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ECNi TOUT en UN Somogyi

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ECNi
LE TOUT-EN-UN
CHEZ LE MÊME ÉDITEUR
Dans la collection Les référentiels des Collèges
Anatomie pathologique, par le Collège français des pathologistes (CoPath), 2013.
Cardiologie, par le Collège national des enseignants de cardiologie – Société Française de Cardiologie (CNEC-SFC), 2e édition, 2014.
Chirurgie maxillo-faciale et stomatologie, par le Collège hospitalo-universitaire français de chirurgie maxillo-faciale
et stomatologie. 3e édition, 2014.
Dermatologie, par le Collège des enseignants en dermatologie de France (CEDEF). 6e édition, 2014.
Gériatrie, par le Collège national des enseignants de gériatrie (CNEG). 3e édition, 2014.
Gynécologie – Obstétrique, par le CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français). 3e édition, 2015.
Hématologie, par la Société Française d'Hématologie. 2e édition, 2014.
Hépato-gastro-entérologie, par la Collégiale des universitaires en hépato-gastro-entérologie (CDU-HGE). 3e édition, 2015.
Imagerie médicale - Radiologie et médecine nucléaire, par le Collège des enseignants de radiologie de France (CERF)
et le Collège national des enseignants de biophysique et de médecine nucléaire (CNEBMN), 2015.
Immunopathologie, par le Collège des enseignants d'immunologie, 2015.
Médecine physique et réadaptation, par le Collège français des enseignants universitaires de médecine physique
et de réadaptation. 5e édition, 2015.
Neurologie, par le Collège français des enseignants en neurologie (CEN). 4e édition, 2015.
Nutrition, par le Collège des enseignants de nutrition. 2e édition, 2015.
Ophtalmologie, par le Collège des ophtalmologistes universitaires de France (COUF), 2e édition, 2013.
ORL, par le Collège français d'ORL et de chirurgie cervico-faciale. 3e édition, 2014.
Parasitoses et mycoses, par l'Association française des enseignants de parasitologie et mycologie (ANOFEL), 5e édition, 2016.
Pédiatrie, par A. Bourrillon, G. Benoist, le Collège national des professeurs de pédiatrie. 6e édition, 2014.
Réanimation et urgences, par le Collège national des enseignants de réanimation (CNER). 5e édition, 2015.
Rhumatologie, par le COFER (Collège français des enseignants en rhumatologie). 5e édition, 2015.
Santé publique, par le Collège universitaire des enseignants de santé publique (CUESP). 2e édition, 2015.
Urologie, par le Collège français des urologues (CFU). 3e édition, 2015.

Dans la collection ECN Intensif


Douleurs et soins palliatifs, par S. Rostaing-Rigattieri et alii, 2015.
Gynécologie-Obstétrique, sous la direction de P. Seners et C. Cholet, validé par l'Association Des Gynécologues Obstétriciens
En Formation (Agof) et le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF), 2017.
Hépato-gastro-entérologie, par L. de Mestier et C. Neuzillet, validé par la Collégiale des universitaires
en hépato-gastro-entérologie, 2014.
ORL, par D. Evrard et V. Trevillot, validé par le Collège français d'ORL et de chirurgie cervico-faciale, 2014.
Urologie, par le Collège français des urologues, 2015.
Médecine physique et réadaptation, par l'Association des jeunes en médecine physique et réadaptation (AJMER), validé par
le Collège français des enseignants universitaires de médecine physique et de réadaptation, 2015.
Néphrologie, par M.-N. Peraldi et alii, validé par le Collège universitaire des enseignants de néphrologie, 2016.
Neurologie, par P. Seners et J.-F. Llitjos, validé par le Collège des enseignants de neurologie, 2015.
Ophtalmologie, par N. Belhatri et F. Precausta, 2017.
Rhumatologie, par C. Eloy, validé par le Collège français des enseignants en rhumatologie (COFER), 2016.

Dans la collection Focus ECNi


Pôle abdomino-pelvien : Gynécologie-Obstétrique/Hépato-gastroentérologie-Chirurgie digestive, par S. Salama, G. Tordjman, 2017.
Pôle cérébral et gérontologique : Neurologie/Psychiatrie/Gériatrie, par K. Kinugawa, G. Voegeli, Planquette, E. Karoubi. 2016.
Pôle pédiatrique : Pédiatrie/pédopsychiatrie, par Desnous, G. Voegeli. 2017.
Pôle rénal : Urologie/Néphrologie, par N. Barry Delongchamps, A. Hummel. 2016
Pôle tête et cou : ORL/Stomatologie/Ophtalmologie, par F. Tabarino, A. Rousseau. 2017.
Pôle thoracique : Cardiologie/Pneumologie/Réanimation et urgences, par L. Sabbah et B. Planquette. 2016.
ECNi
LE TOUT-EN-UN
Alexandre Somogyi
Interniste, praticien hospitalier
Service de médecine interne
Centre hospitalier intercommunal
Poissy - Saint-Germain-en-Laye
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LE
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© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés


