réelle d'une installation électrique ou d'un réseau en prenant en compte le nombre
d'appareils électriques ou électroniques qui fonctionnent simultanément
Le coefficient de simultanéité permet de réduire la puissance totale estimée en
fonction de la probabilité que tous les appareils fonctionnent à pleine charge en même temps.
Cela permet d'optimiser la conception de l'installation électrique en évitant un
surdimensionnement inutile et en économisant des coûts.
Le coefficient de simultanéité C se calcule avec la formule :
C = 0.8 / (Nombre Appareils - 1) ½
286
Calcul de diamètre pour tronçon A2 :
Débit (l/s)
Total Sanitaires
Unitaire Total
Tronçon A2
1 Evier 0.20 0.20
2 Lavabo 0.20 0.40
2 WC 0.12 0.24
1 Douche 0.20 0.20
1 Machine a lavé 0.20 0.20
7 Appareils Total 1.24
0.8
Le coefficient de simultanéité : C= =
√7−1
C=0.32
Alors le débit de base (l/s) est : Qb =Q*C= 1.24*0.32
Qb=0.40l/s
En prenant une vitesse de 1.00m/s, on obtient le diamètre de tuyaux d’eau potable est
le suivant :
√ √
−3
Q 0.40∗10
∗4 ∗4
D= V = 1 =0.023m
π π
D=32mm
287
Calcul de diamètre pour tronçon A3 :
Débit (l/s)
Total Sanitaires
Unitaire Total
Tronçon A3
1 Evier 0.20 0.20
1 Lavabo 0.20 0.20
1 WC 0.12 0.12
1 Douche 0.20 0.20
1 Machine a lavé 0.20 0.20
5 Appareils Total 0.92
0.8
Le coefficient de simultanéité : C= =
√5−1
C=0.40
Alors le débit de base (l/s) est : Qb =Q*C= 0.92*0.40
Qb=0.37l/s
√
−3
0.37∗10
∗4
D= 1 =0.022m
π
D=32mm
288
Calcul de diamètre pour tronçon A1 :
Débit (l/s)
Total Sanitaires
Unitaire Total
Tronçon A1
2 Evier 0.20 0.40
3 Lavabo 0.20 0.60
3 WC 0.12 0.36
2 Douche 0.20 0.40
2 Machine a lavé 0.20 0.40
12 Appareils Total 2.16
0.8
Le coefficient de simultanéité : C= =
√12−1
C=0.24
Alors le débit de base (l/s) est : Qb =Q*C= 2.16*0.24
Qb=0.52l/s
√
−3
0.52∗10
∗4
D= 1 =0.026m
π
D=32mm
289
Calcul de diamètre pour tronçon A4 :
Débit (l/s)
Total Sanitaires
Unitaire Total
Tronçon A4
9 Lavabo 0.20 1.8
9 WC 0.12 1.08
18 Appareils Total 2.88
0.8
Le coefficient de simultanéité : C= =
√18−1
C=0.19
Alors le débit de base (l/s) est : Qb =Q*C= 2.88*0.19
Qb=0.55l/s
√
−3
0.55∗10
∗4
D= 1 =0.026m
π
D=32mm
Calcul de diamètre pour tronçon A5 :
Débit (l/s)
Total Sanitaires
Unitaire Total
Tronçon A5
9 Lavabo 0.20 1.8
9 WC 0.12 1.08
1 Evier 0.20 0.20
1 Machine a lavé 0.20 0.20
20 Appareils Total 3.28
0.8
Le coefficient de simultanéité : C= =
√20−1
C=0.18
290
Alors le débit de base (l/s) est : Qb =Q*C= 3.28*0.18
Qb=0.59l/s
√
−3
0.59∗10
∗4
D= 1 =0.027m
π
D=32mm
Calcul de diamètre pour tronçon A6 :
Débit (l/s)
Total Sanitaires
Unitaire Total
Tronçon A6
7 Lavabo 0.20 1.4
6 WC 0.12 0.72
4 Evier 0.20 0.80
1 Machine a lavé 0.20 0.20
18 Appareils Total 3.12
0.8
Le coefficient de simultanéité : C= =
√18−1
