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RÉSUMÉ PSY FINAL :

9.1

- L’imagerie visuelle est l’habilité à recréer le monde visuel dans notre esprit en absence d’un stimulus
physique/perceptuel.
TR:temps de réaction
- RÉSUMÉ EXPÉRIENCE DE SHEPARD ET METZLER : Est-ce qu’imagerie = perception visuelle ? Pour cela les
participants devront déterminer entre deux structures tourner à différents degrés angulaires s’ils
proviennent de la même figure 3D. Les expérimentateurs supposent que plus la différence angulaire est
grande plus le TR augmentera car la figure sera plus difficile à reconnaitre. Les résultats montrent que
lorsque la rotation est sur le plan de l’image ou en profondeur il y’a une forte relation linéaire entre la
diff angulaire et le TR (env 45 à 60 degrés par seconde qui est la vitesse maximale de rotation dans notre
tête). De plus lorsque la paire est différente c’est encore plus lent car il faut faire la rotation complète
avant de prendre une décision. Ils ont pu conclure qu’il y’a un processus additif ce qui est cohérent avec
le fait que les participants utilisent une version interne similaire une rotation externe pour rentre les
objets congrus cad dans le même angle. Cependant le degr é de similarité entre 2 images statiques n’est
pas prise en compte par les participants. Les participants performent des opérations mentales en 3D
analogues (interprétation + rotation). C’est donc un soutien pour la représentation figurative.

- RÉSUMÉ EXPÉRIENCE DE KOSSLYN SUR LE BALAYAGE MENTAL : est ce que on peut se concentrer sur des
parties d’un objet imagine ? Les participants doivent regarder des dessins puis reussir a les reproduire
en phase 1. En phase 2 ils douvent apres avoir entedu le nom de l’objet l’imaginer soit complet soit focus
sur une partie spécifiée, puis dire si telle partie est sur l’objet. Les expérimentateurs mesure le TR. Ils
observent que si on regarde l’objet complet le TR ne dependra pas de la position de la partie mais si on
doit se concentrer sur une partie spécifique le TR sera fonction de la distance entre l’emplacement de
l’extrémité et la propriété. C’est un soutien pour la représentation figurative.

- Critique : l’introspection n’est pas fiable par les participants pourraient mentir et ca ne veut pas dire que
c un phénomène courant. De plus il y a le problème d’impénétrabilité cognitive (humain peu conscient
des processus mentaux) l’image peut être un épiphénomène (coïncidence) et la représentation est non
spatial et non visuel et peut etre produite apres le traitement. Ou les participants peuvent utiliser du
savoir déjà acquis a propos de l’environnement (hypothèse de connaissance tacite)

- Les représentations propositionnelles ont des propriétés des stimuli qui sont représentées
symboliquement et pourrait expliquer le balayage mental. C’est une liste de fait qui nous explique les
relations entre les parties d’objets. Aucune image est nécessaire.

- RÉSUMÉ DE L’EXPÉRIENCE DE KOSSLYN SUR LE BALAYAGE MENTAL : but de determiner si l’information


spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuel pour cela les participants devront se
promener mentalement sur une image (mémoriser une carte en se concentrant sur des endroit cles et
doivent par la suite s’imaginer la carte et après avoir entendu un lieu balayer et indiquer lorsqu’ils
arrivent au lieu (point qui se déplace). Les résultats montrent que le temps de balayage augmente
linéairement a la distance des différentes places. Corrélation quasi parfaire entre distance et TR. Ainsi la
distance métrique représentée de la même façon lorsque la carte est visuellement percu. Soutient de la
représentation figurative en tablette visuospatiale.

- RÉSUMÉ DE L’EXPÉRIENCE DE KOSSKYN SUR L’ANALYSE STRUCTURELLE : plus un objet est gros plus il est
détaillé perpétuellement. Exp 1 montrent que la taille relative influence le temps nécessaire pour juger
de la présence d’une propriété. SOUTIENT POUR REPRÉSENTATION FIGURATIVE.
- L’imagerie visuelle est une composante très importante en mémoire de travail et est utilisée dans le
tampon visuel dans la tablette visuospatial. L’imagerie mentale imiterait la perception visuelle il y a donc
une préservation des caract physiques des stimuli comme distance taille et relation entre les parties ce
qui pourrait expliquer la transformation mentale le balayage et l’analyse structurelle.

- Même neurone s’active quand on voit et quand on imagine une image => neurone spé dans vision et
imagerie même si imparfaite => aires cérébrales communes pour perception et imagerie.

- Champ visuel à une largeur maximal = over flow

- Ablatation du lobe occipital baisse la taille du champ de vision => change aussi dans notre imagination
=> RETRÉCIT CHAMP VISUEL ET IMAGINATIF

- Aire cérébrale de la vision aussi impliqué dans l’imagerie visuelle

- Perception – Agnosie visuelle (ne pas reconnaître objets)


• Patients ont de la difficulté à nommer des couleurs présentées visuellement
• Patients ont de la difficulté à nommer les couleurs d’objets courants (tâche verbale)
• Pas un déficit au niveau sensoriel
 Ex: Défaut de la rétine
 Capable de différencier les couleurs

- Imagerie
• Tâches: ne peut nommer des objets d’une certaine couleur, comparer la couleur d’objets, pâle vs.
foncé
• Patients montrent des déficits dans toutes les tâches liées aux couleurs dans l’imagerie
• Patiente incapable d’imaginer des couleurs

- Ignorance d’un côté :


• Perceptuelle
 Ne tient pas compte des objets dans une moitié du champ visuel
 Pas un déficit au niveau visuel (vision 20/20)
 Ex: Manger nourriture moitié gauche assiette

• Motrice
 Ne tient pas compte d’un côté de son corps
 S’habille à moitié, se coiffer d’un côté seulement
 Problèmes d’hygiène (se raser/laver d’un côté seulement)
 Problèmes de déplacement
 Fonce dans des objets/meubles/coins de mur du côté ignoré...