ISBN : 978-2-294-74074-9
e-ISBN : 978-2-294-74132-6

Elsevier Masson S.A.S. – 65, rue Camille Desmoulins, 92442 Issy-les-Moulineaux Cedex
Remerciements

Merci à Nathalie et Nicolas, ma femme et mon fils, pour leur patience, leur compréhension et leur soutien
Merci aux confrères et amis qui ont joint leurs efforts aux miens pour faire de cet ouvrage ce qu'il est
Merci aux jeunes internes pour leur aide à rendre cet ouvrage conforme aux attentes des étudiants
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Collaborateurs à la deuxième édition

Marie-Laure Anciaux – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS (centre hospitalier intercommu-
nal de Poissy – Saint-Germain-en-Laye), site de Saint-Germain-en-Laye.
Laura Arassus – Praticien hospitalier, médecin coordinateur de l'équipe mobile de soins palliatifs et de lutte contre la douleur,
CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Michael Azagury – Onco-hématologue, clinique Saint-Germain – Saint-Germain-en-Laye.
David Berville – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Louis Blin – Orthopédiste, ancien chef de clinique-assistant, clinique Saint-Germain – Saint-Germain-en-Laye.
Frédéric Bourdain – Neurologue, chef du service de neurologie, hôpital Foch, Suresnes.
Catherine Chemin – Gériatre, praticien hospitalier, CHI de Meulan - les Mureaux.
Claire Cuevas – Ophtalmologue, praticien hospitalier, service d'ophtalmologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Odile Doublet – Pneumologue, praticien hospitalier, responsable des explorations fonctionnelles respiratoires et polysomno-
graphies, CHIPS, Saint-Germain-en-Laye.
Alain Fajardy – Anesthésiste, praticien hospitalier, service d'anesthésie, CHIPS, site de Poissy.
Eva Ghiles – Chirurgien viscéral, praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Philippe Haymann – Néphrologue, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de néphro-
logie, hôpital Tenon, Paris.
Jan Hayon – Réanimateur, praticien hospitalier, chef du pôle de réanimation, CHIPS, site de Poissy.
Stéphane Jouveshomme – Pneumologue, praticien hospitalier, service de pneumologie, hôpital Saint-Joseph, Paris.
Laurence Mérian-Brosse – Pharmacienne, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Rkia Misbahi – Hématologue, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jacky Nizard – Gynécologue-obstétricien, professeur à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de gynécologie
et obstétrique, groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Estelle Saint-Léger – Dermatologue, hôpital franco-britannique de Levallois-Perret (Hertford British Hospital).
Jean-Christophe Seguier – Médecin-hygiéniste, praticien hospitalier, président du CLIN, CHIPS
Thomas Seisen – Urologue, chef de clinique-assistant, service d'urologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Didier Simon – ORL, praticien hospitalier, service d'ORL, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Alexandre Somogyi – Médecin interniste, praticien hospitalier, service de médecine interne, CHIPS, sites de Saint-Germain-en-Laye
et Poissy .
Nathalie Somogyi-Demerjian – Rhumatologue, ancien chef de clinique-assistant (hôpital Bichat, Paris), Sartrouville et Saint-Cyr.
Domitille Thomas-Beaulieu – Dermatologue, praticien hospitalier, service de Dermatologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Patrick Weiss – Psychiatre, praticien hospitalier, service de psychiatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
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Collaborateurs à la première édition

