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L’analyse d’image
Historiquement, lieu où des ouvriers travaillent avec des outils dans une même pièce.
L’image est la représentation du réel. L’image est choisie, conditionné par ce que l’on
voit. L’image est le produit fini d’un travail. Aucune image n’est pure et naturelle. Il y
a un travail derrière. Plusieurs thématiques possibles : logo, typographie, illustration,
data…
• Formule de LASSWELL
Par quel moyen ? Quels sont les différents médias par lesquels on communique ?
Quand on crée une publicité, on le pense pour quelqu’un. Il faut toujours penser à qui
c’est destiné. Ce n’est pas pour tout le monde, il faut cibler.
Avec quels effets ? Qu’est-ce que ça produit chez les personnes qui reçoivent le
message ?
Il existe 3 résonances :
Dès qu’on voit une image, le cerveau fait des liens avec des choses qu’on connait déjà
pour faciliter la compréhension. Cette façon de résonner va être sur des sensations
différentes.
1. Interpersonnelles
2. Culturelles
Elle doit être partagée par un nombre important de personne. Il faut une certaine
culture pour décoder des images. Il faut avoir connaissance de certaines choses pour
comprendre l’image.
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3. Universelle
Elle doit être partagée par un nombre important de personne. Il faut une certaine
culture pour décoder des images.
Informations explicites
• Gros plan : visage, buste. Permet de voir une partie d’un tout. Mettre l’accent
sur le visage. (On l’utilise pour les portraits). Faire passer une émotion. On crée
du hors champs.
• Le très gros plan : on est dans la partie de la partie. Un très gros plan. Permet
de mettre en évidence un détail. On est aussi dans une émotion intime. On
rompt la distance sociale classique. Plus aucune barrière entre le modèle et
nous.
Exercice description explicite-implicite : montre, main, chapelet, foulard, tissu dans les
mains. Mains usée, fermées autour du tissu : on voit les tendons. Rougies, gercées.
La profondeur de champs :
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Angle et prise de vue :
Composition :
Elles nous amènent vers l’horizon. Ce sont des lignes que le cerveau trace mais qui ne
sont pas dans l’image, c’est une façon de décoder la perspective. L’œil perçoit la
distance qui éloigne les éléments de l’avant plan à ceux de l’arrière-plan. Elles aident
à savoir où se situe le preneur d’image. Elles peuvent être liée à la question du point
de vue.
Quand on prend une photo, on choisit une position par rapport à ce qu’on doit prendre
en photo. Quand on crée une représentation de quelque chose, on choisit le cadrage,
on choisit d’offrir un point de vue. C’est l’opinion sur ce qu’on cherche à représenter.
Les plans :
Les 7 sensations :
1. La taille
Quand l’image est petite, le récepteur est obligé de l’intégrer. On crée un attachement
plus fort que les immenses images. Ou alors c’est tellement énorme que ça nous
domine.
2. La proxémie
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- Zone intime : distance très proche entre les gens. Famille, meilleurs amis,
boyfriend.
- Zone publique : 1m – 1m50 dans laquelle où on ne veut pas que des inconnus
entrent.
3. La luminosité
Référence à l’enfance, peur du noir et de ce qu’on ne voit pas. Différence entre lumière
douce (lumière naturelle, càd une luminosité où tout le monde voit tout le monde et
les ombres ne sont pas excessive car la lumière est dite « diffuse ») et lumière dure
(vient d’une source lumineuse plus restreinte que l’objet qu’elle éclaire, plein d’ombres
et des zones d’ombres, elle donne un air plus inquiétant et moins agréable à l’œil).
4. La composition
Verticalité = quand elle ne montre pas le sommet de l’objet pris en photo c’est
synonyme d’emprisonnement.
5. La dynamique
Une oblique ascendante, elle monte du coin en bas à gauche pour monter en haut à
droite. Existe aussi l’oblique descendante.