Perception => syndrome d’héminégligence dommage au lobe pariétal et ignore la moitié du champ visuel et
même du corps
Imagerie : même chose

- Étude sans aucune héminégligence


Habilité à dessiner :
 Perception
- Patient peut identifier les bonnes couleurs pour les objets (Colorier les images avec le bon crayon)
- Patient peut recopier les objets présentés
 Imagerie
- Patient ne peut dessiner des objets de mémoire (il ne s’en souvient pas)
- Patient a de la misère à répondre à des questions qui demandent un haut niveau d’imagerie
RECONNAISSANCES D’OBJETS

 Perception
- Difficulté à nommer les objets en 3D (mais peut le faire en les touchant)
- Incapacité à reconnaître des objets dessinés (line drawings)
- Incapacité à dire quel objet est le plus gros
- Difficulté à discriminer entre diff. lettres/reconnaître

 Imagerie
- Capable de nommer la couleur des objets en mémoire
- Capable de dire quel objet est plus gros de mémoire
- Capable de répondre à des questions “haute imagerie”
- Capable de décrire des lettres de l’alphabet de mémoire
- Peut dessiner des images d’objets

- CRITIQUE : AMBIGUITÉ VISUELLE NON REPLIQUÉE EN IMAGENRIE ET RÉINTERPRÉTATION IMPOSSIBLE EN


IMAGERIE

CONCLU :
 Soutien énorme pour représentations figuratives
 Pourrait ne pas tout expliquer
- Dissociations neuropsychologiques ne sont pas parfaites
- Plusieurs phénomènes visuels impossibles à reproduire
 Pylyshyn (1981): Participants pourraient utiliser de multiples sources de connaissance pour résoudre
problème dans expériences d’imagerie
- Représentations figuratives ET propositionnelles
 Behrmann et al. (1994): Mécanismes de perception/imagerie correspondent, mais partiellement
 Expliquerait la plupart des différences
9.2

- Primauté : montre le contenu de la MLT

- Récence : montre le contenu de la MCT

- RÉSUMÉ DE L’EXPÉRIENCE DE MURDOCK : le nombres de mots dans la liste influence la forme de la


courbe de position sérielle. Les résultats montrent que il y a une constance dans la forme de la courbe
(avantage premiers mots, milieu plat et avanateg dernier mots) ajouter des mots fait que allonger le
milieu

- MLT : capacité illimitée, très longue durée oubli du à interférence et connaissances abstraires

- MCT : capacité limité courte durée, oublie du a interférence

- RÉSUMÉ DE L’EXPÉRIENCE DE RUNDUS POUR MONTRER L’IMPORTANCE DE LA RÉPÉETION POUR LA


MLT : Résultats montrent que la proba de rappel pour début de la courbe est directement liée au nombre
de répét (repet effet sur la force de la trace en MLT) et pas de relation pour la fin (récence) item encore
en MCT pas besoin de repet. Conclu repét nécessaore pour maintenir effet de primauté mais pas pour
effet de récence donc diffe entre MCT et MLT.

- RÉSUMÉ DE L’EXP DE GLANZER ET CUNITZ POUR MONTRER L’INDÉPENDANCE DES SYSTÈME AVEC UNE
DOUBLE DISSOCIATION : On peut montrer que deux processus psychologiques A et B dépendent de
systèmes indépendants s’il est possible de concevoir une expérience X qui influence le processus A sans
affecter le processus B ET une expérience Y qui influence le processus B sans affecter le processus A.

1. ELIMINER EFFET DE RÉCENCE MAIS MAINTENIR PRIMAUTÉ : si récence du mots enregistré en MCT
alors avoir un délais entre fin de la liste et indice de rappel devrait réduire l’effet. Résulatts montre
que pas impacg sur primauté mais délais annule récence donc en demandant aux participants de
compter entre fin de la liste et rappel les mots en MCT sibt oublié donc effet de récence plus faible
ou abscent mais les premier itemps sont bien rapporté (primauté pas changé) => dissociation entre
MCT et MLT
2. AUGMENTER EFFET DE PRIMAUTÉ MAIS MAINTENIR RÉCENCE : si primauté du a mémorisation
supplémentaire alors la liste plus lentement améliorera l’effet. Espacement influence primauté mais
aps effet sur récence alors présentation plus lentre avec un espacement entre les mots augmente la
capacité ed rappel donc affecte effet de primauté en augmentant MLT sans touché récence donc
MCT. DISSO ENTRE MCT ET MLT.
Double disso obtenue car délais avant rappel disprait effet de récence et taux de présentation
plus lent améliore effet de primauté : deux système indépendants.

- Taxonomie des système de MLT :


Mémoire explicite
• Ce que l’on veut dire par “mémoire”
• Capacité de rappel conscient des faits et événements
• Affecté en amnésie
• Permet comparaison et contraste du matériel remémoré
Supporte l’encodage en termes de relations entre de multiples items/événements

Représentationnelle
• Façon de modéliser le monde externe
• Modèle peut être testé: Vrai ou Faux
- Épisodique vs sémantique

- RÉSUMÉ DE LEXP DE KNOWLTON ET SQUIRE DE SE SOUVENIR VS SAVOIR : but de montrer la diff dans
l’oubli pour mémoire épisodique (souvenir) et mémoire sémantique (savoir). Résulatts montre qu’il y a
une baisse de disciminabilité plus marquée pour les réponses se souvenir que savoir. Ils ont conclu que
Les réponses « Se souvenir » (mémoire épisodique) ont un patron d’oubli différent des réponses « Savoir
» (mémoire sémantique) . L’indice selon lequel nous avons donc deux types de mémoire explicite séparés
avec des caractéristiques différentes (oubli) . La mémoire épisodique devient sémantique avec le temps

- RÉSUMÉ EXP DE PETRICAN MONTRER LA DIFF ENTRE LES MÉMOIRES PARTICIPANTS MOINS AGÉES ET
PLUS AGÉES : résultats montrent qu’on se souvient de – en – de la mémoire épisodique mais on sait de
plus en plis avec age (mémoire semanique). Conclu que : Les deux types de réponse demandés évoluent
différemment dans le temps (Plus de mémoire sémantique et Moins de mémoire épisodique). Un type
de réponse est sensible à la dégénérescence de l’hippocampe et du cortex frontal (se souvenir – mémoire
épisodique) . Autre indice selon lequel nous avons donc deux types de mémoire explicite séparés avec
des caractéristiques différentes (évolution dans le temps)

