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Auteurs : // Patient PV
But : Distinguer les différents types de codage de la MLT
Comment : Mesurer la capacité à se remémorer les mots, selon la présentation (Soit visuelle, soit auditive)
Tâche : Tâche d’apprentissage des mots et des non-mots
Observations au niveau des apprentissages :
Performance du patient PV = PERTURBÉE quand la présentation des stimuli = sonores
Performance NORMALE lorsque les stimuli sont présentés visuellement.
Conclusion :
Cela suggère qu’il y a un codage qui se fait différemment pour la MLT selon les modalités auditives/visuelles.
Mémoire Test 1 rappel libre standard (Pas besoin de dire l’ordre des mots car c’est un rappel explicite.)
explicite Test 2 rappel indicé (Les 3ières lettres sont données pr les aider à se rappeler des mots oubliés.)
Ex : ANT___
Mémoire
implicite Test 3 présentation de mots qu’il faut compléter.
Ex : ANT___ = ANTIDOTE ou ANTILOPE
* + de lettres manquantes permettent de voir s’il a bien appris le mot,
s’il est capable de faire la tâche de complétion.
(Une tâche de complétion n’est pas une tâche de rappel.)
Observations :
Test 1 & 2 Performance des amnésiques = moins bonnes que pour les sujets contrôles. C’est moins pire pour les
rappels indicés, mais il y a quand même une différence de performance à la baisse chez les amnésiques.
Test 3 Pas de déficit de performance chez les amnésiques pour les tâches de complétion.
Conclusion : Cela suggère qu’il existe 2 systèmes différents entre la mémoire implicite et la mémoire explicite.
*Certains types d’amnésie vont avoir une mémoire explicite altérée mais une mémoire implicite préservée.
Mauvaise
performance
Observations :
Mémoire explicite Meilleure performance après 1h, mais se dégrade après 7 jours.
Mémoire implicite Même performance de la tâche de complétion que ce soit 1 jour ou 7 jours, donc elle dure
BCP + longtemps. La mémoire implicite = stable dans le temps. N’est PAS sensible à l’interférence.
Conclusion : Cela suggère qu’il existe 2 systèmes différents entre la mémoire implicite et la mémoire explicite, car
les performances sont différentes en fonction de l’intervalle temporelle de rétention.
Conclusions des tests : Il y a une dissociation entre la mémoire explicite et la mémoire implicite (non-explicite).
Mémoire explicite Ce que l’on sait que l’on doit récupérer (C’est donc conscient et relié aux connaissances)
Mémoire implicite Ce que l’on sait mais on ne sait pas qu’on le sait. (C’est inconscient et relié à la performance)
Les effets d'amorçage sont un outil utilisé en psychologie cognitive pour étudier la mémoire implicite. La mémoire
implicite est une forme de mémoire qui nous permet d'influencer nos pensées ou nos comportements sans que nous
en ayons conscience. Les effets d'amorçage révèlent comment les informations stockées dans la mémoire implicite
peuvent être activées par des stimuli externes, même si nous ne sommes pas conscients de cette activation.
Amorçage L'un des types d'amorçage les plus couramment utilisés est l'amorçage sémantique. Dans ce type
sémantique d'amorçage, les participants sont exposés à un stimulus (le "préamorce") qui est sémantiquement lié à une
cible ultérieure. Par exemple, si les participants sont d'abord exposés au mot "chien", ils seront plus rapides
pour identifier un mot comme "chat" qui est sémantiquement lié, même si ce lien n'est pas évident à
première vue. Cela suggère que des informations liées au concept de "chien" étaient déjà activées dans leur
mémoire implicite.
Amorçage Dans l'amorçage perceptuel, les stimuli sont liés par des caractéristiques perceptuelles, comme la forme, la
perceptuel couleur, ou le son. Par exemple, si vous êtes exposé à une image floue d'un chat avant de voir une image
claire d'un chat, votre temps de réaction pour identifier la deuxième image sera plus court, indiquant que
votre mémoire implicite a été influencée par la première image.
