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ECNi Le Tout-en-un Alexandre Somogyi

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ECNi
LE TOUT-EN-UN
CHEZ LE MÊME ÉDITEUR
Dans la collection Les référentiels des Collèges
Anatomie pathologique, par le Collège français des pathologistes (CoPath), 2013.
Cardiologie, par le Collège national des enseignants de cardiologie – Société Française de Cardiologie (CNEC-SFC), 2e édition, 2014.
Chirurgie maxillo-faciale et stomatologie, par le Collège hospitalo-universitaire français de chirurgie maxillo-faciale
et stomatologie. 3e édition, 2014.
Dermatologie, par le Collège des enseignants en dermatologie de France (CEDEF). 6e édition, 2014.
Gériatrie, par le Collège national des enseignants de gériatrie (CNEG). 3e édition, 2014.
Gynécologie – Obstétrique, par le CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français). 3e édition, 2015.
Hématologie, par la Société Française d'Hématologie. 2e édition, 2014.
Hépato-gastro-entérologie, par la Collégiale des universitaires en hépato-gastro-entérologie (CDU-HGE). 3e édition, 2015.
Imagerie médicale - Radiologie et médecine nucléaire, par le Collège des enseignants de radiologie de France (CERF)
et le Collège national des enseignants de biophysique et de médecine nucléaire (CNEBMN), 2015.
Immunopathologie, par le Collège des enseignants d'immunologie, 2015.
Médecine physique et réadaptation, par le Collège français des enseignants universitaires de médecine physique
et de réadaptation. 5e édition, 2015.
Neurologie, par le Collège français des enseignants en neurologie (CEN). 4e édition, 2015.
Nutrition, par le Collège des enseignants de nutrition. 2e édition, 2015.
Ophtalmologie, par le Collège des ophtalmologistes universitaires de France (COUF), 2e édition, 2013.
ORL, par le Collège français d'ORL et de chirurgie cervico-faciale. 3e édition, 2014.
Parasitoses et mycoses, par l'Association française des enseignants de parasitologie et mycologie (ANOFEL), 5e édition, 2016.
Pédiatrie, par A. Bourrillon, G. Benoist, le Collège national des professeurs de pédiatrie. 6e édition, 2014.
Réanimation et urgences, par le Collège national des enseignants de réanimation (CNER). 5e édition, 2015.
Rhumatologie, par le COFER (Collège français des enseignants en rhumatologie). 5e édition, 2015.
Santé publique, par le Collège universitaire des enseignants de santé publique (CUESP). 2e édition, 2015.
Urologie, par le Collège français des urologues (CFU). 3e édition, 2015.

Dans la collection ECN Intensif


Douleurs et soins palliatifs, par S. Rostaing-Rigattieri et alii, 2015.
Gynécologie-Obstétrique, sous la direction de P. Seners et C. Cholet, validé par l'Association Des Gynécologues Obstétriciens
En Formation (Agof) et le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF), 2017.
Hépato-gastro-entérologie, par L. de Mestier et C. Neuzillet, validé par la Collégiale des universitaires
en hépato-gastro-entérologie, 2014.
ORL, par D. Evrard et V. Trevillot, validé par le Collège français d'ORL et de chirurgie cervico-faciale, 2014.
Urologie, par le Collège français des urologues, 2015.
Médecine physique et réadaptation, par l'Association des jeunes en médecine physique et réadaptation (AJMER), validé par
le Collège français des enseignants universitaires de médecine physique et de réadaptation, 2015.
Néphrologie, par M.-N. Peraldi et alii, validé par le Collège universitaire des enseignants de néphrologie, 2016.
Neurologie, par P. Seners et J.-F. Llitjos, validé par le Collège des enseignants de neurologie, 2015.
Ophtalmologie, par N. Belhatri et F. Precausta, 2017.
Rhumatologie, par C. Eloy, validé par le Collège français des enseignants en rhumatologie (COFER), 2016.

Dans la collection Focus ECNi


Pôle abdomino-pelvien : Gynécologie-Obstétrique/Hépato-gastroentérologie-Chirurgie digestive, par S. Salama, G. Tordjman, 2017.
Pôle cérébral et gérontologique : Neurologie/Psychiatrie/Gériatrie, par K. Kinugawa, G. Voegeli, Planquette, E. Karoubi. 2016.
Pôle pédiatrique : Pédiatrie/pédopsychiatrie, par Desnous, G. Voegeli. 2017.
Pôle rénal : Urologie/Néphrologie, par N. Barry Delongchamps, A. Hummel. 2016
Pôle tête et cou : ORL/Stomatologie/Ophtalmologie, par F. Tabarino, A. Rousseau. 2017.
Pôle thoracique : Cardiologie/Pneumologie/Réanimation et urgences, par L. Sabbah et B. Planquette. 2016.
ECNi
LE TOUT-EN-UN
Alexandre Somogyi
Interniste, praticien hospitalier
Service de médecine interne
Centre hospitalier intercommunal
Poissy - Saint-Germain-en-Laye
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TUE LE LIVRE droit de copie : 20, rue des Grands-Augustins, 76006 Paris Tél. 01 41 07 47 70.

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fique ou d’information de l’œuvre dans laquelle elles sont incorporées (art. L. 122-4, L. 122-5 et L. 335-2 du Code de la propriété intellectuelle).

© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés


ISBN : 978-2-294-74074-9
e-ISBN : 978-2-294-74132-6

Elsevier Masson S.A.S. – 65, rue Camille Desmoulins, 92442 Issy-les-Moulineaux Cedex
Remerciements

Merci à Nathalie et Nicolas, ma femme et mon fils, pour leur patience, leur compréhension et leur soutien
Merci aux confrères et amis qui ont joint leurs efforts aux miens pour faire de cet ouvrage ce qu'il est
Merci aux jeunes internes pour leur aide à rendre cet ouvrage conforme aux attentes des étudiants
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Collaborateurs à la deuxième édition

Marie-Laure Anciaux – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS (centre hospitalier intercommu-
nal de Poissy – Saint-Germain-en-Laye), site de Saint-Germain-en-Laye.
Laura Arassus – Praticien hospitalier, médecin coordinateur de l'équipe mobile de soins palliatifs et de lutte contre la douleur,
CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Michael Azagury – Onco-hématologue, clinique Saint-Germain – Saint-Germain-en-Laye.
David Berville – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Louis Blin – Orthopédiste, ancien chef de clinique-assistant, clinique Saint-Germain – Saint-Germain-en-Laye.
Frédéric Bourdain – Neurologue, chef du service de neurologie, hôpital Foch, Suresnes.
Catherine Chemin – Gériatre, praticien hospitalier, CHI de Meulan - les Mureaux.
Claire Cuevas – Ophtalmologue, praticien hospitalier, service d'ophtalmologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Odile Doublet – Pneumologue, praticien hospitalier, responsable des explorations fonctionnelles respiratoires et polysomno-
graphies, CHIPS, Saint-Germain-en-Laye.
Alain Fajardy – Anesthésiste, praticien hospitalier, service d'anesthésie, CHIPS, site de Poissy.
Eva Ghiles – Chirurgien viscéral, praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Philippe Haymann – Néphrologue, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de néphro-
logie, hôpital Tenon, Paris.
Jan Hayon – Réanimateur, praticien hospitalier, chef du pôle de réanimation, CHIPS, site de Poissy.
Stéphane Jouveshomme – Pneumologue, praticien hospitalier, service de pneumologie, hôpital Saint-Joseph, Paris.
Laurence Mérian-Brosse – Pharmacienne, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Rkia Misbahi – Hématologue, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jacky Nizard – Gynécologue-obstétricien, professeur à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de gynécologie
et obstétrique, groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Estelle Saint-Léger – Dermatologue, hôpital franco-britannique de Levallois-Perret (Hertford British Hospital).
Jean-Christophe Seguier – Médecin-hygiéniste, praticien hospitalier, président du CLIN, CHIPS
Thomas Seisen – Urologue, chef de clinique-assistant, service d'urologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Didier Simon – ORL, praticien hospitalier, service d'ORL, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Alexandre Somogyi – Médecin interniste, praticien hospitalier, service de médecine interne, CHIPS, sites de Saint-Germain-en-Laye
et Poissy .
Nathalie Somogyi-Demerjian – Rhumatologue, ancien chef de clinique-assistant (hôpital Bichat, Paris), Sartrouville et Saint-Cyr.
Domitille Thomas-Beaulieu – Dermatologue, praticien hospitalier, service de Dermatologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Patrick Weiss – Psychiatre, praticien hospitalier, service de psychiatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
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Collaborateurs à la première édition

Laurence Amar – Endocrinologue, praticien hospitalo-universitaire, service de Médecine vasculaire et HTA, HEGP, Paris.
Marie-Laure Anciaux – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS (centre hospitalier intercommu-
nal de Poissy – Saint-Germain-en-Laye), site de Saint-Germain-en-Laye.
Laura Arassus – Praticien hospitalier, médecin coordinateur de l'équipe mobile de soins palliatifs et de lutte contre la douleur,
CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Michael Azagury – Onco-hématologue, praticien hospitalier, service de médecine interne, centre hospitalier intercommunal
de Meulan les Mureaux.
Nathalie Bataille – Chirurgien viscéral, ancien praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Sandrine Beaulieu – Gastro-entérologue, praticien hospitalier, service d'hépato-gastro-entérologie, CHIPS, site de Poissy.
David Berville – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Louis Blin – Orthopédiste, praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Frédéric Bourdain – Neurologue, ancien chef de clinique-assistant, assistant dans le service de neurologie, hôpital Foch, Suresnes.
Patricia Brazille – Infectiologue, praticien hospitalier, service de maladies infectieuses et tropicales, CHIPS, site de Poissy.
Gita Brochard – Médecin du travail.
Dominique Caldari – Pédiatre, praticien hospitalier, clinique médicale pédiatrique, hôpital mère-enfant du CHU de Nantes.
Alain Cazaban – Radiologue, praticien hospitalier, service de radiologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Valérie Cerbeland – Assistante sociale, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Catherine Chemin – Gériatre, praticien hospitalier, service de gériatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Lydie Costentin – Hépatologue, praticien hospitalier, service d'hépato-gastro-entérologie, CHIPS, site de Poissy.
Marie Crouzet – Psychologue, service d'onco-hématologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Claire Cuevas – Ophtalmologue, praticien hospitalier, service d'ophtalmologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Odile Doublet – Pneumologue, praticien hospitalier, responsable des explorations fonctionnelles respiratoires et polysomno-
graphies, CHIPS, site de Poissy.
Alain Fajardy – Anesthésiste, praticien hospitalier, service d'anesthésie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jean-Philippe Haymann – Néphrologue, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de néphro-
logie, hôpital Tenon, Paris.
Jan Hayon – Réanimateur, praticien hospitalier, chef du pôle de réanimation, CHIPS, site de Poissy.
Stéphane Jouveshomme – Pneumologue, praticien hospitalier, service de pneumologie, CHIPS, site de Poissy.
Catherine Leclerc – Infectiologue, praticien hospitalier, service de maladies infectieuses et tropicales, CHIPS, site de Poissy.
Catherine Leport – Infectiologue, professeur à l'université Paris VII, praticien hospitalier, service des maladies infectieuses
et tropicales, hôpital Bichat, Paris.
Claire Mathé – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Laurence Mérian-Brosse – Pharmacienne, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Rkia Misbahi – Hématologue, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jacky Nizard – Gynécologue-obstétricien, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de gynéco-
logie et obstétrique, groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Benoît Pétillon – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Emmanuelle Peyret – Addictologue, praticien hospitalier, service de psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent, hôpital
Robert-Debré, Paris.
Jean-Loup Rénier – Biologiste spécialiste en transfusion sanguine, praticien hospitalier, laboratoire de biologie, hôpital de Laon.
Morgan Rouprêt – Urologue, chef de clinique-assistant, service d'urologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Estelle Saint-Léger – Dermatologue, hôpital franco-britannique de Levallois-Perret (Hertford British Hospital).
Didier Simon – ORL, praticien hospitalier, service d'ORL, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Alexandre Somogyi – Médecin interniste, praticien hospitalier, service de médecine interne, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Nathalie Somogyi-Demerjian – Rhumatologue, ancien chef de clinique-assistant (service de rhumatologie, hôpital Bichat,
Paris), Sartrouville et Saint-Cyr.
Patrick Weiss – Psychiatre, praticien hospitalier, service de psychiatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
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Table des matières générale par spécialité

Remerciements V ITEM 292 Prise en charge et accompagnement


d'un malade cancéreux 71
Collaborateurs à la deuxième édition VII
Collaborateurs à la première édition IX
ITEM 294 Principaux cancers de l'enfant 74

Items du programme de DFASM XIX ITEM 295 Tumeurs de la cavité buccale


et des voies aérodigestives supérieures 76
Abréviations utilisées dans cet ouvrage XXV
ITEM 296 Tumeurs intracrâniennes 77
Mieux comprendre ce qui est attendu XXXIII
ITEM 297 Tumeurs du corps ou du col utérin 79
ITEM 298 Tumeurs du côlon et du rectum 81
I APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ITEM 299 Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques 84
UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE ITEM 300 Tumeurs de l'estomac 88
ITEM 1 Relation médecin-malade 3 ITEM 301 Tumeurs du foie 89
ITEM 2 Valeurs professionnelles 5 ITEM 302 Tumeurs de l'œsophage 91
ITEM 3 Le raisonnement et la décision en médecine 7 ITEM 303 Tumeurs de l'ovaire 92
ITEM 4 Sécurité du patient 10 ITEM 304 Tumeurs des os 94
ITEM 5 Gestion des erreurs et des plaintes. ITEM 305 Tumeurs du pancréas 97
Aléa thérapeutique 16
ITEM 306 Tumeurs du poumon 98
ITEM 6 Organisation de l'exercice clinique
et méthodes permettant de sécuriser ITEM 307 Tumeurs de la prostate 102
le parcours du patient 18 ITEM 308 Tumeurs du rein 104
ITEM 13 Démarche d'assurance qualité. ITEM 309 Tumeurs du sein 105
Évaluation des pratiques professionnelles 20
ITEM 310 Tumeurs du testicule 110
ITEM 14 Formation tout au long de la vie 22
ITEM 311 Tumeurs vésicales 112
ITEM 15 Organisation du système de soins 24
ITEM 16 Protection sociale.
Consommation médicale III CARDIOLOGIE
et économie de la santé 27
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES –
ITEM 17 Système conventionnel 32 SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 150 Surveillance des porteurs de valve
II CANCÉROLOGIE – SOINS PALLIATIFS et de prothèse vasculaire 117

UE 5 DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES

ITEM 131 Douleur aiguë et chronique 37 ITEM 218 Athérome, malade polyathéromateux 120
ITEM 136 Principaux repères cliniques en soins ITEM 219 Facteurs de risque cardiovasculaire
palliatifs 38 et prévention 123
ITEM 137 Accompagnement en soins palliatifs 41 ITEM 220 Dyslipidémies 125
ITEM 138 Sédation, euthanasie, suicide assisté 43 ITEM 221 Hypertension artérielle de l'adulte 127
ITEM 139 Soins palliatifs en pédiatrie 45 ITEM 222 Hypertension artérielle pulmonaire 133
ITEM 140 Soins palliatifs en réanimation 47 ITEM 223 Artériopathie oblitérante de l'aorte, des
membres inférieurs et des artères viscérales.
UE 9 CANCÉROLOGIE – ONCO-HÉMATOLOGIE Anévrismes 137
ITEM 287 Épidémiologie, facteurs de risque, ITEM 224 Thrombose veineuse profonde et embolie
prévention et dépistage des cancers 49 pulmonaire 144
ITEM 288 Cancer : cancérogenèse, oncogénétique, ITEM 225 Insuffisance veineuse chronique.
cancers professionnels 52 Varices 149
ITEM 289 Diagnostic des cancers 56 ITEM 228 Douleur thoracique aiguë et chronique 151
ITEM 290 Anatomie et cytologie pathologiques 59 ITEM 229 Électrocardiogramme 154
ITEM 291 Traitement des cancers 62 ITEM 230 Fibrillation atriale 162
XII
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 231 Valvulopathies 165 UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG


ITEM 232 Insuffisance cardiaque de l'adulte 167 ITEM 183 Hypersensibilités et allergies
cutanéomuqueuses. Urticaire,
ITEM 233 Péricardite aiguë 171 dermatites atopiques et de contact 259
ITEM 234 Troubles de la conduction intracardiaque 173 ITEM 211 Purpuras 264
ITEM 235 Palpitations 175
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 236 Souffle cardiaque chez l'enfant 177
ITEM 226 Ulcère de jambe 266
ITEM 253 Sport et santé 179
ITEM 237 Principaux acrosyndromes vasculaires :
ITEM 254 Œdèmes des membres inférieurs 180 Raynaud, érythermalgie, acrocyanose,
engelures, ischémie digitale 268
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 327 Arrêt cardiocirculatoire 182 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS

ITEM 328 État de choc 184 ITEM 333 Œdème de Quincke et anaphylaxie 272

ITEM 334 Cardiopathie ischémique 188 ITEM 345 Grosse jambe rouge aiguë 274

IV CHIRURGIE DIGESTIVE VI ENDOCRINOLOGIE – DIABÉTOLOGIE –


UE 5 DOULEUR... NUTRITION
ITEM 133 Anesthésie locale, locorégionale UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
et générale 199
ITEM 238 Hypoglycémie 279
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES ITEM 239 Goitre, nodule et cancer thyroïdiens 281
ITEM 267 Douleurs abdominales ou lombaires aiguës 202 ITEM 240 Hyperthyroïdie 283
ITEM 274 Lithiase biliaire et complications 207 ITEM 241 Hypothyroïdie 286
ITEM 284 Diverticulose colique et sigmoïdite 212 ITEM 242 Adénome hypophysaire 288
ITEM 286 Hernie pariétale 216 ITEM 243 Insuffisance surrénale aiguë ou chronique 290
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS ITEM 244 Gynécomastie 292
ITEM 349 Syndrome occlusif 218 ITEM 245 Diabète sucré de types 1 et 2 294
ITEM 351 Appendicite 222 ITEM 246 Prévention primaire par la nutrition 303
ITEM 352 Péritonite aiguë 225 ITEM 247 Modifications thérapeutiques du mode
de vie (alimentation et activité physique) 305
ITEM 248 Dénutrition 310
V DERMATOLOGIE ITEM 251 Obésité 313
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
ITEM 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée,
dermatite séborrhéique 231 VII GYNÉCOLOGIE OBSTÉTRIQUE
ITEM 110 Dermatoses bulleuses 234 UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT
ITEM 111 Angiomes 240
ITEM 112 Exanthème, érythrodermie 242 ITEM 21 Examen prénuptial 317

ITEM 113 Prurit 244 ITEM 22 Grossesse normale 318

ITEM 114 Psoriasis 246 ITEM 23 Complications de la grossesse : hémorragie


génitale, HTA gravidique, menace
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES – SANTÉ d'accouchement prématuré, fièvre 321
AU TRAVAIL ITEM 24 Grossesse extra-utérine 327
ITEM 152 Infections cutanéomuqueuses et des phanères, ITEM 25 Douleur abdominale aiguë
bactériennes et mycosiques 248 chez une femme enceinte 329
ITEM 164 Infections à Herpès virus ITEM 26 Prévention des risques fœtaux : infections,
de l'immunocompétent : médicaments, toxiques, irradiation 330
herpès, varicelle, zona 254
ITEM 27 Infection urinaire au cours de la grossesse 338
ITEM 167 Ectoparasitoses cutanées :
gale et pédiculose 257 ITEM 29 Prématurité.
Retard de croissance intra-utérin 340
XIII
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 30 Accouchement, délivrance UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES


et suites de couches normales 343
ITEM 250 Troubles nutritionnels chez le sujet âgé 419
ITEM 32 Allaitement et complications 346
ITEM 33 Suites de couches pathologiques :
hémorragie, infection, thromboembolie 348 IX HÉMATOLOGIE
ITEM 34 Anomalies du cycle menstruel UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG
et métrorragies : aménorrhée, ménorragie,
ITEM 208 Hémogramme 423
métrorragie, syndrome prémenstruel 349
ITEM 209 Anémie 426
ITEM 35 Contraception, stérilisation,
grossesse non désirée 350 ITEM 210 Thrombopénie 433
ITEM 36 Interruption volontaire de grossesse 354 ITEM 212 Syndrome hémorragique
d'origine hématologique 435
ITEM 37 Stérilité du couple : première
consultation 356 ITEM 213 Syndrome mononucléosique 439
ITEM 38 Assistance médicale à la procréation 358 ITEM 214 Éosinophilie 440
ITEM 39 Algies pelviennes chez la femme 360 ITEM 215 Pathologie du fer chez l'adulte
et l'enfant 442
ITEM 40 Aménorrhée 362
ITEM 216 Adénopathie superficielle 445
ITEM 41 Hémorragie génitale chez la femme 366
ITEM 217 Amylose 446
ITEM 42 Tuméfaction pelvienne chez la femme 368
ITEM 43 Problèmes des maladies génétiques : UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
trisomie 21, mucoviscidose, syndrome ITEM 272 Splénomégalie 448
de l'X fragile 369
UE 9 CANCÉROLOGIE – ONCO-HÉMATOLOGIE
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 293 Agranulocytose médicamenteuse 449
ITEM 252 Nutrition et grossesse 373
ITEM 312 Leucémies aiguës 451
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 313 Syndromes myélodysplasiques 452
ITEM 339 Pré-éclampsie 376
ITEM 314 Syndromes myéloprolifératifs chroniques 454
ITEM 315 Leucémie lymphoïde chronique 459
VIII HANDICAP ET VIEILLISSEMENT
ITEM 316 Lymphomes malins 460
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES ITEM 317 Myélome multiple 463