- RÉSUMÉ DE L’EXPÉRIENCE DE SACHS (si seul le sens est encodé un changement n’affectant pas le sens
ne sera pas détecté) : lire une histoire et tester sur des phrases spé changé identifique ? : Résulatts
montrent que si la phrase est testé direct les participants sont excellents pour id tout types de
changement mais plus le temps passe plus lexactitude est reduite mais demeure tjr plus élévé pour les
changements sémantiques. Donc c une preuve pour codage surtout sémantique en MLT + propriété de
l’oubli en MLT explicite avec mémoire pour signitification du messga perservée jusque un certéain points
mais mémoire pour forme syntaxique baisse.
 Oubli différentiel
 Trait. descendant influence mémoire épisodique
Savoir/Attentes (sémantique) peuvent diriger champ Attentionnel
Mémoire épisodique dépend d’où on porte attention
Exemple: Cécité au changement/Tâche de clignement
 Info épisodique enrichit mémoire sémantique
Faits avec signification personnelle sont plus faciles à mémoriser
Exemple: 11 septembre vs. Assassinat de Kennedy
 Dissociations neurologiques (pp. 172-173)

LIVRE :

10.1

- Système de mémoire : conception théoriques de la mémoire postulant de l’existence de systèmes de


mémoire séparées pour rendre de colpte de dissociations expérimentales ou neurologiques (approche
en boites)

- Critiques !!! (ex : frontières des boites peuvent être floues

- Processus de mémoire : en réaction aux prob souleves avec la MCT, developpée pour l’étude des
processus en MLT, conception théorique de la mémoire basée sur l’idée que les résulatts obtenus avec
différents test de mémoire reflètent les différents processus cognitifs nécessaires pour les produire.
Accent sur les processus utilisées pour l’enregistrement permanant de l’info : ENCODAGE
TRAITEMENT RÉCUPÉRATION

- De nombres postulats approche des niveaux de traitements


• Différents stimuli encodés de diff facons en mémoire (type d’encodage influence durée de la trace
en MLT)
• Mémoire : série de processus cognitifs ou chaque etape de traitement est plus profonde que la
précédente
• Deux types de répét en MCT pour transférer à MLT
o Répétition de maintien => maintient info en MCT non efficace pour transfert en MLT (repete
sans apprendre)
o Répétition élaborative => penser au sens faire des liens entre item et connaissance, chunking
=> seul types efficace pour entreposage permanent de l’info

- Deux types de traitements : de surface ou accent sur caractérisques physique de l’entré => repet de
maintien et plus prodond ou accent sur signification de l’entrée (repet élaborative) qui mène a des traces
plus durables en MCT et un meilleur rappel (cad meilleure récup)

- RÉSUMÉ DE LEXP DE HYDE ET JENKINS SUR LA PROFONDEUR DE TRAITEMENT : but est de déterminer
validité des nv de traitement et d’étudier l’effet de l’intention d’apprendre. Est-ce que le fait de savoir a
lavance qu »on va etre testé va faire qu’on va mieux apprendre ? apprentissage incidient ou intentionnel
x une tache de phase 1 avec différentes profondeurs. Résultats montrent que la performance augmente
avec prodondeur de traitement. Intentiond’apprendre a pas d’effet. C’est donc un support pour
approche niveaux, l’intention n’est pas un facteur en MLT et un facteur important est la stratégie
optimale d’encodage prodond.

- RÉSUMÉ DE L’EXP DE SLAMECKA ET GRAF SUR L’EFFET DE GÉNÉRATION : but est de determiner si
implication actif dans le processus d’apprentissage est benefique contrairement a la reception passive
de l’info ? Exp : lecture ou génération x questions puis reste avec reconnaissance. Les resultats montrent
que la performance pour condition rime est plus basse car traitement moins profond (reconnaissance +
bas). Donc genérer des mots associés améliore la performance de reconnaissance pour toutes
conditions. Génération = traitement+ profond = meilleuer reconnaissance

- RÉSUMÉ DE L’EXP DE ROGER KUIPER KIRKER SUR L’EFFET D’AUTO REFERENCE : but de déterminer
l’imortance de faire des liens entre la nouvellle info et notre expérience personnelle. Résulatts montrent
que un traitement plus profond montre une meilleure performance. La performance pour auto-
référence est significativement plus élevée que toures autres conditions (meme cond sémentiques
prodonde). Cond auto régérence : perfo de rappel supérieur pour essais positifs mais pas autre cond.
Meilleure facons d’améliorer l’encodage et la récup a long terme est d’analyser le sens de l’info entrante
et la lier aux expériences personnelles

- RÉSUMÉ DE L’EXP DE BOWER ET WINZENZ SUR L’IMAGERIE VISUELLE POUR LA MÉMOIRE : but est de
vérifier la prfondeur de traitement pour taches multiples et determiner si l’imagerie produit un meilleure
rappel. Résultats montre la performance augmente si le traitement est de plus en plus profond lié a la
mémooire sémantique (imagerie plus profonde que lecture et génération). Le delai pas d’effet sur le
rappel. Conclu que imaginer des objets dans un contexte pertinent constitue une forme de traitement
plus profond.
- RÉSUMÉ DE LEXP DE BOWER CLARK LESGOLD ET WINZENZ SUR L’ORGANISATION HIÉRARCHIQUE : but
est de déterminer si org h en catégories permet un meilleur rappel des mots. Résulatts montrent que le
rappel après 4 essais est parfait dans la constition liste strucuturée alors que moindre dans hasard.
Conclu que org hierrachique par catégorie est une stratégie de rétnetion efficace.

- RÉSUMÉ DE LEXP DE ROEDIGER ET KARPICKE SUR L’EFFET DE TESTING : but de déterminer si étude ou
test est le facteur plus important dans la force es traces mnésiques. Phase 1 ÉTUDE A ÉTUDE A ÉTUDE B
TEST B phase 2 : test direct apres 2 j apres 1 smeaine. Résulatts re étudier produite un avantage a court
erme et testé porudite un avantage a long terme car force d’organidation plus profonde du matériel.