Laurence Amar – Endocrinologue, praticien hospitalo-universitaire, service de Médecine vasculaire et HTA, HEGP, Paris.
Marie-Laure Anciaux – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS (centre hospitalier intercommu-
nal de Poissy – Saint-Germain-en-Laye), site de Saint-Germain-en-Laye.
Laura Arassus – Praticien hospitalier, médecin coordinateur de l'équipe mobile de soins palliatifs et de lutte contre la douleur,
CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Michael Azagury – Onco-hématologue, praticien hospitalier, service de médecine interne, centre hospitalier intercommunal
de Meulan les Mureaux.
Nathalie Bataille – Chirurgien viscéral, ancien praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Sandrine Beaulieu – Gastro-entérologue, praticien hospitalier, service d'hépato-gastro-entérologie, CHIPS, site de Poissy.
David Berville – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Jean-Louis Blin – Orthopédiste, praticien hospitalier, service de chirurgie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Frédéric Bourdain – Neurologue, ancien chef de clinique-assistant, assistant dans le service de neurologie, hôpital Foch, Suresnes.
Patricia Brazille – Infectiologue, praticien hospitalier, service de maladies infectieuses et tropicales, CHIPS, site de Poissy.
Gita Brochard – Médecin du travail.
Dominique Caldari – Pédiatre, praticien hospitalier, clinique médicale pédiatrique, hôpital mère-enfant du CHU de Nantes.
Alain Cazaban – Radiologue, praticien hospitalier, service de radiologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Valérie Cerbeland – Assistante sociale, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Catherine Chemin – Gériatre, praticien hospitalier, service de gériatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Lydie Costentin – Hépatologue, praticien hospitalier, service d'hépato-gastro-entérologie, CHIPS, site de Poissy.
Marie Crouzet – Psychologue, service d'onco-hématologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Claire Cuevas – Ophtalmologue, praticien hospitalier, service d'ophtalmologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Odile Doublet – Pneumologue, praticien hospitalier, responsable des explorations fonctionnelles respiratoires et polysomno-
graphies, CHIPS, site de Poissy.
Alain Fajardy – Anesthésiste, praticien hospitalier, service d'anesthésie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jean-Philippe Haymann – Néphrologue, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de néphro-
logie, hôpital Tenon, Paris.
Jan Hayon – Réanimateur, praticien hospitalier, chef du pôle de réanimation, CHIPS, site de Poissy.
Stéphane Jouveshomme – Pneumologue, praticien hospitalier, service de pneumologie, CHIPS, site de Poissy.
Catherine Leclerc – Infectiologue, praticien hospitalier, service de maladies infectieuses et tropicales, CHIPS, site de Poissy.
Catherine Leport – Infectiologue, professeur à l'université Paris VII, praticien hospitalier, service des maladies infectieuses
et tropicales, hôpital Bichat, Paris.
Claire Mathé – Endocrinologue, praticien hospitalier, service d'endocrinologie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Laurence Mérian-Brosse – Pharmacienne, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Rkia Misbahi – Hématologue, praticien hospitalier, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Jacky Nizard – Gynécologue-obstétricien, maître de conférences à l'université Paris VI, praticien hospitalier, service de gynéco-
logie et obstétrique, groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Benoît Pétillon – Cardiologue, praticien hospitalier, service de cardiologie, CHIPS, site de Poissy.
Emmanuelle Peyret – Addictologue, praticien hospitalier, service de psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent, hôpital
Robert-Debré, Paris.
Jean-Loup Rénier – Biologiste spécialiste en transfusion sanguine, praticien hospitalier, laboratoire de biologie, hôpital de Laon.
Morgan Rouprêt – Urologue, chef de clinique-assistant, service d'urologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris.
Estelle Saint-Léger – Dermatologue, hôpital franco-britannique de Levallois-Perret (Hertford British Hospital).
Didier Simon – ORL, praticien hospitalier, service d'ORL, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Alexandre Somogyi – Médecin interniste, praticien hospitalier, service de médecine interne, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
Nathalie Somogyi-Demerjian – Rhumatologue, ancien chef de clinique-assistant (service de rhumatologie, hôpital Bichat,
Paris), Sartrouville et Saint-Cyr.
Patrick Weiss – Psychiatre, praticien hospitalier, service de psychiatrie, CHIPS, site de Saint-Germain-en-Laye.
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Table des matières générale par spécialité

Remerciements V ITEM 292 Prise en charge et accompagnement


d'un malade cancéreux 71
Collaborateurs à la deuxième édition VII
Collaborateurs à la première édition IX
ITEM 294 Principaux cancers de l'enfant 74

Items du programme de DFASM XIX ITEM 295 Tumeurs de la cavité buccale


et des voies aérodigestives supérieures 76
Abréviations utilisées dans cet ouvrage XXV
ITEM 296 Tumeurs intracrâniennes 77
Mieux comprendre ce qui est attendu XXXIII
ITEM 297 Tumeurs du corps ou du col utérin 79
ITEM 298 Tumeurs du côlon et du rectum 81
I APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ITEM 299 Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques 84
UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE ITEM 300 Tumeurs de l'estomac 88
ITEM 1 Relation médecin-malade 3 ITEM 301 Tumeurs du foie 89
ITEM 2 Valeurs professionnelles 5 ITEM 302 Tumeurs de l'œsophage 91
ITEM 3 Le raisonnement et la décision en médecine 7 ITEM 303 Tumeurs de l'ovaire 92
ITEM 4 Sécurité du patient 10 ITEM 304 Tumeurs des os 94
ITEM 5 Gestion des erreurs et des plaintes. ITEM 305 Tumeurs du pancréas 97
Aléa thérapeutique 16
ITEM 306 Tumeurs du poumon 98
ITEM 6 Organisation de l'exercice clinique
et méthodes permettant de sécuriser ITEM 307 Tumeurs de la prostate 102
le parcours du patient 18 ITEM 308 Tumeurs du rein 104
ITEM 13 Démarche d'assurance qualité. ITEM 309 Tumeurs du sein 105
Évaluation des pratiques professionnelles 20
ITEM 310 Tumeurs du testicule 110
ITEM 14 Formation tout au long de la vie 22
ITEM 311 Tumeurs vésicales 112
ITEM 15 Organisation du système de soins 24
ITEM 16 Protection sociale.
Consommation médicale III CARDIOLOGIE
et économie de la santé 27
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES –
ITEM 17 Système conventionnel 32 SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 150 Surveillance des porteurs de valve
II CANCÉROLOGIE – SOINS PALLIATIFS et de prothèse vasculaire 117