ITEM 54 L'enfant handicapé 381


X HÉPATO-GASTRO-ENTÉROLOGIE
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEMS 106 ET 129 Troubles cognitifs : confusion, SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
démences 385
ITEM 163 Hépatites virales :
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE – DOULEUR – Anomalies biologiques hépatiques 471
SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
ITEM 172 Diarrhée aiguë 484
ITEM 115 Personne handicapée 390
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 116 Complications de l'immobilité et décubitus 394
ITEM 249 Amaigrissement 490
ITEM 117 Handicap psychique 398
ITEM 268 Reflux gastro-œsophagien
ITEM 118 Rééducation et réadaptation 400 Hernie hiatale 492
ITEM 119 Vieillissement normal : aspects biologiques, ITEM 269 Ulcère gastrique et duodénal
fonctionnels et relationnels. Gastrite 496
Données épidémiologiques et sociologiques.
Prévention du vieillissement pathologique 402 ITEM 270 Dysphagie 502
ITEM 120 Ménopause et andropause 405 ITEM 271 Vomissements 506
ITEM 126 La personne âgée malade 408 ITEM 273 Hépatomégalie, nodule hépatique
et masse abdominale 510
ITEM 127 Déficit neurosensoriel du sujet âgé 411
ITEM 275 Ictère 514
ITEM 128 Troubles de la marche et de l'équilibre
Chutes chez le sujet âgé 415 ITEM 276 Cirrhose et complications 520
ITEM 130 Autonomie et dépendance du sujet âgé 417 ITEM 277 Ascite 524
XIV
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 278 Pancréatite chronique 528


XII MÉDECINE LÉGALE
ITEM 279 Maladie de Crohn et rectocolite
UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
hémorragique 531 ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 280 Constipation 534 ITEM 7 Droits individuels et collectifs du patient 667
ITEM 281 Colopathie fonctionnelle 538 ITEM 8 Éthique médicale 671
ITEM 282 Diarrhée chronique 541 ITEM 9 Législation 676
ITEM 283 Diarrhée aiguë et déshydratation 545 ITEM 10 Accueil d'un sujet victime
ITEM 285 Pathologie hémorroïdaire 547 de violences sexuelles 680

UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS


ITEM 12 Responsabilités médicale pénale,
civile, administrative et disciplinaire 682
ITEM 350 Hémorragie digestive 549
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 353 Pancréatite aiguë 554
ITEM 332 Principales intoxications aiguës 683

XI MALADIES INFECTIEUSES XIII MÉDECINE DU TRAVAIL


UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE
SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT
ITEM 142 Surveillance des maladies infectieuses ITEM 28 Risques pour la maternité,
transmissibles 561 liés au travail de la mère 695
ITEM 144 Fièvre aiguë 565 UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 149 Endocardite infectieuse 570 SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL

ITEM 154 Septicémie, bactériémie, fongémie 575 ITEM 178 Environnement professionnel
et santé au travail 697
ITEM 155 Tuberculose 580
ITEM 179 Organisation de la médecine du travail
ITEM 156 Tétanos 586 Prévention des risques professionnels 700
ITEM 158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : ITEM 180 Accidents du travail et maladies
gonococcies, chlamydioses, professionnelles 706
syphilis, papillomavirus humain,
trichomonose 588
XIV NÉPHROLOGIE
ITEM 159 Coqueluche 596
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG
ITEM 161 Oreillons 598
ITEM 197 Transplantation d'organes 711
ITEM 162 Grippe 600
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 165 Infection à VIH 602
ITEM 255 Élévation de la créatininémie 718
ITEM 166 Paludisme 617
ITEM 256 Protéinurie et syndrome néphrotique 720
ITEM 168 Parasitoses digestives : giardiase,
téniasis, ascaridiose, oxyurose, amibiase 622 ITEM 257 Hématurie 724
ITEM 169 Zoonoses 625 ITEM 258 Néphropathie glomérulaire 726
ITEM 170 Pathologie infectieuse chez les migrants 632 ITEM 259 Néphropathie interstitielle chronique 731
ITEM 171 Voyage en pays tropical 635 ITEM 260 Néphropathies vasculaires 734
ITEM 174 Risques émergents, bioterrorisme, ITEM 261 Insuffisance rénale chronique 736
maladies hautement transmissibles 643
ITEM 263 Polykystose rénale autosomique dominante 740
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG ITEM 265 Troubles de l'équilibre acido-basique
ITEM 185 Déficit immunitaire 646 et désordres hydroélectrolytiques 743

ITEM 186 Fièvre prolongée 650 ITEM 343 Insuffisance rénale aiguë. Anurie 751

ITEM 187 Fièvre chez un immunodéprimé 653 XV NEUROLOGIE


UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
ITEM 344 Infection aiguë des parties molles : ITEM 86 Troubles aigus de la parole
abcès, panaris, phlegmon 657 Dysphonie 757
ITEM 362 Exposition accidentelle aux liquides ITEMS 89 ET 90 Déficit neurologique récent
biologiques 661 Déficit moteur et/ou sensitif des membres 761
XV
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 91 Compression médullaire non traumatique ITEM 88 Pathologie des glandes salivaires 886
et syndrome de la queue-de-cheval 766
ITEM 101 Vertige 888
ITEM 94 Neuropathie périphérique 769
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 95 Polyradiculonévrite aiguë 775 SANITAIRES – SANTÉ DU TRAVAIL
ITEM 96 Myasthénie 778 ITEM 145 Infections nasosinusiennes 890
ITEM 97 Migraine, algie de la face et névralgie ITEM 146 Angines et pharyngites 892
du trijumeau 781
ITEM 147 Otalgies et otites 894
ITEM 98 Céphalée aiguë et chronique 786
ITEM 99 Paralysie faciale 790 XVIII ORTHOPÉDIE
ITEM 100 Diplopie 792 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 102 Sclérose en plaques 795 ITEM 329 Polytraumatisé, traumatisé oculaire,
du rachis, thoracique, abdominal,
ITEM 103 Épilepsie 800
des membres, plaie des parties molles, brûlé 899
ITEM 104 Maladie de Parkinson 808
ITEM 330 Traumatisé cranio-facial 910
ITEM 105 Mouvements anormaux 812
ITEM 357 Lésions ligamentaires et méniscales
ITEM 107 Troubles de la marche et de l'équilibre 817 du genou, de la cheville et de l'épaule,
fracture bi-malléolaire 914
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES ITEM 358 Prothèses articulaires et ostéosynthèses 924
SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 359 Fractures fréquentes de l'adulte
ITEM 148 Méningites, méningo-encéphalites 820 et du sujet âgé 927
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS ITEM 360 Fractures chez l'enfant 931
ITEM 331 Coma non traumatique 829 ITEM 361 Malade sous plâtre 936
ITEM 335 Accidents vasculaires cérébraux 832
XIX PÉDIATRIE
ITEM 336 Hémorragie méningée 840
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE
ITEM 337 Malaise, perte de connaissance, DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT
crise comitiale de l'adulte 843
ITEM 31 Nouveau-né à terme : évaluation et soins 941
ITEM 338 État confusionnel et trouble de conscience 847
ITEM 44 Suivi d'un nourrisson, d'un enfant
et d'un adolescent normal 945
XVI OPHTALMOLOGIE ITEM 45 Alimentation et besoins nutritionnels
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE du nourrisson et de l'enfant 952
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT ITEM 47 Puberté normale et pathologique 954
ITEM 50 Strabisme de l'enfant 851 ITEM 49 Troubles de la miction chez l'enfant 958
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ ITEM 51 Retard de croissance staturo-pondérale 961
ITEM 79 Altération de la fonction visuelle 853 ITEM 52 Boiterie et troubles de la démarche
chez l'enfant 963
ITEM 80 Anomalies de la vision d'apparition brutale 860
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
ITEM 81 Œil rouge et/ou douloureux 864 CONDUITES ADDICTIVES
ITEM 82 Glaucome chronique 870 ITEM 53 Développement psychomoteur
ITEM 83 Troubles de la réfraction 872 Troubles de l'apprentissage
Relation mère-enfant 965
ITEM 84 Pathologie des paupières 874
ITEM 55 Maltraitance et enfants en danger
Protection maternelle et infantile 971
XVII ORL – STOMATOLOGIE ITEM 66 Troubles du comportement de l'adolescent 974
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE –
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
ITEM 46 Développement buccodentaire et anomalies 879 ITEM 134 Douleur chez l'enfant : sédation
et traitements antalgiques 977
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 85 Épistaxis 881 SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 87 Altération de la fonction auditive 883 ITEM 160 Maladies éruptives de l'enfant 979
XVI
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG


ITEM 340 Malaise grave du nourrisson et mort subite 981 ITEM 182 Hypersensibilité et allergie 1106
ITEM 341 Convulsions chez le nourrisson ITEM 184 Hypersensibilité et allergies respiratoires :
et chez l'enfant 985 asthme, rhinite 1111
ITEM 199 Dyspnée aiguë et chronique 1120
XX PHARMACOLOGIE − THÉRAPEUTIQUE ITEM 200 Toux aiguë ou chronique 1123
UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL ITEM 201 Hémoptysie 1125
ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 202 Épanchement pleural 1127
ITEM 18 Recherche expérimentale et clinique 991
ITEM 203 Opacités et masses intrathoraciques 1130
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES ITEM 204 Insuffisance respiratoire chronique 1134

ITEM 72 Psychotropes 995 ITEM 205 Bronchopneumopathie chronique


obstructive 1136
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE –
ITEM 206 Pneumopathie interstitielle diffuse 1140
DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
ITEM 132 Thérapeutiques antalgiques 1002 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 354 Détresse respiratoire aiguë 1144
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES –
SANTÉ AU TRAVAIL ITEM 355 Insuffisance respiratoire aiguë 1146
ITEM 143 Vaccinations 1008 ITEM 356 Pneumothorax 1149
ITEM 173 Anti-infectieux 1018

UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – XXII PSYCHIATRIE


POUMON – SANG UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ITEM 198 Biothérapies et thérapies ciblées 1031 ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 11 Soins psychiatriques sans consentement 1153
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 227 Abords veineux 1038 UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES
ITEM 264 Diurétiques 1043
ITEM 56 Sexualité normale et ses troubles 1157
UE 10 LE BON USAGE DU MÉDICAMENT ET DES THÉRAPEUTIQUES
ITEM 58 Troubles psychiques de l'enfant
NON MÉDICAMENTEUSES
à la personne âgée 1159
ITEM 318 Bon usage du médicament
ITEM 59 Classifications des troubles mentaux 1160
et des thérapeutiques
non médicamenteuses 1045 ITEM 60 Organisation de l'offre de soins
en psychiatrie 1163
ITEM 319 Décision thérapeutique personnalisée 1047
ITEM 61 Trouble schizophrénique 1166
ITEM 320 Études cliniques 1054
ITEM 62 Trouble bipolaire 1170
ITEM 321 Éducation thérapeutique,
observance et automédication 1057 ITEM 63 Troubles délirants persistants 1172
ITEM 322 Iatrogénie 1060 ITEM 64 Troubles dépressif, anxieux généralisé,
panique, phobique, obsessionnel compulsif,
ITEM 323 Cadre réglementaire de la prescription
de l'adaptation, de la personnalité et état
thérapeutique et recommandations
de stress post-traumatique 1173
pour le bon usage 1065
ITEM 65 Troubles envahissants du développement 1183
ITEM 324 Thérapeutiques non médicamenteuses
et dispositifs médicaux 1074 ITEM 67 Troubles psychiques de la grossesse
et du post-partum 1187
ITEM 325 Transfusion sanguine et produits
dérivés du sang 1078 ITEM 68 Principaux troubles psychiques
du sujet âgé 1190
ITEM 326 Prescription et surveillance
des médicaments les plus courants 1082 ITEM 69 Troubles du comportement alimentaire 1194
ITEM 70 Troubles somatoformes 1196
XXI PNEUMOLOGIE ITEM 71 Techniques psychothérapeutiques 1198
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES ITEM 73 Addiction au tabac 1200
SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 74 Addiction à l'alcool 1202
ITEM 151 Infections bronchopulmonaires
communautaires 1099 ITEMS 75 ET 76 Addictions aux psychotropes 1205
XVII
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 77 Addictions comportementales 1211 UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES


ITEM 78 Dopage 1212 ITEM 266 Hypercalcémie 1308

UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX –


REVÊTEMENT CUTANÉ XXIV SANTÉ PUBLIQUE
ITEM 108 Troubles du sommeil 1214 UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE – DOULEUR –
SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT ITEM 19 Mesure de l'état de santé de la population 1313

ITEM 135 Douleur en santé mentale 1219 ITEM 20 Interprétation d'une enquête
épidémiologique 1316
ITEM 141 Deuil normal et pathologique 1223
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 57 Sujets en situation de précarité 1318
ITEM 346 Agitation et délire aigus 1225
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES –
ITEM 347 Crise d'angoisse aiguë et attaque SANTÉ AU TRAVAIL
de panique 1228
ITEM 175 Risques sanitaires liés à l'eau
ITEM 348 Risque et conduite suicidaires 1230 et à l'alimentation
Toxi-infections alimentaires 1321

XXIII RHUMATOLOGIE ITEM 176 Risques sanitaires liés aux irradiations


Radioprotection 1324
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
ITEM 177 Sécurité sanitaire des produits destinés
ITEM 92 Rachialgie 1235 à l'homme.
ITEM 93 Radiculalgie et syndrome canalaire 1237 Veille sanitaire 1327

UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE – DOULEUR –


SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
XXV UROLOGIE
ITEM 124 Ostéopathies fragilisantes 1241
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE –
ITEM 125 Arthrose 1246 PATHOLOGIE DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ –
L'ENFANT – L'ADOLESCENT
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES – SANTÉ
AU TRAVAIL ITEM 48 Pathologie génito-scrotale : torsion
de cordon spermatique, phimosis,
ITEM 153 Infections ostéoarticulaires hydrocèle, cryptorchidie 1331
Discospondylite 1249
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE –
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
POUMON – SANG
ITEM 121 Troubles de la miction et incontinence
ITEM 181 Réaction inflammatoire 1254 urinaire de l'adulte et du sujet âgé 1334
ITEM 188 Pathologies auto-immunes 1259 ITEM 122 Trouble de l'érection 1339
ITEM 189 Vascularites systémiques 1266 ITEM 123 Hypertrophie bénigne de la prostate 1343
ITEM 190 Lupus érythémateux disséminé
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
Syndrome des antiphospholipides 1271 SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 191 Artérites à cellules géantes 1278 ITEM 157 Infections urinaires : cystite, pyélonéphrite,
ITEM 192 Polyarthrite rhumatoïde 1282 prostatite 1346
ITEM 193 Spondylarthrite ankylosante 1287 UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 194 Arthropathie microcristalline 1292 ITEM 262 Lithiase urinaire 1354
ITEM 195 Syndrome douloureux régional
complexe (SDRC : ex-algodystrophie) 1295 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS

ITEM 196 Douleur et épanchement articulaire ITEM 342 Rétention aiguë d'urine 1358
Arthrite d'évolution récente 1297
ITEM 207 Sarcoïdose 1303 Index 1361
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Items du programme de DFASM

1 La relation médecin-malade dans le cadre du colloque 28 Connaître les principaux risques professionnels pour la
singulier ou au sein d'une équipe, le cas échéant plu- maternité, liés au travail de la mère. p. 695
riprofessionnelle. La communication avec le patient 29 Prématurité et retard de croissance intra-utérin : fac-
et son entourage. L'annonce d'une maladie grave teurs de risque et prévention. p. 340
ou létale ou d'un dommage associé aux soins. La for- 30 Accouchement, délivrance et suites de couches nor-
mation du patient. La personnalisation de la prise en males. p. 343
charge médicale. p. 3 31 Évaluation et soins du nouveau-né à terme. p. 941
2 Les valeurs professionnelles du médecin et des autres 32 Allaitement maternel. p. 346
professions de santé. p. 5 33 Suites de couches pathologiques : pathologie mater-
3 Le raisonnement et la décision en médecine. La méde- nelle dans les 40 jours. p. 348
cine fondée sur les preuves (Evidence Based Medicine, 34 Anomalies du cycle menstruel. Métrorragies. p. 349
EBM). La décision médicale partagée. p. 7 35 Contraception. p. 350
4 La sécurité du patient. La gestion des risques. Les évé- 36 Interruption volontaire de grossesse. p. 354
nements indésirables associés aux soins (EIAS). p. 10 37 Stérilité du couple : conduite de la première consulta-
5 La gestion des erreurs et des plaintes ; l'aléa thérapeu- tion. p. 356
tique. p. 16 38 Assistance médicale à la procréation : principaux
6 L'organisation de l'exercice clinique et les méthodes aspects biologiques, médicaux et éthiques. p. 358
qui permettent de sécuriser le parcours du patient. 39 Algies pelviennes chez la femme. p. 360
p. 18 40 Aménorrhée. p. 362
7 Les droits individuels et collectifs du patient. p. 667 41 Hémorragie génitale chez la femme. p. 366
8 Éthique médicale. p. 671 42 Tuméfaction pelvienne chez la femme. p. 369
9 Certificats médicaux. Décès et législation. Prélèvements 43 Problèmes posés par les maladies génétiques, à
d'organes et législation. p. 676 propos :
10 Violences sexuelles. p. 680 – d'une maladie chromosomique : la trisomie 21 ;
11 Soins psychiatriques sans consentement. p. 1153 – d'une maladie génique : la mucoviscidose ;
12 Responsabilités médicale pénale, civile, administrative – d'une maladie d'instabilité : le syndrome de l'X fra-
et disciplinaire. p. 682 gile. p. 370
13 Principes d'une démarche qualité et évaluation des 44 Suivi d'un nourrisson, d'un enfant et d'un adolescent
pratiques professionnelles. p. 20 normal. Dépistage des anomalies orthopédiques, des
14 Formation tout au long de la vie. Analyse critique troubles visuels et auditifs. Examens de santé obli-
d'une information scientifique et médicale. Gestion gatoires. Médecine scolaire. Mortalité et morbidité
des liens d'intérêt. p. 22 infantiles. p. 945
15 Organisation du système de soins. Sa régulation. Les 45 Alimentation et besoins nutritionnels du nourrisson et
indicateurs. Parcours de soins. p. 24 de l'enfant. p. 952
16 La Sécurité sociale. L'Assurance maladie. Les assurances 46 Développement buccodentaire et anomalies. p. 879
complémentaires. La couverture médicale univer- 47 Puberté normale et pathologique. p. 954
selle. La consommation médicale. Protection sociale. 48 Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez
Consommation médicale et économie de la santé. p. 27 l'homme. p. 1331
17 Le système conventionnel. p. 32 49 Troubles de la miction chez l'enfant. p. 958
18 La méthodologie de la recherche expérimentale et cli- 50 Strabisme de l'enfant. p. 851
nique. p. 991 51 Retard de croissance staturo-pondérale. p. 961
19 Mesure de l'état de santé de la population. p. 1313 52 Boiterie chez l'enfant. p. 963
20 Interprétation d'une enquête épidémiologique. 53 Développement psychomoteur du nourrisson et de
p. 1316 l'enfant : aspects normaux et pathologiques (sommeil,
21 Examen prénuptial. p. 317 alimentation, contrôles sphinctériens, psychomotri-
22 Grossesse normale. p. 318 cité, langage, intelligence). L'installation précoce de
23 Principales complications de la grossesse. p. 321 la relation parents-enfant et son importance. Troubles
24 Grossesse extra-utérine. p. 327 de l'apprentissage (voir item 118). p. 965
25 Douleur abdominale aiguë chez une femme enceinte. 54 L'enfant handicapé : orientation et prise en charge
p. 329 (voir items 115, 117). p. 381
26 Prévention des risques fœtaux : infection, médica- 55 Maltraitance et enfants en danger. Protection mater-
ments, toxiques, irradiation. p. 330 nelle et infantile. p. 971
27 Connaître les particularités de l'infection urinaire au 56 Sexualité normale et ses troubles. p. 1157
cours de la grossesse. p. 338 57 Sujets en situation de précarité. p. 1318
XX
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

