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ECNi
LE TOUT-EN-UN
CHEZ LE MÊME ÉDITEUR
Dans la collection Les référentiels des Collèges
Anatomie pathologique, par le Collège français des pathologistes (CoPath), 2013.
Cardiologie, par le Collège national des enseignants de cardiologie – Société Française de Cardiologie (CNEC-SFC), 2e édition, 2014.
Chirurgie maxillo-faciale et stomatologie, par le Collège hospitalo-universitaire français de chirurgie maxillo-faciale
et stomatologie. 3e édition, 2014.
Dermatologie, par le Collège des enseignants en dermatologie de France (CEDEF). 6e édition, 2014.
Gériatrie, par le Collège national des enseignants de gériatrie (CNEG). 3e édition, 2014.
Gynécologie – Obstétrique, par le CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français). 3e édition, 2015.
Hématologie, par la Société Française d'Hématologie. 2e édition, 2014.
Hépato-gastro-entérologie, par la Collégiale des universitaires en hépato-gastro-entérologie (CDU-HGE). 3e édition, 2015.
Imagerie médicale - Radiologie et médecine nucléaire, par le Collège des enseignants de radiologie de France (CERF)
et le Collège national des enseignants de biophysique et de médecine nucléaire (CNEBMN), 2015.
Immunopathologie, par le Collège des enseignants d'immunologie, 2015.
Médecine physique et réadaptation, par le Collège français des enseignants universitaires de médecine physique
et de réadaptation. 5e édition, 2015.
Neurologie, par le Collège français des enseignants en neurologie (CEN). 4e édition, 2015.
Nutrition, par le Collège des enseignants de nutrition. 2e édition, 2015.
Ophtalmologie, par le Collège des ophtalmologistes universitaires de France (COUF), 2e édition, 2013.
ORL, par le Collège français d'ORL et de chirurgie cervico-faciale. 3e édition, 2014.
Parasitoses et mycoses, par l'Association française des enseignants de parasitologie et mycologie (ANOFEL), 5e édition, 2016.
Pédiatrie, par A. Bourrillon, G. Benoist, le Collège national des professeurs de pédiatrie. 6e édition, 2014.
Réanimation et urgences, par le Collège national des enseignants de réanimation (CNER). 5e édition, 2015.
Rhumatologie, par le COFER (Collège français des enseignants en rhumatologie). 5e édition, 2015.
Santé publique, par le Collège universitaire des enseignants de santé publique (CUESP). 2e édition, 2015.
Urologie, par le Collège français des urologues (CFU). 3e édition, 2015.
Tous droits de traduction, d’adaptation et de reproduction par tous procédés réservés pour tous pays.
Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite
sans l’autorisation de l’éditeur est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part, les reproductions strictement réser-
vées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, les courtes citations justifiées par le caractère scienti-
fique ou d’information de l’œuvre dans laquelle elles sont incorporées (art. L. 122-4, L. 122-5 et L. 335-2 du Code de la propriété intellectuelle).
Elsevier Masson S.A.S. – 65, rue Camille Desmoulins, 92442 Issy-les-Moulineaux Cedex
Remerciements
Merci à Nathalie et Nicolas, ma femme et mon fils, pour leur patience, leur compréhension et leur soutien
Merci aux confrères et amis qui ont joint leurs efforts aux miens pour faire de cet ouvrage ce qu'il est
Merci aux jeunes internes pour leur aide à rendre cet ouvrage conforme aux attentes des étudiants
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Collaborateurs à la deuxième édition
Marie-Laure Anciaux – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS (centre hospitalier intercommu-
nal de Poissy – Saint-Germain-en-Laye), site de Saint-Germain-en-Laye.
Laura Arassus – Praticien hospitalier, médecin coordinateur de l'équipe mobile de soins palliatifs et de lutte contre la douleur,
CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Michael Azagury – Onco-hématologue, clinique Saint-Germain – Saint-Germain-en-Laye.
David Berville – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Louis Blin – Orthopédiste, ancien chef de clinique-assistant, clinique Saint-Germain – Saint-Germain-en-Laye.
Frédéric Bourdain – Neurologue, chef du service de neurologie, hôpital Foch, Suresnes.
Catherine Chemin – Gériatre, praticien hospitalier, CHI de Meulan - les Mureaux.
Claire Cuevas – Ophtalmologue, praticien hospitalier, service d'ophtalmologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Odile Doublet – Pneumologue, praticien hospitalier, responsable des explorations fonctionnelles respiratoires et polysomno-
graphies, CHIPS, Saint-Germain-en-Laye.
Alain Fajardy – Anesthésiste, praticien hospitalier, service d'anesthésie, CHIPS, site de Poissy.
Eva Ghiles – Chirurgien viscéral, praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Philippe Haymann – Néphrologue, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de néphro-
logie, hôpital Tenon, Paris.
Jan Hayon – Réanimateur, praticien hospitalier, chef du pôle de réanimation, CHIPS, site de Poissy.
Stéphane Jouveshomme – Pneumologue, praticien hospitalier, service de pneumologie, hôpital Saint-Joseph, Paris.
Laurence Mérian-Brosse – Pharmacienne, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Rkia Misbahi – Hématologue, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jacky Nizard – Gynécologue-obstétricien, professeur à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de gynécologie
et obstétrique, groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Estelle Saint-Léger – Dermatologue, hôpital franco-britannique de Levallois-Perret (Hertford British Hospital).
Jean-Christophe Seguier – Médecin-hygiéniste, praticien hospitalier, président du CLIN, CHIPS
Thomas Seisen – Urologue, chef de clinique-assistant, service d'urologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Didier Simon – ORL, praticien hospitalier, service d'ORL, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Alexandre Somogyi – Médecin interniste, praticien hospitalier, service de médecine interne, CHIPS, sites de Saint-Germain-en-Laye
et Poissy .
Nathalie Somogyi-Demerjian – Rhumatologue, ancien chef de clinique-assistant (hôpital Bichat, Paris), Sartrouville et Saint-Cyr.
Domitille Thomas-Beaulieu – Dermatologue, praticien hospitalier, service de Dermatologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Patrick Weiss – Psychiatre, praticien hospitalier, service de psychiatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
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Collaborateurs à la première édition
Laurence Amar – Endocrinologue, praticien hospitalo-universitaire, service de Médecine vasculaire et HTA, HEGP, Paris.
Marie-Laure Anciaux – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS (centre hospitalier intercommu-
nal de Poissy – Saint-Germain-en-Laye), site de Saint-Germain-en-Laye.
Laura Arassus – Praticien hospitalier, médecin coordinateur de l'équipe mobile de soins palliatifs et de lutte contre la douleur,
CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Michael Azagury – Onco-hématologue, praticien hospitalier, service de médecine interne, centre hospitalier intercommunal
de Meulan les Mureaux.
Nathalie Bataille – Chirurgien viscéral, ancien praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Sandrine Beaulieu – Gastro-entérologue, praticien hospitalier, service d'hépato-gastro-entérologie, CHIPS, site de Poissy.
David Berville – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Louis Blin – Orthopédiste, praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Frédéric Bourdain – Neurologue, ancien chef de clinique-assistant, assistant dans le service de neurologie, hôpital Foch, Suresnes.
Patricia Brazille – Infectiologue, praticien hospitalier, service de maladies infectieuses et tropicales, CHIPS, site de Poissy.
Gita Brochard – Médecin du travail.
Dominique Caldari – Pédiatre, praticien hospitalier, clinique médicale pédiatrique, hôpital mère-enfant du CHU de Nantes.
Alain Cazaban – Radiologue, praticien hospitalier, service de radiologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Valérie Cerbeland – Assistante sociale, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Catherine Chemin – Gériatre, praticien hospitalier, service de gériatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Lydie Costentin – Hépatologue, praticien hospitalier, service d'hépato-gastro-entérologie, CHIPS, site de Poissy.
Marie Crouzet – Psychologue, service d'onco-hématologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Claire Cuevas – Ophtalmologue, praticien hospitalier, service d'ophtalmologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Odile Doublet – Pneumologue, praticien hospitalier, responsable des explorations fonctionnelles respiratoires et polysomno-
graphies, CHIPS, site de Poissy.