UE 5 DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES

ITEM 131 Douleur aiguë et chronique 37 ITEM 218 Athérome, malade polyathéromateux 120
ITEM 136 Principaux repères cliniques en soins ITEM 219 Facteurs de risque cardiovasculaire
palliatifs 38 et prévention 123
ITEM 137 Accompagnement en soins palliatifs 41 ITEM 220 Dyslipidémies 125
ITEM 138 Sédation, euthanasie, suicide assisté 43 ITEM 221 Hypertension artérielle de l'adulte 127
ITEM 139 Soins palliatifs en pédiatrie 45 ITEM 222 Hypertension artérielle pulmonaire 133
ITEM 140 Soins palliatifs en réanimation 47 ITEM 223 Artériopathie oblitérante de l'aorte, des
membres inférieurs et des artères viscérales.
UE 9 CANCÉROLOGIE – ONCO-HÉMATOLOGIE Anévrismes 137
ITEM 287 Épidémiologie, facteurs de risque, ITEM 224 Thrombose veineuse profonde et embolie
prévention et dépistage des cancers 49 pulmonaire 144
ITEM 288 Cancer : cancérogenèse, oncogénétique, ITEM 225 Insuffisance veineuse chronique.
cancers professionnels 52 Varices 149
ITEM 289 Diagnostic des cancers 56 ITEM 228 Douleur thoracique aiguë et chronique 151
ITEM 290 Anatomie et cytologie pathologiques 59 ITEM 229 Électrocardiogramme 154
ITEM 291 Traitement des cancers 62 ITEM 230 Fibrillation atriale 162
XII
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 231 Valvulopathies 165 UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG


ITEM 232 Insuffisance cardiaque de l'adulte 167 ITEM 183 Hypersensibilités et allergies
cutanéomuqueuses. Urticaire,
ITEM 233 Péricardite aiguë 171 dermatites atopiques et de contact 259
ITEM 234 Troubles de la conduction intracardiaque 173 ITEM 211 Purpuras 264
ITEM 235 Palpitations 175
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 236 Souffle cardiaque chez l'enfant 177
ITEM 226 Ulcère de jambe 266
ITEM 253 Sport et santé 179
ITEM 237 Principaux acrosyndromes vasculaires :
ITEM 254 Œdèmes des membres inférieurs 180 Raynaud, érythermalgie, acrocyanose,
engelures, ischémie digitale 268
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 327 Arrêt cardiocirculatoire 182 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS

ITEM 328 État de choc 184 ITEM 333 Œdème de Quincke et anaphylaxie 272

ITEM 334 Cardiopathie ischémique 188 ITEM 345 Grosse jambe rouge aiguë 274

IV CHIRURGIE DIGESTIVE VI ENDOCRINOLOGIE – DIABÉTOLOGIE –


UE 5 DOULEUR... NUTRITION
ITEM 133 Anesthésie locale, locorégionale UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
et générale 199
ITEM 238 Hypoglycémie 279
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES ITEM 239 Goitre, nodule et cancer thyroïdiens 281
ITEM 267 Douleurs abdominales ou lombaires aiguës 202 ITEM 240 Hyperthyroïdie 283
ITEM 274 Lithiase biliaire et complications 207 ITEM 241 Hypothyroïdie 286
ITEM 284 Diverticulose colique et sigmoïdite 212 ITEM 242 Adénome hypophysaire 288
ITEM 286 Hernie pariétale 216 ITEM 243 Insuffisance surrénale aiguë ou chronique 290
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS ITEM 244 Gynécomastie 292
ITEM 349 Syndrome occlusif 218 ITEM 245 Diabète sucré de types 1 et 2 294
ITEM 351 Appendicite 222 ITEM 246 Prévention primaire par la nutrition 303
ITEM 352 Péritonite aiguë 225 ITEM 247 Modifications thérapeutiques du mode
de vie (alimentation et activité physique) 305
ITEM 248 Dénutrition 310
V DERMATOLOGIE ITEM 251 Obésité 313
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
ITEM 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée,
dermatite séborrhéique 231 VII GYNÉCOLOGIE OBSTÉTRIQUE
ITEM 110 Dermatoses bulleuses 234 UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT
ITEM 111 Angiomes 240
ITEM 112 Exanthème, érythrodermie 242 ITEM 21 Examen prénuptial 317

ITEM 113 Prurit 244 ITEM 22 Grossesse normale 318

ITEM 114 Psoriasis 246 ITEM 23 Complications de la grossesse : hémorragie


génitale, HTA gravidique, menace
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES – SANTÉ d'accouchement prématuré, fièvre 321
AU TRAVAIL ITEM 24 Grossesse extra-utérine 327
ITEM 152 Infections cutanéomuqueuses et des phanères, ITEM 25 Douleur abdominale aiguë
bactériennes et mycosiques 248 chez une femme enceinte 329
ITEM 164 Infections à Herpès virus ITEM 26 Prévention des risques fœtaux : infections,
de l'immunocompétent : médicaments, toxiques, irradiation 330
herpès, varicelle, zona 254
ITEM 27 Infection urinaire au cours de la grossesse 338
ITEM 167 Ectoparasitoses cutanées :
gale et pédiculose 257 ITEM 29 Prématurité.
Retard de croissance intra-utérin 340
XIII
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 30 Accouchement, délivrance UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES