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Oblique ascendante : du coin bas/gauche au coin haut/droite, l’oblique ascendante
créée par le matelas, couleurs positives, lumière naturelle et soleil sur l’homme ;
impression de porter l’espoir par l’oblique ascendante ; détrituts sur la place
Diagonale descendante : du haut-gauche ou bas-droite, symbolisé par le fil du lance-
pierre ; lutte ; protection avec un pneu inefficace, situation négative de la personne
(descente)
Sens de lecture vertical : ce qui est dans le bas de l’image est plus négatif que ce qu’il
se passe vers le haut (espoir, avenir…) sens de lecture d’image inconscient.
6. La coloration
7. La texture
Le cerveau associe une texture à une sensation. Plus on donne de la texture plus on
essaie de représenter la réalité.
- Réflex numérique
- Hybride
- Compact
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Sensibilité limitée, possibilité d’extension limitée mais sa petite taille est avantageuse.
Faire une photo = prendre un sceau d’eau. On n’est pas maître de plusieurs éléments :
la luminosité par exemple. Par contre, on peut changer une donnée sur l’appareil par
exemple modifier les iso pour augmenter le nombre d’iso et alors on peut faire des
photos dans des endroits sombres MAIS apparition de grains sur les photos plus on
augmente le nombre d’iso.
On peut aussi jouer avec le diaphragme càd la quantité de lumière qui entre dans
l’objectif. Petit trou = peu de lumière mais si on ferme beaucoup, on aura une
profondeur de champ complète, très nette.
On peut utiliser le temps de pause. Quand on prend une photo, on ouvre un volet. On
peut commander l’appareil photo et lui dire d’attendre un certain temps avant de
prendre la photo.
Ces 3 éléments sont le triangle des expositions. 3 composantes qui vont améliorer la
qualité de la photo.
- Photo sous exposée = pas assez de lumière, ça donne une photo sombre.
- Photo sur exposée = trop clair, trop blanc.
Iso : petit chiffre = bonne luminosité, peu de grain et grand chiffre = trop sombre
donc beaucoup de grain.
Pour vérifier la lumière, il faut regarder sur le diagramme. La courbe est centrée.
JPEG plus petite taille et exportable directement, on peut l’utiliser sur tous les supports.
- Important de chercher dans le décor des éléments pour rendre la photo plus
agréable à regarder.
- Prendre le plus de photo et on en sélectionne plusieurs avant de montrer le
résultat du travail.
- Se préparer : réfléchir aux angles de vue, au bon moment.
- Raconter une histoire.
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- Varier les angles, bouger.
Chiffre grand = profondeur de champ nette Chiffre petit = zone de netteté est limitée
III. L’affiche
Évaluation : l’affiche peut être la même pour le cours d’outils numériques – retour
formatif jusqu’au 1er mai.
Les affiches passent par 4 rouleaux (quadrichromie) : les 3 couleurs primaires et le
noir.
Quadrichromie CMJN : cyan, magenta, jaune, noir
Les annonces sous forme d’affiches datent de l’Antiquité, elles étaient d’abord faites à
la main. Au moyen âge, on a des affiches pour les personnes recherchées (avec un
chiffre et une date uniquement, la population ne savait pas lire).
Plus tard, puisque les gens savent lire, l’affichage pourrait renaître mais il faut un
intérêt et un public donc, pour que l’affiche trouve un intérêt, on attend la révolution
industrielle. L’essor de l’affichage se fait donc fin du 19e siècle.
Le théâtrophone : pièce de théâtre écoutée par le téléphone
Belle époque : monde optimiste, puisque l’on commerce avec les pays voisins, on ne
se fait pas la guerre.
Art nouveau : idéalisation, affiches au dessin, abondances de détails (on voit les
mouvements de cheveux, les drapés de tissus…). Les premières affiches relèvent de
ce courant-là, l’affiche représente plutôt un dessin et le produit passe plutôt au second
plan ; aujourd’hui ce ne serait plus possible car la vitesse à laquelle on voit une affiche
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n’est plus la même, il faut qu’elle soit significative au premier coup d’œil tandis qu’avant
on lui demandait avant tout d’être jolie pour susciter l’arrêt.
Ensuite, on crée un personnage de marque qui est contrasté par rapport au fond de
l’affiche.
Chaque pays a son style, par exemple, l’Italie se tourne vers un aspect ‘art’, l’Allemagne
utilise des éléments plus carré, plus sobres.