58 Connaître les facteurs de risque, prévention, dépis- 96 Myasthénie. p. 778


tage des troubles psychiques de l'enfant à la personne 97 Migraine, névralgie du trijumeau et algies de la face.
âgée. p. 1159 p. 781
59 Connaître les bases des classifications des troubles 98 Céphalée aiguë et chronique chez l'adulte et l'enfant.
mentaux de l'enfant à la personne âgée. p. 1160 p. 786
60 Décrire l'organisation de l'offre de soins en psychia- 99 Paralysie faciale. p. 790
trie, de l'enfant à la personne âgée. p. 1163 100 Diplopie. p. 792
61 Trouble schizophrénique de l'adolescent et de l'adulte. 101 Vertige. p. 888
p. 1166 102 Sclérose en plaques. p. 795
62 Trouble bipolaire de l'adolescent et de l'adulte. 103 Épilepsie de l'enfant et de l'adulte. p. 801
p. 1170 104 Maladie de Parkinson. p. 808
63 Trouble délirant persistant. p. 1172 105 Mouvements anormaux. p. 812
64 Diagnostiquer : un trouble dépressif, un trouble 106 Confusion, démences (voir item 129). p. 385
anxieux généralisé, un trouble panique, un trouble 107 Troubles de la marche et de l'équilibre. p. 817
phobique, un trouble obsessionnel compulsif, un état 108 Troubles du sommeil de l'enfant et de l'adulte. p. 1214
de stress post-traumatique, un trouble de l'adaptation 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite sébor-
(de l'enfant à la personne âgée), un trouble de la per- rhéique. p. 237
sonnalité. p. 1173 110 Dermatose bulleuse touchant la peau et/ou les
65 Troubles envahissants du développement (voir items muqueuses externes. p. 234
115, 117, 118, 135). p. 1183 111 Hémangiomes et malformations vasculaires cutanées.
66 Troubles du comportement de l'adolescent. p. 974 p. 240
67 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum. 112 Exanthème et érythrodermie de l'adulte et de l'en-
p. 1187 fant. p. 242
68 Troubles psychiques du sujet âgé. p. 1190 113 Prurit. p. 244
69 Troubles des conduites alimentaires chez l'adolescent 114 Psoriasis. p. 246
et l'adulte. p. 1194 115 La personne handicapée : bases de l'évaluation fonc-
70 Troubles somatoformes à tous les âges. p. 1196 tionnelle et thérapeutique. p. 390
71 Différents types de techniques psychothérapeutiques. 116 Complications de l'immobilité et du décubitus.
p. 1198 Prévention et prise en charge. p. 394
72 Prescription et surveillance des psychotropes. p. 995 117 Le handicap psychique (voir items 54 et 115). p. 398
73 Addiction au tabac. p. 1200 118 Principales techniques de rééducation et de réadapta-
74 Addiction à l'alcool. p. 1202 tion (voir item 53). p. 400
75 Addiction aux médicaments psychotropes (benzodia- 119 Vieillissement normal : aspects biologiques, fonction-
zépines et apparentés) (voir item 319). p. 1205 nels et relationnels. Données épidémiologiques et
76 Addiction au cannabis, à la cocaïne, aux amphéta- sociologiques. Prévention du vieillissement patholo-
mines, aux opiacés, aux drogues de synthèse (voir gique. p. 402
item 319). p. 1205 120 Ménopause et andropause. p. 405
77 Addictions comportementales. p. 121 121 Troubles de la miction et incontinence urinaire de
78 Dopage (voir item 253). p. 1212 l'adulte et du sujet âgé. p. 1334
79 Altération de la fonction visuelle (voir item 127). p. 853 122 Trouble de l'érection. p. 1339
80 Anomalie de la vision d'apparition brutale. p. 860 123 Hypertrophie bénigne de la prostate. p. 1343
81 Œil rouge et/ou douloureux. p. 864 124 Ostéopathies fragilisantes. p. 1241
82 Glaucome chronique. p. 870 125 Arthrose. p. 1246
83 Troubles de la réfraction. p. 872 126 La personne âgée malade : particularités sémiolo-
84 Pathologie des paupières. p. 874 giques, psychologiques et thérapeutiques. p. 408
85 Épistaxis. p. 881 127 Déficit neurosensoriel chez le sujet âgé (voir items 79
86 Trouble aigu de la parole. Dysphonie. p. 757 et 87). p. 4011
87 Altération de la fonction auditive (voir item 127). p. 883 128 Troubles de la marche et de l'équilibre (voir item 107).
88 Pathologie des glandes salivaires. p. 886 p. 415
89 Déficit neurologique récent (voir item 335). p. 761 129 Troubles cognitifs du sujet âgé (voir item 106). p. 385
90 Déficit moteur et/ou sensitif des membres. p. 761 130 Autonomie et dépendance chez le sujet âgé. p. 417
91 Compression médullaire non traumatique et syn- 131 Bases neurophysiologiques, mécanismes physiopatho-
drome de la queue-de-cheval. p. 776 logiques d'une douleur aiguë et d'une douleur chro-
92 Rachialgie. p. 1235 nique. p. 37
93 Radiculalgie et syndrome canalaire. p. 1237 132 Thérapeutiques antalgiques, médicamenteuses et non
94 Neuropathies périphériques. p. 769 médicamenteuses. p. 1002
95 Polyradiculonévrite aiguë inflammatoire (syndrome 133 Anesthésie locale, locorégionale et générale. p. 199
de Guillain-Barré). p. 775
XXI
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

134 Douleur chez l'enfant : évaluation et traitements 164 Infections à herpès virus du sujet immunocompétent.
antalgiques. p. 977 p. 256
135 Douleur en santé mentale. p. 1219 165 Infections à VIH. p. 602
136 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 166 Paludisme. p. 617
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, 167 Gale et pédiculose. p. 257
chronique ou létale (1). Principaux repères cliniques. 168 Parasitoses digestives : giardiose, amoebose, téniasis,
Modalités d'organisation des équipes, en établisse- ascaridiose, oxyurose. p. 622
ment de santé et en ambulatoire. p. 38 169 Zoonoses. p. 625
137 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 170 Pathologie infectieuse chez les migrants adultes et
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, enfants. p. 632
chronique ou létale (2). Accompagnement de la per- 171 Voyage en pays tropical de l'adulte et de l'enfant :
sonne malade et de son entourage. Principaux repères conseils avant le départ, pathologies du retour (fièvre,
éthiques. p. 41 diarrhée, manifestations cutanées). p. 635
138 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 172 Diarrhées infectieuses de l'adulte et de l'enfant. p. 484
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, 173 Prescription et surveillance des anti-infectieux chez
chronique ou létale (3). La sédation pour détresse en l'adulte et l'enfant (voir item 326). p. 1018
phase terminale et dans des situations spécifiques et 174 Risques émergents, bioterrorisme, maladies haute-
complexes en fin de vie. Réponse à la demande d'eu- ment transmissibles. p. 643
thanasie ou de suicide assisté. p. 48 175 Risques sanitaires liés à l'eau et à l'alimentation. Toxi-
139 Connaître les aspects spécifiques des soins palliatifs en infections alimentaires. p. 1321
pédiatrie. p. 45 176 Risques sanitaires liés aux irradiations. Radioprotec-
140 Connaître les aspects spécifiques des soins palliatifs en tion. p. 1324
réanimation. p. 47 177 La sécurité sanitaire des produits destinés à l'homme.
141 Deuil normal et pathologique. p. 1223 La veille sanitaire (voir item 322). p. 1327
142 Surveillance des maladies infectieuses transmissibles. 178 Environnement professionnel et santé au travail. p. 697
p. 561 179 Organisation de la médecine du travail. Prévention
143 Vaccinations. p. 1008 des risques professionnels. p. 700
144 Fièvre aiguë chez l'enfant et l'adulte. p. 565 180 Accidents du travail et maladies professionnelles :
145 Infections nasosinusiennes de l'adulte et de l'enfant. définitions et enjeux. p. 706
p. 890 181 Réaction inflammatoire : aspects biologiques et cli-
146 Angines de l'adulte et de l'enfant et rhinopharyngites niques. Conduite à tenir. p. 1254
de l'enfant. p. 892 182 Hypersensibilités et allergies chez l'enfant et l'adulte :
147 Otites infectieuses de l'adulte et de l'enfant. p. 894 aspects physiopathologiques, épidémiologiques, dia-
148 Méningites, méningo-encéphalites chez l'adulte et gnostiques et principes de traitement. p. 1106
l'enfant. p. 820 183 Hypersensibilités et allergies cutanéomuqueuses chez
149 Endocardite infectieuse. p. 570 l'enfant et l'adulte. Urticaire, dermatites atopique et
150 Surveillance des porteurs de valve et prothèses vascu- de contact. p. 1259
laires. p. 117 184 Hypersensibilité et allergies respiratoires chez l'enfant
151 Infections broncho-pulmonaires communautaires de et chez l'adulte. Asthme, rhinite. p. 1111
l'adulte et de l'enfant. p. 1099 185 Déficit immunitaire. p. 646
152 Infections cutanéomuqueuses et des phanères, bacté- 186 Fièvre prolongée. p. 650
riennes et mycosiques de l'adulte et de l'enfant. p. 248 187 Fièvre chez un patient immunodéprimé. p. 653
153 Infections ostéoarticulaires (IOA) de l'enfant et de 188 Pathologies auto-immunes : aspects épidémiologiques,
l'adulte. p. 1249 diagnostiques et principes de traitement. p. 1259
154 Septicémie / bactériémie / fongémie de l'adulte et de 189 Connaître les principaux types de vascularite systé-
l'enfant. p. 575 mique, les organes cibles, les outils diagnostiques et
155 Tuberculose de l'adulte et de l'enfant. p. 580 les moyens thérapeutiques. p. 1266
156 Tétanos. p. 588 190 Lupus érythémateux disséminé. Syndrome des anti-
157 Infections urinaires de l'enfant et de l'adulte. p. 1346 phospholipides. p. 1271
158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : gono- 191 Artérite à cellules géantes. p. 1278
coccies, chlamydioses, syphilis, papillomavirus humain 192 Polyarthrite rhumatoïde. p. 1282
(HPV), trichomonose. p. 588 193 Spondylarthrite inflammatoire. p. 1287
159 Coqueluche. p. 596 194 Arthropathie microcristalline. p. 1292
160 Exanthèmes fébriles de l'enfant. p. 979 195 Syndrome douloureux régional complexe (ex. : algo-
161 Oreillons. p. 598 dystrophie). p. 1295
162 Grippe. p. 600 196 Douleur et épanchement articulaire. Arthrite d'évolu-
163 Hépatites virales. p. 471 tion récente. p. 1297
XXII
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

197 Transplantation d'organes : aspects épidémiologiques 241 Hypothyroïdie. p. 286


et immunologiques ; principes de traitement et sur- 242 Adénome hypophysaire. p. 288
veillance ; complications et pronostic ; aspects éthiques 243 Insuffisance surrénale chez l'adulte et l'enfant. p. 290
et légaux. p. 711 244 Gynécomastie. p. 292
198 Biothérapies et thérapies ciblées. p. 1031 245 Diabète sucré de types 1 et 2 de l'enfant et de l'adulte.
199 Dyspnée aiguë et chronique. p. 1120 Complications. p. 294
200 Toux chez l'enfant et chez l'adulte (avec le traitement). 246 Prévention primaire par la nutrition chez l'adulte et
p. 1123 l'enfant. p. 303
201 Hémoptysie. p. 1125 247 Modifications thérapeutiques du mode de vie (alimenta-
202 Épanchement pleural. p. 1127 tion et activité physique) chez l'adulte et l'enfant. p. 305
203 Opacités et masses intrathoraciques chez l'enfant et 248 Dénutrition chez l'adulte et l'enfant. p. 310
chez l'adulte. p. 1130 249 Amaigrissement à tous les âges. p. 490
204 Insuffisance respiratoire chronique. p. 1134 250 Troubles nutritionnels chez le sujet âgé. p. 419
205 Bronchopneumopathie chronique obstructive chez 251 Obésité de l'enfant et de l'adulte (voir item 69). p. 313
l'adulte et l'enfant. p. 1136 252 Nutrition et grossesse. p. 374
206 Pneumopathie interstitielle diffuse. p. 1140 253 Aptitude au sport chez l'adulte et l'enfant ; besoins
207 Sarcoïdose. p. 1303 nutritionnels chez le sportif (voir item 78). p. 179
208 Hémogramme chez l'adulte et l'enfant : indications et 254 Œdèmes des membres inférieurs localisés ou généralisés.
interprétation. p. 423 p. 180
209 Anémie chez l'adulte et l'enfant. p. 426 255 Élévation de la créatininémie. p. 718
210 Thrombopénie chez l'adulte et l'enfant. p. 43 256 Protéinurie et syndrome néphrotique de l'adulte et de
211 Purpuras chez l'adulte et l'enfant. p. 264 l'enfant. p. 720
212 Syndrome hémorragique d'origine hématologique. p. 435 257 Hématurie. p. 724
213 Syndrome mononucléosique. p. 439 258 Néphropathie glomérulaire. p. 726
214 Éosinophilie. p. 440 259 Néphropathie interstitielle. p. 731
215 Pathologie du fer chez l'adulte et l'enfant. p. 442 260 Néphropathie vasculaire. p. 734
216 Adénopathie superficielle de l'adulte et de l'enfant. 261 Insuffisance rénale chronique chez l'adulte et l'en-
p. 445 fant. p. 736
217 Amylose. p. 467 262 Lithiase urinaire. p. 1354
218 Athérome : épidémiologie et physiopathologie. Le 263 Polykystose rénale. p. 740
malade polyathéromateux. p. 120 264 Prescription et surveillance des diurétiques (voir item
219 Facteurs de risque cardiovasculaire et prévention. p. 123 326). p. 1043
220 Dyslipidémies. p. 125 265 Troubles de l'équilibre acido-basique et désordres
221 Hypertension artérielle de l'adulte. p. 127 hydro-électrolytiques. p. 743
222 Hypertension artérielle pulmonaire de l'enfant et de 266 Hypercalcémie. p. 1308
l'adulte. p. 133 267 Douleurs abdominales et lombaires aiguës chez l'en-
223 Artériopathie oblitérante de l'aorte, des artères viscé- fant et chez l'adulte. p. 202
rales et des membres inférieurs ; anévrismes. p. 137 268 Reflux gastro-œsophagien chez le nourrisson, chez
224 Thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire l'enfant et chez l'adulte. Hernie hiatale. p. 492
(voir item 326). p. 144 269 Ulcère gastrique et duodénal. Gastrite. p. 496
225 Insuffisance veineuse chronique. Varices. p. 149 270 Dysphagie. p. 502
226 Ulcère de jambe. p. 266 271 Vomissements du nourrisson, de l'enfant et de l'adulte.
227 Surveillance et complications des abords veineux. p. 1038 p. 506
228 Douleur thoracique aiguë et chronique. p. 151 272 Splénomégalie. p. 448
229 Électrocardiogramme : indications et interprétations. 273 Hépatomégalie et masse abdominale. p. 510
p. 154 274 Lithiase biliaire et complications. p. 207
230 Fibrillation atriale. p. 162 275 Ictère. p. 514
231 Valvulopathies. p. 165 276 Cirrhose et complications. p. 520
232 Insuffisance cardiaque de l'adulte. p. 167 277 Ascite. p. 524
233 Péricardite aiguë. p. 171 278 Pancréatite chronique. p. 528
234 Troubles de la conduction intracardiaque. p. 173 279 Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin
235 Palpitations. p. 175 (MICI) chez l'adulte et l'enfant. p. 531
236 Souffle cardiaque chez l'enfant. p. 177 280 Constipation chez l'enfant et l'adulte (avec le traite-
237 Acrosyndromes (phénomène de Raynaud, érythermal- ment). p. 534
gie, acrocyanose, engelures, ischémie digitale). p. 268 281 Colopathie fonctionnelle. p. 538
238 Hypoglycémie chez l'adulte et l'enfant. p. 297 282 Diarrhée chronique chez l'adulte et l'enfant. p. 541
239 Goitre, nodules thyroïdiens et cancers thyroïdiens. p. 281 283 Diarrhée aiguë et déshydratation chez le nourrisson,
240 Hyperthyroïdie. p. 283 l'enfant et l'adulte. p. 545
XXIII
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

284 Diverticulose colique et diverticulite aiguë du sig- recherche clinique et niveaux de preuve (voir item 3).
moïde. p. 212 p. 1054
285 Pathologie hémorroïdaire. p. 547 321 Éducation thérapeutique, observance et automédica-
286 Hernie pariétale chez l'enfant et l'adulte. p. 216 tion. p. 1057
287 Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et 322 Identification et gestion des risques liés aux médica-
dépistage des cancers. p. 47 ments et aux biomatériaux, risque iatrogène, erreur
288 Cancer : cancérogenèse, oncogénétique. p. 52 médicamenteuse (voir items 4 et 5). p. 1060
289 Diagnostic des cancers : signes d'appel et investigations 323 Cadre réglementaire de la prescription thérapeutique
paracliniques ; caractérisation du stade ; pronostic. p. 56 et recommandations pour le bon usage. p. 1065
290 Le médecin préleveur de cellules et/ou de tissus pour 324 Thérapeutiques non médicamenteuses et dispositifs
des examens d'anatomie et cytologie pathologiques : médicaux. p. 1074
connaître les principes de réalisation, transmission et 325 Transfusion sanguine et produits dérivés du sang :
utilisation des prélèvements à visée sanitaire et de indications, complications. Hémovigilance. p. 1078
recherche. p. 59 326 Prescription et surveillance des classes de médica-
291 Traitement des cancers : chirurgie, radiothérapie, ments les plus courantes chez l'adulte et chez l'en-
traitements médicaux des cancers (chimiothérapie, fant. Connaître pour chacune les mécanismes d'action
thérapies ciblées, immunothérapie). La décision thé- de classe et des produits individuels, les principes du
rapeutique pluridisciplinaire et l'information du bon usage, les critères de choix d'un médicament en
malade. p. 62 première intention, les causes d'échec, les principaux
292 Prise en charge et accompagnement d'un malade can- effets indésirables et interactions. p. 1082
céreux à tous les stades de la maladie dont le stade de 327 Arrêt cardiocirculatoire. p. 182
soins palliatifs en abordant les problématiques tech- 328 État de choc. Principales étiologies : hypovolémique,
niques, relationnelles, sociales et éthiques. Traitements septique (voir item 154), cardiogénique, anaphylac-
symptomatiques. Modalités de surveillance. p. 71 tique. p. 184
293 Agranulocytose médicamenteuse : conduite à tenir. 329 Prise en charge immédiate pré-hospitalière et à l'arri-
p. 449 vée à l'hôpital, évaluation des complications chez : un
294 Cancer de l'enfant : particularités épidémiologiques, brûlé, un polytraumatisé, un traumatisé abdominal,
diagnostiques et thérapeutiques. p. 74 un traumatisé des membres, un traumatisé du rachis,
295 Tumeurs de la cavité buccale, nasosinusiennes et du un traumatisé thoracique, un traumatisé oculaire, un
cavum, et des voies aérodigestives supérieures. p. 76 patient ayant une plaie des parties molles. p. 899
296 Tumeurs intracrâniennes. p. 76 330 Orientation diagnostique et conduite à tenir devant
297 Tumeurs du col utérin, tumeur du corps utérin. p. 79 un traumatisme cranio-facial. p. 910
298 Tumeurs du côlon et du rectum. p. 81 331 Coma non traumatique chez l'adulte et chez l'enfant.
299 Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques. p. 84 p. 829
300 Tumeurs de l'estomac. p. 88 332 Principales intoxications aiguës. p. 683
301 Tumeurs du foie, primitives et secondaires. p. 89 333 Œdème de Quincke et anaphylaxie. p. 272
302 Tumeurs de l'œsophage. p. 91 334 Syndromes coronariens aigus. p. 187
303 Tumeurs de l'ovaire. p. 92 335 Accidents vasculaires cérébraux. p. 832
304 Tumeurs des os primitives et secondaires. p. 94 336 Hémorragie méningée. p. 840
305 Tumeurs du pancréas. p. 97 337 Malaise, perte de connaissance, crise comitiale chez
306 Tumeurs du poumon, primitives et secondaires. p. 98 l'adulte. p. 843
307 Tumeurs de la prostate. p. 102 338 État confusionnel et trouble de conscience chez
308 Tumeurs du rein. p. 104 l'adulte et chez l'enfant. p. 846
309 Tumeurs du sein. p. 105 339 Prise en charge d'une patiente atteinte de pré-
310 Tumeurs du testicule. p. 110 éclampsie. p. 377
311 Tumeurs vésicales. p. 112 340 Malaise grave du nourrisson et mort subite. p. 981
312 Leucémies aiguës. p. 451 341 Convulsions chez le nourrisson et chez l'enfant. p. 985
313 Syndromes myélodysplasiques. p. 452 342 Rétention aiguë d'urine. p. 1358
314 Syndromes myéloprolifératifs. p. 454 343 Insuffisance rénale aiguë – Anurie. p. 751
315 Leucémies lymphoïdes chroniques. p. 459 344 Infection aiguë des parties molles (abcès, panaris,
316 Lymphomes malins. p. 460 phlegmon des gaines). p. 657
317 Myélome multiple des os. p. 463 345 Grosse jambe rouge aiguë. p. 274
318 Principe du bon usage du médicament et des théra- 346 Agitation et délire aigus. p. 1225
peutiques non médicamenteuses. p. 1045 347 Crise d'angoisse aiguë et attaque de panique. p. 1228
319 La décision thérapeutique personnalisée : bon usage 348 Risque et conduite suicidaires chez l'enfant, l'adolescent
dans des situations à risque. p. 1047 et l'adulte : identification et prise en charge. p. 1230
320 Analyser et utiliser les résultats des études cliniques 349 Syndrome occlusif de l'enfant et de l'adulte. p. 218
dans la perspective du bon usage - analyse critique, 350 Hémorragie digestive. p. 549
XXIV
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

351 Appendicite de l'enfant et de l'adulte. p. 222 358 Prothèses et ostéosynthèses. p. 924


352 Péritonite aiguë chez l'enfant et chez l'adulte. p. 225 359 Fractures fréquentes de l'adulte et du sujet âgé. p. 927
353 Pancréatite aiguë. p. 554 360 Fractures chez l'enfant : particularités épidémiolo-
354 Détresse respiratoire aiguë du nourrisson, de l'enfant giques, diagnostiques et thérapeutiques. p. 930
et de l'adulte. p. 1144 361 Surveillance d'un malade sous plâtre, diagnostiquer
355 Insuffisance respiratoire aiguë. p. 1146 une complication. p. 936
356 Pneumothorax. p. 1149 362 Exposition accidentelle aux liquides biologiques :
357 Lésions péri-articulaires et ligamentaires du genou, de conduite à tenir. p. 661
la cheville et de l'épaule. p. 914
Abréviations utilisées dans cet ouvrage

