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CAMPAGNE DIGITALE ET

CREATION DE CONTENUS
Qu’est-ce qu’une campagne digitale ?

• Une campagne digitale désigne l’ensemble des techniques marketing


ou de communication utilisées sur les supports et canaux digitaux. Elle
recouvre essentiellement les applications marketing liées à l’Internet
« traditionnel », mais également celles liées aux téléphones mobiles,
tablettes, GPS et autres applications et objets connectés.
Révolution numérique

• Avec les nouveaux usages, l'information se transforme. S’il est vrai


qu’auparavant les campagnes étaient essentiellement médiatiques
(Radios, télé… etc.), aujourd’hui même les médias classiques
développent des stratégies pour capter l'audimat, avec comme
partenaires et concurrents les réseaux sociaux
Objectifs d’une campagne digitale

• Augmenter le trafic d’un site internet : rendre attractif un site internet et améliorer
le positionnement sur les moteurs de recherche
• Transformer les visites en prise de décision
• Fidéliser les followers: gagner leur confiance en améliorant l’image de marque
• Influencer les cibles : créer une solide communauté pour déclencher un besoin
• Améliorer la communication avec les followers : chaque partage ou retour devient
des canaux de communication
Réussir sa campagne digitale ?

• Définir et connaître sa cible


• Faire une analyse concurrentielle
• Choisir son ton et son message (se démarquer)
• Cibler les bons mots-clés
• Créer des objectifs SMART  (Spécifique ? Mesurable ? Acceptable ? Réaliste ?
Temporellement défini ?)
Quelques pièges à éviter

• Utiliser toujours le même format


• Oublier votre ligne éditoriale
• Ne pas prendre de risques
• Tout miser sur le digital
• Utiliser un style d’écriture désuet
• Écrire pour vous plutôt que pour votre cible
CRÉER UNE AFFICHE
Commencez par poser les bonnes questions

• Qui ? Qui êtes-vous ?


Quoi ? Quel est l’objet / sujet / message principal de l’affiche ?
Pourquoi ? Quel est le but principal derrière cette affiche ?
Pour qui ? Quelle est la cible de cette affiche ?
Quand ? Pour quelle occasion souhaitez vous faire passer votre
message ?
Où ? Dans quelles conditions cette affiche sera-t-elle vue ?
Comment ? Quelle charte graphique faut-il respecter ? Quels détails
faut-il intégrer ?
Posez toute vos idées noir sur blanc

• Après avoir défini les besoins et les détails de l'affiche, il est temps de
tout mettre à plat ! L’objectif est de mettre en scène toute vos idées sur
une feuille blanche afin de les avoir bien à portée de vue, tout en
synthétisant votre message.
Définissez les éléments clé de votre affiche

• Les 3 règles d’or :


- Nom /Logo;
- Slogan ;
- Dessin / Images / Forme / Arrière-plan qui doit représenter minimum
50% de l’affiche
Suivez la logique du cheminement du regard

• Il est très intéressant de comprendre le sens de lecture d’une affiche.


En effet, le regard a tendance à se poser d’abord sur le coin supérieur
gauche de l'affiche, puis effectuer une trajectoire en « Z » jusqu’à finir
dans le coin inférieur droit. C’est pourquoi on retrouve souvent le logo
de la marque en bas à droite pour être bien gardé en mémoire.
Ne chargez pas votre affiche

Evitez de remplir votre affiche et de tout centrer au milieu en pensant


que cela sera le plus mis en lumière.

Vous vous retrouverez plutôt avec une composition très dense en son
milieu et vide sur les côtés. Ce qui risque de donner une affiche non
homogène qui manque d’équilibre et d’harmonie entre ses éléments.
Choisissez bien vos couleurs

• Ne faites pas l'erreur de charger votre composition d’éléments colorés


et flashy en pensant capter l’attention encore plus, une affiche bien
pensée doit surtout reprendre les couleurs et la charte graphique de la
marque qu’elle cherche à promouvoir et de rester simple et précise.
 Faites attention à la typographie

• La principale règle à suivre : Ne pas en faire trop! Les graphistes et


designers ont tendance à travailler de plus en plus les polices : couleur,
volume, ombre, etc. C’est important de travailler la
typographie comme une image, en jouant sur les contrastes et des
décalages marqués de style, de proportion, de taille... En bref,
choisissez des polices claires et lisibles et limitez vous à 2 ou 3 types.
Il faut garder l’attention sur le message à véhiculer et une police
beaucoup trop complexe peut vite voler l’attention des lecteurs.
Hiérarchisation des informations

• La loi des 4 W ou du QQOQ

• Who – Qui
• What – Quoi
• Where – Où
• When - Quand
Signification des couleurs

• Bien que nous voyons le monde en couleur, nous pensons rarement


aux influences que celles-ci exercent sur nous. Qu’il s’agisse du calme
d’un bleu clair, d’un vert foncé apaisant, ou d’un jaune pétillant plein
d’énergie, les couleurs ont toutes un effet sur nous. En plus d’être un
art, la psychologie des couleurs est aussi une science. En tant que
graphiste ou entrepreneur, il est essentiel de bien comprendre ces
mécanismes afin de maximiser la signification des couleurs et leur
impact sur votre audience cible.
REALISER UNE VIDEO
QU’EST QU’UNE VALEUR DE PLAN ?