et suites de couches normales 343
ITEM 250 Troubles nutritionnels chez le sujet âgé 419
ITEM 32 Allaitement et complications 346
ITEM 33 Suites de couches pathologiques :
hémorragie, infection, thromboembolie 348 IX HÉMATOLOGIE
ITEM 34 Anomalies du cycle menstruel UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG
et métrorragies : aménorrhée, ménorragie,
ITEM 208 Hémogramme 423
métrorragie, syndrome prémenstruel 349
ITEM 209 Anémie 426
ITEM 35 Contraception, stérilisation,
grossesse non désirée 350 ITEM 210 Thrombopénie 433
ITEM 36 Interruption volontaire de grossesse 354 ITEM 212 Syndrome hémorragique
d'origine hématologique 435
ITEM 37 Stérilité du couple : première
consultation 356 ITEM 213 Syndrome mononucléosique 439
ITEM 38 Assistance médicale à la procréation 358 ITEM 214 Éosinophilie 440
ITEM 39 Algies pelviennes chez la femme 360 ITEM 215 Pathologie du fer chez l'adulte
et l'enfant 442
ITEM 40 Aménorrhée 362
ITEM 216 Adénopathie superficielle 445
ITEM 41 Hémorragie génitale chez la femme 366
ITEM 217 Amylose 446
ITEM 42 Tuméfaction pelvienne chez la femme 368
ITEM 43 Problèmes des maladies génétiques : UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
trisomie 21, mucoviscidose, syndrome ITEM 272 Splénomégalie 448
de l'X fragile 369
UE 9 CANCÉROLOGIE – ONCO-HÉMATOLOGIE
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 293 Agranulocytose médicamenteuse 449
ITEM 252 Nutrition et grossesse 373
ITEM 312 Leucémies aiguës 451
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 313 Syndromes myélodysplasiques 452
ITEM 339 Pré-éclampsie 376
ITEM 314 Syndromes myéloprolifératifs chroniques 454
ITEM 315 Leucémie lymphoïde chronique 459
VIII HANDICAP ET VIEILLISSEMENT
ITEM 316 Lymphomes malins 460
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES ITEM 317 Myélome multiple 463

ITEM 54 L'enfant handicapé 381


X HÉPATO-GASTRO-ENTÉROLOGIE
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEMS 106 ET 129 Troubles cognitifs : confusion, SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
démences 385
ITEM 163 Hépatites virales :
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE – DOULEUR – Anomalies biologiques hépatiques 471
SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
ITEM 172 Diarrhée aiguë 484
ITEM 115 Personne handicapée 390
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 116 Complications de l'immobilité et décubitus 394
ITEM 249 Amaigrissement 490
ITEM 117 Handicap psychique 398
ITEM 268 Reflux gastro-œsophagien
ITEM 118 Rééducation et réadaptation 400 Hernie hiatale 492
ITEM 119 Vieillissement normal : aspects biologiques, ITEM 269 Ulcère gastrique et duodénal
fonctionnels et relationnels. Gastrite 496
Données épidémiologiques et sociologiques.
Prévention du vieillissement pathologique 402 ITEM 270 Dysphagie 502
ITEM 120 Ménopause et andropause 405 ITEM 271 Vomissements 506
ITEM 126 La personne âgée malade 408 ITEM 273 Hépatomégalie, nodule hépatique
et masse abdominale 510
ITEM 127 Déficit neurosensoriel du sujet âgé 411
ITEM 275 Ictère 514
ITEM 128 Troubles de la marche et de l'équilibre
Chutes chez le sujet âgé 415 ITEM 276 Cirrhose et complications 520
ITEM 130 Autonomie et dépendance du sujet âgé 417 ITEM 277 Ascite 524
XIV
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 278 Pancréatite chronique 528


XII MÉDECINE LÉGALE
ITEM 279 Maladie de Crohn et rectocolite
UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
hémorragique 531 ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 280 Constipation 534 ITEM 7 Droits individuels et collectifs du patient 667
ITEM 281 Colopathie fonctionnelle 538 ITEM 8 Éthique médicale 671
ITEM 282 Diarrhée chronique 541 ITEM 9 Législation 676
ITEM 283 Diarrhée aiguë et déshydratation 545 ITEM 10 Accueil d'un sujet victime
ITEM 285 Pathologie hémorroïdaire 547 de violences sexuelles 680

UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS


ITEM 12 Responsabilités médicale pénale,
civile, administrative et disciplinaire 682
ITEM 350 Hémorragie digestive 549
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 353 Pancréatite aiguë 554
ITEM 332 Principales intoxications aiguës 683

XI MALADIES INFECTIEUSES XIII MÉDECINE DU TRAVAIL


UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE
SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT
ITEM 142 Surveillance des maladies infectieuses ITEM 28 Risques pour la maternité,
transmissibles 561 liés au travail de la mère 695
ITEM 144 Fièvre aiguë 565 UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 149 Endocardite infectieuse 570 SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL

ITEM 154 Septicémie, bactériémie, fongémie 575 ITEM 178 Environnement professionnel
et santé au travail 697
ITEM 155 Tuberculose 580
ITEM 179 Organisation de la médecine du travail
ITEM 156 Tétanos 586 Prévention des risques professionnels 700
ITEM 158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : ITEM 180 Accidents du travail et maladies
gonococcies, chlamydioses, professionnelles 706
syphilis, papillomavirus humain,
trichomonose 588
XIV NÉPHROLOGIE
ITEM 159 Coqueluche 596
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG
ITEM 161 Oreillons 598
ITEM 197 Transplantation d'organes 711
ITEM 162 Grippe 600
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 165 Infection à VIH 602
ITEM 255 Élévation de la créatininémie 718
ITEM 166 Paludisme 617
ITEM 256 Protéinurie et syndrome néphrotique 720
ITEM 168 Parasitoses digestives : giardiase,
téniasis, ascaridiose, oxyurose, amibiase 622 ITEM 257 Hématurie 724
ITEM 169 Zoonoses 625 ITEM 258 Néphropathie glomérulaire 726
ITEM 170 Pathologie infectieuse chez les migrants 632 ITEM 259 Néphropathie interstitielle chronique 731
ITEM 171 Voyage en pays tropical 635 ITEM 260 Néphropathies vasculaires 734
ITEM 174 Risques émergents, bioterrorisme, ITEM 261 Insuffisance rénale chronique 736
maladies hautement transmissibles 643
ITEM 263 Polykystose rénale autosomique dominante 740
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG ITEM 265 Troubles de l'équilibre acido-basique
ITEM 185 Déficit immunitaire 646 et désordres hydroélectrolytiques 743

ITEM 186 Fièvre prolongée 650 ITEM 343 Insuffisance rénale aiguë. Anurie 751

ITEM 187 Fièvre chez un immunodéprimé 653 XV NEUROLOGIE


UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
ITEM 344 Infection aiguë des parties molles : ITEM 86 Troubles aigus de la parole
abcès, panaris, phlegmon 657 Dysphonie 757
ITEM 362 Exposition accidentelle aux liquides ITEMS 89 ET 90 Déficit neurologique récent
biologiques 661 Déficit moteur et/ou sensitif des membres 761
XV
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 91 Compression médullaire non traumatique ITEM 88 Pathologie des glandes salivaires 886
et syndrome de la queue-de-cheval 766
ITEM 101 Vertige 888
ITEM 94 Neuropathie périphérique 769
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 95 Polyradiculonévrite aiguë 775 SANITAIRES – SANTÉ DU TRAVAIL
ITEM 96 Myasthénie 778 ITEM 145 Infections nasosinusiennes 890
ITEM 97 Migraine, algie de la face et névralgie ITEM 146 Angines et pharyngites 892
du trijumeau 781
ITEM 147 Otalgies et otites 894
ITEM 98 Céphalée aiguë et chronique 786
ITEM 99 Paralysie faciale 790 XVIII ORTHOPÉDIE
ITEM 100 Diplopie 792 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 102 Sclérose en plaques 795 ITEM 329 Polytraumatisé, traumatisé oculaire,
du rachis, thoracique, abdominal,
ITEM 103 Épilepsie 800
des membres, plaie des parties molles, brûlé 899
ITEM 104 Maladie de Parkinson 808
ITEM 330 Traumatisé cranio-facial 910
ITEM 105 Mouvements anormaux 812
ITEM 357 Lésions ligamentaires et méniscales
ITEM 107 Troubles de la marche et de l'équilibre 817 du genou, de la cheville et de l'épaule,
fracture bi-malléolaire 914
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES ITEM 358 Prothèses articulaires et ostéosynthèses 924
SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 359 Fractures fréquentes de l'adulte
ITEM 148 Méningites, méningo-encéphalites 820 et du sujet âgé 927
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS ITEM 360 Fractures chez l'enfant 931
ITEM 331 Coma non traumatique 829 ITEM 361 Malade sous plâtre 936
ITEM 335 Accidents vasculaires cérébraux 832
XIX PÉDIATRIE
ITEM 336 Hémorragie méningée 840
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE
ITEM 337 Malaise, perte de connaissance, DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT
crise comitiale de l'adulte 843
ITEM 31 Nouveau-né à terme : évaluation et soins 941
ITEM 338 État confusionnel et trouble de conscience 847
ITEM 44 Suivi d'un nourrisson, d'un enfant
et d'un adolescent normal 945
XVI OPHTALMOLOGIE ITEM 45 Alimentation et besoins nutritionnels
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE du nourrisson et de l'enfant 952
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT ITEM 47 Puberté normale et pathologique 954
ITEM 50 Strabisme de l'enfant 851 ITEM 49 Troubles de la miction chez l'enfant 958
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ ITEM 51 Retard de croissance staturo-pondérale 961
ITEM 79 Altération de la fonction visuelle 853 ITEM 52 Boiterie et troubles de la démarche
chez l'enfant 963
ITEM 80 Anomalies de la vision d'apparition brutale 860
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
ITEM 81 Œil rouge et/ou douloureux 864 CONDUITES ADDICTIVES
ITEM 82 Glaucome chronique 870 ITEM 53 Développement psychomoteur
ITEM 83 Troubles de la réfraction 872 Troubles de l'apprentissage
Relation mère-enfant 965
ITEM 84 Pathologie des paupières 874
ITEM 55 Maltraitance et enfants en danger
Protection maternelle et infantile 971
XVII ORL – STOMATOLOGIE ITEM 66 Troubles du comportement de l'adolescent 974
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE – PATHOLOGIE UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE –
DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ – L'ENFANT – L'ADOLESCENT DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
ITEM 46 Développement buccodentaire et anomalies 879 ITEM 134 Douleur chez l'enfant : sédation
et traitements antalgiques 977
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
ITEM 85 Épistaxis 881 SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 87 Altération de la fonction auditive 883 ITEM 160 Maladies éruptives de l'enfant 979
XVI
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – POUMON – SANG