- Résumé exp 2 : EEEE ou EEET ou ETTT : etudier plus augmente la confiance mais mieux d’étudier plus si
test direct mais mieux de tester plus si délais d’une semaine avant test donc avantage pour test avec le
temps. Cpnclu : plus d’étude = - bonne rétention long terme vs test effet puissant sur rétnetion a long
terme meme sans rétroaction aumgente la connaissance a long terme.

- RÉSUMÉ DE LEXP DE CEPEDA SUR ESPACER LES APPRENTISSAGES : apprentissage regroupé ou distribué ?
. résulatts : 80% des études montrent un avanatge sur distrivué intrevalles de rétetion plus jours ou long
optamile est 1-3 jours. Conclu : effet très robuste on porte – attention a la 2 eme présentation quand
trop rapporché de la premire et nombre de traces en émméoire est plus grane avec présentation espacé

10.2

- Traitement plus profond = trace mnésiques à long terme plus forte

- Apprentissage a base sémantique mène a une meilleure reconnaissance et rappel qu’apprentissage de


surface

- Mais problèmes : la profondeur dépend de la performance et accent sur les conditions d’apprentissage
par sur le processus de récupération … alors il faut adapter les buts de l’apprentissage pour améliorer le
rappel

- RÉSUMÉ DE L’EXP DE MORRIS BRANSFORD ET FRANKS SUR LE TRAITEMENT APPROPRIÉ AU TRANSFERT :


but de montrer que la profondeur est pas un facteur crucial pour produire des traces mnésiques fortes
et durables et montrer qu’encodage et récupération influencent la performance des participants. Les
participants devront soit trouver des phrases qui ou des phrases qui font du sens puis soit reconnaitre
une rime ou si un item fait partie de la liste originale. Les résultats montrent que pour une reconnaissance
standard (sémantique) les participants sont meilleures si acquissions sémantique et pour la
reconnaissance de rimes les participants sont meilleurs si acquisition de rimes. Donc appariement entre
tâche à l’acquisition et la tâche de reconnaissance qui permet la meilleure performance.

- EXP 2 : meme que exp 1 avec des test direct ou avec délai. La reconnaissance strandard : participants
meilleur si sémantiques et same pour rimes donc immédiat ou délais change rien. Conclu d’un rejet de
l’approche des niveaux de traitement, les tâches d’apprentissages profondes pas tjr supérieurs et traces
pas plus durables. Accent mis sur correspondace entre tâches d’apprentissage et récupération. On doit
remplacer le concept de profondeur de traitement par un concept de « traitement approprié au
transfert ».

- MAIS LORSQUE TYPE DE RÉCUPÉRATION APPROPRIÉ PROFOND > SURFACE.

- Traitement initial a l’encodage détermine la nature qualitative de la trace encodée. Encodage plus
profond associés avec plus grand potentiel de récupération de la trace. Potentiel réalisé par la présence
d’un environnement de récupération adéquat compatible de façon qualitative avec l’information de la
trace (traitement approprié au transfert et spécificité de l’encodage).

- Encodage d’une représentation mnésique est pas seulement l’item aussi le contexte (item + indice de
récupération).

- RÉSUMÉ DE L’EXPÉRIENCE GODDEN ET BADDELEY SUR LA SPÉCIFICITÉ DE L’ENCODAGE ET


L’APPRENTISSAGE DÉPENDANT DU CONTEXTE : but de montrer que ce qui est appris dans un
environnement donné est mieux rappelé dans cet environnement (effet de contexte). Participants
(plongers eau) écouter une liste sur terre ou sous l’eau et soit rappel livre sur terre ou sous l’eau.
Résultats montrent que si la condition d’acquisition et de rappel concordent la performance est
meilleure. Ainsi l’apprentissage dépend du contexte. Le contexte mémorisé en association avec cible et
peut être utilisé comme indice de récupération. SOUTIENT POUR SPÉCIFICTÉ DE L’ENCODAGE.

- MAIS CERTAINS DISENT PAS EFFET DE CONTEXTE MAIS EFFET DE PERTURBATION. Donc groupe plonge et
revient sur terre (pertubation) puis rappel sur terre donc qd meme meme contexte. Résultats aucune
diff de groupe donc pas d’effet de perturbation qui influence le contexte.

- RÉSUMÉ DE L’EXPÉRIENCE DE GRANT ET AL SUR LA SPÉCIFICITÉ DE L’ENCODAGE ET APPRENTISSAGE


DÉPENDANT DU CONTEXTE : but de montrer la meme chose + effet de contexte réaliste (bruit ou silence).
Participants doivent lire des texte avec soit des ecouteurs qui coupent ou diffusent du bruit puis daire un
test de rappel qui coupe ou diffuse du bruit. Résultats montrent que si les conditions d’acquisition ainsi
que les test concordent alors la perfo est meilleure. Alors apprentissage depend du contexte.

- RESUMÉ EXP DE EICH ET METCALFE : verifier effet de la congruence entre humeur et evenements interne
et externe. Levctuve vs génération. Résultats montrent que si les conditions d’acquisition ainsi que les
test concordent alors la perfo est meilleure. Qd on génère c mieux que quand on lit. L’effet
d’apprentissage dépend de l’état seulement lorsqu’on génère des mots. Besoin d’une concordance entre
état interne (humeur) et événement interne (génération) pour que l’effet apparaisse. Examens: Montre
l’importance d’assurer une correspondance avec les conditions de test, mais tout en générant le matériel

- Comment mieux étudier :


o Traitement élbaratif
o Org le matériel
o Générer le matériel
o Se tester
o Espacer les apprentissages
o Appariez les conditions d’encodage et de récupération
o Bien dormir
o Evitez l’illlusion de familiarité
o Attention a la surlignite

- Oublie en MLT du : interférence rétroactive et proactive ou diponibilité non accessible.