Alain Fajardy – Anesthésiste, praticien hospitalier, service d'anesthésie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jean-Philippe Haymann – Néphrologue, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de néphro-
logie, hôpital Tenon, Paris.
Jan Hayon – Réanimateur, praticien hospitalier, chef du pôle de réanimation, CHIPS, site de Poissy.
Stéphane Jouveshomme – Pneumologue, praticien hospitalier, service de pneumologie, CHIPS, site de Poissy.
Catherine Leclerc – Infectiologue, praticien hospitalier, service de maladies infectieuses et tropicales, CHIPS, site de Poissy.
Catherine Leport – Infectiologue, professeur à l'université Paris VII, praticien hospitalier, service des maladies infectieuses
et tropicales, hôpital Bichat, Paris.
Claire Mathé – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Laurence Mérian-Brosse – Pharmacienne, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Rkia Misbahi – Hématologue, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jacky Nizard – Gynécologue-obstétricien, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de gynéco-
logie et obstétrique, groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Benoît Pétillon – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Emmanuelle Peyret – Addictologue, praticien hospitalier, service de psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent, hôpital
Robert-Debré, Paris.
Jean-Loup Rénier – Biologiste spécialiste en transfusion sanguine, praticien hospitalier, laboratoire de biologie, hôpital de Laon.
Morgan Rouprêt – Urologue, chef de clinique-assistant, service d'urologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Estelle Saint-Léger – Dermatologue, hôpital franco-britannique de Levallois-Perret (Hertford British Hospital).
Didier Simon – ORL, praticien hospitalier, service d'ORL, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Alexandre Somogyi – Médecin interniste, praticien hospitalier, service de médecine interne, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Nathalie Somogyi-Demerjian – Rhumatologue, ancien chef de clinique-assistant (service de rhumatologie, hôpital Bichat,
Paris), Sartrouville et Saint-Cyr.
Patrick Weiss – Psychiatre, praticien hospitalier, service de psychiatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
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Table des matières générale par spécialité
ITEM 131 Douleur aiguë et chronique 37 ITEM 218 Athérome, malade polyathéromateux 120
ITEM 136 Principaux repères cliniques en soins ITEM 219 Facteurs de risque cardiovasculaire
palliatifs 38 et prévention 123
ITEM 137 Accompagnement en soins palliatifs 41 ITEM 220 Dyslipidémies 125
ITEM 138 Sédation, euthanasie, suicide assisté 43 ITEM 221 Hypertension artérielle de l'adulte 127
ITEM 139 Soins palliatifs en pédiatrie 45 ITEM 222 Hypertension artérielle pulmonaire 133
ITEM 140 Soins palliatifs en réanimation 47 ITEM 223 Artériopathie oblitérante de l'aorte, des
membres inférieurs et des artères viscérales.
UE 9 CANCÉROLOGIE – ONCO-HÉMATOLOGIE Anévrismes 137
ITEM 287 Épidémiologie, facteurs de risque, ITEM 224 Thrombose veineuse profonde et embolie
prévention et dépistage des cancers 49 pulmonaire 144
ITEM 288 Cancer : cancérogenèse, oncogénétique, ITEM 225 Insuffisance veineuse chronique.
cancers professionnels 52 Varices 149
ITEM 289 Diagnostic des cancers 56 ITEM 228 Douleur thoracique aiguë et chronique 151
ITEM 290 Anatomie et cytologie pathologiques 59 ITEM 229 Électrocardiogramme 154
ITEM 291 Traitement des cancers 62 ITEM 230 Fibrillation atriale 162
XII
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ
ITEM 328 État de choc 184 ITEM 333 Œdème de Quincke et anaphylaxie 272
ITEM 334 Cardiopathie ischémique 188 ITEM 345 Grosse jambe rouge aiguë 274
ITEM 154 Septicémie, bactériémie, fongémie 575 ITEM 178 Environnement professionnel
et santé au travail 697
ITEM 155 Tuberculose 580
ITEM 179 Organisation de la médecine du travail
ITEM 156 Tétanos 586 Prévention des risques professionnels 700
ITEM 158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : ITEM 180 Accidents du travail et maladies
gonococcies, chlamydioses, professionnelles 706
syphilis, papillomavirus humain,
trichomonose 588
XIV NÉPHROLOGIE
ITEM 159 Coqueluche 596
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG
ITEM 161 Oreillons 598
ITEM 197 Transplantation d'organes 711
ITEM 162 Grippe 600
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 165 Infection à VIH 602
ITEM 255 Élévation de la créatininémie 718
ITEM 166 Paludisme 617
ITEM 256 Protéinurie et syndrome néphrotique 720
ITEM 168 Parasitoses digestives : giardiase,
téniasis, ascaridiose, oxyurose, amibiase 622 ITEM 257 Hématurie 724
ITEM 169 Zoonoses 625 ITEM 258 Néphropathie glomérulaire 726
ITEM 170 Pathologie infectieuse chez les migrants 632 ITEM 259 Néphropathie interstitielle chronique 731
ITEM 171 Voyage en pays tropical 635 ITEM 260 Néphropathies vasculaires 734
ITEM 174 Risques émergents, bioterrorisme, ITEM 261 Insuffisance rénale chronique 736
maladies hautement transmissibles 643
ITEM 263 Polykystose rénale autosomique dominante 740
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG ITEM 265 Troubles de l'équilibre acido-basique
ITEM 185 Déficit immunitaire 646 et désordres hydroélectrolytiques 743
ITEM 186 Fièvre prolongée 650 ITEM 343 Insuffisance rénale aiguë. Anurie 751
ITEM 91 Compression médullaire non traumatique ITEM 88 Pathologie des glandes salivaires 886
et syndrome de la queue-de-cheval 766
ITEM 101 Vertige 888
ITEM 94 Neuropathie périphérique 769
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 95 Polyradiculonévrite aiguë 775 SANITAIRES – SANTÉ DU TRAVAIL
ITEM 96 Myasthénie 778 ITEM 145 Infections nasosinusiennes 890
ITEM 97 Migraine, algie de la face et névralgie ITEM 146 Angines et pharyngites 892
du trijumeau 781
ITEM 147 Otalgies et otites 894
ITEM 98 Céphalée aiguë et chronique 786
ITEM 99 Paralysie faciale 790 XVIII ORTHOPÉDIE
ITEM 100 Diplopie 792 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 102 Sclérose en plaques 795 ITEM 329 Polytraumatisé, traumatisé oculaire,
du rachis, thoracique, abdominal,
ITEM 103 Épilepsie 800
des membres, plaie des parties molles, brûlé 899
ITEM 104 Maladie de Parkinson 808
ITEM 330 Traumatisé cranio-facial 910
ITEM 105 Mouvements anormaux 812
ITEM 357 Lésions ligamentaires et méniscales
ITEM 107 Troubles de la marche et de l'équilibre 817 du genou, de la cheville et de l'épaule,
fracture bi-malléolaire 914
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES ITEM 358 Prothèses articulaires et ostéosynthèses 924
SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 359 Fractures fréquentes de l'adulte
ITEM 148 Méningites, méningo-encéphalites 820 et du sujet âgé 927
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS ITEM 360 Fractures chez l'enfant 931
ITEM 331 Coma non traumatique 829 ITEM 361 Malade sous plâtre 936
ITEM 335 Accidents vasculaires cérébraux 832
XIX PÉDIATRIE
ITEM 336 Hémorragie méningée 840
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE
ITEM 337 Malaise, perte de connaissance, DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT
crise comitiale de l'adulte 843
ITEM 31 Nouveau-né à terme : évaluation et soins 941
ITEM 338 État confusionnel et trouble de conscience 847
ITEM 44 Suivi d'un nourrisson, d'un enfant
et d'un adolescent normal 945
XVI OPHTALMOLOGIE ITEM 45 Alimentation et besoins nutritionnels
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE du nourrisson et de l'enfant 952
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT ITEM 47 Puberté normale et pathologique 954
ITEM 50 Strabisme de l'enfant 851 ITEM 49 Troubles de la miction chez l'enfant 958
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ ITEM 51 Retard de croissance staturo-pondérale 961
ITEM 79 Altération de la fonction visuelle 853 ITEM 52 Boiterie et troubles de la démarche
chez l'enfant 963
ITEM 80 Anomalies de la vision d'apparition brutale 860
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
ITEM 81 Œil rouge et/ou douloureux 864 CONDUITES ADDICTIVES
ITEM 82 Glaucome chronique 870 ITEM 53 Développement psychomoteur
ITEM 83 Troubles de la réfraction 872 Troubles de l'apprentissage
Relation mère-enfant 965