♀ femme APA allocation personnalisée d'autonomie


♂ homme APA American Psychiatric Association
≫ très supérieur à APC adenomatous polyposis coli
↑ élevé aPL antiphospholipide
↓ bas APP allocation de présence parentale
αFP alpha-fœtoprotéine APUD amine precursor uptake and decarboxylation
β2+AR β2 agoniste d'action rapide ou groupe de cellules captant et décarboxy-
β2+LA β2 agoniste de longue durée d'action lant des précurseurs d'amines
AAH allocation aux adultes handicapés ARAII antagonistes des récepteurs de l'angioten-
AAN anticorps antinucléaire sine II
ABO groupes sanguins ARH agence régionale de l'hospitalisation
AC anticorps ARN acide ribonucléique
ACC anticoagulant circulant ARS agence régionale de santé
ACE antigène carcino-embryonnaire ASA American Society of Anaesthesiology
ACFA arythmie complète par fibrillation auriculaire ASAT aspartate amino-transférase
aCL anticardiolipine ASCA anticorps anti-Saccharomyces cerevisiae
ACTP allocation compensatrice pour tierce personne ASE aide sociale à l'enfance
ADH hormone antidiurétique ASLO antistreptolysine O
ADN acide désoxyribonucléique ASP abdomen sans préparation
ADT antidépresseur tricyclique ASMR amélioration du service médical rendu
AEEH allocation d'éducation de l'enfant handicapé AT accident du travail
AEG altération de l'état général AT atelier thérapeutique
AEMO assistance éducative en milieu ouvert ATB antibiotique
AES accident d'exposition au sang ATP adénosine triphosphate
AFLD Agence française de lutte contre le dopage ATU autorisation temporaire d'utilisation
AFP accueil familial thérapeutique AV acuité visuelle
AFSSAPS Agence française de sécurité sanitaire des AVC accident vasculaire cérébral
produits de santé aVf, aVL, aVr dérivations ECG unipolaires
AG anesthésie générale AVK antivitamine K
Ag antigène AVP accident de la voie publique
AGEFIPH Association de gestion du fonds pour l'inser- BAAR bacille acido-alcoolorésistant
tion professionnelle des personnes handica- BAPU bureau d'aide psychologique universitaire
pées BAT biopsie de l'artère temporale
AGGIR autonomie gérontologie groupes iso-ressources BAV bloc auriculo-ventriculaire
AINS anti-inflammatoire non stéroïdien BAV baisse de l'acuité visuelle
AIPP atteinte à l'intégrité physique et psychique BBD bloc de branche droite
AIT accident ischémique transitoire BBG bloc de branche gauche
AL anesthésie locale BCO bronchite chronique obstructive
AL amyloid light BGN bacille à Gram négatif
ALAT alanine amino-transférase BGP bacille à Gram positif
ALD affection de longue durée BGSA biopsie des glandes salivaires accessoires
ALR anesthésie locorégionale BGT bilirubine-glucuronosyltransférase
AMA Agence mondiale antidopage BHC bilan hépatique complet
AMM autorisation de mise sur le marché BHR bactérie hautement résistante
AMPc adénosine monophosphate cyclique BID bloc incomplet de branche droite
AMPD Antenne médicale de prévention du dopage BK bacille de Koch
ANAES Agence nationale d'accréditation et d'éva- BLSE bêtalactamase à spectre étendu
luation en santé BMO biopsie de moelle osseuse
ANCA anticorps anticytoplasme des polynucléaires BMR bactérie multirésistante
neutrophiles BNP brain natriuretic peptide
ANSM Agence nationale de sécurité du médicament BOOP bronchiolite oblitérante avec pneumopathie
et des produits de santé organisée
AOMI artériopathie oblitérante des membres BPCO bronchopneumopathie chronique obstructive
inférieurs BSA bloc sino-atrial
XXVI
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

BU bandelette urinaire CLIS classe d'intégration scolaire


CA125 carbohydrate 125 (marqueur tumoral) CLUD comité de lutte contre la douleur
CAC centre d'accueil de crise CME commission médicale d'établissement
CAE conduit auditif externe CMH complexe majeur d'histocompatibilité
CAMSP centre d'action médico-sociale précoce CMI concentration minimale inhibitrice
CANAM Caisse nationale d'assurance maladie CMNO cardiomyopathie non obstructive
cANCA ANCA à fluorescence cytoplasmique CMP centre médico-psychologique
CAP centre d'accueil permanent CMPP centre médico-psycho-pédagogique
CAPP centre d'adaptation psychopédagogique CMT consommation médicale totale
CAT centre d'aide par le travail CMU couverture maladie universelle
CATTP centre d'accueil thérapeutique à temps partiel CMV cytomégalovirus
CCA chondrocalcinose articulaire CN colique néphrétique
CCAA centre de cure ambulatoire en alcoologie CNAMTS Caisse nationale d'assurance maladie des tra-
CCAS centre communal d'action sociale vailleurs salariés
CCLIN centre de coordination de la lutte contre les CO monoxyde de carbone
infections nosocomiales COTOREP commission technique d'orientation et de
CCMH concentration corpusculaire moyenne en reclassement professionnel
hémoglobine CP Code pénal
CCNE Comité consultatif national d'éthique CP concentré de plaquettes
CCPPRB comité consultatif de protection des per- cp comprimé
sonnes dans la recherche biomédicale CPA cellule présentatrice de l'antigène
CD cluster of differenciation (classe d'antigènes CPAM caisse primaire d'assurance maladie
de différenciation) CPC cœur pulmonaire chronique
CD4 cluster of differenciation 4 (marqueur de CPDPN centre pluridisciplinaire de diagnostic
membrane) prénatal
CDAPH commission des droits et de l'autonomie des CPK créatine phosphokinase
personnes handicapées CPOA centre psychiatrique d'orientation et d'ac-
CDES commission départementale de l'éducation cueil
spéciale CPP comité de protection des personnes (dans la
CDHP commission départementale des hospitalisa- recherche biomédicale)
tions psychiatriques CPRE cholangiopancréatographie rétrograde
CDSP commission départementale des soins endoscopique
psychiatriques CPT capacité pulmonaire totale
CEC circulation extracorporelle CRA centre de ressource autisme
CEPS Comité économique des produits de santé CRB centre de ressources biologique
CESAP comité d'étude et de soins aux polyhandicapés CRCI commission régionale de conciliation et d'in-
CFTR cystic fibrosis transmembrane conductance demnisation
regulator CRF capacité résiduelle fonctionnelle
CGR concentré de globules rouges CRH compte rendu d'hospitalisation
CHC carcinome hépatocellulaire CRP C réactive protéine
CHG centre hospitalier général CRPV centre régional de pharmacovigilance
CHI centre hospitalier intercommunal CRUQPC commission des relations avec les usagers et
CHR centre hospitalier régional de la qualité de la prise en charge
CHSCT comité d'hygiène, de sécurité et des condi- CS coefficient de saturation
tions de travail CSAPA centre de soins d'accompagnement et de pré-
CHU centre hospitalo-universitaire vention en addictologie
CI contre-indication CSBM consommation de soins et de biens médicaux
CIA communication interauriculaire CSE cellule souche embryonnaire
CIM Classification internationale des maladies CSG contribution sociale généralisée
CIRE cellule interrégionale d'épidémiologie CSH cellule souche hématopoïétique
CIV communication interventriculaire CSP Code de la santé publique
CIVD coagulation intravasculaire disséminée CSP cellule souche périphérique
CK créatine kinase CSP classe socioprofessionnelle
CLIC centre local d'information et de coordination CSS Code de la sécurité sociale
gérontologique CSST centre spécialisé de soins aux toxicomanes
CLIN comité de lutte contre les infections CST coefficient de saturation de la transferrine
nosocomiales CT cholestérol total
XXVII
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

CTINILS comité technique national des infections ECNi épreuves classantes nationales informatisées
nosocomiales et des infections liées aux soins ECPA échelle comportementale de la douleur chez
CV charge virale la personne âgée
CV capacité vitale EEG électroencéphalogramme
DALA déficit androgénique lié à l'âge EFG Établissement français des greffes
DBAI dermatose bulleuse auto-immune EFR épreuves fonctionnelles respiratoires
DCI dénomination commune internationale EGF epithelial growth factor
DCS dépense courante de santé EGFR récepteur de l'EGF, appelé aussi HER1
DDASS direction départementale de l'action sani- EI endocardite infectieuse
taire et sociale EI événement indésirable
DDB dilatation des bronches EIAS événement indésirable associé aux soins
DDCCRF direction départementale de la concurrence, EIG événement indésirable grave
consommation et répression des fraudes EMSP équipe mobile de soins palliatifs
DDR date des dernières règles ENS échelle numérique simple
DDV direction départementale des services EOH équipe opérationnelle en hygiène
vétérinaires EP embolie pulmonaire
DEGR Douleur Enfant Gustave Roussy EPL emphysème panlobulaire
DEP débit expiratoire de pointe EPO érythropoïétine
DFG débit de filtration glomérulaire EPP évaluation des pratiques professionnelles
DFT déficit fonctionnel temporaire EPR événement porteur de risque
DGS Direction générale de la santé EPS électrophorèse des protéines sériques
DH déshydratation EPS examen parasitologique des selles
DHA déhydroépiandrostènedione EPU électrophorèse des protéines urinaires
DHB dermohypodermite bactérienne EPU examen parasitologique des urines
DHEA déhydroépiandrostérone EREA établissements régionaux d'enseignement
DHEC déshydratation extracellulaire adapté
DHIC déshydratation intracellulaire ESA extrasystole auriculaire
DI déficit immunitaire ESV extrasystole ventriculaire
DICV déficit immunitaire commun variable ETO échocardiographie transœsophagienne
DIU dispositif intra-utérin ETT échocardiographie transthoracique
DLCO diffusion pulmonaire du monoxyde de EVA échelle visuelle analogique
carbone EVS échelle verbale simple
DMLA dégénérescence maculaire liée à l'âge FA fibrillation atriale
DMO densité minérale osseuse FBH fièvre bilieuse hémoglobinurique
DNS dépense nationale de santé FC fréquence cardiaque
DOPA dihydroxyphénylalanine FCS fausse couche spontanée
DPC développement professionnel continu FDR facteur de risque
DPM dermatopolymyosite FDR CV facteur de risque cardiovasculaire
DR décollement de la rétine FEVG fraction d'éjection du ventricule gauche
DRASS direction régionale des affaires sanitaires et FHO facteur humain et organisationnel
sociales FID fosse iliaque droite
DROM département et région d'outre-mer FIG fosse iliaque gauche
DS déviation standard FiO2 fraction inspirée d'oxygène
DSM Diagnostic and Statistical Manual of Mental FIPHFP Fonds pour l'insertion des personnes handica-
Disorders pées dans la fonction publique
DT delirium tremens FIV fécondation in vitro
EBH épidermolyse bulleuse héréditaire FMC formation médicale continue
EBLSE entérobactérie productrice de BLSE FMR1 fragile X mental retardation 1
EBNA Epstein-Barr nuclear antigen FMRP fragile X mental retardation protein
EBV virus d'Epstein-Barr FN faux négatif
ECBC examen cytobactériologique des crachats FN fasciite nécrosante
ECBU examen cytobactériologique des urines FO fond d'œil
ECC embole de cristaux de cholestérol FOGD fibroscopie œsogastroduodénale
ECG électrocardiogramme FP faux positif
ECHO virus orphelin humain cytopathogène FPI fibrose pulmonaire idiopathique
entérique FR fréquence respiratoire
ECL emphysème centrolobulaire FSH hormone folliculo-stimulante
XXVIII
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

GB globule blanc IA insuffisance aortique


GdS gaz du sang IADL Instrumental Activities of Daily Living
GEU grossesse extra-utérine Iaire/If/Ive primaire / primitif / primitive
GGT gamma glutamyl-transpeptidase IIaire/IIre secondaire
GH hormone de croissance IAS infection associée aux soins
GH-RH hormone de libération de la GH IDE infirmier(ère) diplômé(e) d'État
GIR groupe iso-ressources IDM infarctus du myocarde
GMSI gammapathie monoclonale de signification IDR intradermoréaction à la tuberculine
indéterminée IEC inhibiteur de l'enzyme de conversion
GN glomérulonéphrite IEM institut d'éducation motrice
GNA glomérulonéphrite aiguë IEPS immunoélectrophorèse des protéines sériques
GNEM GN extramembraneuse IEPU immunoélectrophorèse des protéines urinaires
GNLGM GN à lésions glomérulaires minimes IF immunofluorescence
GNRP GN rapidement progressive IFD immunofluorescence directe
GR globule rouge IFI immunofluorescence indirecte
Gr groupe IFN interféron
GVH réaction du greffon contre l'hôte IFPP immunofixation des protéines plasmatiques
HAD hypertrophie auriculaire droite IFPU immunofixation des protéines unitaires
HAD hospitalisation à domicile Ig immunoglobuline
HAG hypertrophie auriculaire gauche IGF facteur de croissance proche de l'insuline
HAS Haute Autorité de santé IHC insuffisance hépatocellulaire
Hb hémoglobine IL interleukine
HbA1C hémoglobine glyquée IM intramusculaire
HbO2 oxyhémoglobine IM insuffisance mitrale
HBP hypertrophie bénigne de la prostate IMAO inhibiteurs de la monoamine oxydase
HBPM héparine de bas poids moléculaire IMC indice de masse corporelle
HCG gonadotrophine chorionique humaine IME institut médico-éducatif
HDJ hôpital de jour IMG interruption médicale de grossesse
HDL lipoprotéine de haute densité IMP institut médico-pédagogique
HDT hospitalisation à la demande d'un tiers IM-Pro institut médico-professionnel
HED hématome extradural INR international normalized ratio
HELLP hemolysis + elevated liver enzymes + low INSERM Institut national de la santé et de la recherche
platelets médicale
HER2 human epidermal growth factor receptor 2 InVS Institut national de veille sanitaire
HHG hypogonadisme hypogonadotrope IPD interphalangienne distale
HLA human leucocyte antigen IPP interphalangienne proximale
HM hépatomégalie IPP incapacité permanente partielle
HNF héparine non fractionnée IPP inhibiteur de la pompe à protons
HNPCC hereditary non polyposis colorectal cancer IPS index de pression systolique
HO hospitalisation d'office IPSS International Prostatic Score Symptom
HP Helicobacter pylori IR insuffisance rénale
HP hôpital psychiatrique IRA insuffisance rénale aiguë
HPA human platelet antigen IRC insuffisance rénale chronique
HPN hémoglobinurie paroxystique nocturne IRDES institut de recherche, d'étude et de docu-
HPV human papilloma virus mentation en économie de la santé
HSD hématome sous-dural IRespA insuffisance respiratoire aiguë
HSF hyalinose segmentaire et focale IRespC insuffisance respiratoire chronique
HSV herpes simplex virus IRF insuffisance rénale fonctionnelle
HTA hypertension artérielle IRM imagerie par résonance magnétique
HTAP hypertension artérielle pulmonaire IRSNA inhibiteur de la recapture de la sérotonine et
HTIC hypertension intracrânienne de la noradrénaline
HTLV human T lymphocyte virus IRT insuffisance rénale terminale
HTP hypertension portale ISO International Standardisation Organisation
HU hauteur utérine (entre le bord supérieur de la ISRS inhibiteur sélectif de la recapture de la
symphyse pubienne et le fond utérin) sérotonine
HVD hypertrophie ventriculaire droite IST infection sexuellement transmissible
HVG hypertrophie ventriculaire gauche ITT incapacité temporaire totale de travail
XXIX
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

IV intraveineux mTOR mammalian target of rapamycin (enzyme


IVD intraveineux direct régulatrice du cycle cellulaire)
IVD insuffisance ventriculaire droite N normal
IVG insuffisance ventriculaire gauche N↑ normal ou élevé
IVG interruption volontaire de grossesse N↓ normal ou bas
IVL intraveineux lent NASH non-alcoholic steatohepatitis ou stéato-hépa-
IVSE intraveineux à la seringue électrique tite non alcoolique
JDE jonction dermo-épidermique NEM néoplasie endocrinienne multiple
JJ double J (sonde urétérale) NFS numération-formule sanguine
JLD juge des libertés et de la détention NK natural killer
LA leucémie aiguë NOI neuropathie optique inflammatoire
LAF lampe à fente NOIA neuropathie optique ischémique antérieure
LAL leucémie aiguë lymphoblastique NOIAA NOIA aiguë
LAM leucémie aiguë myéloblastique NORB névrite optique rétrobulbaire
LATA limitation et/ou arrêt des thérapeutiques NSE neurone specific enolase
actives NTA nécrose tubulaire aiguë
LBA lavage broncho-alvéolaire Nt-proBNP fragment N-terminal du précurseur du brain
LCS liquide cérébrospinal natriuretic peptide
LDH lactate-déshydrogénase NYHA New York Heart Association
LDL lipoprotéine de basse densité OACR occlusion de l'artère centrale de la rétine
LES lupus érythémateux systémique OAP œdème aigu du poumon
LH hormone lutéinisante OD oreillette droite
LH-RH hormone de libération de l'hormone lutéini- OG oreillette gauche
sante OGM organisme génétiquement modifié
LLC leucémie lymphoïde chronique OMA otite moyenne aiguë
LMC leucémie myéloïde chronique OMI œdème des membres inférieurs
LMMC leucémie myélomonocytaire chronique OMS Organisation mondiale de la santé
LNH lymphome non hodgkinien ONIAM Office national d'indemnisation des accidents
LP libération prolongée médicaux
MAI maladie auto-immune OPP ordre de placement provisoire
MALT mucosa-associated lymphoid tissue ou tissu OR odds ratio
lymphoïde associé aux muqueuses ORL otorhinolaryngologi(qu)e
MAP menace d'accouchement prématuré OTC over the counter
MASP mesure d'accompagnement social personna- OVCR occlusion de la veine centrale de la rétine
lisé P poids
MC maladie de Crohn PaCO2 pression artérielle partielle en CO2
MCP métacarpophalangienne PAF polypose adénomateuse familiale
MDPH maison départementale des personnes PAL phosphatase alcaline
handicapées PAN périartérite noueuse
MDT médecin du travail pANCA ANCA à fluorescence périnucléaire
MECS maison d'enfants à caractère sanitaire PaO2 pression artérielle partielle en O2
MEFV mediterranean fever PAP pression artérielle pulmonaire
MEOPA mélange équimolaire oxygène-protoxyde PAPM pression artérielle pulmonaire moyenne
d'azote PAPO pression artérielle pulmonaire d'occlusion
MFIU mort fœtale in utero PAPS pression artérielle pulmonaire systolique
MGUS monoclonal gammopathy of undetermined PAS para-aminosalicylic acid ou acide para-
significance ou gammapathie monoclonale aminosalicylique
de signification indéterminée PASS permanence d'accès aux soins de santé
MI membre inférieur PBH ponction-biopsie hépatique
MICI maladie inflammatoire chronique de l'intestin PBR ponction-biopsie rénale
MMSE Mini Mental State Examination PC perte de conscience
MNI mononucléose infectieuse PC périmètre crânien
MP maladie professionnelle PCA analgésie contrôlée par le patient
MS membre supérieur PCR polymerase chain reaction ou réaction en
MSA Mutualité sociale agricole chaîne par polymérase
MT médecin traitant PCT procalcitonine
MTEV maladie thromboembolique veineuse PDGF facteur de croissance des plaquettes
MTHFR méthyltétrahydrofolate-réductase PEA potentiel évoqué auditif
XXX
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

PEG polyéthylène glycol RR risque relatif


PET-scan tomographie par émission de positons cou- RST récepteur soluble de la transferrine
plée au scanner RTU recommandation temporaire d'utilisation
pFAPA periodic fever adenitis pharyngitis and aphtosis SA semaine d'aménorrhée
PFC plasma frais congelé SAAAIS service d'aide à l'acquisition de l'autonomie
PFGMC plateforme régionale de génétique molécu- et à l'intégration scolaire
laire des cancers SAFEP service d'accompagnement familial et d'édu-
PID pneumopathie interstitielle diffuse cation précoce
PL perfusion lente SAMETH service d'appui au maintien dans l'emploi des
PL ponction lombaire travailleurs handicapés
PLP protéine liant la pénicilline SAMU service d'aide médicale d'urgence
PMI protection maternelle et infantile SaO2 saturation en oxygène du sang artériel
PNB polynucléaire basophile SAPHO synovite, acné, pustulose, hyperostose et
PNE polynucléaire éosinophile ostéite (syndrome)
PNN polynucléaire neutrophile SAPL syndrome des antiphospholipides
POIC pseudo-obstruction intestinale chronique SAS syndrome d'apnées du sommeil
PPR pseudo-polyarthrite rhizomélique SAU service d'accueil des urgences
PPSB prothrombine, proconvertine, facteur SC sous-cutanée
Stewart, facteur anti-hémophilique B (com- SCC squamous cell carcinoma
plexe prothrombique) SDAS service départemental d'action sociale
PR polyarthrite rhumatoïde SDRA syndrome de détresse respiratoire aiguë
PRL prolactine SDRC syndrome douloureux régional complexe
PS performance status SE seringue électrique
PSA antigène spécifique de la prostate SEGPA section d'enseignement général et profes-
PSL produit sanguin labile sionnel adapté
PTG prothèse totale de genou SEP sclérose en plaques
PTH prothèse totale de hanche SERM selective estrogen receptor modulator
PTH parathormone SESSAD service d'éducation spécialisée et de soins à
PTHrp protéine proche de la parathormone domicile
PTI purpura thrombopénique idiopathique SHA solution hydroalcoolique
PTT purpura thrombotique thrombocytopénique SHBG sex hormone-binding globulin
PVC pression veineuse centrale SHU syndrome hémolytique et urémique
QCM questionnaire à choix multiple SIADH sécrétion inappropriée d'hormone anti-
QRS complexe QRS diurétique
QSP quantité suffisante pour SIDA syndrome d'immunodéficience acquise
QT espace QT (ECG) SIO sphincter inférieur de l'œsophage
RA rétrécissement aortique SLA sclérose latérale amyotrophique
RAA rhumatisme articulaire aigu SMD syndrome myélodysplasique
RAI recherche d'agglutinines irrégulières SMM splénomégalie myéloïde
RAST radio-allergosorbent test (dosage radio-im- SMPNM syndrome des mouvements périodiques noc-
munologique des IgE spécifiques) turnes des membres
RCH rectocolite hémorragique SMPR service médico-psychiatrique régional
RCIU retard de croissance intra-utérin SMR service médical rendu
RCP résumé des caractéristiques du produit SN syndrome néphrotique
RECIST response evaluation criteria in solid tumors SNC système nerveux central
RGO reflux gastro-œsophagien SNFGE Société nationale française de gastroentéro-
RH récepteurs hormonaux logie
Rh Rhésus SNG sonde nasogastrique
RHJ reflux hépato-jugulaire SPDDE soins psychiatriques sur décision du directeur
RM rétrécissement mitral de l'établissement
RMI revenu minimum d'insertion SPDRE soins psychiatriques sur décision d'un repré-
RMN résonance magnétique nucléaire sentant de l'État
RMO référence médicale opposable SPDT soins psychiatriques sur demande d'un tiers
ROR rougeole-oreillons-rubéole SPDTU soins psychiatriques sur demande d'un tiers
ROT réflexe ostéotendineux en urgence
RPC recommandations pour la pratique clinique SpO2 SaO2 évaluée par saturomètre de pouls
RPM réflexe photomoteur SPPI soins psychiatriques en cas de péril imminent
RPM rupture prématurée des membranes SRAS syndrome respiratoire aigu sévère
XXXI
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

SRIS syndrome de réponse inflammatoire systémique TVP thrombose veineuse profonde