La Belgique se développe selon deux thèmes, Liège (rentabilité et lisibilité de la police,
identification rapide ; volonté d’être plus utile à la marque, les couleurs sont tranchées
et attirent le regard) et Bruxelles (qui reste dans un style art nouveau, travaillé, stylisé ;
on continue à chercher à faire du beau).
L’affiche-objet – le sachplakat :
Cela consiste à représenter uniquement un objet avec un fond uniforme afin de laisse
le récepteur se concentrer sur celui-ci.
Affiche pour du café : police utilisée pour mein kampf, avec notre regard contemporain
on associe cela à l’agressivité mais à l’époque c’était une police basique.
3 courants marquants
• De Stijl
D’origine russe.
Il lutte contre les affiches qui ne parlent pas au peuple pour essayer de faire des choses
qui vont parler au peuple. Le rouge reste utilisé de manière intensive et constate à
quel point le rouge est fonctionnel pour attirer l’attention.
Photomontage : on part d’une photo qu’on découpe, on colle certains éléments de
manière plus ou moins réaliste selon ce qu’on veut dire. Les photos utilisées sont des
photos d’ouvriers, il s’agit donc de personnes de terrain, de personnes crédibles.
Les diagonales ascendantes : on garde également cette caractéristique qui donne une
impression de montée, de positivité et d’espoir. Cela laisse donc une atmosphère
positive. Elles sont souvent utilisées avec des angles de drapeau.
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• Bauhaus
D’origine allemande.
Formes géométriques de base (ronds, carrés, triangles) en 2 et 3D. Couleurs basiques.
Ces 3 formes ne veulent pas dire la même chose, un rond envoie un message de
recommencement, d’évolution, sans les angles, il ne rejette personne, c’est également
la maternité, la douceur… Un carré renvoie à des choses rigides et strictes, solides
(terriens), lié à l’homme. Le triangle quant à lui évoque l’ascension, l’inspiration, la
spiritualité, l’intelligence, la religion…
La seconde part de leur travail est concernant les polices d’écriture. Il en crée
énormément comme Times New Roman.
Montrer une action qui correspond à l’utilisation du produit/du service dans sa fonction
courante.
// simulation
Mettre le récepteur devant une vue qui pourrait être la sienne si utilisation du
produit/du service.
Mise en situation du futur métier.
2. L’exagération, l’hyperbole
Référence à la pub knacki et l’enfant mais l’écart est formé car c’est une pub pour la
806 (8 saucisses sur l’affiche). Cela suscite la surprise et donc une émotion.
Référence culturelle : référence aux oiseaux d’Hitchcock.
Référence sexuelle : Babette je la lie, je la fouette et parfois je la passe à la casserole
-> marque culinaire Babette.
Courrier international : magazine qui traduit des articles en langue française pour offrir
un regard plus complet de l’information. Référence au premier pas sur la lune.
• L’affiche informative
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Photos personnelles, à condition que personne ne soit identifiable ou que vous
ayez fait signer une autorisation au moment de prendre la photo. On peut
également modifier les photos comme on le souhaite.
IV. La couleur
Les couleurs ont des histoires et celles-ci influencent notre perception des couleurs (et
notre utilisation). 2 notions : l’histoire et la réception actuelle.
3 couleurs primaires : cyan, magenta et jaune.
Les couleurs primaires lumineuses sont le rouge, le vert et le bleu. Les couleurs
lumineuses et de rétroprojection ne sont pas les mêmes que les couleurs primaires
matérielles. Quand on mélange les lumières lumineuses, on obtient des teintes de plus
en plus claires.
Synthèse ? et synthèse soustractive ?
La couleur verte remplace le jaune pour aller vers des couleurs plus lumineuses.
L’interprétation des couleurs passe par les « vécus » personnels de chacun.
• Le bleu
C’est la couleur préférée en général en Occident, c’est la couleur qui n’est jamais
rejetée. C’est la raison pour laquelle on trouve beaucoup de bleu sur les plateaux télé,
dans l’habillement des politiciens…
Au départ, cette couleur n’existe pas, n’est pas nommée avant un certain temps. Les
premières représentations dans les cavernes ne contiennent aucune touche de bleu.