ITEM 84 Pathologie des paupières 874
ITEM 55 Maltraitance et enfants en danger
Protection maternelle et infantile 971
XVII ORL – STOMATOLOGIE ITEM 66 Troubles du comportement de l'adolescent 974
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE –
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
ITEM 46 Développement buccodentaire et anomalies 879 ITEM 134 Douleur chez l'enfant : sédation
et traitements antalgiques 977
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 85 Épistaxis 881 SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 87 Altération de la fonction auditive 883 ITEM 160 Maladies éruptives de l'enfant 979
XVI
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ
ITEM 135 Douleur en santé mentale 1219 ITEM 20 Interprétation d'une enquête
épidémiologique 1316
ITEM 141 Deuil normal et pathologique 1223
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 57 Sujets en situation de précarité 1318
ITEM 346 Agitation et délire aigus 1225
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES –
ITEM 347 Crise d'angoisse aiguë et attaque SANTÉ AU TRAVAIL
de panique 1228
ITEM 175 Risques sanitaires liés à l'eau
ITEM 348 Risque et conduite suicidaires 1230 et à l'alimentation
Toxi-infections alimentaires 1321
ITEM 196 Douleur et épanchement articulaire ITEM 342 Rétention aiguë d'urine 1358
Arthrite d'évolution récente 1297
ITEM 207 Sarcoïdose 1303 Index 1361
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Items du programme de DFASM
1 La relation médecin-malade dans le cadre du colloque 28 Connaître les principaux risques professionnels pour la
singulier ou au sein d'une équipe, le cas échéant plu- maternité, liés au travail de la mère. p. 695
riprofessionnelle. La communication avec le patient 29 Prématurité et retard de croissance intra-utérin : fac-
et son entourage. L'annonce d'une maladie grave teurs de risque et prévention. p. 340
ou létale ou d'un dommage associé aux soins. La for- 30 Accouchement, délivrance et suites de couches nor-
mation du patient. La personnalisation de la prise en males. p. 343
charge médicale. p. 3 31 Évaluation et soins du nouveau-né à terme. p. 941
2 Les valeurs professionnelles du médecin et des autres 32 Allaitement maternel. p. 346
professions de santé. p. 5 33 Suites de couches pathologiques : pathologie mater-
3 Le raisonnement et la décision en médecine. La méde- nelle dans les 40 jours. p. 348
cine fondée sur les preuves (Evidence Based Medicine, 34 Anomalies du cycle menstruel. Métrorragies. p. 349
EBM). La décision médicale partagée. p. 7 35 Contraception. p. 350
4 La sécurité du patient. La gestion des risques. Les évé- 36 Interruption volontaire de grossesse. p. 354
nements indésirables associés aux soins (EIAS). p. 10 37 Stérilité du couple : conduite de la première consulta-
5 La gestion des erreurs et des plaintes ; l'aléa thérapeu- tion. p. 356
tique. p. 16 38 Assistance médicale à la procréation : principaux
6 L'organisation de l'exercice clinique et les méthodes aspects biologiques, médicaux et éthiques. p. 358
qui permettent de sécuriser le parcours du patient. 39 Algies pelviennes chez la femme. p. 360
p. 18 40 Aménorrhée. p. 362
7 Les droits individuels et collectifs du patient. p. 667 41 Hémorragie génitale chez la femme. p. 366
8 Éthique médicale. p. 671 42 Tuméfaction pelvienne chez la femme. p. 369
9 Certificats médicaux. Décès et législation. Prélèvements 43 Problèmes posés par les maladies génétiques, à
d'organes et législation. p. 676 propos :
10 Violences sexuelles. p. 680 – d'une maladie chromosomique : la trisomie 21 ;
11 Soins psychiatriques sans consentement. p. 1153 – d'une maladie génique : la mucoviscidose ;
12 Responsabilités médicale pénale, civile, administrative – d'une maladie d'instabilité : le syndrome de l'X fra-
et disciplinaire. p. 682 gile. p. 370
13 Principes d'une démarche qualité et évaluation des 44 Suivi d'un nourrisson, d'un enfant et d'un adolescent
pratiques professionnelles. p. 20 normal. Dépistage des anomalies orthopédiques, des
14 Formation tout au long de la vie. Analyse critique troubles visuels et auditifs. Examens de santé obli-
d'une information scientifique et médicale. Gestion gatoires. Médecine scolaire. Mortalité et morbidité
des liens d'intérêt. p. 22 infantiles. p. 945
15 Organisation du système de soins. Sa régulation. Les 45 Alimentation et besoins nutritionnels du nourrisson et
indicateurs. Parcours de soins. p. 24 de l'enfant. p. 952
16 La Sécurité sociale. L'Assurance maladie. Les assurances 46 Développement buccodentaire et anomalies. p. 879
complémentaires. La couverture médicale univer- 47 Puberté normale et pathologique. p. 954
selle. La consommation médicale. Protection sociale. 48 Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez
Consommation médicale et économie de la santé. p. 27 l'homme. p. 1331
17 Le système conventionnel. p. 32 49 Troubles de la miction chez l'enfant. p. 958
18 La méthodologie de la recherche expérimentale et cli- 50 Strabisme de l'enfant. p. 851
nique. p. 991 51 Retard de croissance staturo-pondérale. p. 961
19 Mesure de l'état de santé de la population. p. 1313 52 Boiterie chez l'enfant. p. 963
20 Interprétation d'une enquête épidémiologique. 53 Développement psychomoteur du nourrisson et de
p. 1316 l'enfant : aspects normaux et pathologiques (sommeil,
21 Examen prénuptial. p. 317 alimentation, contrôles sphinctériens, psychomotri-
22 Grossesse normale. p. 318 cité, langage, intelligence). L'installation précoce de
23 Principales complications de la grossesse. p. 321 la relation parents-enfant et son importance. Troubles
24 Grossesse extra-utérine. p. 327 de l'apprentissage (voir item 118). p. 965
25 Douleur abdominale aiguë chez une femme enceinte. 54 L'enfant handicapé : orientation et prise en charge
p. 329 (voir items 115, 117). p. 381
26 Prévention des risques fœtaux : infection, médica- 55 Maltraitance et enfants en danger. Protection mater-
ments, toxiques, irradiation. p. 330 nelle et infantile. p. 971
27 Connaître les particularités de l'infection urinaire au 56 Sexualité normale et ses troubles. p. 1157
cours de la grossesse. p. 338 57 Sujets en situation de précarité. p. 1318
XX
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM
134 Douleur chez l'enfant : évaluation et traitements 164 Infections à herpès virus du sujet immunocompétent.
antalgiques. p. 977 p. 256
135 Douleur en santé mentale. p. 1219 165 Infections à VIH. p. 602
136 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 166 Paludisme. p. 617
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, 167 Gale et pédiculose. p. 257
chronique ou létale (1). Principaux repères cliniques. 168 Parasitoses digestives : giardiose, amoebose, téniasis,
Modalités d'organisation des équipes, en établisse- ascaridiose, oxyurose. p. 622
ment de santé et en ambulatoire. p. 38 169 Zoonoses. p. 625
137 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 170 Pathologie infectieuse chez les migrants adultes et
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, enfants. p. 632
chronique ou létale (2). Accompagnement de la per- 171 Voyage en pays tropical de l'adulte et de l'enfant :
sonne malade et de son entourage. Principaux repères conseils avant le départ, pathologies du retour (fièvre,
éthiques. p. 41 diarrhée, manifestations cutanées). p. 635
138 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 172 Diarrhées infectieuses de l'adulte et de l'enfant. p. 484
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, 173 Prescription et surveillance des anti-infectieux chez
chronique ou létale (3). La sédation pour détresse en l'adulte et l'enfant (voir item 326). p. 1018
phase terminale et dans des situations spécifiques et 174 Risques émergents, bioterrorisme, maladies haute-
complexes en fin de vie. Réponse à la demande d'eu- ment transmissibles. p. 643
thanasie ou de suicide assisté. p. 48 175 Risques sanitaires liés à l'eau et à l'alimentation. Toxi-
139 Connaître les aspects spécifiques des soins palliatifs en infections alimentaires. p. 1321
pédiatrie. p. 45 176 Risques sanitaires liés aux irradiations. Radioprotec-
140 Connaître les aspects spécifiques des soins palliatifs en tion. p. 1324
réanimation. p. 47 177 La sécurité sanitaire des produits destinés à l'homme.
