Cours: Fondements Multimédias

Enseignante : Dr. Emna GHORBEL

1
 PLAN DU COURS

1 Introduction au multimédia

2 Composante multimédia IMAGE

3 Composante multimédia TEXTE

4 Composante multimédia SON

5 Composante multimédia VIDEO

6 Chaîne de production des données multimédias

 Dr. Emna GHORBEL

CHAPITRE II
Composante multimédia
IMAGE
 CHAPITRE 2 : COMPOSANTE MULTIMÉDIA IMAGE

1. Définition

2. Types des images

3. Qualité de l’image

4. Numérisation de l’image

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DÉFINITIONS CHAPITRE 2

Introduction générale :
L'appellation « image numérique » désigne toute image (dessin, icône, photographie…) acquise,
créée, traitée et stockée sous forme binaire.
- acquise à l’aide des dispositifs (scanner, appareil photo,…)

- créée directement par des programmes informatiques (images de synthèse).

- traitée grâce à des outils informatiques, de façon à la transformer, à en modifier la taille, les
couleurs, d’y ajouter ou d'en supprimer des éléments, d’y appliquer des filtres variés, etc.

- stockée sur un support informatique (disquette, disque dur, CD-ROM…).

From 2D to 3D Shape Morphing
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TYPES DES IMAGES CHAPITRE 2

On distingue deux sortes d’images numériques :

Une image vectorielle est redimensionnable sans perte de qualité contrairement à une image
matricielle
From 2D to 3D Shape Morphing
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TYPES DES IMAGES : VECTORIELLE CHAPITRE 2

L’image vectorielle est l’assemblage des entités géométriques tels qu'un cercle, une ligne, une
courbe, un arc, ou un segment,…

Ces entités géométriques sont représentées (paramétrées, modélisées) par des formules
mathématiques :
- un segment est défini par deux points
- Un cercle est défini un centre et un rayon
- Une courbe est définie par une équation

L’image vectorielle contient ces différentes formules géométriques permettant la tracé.

Exemple: pour afficher l’image d’un ballon rouge, on retiendra qu’il faut un disque rouge de centre
(X,Y) et de rayon R .
From 2D to 3D Shape Morphing
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TYPES DES IMAGES : VECTORIELLE CHAPITRE 2

Avantages

- Codage riche prenant en compte la sémantique.

- Codage compact : fichiers de taille réduite.
- Redimensionnement facile, sans perte de qualité et de l’information.
- Retouches faciles car les éléments de l'image sont indépendants.
- Traduction facile en image bitmap.

Limites

- Inutilisables pour des photographies.

- Pas adaptée aux images complexes avec beaucoup d'objets de petite taille.
- Formats non standardisés, non reconnues par les navigateurs Internet.

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TYPES DES IMAGES : MATRICIELLE CHAPITRE 2

Elles s'appellent aussi images bitmap, ce sont des images représentées par une matrice de
pixels (picture element) d'où leur appellation, une matrice est en quelque sorte un tableau.
Ces pixels ont une forme rectangulaire, et chacun d'entre eux possède une couleur quelconque,
et en rassemblant ces pixels on obtient notre image matricielle.

Une image matricielle est formée d'un tableau de points ou pixels.

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TYPES DES IMAGES : MATRICIELLE CHAPITRE 2

- Plus la densité des points est élevée, plus le nombre d'informations est grand et plus la
résolution de l'image est élevée.

- Corrélativement la place occupée en mémoire et la durée de traitement seront d'autant

plus grandes.

Exemple: Les images vues sur un écran de télévision ou une photographie sont des images
matricielles. On obtient également des images matricielles à l'aide d'un appareil photo
numérique, d'une caméra vidéo numérique ou d'un scanner.

Dr. Emna GHORBEL

TYPES DES IMAGES : MATRICIELLE CHAPITRE 2

Avantages
- Qualité photographique
- Riche en couleurs nuancées dont les contours ne sont pas bien définis.
- Adaptation facile
- Fréquemment sur le web et reconnues par la plupart des applications.
Limites
- Codage "pauvre" de l'information.
- Pas de distinction d'objet dans l'image.
- Taille des fichiers importante.
- Traitements d'image longs.
- L'agrandissement provoque un effet de mosaïque :
- La création d'une image "à la souris" est difficile.
- Usage conseillé d'un périphérique de numérisation : scanner, appareil photo numérique...
- Retouches délicates : effacer un élément de l'image crée un "trou".