SRO solution de réhydratation orale TVT trans vaginal tape
SROS schéma régional d'organisation sanitaire UD ulcère duodénal
SS Sécurité sociale UFR unité de formation et de recherche
SSEFIS service de soutien à l'éducation familiale et à UG ulcère gastrique
l'intégration scolaire UGD ulcère gastroduodénal
SSESD service de soins et d'enseignement spécial à UHSA unité hospitalière spécialement aménagée
domicile UI unité internationale
SSIAD service de soins infirmiers à domicile UIV urographie intraveineuse
SSR soins de suite et de réadaptation UMD unité pour malades difficiles
T température UNEDIC Union nationale pour l'emploi dans l'indus-
T3 triiodothyronine trie et le commerce
T4 thyroxine UPI unité pédagogique d'intégration
TA tension artérielle URML union régionale des médecins libéraux
TAd tension artérielle diastolique USI unité de soins intensifs
TAs tension artérielle systolique USP unité de soins palliatifs
TC traumatisme crânien UV ultraviolet
TCA temps de céphaline activée VADS voies aérodigestives supérieures
TCK temps de céphaline kaolin VAT vaccin antitétanique
TCMH teneur corpusculaire moyenne en Hb VBP voie biliaire principale
TCR récepteur du lymphocyte T VCA viral capside antigen (d'EBV)
TDM tomodensitométrie (scanner) VCI veine cave inférieure
TDT temps de doublement tumoral VD ventricule droit
TE thrombocytémie essentielle VDRL venereal disease research laboratory
TENS transcutaneous electrical nerve stimulation VEGF vascular epithelial growth factor
ou neurostimulation électrique transcutanée VEGFR récepteur du VEGF
TEP tomographie par émission de positons VEMS volume expiré maximum par seconde
TG triglycéride VG ventricule gauche
TGI tribunal de grande instance VGM volume globulaire moyen
TGO transaminase glutamo-oxaloacétique VHA virus de l'hépatite A
TGP transaminase glutamo-pyruvique VHB virus de l'hépatite B
THS traitement hormonal substitutif VHC virus de l'hépatite C
TIH thrombopénie induite par l'héparine VHD virus de l'hépatite D
TIPS transjugular intrahepatic portosystemic shunt VHE virus de l'hépatite E
TJ turgescence jugulaire VIH virus de l'immunodéficience humaine
TNM tumor, node, metastasis (systèmes de stadifi- VLDL very low density lipoprotein ou lipoprotéines
cation) de très basse densité
TOC trouble obsessionnel compulsif VMI ventilation mécanique invasive
TOGD transit œsogastroduodénal VN vrai négatif
TOT trans obturator tape VNI ventilation non invasive
TP taux de prothrombine VO varice œsophagienne
TPHA treponema pallidum haemagglutination assay VP vrai positif
TQ temps de Quick VPN valeur prédictive négative
TR toucher rectal VPP valeur prédictive positive
TRH hormone de libération de la TSH VR volume résiduel
TS tentative de suicide VRE volume résiduel expiratoire
TSH thyroid stimulating hormone VRS virus respiratoire syncytial
TURP transurethral resection of the prostate VS vitesse de sédimentation
TV toucher vaginal VSH veine sus-hépatique
TV tachycardie ventriculaire VVZ virus de la varicelle et du zona
����������������������������������
Mieux comprendre ce qui est attendu

Sens des termes du programme ▶ Traitements de rééducation fonctionnelle :


▪ principales modalités ;
des ECNi ▪ pas l'appareillage.
▶ Données élémentaires de prévention.
ÉPIDÉMIOLOGIE PRINCIPES DU TRAITEMENT
▶ Facteurs de risque. ▶ Orientationsthérapeutiques.
▶ Fréquence de la maladie (sans données épidémiologiques ▶ Classesde médicaments sans posologie, durée.
chiffrées). ▶ Pas les aspects techniques ni les modalités de mise en
œuvre ou d'administration.
PHYSIOPATHOLOGIE
▶ Données élémentaires de prévention.
▶ Physiopathologie proprement dite.
▶ Pathogénie, mécanisme : mode de production des lésions, des PRINCIPES ET RÈGLES D'UTILISATION
symptômes, des désordres fonctionnels et des complications. D'UN MÉDICAMENT
▶ Règles de la rédaction d'une ordonnance.
TERRAIN
▶ Listes réglementaires : signification et usage des médica-
▶ Enl'absence de spécification : toute la population. ments inscrits.
▶ Chez l'enfant : de 1 à 15 ans. ▶ Conséquences pratiques de la cinétique et des propriétés
▶ Chez le nourrisson : avant 1 an.
pharmacologiques.
ÉTIOLOGIE ▶ Principales interactions.
▶ Principaux effets indésirables.
Principales causes.
▶ Modalités de surveillance et d'arrêt.
ORIENTATION DIAGNOSTIQUE ▶ Règles de prescription selon le terrain : insuffisant rénal ou

▶ Démarche conduisant des symptômes au diagnostic (posi- hépatique, sujet âgé…


tif, différentiel et étiologique). ▶ Posologie : si spécifiée dans le libellé de l'item.

▶ Pas d'exigibilité de connaissance approfondie des maladies


CONDUITE À TENIR EN SITUATION D'URGENCE
présentes seulement dans ce type d'item « symptôme ».
▶ Ensemble des démarches et comportements permettant de :
DIAGNOSTIC ▪ assurer le diagnostic ;
▶ Éléments du diagnostic positif. ▪ apprécier la gravité immédiate ;
▶ Éléments essentiels du diagnostic différentiel. ▪ prescrire les mesures de sauvetage ;
▪ mettre en place la surveillance ;
ANATOMIE PATHOLOGIQUE ▪ poser l'indication d'un transfert par les moyens appropriés
▶ Données élémentaires : exigibles même sans mention de ce vers un service spécialisé.
terme. ▶ Posologie : si spécifiée dans le libellé de l'item.
▶ Éléments plus approfondis : en cas de mention spécifique. ▶ Pas les techniques utilisées ensuite dans un service
▶ Classifications en pathologie maligne : exigibles que si spécialisé.
mentionnées dans le libellé de l'item.
PRÉVENTION
TRAITEMENT Connaissance approfondie de la prévention.
▶ Choisir et surveiller le traitement.
▶ Médicaments :
▪ principales molécules utiles, en DCI (à défaut, nom de
marque plutôt que rien) ;
▪ voies d'administration ;
▪ durée du traitement ;
▪ principaux effets secondaires ;
▪ posologie : si spécifiée dans le libellé de l'item du pro-
gramme (cf. liste p. XXXII à XXXIII).
▶ Traitements chirurgicaux :
▪ méthodes et leurs indications ;
▪ pas de description des techniques.
▶ Radiations ionisantes :
▪ indications ;
▪ principaux effets secondaires.
XXXIV
MIEUX COMPRENDRE CE QUI EST ATTENDU

Posologies exigibles ▪ en IM, si voie IV indisponible :


�� ������������������
�� ����������������������������
(Enfants : expression « /kg », mais sans dépasser la posologie
▶ ± Salbutamol : 5 mg en aérosol, si bronchospasme ne
adulte !)
cédant pas à l'adrénaline.
ARRÊT CARDIORESPIRATOIRE ITEM 327 ▶ Autres, ne devant pas retarder le traitement d'urgence :
▪ méthylprednisolone (Solumédrol®) : 1~2 mg/kg IVL,
▶ Traitement de la cause +++
▪ dexchlorphéniramine (Polaramine®) : 5 mg = 1 amp IV.
▶ Adrénaline :
▪ 1 mg IVD / 4 minutes ŒDÈME DE QUINCKE
▪ augmentable jusqu'à 5 mg / injection en cas d'asystolie
▶ Sichoc associé : cf. Choc anaphylactique.
▪ 1ère dose possible en intratrachéal en attendant l'abord
▶ Sigêne respiratoire sans choc :
vasculaire : 2~3 mg dans 10 mL d'eau pour préparation ▪ adrénaline IM ou SC, renouvelable :
injectable �� �������������������������
▶ ± CEE : 150~200 J, énergie croissante en cas d'échec
�� ������������μg/kg ;
▶ ± Amiodarone : 300 mg IVD ▪ méthylprednisolone (Solumédrol®) : 1 mg/kg IVL ;
▪ dexchlorphéniramine (Polaramine®) : 5 mg = 1 amp IV.
ÉTAT DE CHOC ITEM 328
▶ Sans gêne respiratoire, ni choc : anti-H1 IM ou SC
▶ Traitement de la cause +++. (Polaramine® 5 mg), puis per os (5~10 mg/j).
▶± Remplissage vasculaire :
▪ en l'absence de signes de surcharge hydrosodée MALAISE, PERTE DE CONNAISSANCE,
▪ abondant en cas de choc hypovolémique CRISE COMITIALE ITEM 337
▪ prudent en cas de choc cardiogénique
▪ modéré en cas d'EP ou de tamponnade
HYPOGLYCEMIE
▶ Resucrage
▪ sérum physiologique : 500 ml IV en 10~20 min, chez l'adulte
▶ Glucagon, si diabète de type I :
Traitement de la cause +++.
▪ adulte et enfant > 25 kg : 1 mg SC
CARDIOGÉNIQUE ▪ enfant < 25 kg : 20 μg /kg
▶ Dobutamine : débutée à 3 μg/kg/min. MALAISE VAGAL : atropine 0,5~1 mg IV
SEPTIQUE ou SC renouvelable
▶ Hyperkinétique : ± noradrénaline : débutée à 0,05 μg/kg/ HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
min.
(en cas d'échec du traitement de la cause et des mesures non
▶ Hypokinétique : noradrénaline + dobutamine.
médicamenteuses)
ANAPHYLACTIQUE : cf. ci-dessous ▶ Midodrine 2,5 mg : 2~3 cp/j, en 2~3 prises, majorable pro-

gressivement, jusqu'à 15 cp/j


HÉMORRAGIQUE ▶ Fludrocortisone 50 μg : 1 cp/j, majorable progressivement
▶ CGR. jusqu'à 4/j
▶ Expansion volémique en attendant les CGR.
CAUSES CARDIAQUES
PURPURA FULMINANS ITEM 328 ▶ Correction des facteurs favorisants : cardiopathie sous-
▶ Antibiothérapie ± « remplissage » dès suspicion du diagnostic jacente, dyskaliémie, dysthyroïdie, intoxication, hypothermie…
▶ Céfotaxime : ▶ Troubles de la conduction :
▪ adulte : 1~2 g IV ou IM (puis 200 mg/kg/j en 4 perfusions) ▪ bradycardie mal tolérée : atropine 0,5~1 mg IV ou SC
▪ nourrisson ou enfant : 50 mg/kg, ≤ 1 g.
renouvelable
▶ ou Ceftriaxone : ▪ BAV III, BAV II Mobitz 2, BSA III, BSA II : isoprénaline (5 amp
▪ adulte : 1~2 g IV ou IM (puis 70 mg/kg/j, ≤ 2 g/j)
de 0,2 mg dans 250 mL de G5, débit à adapter à la FC)
▪ nourrisson ou enfant : 50~100 mg/kg, ≤ 1 g. ▪ formes sévères : sonde d'entraînement électrosystolique
▶ ou, à défaut, amoxicilline : ▶ Troubles du rythme :
▪ adulte : 1 g IV ou IM ; ▪ FA, flutter, tachycardie atriale (outre antithrombotique) :
▪ nourrisson ou enfant : 50 mg/kg, ≤ 1 g. ▪ si objectif de réduction médicamenteuse :
ŒDÈME DE QUINCKE ET ANAPHYLAXIE �� ��������������������������������������������������������
CHOC ANAPHYLACTIQUE 1,5~2 mg/kg IVL en 10 min.
�� �vec cardiopathie, amiodarone 200 : 5 mg/kg en 1~2 h IV
▶ Adrénaline :
▪ au mieux IV :
puis 10~20 mg/kg/j IVL ou 3 cp /j × 8~10 j
▪ si objectif de ralentissement :
�� ������� �� ������ ��� ���� �� ���� ���� �������������� ��� ����-
�� ��� ����� ≥ 40% : bisoprolol (1,25~20 mg/j ou diltiazem
rables jusqu'à 1 à 2 mg
(180~360 mg/j) ou vérapamil (120~480 mg/j) ± digoxine
�� ���������������������������������������
(0,0625~0,250 mg/j)
XXXV
MIEUX COMPRENDRE CE QUI EST ATTENDU

�� ��� ����� < 40% : bisoprolol (1,25 mg/j) ± digoxine ▪ Phénobarbital :


(0,0625~0,250 mg/j) �� ������� �� ������ ������ ��� ��� ������ ���� ����� ����� ���
�� si contre-indication aux autres : amiodarone 200 mg / j kg/24 h
▪ TV : �� ������� �� ������ ������ ��� ��� ������ ���� ����� ������ ���
�� ����������������������������������������μg/kg/min IVSE kg/24 h
�� ���������������������������������������������������� ▪ Thiopental :
�� �������������������������������� ▪ adulte : 3~5 mg/kg IV puis 1~5 mg/kg/h
▪ torsades de pointes : ▪ enfant : 3~5 mg/kg IV puis 1~3 mg/kg/h
�� �������������������������������
CONVULSIONS CHEZ LE NOURRISSON
�� �����������������������������������������
ET CHEZ L'ENFANT ITEM 341
�� �� ������������� ���������� ���� ������������� �� �� ���� ���
0,2 mg dans 250 mL de G5, débit à adapter à la FC ANTI-EPILEPTIQUES : cf. ci-dessus
�� ± entrainement électro-systolique
▪ Bouveret, en cas d'échec des manoeuvres vagales : ANTIPYRÉTIQUES
�� ���������® 20 mg : 1 amp IV ▶ Paracétamol : 60 mg/kg/j en 4 prises
�� ������������������������������������ ▪ sachets : 80, 100, 150, 200, 250, 300 mg ;
�� ���������������������������������������������������� ▪ suspension buvable avec seringue graduée en kg,
�� ���������������������������������������������� ▪ suppositoires : 80, 100, 150, 200 et 300 mg et flacons IV à
500 mg).
EPILEPSIE ▶ Aspirine: 25~50 mg/kg/j en 3~4 prises (sachets de 100, 250
▶ Benzodiazépines : et 500 mg).
▪ Diazépam : PRE-ECLAMPSIE ITEM 339
�� ������������������������������������������������������ ▶ Bétaméthasone (24~34 SA) : 12 mg IM x 2 à 24 h
�� ��������
d'intervalle
– 0,5 mg/kg intrarectal (≤ 10 mg), ▶ Nicardipine (cp 20 et 50 mg) : 20~50 mg/j p.o., 24~150 mg/j
– 0,5 mg/kg/j p.o. en 2~3 prises
IVSE
▪ Clonazépam : comme diazépam mais posologies divisées
▶ Labétalol (cp 200 mg, amp 100 mg) : 200~600 mg/j
par 10 ▶ Sulfate de magnésium : 4 g IVL (en 5~15 min) puis 1 g/h
▶ Traitement de fond :
▪ Lamotrigine : 25 mg x 1 / j (enfant ≥ 2 ans : 0,3 mg/kg/j), AGITATION ET DELIRE AIGU ITEM 346
majorable
▪ Lévétiracétam : 250 mg x 2 / j, au-delà de 12 ans, AGITATION
majorable ▶ Benzodiazépines :
▪ Valproate : 20 mg/kg/j, majorable jusqu'à 30 mg/kg/j ▪ diazépam : 10~20 mg p.o. ou IM
▶ Traitement de l'état de mal : ▪ clorazépate : 50 mg p.o. ou IM
▪ (traitements successifs, en cas d'échec de la ligne ▶ Antipsychotiques :
précédente) ▪ loxapine : 100~200 mg p.o. ou IM
▪ Clonazépam : ▪ cyamémazine : 50~200 mg p.o. ou IM
▪ adulte : 1 mg IVL (3 min), renouvelable une fois si convul- ▪ halopéridol : 1~2 mg p.o. ou IM
sions persistantes après 5 min
DELIRE AIGU
▪ enfant : 0,02~0,05 mg/kg IVL (ou intrarectal)
▪ (ou Diazépam : comme clonazépam mais doses multipliées ▶ Antipsychotique : cf. ci-dessus
par 10)
▶± Benzodiazépines : cf. ci-dessus
▪ Phosphénytoïne ou phénytoïne : CRISE D'ANGOISSE AIGUË ET ATTAQUE
�� ���������������������������������������������������� DE PANIQUE ITEM 347
�� ���������������������* puis 5~10 mg/kg/24 h
▶ Une benzodiazépine parmi :
�� ���������������������* puis 2,5~5 mg/kg/24 h ▪ Diazépam : 5~10 mg p.o.
▪ Alprazolam : 0,25~0,50 mg p.o.
▪ Clorazépate : 20 mg IM

* Phosphénytoïne, phénytoïne et phénobarbital IVL : en 20~30 min


XXXVI
MIEUX COMPRENDRE CE QUI EST ATTENDU

Savoir répondre aux QCM1 LORS DE L'EXAMEN


▶ Avoir bien dormi :
▪ pour être attentif et rapide
EPREUVES ▪ il est plus rentable de bien dormir que de réviser quelques

▶ Composition
heures de plus
▶ Avoir son matériel :
Epreuves Constitution Durée Part de la note ▪ préparé la veille
finale
▪ en double : cas de panne de stylo
Dossiers 3 parties de chacune 3×3h 70 % ▪ stylo, crayon, gomme, surligneur
cliniques 6 dossiers suivis (3 × 6 × 420 = 7560)
Progressifs (DCP) de 13 à 17 QCM chacun ▪ une montre
▪ à boire et à manger
QCM isolés 120 QCM 3h 20 %
(120 × 18 = 2160) ▶ Ne pas avoir de matériel interdit :
▪ téléphone portable
Lecture critique 2 articles 3h 10 %
d'articles (LCA) (un clinique, (2 × 540) ▪ calculette
un physiopathologique), ▪ tablette personnelle
chacun suivi de 13 à ▪ dictionnaire
17 QCM
▪ bouchons d'oreille personnels : proposés sur place
▪ papier de brouillon personnel : donné sur place
▶ Enoncé et réponse sur tablettes informatiques :
▶ Arriver avec quelques minutes d'avance
▪ sans document - papier sauf 2 articles de LCA
▶ Aller aux toilettes
▪ correction d'une réponse à un QCM précédent :
▶ Rester calme :
�� ����������������������������
▪ se répéter qu'on a bien travaillé, donc qu'on va réussir
�� ���������������������������������
▪ éviter le contact d'étudiants mal préparés, négatifs ou anxieux
▶ Correction informatisée :
▪ relaxation : respirer profondément, boire doucement…
▪ avantage : correction automatisée, rapide, objective et
▶ Ne pas se laisser distraire :
homogène
▪ bouchons d'oreille : fournis sur place
▪ défauts :
▪ repousser les idées parasites
�� ���������������������������������
▶ Lire attentivement les questions et instructions
�� ���������������������������������������������������������
▶ Dans les épreuves de dossier et de LCA :
de sa capacité à rédiger
▪ lire rapidement l'épreuve en prenant des notes
PREPARATION ▪ pour avoir des idées et voir les difficultés
▶ Acquérir les connaissances nécessaires : ▶ Répondre aux questions les plus faciles en premier et aux
▪ régulièrement : pas de bachotage (gain faible, stress) plus difficiles en dernier :
▪ en révisant plusieurs fois ▪ ne pas perdre de temps
▶ S'entraîner aux QCM en temps limité : ▪ se rassurer en voyant qu'on avance
▪ pour acquérir des automatismes ▪ s'assurer de ne pas avoir oublié de répondre à certaines
▪ pour trouver la bonne vitesse : être plus rapide, mais pas questions
trop (pour éviter certaines erreurs) ▶ En fin d'épreuve :
▪ pour ne pas être déstabilisé durant les épreuves ▪ utiliser tout le temps disponible
▪ relire et corriger les erreurs dans l'épreuve de QCM isolés
▪ ne pas se laisser distraire par les étudiants quittant la
salle
▶ Etre attentif aux :
▪ détails de l'énoncé
▪ mots négatifs : « ne (…) pas »…
▪ mots quantifieurs :
�� ���������������������������������������������
�� ��������� ��� ������� �� ���������� ��� ������ ����������� ���-
dant l'affirmation souvent fausse sauf si elle correspond
à une définition
▪ conjonctions : et, ou…
▪ affirmations à plusieurs parties : pour être vraie, chaque
1. QCM : questionnaire à choix multiples. partie doit être vraie
I
Apprentissage
de l'exercice médical

SOMMAIRE

UE 1
APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL ET DE LA COOPÉRATION
INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 1 Relation médecin-malade 3
ITEM 2 Valeurs professionnelles 5
ITEM 3 Le raisonnement et la décision en médecine 7
ITEM 4 Sécurité du patient 10
ITEM 5 Gestion des erreurs et des plaintes.
Aléa thérapeutique 16
ITEM 6 Organisation de l'exercice clinique
et méthodes permettant de sécuriser
le parcours du patient 18
ITEM 13 Démarche d'assurance qualité.
Évaluation des pratiques professionnelles 20
ITEM 14 Formation tout au long de la vie 22
ITEM 15 Organisation du système de soins 24
ITEM 16 Protection sociale.
Consommation médicale et économie
de la santé 27
ITEM 17 Système conventionnel 32
����������������������������������
3

UE 1
Relation médecin-malade

APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL


ITEM 1

Objectifs Bases de la communication, établissement d'une relation, annonce d'une maladie grave,
d'un handicap ou d'un décès, projet pédagogique pour l'éducation du malade

BASES DE LA COMMUNICATION �� ����������������������������������


�� ����������������������
COMMUNICATION AVEC LE PATIENT �� ������������������������������������������
OBJECTIFS
COMMUNICATION INTERPROFESSIONNELLE
▶ Recueil de données familiales, socioculturelles et médicales.
▶ Information pour une décision éclairée et une meilleure
OBJECTIFS
▶ Échange d'informations sur le patient.
observance thérapeutique.
▶ Soutien du patient. ▶ Meilleure qualité de prise en charge.
▶ Baisse des coûts, rapidité.
PATIENT ▶ Réduction des risques : allergies, intolérances…
▶ Possiblement en souffrance.
▶ Demandeur de :
OUTIL « SAED »
▪ aide technique : diagnostic, traitement ; ▶ Outilde communication structurée.
▪ confiance, écoute et aide morale. ▶ Recommandé par la HAS.
▶ Obligation théorique de suivre les recommandations du ▶ SAED = Situation, Antécédents, Évaluation, Demande.
▶ Guide visant à standardiser le contenu et l'ordre des élé-
médecin.
ments communiqués.
MÉDECIN
▶ Obligation de moyens et d'information.
EFFICIENCE ET COURTOISIE
▶ Dispensation de soins : ▶ Interlocuteur���������������������������

▪ conformes à l'état actuel de la science ; ▶ Informations : claires, suffisantes, fournies au bon moment.
▪ adaptés au patient. ▶ Politesse, respect, prise en compte des autres professionnels.