C=0.19
On ajoute une marge de 50% car on a un espace restaurant :
Alors le débit de base (l/s) est : Qb =Q*C*1.50= 3.12*0.19
Qb=0.59/s
√
−3
0.59∗10
∗4
D= 1 =0.027m
π
D=32mm
291
292
293
294
295
L’EVACUATION DES EAUX USEES
296
Le calcul du diamètre de colonne de chute :
Dans notre projet, on devise les colonnes de chute selon les groupes sanitaires de
l’appartement, et on calcule les diamètre des colonnes, en se basant sur le tableau ci-
dessus et à l’aide de formule suivante :
Φ=0.40√ Qtotal∗K
Pour appartement N1 :
Calcul de colonne de chute N1 :
La colonne de chute N1 est situé dans la première appartement, et il recois les eaux
d’un lavabo, WC et d’une douche d’un immeuble de 3étages
N appareils =3∗3=9 appareils
Qtotal=150*3=450l/min
297
Alors le diamètre est égal a :
La colonne de chute N2 est situé dans la première appartement, et il recois les eaux
d’un lavabo et WC d’un immeuble de 3étages
N appareils =2∗3=6 appareils
Qtotal=120*3=360l/min
La colonne de chute N3 est situé dans la première appartement, et il recois les eaux
d’un évier d’un immeuble de 3étages
N appareils =3 appareils
298
Alors le coefficient de simultanéité est le suivant :
1 1
K= = =0.71
√ N−1 √3−1
Qtotal=45*3=135l/min
La colonne de chute N5 est situé dans la deuxième appartement, et il recois les eaux
d’un lavabo, WC et d’une douche d’un immeuble de 3étages
N appareils =9 appareils
1 1
K= = =0.35
√ N−1 √ 9−1
Qtotal=450l/min
Φ=127.30mm
Alors on prend le diamètre de 160mm comme colonne de chute
Calcul de colonne de chute N5 :
La colonne de chute N3 est situé dans la première appartement, et il recois les eaux
d’un évier d’un immeuble de 3étages
N appareils =3 appareils
299
Alors le coefficient de simultanéité est le suivant :
1 1
K= = =0.71
√ N−1 √3−1
Qtotal=135l/min
Φ=97.90mm
Alors on prend le diamètre de 100mm comme colonne de chute
Le calcul du diamètre de tuyaux collecteurs :
Lorsque qu’on dit tuyaux de collecteurs, On parle ici des collecteurs
positionnés après une chute.
Le diamètre nominal minimal à prévoir est de 100 mm (94/100). La
pente minimale est de 2 cm/m.
Pour calculer le diamètre de ce tuyau on a besoin de 3 choses principales :
1. Débit à évacuer : Q qi
2. Nombre d'appareils : Pour tenir compte de l'effet de simultanéité, on définit
ainsi le débit probable Q par un coefficient b coefficient de simultanéité
3. Taux de remplissage : La hauteur d'eau maximale normale dans les tuyaux doit
pour l'évacuation des eaux usées, être égale à la moitié du diamètre
Avec :
Q : Débit (m3/s)
i : pente (m/m)
Y : coefficient de frottement (m1/2) ; sa valeur est fixe Y = 0,16.
300
Rh : rayon hydraulique (m)
Le rayon hydraulique est le rapport de la surface mouillée sur le périmètre
mouillé.