141 Deuil normal et pathologique. p. 1223 La veille sanitaire (voir item 322). p. 1327
142 Surveillance des maladies infectieuses transmissibles. 178 Environnement professionnel et santé au travail. p. 697
p. 561 179 Organisation de la médecine du travail. Prévention
143 Vaccinations. p. 1008 des risques professionnels. p. 700
144 Fièvre aiguë chez l'enfant et l'adulte. p. 565 180 Accidents du travail et maladies professionnelles :
145 Infections nasosinusiennes de l'adulte et de l'enfant. définitions et enjeux. p. 706
p. 890 181 Réaction inflammatoire : aspects biologiques et cli-
146 Angines de l'adulte et de l'enfant et rhinopharyngites niques. Conduite à tenir. p. 1254
de l'enfant. p. 892 182 Hypersensibilités et allergies chez l'enfant et l'adulte :
147 Otites infectieuses de l'adulte et de l'enfant. p. 894 aspects physiopathologiques, épidémiologiques, dia-
148 Méningites, méningo-encéphalites chez l'adulte et gnostiques et principes de traitement. p. 1106
l'enfant. p. 820 183 Hypersensibilités et allergies cutanéomuqueuses chez
149 Endocardite infectieuse. p. 570 l'enfant et l'adulte. Urticaire, dermatites atopique et
150 Surveillance des porteurs de valve et prothèses vascu- de contact. p. 1259
laires. p. 117 184 Hypersensibilité et allergies respiratoires chez l'enfant
151 Infections broncho-pulmonaires communautaires de et chez l'adulte. Asthme, rhinite. p. 1111
l'adulte et de l'enfant. p. 1099 185 Déficit immunitaire. p. 646
152 Infections cutanéomuqueuses et des phanères, bacté- 186 Fièvre prolongée. p. 650
riennes et mycosiques de l'adulte et de l'enfant. p. 248 187 Fièvre chez un patient immunodéprimé. p. 653
153 Infections ostéoarticulaires (IOA) de l'enfant et de 188 Pathologies auto-immunes : aspects épidémiologiques,
l'adulte. p. 1249 diagnostiques et principes de traitement. p. 1259
154 Septicémie / bactériémie / fongémie de l'adulte et de 189 Connaître les principaux types de vascularite systé-
l'enfant. p. 575 mique, les organes cibles, les outils diagnostiques et
155 Tuberculose de l'adulte et de l'enfant. p. 580 les moyens thérapeutiques. p. 1266
156 Tétanos. p. 588 190 Lupus érythémateux disséminé. Syndrome des anti-
157 Infections urinaires de l'enfant et de l'adulte. p. 1346 phospholipides. p. 1271
158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : gono- 191 Artérite à cellules géantes. p. 1278
coccies, chlamydioses, syphilis, papillomavirus humain 192 Polyarthrite rhumatoïde. p. 1282
(HPV), trichomonose. p. 588 193 Spondylarthrite inflammatoire. p. 1287
159 Coqueluche. p. 596 194 Arthropathie microcristalline. p. 1292
160 Exanthèmes fébriles de l'enfant. p. 979 195 Syndrome douloureux régional complexe (ex. : algo-
161 Oreillons. p. 598 dystrophie). p. 1295
162 Grippe. p. 600 196 Douleur et épanchement articulaire. Arthrite d'évolu-
163 Hépatites virales. p. 471 tion récente. p. 1297
XXII
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM
284 Diverticulose colique et diverticulite aiguë du sig- recherche clinique et niveaux de preuve (voir item 3).
moïde. p. 212 p. 1054
285 Pathologie hémorroïdaire. p. 547 321 Éducation thérapeutique, observance et automédica-
286 Hernie pariétale chez l'enfant et l'adulte. p. 216 tion. p. 1057
287 Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et 322 Identification et gestion des risques liés aux médica-
dépistage des cancers. p. 47 ments et aux biomatériaux, risque iatrogène, erreur
288 Cancer : cancérogenèse, oncogénétique. p. 52 médicamenteuse (voir items 4 et 5). p. 1060
289 Diagnostic des cancers : signes d'appel et investigations 323 Cadre réglementaire de la prescription thérapeutique
paracliniques ; caractérisation du stade ; pronostic. p. 56 et recommandations pour le bon usage. p. 1065
290 Le médecin préleveur de cellules et/ou de tissus pour 324 Thérapeutiques non médicamenteuses et dispositifs
des examens d'anatomie et cytologie pathologiques : médicaux. p. 1074
connaître les principes de réalisation, transmission et 325 Transfusion sanguine et produits dérivés du sang :
utilisation des prélèvements à visée sanitaire et de indications, complications. Hémovigilance. p. 1078
recherche. p. 59 326 Prescription et surveillance des classes de médica-
291 Traitement des cancers : chirurgie, radiothérapie, ments les plus courantes chez l'adulte et chez l'en-
traitements médicaux des cancers (chimiothérapie, fant. Connaître pour chacune les mécanismes d'action
thérapies ciblées, immunothérapie). La décision thé- de classe et des produits individuels, les principes du
rapeutique pluridisciplinaire et l'information du bon usage, les critères de choix d'un médicament en
malade. p. 62 première intention, les causes d'échec, les principaux
292 Prise en charge et accompagnement d'un malade can- effets indésirables et interactions. p. 1082
céreux à tous les stades de la maladie dont le stade de 327 Arrêt cardiocirculatoire. p. 182
soins palliatifs en abordant les problématiques tech- 328 État de choc. Principales étiologies : hypovolémique,
niques, relationnelles, sociales et éthiques. Traitements septique (voir item 154), cardiogénique, anaphylac-
symptomatiques. Modalités de surveillance. p. 71 tique. p. 184
293 Agranulocytose médicamenteuse : conduite à tenir. 329 Prise en charge immédiate pré-hospitalière et à l'arri-
p. 449 vée à l'hôpital, évaluation des complications chez : un
294 Cancer de l'enfant : particularités épidémiologiques, brûlé, un polytraumatisé, un traumatisé abdominal,
diagnostiques et thérapeutiques. p. 74 un traumatisé des membres, un traumatisé du rachis,
295 Tumeurs de la cavité buccale, nasosinusiennes et du un traumatisé thoracique, un traumatisé oculaire, un
cavum, et des voies aérodigestives supérieures. p. 76 patient ayant une plaie des parties molles. p. 899