Lorsqu’on prend conscience de cette couleur, elle est d’abord détestée. Par exemple,
avoir les yeux bleus pour un garçon signifie être un imbécile du village ; pour les filles,
cela signifiait être une fille de mauvaise vie.
Jusqu’au moment où l’Eglise catholique associe cette couleur à la vierge.
Le bleu est également difficile à reproduire et est chère à la reproduction. Lorsqu’on
trouve le moyen de la reproduire plus facilement, on l’associe à la couleur bleue. Cela
devient également la couleur du dimanche, on n’avait peu de vêtements bleus donc
on la porte le dimanche.
Couleur du quotidien : jeans, vêtements de travail…
Couleur d’armoirie : associée à la royauté, pour les nobles.
Couleur de la communication : notamment par le manque de rejet de cette couleur
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Couleur du compromis, de la paix : utilisée par beaucoup d’association ; pour son
manque de rejet mais également pour la couleur du ciel, on a la certitude qu’il
redeviendra bleu un jour, c’est donc quelque chose de stable et qui permet à chacun
de trouver un terrain d’entente.
Couleur de la confiance : pour les banques, idée de la distance du ciel qui revient,
absence de rejet.
Couleur de la fraîcheur : particulièrement quand associé à l’argenté et au bleu
(accord chromatique)
Couleur du propre : anciennement, le vert était associé à la propreté
Nouvelle couleur masculine : au Moyen Âge, le bleu était pour les femmes et le
rouge pour les hommes. Lorsque les guerres sont tenues à distance, le bleu devient la
couleur des uniformes (puisque le rouge n’est plus nécessaire pour susciter la peur)
pour passer inaperçu et pouvoir se cacher et tirer de loin sans être vus.
Exemple :
- ULB : bleu du sérieux, de la liberté (apaisement du ciel, liberté d’être à
distance…)
- Carrefour et Air France : couleurs du drapeau français, majoritairement bleu par
rapport au rouge (car pas rejeté)
- Nivea et Dove : notion de fraîcheur, d’apaisement
- Hp et IBM : performance, innovation, marques ayant un coup d’avance, produits
en avance et qui amènent la réflexion + distance par rapport aux choses
- Decathlon : jeunesse, peps…
• Le rouge
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Couleur agressive qui est associée au diable, venant des feux de l’enfer. Le feu est vu
comme négatif car destruction des récoltes dans les régions chaudes et sèches
(civilisation judéo-chrétienne, terres sèches).
Couleur porte-bonheur : coccinelle, cela vient des pays nordiques où le rouge est
vu comme une chose positive (se réchauffer au coin du feu)
Couleur de l’interdit : visible de loin (d’où l’utilisation dans le code de la route et les
services d’urgence)
Couleur du téléphone ?
Couleur de la proximité : d’où l’utilisation dans les marques (communication)
Le rouge sur le web : avec parcimonie ; plus présent quand moment de partage, de
proximité (couleur confortable)
• Le jaune
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• Le vert
• Le noir
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- Adidas, Nike, Puma : notion de dépassement, en sport d’équipe ou individuel,
notion de luxe au niveau de la qualité des vêtements
- HBO, BeTV : écran de cinéma, 2 chaînes qui, au départ, proposaient du cinéma
et du sport ; aujourd’hui, télévision qui se veut de luxe
• Le blanc
• L’orange
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Couleur de l’avertissement :
Utilisation de l’orange sur le web : sport, souvent associée au bleu
Exemple :
- Tigrou, Frosties : vitalité puisque petit déjeuner, côté énergique de l’animal
- Nickelodeon : divertissement, énergie de l’enfance
- Bing : différenciation
• Le violet
Couleur détestable
Couleur de la femme : donc rejetée par une grande part de la population ; associée
à la femme car facile à reproduire et douce
Couleur du féminisme : violet, vert, blanc ; couleurs les + présentes dans les garde-
robes
Couleur de fruits et légumes : aliments au goûts particuliers
Couleur de l’éducation, de la pensée, du rêve
Utilisation du violet sur le web : parcimonie
Exemple :
- Milka : différenciation
- France culture : éducation
- W9 : lié à M6, couleur différenciée des autres chaînes de tv (M6 rouge)
• Le rose
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Exemple :
- La panthère rose : facétieuse, farceuse… force d’intelligence
- Marque liée à la féminité, aux rencontres
• Le marron
• Le gris
• Argenté / Doré
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V. Mise en page, typographie et charte graphique
➔ Il n’y a pas de règles propres pour la mise en page, elle doit se faire en fonction
de l’objectif du travail
Mots utiles
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des polices plus fines pour la publicité. Les polices Antique n’ont pas d’empattement
et sont lisibles de plus loin, on les retrouve en haut des temples antiques à l’époque,
elles rendent les choses plus simples par leur finesse ; jusqu’à il y a 5 ans on trouvait
plus de polices sans empattement que maintenant.