Amorçage L'amorçage syntaxique se concentre sur la structure grammaticale des phrases. Si une phrase commence par
syntaxique une partie d'une structure grammaticale (par exemple, une phrase commençant par "Le chien qui..."), cela
peut influencer la façon dont vous traitez la suite de la phrase, même si vous n'êtes pas conscient de la règle
grammaticale sous-jacente.
Amorçage L'amorçage fragmentaire implique de présenter une partie d'un mot avant de montrer le mot complet. Par
fragmentaire exemple, si on vous montre "FR__IT", vous pourriez identifier "fruit" plus rapidement que si vous n'aviez pas
été amorcé de cette manière.
Les effets d’amorçage permettent donc de mettre en évidence comment des informations stockées dans la mémoire implicite peuvent influencer notre
comportement, nos réponses et nos jugements, même lorsque nous ne sommes pas conscients de cette influence. Ils sont souvent utilisés pour étudier
divers aspects de la mémoire implicite, y compris la mémoire sémantique, la mémoire perceptuelle et la mémoire procédurale, et sont utiles pour
comprendre comment nous traitons et utilisons l'information stockée dans notre esprit sans en avoir conscience.
Infos du cours :
Amorce Présentation d’une info (stimulus) qui va influencer le TX, la façon dont on va analyser les
stimuli suivants/ stimulus test/ la cible. (synonymes)
. Ex : La figure ambiguë. L’amorce est sémantique, ce qui active notre mémoire.
*Va nous aider à performer dans une tâche subséquente. (Tâche subséquence = une cible)
Phénomène d’amorçage Augmente la performance à une tâche car l’utilisation d’une amorce active
les réseaux de neurones que l’on a déjà mémorisés.
En résumé, la mémoire implicite est étroitement liée à l'apprentissage de procédure, car elle stocke et
facilite l'utilisation de compétences, de routines et de connaissances pratiques de manière automatique et
non consciente. Elle joue un rôle essentiel dans notre capacité à acquérir et à exécuter des tâches de
manière efficace et fluide.
Buts : Établir une correspondance entre les différentes mémoires (sémantique et épisodique) et
différentes régions du cerveau + actives lors de certaines tâches.
Tâches : Les participants devaient verbaliser des informations sur leur vie personnelle ainsi que des faits.
Comment : À l’aide des contrastes observés lors d’un IRMF
Observations : Différentes structures sont activées de façon plus prononcées selon la tâche.
Mémoire Sémantique + Active lorsque la stimulation = en lien avec des faits.
Mémoire Épisodique + Active lorsque la stimulation inclus des faits personnels, És.
Conclusion : Cela suggère qu’il existe 2 systèmes différents de mémoire explicite.
La mémoire sémantique
La mémoire épisodique.
*Cette étude est à mettre en lien avec l’existence des doubles dissociations.
Ensembles de stratégies (5) d’apprentissages pour avoir une meilleure mémorisation. Testé par des expériences,
selon différents niveaux de TX: 1.Placer des mots dans une phrase complexe
2001 2004
Auteurs : Rogers et al, 1977
Buts : Observer les performances de mémorisation en fonction de 4 types de questions.
Tâches : Tâche de rappel des mots centraux. On les aide à mémoriser des éléments en posant des questions.
Comment : Il y a une question, il y a un mot central et ensuite la personne doit répondre par oui ou non.
Ex : Question Timide Réponse
Les questions sont de 4 types:
A. Est-ce que ça comment par une lettre capitale ?
B. Est-ce que ça rime avec… ?
C. Est-ce que ça a le même sens que…?
D. Est-ce que ça vous décrit?
Observations : Les 4 types de questions n’engendre pas la même mémorisation.
Les mots les plus rappelés sont ceux qui servaient à décrire le participant. ( ? D)
Conclusion : L’effet du sens des mots aide à faire un TX en profondeur vs TX superficiel, mais on voit que les effets
sont encore + importants quand les liens sont personnels par rapport au mot que l’on doit apprendre. (Mots qui
nous décrivent/ Question D). Faire des liens personnels aide à la mémorisation.
5.Effet de test