ITEM 340 Malaise grave du nourrisson et mort subite 981 ITEM 182 Hypersensibilité et allergie 1106
ITEM 341 Convulsions chez le nourrisson ITEM 184 Hypersensibilité et allergies respiratoires :
et chez l'enfant 985 asthme, rhinite 1111
ITEM 199 Dyspnée aiguë et chronique 1120
XX PHARMACOLOGIE − THÉRAPEUTIQUE ITEM 200 Toux aiguë ou chronique 1123
UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL ITEM 201 Hémoptysie 1125
ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 202 Épanchement pleural 1127
ITEM 18 Recherche expérimentale et clinique 991
ITEM 203 Opacités et masses intrathoraciques 1130
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES ITEM 204 Insuffisance respiratoire chronique 1134

ITEM 72 Psychotropes 995 ITEM 205 Bronchopneumopathie chronique


obstructive 1136
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE –
ITEM 206 Pneumopathie interstitielle diffuse 1140
DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
ITEM 132 Thérapeutiques antalgiques 1002 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 354 Détresse respiratoire aiguë 1144
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES –
SANTÉ AU TRAVAIL ITEM 355 Insuffisance respiratoire aiguë 1146
ITEM 143 Vaccinations 1008 ITEM 356 Pneumothorax 1149
ITEM 173 Anti-infectieux 1018

UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – XXII PSYCHIATRIE


POUMON – SANG UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ITEM 198 Biothérapies et thérapies ciblées 1031 ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
ITEM 11 Soins psychiatriques sans consentement 1153
UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 227 Abords veineux 1038 UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES
ITEM 264 Diurétiques 1043
ITEM 56 Sexualité normale et ses troubles 1157
UE 10 LE BON USAGE DU MÉDICAMENT ET DES THÉRAPEUTIQUES
ITEM 58 Troubles psychiques de l'enfant
NON MÉDICAMENTEUSES
à la personne âgée 1159
ITEM 318 Bon usage du médicament
ITEM 59 Classifications des troubles mentaux 1160
et des thérapeutiques
non médicamenteuses 1045 ITEM 60 Organisation de l'offre de soins
en psychiatrie 1163
ITEM 319 Décision thérapeutique personnalisée 1047
ITEM 61 Trouble schizophrénique 1166
ITEM 320 Études cliniques 1054
ITEM 62 Trouble bipolaire 1170
ITEM 321 Éducation thérapeutique,
observance et automédication 1057 ITEM 63 Troubles délirants persistants 1172
ITEM 322 Iatrogénie 1060 ITEM 64 Troubles dépressif, anxieux généralisé,
panique, phobique, obsessionnel compulsif,
ITEM 323 Cadre réglementaire de la prescription
de l'adaptation, de la personnalité et état
thérapeutique et recommandations
de stress post-traumatique 1173
pour le bon usage 1065
ITEM 65 Troubles envahissants du développement 1183
ITEM 324 Thérapeutiques non médicamenteuses
et dispositifs médicaux 1074 ITEM 67 Troubles psychiques de la grossesse
et du post-partum 1187
ITEM 325 Transfusion sanguine et produits
dérivés du sang 1078 ITEM 68 Principaux troubles psychiques
du sujet âgé 1190
ITEM 326 Prescription et surveillance
des médicaments les plus courants 1082 ITEM 69 Troubles du comportement alimentaire 1194
ITEM 70 Troubles somatoformes 1196
XXI PNEUMOLOGIE ITEM 71 Techniques psychothérapeutiques 1198
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES ITEM 73 Addiction au tabac 1200
SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 74 Addiction à l'alcool 1202
ITEM 151 Infections bronchopulmonaires
communautaires 1099 ITEMS 75 ET 76 Addictions aux psychotropes 1205
XVII
TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PAR SPÉCIALITÉ

ITEM 77 Addictions comportementales 1211 UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES


ITEM 78 Dopage 1212 ITEM 266 Hypercalcémie 1308

UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX –


REVÊTEMENT CUTANÉ XXIV SANTÉ PUBLIQUE
ITEM 108 Troubles du sommeil 1214 UE 1 APPRENTISSAGE DE L'EXERCICE MÉDICAL
ET DE LA COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE – DOULEUR –
SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT ITEM 19 Mesure de l'état de santé de la population 1313