Sm π
Rh = Sm = D ²
Pm 8
π
P m= D
2
Les colonnes A sont pour les égouts qui ne reçoivent pas d’eaux pluviales
(tuyaux 1/2 pleins)
La colonne B : si les égouts reçoivent des eaux pluviales (tuyaux 7/10 pleins)
301
Alors on va utiliser la colonne A avec une pente de 2cm/m
N appareils =9 appareils
K=0.35
Alors Q= (0.75+1.50+0.50) *0.35*3=2.88
Et d’après le tableau D=75mm
Calcul de tuyau collecteur 2 :
C’est le tuyau au-dessous de colonne de chute N2 avec :
N appareils =6 appareils
K=0.45
Alors Q= (0.75+1.50) *0.45*3=3.03
Et d’après le tableau D=75mm
Calcul de tuyau collecteur 3 :
C’est le tuyau au-dessous de colonne de chute N3 avec :
N appareils =3 appareils
K=0.70
302
Alors Q= 0.75 *0.70*3=1.58
Et d’après le tableau D=75mm
Calcul de tuyau collecteur 4 :
C’est le tuyau qui englobe les tuyaux 1,2 et 3 avec :
K=0.24
Alors Q= (0.50+2*0.75+2*1.50+0.75) *0.24*3=4.14
Et d’après le tableau D=110mm
Calcul de tuyau collecteur 5 :
C’est le tuyau au-dessous de colonne de chute N4 avec :
N appareils =9 appareils
K=0.35
Alors Q= (0.75+1.50+0.50) *0.35*3=2.88
Et d’après le tableau D=75mm
Calcul de tuyau collecteur 6 :
C’est le tuyau au-dessous de colonne de chute N5 avec :
N appareils =3 appareils
K=0.70
303
Alors Q= 0.75 *0.70*3=1.58
Et d’après le tableau D=75mm
Calcul de tuyau collecteur 7 :
C’est le tuyau qui englobe les tuyaux 5 et 6 avec :
K=0.30
Alors Q= (0.50+0.75+1.50+0.75) *0.30*3=3.15
Et d’après le tableau D=75mm
Calcul de tuyau collecteur 8 :
C’est le tuyau qui englobe les tuyaux 4 et 7 et avec :
K=0.19
Alors Q= (2*0.50+3*0.75+3*1.50+2*0.75) *0.19*3=5.27
Et d’après le tableau D=125mm
Le calcul de dimensions de regards :
304
305
LA DESCENTE DES EAUX PLUVIALES
306
La note de calcul de descente d’eau pluviale :
Dans notre projet, nous avons quatre descentes d’eau pluviale avec une pente de
3/1000 par immeuble. Alors, on va appliquer les calculs sur une seule descente car ils sont
identiques.
d=
√ 4∗S
π
=¿
√4∗115.98 =12.15cm =121.50mm
π
¿
307
308
CHAPITRE : METRE
309
Introduction
310
Chapitre : Estimation de projet
311
Conclusion
Dans cette conclusion, je suis ravi de présenter notre projet de fin d'études, un
ambitieux programme de construction de logements qui intègre pleinement les connaissances
que nous avons acquises tout au long de notre parcours académique. Notre étude exhaustive
des matériaux de construction, des techniques de construction durables, de la gestion de projet
et de l'ingénierie structurelle a été essentielle pour mener à bien ce projet avec succès.
En conclusion, ce projet de fin d'études incarne notre engagement envers l'application
pratique de nos connaissances académiques. Nous sommes fiers du résultat obtenu et nous
espérons que ce projet servira de modèle pour des constructions futures, témoignant de notre
aptitude à intégrer efficacement l'apprentissage théorique dans des réalisations concrètes, et
ce, dans le respect des normes les plus élevées de l'industrie de la construction. Nous sommes
optimistes quant à notre capacité à contribuer de manière significative et innovante à
l'évolution constante du secteur du génie civil.
Enfin, nous tenons à exprimer notre sincère gratitude envers tous ceux qui ont contribué à la
réalisation de ce projet de fin d'études. Nous remercions nos enseignants et encadrants pour leur
précieuse guidance et leur expertise qui ont été des piliers essentiels tout au long de ce parcours. Nos
camarades de classe méritent également une reconnaissance particulière pour leur collaboration et leur
soutien constant.
Le premier et dernier remerciement sont dédiés à l’équipe pédagogique de l’IFTTS et
également la direction générale des compétences et transformation digitale et tous ceux qui ont
contribué de près ou de loin à la réussite de ce projet. Nous sommes impatients de continuer à
apprendre, à grandir et à appliquer nos connaissances pour façonner un avenir meilleur dans le
domaine du génie civil. Merci à tous pour cette opportunité inestimable.
312
Références
313
Outils informatiques
314
Annexes
315