296 Tumeurs intracrâniennes. p. 76 330 Orientation diagnostique et conduite à tenir devant
297 Tumeurs du col utérin, tumeur du corps utérin. p. 79 un traumatisme cranio-facial. p. 910
298 Tumeurs du côlon et du rectum. p. 81 331 Coma non traumatique chez l'adulte et chez l'enfant.
299 Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques. p. 84 p. 829
300 Tumeurs de l'estomac. p. 88 332 Principales intoxications aiguës. p. 683
301 Tumeurs du foie, primitives et secondaires. p. 89 333 Œdème de Quincke et anaphylaxie. p. 272
302 Tumeurs de l'œsophage. p. 91 334 Syndromes coronariens aigus. p. 187
303 Tumeurs de l'ovaire. p. 92 335 Accidents vasculaires cérébraux. p. 832
304 Tumeurs des os primitives et secondaires. p. 94 336 Hémorragie méningée. p. 840
305 Tumeurs du pancréas. p. 97 337 Malaise, perte de connaissance, crise comitiale chez
306 Tumeurs du poumon, primitives et secondaires. p. 98 l'adulte. p. 843
307 Tumeurs de la prostate. p. 102 338 État confusionnel et trouble de conscience chez
308 Tumeurs du rein. p. 104 l'adulte et chez l'enfant. p. 846
309 Tumeurs du sein. p. 105 339 Prise en charge d'une patiente atteinte de pré-
310 Tumeurs du testicule. p. 110 éclampsie. p. 377
311 Tumeurs vésicales. p. 112 340 Malaise grave du nourrisson et mort subite. p. 981
312 Leucémies aiguës. p. 451 341 Convulsions chez le nourrisson et chez l'enfant. p. 985
313 Syndromes myélodysplasiques. p. 452 342 Rétention aiguë d'urine. p. 1358
314 Syndromes myéloprolifératifs. p. 454 343 Insuffisance rénale aiguë – Anurie. p. 751
315 Leucémies lymphoïdes chroniques. p. 459 344 Infection aiguë des parties molles (abcès, panaris,
316 Lymphomes malins. p. 460 phlegmon des gaines). p. 657
317 Myélome multiple des os. p. 463 345 Grosse jambe rouge aiguë. p. 274
318 Principe du bon usage du médicament et des théra- 346 Agitation et délire aigus. p. 1225
peutiques non médicamenteuses. p. 1045 347 Crise d'angoisse aiguë et attaque de panique. p. 1228
319 La décision thérapeutique personnalisée : bon usage 348 Risque et conduite suicidaires chez l'enfant, l'adolescent
dans des situations à risque. p. 1047 et l'adulte : identification et prise en charge. p. 1230
320 Analyser et utiliser les résultats des études cliniques 349 Syndrome occlusif de l'enfant et de l'adulte. p. 218
dans la perspective du bon usage - analyse critique, 350 Hémorragie digestive. p. 549
XXIV
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM
CTINILS comité technique national des infections ECNi épreuves classantes nationales informatisées
nosocomiales et des infections liées aux soins ECPA échelle comportementale de la douleur chez
CV charge virale la personne âgée
CV capacité vitale EEG électroencéphalogramme
DALA déficit androgénique lié à l'âge EFG Établissement français des greffes
DBAI dermatose bulleuse auto-immune EFR épreuves fonctionnelles respiratoires
DCI dénomination commune internationale EGF epithelial growth factor
DCS dépense courante de santé EGFR récepteur de l'EGF, appelé aussi HER1
DDASS direction départementale de l'action sani- EI endocardite infectieuse
taire et sociale EI événement indésirable
DDB dilatation des bronches EIAS événement indésirable associé aux soins
DDCCRF direction départementale de la concurrence, EIG événement indésirable grave
consommation et répression des fraudes EMSP équipe mobile de soins palliatifs
DDR date des dernières règles ENS échelle numérique simple
DDV direction départementale des services EOH équipe opérationnelle en hygiène
vétérinaires EP embolie pulmonaire
DEGR Douleur Enfant Gustave Roussy EPL emphysème panlobulaire
DEP débit expiratoire de pointe EPO érythropoïétine
DFG débit de filtration glomérulaire EPP évaluation des pratiques professionnelles
DFT déficit fonctionnel temporaire EPR événement porteur de risque
DGS Direction générale de la santé EPS électrophorèse des protéines sériques
DH déshydratation EPS examen parasitologique des selles
DHA déhydroépiandrostènedione EPU électrophorèse des protéines urinaires
DHB dermohypodermite bactérienne EPU examen parasitologique des urines
DHEA déhydroépiandrostérone EREA établissements régionaux d'enseignement
DHEC déshydratation extracellulaire adapté
DHIC déshydratation intracellulaire ESA extrasystole auriculaire
DI déficit immunitaire ESV extrasystole ventriculaire
DICV déficit immunitaire commun variable ETO échocardiographie transœsophagienne
DIU dispositif intra-utérin ETT échocardiographie transthoracique
DLCO diffusion pulmonaire du monoxyde de EVA échelle visuelle analogique
carbone EVS échelle verbale simple
DMLA dégénérescence maculaire liée à l'âge FA fibrillation atriale
DMO densité minérale osseuse FBH fièvre bilieuse hémoglobinurique
DNS dépense nationale de santé FC fréquence cardiaque
DOPA dihydroxyphénylalanine FCS fausse couche spontanée
DPC développement professionnel continu FDR facteur de risque
DPM dermatopolymyosite FDR CV facteur de risque cardiovasculaire
DR décollement de la rétine FEVG fraction d'éjection du ventricule gauche
DRASS direction régionale des affaires sanitaires et FHO facteur humain et organisationnel
sociales FID fosse iliaque droite
DROM département et région d'outre-mer FIG fosse iliaque gauche
DS déviation standard FiO2 fraction inspirée d'oxygène
DSM Diagnostic and Statistical Manual of Mental FIPHFP Fonds pour l'insertion des personnes handica-
Disorders pées dans la fonction publique
DT delirium tremens FIV fécondation in vitro
EBH épidermolyse bulleuse héréditaire FMC formation médicale continue
EBLSE entérobactérie productrice de BLSE FMR1 fragile X mental retardation 1
EBNA Epstein-Barr nuclear antigen FMRP fragile X mental retardation protein
EBV virus d'Epstein-Barr FN faux négatif
ECBC examen cytobactériologique des crachats FN fasciite nécrosante
ECBU examen cytobactériologique des urines FO fond d'œil
ECC embole de cristaux de cholestérol FOGD fibroscopie œsogastroduodénale
ECG électrocardiogramme FP faux positif
ECHO virus orphelin humain cytopathogène FPI fibrose pulmonaire idiopathique
entérique FR fréquence respiratoire
ECL emphysème centrolobulaire FSH hormone folliculo-stimulante
XXVIII
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE
▶ Composition
heures de plus
▶ Avoir son matériel :
Epreuves Constitution Durée Part de la note ▪ préparé la veille
finale
▪ en double : cas de panne de stylo
Dossiers 3 parties de chacune 3×3h 70 % ▪ stylo, crayon, gomme, surligneur
cliniques 6 dossiers suivis (3 × 6 × 420 = 7560)
Progressifs (DCP) de 13 à 17 QCM chacun ▪ une montre
▪ à boire et à manger
QCM isolés 120 QCM 3h 20 %
(120 × 18 = 2160) ▶ Ne pas avoir de matériel interdit :
▪ téléphone portable
Lecture critique 2 articles 3h 10 %
d'articles (LCA) (un clinique, (2 × 540) ▪ calculette
un physiopathologique), ▪ tablette personnelle
chacun suivi de 13 à ▪ dictionnaire
17 QCM
▪ bouchons d'oreille personnels : proposés sur place
▪ papier de brouillon personnel : donné sur place
▶ Enoncé et réponse sur tablettes informatiques :
▶ Arriver avec quelques minutes d'avance
▪ sans document - papier sauf 2 articles de LCA
▶ Aller aux toilettes
▪ correction d'une réponse à un QCM précédent :
▶ Rester calme :
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▪ se répéter qu'on a bien travaillé, donc qu'on va réussir
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▪ éviter le contact d'étudiants mal préparés, négatifs ou anxieux
▶ Correction informatisée :
▪ relaxation : respirer profondément, boire doucement…
▪ avantage : correction automatisée, rapide, objective et
▶ Ne pas se laisser distraire :
homogène
▪ bouchons d'oreille : fournis sur place
▪ défauts :
▪ repousser les idées parasites
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▶ Lire attentivement les questions et instructions
�� ���������������������������������������������������������
▶ Dans les épreuves de dossier et de LCA :
de sa capacité à rédiger
▪ lire rapidement l'épreuve en prenant des notes
PREPARATION ▪ pour avoir des idées et voir les difficultés
▶ Acquérir les connaissances nécessaires : ▶ Répondre aux questions les plus faciles en premier et aux
▪ régulièrement : pas de bachotage (gain faible, stress) plus difficiles en dernier :
▪ en révisant plusieurs fois ▪ ne pas perdre de temps
▶ S'entraîner aux QCM en temps limité : ▪ se rassurer en voyant qu'on avance
▪ pour acquérir des automatismes ▪ s'assurer de ne pas avoir oublié de répondre à certaines
▪ pour trouver la bonne vitesse : être plus rapide, mais pas questions
trop (pour éviter certaines erreurs) ▶ En fin d'épreuve :
▪ pour ne pas être déstabilisé durant les épreuves ▪ utiliser tout le temps disponible
▪ relire et corriger les erreurs dans l'épreuve de QCM isolés
▪ ne pas se laisser distraire par les étudiants quittant la
salle
▶ Etre attentif aux :
▪ détails de l'énoncé
▪ mots négatifs : « ne (…) pas »…
▪ mots quantifieurs :
�� ���������������������������������������������
�� ��������� ��� ������� �� ���������� ��� ������ ����������� ���-
dant l'affirmation souvent fausse sauf si elle correspond
à une définition
▪ conjonctions : et, ou…
▪ affirmations à plusieurs parties : pour être vraie, chaque
1. QCM : questionnaire à choix multiples. partie doit être vraie
I
Apprentissage
de l'exercice médical
SOMMAIRE
UE 1
APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL ET DE LA COOPÉRATION
INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 1 Relation médecin-malade 3
ITEM 2 Valeurs professionnelles 5
ITEM 3 Le raisonnement et la décision en médecine 7
ITEM 4 Sécurité du patient 10
ITEM 5 Gestion des erreurs et des plaintes.