- RÉSUMÉ EXP DE TULVING ET PEARLSTONE : montrer que rappel de mots associés avec un indice est plus
facile lorsque cet indice est présenté au rappel. ECOUTER UNE LISTE DE MOT PUIS RAPPEL SOIT libre soit
indicé. Résultats montrent que la perfo de rappel plus élévé si les indices sont présenté. Donc pas prob
d’interférence mais de récupération connaissance dispo mais seulement dispo à l’aide d’indices pas de
peuve d’oubli.

- EXP DE MANTYLA : meme exp mais générer des propriétées nous meme : resultats indice generer par soi
plus facile a se souvenir. Le fait de générer soi meme les indices permet d’associer le mot a nos propres
souvenirs a nos propre expérience. Selon mantyla caractéristique de bons indices sont la compatibilité
doit décrire adéquatement le souvenir et la distinctivité soit etre associé au moins de souvenirs possibles.

- Consolidation : Processus qui transforme les souvenirs d’un état fragile (sensible aux perturbations) en
un état permanent (où ils deviennent résistants aux perturbations) Conso synaptique ou conso des
systèmes.

- Hippocampe : encode nv souvenir avec le temps co avec cortex faiblissent et intra corticales renforcé.
Hippo rejoue le souvenir et env signal au cortex. LIÉ A LA MÉMOIRE ÉPISODIQUE

- EXP DE XILHELM SUR LA CONSOLIDATION DU SOMMEIL : 8h de sommeil vs 8h d’eveil et rappel indicé.


Résultats montrent que les participants qui dorment performent mieux que ceux qui restent reveillés.et
si ils savaient d’avance qu’ils aillent etre testé performe encore mieux. Donc l’intention d’apprendre
mène a une meilleure consolidation durant le sommeil => conso sélective

- Reconsolidation : souvenir peut etre modifié ou éliminé quand MLT MCT

- RÉSUMÉ EXP HUPBACH SUR RECONSOLIDATION : rappel du contexe beaucoup d’intrusions de la liste B
dans le rapp de liste A et sans rappel du contexte peu d’intrusion. Donc fragilité du souvenir réactivé
permet intrusions. Preuve de réactivation + reconsolidation

- Exp souris avec son et choc et médicament injecté trop tard pour empecher conso vs conso intiale mais
suite a reactivation pas de reconsolidation provoque oubli de la peur. DONC PREUVE DE REACTIVATION
ET RECONSOLIDATION.

LIVRE :

11.1

- Mémoire explicite : mémoire épisodique ou sémantique

- MÉMOIRE Procédurale : diapo 10

- RÉSUMÉ EXP DE TULVING SUR LES LIMITES DE LA MÉMOIRE EXPLICITE : but est de montrer la dissociation
entre mémoire explicite et implicite. Etudier liste de mot l’apprendre soit reconnaitre le mot ou
completer des fragment de mots. Résultats montrent un avantage pour les mots déjà appris que les
nouveaux : après une intervalle d’une heure : + augmentation de la probabilité de compléter un fragment
en utilisant un mot dans la liste. Donc présenter des mots avant facilite la réponse lorsque le même
stimulus réapparait plus tard de facon id ou incomplete donc UNE PARTIE DE LA MLT N’EST PAS EXPLICITE
ou PARTICIPANTS UTILISENT RAPPEL CONSCIENT DE MOTS DE LA LISTE POUR COMPLETER LES
FRAGMENTS (EXPLICITE)

- RÉSUMÉ EXP 2 DE LA CONCLU 2 : performance en reconnaissance baisse sur une période de 7 jours mais
pas la performance de complétion de mots prouve qu’on utilise pas mémoie explicite : oublie diff entre
taches. Conclu que effet d’amorçage de répétition est constant à travers le temps et ne dépend pas de
la mémoire explicite donc dissociation entre mémoire explicite et un autre système non explicite.

- HORS DE TOUT DOUTE : MÉMOIRE IMPLICITE


- Taxonomie :

- Mémoire implicite
o Exprimée par performance (vs. récupération consciente)
o Modifications de systèmes de performance spécialisés (i.e., moteurs)
o Souvenirs révélés par réactivation des systèmes utilisés à l’apprentissage
Dispositionnelle: pas de représentation requise
- Formes
o Procédurale => Habiletés motrices/perceptivo-motrices (faire du vélo ou attacher ses souliers =>
difficile a verbaliser)
o Amorçage (priming) => Répétition (repetition) => présentation prélable du stimulus qui va facilité le
traitement subséquent du même stimulus meme si on est pas capable de se souvenir explicitement
de la premiere présentation du stimulus /Conceptuel (semantic) => présentation préalable va
facilité le traitement d’un stimulus qui n’est pas identique au premier mais qui est relié
sémantiquement même si on se souvient pas
o Simple conditionnement classique => Apprentissage d’associations (apprend des association
émotionnel : peur ou squelettique : implique le mouvement apprise par cond classique)
o Appr. non-associatif (ou “autre”) => Exemple: Apprentissage vicariant (Bandura) => petit bébé qui
retappe la poupée bobo apres avoir vu le film

- Instruction de l’apprentissage : incident ou intentionnel

- Instruction au test : indirectes ou directes

- RÉSUMÉ EXP DE JACOBY ET DALLAS SUR MÉMOIRE IMPLICITE VS EXPLICITE : apprentissage avec soit
tâche typo rime ou sémantique x un test avec soit une reco standard soit une iden rapide. Résultats
montrent que niveau de traitement influence la perf de reconnaissance mais n’infulence pas la perf
d’identification rapide. Donc relation forte en profondeur et mémoire explicite mais pas de relation entre
profondeur et mémoire implicite donc dissociation entre mémoire implicite et explicite.
- Explicite : diff entre lecture et anagramme et mots presenré plus longtemps mieux reconnus vs
implciite : pas de diff entre lecture et anagramme et aucune diff quand présentation rapide.

- RÉSUMÉ EXP DE SPERBER SUR AMORCAGE SÉMANTIQUE : mots reliés ou non reliés et image reliées ou
non reliées. Resultats tjr plus rapide de nommer la cible si l’amorce est sémantiquement reliée donc
existance d’un processus implicite d’ammorcage sémantique et meme source en mémoire pour mots et
images.