Récemment, on en classe 3. L’écriture manuaire qui ressemble à l’écriture manuscrite
apprise à l’école ; elles peuvent être difficiles à lire et à gérer sur un travail entier, on
pourrait plutôt l’utiliser pour une citation, un élément ponctuel dans un travail ; elles
donnent une dimension personnelle au contenu écrit (autoévaluation d’un rapport de
stage par exemple). L’écriture monospace qui s’inspire des machines à écrire, chaque
lettre fait la même largeur (un i et un m auront la même largeur) ; ces polices sont
utilisées dans des travaux portant sur l’histoire, la littérature, le journalisme ; une
police monospace prend plus de place et peut donc être utilisée pour prendre de
l’espace dans un travail de pages déterminées. L’écriture gothique renvoie à un passé
lourd (Moyen-Âge, Allemagne), ces polices sont lourdes et esthétiques, elles ne
cherchent pas la lisibilité et renvoient à des thématiques fortes comme l’histoire, l’hard
rock...
L’interligne
L’espace entre les lignes, il est généralement de 1,15 pour les travaux scolaires. Pour
des polices plus chargées, on augmentera l’interligne et on peut également le diminuer
avec des polices simples.
Les colonnes
Elles sont utilisées pour les articles. Il est nécessaire d’obliger Word à faire un bon
espace entre les colonnes. Il faut trouver un espacement juste, ni trop grand ni trop
petit. Dans un travail scolaire, elles peuvent être utilisées pour les listes à puces ‘vides’
afin de ne pas prendre trop d’espace dans un travail.
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courant/parlé/seum = à priori pas approprié). Les titres d’ouvrage (journaux, livres…)
sont également en italique.
Le vide
Avoir du vide sert à laisser respirer les éléments. De plus, le vide attire l’attention sur
le plein ; il ne regarde pas le vide et regarde donc le plein.
Le logotype
Le blason est présent, les initiales ainsi que le tout du nom. Les couleurs utilisées sont
un type de rouge et un type d’or, elles sont signifiées dans la charte graphique par
leurs caractéristiques exactes (CMJN, RVB…).
La zone de protection
Elle impose une zone vide autour du logo. Cela attire le regard. C’est une zone variable
selon les marques. Elle est normalement toujours définie par un élément intégrant du
logo. Pour la HEPL, il s’agit du E qui est reprit de chaque côté pour délimiter cette
zone.
Les pictogrammes
Les couleurs premières de la HE sont le rouge et le or. Les couleurs secondaires sont
déterminées par les pictogrammes des différentes sections. Souvent, on va utiliser les
couleurs de sections par section justement mais lorsqu’on écrit par rapport à la HE en
générale, il est important de les utiliser toutes.
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Les variations
Ajout de la fin de l’adresse web (.be) mais cela ne doit pas être aussi conséquent que
le logo mais il doit tout de même être lisible.
Les versions noir et blanc, et non grisée. C’est un choix de la Haute École pour la
lisibilité premièrement. Mais également parce que le gris vieillit et les teintes de gris
sont difficiles. Avec du noir uniquement, les couleurs ne terniront pas à l’impression et
conserveront leur nature première.
Les interdictions
Changer les couleurs, étirer le logo, ajouter le .be n’importe comment, l’ombrer,
diminuer, changer l’ordre des éléments…
Les fonds de couleur : il faut faire attention aux contrastes et à la distinction des
couleurs.