Aléa thérapeutique 16
ITEM 6 Organisation de l'exercice clinique
et méthodes permettant de sécuriser
le parcours du patient 18
ITEM 13 Démarche d'assurance qualité.
Évaluation des pratiques professionnelles 20
ITEM 14 Formation tout au long de la vie 22
ITEM 15 Organisation du système de soins 24
ITEM 16 Protection sociale.
Consommation médicale et économie
de la santé 27
ITEM 17 Système conventionnel 32
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3
UE 1
Relation médecin-malade
Objectifs Bases de la communication, établissement d'une relation, annonce d'une maladie grave,
d'un handicap ou d'un décès, projet pédagogique pour l'éducation du malade
▪ conformes à l'état actuel de la science ; ▶ Informations : claires, suffisantes, fournies au bon moment.
▪ adaptés au patient. ▶ Politesse, respect, prise en compte des autres professionnels.
ECNi LE TOUT-EN-UN
© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
4 UE 1 ITEM 1
CONSEILS D'ANNONCE
▶ Circonstances : calme et disponibilité.
▶ Évaluation du patient et adaptation :
▪ que sait-il ? Que pense-t-il de son état ? Que veut-il savoir
s'il s'agit d'un problème grave ? Tous les détails ?
▪ terrain : personnalité, histoire, situation affective et
familiale, représentations de la maladie, environnement
socioculturel…
▶ Existence d'une personne de confiance ? Consultée et infor-
l'empathie nécessaire.
▶ Représentation de la maladie pour le médecin.
▶ Angoisse face à la réaction du patient.
▶ Mise en cause de l'idéal professionnel : formulation des
UE 1
Valeurs professionnelles
ECNi LE TOUT-EN-UN
© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
6 UE 1 ITEM 2
▶ Pédicure-podologue.
APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
UE 1
Le raisonnement et la décision en médecine
ECNi LE TOUT-EN-UN
© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
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werden. Die „méchanceté“, die Schlechtigkeit, und die „noirceurs“,
die heimtückischen Streiche werden Mode in der Liebe, die
verbrecherische Gesinnung („scélératesse“) wird ein notwendiger
Bestandteil des Liebesgenusses.[130] „Die Wollust wird eine Kunst
der Grausamkeit, der Treulosigkeit, des Verrats und der Tyrannei.
Der Macchiavellismus beherrscht die Liebe.“ Kurz vor der Revolution
treten nach den „petits maîtres“ der Liebe die „grands maîtres“ der
Perversität auf, die herzlosen Verteidiger der theoretischen und
praktischen Immoralität. Menschen ohne Gewissen, freche Heuchler,
die jede Gelegenheit zu ihren Untaten benutzen, die mit kaltem Blute
überlegen, welche „horreurs“ sie begehen wollen, die vor nichts
zurückschrecken, und nur verführen, um zu verderben. Die Typen
der Gestalten Sades lebten! Darüber kann kein Zweifel bestehen.
Und sie fanden in den entarteten Frauen bei ihren Schandtaten
Helferinnen, die noch schlimmer waren als sie selbst. „Das Rouétum
steigerte sich in einigen fürchterlichen Frauen bis zum
Satanismus.“[131] Diese Scheusale marterten die anständige Frau,
deren Tugend ihnen zuwider war, sie liessen meuchelmörderisch
und in boshafter Freude die Gegenstände ihres Hasses, aber auch
ihrer — Liebe aus dem Wege räumen. Sie verkörperten die Wollust
des Bösetuns, die „libertinage des passions méchantes.“[132]
Man glaube nicht, sagen die sonst so schönmalenden Goncourts,
dass diese Typen Gebilde der Phantasie seien. Es sind wirkliche
Menschen, die dieser Gesellschaft das Gepräge geben, deren
Existenz durch zahlreiche Persönlichkeiten bezeugt wird. Die
Goncourts nennen den Herzog von Choiseul, den Marquis de
Louvois, den seine Geliebte, Madame de Blot, folternden Grafen de
Frise als solche männliche Wollust-Teufel. Und eine vornehme
Dame von Grenoble, die Marquise L. T. D. P. M., war das weibliche
Gegenstück dieser Helden, vielleicht ein Vorbild für Sades Juliette.
[133] Die Schreckenszeit war für die Liebe schon vor der
Schreckensherrschaft der grossen Revolution angebrochen, noch
bevor Sade, berauscht von dem in Strömen fliessenden Blute auf
den Guillotinen, in den merkwürdigsten literarischen Dokumenten
das ausmalte, was jener mordsüchtigen Zeit nicht fremd war: la
Terreur dans l’Amour! Und als in der Schreckenszeit unter
Chaumettes Leitung die „theosophischen Orgien der Wollust“
gefeiert wurden, als die „Göttinnen der Vernunft“ wie die Maillard, die
Moncoro, die Aubry auf sehr irdische Weise verehrt wurden, da
erschienen auch urplötzlich die „tricoteuses de Robespierre“, die
„flagelleuses“ und die schrecklichen „furies de guillotine“.
Da werden Weiber zu Hyänen
Und treiben mit Entsetzen Scherz;
Noch zuckend, mit des Panthers Zähnen,
Zerreissen sie des Feindes Herz,
Die „Foutromanie“ ist das Glück der Götter, das ihnen die
Langeweile vertreibt. Aber auch die Menschen macht sie glücklich.
Der Verfasser eröffnet den Reigen dieser Glücklichen mit Fräulein
Dubois, einer Schauspielerin der Comédie Française. Dann folgen
die Damen Arnoux und Clairon, letztere mit dem Grafen Valbelle,
Madame Allard mit dem Duc de Mazarin. Auch die Opernsängerin
Fräulein Vestris hat ihre Freude daran. Gegen Ende dieses ersten
Gesanges erscheinen die Herzoginnen und Hofdamen, die sich mit
ihren Lakaien vergnügen. Zuletzt wird die unersättliche Libido der
alten Polignac de Paulien geschildert.
Der zweite Gesang beginnt mit der Beschreibung der Reize einer
jungen Anfängerin, welche der Leidenschaft eines jungen Wüstlings
zum Opfer fällt. Eingeschaltet wird ein Gedicht „Père Chrysostome“
gegen die sexuellen Ausschweifungen in den Klöstern. Weiter dringt
ein von Satyriasis Ergriffener in ein Nonnenkloster ein. Hier folgt ein
Ausfall gegen Tribadie und Paederastie. Der alte Duc d’Elbœuf war
einer der ersten, der die Secte der Paederasten nach Frankreich
einführte. Zum Schluss Excurs über Syphilis.