- Amnésie = déficit de mémoire explicite => incapacité a former ou récyp des souvenirs généralement
explcite mais amélioration de perfo avec le temps (implicite)

- RÉSUMÉ EXP GRAF SQUITE SUR DISSOCATION NEUROPSY ENTRE IMPLICITE ET EXPLICITE : but d’évaluer
la mémoire de patients amnésiques. Tache voyelle ou appréciation puis rappel libre ou test 2 avec rappel
indicé ou complétion de début. Résultats montrent que pour les amnésique la mémoire explicite est
atteinte et la mémoire implicite est intacte. Conclu que aménsie vue comme déficit de mémoire expicite.
Dissociation neuropsy de 2 systèmes séparés pour implicite et explicite

- EXP REBET SUR MÉMOIRE IMPLICITE : apprentissage d’un nv langage : resultat apprentissage plus rapide
qd séquences grammaticales et participants reconnaissent sq gram et non gram. Donc présence d’une
mémoire implicite de la grammaire.

- Exposition incidente (implicite) vs intentionnelle (explicite) pour présentation de pub : résultats


montrent que pour intentionnelle bcp de pub reconnu vs incidente très peu de pubs reconnues. Pub vues
évaluées de facons plus positives dans les 2 cas. Donc mémoire implicite impliquée dans le changement
d’attitudes pas besoin de mémoriser les pubs pour qu’elles soient efficaces et vues comme plus positives.
Pub : mémoire implicites assures quelles ont l’effet escompté.

- La MLT, tout comme la MCT, était originalement vue comme un système unitaire (épisodique)

- L’influence de la mémoire sémantique dans les rappels épisodiques a produit la première distinction
(sous le terme mémoire explicite)

- Grâce à des effets tels l’amorçage, des chercheurs ont proposé́ une distinction supplémentaire entre:
o Ce que l’on sait qu’on sait (Mémoire explicite)
o Ce que l’on sait, mais qu’on ne sait pas que l’on sait (Mémoire implicite)

11. 2

- Mémoire épisodique = pour expériences

- Mémoire autobiographique (sous système de la mémoire épisodique) : pour expériences spécifiques de


notre propre vie qui peuvent inclure des éléments épisodiques et sémantiques

- Tous les souvenirs ne sont pas créer égaux => bosse de la réminiscence (entre 10 et 30 ans souvenirs
spéciaux) = plus de souvenirs autobiographiques rappelés et plus de souvenirs vifs (hypothèse cognitive)

- Image personnelle : Mémoire améliorée pour événements se produisant lorsque nous formons notre
image de soi/identité personnelle

- Script de vie culturel => événements attendus selon la culture

- Période de changement rapide suivies de stabilité causent un encodage plus fort des souvenirs
- RESUMÉ EXP DE BRATLETT NATURE RECONSTRUCTIVE DE LA MÉMOIRE : lire histoire chelou résultats
montrent que la reproduction parfaite est impossible mais la signification générale deumeure
changement est surtout sur simplification ajout de detail ou transfo de détails sous forme plus familière
sans changer le sens.

- Rationalisation reconstruction élaboration


• D’une reproduction à l’autre
o  Forme générale ou plan persistant, même si faux
o  Détails deviennent rapidement stéréotypés/stables
o  Changements souvent liés à situation courante
o  Détails reproduits s’ils suivent un cadre général cohérent

• Si intervalle de rappel plus long


o  Histoire plus courte, mais sens général stable
o  Élaboration/Invention plus fréquentes
o  Détails inventés/associés si concordent avec histoire générale stéréotypée

Montre que MLT n’est pas un dictaphone car pas parfait. Récupération basé sur sens plutôt stable
mais détails instables. MLT est reconstructive et imprécise (réinterprétation constante pour
concorder avec histoire connaissances personnelles => processus de reconsolidation. Plusieurs
sources mais incapcité a retrouver source des détails car mésattribution (mélanger des
événements)

- 7 péches de la mémoire :
•  Éphémérité: Accessibilité décroissante de la mémoire avec le temps => Exemple: Commission
Charbonneau et trous de mémoire...
•  Distraction: Manques d’attention/Oublier de faire des choses (encodage ou récupération) =>
Exemple: Oublier où sont vos clés...
•  Blocage: Inaccessibilité temporaire d’info enregistrée => Exemple: Sur le bout de la langue.
•  Persistance: Souvenirs non-voulus que les gens sont incapables d’oublier => Exemple: Trouble de
stress post-traumatique
•  Mésattribution (Erreur d’identification de source): Attribution de souvenirs à des sources
incorrectes/croire que l’on a vu/entendu quelque chose mais ce n’est pas le cas => Exemple:
Identifier le mauvais suspect parce qu’il semble familier
•  Biais: Distorsions rétrospectives produites par connaissances/croyances courantes => Exemple:
Insatisfaction présente avec relation peut mener à réinterprétation négative d’événements passés
•  Suggestibilité: Incorporation d’info trompeuse en mémoire avec questions tendencieuses,
tromperie ou autres =>  Exemple: Avocats en cour

- RÉSUMÉ EXP ROEDIGER SUR MÉSATTRIBUTION : mot critique vs mot de la meme famille. Résultat
montrent que participants ont rapporté les mots critiques jamais présentés aussi souvent que les mots
de la lisye les moins rapportés. Participants reconnaissent mots de la liste originale. Reconnaissent aussi
lorsque les mots n’ont pas été étudiés (appâts) et sont non-reliés (Moins précis si mots faiblement
associés). Participants très inexacts pour reconnaître mots critiques comme étant nouveaux. On peut
produire de faux souvenirs en associant du nouveau matériel avec du matériel précédemment appris et
sémantiquement relié. “Souvenirs” rappelés avec haut niveau de confiance. DONC PAR DÉFINITION TOUT
LES SOUVENIRS SONT DES RECONSTRUCTIONS.