Des exemples
VII. L’infobésité
L’information est partout. Les canaux sont multipliés et il est nécessaire de se
démarquer.
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le bas du premier écran, il s’agit des premières informations qui apparaissent. Cela
s’adapte d’un écran à un autre mais c’est globalement la même.
Paragraphes courts : 2-3 phrases (parfois 1 seule). Une idée par paragraphes et
paragraphes de longueurs différentes.
Créer des aspérités visuelles : liste à puces (en descendantes) – mise en évidence par
le gras (et non par l’italique car liens hypertextes) – liens – encadrés – illustrations.
Exercice : composer un document.
Caractéristiques
Un panneau d’exposition n’est pas une affiche (ou alors informative mais le panneau
n’exige pas les mêmes règles qu’une affiche, pas d’éditeur responsable par exemple),
un dossier (ou alors très synthétique), un exposé (le panneau est autonome mais peut
être complété par un exposé).
Visible – lisible : le texte est en grands caractères et la police est lisible (majuscule,
contraste…) ; les images sont en grands formats, il y a des photos, des plans, des
schémas, différentes illustrations.
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Les formes d’un panneau :
- Texte (police, titre)
- Illustration
- Schéma, dessin, croquis
- Pictogramme
- Organigramme
- Photographique
- ….
Lisibilité – attractivité :
- En parties : textes et illustrations attractives, mise en valeur des titres et sous-
titres, polices de caractères et couleurs lisibles
- Ensemble : présentation agréable, clarté, composition étudiée, limiter les types
d’éléments (couleur, police, visuel…)
Sources
Au début ou à la fin d’une exposition
Travail : mettre les sources sur le panneau ou intégrer un petit encart.
Étapes de la réalisation
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Composition globale
Les règles de 3
Notre exposition
Sujet : la communication
Forme : abécédaire
Public : journée porte ouverte
G – gestion et promotion
Sous parties : réseaux-sociaux (bleu), cours/formation (rouge), compétences (vert),
métiers (jaune)
Pour le premier jour des examens (27 mai)
Mon panneau :
- 2 unités d’enseignement
- Cours de chaque unité + crédits
- Philosophie de l’option
- Épreuve intégrée pour communication commerciale
- Débouchés ?
Principes de composition :
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1. La règle des 1/3
2. Remplir le cadre
3. Symétrie
4. Les lignes : renforcer un effet linéaire par la multiplication des lignes
5. Point de vue : traduire notre avis via une photo
6. La profondeur de champ
7. Le cadre dans le cadre
8. Les motifs
9. Le contraste
10. Espace devant le sujet
Noir et blanc simplifie l’info, on rend plus accessible le regard et les traits de la
personne. Renforce les traits.
XI. Le logo
Les fonctions du logo
- Sensibiliser et mobiliser :
Première réduction : Créer un logo = faire des économies. La ville de Liège avait, selon
les différents départements, différents logos (autant de départements que de logo)
donc cela portait à confusion. Nouveau logo commun pour un impact plus fort.
Deuxième réduction : Économie matérielle et financière par, par exemple, l’impression
en grande quantité de papiers à en-têtes pour tous les services.
Reproches : représentation d’un doigt d’honneur, d’un phallus ; choix de la couleur
rose car sans connotation politique mais pas appréciée car féminin…
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Caractéristiques
- Zone de protection :
Zone imposée pour le différentier des autres éléments, le vide attirant le regard sur le
plein. Il est nécessaire de distinguer le logo. Elle est plus grande pour les entreprises
publiques.
- Baseline :
Sorte de slogan qui accompagne le logo ; utilisée lorsque le logo n’est pas assez clair
pour exprimer l’identité des entreprises.
Mauvais exemple : SNCF, des idées d’avance. N’explique pas mais veut dire qu’elle
étudie de nouveaux moyens de transports (nouvelles lignes, nouveaux trains…),
département recherches avancé. Forme du logo : locomotive du passé à gauche et
locomotive moderne à droite.
GDF Svez : gaz de France, nécessité d’appuyer avec ‘redécouvrons l’énergie’.
Les médias imposent souvent des baseline à leur logo pour appuyer leur ligne éditoriale
et traduire un peu plus celle-ci aux yeux de tous.