• Une valeur de plan permet de connaître l’échelle d’un objet dans le


cadre de l’image. Comme on filme des personnes dans la majorité des
films, on prend donc comme référence le corps humain pour
pratiquement toutes les valeurs de plans. Seuls les plans larges et
d’ensemble prennent le décor ou le paysage comme référence, le corps
humain étant très petit ou absent de ces plans. Le corps humain
comme référence, les valeurs de plans seront plus orientées sur la
hauteur que sur la largeur, le corps humain étant plus haut que large.
PLAN GÉNÉRAL/LARGE
Le plan général va permettre de
situer une action, des personnages
dans leur environnement. Il va
permettre de montrer le paysage, le
quartier dans lequel l’action se
déroulera. L’être humain sera donc
quasi invisible, perdu dans le décor.
Par exemple, un plan général peut
être un quartier, une ville, une
planète, etc.
PLAN D’ENSEMBLE
Le plan d’ensemble va permettre de
situer les personnages dans leur
environnement. Il est donc plus
spécifique que le plan général. Il peut
servir à accentuer l’effet de solitude
d’une personne dans un large
environnement ou l’inverse, un
personnage perdu dans la foule. Il est
souvent utilisé comme plan de situation
dans les séries où l’on montre la maison,
le bâtiment où habite le personnage.
PLAN MOYEN Appelé aussi “Plan Pied”, il permet
d’intégrer pleinement le ou les personnages
dans leur environnement. Parfait lorsque
vous avez un groupe de personnages à
introduire. Ces derniers sont filmés en plein
pied c’est-à-dire que les pieds seront la
délimitation du bas du cadre. Le plan moyen
est souvent utilisé pour les scènes d’action où
l’on peut voir les protagonistes se déplacer,
se battre, car il permet de voir toute
l’amplitude des mouvements.
PLAN ITALIEN
Le plan italien est un plan qui cadre en
dessous du genou. Il semble très
compliqué de savoir l’origine exacte de
ce type de plan. Plusieurs explications
sont énoncées avec des chaussures
inexistantes ou bien trop luisantes, la
différence de taille entre Hitler et
Mussolini ou bien le fait de filmer les
longues vestes en cuir dans les westerns
italiens, etc.
PLAN AMÉRICAIN

Le plan américain est un cadre qui


s’arrête à mi-cuisse. L’explication
historique de ce plan est le fait de filmer
les holsters des revolvers dans les
westerns. Cadre idéal pour les scènes de
duels entre deux protagonistes.
PLAN TAILLE/RAPPROCHÉ
Le plan taille part de la tête jusqu’au-dessus de
la ceinture du personnage. Il permet de mieux
ressentir l’émotion du personnage tout en restant
distant. De plus, le plan taille permet de garder
l’environnement et donc le contexte dans lequel
le personnage se situe. Ce type de plan peut
permettre, en fonction du cadrage, d’introduire
la notion de hors champ via le regard du
personnage. Il permet aussi de faire des champs
contre champs avec deux personnages dans le
cadre, un de dos et l’autre de face.
PLAN POITRINE

Ce plan permet d’être plus proche du


comédien. Les expressions du visage
sont largement visibles. Il permet aussi
au comédien de pouvoir utiliser ses
épaules et ses bras pour transmettre plus
d’informations et d’émotions. Ce plan
permet aussi au réalisateur d’introduire
l’environnement autour de l’acteur et de
le faire interagir avec.
GROS PLAN / INSERT
Un gros plan permet de cadrer entièrement le visage
d’un personnage. Le décor est très peu présent. Il est
souvent utilisé lors de dialogues entre deux
personnages, avec des champs contre champs de
mêmes valeurs.
Le gros plan peut être utilisé aussi sur d’autres parties
du corps comme les mains par exemple, afin de
décrire et détailler l’action du personnage. Il est
souvent utilisé lors des documentaires pour montrer
en détail les gestes d’artisans, de sportifs, etc.
Le gros plan peut être utilisé aussi sur des objets, on le
nommera plutôt comme “Insert” qui permet de donner
plus de détails sur une action ou une situation donnée.
C’est le cadrage qui permet d’exprimer au plus
TRÈS GROS PLAN près l’émotion ou l’absence d’émotion d’un
personnage. Il est donc la plupart du temps
orienté sur les yeux du personnage. Le regard
étant le miroir de l’âme du personnage.
Lorsqu’il est orienté sur le personnage, le
décor et l’environnement sont complètement
absents, seule l’émotion du personnage est
présente à la caméra.
Le contre champs d’un très gros plan sera
généralement une vue subjective du
personnage qui va permettre au spectateur de
voir ce que le personnage visualise. Ce type de
plans est beaucoup utilisé dans les films
d’horreur pour exacerber les réactions du
spectateur.
PLAN EN PLONGÉE ET CONTRE-PLONGÉE
En choisissant de baisser ou de surélever
la caméra, on ajoute des émotions
supplémentaires. En effet, si on baisse la
caméra et que l’on garde le visage comme
cible, on aura un plan en contre-plongée.
Cela va transcrire un sentiment
d’infériorité d’un personnage dominé. Le
contre champs d’un plan en contre-
plongée sera l’opposé, un plan en plongé,
caméra surélevée qui accentuera le
sentiment de domination.
REDIGER UN ARTICLE
Quelques règles pour l’écriture d’un article web