▶ Expression d'écoute et d'empathie (cf. ci-contre).


▶ Facteurs limitant l'écoute : EMPATHIE, RESPECT DE LA PERSONNALITÉ
▪ éléments de la vie personnelle du médecin ; ET DES DÉSIRS DU PATIENT
▪ personnalité du médecin : craintes, inhibitions.
EMPATHIE
MODALITÉS DE COMMUNICATION ▶ Définition : capacité de se mettre à la place de l'autre et de
▶ Communication verbale : ressentir ses sentiments.
▪ explicite : sens des mots employés ; ▶ Limite = manque de distance :
▪ implicite : sous-entendus. ▪ sentiment d'atteinte à l'intimité ;
▶ Communication non verbale : ton, attitude… ▪ risque de manque d'objectivité et de décisions inadaptées.
▶ Questions du médecin :
▪ buts : réponses informatives, expression d'un intérêt pour INFORMATION ADAPTÉE AU DÉSIR DU PATIENT
le patient ; Article L. 1111-2 du Code de la santé publique : « Toute per-
▪ risques et limites : sonne a le droit d'être informée sur son état de santé.
�� ��������� ����������� ���� ��� �������� �� �������������� Cette information porte sur les différentes investigations,
jugement… traitements possibles et sur les conséquences prévisibles en
�� ����������������������������������������������������������� cas de refus […]. Cette information est délivrée au cours d'un
données importantes, écueil évité par un entretien non entretien individuel. La volonté d'une personne d'être tenue
directif ; dans l'ignorance d'un diagnostic ou d'un pronostic doit être
▪ formes des questions : respectée, sauf lorsque des tiers sont exposés à un risque de
�� ouvertes : réponses libres, permettant l'expression du transmission. »
patient,
�� fermées : réponses possibles limitées par oui, non, un ANNONCE D'UNE MAUVAISE NOUVELLE
chiffre…
�� ���������������������������������������������������������- UTILITÉ DE L'ANNONCE
sentis comme intimes, ▶ Prise de conscience, inévitable à terme :
�� ������������������������������������ ▪ sans information involontaire, maladroite ou non
▶ Entretien non directif : programmée ;
▪ écoute attentive du patient ; ▪ sans mensonge.
▪ répétition reformulée des informations pour : ▶ Participation du patient et acceptation des traitements.

ECNi LE TOUT-EN-UN
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4 UE 1 ITEM 1

APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE

INFORMATION ET SES LIMITES


APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL

ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ITEM 321


(article 35 du Code de déontologie)
▶ « Claire, loyale et appropriée ».
▶ « Dans l'intérêt du malade et pour des raisons légitimes que
le praticien apprécie en conscience, un malade peut être
tenu dans l'ignorance d'un diagnostic ou d'un pronostic
graves, sauf dans les cas où l'affection dont il est atteint
expose les tiers à un risque de contamination. »

CONSEILS D'ANNONCE
▶ Circonstances : calme et disponibilité.
▶ Évaluation du patient et adaptation :
▪ que sait-il ? Que pense-t-il de son état ? Que veut-il savoir
s'il s'agit d'un problème grave ? Tous les détails ?
▪ terrain : personnalité, histoire, situation affective et
familiale, représentations de la maladie, environnement
socioculturel…
▶ Existence d'une personne de confiance ? Consultée et infor-

mée si l'état du patient ne lui permet pas d'être informé


ou de s'exprimer, sans secret médical sauf demande du
patient.
▶ Annonce du diagnostic, du pronostic et de la stratégie thé-

rapeutique, au mieux après avoir amené le patient à les


demander ou à les mentionner lui-même, tout en ména-
geant l'espoir :
▪ partir des symptômes connus du patient ;
▪ cheminement diagnostique avec la place des examens
pratiqués ;
▪ nom à la maladie, et éventuellement noms alternatifs plus
compréhensibles ;
▪ facteurs causaux, sans culpabilisation ;
▪ éléments de réassurance :
�� �������������������������������
�� ���������������������
�� ������
�� ��������������������������
▶ Empathie : identifier les réactions du patient, les légitimer,

les prendre en compte. Lui laisser le temps de comprendre,


penser et s'exprimer. Lui ôter tout sentiment de culpabilité.
▶ Garder la maîtrise de ses propres sentiments.
▶ Rappeler sa disponibilité.

DIFFICULTÉS POUR LE MÉDECIN


▶ Terrains particuliers : sujets jeunes, ayant des enfants
en bas âge.
▶ Identification plus ou moins grande au patient.
▶ Projection du médecin sur le patient, ne permettant pas

l'empathie nécessaire.
▶ Représentation de la maladie pour le médecin.
▶ Angoisse face à la réaction du patient.
▶ Mise en cause de l'idéal professionnel : formulation des

limites de l'efficacité médicale.


5

UE 1
Valeurs professionnelles

APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL


ITEM 2

Objectifs Valeurs professionnelles du médecin et des autres professions de santé


Évolution depuis Hippocrate jusqu'aux textes réglementaires en vigueur
Comparaison avec d'autres pays : États-Unis et Grande-Bretagne
Interactions avec les autres professions de santé

VALEURS PROFESSIONNELLES ▪ développement professionnel continu : obligatoire ;


▪ publicité : interdite.
DÉFINITION ▶ Devoirs envers les patients :
Principes fondamentaux guidant les comportements, notam- ▪ qualité : diagnostic, prescriptions, soins ;
ment dans les rapports avec autrui. ▪ information du patient :
�� ���������������������������
VALEURS DES PROFESSIONS DE SANTÉ �� ������������������������
▶ Compétence : à entretenir par développement profession- �� ������������� ��� ���������� ������ ������ ��� ����� ������������
nel continu des proches sauf interdiction du malade) ;
▶ Respect : ▪ consentement du patient : à obtenir sauf impossibilité
▪ de la vie et de la dignité ; (auquel cas, information des proches sauf urgence ou
▪ de la personne et de son entourage ; impossibilité) ;
▪ des autres professionnels : confraternité… ▪ soulagement des souffrances, sans obstination déraison-
▶ Honneur : honnêteté, probité, intégrité. nable (procédure collégiale) ;
▶ Dévouement : patient au centre du dispositif. ▪ éviter les risques injustifiés ;
▶ Empathie. ▪ soins aux mineurs, aux majeurs protégés : consentement
▶ Confiance, secret. des parents ou du représentant légal sauf urgence ;
▶ Indépendance : pas d'influence de religion ni de labora- ▪ protection contre les sévices : en cas de mineur ou de per-
toire pharmaceutique… sonne en état de faiblesse, alerter les autorités judiciaires
ou administratives ;
ÉVOLUTION DEPUIS HIPPOCRATE ▪ continuité des soins ;
▪ interdiction de recevoir des dons et legs ;
SERMENT D'HIPPOCRATE ▪ honoraires : déterminés avec tact et mesure.
▶ Plus ancien code de déontologie. ▶ Rapports avec les professionnels de santé :
▶ Texte : cf. encadré p. 6. ▪ avec les autres médecins, confraternité :
▶ Valeurs prônées : �� �����������������������
▪ respect notamment de l'enseignant ; �� ���������������������������������
▪ compagnonnage ; �� ������������ ��� ��������� ��������� ��������������� ���
▪ justice ; patient le consultant occasionnellement (après accord
▪ honnêteté ; du patient)
▪ secret ; �� ��� ���� ��� ������ ��� ������� ��� ����� ��������� ��������
▪ respect de la vie : ni euthanasie, ni avortement ; mutuel d'informations (après accord du patient),
▪ limitation de sa pratique à son domaine de compétence ; �� ���������������������������
▪ limitation de l'enseignement de la médecine aux médecins. �� ��������������������������������������������������������
�� ���������������
CODE DE DÉONTOLOGIE ACTUEL – partage des connaissances avec les étudiants,
112 articles listés sur le site du Conseil national de l'ordre des – considération et respect mutuels ;
médecins (http://www.conseil-national.medecin.fr). ▪ avec les autres professionnels de santé :
▶ Devoirs généraux des médecins : �� ��������������
▪ soumission aux lois en vigueur ; �� ������������������������������������������
▪ moralité, probité et dévouement ; �� ������������������������������������
▪ indépendance professionnelle ; �� �������������������������������������������������
▪ secret professionnel ; ▶ Exercice de la profession :
▪ respect de la vie et de la dignité de la personne, même ▪ omnivalence du diplôme et limites :
après sa mort ; �� habilitation théorique à pratiquer tous les actes,
▪ non-discrimination : �� limitation en pratique au domaine de compétence
�� ��������������������������������������� de chacun ;
�� ���������������������������������������� ▪ obligation de participer à la permanence des soins ;
▪ prescriptions : libres, mais nécessaires et suffisantes ; ▪ …

ECNi LE TOUT-EN-UN
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6 UE 1 ITEM 2

APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE

▶ Pédicure-podologue.
APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL

COMPARAISON AVEC D'AUTRES PAYS


▶ Puéricultrice,
auxiliaire de puériculture.
ÉTATS-UNIS ▶ Diététicien,conseiller génétique.
▶ Manipulateur d'électroradiologie.
▶ Charte de l'American College of Physicians.
▶ Secrétaire médicale.
▪ Trois principes fondamentaux :
�� ����������������������������������� RELATIONS RECOMMANDABLES
�� ����������������������� ▶ Bons rapports.
�� �������������������������������������������� ▶ Respect de l'indépendance professionnelle.
▶ Dix engagements :
▶ Respect du libre choix des patients.
▪ compétence : formation continue ;
▶ Échanges d'informations avec l'accord du patient.
▪ amélioration des connaissances scientifiques ;
▪ amélioration de l'accès aux soins ;
▪ répartition juste des ressources limitées ;
▪ amélioration de la qualité des soins ; Serment d'Hippocrate, IVe siècle avant
▪ information des patients ; Jésus-Christ, traduit par Littré au XIXe
▪ confidentialité : secret professionnel ;
�����������������������������������������������������������
▪ relations appropriées avec les patients ;
Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les pre-
▪ maintien de la confiance, gestion des conflits d'intérêts ;
nant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et mes
▪ responsabilités professionnelles.
capacités, le serment et l'engagement suivants :
GRANDE-BRETAGNE ��� �������� ���� ������� ��� ��������� ��� ����� ����� ����
▶ Good medical practice du General Medical Council. les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon avoir
▪ Connaissances, compétences et performances : et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai
�� ������������������������������ ses enfants pour des frères, et s'ils désirent apprendre la
�� ����������������������������� médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engage-
�� ������������������������������� �����������������������������������������������������������
�� ���������������������� ���������������������������������������������������������
▪ Sécurité et qualité des soins : et aux disciples liés par engagement et un serment suivant
�� ���������������������������������������������������� la loi médicale, mais à nul autre.
�� ������������������������������������������������ Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, sui-
▪ Coopération interprofessionelle et travail d'équipe : vant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de
�� ������������������������� tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne
�� ��������������������������������������������� du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative
�� ���������������������������������������������� d'une pareille suggestion ; semblablement, je ne remet-
▪ Respect du patient, maintien de la confiance : trai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma
�� ����������������������� vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
�� ������������������������ Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai
�� ����������������������� aux gens qui s'en occupent. Dans quelques maisons que je
�������� ���� ��������� ����� ���������� ���� ��������� me préser-
INTERACTIONS AVEC LES AUTRES vant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de
PROFESSIONS DE SANTÉ ������������������������������������������������������������
Quoique je voie ou entende dans la société pendant
PROFESSIONS DE SANTÉ l'exercice ou même hors de l'exercice de ma profession, je
▶ Médecin, dentiste, sage-femme. tairai ce qui n'a jamais besoin d'être divulgué, regardant
▶ Pharmacien, opticien. la discrétion comme un devoir en pareil cas.
▶ Prothésiste, orthésiste, audioprothésiste. Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit
▶ Infirmière, aide-soignante. donné de jouir heureusement de la vie et de ma profes-
▶ ������������������ ���������������� ����������������� sion, honoré à jamais des hommes. Si je le viole et que je
orthophoniste, orthoptiste. me parjure, puis-je avoir un sort contraire. »
7

UE 1
Le raisonnement et la décision en médecine

APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL


ITEM 3

Objectif Médecine fondée sur des preuves

RAISONNEMENT ET DÉCISION MÉDECINE FONDÉE SUR DES PREUVES


▶ Définition :
RAISONNEMENT MÉDICAL (cf. schéma p. 9) ▪ pratique médicale fondée sur l'analyse critique de données
▶ Intégration de : scientifiques et non sur l'expérience personnelle ou l'avis
▪ bon sens ; d'experts ;
▪ physiopathologie ; ▪ traduction de evidence based medicine.
▪ expérience personnelle ; ▶ Raisonnement :
▪ médecine fondée sur les preuves (cf. ci-dessous) ; ▪ 1/ décomposition du problème en questions simples ;
▪ arbres décisionnels ; ▪ 2/ revue critique de la littérature déterminant une conduite
▪ recommandations. à tenir ;
▶ Destiné à atteindre une probabilité diagnostique suffisante
▪ 3/ évaluation de la pertinence de cette conduite pour le
pour envisager un traitement. patient considéré.
▶ Raisonnement hypothético-déductif : ▶ Limites :
▪ 1/ problème ; ▪ impossibilité de connaître toutes les études concernant le
▪ 2/ hypothèses ;
champ d'activité d'un médecin ;
▪ 3/ recherche de données supplémentaires ; ▪ absence d'étude sur de nombreux sujets ;
▪ 4/ interprétation des données ; ▪ différences entre les patients vus en pratique quotidienne
▪ 5/ confrontation aux hypothèses ;
et ceux inclus dans les études.
▪ 6/ diagnostic. ▶ Composantes de la décision finale :
▪ épidémiologie clinique : références objectives ;
ÉVENTUELS EXAMENS COMPLÉMENTAIRES ▪ expérience clinique : valeur souvent croissante avec
▶ Non systématiques sauf dépistage recommandé. l'ancienneté ;
▶ Demandés si utiles à la prise en charge : ▪ préférence du patient :
▪ orientation diagnostique ; �� ���������������������������������
▪ orientation thérapeutique. �� ������ ��������� ����� ���������� ���� ���� ��������� ����-
▶ Corollaire : un examen est inutile si son résultat quel qu'il ment médicaux ne permettent pas de décider.
soit, ne modifie pas la prise en charge. ▶ Définitions :
▪ efficacité :
DÉCISION THÉRAPEUTIQUE �� �������������������������������������������������������
▶ Objectif : guérison, stabilisation, prévention de récidive ou donnée,
d'une autre maladie, soulagement des symptômes. �� ����������� ���������� �� ����� ���� ����������� ������������
▶ Savoir ne pas traiter : définies,
▪ en cas de symptômes et de maladie inaccessibles aux �� ������������������������������������������������������������
traitements ; de patients « parfaits ») ;
▪ en cas de trouble ne nécessitant pas de traitement : éviter ▪ efficience :

les placebos et quasi-placebos (risque de baisse d'observance �� �������������������������������������������������������-


d'autres médicaments nécessaires et de rupture de confiance). tion (moyens et risques),
▶ Savoir traiter : �� ���������������������������
▪ poser l'indication : médecine fondée sur des preuves, ▪ utilité :

recommandations, consensus… �� ���������������������������������������������������������


▪ veiller à l'absence de contre-indications et d'interactions de la durée de vie, liée à une intervention médicale,
médicamenteuses néfastes ; �� �������������������������������������������������
▪ adapter la posologie si nécessaire ;
▪ surveiller la tolérance et l'efficacité.

ECNi LE TOUT-EN-UN
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werden. Die „méchanceté“, die Schlechtigkeit, und die „noirceurs“,
die heimtückischen Streiche werden Mode in der Liebe, die
verbrecherische Gesinnung („scélératesse“) wird ein notwendiger
Bestandteil des Liebesgenusses.[130] „Die Wollust wird eine Kunst
der Grausamkeit, der Treulosigkeit, des Verrats und der Tyrannei.
Der Macchiavellismus beherrscht die Liebe.“ Kurz vor der Revolution
treten nach den „petits maîtres“ der Liebe die „grands maîtres“ der
Perversität auf, die herzlosen Verteidiger der theoretischen und
praktischen Immoralität. Menschen ohne Gewissen, freche Heuchler,
die jede Gelegenheit zu ihren Untaten benutzen, die mit kaltem Blute
überlegen, welche „horreurs“ sie begehen wollen, die vor nichts
zurückschrecken, und nur verführen, um zu verderben. Die Typen
der Gestalten Sades lebten! Darüber kann kein Zweifel bestehen.
Und sie fanden in den entarteten Frauen bei ihren Schandtaten
Helferinnen, die noch schlimmer waren als sie selbst. „Das Rouétum
steigerte sich in einigen fürchterlichen Frauen bis zum
Satanismus.“[131] Diese Scheusale marterten die anständige Frau,
deren Tugend ihnen zuwider war, sie liessen meuchelmörderisch
und in boshafter Freude die Gegenstände ihres Hasses, aber auch
ihrer — Liebe aus dem Wege räumen. Sie verkörperten die Wollust
des Bösetuns, die „libertinage des passions méchantes.“[132]
Man glaube nicht, sagen die sonst so schönmalenden Goncourts,
dass diese Typen Gebilde der Phantasie seien. Es sind wirkliche
Menschen, die dieser Gesellschaft das Gepräge geben, deren
Existenz durch zahlreiche Persönlichkeiten bezeugt wird. Die
Goncourts nennen den Herzog von Choiseul, den Marquis de
Louvois, den seine Geliebte, Madame de Blot, folternden Grafen de
Frise als solche männliche Wollust-Teufel. Und eine vornehme
Dame von Grenoble, die Marquise L. T. D. P. M., war das weibliche
Gegenstück dieser Helden, vielleicht ein Vorbild für Sades Juliette.
[133] Die Schreckenszeit war für die Liebe schon vor der
Schreckensherrschaft der grossen Revolution angebrochen, noch
bevor Sade, berauscht von dem in Strömen fliessenden Blute auf
den Guillotinen, in den merkwürdigsten literarischen Dokumenten
das ausmalte, was jener mordsüchtigen Zeit nicht fremd war: la
Terreur dans l’Amour! Und als in der Schreckenszeit unter
Chaumettes Leitung die „theosophischen Orgien der Wollust“
gefeiert wurden, als die „Göttinnen der Vernunft“ wie die Maillard, die
Moncoro, die Aubry auf sehr irdische Weise verehrt wurden, da
erschienen auch urplötzlich die „tricoteuses de Robespierre“, die
„flagelleuses“ und die schrecklichen „furies de guillotine“.
Da werden Weiber zu Hyänen
Und treiben mit Entsetzen Scherz;
Noch zuckend, mit des Panthers Zähnen,
Zerreissen sie des Feindes Herz,

wie unser Schiller mit unverkennbarer Andeutung diese


entarteten Geschöpfe, diese in Blut getauchten Gestalten der Hölle
charakterisiert, wie sie auch in einer französischen
Gedichtsammlung jener Zeit, „La République ou le livre de sang“
geschildert werden, wo es heisst:
De ces effrayantes femelles
Les intarissables mamelles
Comme de publiques gamelles,
Offrent à boire à tout passant;
Et la liqueur qui toujours coule,
Et dont l’abominable foule
Avec avidité se saoule,
Ce n’est pas du lait, mais du sang.[134]