- Être caractéristique et original
On doit reconnaître la marque grâce à son logo, voire même en voyant uniquement
une partie du logo.
Coca-Cola : lorsque ce logo a été créé, les marques utilisaient peu l’écriture pour le
logo ; Coca utilise une écriture arrondie. Sentiment provoqué : soif – par le nombre de
campagnes faites avec la cannette et la goutte qui perle dessus.
Levi’s : peu de sentiment provoqué
- Être porteur de sens (valeurs et/ou produit)
Fleury Michon : charcuterie, plats préparés. Vert : tendance naturelle, produits sains
Le rond :
Évolution (planète), mouvement, rondeur, féminité (grossesse), tranquillité (englobe
et apaise les esprits >< piquant des angles)
Perrier : le rond pour les bulles (jusqu’à la bouteille arrondie)
Le carré :
Rationalité, solidité, durabilité, forme masculine (grande surface de contact avec la
terre, métier d’homme)
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Lego : premier lego carré
Lu : biscuit nourrissant
SFR : touche des gsm – marque de téléphonie
Lesieur : carré sur pointe – soleil qui passe par la fenêtre ; huile en équilibre, produits
équilibrés grâce au logo en équilibre
Le triangle :
Spiritualité, finesse, intelligence, esprit, divinité, élévation sociale,
progression/compétition
Toblerone : forme des montagnes
- Résiste au temps
XII. Le datajournalisme
Le journalisme de données. Les journalistes doivent faire le tri dans toutes les
informations qui nous sont données pour perdre moins de temps dans le tri. Trop de
données sur internet.
Crowdsourcing : mise en commun de source. C’est le principe des lanceurs d’alerte.
Les médias ont mis en place des plateformes pour que des gens puissent mettre des
sources de manière anonymes. Des rédactions internationales collaborent pour traiter
ces sources. Chacun va faire le tri : répartition du travail et classement des informations
dans un dossier selon la nationalité.
Le data journalisme parle de chiffre sauf que c’est assez compliqué.
Choisir l’information et comment la communiquer pour qu’elle soit la plus percutante
possible ? LA VISUEL COMPTE BEAUCOUP. 70% des informations qu’on encaisse dans
la journée viennent de nos yeux.
Il faut accrocher l’œil pour que les gens se demandent de quoi il s’agit.
Il faut prendre connaissance de ce qui peut se faire puis il faut réfléchir à l’objectif de
communication qu’on a (pour quoi ? pour qui ?)
Selon le message qu’on veut faire passer, on va adopter tel ou tel visuel.
La première étape : penser avec le cerveau : qu’est-ce que je vais utiliser pour mettre
mon discours en avant ?
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On va devoir utiliser le plus possible des références culturelles. Concernant les
marques, on est obligé d’utiliser le logo de cette marque, il faut par la représentation
visuelle de l’information.
Permet de voir qui est le réseau le plus utilisé avec le plus grand nombre de visiteurs
?
Détournement de bâtonnets : podium. Simplification de l’information, volonté de faire
passer le message rapidement. Raccourci du data journalisme parfois jusqu’à grossir
le trait par exemple : un bonhomme avec une canne pour représenter les plus de 55
ans.
Le data journalisme ne doit pas être limité au journalisme justement.
Pour sensibiliser les gens aux dangers de quelque chose, la consommation de boisson
énergisantes par exemple, on ne va pas utiliser des visuels durs ensanglantés sinon ils
ne vont pas lire le graphique.
Les nuages de mots figuratifs : tagul.
Les bulles fonctionnent bien car ça donne une sensation d’ensemble, de tout
maitrisable qui est facile à comprendre. On peut y ajouter plusieurs informations
différentes.
Autre possibilité : utiliser les silhouettes pour parler des choses qui relèvent des
hommes et des femmes. On peut la colorier dans son entièreté (la proportion de la
couleur donne le %).
D’autre picto que l’humain : picto qui a un lien avec le sujet dont on parle.
3 thèmes cohérents et ainsi créer des graphiques dans l’optique d’être peut-être
publiés sur la page facebook.
X100 :145 pour arriver à des %
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