Der dritte Gesang ist fast ganz der Rolle der Syphilis in der Liebe
gewidmet. Zuerst wird die hohe Vollendung in der Heilkunst dieses
galanten Leidens gepriesen; die „syphilitischen Liebeshelden“
werden gefeiert, insbesondere die am Mal de Naples leidenden
Prälaten. Herr de Montazet, Erzbischof von Lyon, wird hier im Verein
mit der Duchesse de Mazarin genannt. Nach höchst indezenten
Aeusserungen über den Herzog von Orléans und Madame de
Montesson wird die Liaison zwischen der verstorbenen Herzogin von
Orléans und den Herren de l’Aigle und de Melfort enthüllt, welche
letzteren von der Herzogin syphilitisch angesteckt wurden. Der Prinz
de Beauffremont fiel in Ungnade, weil er sich mit einem Schweizer
abgab. Am Schlusse Lob des Aretino, des Erfinders der „plastischen
Stellungen“.
Der vierte Gesang ist ein Loblied auf das Bordell. Die
berühmtesten Kupplerinnen und Bordellwirtinnen werden vorgeführt,
so die Paris, Carlier, Rokingston, Montigny, d’Héricourt und
Gourdan. Beschreibung der wollüstigen Orgien an diesen infamen
Orten. „Bett und Tisch“ müssen sich folgen, daher sind die
deutschen Frauen geeigneter für die „Foutromanie“. Der Autor
verwünscht Italien, wo er Geld und Gesundheit verloren hat.
Im fünften Gesang werden zunächst die Syphilophoben ermutigt.
Alle Frauen haben ja nicht die Syphilis. Montesquieu war im Feuer
ebenso wie Rousseau und Marmontel. Grosses Lob des Dorat, des
„poète foutromane“. Exkurs über die Holländer, die nur das Geld
lieben. Schilderung der unkeuschen Kardinäle. Spinola schläft bei
Palestrina, Albani bei Altieri, Bernis bei Saint-Croix, Borghese ist
B..... Auch die Kaiserinnen Maria Theresia und Katharina II.
verstehen ihre Sache, ebenso der König von Polen und die
verstorbene Königin von Dänemark. Es ist nur ein Jammer, dass die
„Dames de France“, die Tanten Ludwigs XVI. im Zölibat leben.
Agyroni ist der Held des sechsten Gesanges[176]. Dieser
Charlatan hat den Verfasser wohl von einem galanten Leiden
geheilt. Zahlreiche medizinische Details wie in Robés Gedicht über
Syphilis. Schliesslich wird wieder die „Foutromanie“ gepriesen als
die Seele des Weltalls.[177]
Das zweite Gedicht „Parapilla“ ist eine Uebersetzung des
italienischen Originals „La Novella dell’ Angelo Gabriello oder Il
Cazzo“ (= Phallus),[178] ein Wort, welches Papst Benedikt XIV.
beständig im Munde hatte. Als ihm ein Höfling die Schmutzigkeit des
Wortes vorhielt, erwiderte er: „Cazzo, cazzo! Ich werde es so oft
sagen, bis es nicht mehr schmutzig ist.“ Das französische Gedicht
besteht aus fünf Gesängen, deren Inhalt ganz kurz dieser ist:
Rodric empfängt vom Himmel ein gewisses Instrument, das alle
Damen beglückt. Zunächst in Florenz die berühmte Donna Capponi.
Dann gerät es in ein Nonnenkloster, in die Hände der Lucrezia, der
Tochter Alexanders VI. Hierbei werden die Ausschweifungen in Rom
unter diesem Papste geschildert, und das Gedicht schliesst mit
einem obscönen Gespräch zwischen ihm und seiner Tochter.
Erwähnen wir noch, dass ein gewisses Incitamentum amoris, das
in den Romanen des Marquis de Sade eine grosse Rolle spielt,
sogar in einem eignen Poem als solches gepriesen wurde.[179]
Wir konnten nur das Allerwichtigste aus der erotischen Literatur
des 18. Jahrhunderts flüchtig berühren. Der Einfluss derselben auf
die Sitten war gewaltig, und der Marquis de Sade selbst hat diesen
Einfluss der Litteratur empfunden. Er hat selbst eine treffende
Charakteristik derselben zu geben versucht, die erkennen lässt,
dass er die Bedeutung dieser pornographischen Litteratur wohl
erkannt hat. Er sagt[180]: „Der Epicuräismus der Ninon-de-Lenclos,
der Marion-de-Lorme, der Marquise de Sévigné und de Lafare, der
Chaulieu, der St.-Evremond, dieser ganzen feinfühligen Gesellschaft
fing endlich an, müde des cytherischen Liebessehnens, mit Buffon
‚nur das Physische in der Liebe für gut zu halten‘ und veränderte
bald den Ton in den Romanen. Die Schriftsteller empfanden, dass
die galanten Schwätzer nicht mehr ein durch den Regenten
entsittlichtes Jahrhundert, das von den Kavaliertorheiten, der
religiösen Schwärmerei und der Verehrung der Frauen
zurückgekommen war, unterhalten konnten. Sie fanden es einfacher,
diese Frauen zu amüsieren und zu verderben, als ihnen zu dienen
und sie zu verherrlichen. Sie schufen Ereignisse, Gemälde,
Konversation mehr nach dem Geiste der Zeit und entwickelten in
einem angenehmen, leichten und bisweilen selbst philosophischen
Stile den Zynismus und die Immoralität.“
11. Die Kunst im 18. Jahrhundert.
Auch die französische Kunst des 18. Jahrhunderts ist ein
getreuer Spiegel der Zeit. Baukunst, Malerei, Schauspiel- und
Tanzkunst dienen dazu, die Sinne zu erregen. Das berühmte
„Rococo“ ist nichts weniger als ein Bild der Harmonie. Es wäre dies
ja auch ein Wunder gewesen. Denn niemand kann aus seiner Zeit
heraus. Der Rococostil folgte in der Kunst den Eingebungen der
künstlich erregten Sinne, die an überladenen Verzierungen, an
unruhig verschlungenen Linien ein Gefallen fanden, sowie an den
Darstellungen wollüstiger Szenen, raffiniert erdachter „Nudités.“ Eine
prachtvolle Schilderung der bildenden Kunst, vorzüglich der
Architektur im 18. Jahrhundert, entwirft Georg Brandes: „Was man
unter Ludwig XIV. in der Baukunst erstrebt hatte, war das
Imponierende. Man opferte sogar jede Rücksicht auf Behagen und
Bequemlichkeit der kalten Prunksucht und der steifen Etikette auf.
Wer das Schlafzimmer Ludwigs XIV. in Versailles gesehen hat, wird
einräumen, dass ihm selten ein unleidlicher gelegenes
Schlafgemach vor Augen kam. Jetzt werden die unbewohnbaren
und majestätischen Säle von den ‚petites maisons‘ abgelöst, wie
damals jeder Mann von Welt sie besass, und in welchem die
tändelnde Konversation und der üppige Leichtsinn sich ebenso gut
befanden. Daher verschwinden in der Architektur die grossen,
einfachen Verhältnisse, die reinen und klaren Massenwirkungen. Die
Härte und Schwere des Steins wird verleugnet, die Strenge der
Linien gebrochen, alles wird rund und schwellend, alle Linien werden
ausschweifend und übermütig. Der Barockstil erreicht sowohl in der
Baukunst wie in der Bildhauerkunst seinen Gipfel. Ueberall stösst
man auf unendlich wiederholte Amoretten und Grazien, ganz wie auf
den Kupferstichen zu Voltaires ‚Poésies fugitives‘. In den Gärten
umarmt der bockfüssige Pan schlanke, weisse Nymphen am
künstlichen Wasserfalle. In der Malerkunst entstehen jene ländlichen
Bilder, deren entferntes Vorbild Rubens Liebesgarten ist, die aber
statt seiner breiten Lebenslust und schweren Figuren gleichsam
hingehauchte und feine Gestalten in koketten Trachten, und statt
Rubens derber Sinnlichkeit ein erotisches Spiel, ein Liebeln und
Flüstern aufweisen, einen Hintergrund schattiger Gänge, mit stillen
Verstecken, mit üppigen Statuen und frischen Rasenteppichen.