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QUALITÉ DE L’IMAGE CHAPITRE 2

Trois paramètres interviennent pour déterminer la qualité de l’image :

La définition, la résolution et la quantification.

La définition:
On appelle définition le nombre de points (pixel) constituant l'image, c'est-à-dire sa «
dimension informatique » (le nombre de colonnes de l'image que multiplie son nombre
de lignes). Une image possédant 640 pixels en largeur et 480 en hauteur aura une
définition de 640 pixels par 480, notée 640x480 = 307200 pixels

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QUALITÉ DE L’IMAGE CHAPITRE 2

- Le Pixel (Picture Element) est l’élément visible minimal dans l’image matricielle ou image
bitmap.
Le nombre de couleur qu’il peut prendre est mesuré en BITS.

- Un Bit : unité numérique binaire, qui ne prend que deux valeurs, 0 ou 1. Codé sur n bits,
un pixel pour prendre 2n valeurs (de 0 à 2n-1).
Exemple : Codé sur 24 bits « image RGB », un pixel peut prendre 224 valeurs, soit 16,7
Millions de couleurs
(soit 24 bit par pixel)

- De forme carrée, sa taille est relative : elle dépend de la taille et de la résolution de

l’image.

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QUALITÉ DE L’IMAGE CHAPITRE 2

La résolution
terme souvent confondu avec la "définition", détermine le nombre de points par unité de surface,
exprimé en points par pouce (PPP, en anglais DPI pour Dots Per Inch); un pouce représentant
2.54 cm. Une image est divisée en points ou pixels.

Ce paramètre est défini lors de la numérisation (passage de l’image sous forme binaire), et
dépend principalement des caractéristiques du matériel utilisé lors de la numérisation. Plus le
nombre de pixels par unité de longueur de la structure à numériser est élevé, plus la quantité
d'information qui décrit cette structure est importante et plus la résolution est élevée.
La résolution d'une image numérique définit le degré de détail de l’image. Ainsi, plus la résolution
est élevée, meilleure est la restitution.

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QUALITÉ DE L’IMAGE CHAPITRE 2

Exemple: Considérons une image de 10 cm sur 10 cm avec une résolution très faible de 10
pixels par cm. Elle est codée sur 100 x 100 = 10000 pixels.

Avec une résolution convenable de 100 pixels par cm (un pixel mesure 0,1 mm), elle serait
codée sur 1000 x 1000 = 1000000 pixels = 1 M pixels. Le symbole M signifiant million.

Remarque: En général on utilise l'unité de longueur anglo-saxonne le pouce ou inch. La

résolution d'une image s'exprime alors en pixels par pouce (ppp) ou dots per inch (dpi) en
anglais.

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CODAGE DE
QUALITÉ DE L’IMAGE
L’IMAGE CHAPITRE
CHAPITRE12

CODAGE DE L’IMAGE : L'information est codée en binaire. Le support évolue mais le principe
est toujours le même : un même élément peut se trouver dans 2 états différents stables. Il
constitue une mémoire élémentaire ou bit. Conventionnellement on attribue le symbole 0 à l'un de
ces 2 états et le symbole 1 à l'autre.
- A l'aide de 1 bit on a donc 2 possibilités 0/1 ou ouvert/fermé ou noir/blanc
- A l'aide de 2 bits on a 2x2 = 4 possibilités : 00/01/10/11
- A l'aide de 3 bits on a 2x2x2 = 8 possibilités : 000/001/010/011/100/101/110/111
- A l'aide de 8 bits on a 2x2x2x2x2x2x2x2 = (2)8 = 256 possibilités
Cet ensemble de 8 bits est appelé "octet". En général les informations sont regroupées par groupe
de 8, 16, 24, 32 ou 64 bits c'est à dire 1, 2, 3 ou 4 octets.
- Avec 16 bits ou 2 octets on a 2x2x2x2x2x2x2x2x2x2x2x2x2x2x2x2 = (2)16 = 256 x 256 =
65536 possibilités
- Avec 24 bits ou 3 octets on a 256 x 256 x 256 = 16777216 possibilités (plus de 16 millions).
- On parle de kilooctet : 1 ko = (2)10 octets = 1024 octets (et non pas 1000…)
- mégaoctet : 1Mo = (2)20 octets, gigaoctet : 1Go = (2)30 octets Dr. Emna GHORBEL
CODAGE DE
QUALITÉ DE L’IMAGE
L’IMAGE CHAPITRE
CHAPITRE12