• Chaque support (livre, journal, site web ...) a ses propres codes
d’écriture. Rédiger pour un livre ou rédiger pour un site web ne se fait
pas de la même façon. Pour une raison toute simple : le lecteur ne lit
pas de la même façon. C’est donc à l’auteur de s’adapter aux
spécificités de la lecture sur le web.
• Quelles sont les contraintes à prendre en compte pour écrire sur
Internet ?
Quelles règles respecter ?
Quels pièges éviter ?
Voici les règles les plus importantes de l’écriture d’un article sur le web.
Longueur d’un article

• Vous allez écrire un article. Même s’il est vrai que certains internautes
aiment les longs articles, la majorité des « scrollers » sont très pressés
et n’ont pas de temps à perdre,

• Privilégiez les articles entre 1 500 à 2 000 signes (caractères avec


espace compris).
Répondre aux « 5 W »

• Les « 5 W » représentent les 5 informations obligatoires à donner dans


un article de presse : quoi, qui, où, quand, pourquoi (what, who,
where, when, why, d’où les « 5 W »).
• Pour les journalistes, c’est une règle d’or que d’y répondre dès le
chapeau ou l’accroche.
• Cela doit également le devenir pour tout rédacteur web ainsi le
message essentiel qu’il souhaite faire passer dans son article, se
retrouve dès les toutes premières lignes.
Ordre de l’information

• Dans un article sur le web, l’information traite d’abord du plus


important, avant d’aborder le moins important.
• En moyenne, un lecteur lit entre le 1/10e et le 1/4 d’un article (soit
entre 200 et 500 signes). Il est donc primordial que le message à faire
passer se trouve tout au début de l’article.
Faciliter la lecture (longueur, rythme, relance…)

• La lecture sur écran est fastidieuse et provoque rapidement de la fatigue


oculaire. Le rédacteur doit donc la faciliter.
• Pour cela, il est judicieux de :
• faire des phrases courtes ;
• aérer son texte en le découpant en paragraphes, avec une idée par
paragraphe ;
• structurer son texte par des intertitres (titre placé au milieu de l’article qui
introduit la suite du texte) ;
• utiliser des puces ;
• ne pas hésiter à donner du relief à son texte avec du gras.
Intégrer la contrainte du référencement

• Favoriser un contenu structuré améliore le résultat des requêtes


rentrées dans les moteurs de recherche :
• utilisation de mots-clés (de 3 à 5 fois mais pas plus),
• utilisation du gras,
• liens vers d’autres pages web, à faire figurer dans les encarts mais pas
dans le texte
•…
tels sont les éléments qui optimisent son référencement.
Organiser l’information selon différents niveaux de profondeur d’écriture

• L’information est généralement structurée suivant 3 niveaux :


• Le niveau 1 correspond à l’accroche avec les fameux « 5 W ». Il donne ainsi
l’information essentielle dès le début de l’article.
• Le niveau 2 correspond au corps de l’article. L’information la plus importante se
place au début et les informations secondaires en fin d’article.
Le respect de la règle du « une idée par un paragraphe » est primordial. C’est ici que
l’on va développer l’information : argumentation des propos, exemples,
témoignages, etc.
• Ne pas hésiter à aérer le texte avec des intertitres pour en faciliter une lecture rapide.
• Le niveau 3 est la conclusion. On pourra éventuellement renvoyer vers des
documents d’information encyclopédiques, synthèses, rapports, actes, tableaux
chiffrés…
Utiliser les liens dans les encarts

• Sur Internet, inutile de tout dire dans le même article ! Si l’information


existe sur une autre page, il suffit de faire un lien vers cette page, un
lien qui peut par exemple figurer dans un encart.
• Penser à renvoyer le lecteur vers des articles similaires traitant du
même sujet,
Intégrer une photo ou une vidéo,

• Avec internet, on peut intégrer à un article toute sorte de documents,


sonores, vidéos, visuels…
• Mais les images publiées sur un site Internet ne doivent pas dépasser
un certain poids. Il est donc souhaitable de les optimiser, en les traitant
avec un poids inférieur à 50 ko.

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