Wir haben gesehen, wie im 18. Jahrhundert in Frankreich die


Frauen bestrebt waren, sich zum Teil wenigstens in Männer zu
verwandeln, wie sie in der Politik, in der Liebe und in der
Wissenschaft den grössten Einfluss ausübten, wie zwar eine
Emanzipation de iure nicht bestand, de facto aber sich geltend
machte. Und doch war die Missachtung des Weibes nie so gross
gewesen wie in diesem Jahrhundert. Was nützten alle geistreichen
Einfälle, alles wissenschaftliche Streben der Frau, das z. B. die
junge Gräfin Crigny zur Teilnahme an Sektionen trieb[135], wenn
dabei sichtlich das Familienleben zerstört wurde, wenn der
Schwerpunkt des weiblichen Wirkens ausserhalb des eignen Hauses
fiel. Wir fürchten beinahe, dass wir im Frankreich des 18.
Jahrhunderts das Spiegelbild einer nahen Zukunft vor uns haben,
und es wäre eine dankbare Aufgabe, zu untersuchen, wovon die
wahre Schätzung des Weibes als solches abhängig ist, und ob
wirklich die sogenannte Frauenemanzipation die Würde des Weibes
für alle Zeit sichern wird.
Die vier grössten Denker Frankreichs im 18. Jahrhundert:
Montesquieu, Rousseau, Voltaire und Diderot haben die Verachtung
des Weibes gepredigt. Man denke nur an Voltaires bitter-
sarkastische Aeusserungen über seine treue Freundin Madame Du
Châtelet. Das Weib ist nach Rousseau nur zum Vergnügen des
Mannes geschaffen worden. Nach Montesquieu hat der Mann die
Kraft und Vernunft, die Frau nur Anmut, und Diderot sah in der Frau
einzig und allein ein Objekt der Sinnenlust. „So ist die Frau nach
Diderot eine Courtisane, nach Montesquieu ein anmutiges Kind,
nach Rousseau ein Gegenstand des Vergnügens, nach Voltaire —
Nichts.“[136] Als in der Revolution Condorcet und Siéyès für die
häusliche und politische Emanzipation der Frauen eintraten, da
„wurden ihre Proteste erstickt durch die mächtigen Stimmen der drei
grossen Fortsetzer (continuateurs) des 18. Jahrhunderts, durch
Mirabeau, Danton und Robespierre.“ Und für Napoléon I. gab es
eins in der Welt, das nicht französisch sei: eine Frau tun zu lassen,
was ihr gefällt. Einer der besten Kenner der Frau im 18. Jahrhundert,
Rétif de la Bretonne, äussert oft in starken Worten seine
Geringschätzung des Weibes.[137] Die Ursache dieser Verachtung ist
klar. Die Ehe ist, wie Westermarck in seinem klassischen Werke zur
Evidenz nachgewiesen hat, dasjenige Institut, dem die Menschheit
ihre sittliche Vervollkommnung verdankt, sie ist das absolut sittliche
Institut. In der Ehe ist das Weib dem Manne ebenbürtig, weil es ihn
ergänzt. Ausserhalb der Ehe kann das Weib den Mann nicht
ersetzen, wird folglich alsbald minderwertig erscheinen. Eine
vollständige Emanzipation muss an den unleugbaren
Verschiedenheiten zwischen männlichem und weiblichem Wesen
scheitern. Eine Gefährdung der Ehe ist gleichbedeutend mit der
Verringerung der sittlichen Achtung, die der Mann dem Weibe
entgegenbringt. Dies zu sagen, klingt heute noch spiessbürgerlich,
wird aber nach vollendeter Emanzipation des Weibes bestätigt
werden.
10. Die Litteratur.
Die französische Litteratur des 18. Jahrhunderts steht unter dem
Zeichen der Pornographie! Zu keiner Zeit der Weltgeschichte, selbst
nicht unter den Cäsaren, ist die schöne Litteratur in so
systematischer Weise zu einem Werkzeug der Wollust gemacht
worden, wie unter dem ancien régime. Zwar ist „die Darstellung
geschlechtlicher Lust alt in der französischen Literatur, wie
zahlreiche mittelalterliche Fabliaux beweisen, allein erst im 18.
Jahrhundert begann man an die Stelle der gesunden, derben Natur
und Naivität dieser älteren Produkte der Zotologie Gemälde der
Sinnlichkeit zu setzen, deren raffinierte Absichtlichkeit einer
erschlafften Gesellschaft zu giftigem Reizmittel diente.“[138] Das 18.
Jahrhundert hat den grössten Teil der heute existierenden
pornographisches Litteratur hervorgebracht, an Zahl der einzelnen
erotischen Werke sicher mehr als alle anderen vorhergehenden
Jahrhunderte zusammengenommen. Den Löwenanteil an dieser
Produktion pornographischer Werke beansprucht die Zeit von 1770
bis 1800, jene Epoche, welche der geistvolle Aubertin als die
Periode der Talentlosigkeit, der „race intermédiaire“ bezeichnete, in
welcher die platte Mittelmässigkeit den Ton angab und nur durch
eine widerliche Erotik das Publikum zu reizen wusste.[139] Diese
Bücher machen den Kultus des Fleisches zu ihrem Hauptthema. Sie
kennen nichts Höheres als wollüstige Formen und die
mannigfachsten Varietäten des Liebesgenusses. Das Bordell ist ein
Paradies, und die Dirne ehrbarer als die treueste Gattin. „Welches
Zeitalter hat sich mit obscönen Büchern so beschmutzt wie dieses
grosse Jahrhundert?“ ruft Jules Janin aus[140], „dass sogar Männer
wie Voltaire, Rousseau, Diderot, Montesquieu und Mirabeau dem
Geschmacke der Zeit nachgebend derartige Werke verfassten.“ Kurz
vor und während der Revolution schien die Schmutzlitteratur alle
edleren geistigen Erzeugnisse verdrängt zu haben. Die Bücherläden
waren pornographische Bibliotheken geworden. Aus dem Jahre
1796 berichtet Mercier[141]: „Man stellt nur noch obscöne Bücher
aus, deren Titel und Kupferstiche gleicherweise die Scham und den
guten Geschmack verhöhnen. Ueberall verkauft man diese
Ungeheuerlichkeiten auf Tischkörben, an den Seiten der Brücken, in
den Türen der Theater, auf den Boulevards. Das Gift ist nicht teuer,
10 Sous das Stück. Die ausgelassensten Erzeugnisse der Wollust
überbieten einander und greifen ohne Zügel und ohne Scheu den
öffentlichen Anstand an. Diese Broschürenverkäufer sind
gewissermassen privilegierte Zotenhändler; denn jeder Titel, der
nicht ein unflätiger ist, wird augenfällig von ihrem Schaubrett
ausgeschlossen. Die Jugend saugt hier ohne Hindernis und ohne
Bedenken die Grundstoffe aller Laster ein“. Der hauptsächlichste
Verkaufsort war das berüchtigte Palais-Royal, von dem später
ausführlicher die Rede sein wird. Dieses Zentrum aller Lustgenüsse
war auch der Hauptmarkt für die obscönen Schriften, welche die
Pariser Lebewelt mit einer Sündflut von Lustreizen
überschwemmten. Selbst auf den Toilettentisch der Pariser Damen
wanderten diese Schandbücher[142], worüber auch Bérard eine
interessante Geschichte erzählt, die zugleich ein Streiflicht auf die
ungeheure Verbreitung der Werke des Marquis de Sade wirft: „Ich
erinnere mich, dass eine durch Stand und Alter achtbare Frau, die
mich gebeten hatte, ihr für sich und ihre Kinder einige Bücher zum
Mitnehmen aufs Land zu besorgen, auf dieser Liste vermerkt hatte:
‚Justine ou les Malheurs de la vertu‘, in welchem Buche sie
wahrscheinlich ein pädagogisches Werk vermutete“[143]. Dass in
Bordellen derartige Schriften in überreicher Fülle vorhanden waren,
nimmt nicht Wunder und wird auch wohl heute noch der Fall sein.
Parent-Duchatelet erfuhr von Peuchet, einem ehemaligen Archivar
der Polizeipräfektur, dass Napoleon I. zu Ende seines Konsulats alle
derartigen im Besitze von Dirnen befindlichen Bücher wegzunehmen
und zu vernichten befahl. Nur ein Exemplar von jedem wurde in der
Nationalbibliothek aufbewahrt. Diese Angabe Peuchets ist nach
Parent-Duchatelet begründet, dem von dem Bibliothekar Van-Praët
das Verzeichnis der Bücher vorgelegt wurde, sowie diese selbst in
einem Winkel des Erdgeschosses der Nationalbibliothek gezeigt
wurden.[144]
Von obscönen Büchern ist denn auch bei Sade recht häufig die
Rede. Die interessanteste Stelle ist diejenige im dritten Bande der
Juliette (S. 96 ff.), wo Juliette und Clairwil die Wohnung des
Karmelitermönches Claude durchstöbern und ausser „guten Weinen
und weichen Sofas“ eine ausgewählte pornographische Bibliothek
finden. Juliette sagt darüber: „Man macht sich keine Vorstellung
davon, was für obscöne Bilder und Bücher wir dort fanden!“ Zuerst
bemerkten sie den „Portier des Chartreux“, ein mehr „scherzhaftes
als wollüstiges Buch, dessen Abfassung der Verfasser trotzdem auf
dem Sterbebette bereut haben soll.“ — Zweitens die „Académie des
Dames“, ein dem Plane nach gutes, der Ausführung nach schlechtes
Buch. — Drittens die „Education de Laure“, ein elendes Machwerk,
das nach Juliette viel zu wenig Wollust, Mordtaten und „goûts cruels“
enthält. Endlich „Thérèse philosophe“, „das bezaubernde Buch des
Marquis d’Argens“ mit den Bildern von Caylus, das einzige von
diesen vier Büchern, welches Wollust mit Gottlosigkeit vereinigt.
Ausserdem fanden Juliette und Clairwil bei dem Mönche noch
zahllose „elende kleine Broschüren, die in den Cafés und Bordellen
ausliegen“, zu denen auch die Werke des „nichtigen Mirabeau“
gehören.
Auch die Delbène hat in ihrer Bibliothek eine grosse Collektion
schmutziger Bücher. Sie will der Juliette diese Werke leihen, damit
diese sie während der Messe lese und so getröstet werde über den
Zwang, einer „solchen abscheulichen Zeremonie“ beiwohnen zu
müssen. (Juliette I, 32). Sade hat sogar seine eigenen Werke als
Muster obscöner Lektüre hingestellt. Ein Abbé liest in dem
„Hinrichtungssaale“ des Erzbischofs von Grenoble die „Philosophie
dans le Boudoir“ (Justine IV, 263.)
Zur Orientierung geben wir einen ganz kurzen Ueberblick über
die wichtigsten französischen Erotica des 18. Jahrhunderts. Die
grossen bibliographischen Werke von Gay[145] und Cohen[146]
vermitteln eine weitgehende Kenntnis dieser pornographischen
Riesenlitteratur, aus der wir nur die am meisten charakteristischen
Beispiele anführen wollen.
In Pierre Joseph Bernard (1708–1775), von Voltaire „Gentil-
Bernard“ genannt, hatte das 18. Jahrhundert seinen Ovid. Im Jahre
1761 erschien die „L’art d’aimer“[147] in drei Gesängen, eine
vergröberte Nachahmung der ovidischen Ars amandi, die aber
grosses Aufsehen erregte und auf dem Toilettentische keiner
vornehmen Dame fehlte. „Die Verse sind mit einem Rosa-Bande an
einander geknüpft. Die Gedanken darin sind nur ein Girren“[148].
Aber dieses Girren war sehr wollüstig, und die Deutlichkeit der
Sprache konnte sich neben der des Ovid sehen lassen. Bernard
erteilte in seinem Gedicht einen ganzen Kursus der raffiniertesten
Geschlechtsliebe, in dem er auch das Lesen schlüpfriger
Schriftsteller empfahl.[149]
Der jüngere Crébillon (Claude Prosper Jolyot de Crébillon 1707–
1777) kann als der eigentliche Schöpfer der lasziven Schriftstellerei
im 18. Jahrhundert bezeichnet werden. Seine Schriften sind
charakterisiert durch einen „eleganten Zynismus und eine Grazie in
der Wollust“.[150] Am berühmtesten ist das „Sofa“, dessen Titel schon
den Inhalt verkündigt.[151] Aehnlicher Art sind „L’Ecumoire“ (Paris
1735), „Les amours de Zeo Kinizal, roi de Cofirons“ (Amsterdam
1746), in denen die Liebesabenteuer des fünfzehnten Ludwig
geschildert werden. Ferner „La nuit et le moment“ (Amsterdam
1755), „Ah! quel conte“ (Paris 1751), „Les égarements du cœur et de
l’esprit“ (Brüssel 1796) u. s. w. In Crébillons Romanen macht sich
bereits die Neigung bemerkbar, die gemeinste Sinnlichkeit durch
Umkleidung mit einem philosophischen Gewande zu verschönern
und zu rechtfertigen.
Jean François Marmontel (1723–1799) hat in seinen „Incas“ den
Typus des antiklerikalen Romans im 18. Jahrhundert geschaffen,
dessen Inhalt auf spätere Darstellungen des Klerus in erotischen
Romanen unverkennbar eingewirkt hat.[152]
Die bei Sade von Juliette erwähnte „Thérèse philosophe“,[153]
stellt im Anschlusse an den Fall Girard (Dirrag) und Cadière
(Eradicée) die sexuellen Ausschweifungen der Jesuiten dar. Wie wir
sahen, schreibt Sade diesen Roman dem Marquis d’Argens und die
Bilder dem Grafen Caylus zu, welche Ansicht auch von Gay geteilt
wird. Wahrscheinlicher ist aber die vom Abbé Sephe und von Barbier
zuerst entdeckte Urheberschaft des Kriegskommissars de Montigni
(genannt Lucas-Montigni). Statt Caylus soll Antoine Pesne, der
bekannte Hofmaler Friedrichs des Grossen, die obscönen Bilder
gezeichnet haben.[154]
André Robert Andréa de Nerciat (1739–1800) war zwei Jahre
lang (1780–1882) Bibliothekar in Kassel und wurde später (von 1788
an) Vertrauter der Königin Karoline von Neapel. Er schrieb die
berüchtigte „Félicia ou mes Frédaines“ (Paris 1778, 2 Bde.) und als
Fortsetzung derselben „Monrose ou le libertin par fatalité“ (Paris an
V). Seine obscönste Schrift ist der „Diable au Corps“ (Paris 1803, 6
Bde), der die angebliche Schrift eines Doktor „Cazzone“ (!),
ausserordentlichen Mitgliedes der „joyeuse faculté phallo-coïro-
pygo-glottonomique“ vorstellen soll, wie der Verfasser im Vorwort
versichert.[155]
Dass die Pornographie in jener Zeit Mode war und zum guten
Ton gehörte, beweist ja am schlagendsten der Umstand, dass die
hervorragendsten Geister des Jahrhunderts es nicht verschmähten,
diesen billigen Ruhm zu erwerben. Wir haben schon auf den
berühmten Altertumsforscher Caylus hingewiesen. Aber auch
Geisteshelden wie Mirabeau und Diderot haben sich nicht gescheut,
ihre litterarische Tätigkeit durch die Veröffentlichung von
schmutzigen Erzählungen zu schänden. Besonders Mirabeau wird
vom Marquis de Sade öfter genannt, und es ist kein Zweifel, dass
Mirabeaus „Education de Laure“ das Vorbild der „Philosophie dans le
Boudoir“ gewesen ist, wie dies schon Eulenburg erkannt hat.[156] In
„Ma conversion“ (London 1783) hat Mirabeau die Erlebnisse eines
männlichen Prostituierten geschildert, der sich für seine
Dienstleistungen von den vornehmen Damen, Nonnen u. s. w.
bezahlen lässt. Ein drittes obscönes Buch Mirabeaus ist „Erotica
Biblion“ (Rom 1783).
In Denis Diderots „Jacques le Fataliste“ (Paris 1746) kommen
schlüpfrige Geschichten vor, die Diderot „tief unter Crébillon
herabsetzen“.[157] In der berühmten „Nonne“[158] bringt Diderot eine
Schilderung des Klosterlebens, in der tribadische und andere
lasterhafte Ausschweifungen der Nonnen und Oberinnen
beschrieben werden. Auch die „Bijoux indiscrets“ (Paris 1748) haben
erotischen Inhalt. Insbesondere hat vielleicht die auch bei Sade
wiederkehrende Vorliebe Diderots für paradoxe Behauptungen auf
sexuellem Gebiete auf Ersteren einen Einfluss ausgeübt.
Choderlos de Laclos war nach Nodier der „Petron einer weniger
litterarischen und mehr verderbten Epoche als diejenige des
wirklichen Petronius war.“ Seine vielgenannten „Liaisons
dangereuses“[159] schildern die Korruption der Aristokratie, welche
der Verfasser als Freund des berüchtigten Philippe Egalité aus
eigenster Anschauung kennen gelernt hatte. Charles Nodier erzählt
in einer interessanten Notiz „über einige satirische Werke und ihren
Schlüssel“, dass man ihm in seiner Jugend in verschiedenen
Provinzialhauptstädten mehrere „unreine und lasterhafte Helden
dieses Garnison-Satyricon gezeigt habe.“ Nach ihm verdienen die
„Liaisons dangereuses“ dasselbe Schicksal (der Verachtung) wie die
„scheusslichen Obscönitäten eines frechen Nachahmers des Herrn
Laclos, des Marquis de Sade, welchem der Preis eines Ekel
erregenden Cynismus gebührt.“[160]
Weniger zynisch, aber ebenfalls die Lasterhaftigkeit des Adels
schildernd, hat J. B. Louvet de Couvray in seinem „Faublas“[161] den
Typus des „Chevalier“ gezeichnet. In Faublas’ zahlreichen
Liebesabenteuern spielt die der Wirklichkeit (des Chevalier d’Eon)
entlehnte künstliche Effeminatio des Helden eine Rolle, die auch bei
Sade am Schlusse der Juliette Verwendung findet, wo Noirceuil als
Frau verkleidet einen Mann heiratet.
Neben dem Marquis de Sade ist der berühmteste erotische
Schriftsteller der Revolutionszeit der ungemein produktive Restif
(Rétif de la Bretonne). Paul Lacroix hat diesem merkwürdigen
Manne ein Muster- und Meisterwerk der modernen Bibliographie
gewidmet[162], das jeder Bücherliebhaber immer wieder mit neuem
Vergnügen lesen wird. Wir werden später Rétif de la Bretonne als
einen der ersten Schriftsteller über Sade zu würdigen haben. Hier
interessiert er uns nur als ein gleichzeitig mit Sade wirkender Autor,
von dem dieser letztere sicher nicht unbeeinflusst geblieben ist. Es
ist offenbar Rétif, den Sade an einer Stelle in seiner Abhandlung
über den Roman höchst ungünstig beurteilt. Er sagt dort: „R...
überschwemmt das Publikum und braucht eine Druckpresse neben
seinem Bette. Glücklicherweise seufzt diese allein unter seinen
schrecklichen Geistesprodukten; ein platter und kriechender Stil,
ekelhafte Abenteuer in schlechtester Gesellschaft; kein anderes
Verdienst als eine grosse Weitschweifigkeit, für die ihm nur die —
Pfefferhändler dankbar sein werden.“[163] Sollte bei diesem Urteile
Sades nicht etwas Konkurrenzneid im Spiele sein? Wir werden
später sehen, dass Rétif über Sade nicht besser dachte. Auch
mochte sich wohl der hochgeborene Marquis weit erhaben dünken
über dem aus niedrigstem Stande hervorgegangenen Rétif.
In der Tat hat Rétif de la Bretonne (1734 bis 1806), wenn er auch
den Adel keineswegs vergessen hat, hauptsächlich die sittliche
Korruption auch der niederen Volksschichten dargestellt[164] und
ergänzt gewissermassen die Schriften des Marquis de Sade nach
dieser Richtung hin, mit dem er sonst viele Aehnlichkeit hat.
Eulenburg macht darüber folgende interessante Bemerkungen[165]:
„Einem de Sade unendlich näher als die trotz allem grosse und
ergreifende Gestalt Rousseaus steht jener ‚Rousseau du ruisseau‘“,
Rétif de la Bretonne, über den Dessoir urteilt: „Er wurde von
wütendster Sinnlichkeit gepeitscht und durch den Götzendienst des
eigenen Ich in eine Art Exhibitionismus hineingetrieben. Daher hat er
wie kein Zweiter verstanden, die Entstehung, Eigentümlichkeit und
Gewalt der Geschlechtsliebe zu analysieren und dem Ich einen
geradezu raffinierten Kultus zu widmen.“ Da haben wir im Keime den
literarischen de Sade, nur schwächlicher, passiver, sozusagen
unblutiger. Wäre Rétif eine mehr aktiv und impulsiv., weniger
kontemplativ veranlagte Natur gewesen und hätten ihm, dem armen
Bauernsohne, die Mittel und die Atmosphäre des „célèbre Marquis“
von früh auf zur Verfügung gestanden, so wäre vielleicht ein zweiter
de Sade aus ihm geworden, der schriftstellerisch dem anderen an
Kraft und jedenfalls an Feinfühligkeit der Schilderung überlegen
gewesen wäre. Nicht umsonst ertönt bei Rétif aus allen Tonarten das
Lob dieser ungemeinen Feinfühligkeit dieser „sensibilité quelquefois
délicieuse, quelquefois cuisante, affreuse, déchirante.“ Wir fügen
noch zur Charakteristik dieses merkwürdigen Schriftstellers hinzu,
dass er ein leidenschaftlicher Liebhaber der Frauen war und, sich
mit seinen zahlreichen Maitressen nicht begnügend, auf der Strasse
jedem hübschen Mädchen nachlief und nicht eher ruhte, als bis er
ihre Bekanntschaft gemacht hatte. Dabei war er von der grössten
Unreinlichkeit. Er erzählt höchst naiv in den „Contemporaines“: „Seit
1773 bis heute, 6. Dezember 1796 habe ich keine Kleider gekauft.
Es fehlt mir an Hemden. Ein alter blauer Rock ist meine tägliche
Kleidung“. Dieser war zerrissen und voll von Flecken. Dabei liebt
Rétif die Reinlichkeit sehr bei den — Frauen. Er spricht immer
wieder davon, giebt in seinem „Pornographe“ genaue Vorschriften in
dieser Beziehung und konstatiert mit Befriedigung die grosse
Verbreitung dieser Tugend unter den Pariser Prostituierten.[166]
Für die Art seiner Schriftstellerei ist bezeichnend, dass er neben
der eigenen unermüdlichen Beobachtung auch diejenigen anderer
verwertete. So erzählt Graf Alexander von Tilly in seinen
Memoiren[167], dass Rétif de la Bretonne zu ihm kam mit der Bitte
um Erzählung seiner erotischen Abenteuer, die er in einem Werke
verarbeiten wolle. Sehr wichtig ist ferner das Verhältnis Rétifs zu
Mathieu François Pidanzat de Mairobert (1727–1779), dem
berühmten Verfasser des „Espion anglais“ und dem Sammler der
Materialien zu den „Mémoires secrets de Bachaumont.“ Dieser liess
nicht nur einzelne Werke in der geheimen Druckerei Rétifs
herstellen, sondern war selbst Mitarbeiter an dessen eigenen
Schriften. So rührt von ihm die wertvolle Abhandlung über die 16
Klassen der Prostituierten und über die Zuhälter in Rétifs
„Pornographe“ her. Auch für die „Contemporaines“, den „Hibou“, und
die „Malédiction paternelle“ hat Pidanzat de Mairobert zahlreiche
Notizen beigesteuert[168].
Das ohne Zweifel wertvollste Werk Rétifs sind die „Nuits de
Paris“[169], eine unerschöpfliche Fundgrube für die Kenntnis des
Sittenlebens der Revolutionszeit, eine „in ihrer Art einzige
Darstellung der moralischen Physiognomie von Paris“ am Ende des
18. Jahrhunderts, das wahre „Tableau nocturne de Paris“, dessen
Inhalt eine 20jährige Arbeit erfordert hat. „Jeden Morgen schrieb ich
nieder, sagt Rétif, was ich in der Nacht gesehen hatte.“ Lacroix gibt
eine ausführliche Analyse des reichen Inhaltes dieses „nächtlichen
Zuschauers“, auf dessen unzählige Details wir an dieser Stelle nicht
näher eingehen können.
In „Monsieur Nicolas“ (Paris 1794–1797. 16 Bde.) hat Rétif de la
Bretonne die Geschichte seines Lebens erzählt, wahrheitsgetreuer
als dies in ähnlichen Büchern wie „Faublas“, „Clarissa“ und
Rousseaus „Héloise“ geschieht. Von besonderem Interesse ist der
dreizehnte Band („Mon Calendrier“), in welchem Rétif Tag für Tag
alle Frauen aufzeichnet, deren Bekanntschaft er gemacht, die er
verführt und die er zu — Müttern gemacht hat.[170]
In Deutschland am bekanntesten sind die berühmten
„Contemporaines“[171], eine Sammlung von Erzählungen, die auf
wirklichen Ereignissen beruhen. Die Helden dieser Novellen sollen
den Verfasser dazu ermächtigt haben, sie unter ihren wahren
Namen zu nennen. Es sind wesentlich Sittendarstellungen aus dem
Volksleben.
„Le Paysan et la paysanne pervertis, ou les dangers de la ville“
(A la Haye 1784. 16 Teile in 4 Bänden) sind nach dem Grafen von
Tilly die „Liaisons dangereuses der niederen Volksklassen“, welche
die traurige Wahrheit predigen, dass die Tugend durch beständigen
Verkehr mit dem Laster notwendig vernichtet wird.
Hieran reiht sich der „Pied de Fanchette“ (A la Haye 1769), die
Geschichte einer jungen Modistin aus der Rue Saint-Denis, deren
kleiner Fuss Rétif bezaubert hatte. Ueberhaupt ist Rétif
ausgesprochener Fussfetischist. Für hübsche Frauenfüsse und
Frauenschuhe hatte er eine fanatische Leidenschaft. Fanchettens
Fuss ist wirklich der Held dieses Romans. „Son pied, le pied mignon,
qui fera tourner tant de têtes, était chaussé d’un soulier rose, si bien
fait, si digne d’enfermer un si joli pied, que mes yeux, une fois fixés
sur ce pied charmant, ne purent s’en détourner... Beau pied! dis-je
tout bas, tu ne foules pas les tapis de Perse et de Turquie, un brillant
équipage ne te garantit pas de la fatigue de porter un corps, chef-
d’œuvre des Grâces: tu marches en personne, mais tu vas avoir un
trône dans mon cœur.“[172] Rétif gibt sogar in den Anmerkungen eine
Geschichte der hübschen Frauenfüsse. In allen übrigen Werken
kehren immer diese kleinen beschuhten Füsse wieder. Er sah eines
Tages „Fanchette“ wirklich in der Rue Saint-Denis, und ihr Fuss, ein
„Wunder an Kleinheit“, inspirierte ihn zu seiner Erzählung.
Ein Buch Rétifs, das am meisten an die Werke des Marquis de
Sade erinnert, ist „Ingénue Saxancour, ou la femme séparée“ (Liège,
1789, 3 Bände), angeblich die Geschichte seiner unglücklichen
verheirateten Tochter Agnes. Rétif hat in diesem Buch „die Grenzen
des kühnsten Zynismus überschritten“, und der Verfasser sagt
selbst, dass man in dem Werke finden wird „ce qu’on nomme dans
le monde des horreurs“. Die unglückliche Gattin wird nach der
Hochzeit von ihrem Ehemanne allen Launen eines entnervten
Wüstlings unterworfen, sie erduldet die unglaublichsten Infamien und
Grausamkeiten ihres „wollüstigen Henkers“.[173] Alexander Dumas
der Aeltere, der im Jahre 1851 auf Veranlassung von Paul Lacroix im
„Siècle“ unter dem Titel „Ingénue“ eine ganz harmlose Erzählung
veröffentlicht hatte, deren Helden Rétif und seine Tochter Agnes
waren, wurde von der Familie Rétif de la Bretonne verklagt und zu
einer Geldstrafe verurteilt.[174]
Einige andere Schriften unseres Autors werden wir an anderer
Stelle anführen, weil sie weniger zur schönen Litteratur gehören.
Zum Schlusse gedenken wir in unserer kurzen Uebersicht, welche
nur das am meisten Charakteristische hervorheben sollte, noch
zweier sehr bekannter obscöner Gedichte des 18. Jahrhunderts. Das
erste ist „La Foutromanie. Poème lubrique, à Sardanopolis, aux
dépens des amateurs. 1775“[175]. Es enthält sechs Gesänge zu je
300 Versen. Der Zensor Le Noir bekam die strengsten Weisungen
von der Regierung, die Verbreitung des Gedichtes zu verhindern.
Trotzdem gelangten einige Exemplare zu dem hohen Preise von 9
Livres in den Handel. Das Gedicht beginnt mit den Versen:
Vous les voulez... je vais souiller mes rimes,
Poétiser en jargon ordurier...
Toi dont les feux raniment la nature,
Qui, maîtrisant l’homme et les animaux,
Brûle en secret le cuistre et le héros,
Sois ma déesse, adorable Luxure!