- RÉSUMÉ EXP BRASNFORD ET JOHNSON SUR LES INFÉRENCES INFLUENCENT LA MÉMOIRE : 2 conditions :
expoérimentale et contrôle. Résultats montrent que il y a une proba égale de reco la phrase comme
provenant de lhisoite mais la proba de fausse reconnaissance est plus élévé dans la cond expérimentale.
Montre que les participants dans cond expérimentale ont inféré des détails supllémentaire dans histoire
orginale. Récupération : connaissance courante influence ou déforme mémoire épisodique
rétroactivement.

- RÉSUMÉ EXP LOFTUS BRUNS MILLER SUR SOUVENIRS MODIFIÉS SUGGESTIBILITÉ : visionner un film
montrant un accident de voiture => questions perturbante => résultats montrent que qd participants
exposés à information trompeuse post événement (information intefrée dans la représentation
ménsique cousant unre reconstruction ou altération de la vrai info.

Info conséquente avec panneau présenté dans diapo originale : 75%


>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>
Info inconséquente avec panneau présenté dans diapo originale : 41%

- Déterminer si info introduite suite à un événement a un impact différent selon qu’elle est introduite
immédiatement après l’événement vs. juste avant le test final.
QUESTIONNAIRE IMMÉDIAT :
- En moyenne intervalle de rétention + long = diminution de la perfo du a éphémérité
- Info conséquente aide info trompeuse nuit => suggéstibilité
- Info trompeuse perd de l’infulence avec le temps

QUESTIONNAIRE AVEC DÉLAI :


- En moyenne intervalle de rétention + long = diminution de la perfo du a éphémérité
- Info conséquente aide info trompeuse nuit => suggéstibilité
- Info trompeuse GAGNE de l’influence avec le temps

- On peut modifier les souvenirs en utilisant de l’info trompeuse post-événement


- Si info trompeuse présentée tout de suite après l’événement...
s’efface tranquillement, comme le souvenir original
perd de son influence négative à mesure que l’on allonge l’intervalle de rétention avec le test de
reconnaissance
-  Si info trompeuse présentée tout de suite avant test de reconnaissance...
gagne influence négative à mesure que l’événement original est plus “éloigné”

o La MLT n’est pas un “dictaphone” ou une “caméra”


o Tous les souvenirs ne sont pas créés égaux => Bosse de la réminiscence, Mémoires flash (Ch. 8) (?)
o Certains souvenirs sont inventés ou modifiés durant l’encodage ou la récupération (interne)
o Certains souvenirs peuvent être modifiés lors de la récupération (externe)
o Il faut être prudent lorsque l’on se fie à notre MLT!

LIVRE :

12.1

- Mettre des objets ensemble dans des groupes organisés est un processus nommé “catégorisation”

- Créer une représentation mentale pour une catégorie spécifique est un processus nommé
“apprentissage de concepts”
- Un concept est une représentation mentale d’une classe ou d’un exemplaire et est concerné par ce qui
est représenté et comment cette information est typiquement utilisée durant la catégorisation.”

- Fonction des concepts


o  Filtrage => Fournit des façons informatives/diagnostiques de structurer le monde naturel
o  Économie cognitive => Économie dramatique pour l’espace de stockage requis => Temps de
réaction plus rapides en identification d’objets
o  Prédiction => Nous permet de généraliser nos expériences avec certains objets à d’autres objets
de la même catég.
o  Communication => Lorsque les gens partagent des concepts, commun. plus facile à propos du
monde naturel

- Pk c difficile : avoir besoin d’une représentation mentale descriptive des propriétés catégorielles pour
savoir si 2 objets peuvent etre appariés et c connu comme une approche classique ou approche
définitionnelle des concepts

- APPROCHE CLASSIQUE : représentation des sommaires = Représentation d’un concept est une
description sommaire d’une classe entière (s’applique à tous les exemplaires spécifiques également)
Caractéristiques nécessaires et suffisantes (basé sur règle)  Caractéristiques qui représentent un
concept sont individuellement nécessaires et conjointement suffisantes (ET) INCLUSIVE + EXCLUSIVE 
Concepts ne sont jamais disjonctifs (OU)

- Inclusion des caractéristiques dans les relations de sous-ensemble = si X est sous ensmeble de Y alors
caract de Y incluse dans X

- Approche par réseau sémantique hiérarchique : avantage = économie cognitive

- RÉSUMÉ EXP COLLINS ET QUILLIAN SUR ARSH : phrases super ensembles vs phrase propréité =>
propréiété plus long. Résultats montrent que le nv entre X et Y : facteur dans TR c un processus additif
(ligne //) soutiens pour approche hiérarchique en réseau.

- RÉSUMÉ EXP DE MEYER SUR PROPAGATION DE L’ACTIVATION : les mots font partie d’une org
sémantique qui associe les mots selon le sens et active les mots associées lorsqu’un mot est récupéré
(propagation de l’activation) alors plus rapide de juger si edux itemps sont des mots lorsqu’ils sont
sémantiquement associés => soutient pour propag de l’act

- PROBLEME DE LA THÉORIE : rep sommaires trop restrictives diff avec caract suffissantes et nécessaire
difficile a troiver concepts dijsonctifs existent

- RÉSUMÉ EXP ROSH SUR PROB EMPIRIQUES POUR APPROCHES CLASSIQUE : Résultats : Tous exemplaires
ne représentent pas également . Structure catégorielle: Floue au lieu de “tout-ou- rien”. Appartenance
catégorielle serait basée sur ressemblance globale ou typicité au concept, et non définitions strictes Ne
peut être expliqué par approche classique => effet de typicité.