Unter Ludwig XIV. war die ganze Tracht steif gewesen; man trug
grosse Ueberschläge und Kragen, selbst die Rock- und
Westenschösse waren gesteift, Halskragen und Manschetten
gestärkt, so dass nicht eine Falte sich verändern konnte; die
unbequeme Allongeperrücke machte eine gravitätische Haltung zur
Notwendigkeit. Unter der Regentschaft war alles auf Zwanglosigkeit
und Leichtigkeit gerichtet. Das steife Futter der Schösse
verschwand, an die Stelle der grossen Allongeperrücke trat das
gepuderte Haar, steif frisiert, so dass keine noch so hastige
Bewegung es in Unordnung bringen konnte; überall in Tracht und
Benehmen überliess man sich einer gewissen Nachlässigkeit. Man
verweilte in Boudoirs. Wie Tee und Kaffee aus dem Orient eingeführt
wurden, so auch das orientalische Sofa, welches dem jüngeren
Crébillon den Titel für seine bekannteste und berüchtigste Erzählung
gibt.[181] Der weiche Lehnsessel verdrängt den hohen, unbequemen
Armstuhl mit schnurgerader Rückwand. Das Zimmergerät besteht
aus schweren Seidengardinen, welche wollüstig das Licht dämpfen,
aus grossen Spiegeln in Goldrahmen, aus reich verzierten
Pendeluhren, aus üppigen Malereien und schnörkelhaften Möbeln.
Das ganze Zimmer duftet von einem wollüstigen Parfüm.“[182]
Noch deutlicher als die Architektur bringt die Malerei des 18.
Jahrhunderts den Charakter desselben zum Ausdruck. Der Wunsch
Neues zu bringen, den „blasierten Appetit zu reizen“ verlieh den
Künstlern des 18. Jahrhunderts ein raffiniertes Erfindungstalent.
Boucher, Watteau, Fragonard, Lancret, der Maler der „fêtes
galantes“, verschmähten die einfache und naive Nacktheit der
Göttinnen eines Lebrun und Nicolas Mignard. Ihre „baigneuses“ und
„bergères“ sind nicht mehr mythologische Figuren, sondern Pariser
Dirnen, die sich gern den Beschauern nackt im Bade oder auf dem
Ruhelager zeigen. Diese vorgeblichen Najaden und koketten
Schäferinnen mit entblösstem Busen, mit mehr oder weniger
aufgehobenem Kleide, sind Frauen der Zeit, Dämchen „fort en vogue
aux petites soirées de Trianon et de Luciennes“.[183]
Richard Muther hat in seiner neuen Darstellung der Geschichte
der Malerei[184] in dem Kapitel „Die Frivolen“ diese erotische
Richtung in der französischen Malerei des 18. Jahrhunderts
glänzend geschildert. Er sagt u. a.: „Mit den zierlich gemessenen
Menuetten Watteaus hatte die Redoute begonnen. Um Mitternacht,
unter der Anführung Bouchers, wurde der Cancan getanzt. Jetzt vor
Tagesgrauen, folgt noch der Kotillon. Man hatte zu viel getanzt und
zu viel geliebt. Statt sich selbst zu bemühen, will man nur noch
zusehen, so wie der Pascha, Opium rauchend, apathisch in seinem
Harem sitzt. Auch Balletteusen tanzen zu lassen, hat keinen Reiz
mehr. So beginnt am Schlusse des Rokoko die eigentlich galante
Kunst, das Tableauvivant. Stramme Burschen und hübsche
Mädchen aus dem Volke müssen den vornehmen Herren
Liebesszenen vorspielen, für die sie selbst zu blasiert geworden ....
Als geistreichster dieser Gruppe, überhaupt als einer der feinsten
des Jahrhunderts ist Fragonard, der nervöse Charmeur, zu feiern, in
dem sich noch einmal alle Lebenslust und Leichtlebigkeit, die ganze
Grazie des Rokoko sammelt... Wenn der Name Fragonard genannt
wird, denkt man an Reifröcke, seidene Garnierungen und
hochgeschürzte Jupons, an lustige Schaukeln, die pikante graue
Strümpfe sehen lassen, an feine Battisthemden, die von rosigen
Schultern herabgleiten, an Amoretten, Küsse und Liebesspiel.“
„Kurz nach Schluss der Salonausstellung 1763,“ erzählt
Fragonard selbst, „schickte ein Herr zu mir und bat mich, ihn zu
besuchen. Er befand sich, als ich bei ihm vorsprach, gerade mit
seiner Maitresse auf dem Lande. Zuerst überschüttete er mich mit
Lobsprüchen über mein Bild, und gestand mir dann, dass er ein
anderes von mir wünschte, dessen Idee er angeben würde: ‚Ich
möchte nämlich, dass Sie Madame malen auf einer Schaukel. Mich
stellen Sie so, dass ich die Füsse des hübschen Kindes sehe —
oder auch mehr, wenn Sie mich besonders erfreuen wollen.‘“
Diesem seltsamen Liebhaber dankt man das Bild „Die Schaukel“,
das erste, das den eigentlichen Fragonard zeigt.... Fragonard ist der
Pierrot lunaire, der beim Morgengrauen blass und geisterhaft seine
Sprünge macht. Manche seiner Bilder, so toll sie sind, haben etwas
von Gebeten. Altäre sind errichtet, Opferflammen züngeln lohend
gen Himmel, und bleiche Menschen legen weisse Kränze zu Füssen
des allmächtigen Eros nieder. Da heben Weiber flehend ihre Hände
zu Satan empor und beten, ihnen das Geheimnis neuer unbekannter
Sensationen zu enthüllen.
Bildet schon die Verherrlichung der Geschlechtslust in einem
gedruckten Buche einen die Sinne aufs Höchste anstachelnden
Reiz, der daher im 18. Jahrhundert sehr begehrt war, so muss die
bildliche Darstellung der Wollust noch tausendmal schlimmer wirken.
„Le réalisme de la peinture, se traduisant dans les actes et les
paroles, les livres et les chants, doit exercer une funeste influence
sur la jeunesse en surexcitant le sens génital“[185]. Und der Marquis
de Sade, der in seinen Romanen alles aufzählt, was den sexuellen
Genuss zu steigern vermag, lässt Saint-Fond (Juliette II, 15) nach
einer wilden Orgie ausrufen: „O wie nötig hier ein Maler wäre, um
der Nachwelt dieses wollüstige und göttliche Bild zu überliefern!“
So konnte es denn nicht fehlen, dass neben den pikanten
Nudités eines Fragonard und Lancret bald die Schmutzbilder in der
erschrecklichsten Weise sich verbreiteten. Dass die Maitressen sich
für ihre Liebhaber nackt und in irgend einer plastischen Stellung
malen liessen, war nichts seltenes. Bekannt ist die Geschichte der
O’Morphi, einer Maitresse Ludwigs XV. und Insassin des
Hirschparks, deren Besitz der König dem berühmten Abenteurer
Casanova auf folgende Weise verdankte[186]. Casanova hatte bei
einem seiner zahlreichen Liebesabenteuer in Paris auch die
Bekanntschaft einer flämischen Schauspielerin O’Morphi gemacht,
welche eine junge Schwester von hervorragender Schönheit besass,
in die Casanova sich sterblich verliebte, und deren Reize er
enthusiastisch schildert. Er bekam Lust, diesen herrlichen Körper
gemalt zu besitzen, und ein deutscher Maler malte sie auf eine
„göttliche“ Weise für sechs Louisdors. Die Lage, in der er sie
darstellte, war „entzückend“. „Sie lag auf dem Bauche, stützte den
Arm und den Busen auf ein Kissen und hielt den Kopf gewendet, als
läge sie drei Viertel auf dem Rücken. Der gewandte und mit
Geschmack begabte Künstler hatte ihren unteren Teil mit soviel