Quantification : La mesure du nombre de bits par pixel de l'image (bpp)

les valeurs les plus courantes sont :
- 2 bits/pixel pour les images noir et blanc(2 couleurs possibles)
- 8 bits/pixel pour les images à niveau de gris (256 couleurs possibles)
- 24 bits/pixel pour les images RVB (plus de 16 millions couleurs possibles)

??? ??? ???

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NUMÉRISATION DE L’IMAGE CHAPITRE 2

Input image à niveau de gris

3

2 4

echantillonage
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CARACTERISTIQUES
NUMÉRISATION DE L’IMAGE
DES DONNEES CHAPITRE 2
1

IMAGE NOIR ET BLANC (BINAIRE)

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COMPRESSION DE L’IMAGE
NUMÉRISATION CHAPITRE
CHAPITRE1 2

IMAGE À NIVEAU DE GRIS (GRAYSCALE)

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COMPRESSION DE L’IMAGE
NUMÉRISATION CHAPITRE
CHAPITRE1 2

IMAGE COULEUR (Exemple : RGB IMAGE)

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CODAGE D’UNE IMAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE1 2
1

CODAGE D’UNE IMAGE EN COULEUR

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CODAGE D’UNE IMAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE1 2
1

CODAGE EXEMPLES :

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TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11

TAILLE D’UNE IMAGE SANS COMPRESSION (BRUTE)

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TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11

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TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11

Les Modes colorimétriques RVB / CMJN:

Afin de créer des images encore plus riches en couleurs (et donc disposer de plus qu'une palette
limitée à 256 couleurs), l'idée de mélanger des couleurs primaires en « couches » est arrivée. Il faut
savoir qu'il existe deux systèmes de représentation des couleurs par mélange, selon qu'on les
reproduisent sur un écran d'ordinateur ou sur support papier via une imprimante :
- La synthèse additive : c'est le - La synthèse soustractive : c'est le
phénomène qui se passe lorsqu'un un phénomène qui se passe lorsqu'on
écran affiche une image par la mélange des pigments colorés en
lumière. On part du noir (lumière peinture. On part du blanc (support
éteinte) et on va vert le blanc. papier) pour aller vers le noir.
L'addition du rouge, du vert et du bleu L’addition du Cyan, du Magenta et du
donne le blanc: RVB Jaune donne le Noir: CMJN

En mode RVB, Les 3 canaux sont donc séparés en 3 couches afin d'offrir de nouvelles combinaisons de
couleurs possibles par la variation de chaque couleurs primaires. Lorsqu'on travaille en mode CMJN pour
réaliser un document imprimé, il y aura donc 4 couches pour réaliser ces mêmes couleurs.
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TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11
ROUGE VERT BLEU
RVB

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TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11
CIAN MAGENTA JAUNE NOIR
CMJN

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TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11

Convertisseur RVB / CMJN (RGB/CMYK):

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TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11
LES FORMATS DE FICHIER BITMAP
– Principaux formats de fichier non compressés:
Ce sont les formats de fichiers dit « non destructifs ». Ils enregistrent chaque pixel d'une image comme nous
l'avons vu précédemment, et utilisent en général beaucoup de mémoire.
De part leur poids élevé, ils ne sont pas adaptés pour le web mais doivent être utilisés lorsqu'on à besoin de
préserver la totalité des informations d'une image pour retravailler dessus par exemple.