- RÉSUMÉ EXP RISHS UR EFFET DE TYPICITÉ ET APPROCHE PAR RÉSEAU HIERACH :


On voit les chiens et les cochons comme plus typiques des animaux que des mammifères
 Résultats de jugement de typicité
 Effets de typicité ont une influence sur temps de réaction pour catégorisation => Plus typique =
catégorisation plus rapide
 Approche par réseau sémantique hiérarchique de 1ère génération est donc invalide
- Superordonné: nombre plus bas de propriétés, suivi du niveau de base (comme prédit). Pas d’ajout
d’information significatif entre niveau de base et subordonné
- Avantage pour niveau de base (plus rapide). Le plus long: Décider si un objet fait partie d’une catégorie
subordonnée!
- Niveau de base = niveau optimal d’info

o Novices: Base > Subordonné (Prédit par Rosch)


Experts: Base = Subordonné!!!
o Preuve que les experts organisent les concepts au niveau subordonné (connaissent plus)

Plusieurs arguments et résultats empiriques vont à l’encontre de l’approche classique et de l’approche par
réseau, qui sont toutes deux des approches basées sur la logique:
 Postulats trop stricts
 Pas de définitions claires
 Concepts disjonctifs
 Effets de typicité
 Supériorité du niveau de base
Mais alors, si on ne se base pas sur des règles logiques et des définitions pour catégoriser, sur quoi se base-
t-on?

12.2

- Problème : manque de proprétés nécessaires et suffisantes : ex cuillère

- Tout les freres se ressembles bcp mais pas de propriété unique commune pas de prop nécessaire mais
classe dans la meme famille => ressemblance familiale base sur le nombre de propriété partagées par les
membres d’une catégirie => pas de def strictes

- RÉSUMÉEXP ROSCH ET MERVIS SUR RESSEMBLANCE FAMILIALE : score de ressemblance famililaire pour
un item=> résultats = huate corrélation entre jugements de typicité et mesure de ressemblance familliare
pour toutes catégorie. Item plus typique partage plus de proprétés avec autre membres de catégore (-
avec d’autres membres) donc ressemblance utilise catégorisation on utilise proprétés non nécessaire ou
caractéristiques lorsque item plus grand score RF ALORS. C le prototype de la catégorie

- Deux modèles bases sur similarité : approche prototypiste et exemplariste

- approche prototypiste :
Les concepts sont des prototype => Représentation abstraite et sommaire dérivée en
“moyennant” tous les exemplaires rencontrés d’une catégorie donnée
 “Moyennage”
Choisir la valeur la plus commune pour ch. propriété => Lorsque propriétés peuvent être
identifiées
Moyenne mathématique => Lorsque propriétés ne peuvent être identifiées
Un prototype peut ne pas être identifiable!
Règle de classification: Si objet possède assez de propriétés en commun avec (ou est “assez similaire au)
prototype, alors il est classé comme un membre de cette catégorie

Approche classique: Ne peut classer les frères ensemble car pas de caractéristiques nécessaires partagées
Approche prototypiste: Suppose que l’expérience avec les frères mène à la composition d’un concept qui est
la moyenne des membres de la famille
CATÉFORIE ARTIFICIELLES : propriété verbalisable
Beaucoup de variables des catégories naturelles ne
peuvent être contrôlées
 Comment les catégories sont apprises
 Fréquence d’usage des exemplaires et catégories  Familiarité
 Facteurs culturels, etc.
 Pour comprendre comment on crée/apprend des concepts, il faut créer des stimuli jamais vus/classifiés
 En construisant les catégories selon certaines variables, on peut contrôler tous les facteurs, isoler des
effets spécifiques et faire des prédictions

Exemple avec distorsions : résultats : Anciens exemplaires classés avec exactitude et rapidité tel que prédit
 MAIS les prototypes catégoriels aussi, même si jamais vus à l’apprentissage
 Performance pour autres nouvelles distorsions est une fonction de leur similarité au prototype catégoriel
=> Plus similaire = plus grande exactitude/ TR plus bas

- RÉSUMÉ EXP POSNER ET KEEKE SUR APPROCHE PROTOTYPISTE : RÉSULTATS : Avantage pour anciens
items disparait avec temps  Performance pour prototypes élevée et stable même après une semaine 
Performance pour nouveaux exemplaires prédite par similarité aux prototypes après une semaine. Donc
selon eux les prototypes des moyennes des exemplaires vus pdnt l’apprentissages sont dvlp comme
représentation catégorielles oi concepts. Représentations durables

- APPROCHE EXEMPLARISTE : les concepts sont l’ensmeble ou le sous ensemble de tous les exemplaires
recontrés précédemment. Pas de repré sommaires (prototype) Si un objet a classer est assez similaire
alors classé comme membre de la catégorie

- Selon le modèle exemplariste, le nouveau frère sera comparé à tous les frères mémorisés. Il sera classé
dans la même catégorie que le frère auquel il est le plus similaire.

- RÉSUMÉ EXP MÉDIN ET SCHAFFER SUR APPROCHE EXEMPLARISTE : structure catégorielle.

Si l’approche prototypiste est correcte, exemplaire 1 devrait être appris plus facilement qu’exemplaire 2
parce qu’il possède plus de propriétés en commun avec le prototype
Si l’approche exemplariste est correcte, exemplaire 2 devrait être appris plus facilement qu’exemplaire 1.
Exemplaire 2 est hautement similaire à deux autres membres de sa propre catégorie ...mais pas à des
exemplaires de l’autre catégorie.
Tandis que l’exemplaire 1 est hautement similaire à seulement un autre membre de sa catégorie... mais
hautement similaire à deux exemplaires de l’autre catégorie.

Conclu : Exemplaire 2 plus facile à appr. qu’Exemplaire 1 => Plus haut taux d’exactitude tout au long de
l’apprentissage
 Medin et Schaffer furent les premiers à montrer des preuves soutenant un modèle exemplariste au
détriment d’un modèle prototypiste
 Depuis, beaucoup de recherche/modélisation faite pour montrer que les représentations prototypistes
et exemplaristes peuvent toutes deux expliquer certains résultats

- CAPACITE DE LA MLT VISUEL : brady et al : Lorsque les items répétés sont séparés par plus de 1000 items,
on détecte les doublons 79% du temps!
Performance près de 90% peu importe la condition, après 2896 images!!!
Notre cerveau enregistre tout ce qu’on voit!
 Le niveau de détail de nos souvenirs d’exemplaires est excessivement précis
 Capacité minimale du cerveau calculée:  228 000 représentations distinctes
 Soutien solide pour modèles exemplaristes

ARGUMENT CONTRE MODÈLE EXEMPLARISTE

LIVRE :

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