Die „Foutromanie“ ist das Glück der Götter, das ihnen die
Langeweile vertreibt. Aber auch die Menschen macht sie glücklich.
Der Verfasser eröffnet den Reigen dieser Glücklichen mit Fräulein
Dubois, einer Schauspielerin der Comédie Française. Dann folgen
die Damen Arnoux und Clairon, letztere mit dem Grafen Valbelle,
Madame Allard mit dem Duc de Mazarin. Auch die Opernsängerin
Fräulein Vestris hat ihre Freude daran. Gegen Ende dieses ersten
Gesanges erscheinen die Herzoginnen und Hofdamen, die sich mit
ihren Lakaien vergnügen. Zuletzt wird die unersättliche Libido der
alten Polignac de Paulien geschildert.
Der zweite Gesang beginnt mit der Beschreibung der Reize einer
jungen Anfängerin, welche der Leidenschaft eines jungen Wüstlings
zum Opfer fällt. Eingeschaltet wird ein Gedicht „Père Chrysostome“
gegen die sexuellen Ausschweifungen in den Klöstern. Weiter dringt
ein von Satyriasis Ergriffener in ein Nonnenkloster ein. Hier folgt ein
Ausfall gegen Tribadie und Paederastie. Der alte Duc d’Elbœuf war
einer der ersten, der die Secte der Paederasten nach Frankreich
einführte. Zum Schluss Excurs über Syphilis.
Der dritte Gesang ist fast ganz der Rolle der Syphilis in der Liebe
gewidmet. Zuerst wird die hohe Vollendung in der Heilkunst dieses
galanten Leidens gepriesen; die „syphilitischen Liebeshelden“
werden gefeiert, insbesondere die am Mal de Naples leidenden
Prälaten. Herr de Montazet, Erzbischof von Lyon, wird hier im Verein
mit der Duchesse de Mazarin genannt. Nach höchst indezenten
Aeusserungen über den Herzog von Orléans und Madame de
Montesson wird die Liaison zwischen der verstorbenen Herzogin von
Orléans und den Herren de l’Aigle und de Melfort enthüllt, welche
letzteren von der Herzogin syphilitisch angesteckt wurden. Der Prinz
de Beauffremont fiel in Ungnade, weil er sich mit einem Schweizer
abgab. Am Schlusse Lob des Aretino, des Erfinders der „plastischen
Stellungen“.
Der vierte Gesang ist ein Loblied auf das Bordell. Die
berühmtesten Kupplerinnen und Bordellwirtinnen werden vorgeführt,
so die Paris, Carlier, Rokingston, Montigny, d’Héricourt und
Gourdan. Beschreibung der wollüstigen Orgien an diesen infamen
Orten. „Bett und Tisch“ müssen sich folgen, daher sind die
deutschen Frauen geeigneter für die „Foutromanie“. Der Autor
verwünscht Italien, wo er Geld und Gesundheit verloren hat.
Im fünften Gesang werden zunächst die Syphilophoben ermutigt.
Alle Frauen haben ja nicht die Syphilis. Montesquieu war im Feuer
ebenso wie Rousseau und Marmontel. Grosses Lob des Dorat, des
„poète foutromane“. Exkurs über die Holländer, die nur das Geld
lieben. Schilderung der unkeuschen Kardinäle. Spinola schläft bei
Palestrina, Albani bei Altieri, Bernis bei Saint-Croix, Borghese ist
B..... Auch die Kaiserinnen Maria Theresia und Katharina II.
verstehen ihre Sache, ebenso der König von Polen und die
verstorbene Königin von Dänemark. Es ist nur ein Jammer, dass die
„Dames de France“, die Tanten Ludwigs XVI. im Zölibat leben.
Agyroni ist der Held des sechsten Gesanges[176]. Dieser
Charlatan hat den Verfasser wohl von einem galanten Leiden
geheilt. Zahlreiche medizinische Details wie in Robés Gedicht über
Syphilis. Schliesslich wird wieder die „Foutromanie“ gepriesen als
die Seele des Weltalls.[177]
Das zweite Gedicht „Parapilla“ ist eine Uebersetzung des
italienischen Originals „La Novella dell’ Angelo Gabriello oder Il
Cazzo“ (= Phallus),[178] ein Wort, welches Papst Benedikt XIV.
beständig im Munde hatte. Als ihm ein Höfling die Schmutzigkeit des
Wortes vorhielt, erwiderte er: „Cazzo, cazzo! Ich werde es so oft
sagen, bis es nicht mehr schmutzig ist.“ Das französische Gedicht
besteht aus fünf Gesängen, deren Inhalt ganz kurz dieser ist:
Rodric empfängt vom Himmel ein gewisses Instrument, das alle
Damen beglückt. Zunächst in Florenz die berühmte Donna Capponi.
Dann gerät es in ein Nonnenkloster, in die Hände der Lucrezia, der
Tochter Alexanders VI. Hierbei werden die Ausschweifungen in Rom
unter diesem Papste geschildert, und das Gedicht schliesst mit
einem obscönen Gespräch zwischen ihm und seiner Tochter.
Erwähnen wir noch, dass ein gewisses Incitamentum amoris, das
in den Romanen des Marquis de Sade eine grosse Rolle spielt,
sogar in einem eignen Poem als solches gepriesen wurde.[179]
Wir konnten nur das Allerwichtigste aus der erotischen Literatur
des 18. Jahrhunderts flüchtig berühren. Der Einfluss derselben auf
die Sitten war gewaltig, und der Marquis de Sade selbst hat diesen
Einfluss der Litteratur empfunden. Er hat selbst eine treffende
Charakteristik derselben zu geben versucht, die erkennen lässt,
dass er die Bedeutung dieser pornographischen Litteratur wohl
erkannt hat. Er sagt[180]: „Der Epicuräismus der Ninon-de-Lenclos,
der Marion-de-Lorme, der Marquise de Sévigné und de Lafare, der
Chaulieu, der St.-Evremond, dieser ganzen feinfühligen Gesellschaft
fing endlich an, müde des cytherischen Liebessehnens, mit Buffon
‚nur das Physische in der Liebe für gut zu halten‘ und veränderte
bald den Ton in den Romanen. Die Schriftsteller empfanden, dass
die galanten Schwätzer nicht mehr ein durch den Regenten
entsittlichtes Jahrhundert, das von den Kavaliertorheiten, der
religiösen Schwärmerei und der Verehrung der Frauen
zurückgekommen war, unterhalten konnten. Sie fanden es einfacher,
diese Frauen zu amüsieren und zu verderben, als ihnen zu dienen
und sie zu verherrlichen. Sie schufen Ereignisse, Gemälde,
Konversation mehr nach dem Geiste der Zeit und entwickelten in
einem angenehmen, leichten und bisweilen selbst philosophischen
Stile den Zynismus und die Immoralität.“
11. Die Kunst im 18. Jahrhundert.
Auch die französische Kunst des 18. Jahrhunderts ist ein
getreuer Spiegel der Zeit. Baukunst, Malerei, Schauspiel- und
Tanzkunst dienen dazu, die Sinne zu erregen. Das berühmte
„Rococo“ ist nichts weniger als ein Bild der Harmonie. Es wäre dies
ja auch ein Wunder gewesen. Denn niemand kann aus seiner Zeit
heraus. Der Rococostil folgte in der Kunst den Eingebungen der
künstlich erregten Sinne, die an überladenen Verzierungen, an
unruhig verschlungenen Linien ein Gefallen fanden, sowie an den
Darstellungen wollüstiger Szenen, raffiniert erdachter „Nudités.“ Eine
prachtvolle Schilderung der bildenden Kunst, vorzüglich der
Architektur im 18. Jahrhundert, entwirft Georg Brandes: „Was man
unter Ludwig XIV. in der Baukunst erstrebt hatte, war das
Imponierende. Man opferte sogar jede Rücksicht auf Behagen und
Bequemlichkeit der kalten Prunksucht und der steifen Etikette auf.
Wer das Schlafzimmer Ludwigs XIV. in Versailles gesehen hat, wird
einräumen, dass ihm selten ein unleidlicher gelegenes
Schlafgemach vor Augen kam. Jetzt werden die unbewohnbaren
und majestätischen Säle von den ‚petites maisons‘ abgelöst, wie
damals jeder Mann von Welt sie besass, und in welchem die
tändelnde Konversation und der üppige Leichtsinn sich ebenso gut
befanden. Daher verschwinden in der Architektur die grossen,
einfachen Verhältnisse, die reinen und klaren Massenwirkungen. Die
Härte und Schwere des Steins wird verleugnet, die Strenge der
Linien gebrochen, alles wird rund und schwellend, alle Linien werden
ausschweifend und übermütig. Der Barockstil erreicht sowohl in der
Baukunst wie in der Bildhauerkunst seinen Gipfel. Ueberall stösst
man auf unendlich wiederholte Amoretten und Grazien, ganz wie auf
den Kupferstichen zu Voltaires ‚Poésies fugitives‘. In den Gärten
umarmt der bockfüssige Pan schlanke, weisse Nymphen am
künstlichen Wasserfalle. In der Malerkunst entstehen jene ländlichen
Bilder, deren entferntes Vorbild Rubens Liebesgarten ist, die aber
statt seiner breiten Lebenslust und schweren Figuren gleichsam
hingehauchte und feine Gestalten in koketten Trachten, und statt
Rubens derber Sinnlichkeit ein erotisches Spiel, ein Liebeln und
Flüstern aufweisen, einen Hintergrund schattiger Gänge, mit stillen
Verstecken, mit üppigen Statuen und frischen Rasenteppichen.
Unter Ludwig XIV. war die ganze Tracht steif gewesen; man trug
grosse Ueberschläge und Kragen, selbst die Rock- und
Westenschösse waren gesteift, Halskragen und Manschetten
gestärkt, so dass nicht eine Falte sich verändern konnte; die
unbequeme Allongeperrücke machte eine gravitätische Haltung zur
Notwendigkeit. Unter der Regentschaft war alles auf Zwanglosigkeit
und Leichtigkeit gerichtet. Das steife Futter der Schösse
verschwand, an die Stelle der grossen Allongeperrücke trat das
gepuderte Haar, steif frisiert, so dass keine noch so hastige
Bewegung es in Unordnung bringen konnte; überall in Tracht und
Benehmen überliess man sich einer gewissen Nachlässigkeit. Man
verweilte in Boudoirs. Wie Tee und Kaffee aus dem Orient eingeführt
wurden, so auch das orientalische Sofa, welches dem jüngeren
Crébillon den Titel für seine bekannteste und berüchtigste Erzählung
gibt.[181] Der weiche Lehnsessel verdrängt den hohen, unbequemen
Armstuhl mit schnurgerader Rückwand. Das Zimmergerät besteht
aus schweren Seidengardinen, welche wollüstig das Licht dämpfen,
aus grossen Spiegeln in Goldrahmen, aus reich verzierten
Pendeluhren, aus üppigen Malereien und schnörkelhaften Möbeln.
Das ganze Zimmer duftet von einem wollüstigen Parfüm.“[182]
Noch deutlicher als die Architektur bringt die Malerei des 18.
Jahrhunderts den Charakter desselben zum Ausdruck. Der Wunsch
Neues zu bringen, den „blasierten Appetit zu reizen“ verlieh den
Künstlern des 18. Jahrhunderts ein raffiniertes Erfindungstalent.
Boucher, Watteau, Fragonard, Lancret, der Maler der „fêtes
galantes“, verschmähten die einfache und naive Nacktheit der
Göttinnen eines Lebrun und Nicolas Mignard. Ihre „baigneuses“ und
„bergères“ sind nicht mehr mythologische Figuren, sondern Pariser
Dirnen, die sich gern den Beschauern nackt im Bade oder auf dem
Ruhelager zeigen. Diese vorgeblichen Najaden und koketten
Schäferinnen mit entblösstem Busen, mit mehr oder weniger
aufgehobenem Kleide, sind Frauen der Zeit, Dämchen „fort en vogue
aux petites soirées de Trianon et de Luciennes“.[183]
Richard Muther hat in seiner neuen Darstellung der Geschichte
der Malerei[184] in dem Kapitel „Die Frivolen“ diese erotische
Richtung in der französischen Malerei des 18. Jahrhunderts
glänzend geschildert. Er sagt u. a.: „Mit den zierlich gemessenen
Menuetten Watteaus hatte die Redoute begonnen. Um Mitternacht,
unter der Anführung Bouchers, wurde der Cancan getanzt. Jetzt vor
Tagesgrauen, folgt noch der Kotillon. Man hatte zu viel getanzt und
zu viel geliebt. Statt sich selbst zu bemühen, will man nur noch
zusehen, so wie der Pascha, Opium rauchend, apathisch in seinem
Harem sitzt. Auch Balletteusen tanzen zu lassen, hat keinen Reiz
mehr. So beginnt am Schlusse des Rokoko die eigentlich galante
Kunst, das Tableauvivant. Stramme Burschen und hübsche
Mädchen aus dem Volke müssen den vornehmen Herren
Liebesszenen vorspielen, für die sie selbst zu blasiert geworden ....
Als geistreichster dieser Gruppe, überhaupt als einer der feinsten
des Jahrhunderts ist Fragonard, der nervöse Charmeur, zu feiern, in
dem sich noch einmal alle Lebenslust und Leichtlebigkeit, die ganze
Grazie des Rokoko sammelt... Wenn der Name Fragonard genannt
wird, denkt man an Reifröcke, seidene Garnierungen und
hochgeschürzte Jupons, an lustige Schaukeln, die pikante graue
Strümpfe sehen lassen, an feine Battisthemden, die von rosigen
Schultern herabgleiten, an Amoretten, Küsse und Liebesspiel.“
„Kurz nach Schluss der Salonausstellung 1763,“ erzählt
Fragonard selbst, „schickte ein Herr zu mir und bat mich, ihn zu
besuchen. Er befand sich, als ich bei ihm vorsprach, gerade mit
seiner Maitresse auf dem Lande. Zuerst überschüttete er mich mit
Lobsprüchen über mein Bild, und gestand mir dann, dass er ein
anderes von mir wünschte, dessen Idee er angeben würde: ‚Ich
möchte nämlich, dass Sie Madame malen auf einer Schaukel. Mich
stellen Sie so, dass ich die Füsse des hübschen Kindes sehe —
oder auch mehr, wenn Sie mich besonders erfreuen wollen.‘“
Diesem seltsamen Liebhaber dankt man das Bild „Die Schaukel“,
das erste, das den eigentlichen Fragonard zeigt.... Fragonard ist der
Pierrot lunaire, der beim Morgengrauen blass und geisterhaft seine
Sprünge macht. Manche seiner Bilder, so toll sie sind, haben etwas
von Gebeten. Altäre sind errichtet, Opferflammen züngeln lohend
gen Himmel, und bleiche Menschen legen weisse Kränze zu Füssen
des allmächtigen Eros nieder. Da heben Weiber flehend ihre Hände
zu Satan empor und beten, ihnen das Geheimnis neuer unbekannter
Sensationen zu enthüllen.
Bildet schon die Verherrlichung der Geschlechtslust in einem
gedruckten Buche einen die Sinne aufs Höchste anstachelnden
Reiz, der daher im 18. Jahrhundert sehr begehrt war, so muss die
bildliche Darstellung der Wollust noch tausendmal schlimmer wirken.
„Le réalisme de la peinture, se traduisant dans les actes et les
paroles, les livres et les chants, doit exercer une funeste influence
sur la jeunesse en surexcitant le sens génital“[185]. Und der Marquis
de Sade, der in seinen Romanen alles aufzählt, was den sexuellen
Genuss zu steigern vermag, lässt Saint-Fond (Juliette II, 15) nach
einer wilden Orgie ausrufen: „O wie nötig hier ein Maler wäre, um
der Nachwelt dieses wollüstige und göttliche Bild zu überliefern!“
So konnte es denn nicht fehlen, dass neben den pikanten
Nudités eines Fragonard und Lancret bald die Schmutzbilder in der
erschrecklichsten Weise sich verbreiteten. Dass die Maitressen sich
für ihre Liebhaber nackt und in irgend einer plastischen Stellung
malen liessen, war nichts seltenes. Bekannt ist die Geschichte der
O’Morphi, einer Maitresse Ludwigs XV. und Insassin des
Hirschparks, deren Besitz der König dem berühmten Abenteurer
Casanova auf folgende Weise verdankte[186]. Casanova hatte bei
einem seiner zahlreichen Liebesabenteuer in Paris auch die
Bekanntschaft einer flämischen Schauspielerin O’Morphi gemacht,
welche eine junge Schwester von hervorragender Schönheit besass,
in die Casanova sich sterblich verliebte, und deren Reize er
enthusiastisch schildert. Er bekam Lust, diesen herrlichen Körper
gemalt zu besitzen, und ein deutscher Maler malte sie auf eine
„göttliche“ Weise für sechs Louisdors. Die Lage, in der er sie
darstellte, war „entzückend“. „Sie lag auf dem Bauche, stützte den
Arm und den Busen auf ein Kissen und hielt den Kopf gewendet, als
läge sie drei Viertel auf dem Rücken. Der gewandte und mit
Geschmack begabte Künstler hatte ihren unteren Teil mit soviel

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