.PSD : Format natif de Photoshop, c'est un méta-fichier qui peut contenir du bitmap et du vectoriel. La couleur
peut être codée sur 8, 16, 24 ou 32 bits, en Noir et Blanc, RVB et CMJN. Il gère la transparence, les couches
alpha et peut prendre énormément de poids suivant le nombre de calques utilisés

.BMP : Format natif de windows, il permet d'enregistrer des images bitmap en 1, 4, 8 ou 24 bit en mode RVB. Il
gère également les palettes pour les couleurs en mode indexées.

.TIFF : il permet de stocker des images de haute qualité en noir et blanc, couleurs RVB, CMJN jusqu'à 32 bits par
pixels. Il supporte aussi les images indexées faisant usage d'une palette de couleurs, les calques et les couches
alpha (transparence).

.RAW : C'est un format brut qui « code» les images avec un maximum d'information suivant le capteur de
l'appareil qui l'a crée. Il permet ensuite de développer numériquement ses photos en les enregistrant en .tiff avec
les réglages souhaitées (températures de couleurs, contrastes...). Dr. Emna GHORBEL
TAILLE SANS
CODAGE
COMPRESSION
NUMÉRISATION
D’UNE
COMPRESSION
IMAGE
DE L’IMAGE
COULEUR CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE12
11
LES FORMATS DE FICHIER BITMAP
– Principaux formats de fichier compressés:
Ce sont les formats de fichiers dit « destructifs ». Ils permettent, selon un algorithme particulier, de gagner
plus ou moins de mémoire en supprimant certaines informations peu ou non perceptible par l'œil humain.
Ils sont particulièrement adaptés à internet, mais ne doivent pas être utilisés lors d'un travail de création
sous photoshop car chaque nouvel enregistrement détériore un peu plus le fichier. On les utilisera donc
pour exporter des images destinées à la visualisation sur internet ou l'archivage.

.JPG : Norme de compression pour les images fixes ; Elle donne la possibilité de sélectionner le taux de
compression en fonction du niveau de restitution recherché (qualité réglables sur une échelle de 0 à 12).
Elle supprime les informations redondante et les détails fins. Fonctionne en 8 bit/pixel en RVB ou CMJN.

.GIF : C'est un format léger qui peut également contenir des animations. Une image GIF ne peut contenir
que 2, 4, 8, 16, 32, 64, 128 ou 256 couleurs parmi 16.8 millions dans sa palette en mode RVB. Elle
supporte également une couleur de transparence.

.PNG : il permet de stocker des images en noir et blanc (jusqu'à 16 bits par pixels), en couleurs réelles
(True color, jusqu'à 48 bits par pixels) ainsi que des images indexées, faisant usage d'une palette de 256
couleurs. Il offre enfin une couche alpha de 256 niveaux pour la transparence.
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TAILLE SANS COMPRESSION
COMPRESSION
NUMÉRISATION DE L’IMAGE CHAPITRE
CHAPITRE
CHAPITRE1 21
LES FORMATS DE FICHIER BITMAP
– La compression de donnée:
La compression de donnée consiste à obtenir des fichiers plus léger, afin d'améliorer la vitesse de
transfert sur internet ou limité l'espace de stockage utilisé sur un disque dur. Il existe deux principaux
types de compression:

- La compression sans perte: .zip .cab .rar .ace .7z .tar .gzip... appelée aussi « compactage », cette
solution consiste simplement à coder les données binaires de manière plus concise dans un fichier.
Elle permet ainsi de retrouver la totalité des informations après une procédure de décompactage.

- La compression avec perte: .jpg .gif . Concernant essentiellement les fichiers de média (image, son,
vidéo), elle consiste en une « réduction » de l'information basée sur notre propre limite humaine à
percevoir ces médias.
Puisque l'œil ne perçoit pas nécessairement tous les détails d'une image, il est possible de réduire la
quantité de données de telle sorte que le résultat soit très ressemblant à l'original, voire identique, pour
l'œil humain.

Utilisation : En fin de chaîne de production, lors de la diffusion numérique Ex : Site Internet, Logiciel sur
appareil mobile, présentation interactive...
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