ITEM 135 Douleur en santé mentale 1219 ITEM 20 Interprétation d'une enquête
épidémiologique 1316
ITEM 141 Deuil normal et pathologique 1223
UE 3 MATURATION – VULNÉRABILITÉ – SANTÉ MENTALE –
CONDUITES ADDICTIVES
UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS
ITEM 57 Sujets en situation de précarité 1318
ITEM 346 Agitation et délire aigus 1225
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES –
ITEM 347 Crise d'angoisse aiguë et attaque SANTÉ AU TRAVAIL
de panique 1228
ITEM 175 Risques sanitaires liés à l'eau
ITEM 348 Risque et conduite suicidaires 1230 et à l'alimentation
Toxi-infections alimentaires 1321

XXIII RHUMATOLOGIE ITEM 176 Risques sanitaires liés aux irradiations


Radioprotection 1324
UE 4 PERCEPTION – SYSTÈME NERVEUX – REVÊTEMENT CUTANÉ
ITEM 177 Sécurité sanitaire des produits destinés
ITEM 92 Rachialgie 1235 à l'homme.
ITEM 93 Radiculalgie et syndrome canalaire 1237 Veille sanitaire 1327

UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE – DOULEUR –


SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
XXV UROLOGIE
ITEM 124 Ostéopathies fragilisantes 1241
UE 2 DE LA CONCEPTION À LA NAISSANCE –
ITEM 125 Arthrose 1246 PATHOLOGIE DE LA FEMME – HÉRÉDITÉ –
L'ENFANT – L'ADOLESCENT
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES SANITAIRES – SANTÉ
AU TRAVAIL ITEM 48 Pathologie génito-scrotale : torsion
de cordon spermatique, phimosis,
ITEM 153 Infections ostéoarticulaires hydrocèle, cryptorchidie 1331
Discospondylite 1249
UE 5 HANDICAP – VIEILLISSEMENT – DÉPENDANCE –
UE 7 INFLAMMATION – IMMUNOPATHOLOGIE – DOULEUR – SOINS PALLIATIFS – ACCOMPAGNEMENT
POUMON – SANG
ITEM 121 Troubles de la miction et incontinence
ITEM 181 Réaction inflammatoire 1254 urinaire de l'adulte et du sujet âgé 1334
ITEM 188 Pathologies auto-immunes 1259 ITEM 122 Trouble de l'érection 1339
ITEM 189 Vascularites systémiques 1266 ITEM 123 Hypertrophie bénigne de la prostate 1343
ITEM 190 Lupus érythémateux disséminé
UE 6 MALADIES TRANSMISSIBLES – RISQUES
Syndrome des antiphospholipides 1271 SANITAIRES – SANTÉ AU TRAVAIL
ITEM 191 Artérites à cellules géantes 1278 ITEM 157 Infections urinaires : cystite, pyélonéphrite,
ITEM 192 Polyarthrite rhumatoïde 1282 prostatite 1346
ITEM 193 Spondylarthrite ankylosante 1287 UE 8 CIRCULATION – MÉTABOLISMES
ITEM 194 Arthropathie microcristalline 1292 ITEM 262 Lithiase urinaire 1354
ITEM 195 Syndrome douloureux régional
complexe (SDRC : ex-algodystrophie) 1295 UE 11 URGENCES ET DÉFAILLANCES VISCÉRALES AIGUËS

ITEM 196 Douleur et épanchement articulaire ITEM 342 Rétention aiguë d'urine 1358
Arthrite d'évolution récente 1297
ITEM 207 Sarcoïdose 1303 Index 1361
7KLVSDJHLQWHQWLRQDOO\OHIWEODQN
Items du programme de DFASM

1 La relation médecin-malade dans le cadre du colloque 28 Connaître les principaux risques professionnels pour la
singulier ou au sein d'une équipe, le cas échéant plu- maternité, liés au travail de la mère. p. 695
riprofessionnelle. La communication avec le patient 29 Prématurité et retard de croissance intra-utérin : fac-
et son entourage. L'annonce d'une maladie grave teurs de risque et prévention. p. 340
ou létale ou d'un dommage associé aux soins. La for- 30 Accouchement, délivrance et suites de couches nor-
mation du patient. La personnalisation de la prise en males. p. 343
charge médicale. p. 3 31 Évaluation et soins du nouveau-né à terme. p. 941
2 Les valeurs professionnelles du médecin et des autres 32 Allaitement maternel. p. 346
professions de santé. p. 5 33 Suites de couches pathologiques : pathologie mater-
3 Le raisonnement et la décision en médecine. La méde- nelle dans les 40 jours. p. 348
cine fondée sur les preuves (Evidence Based Medicine, 34 Anomalies du cycle menstruel. Métrorragies. p. 349
EBM). La décision médicale partagée. p. 7 35 Contraception. p. 350
4 La sécurité du patient. La gestion des risques. Les évé- 36 Interruption volontaire de grossesse. p. 354
nements indésirables associés aux soins (EIAS). p. 10 37 Stérilité du couple : conduite de la première consulta-
5 La gestion des erreurs et des plaintes ; l'aléa thérapeu- tion. p. 356
tique. p. 16 38 Assistance médicale à la procréation : principaux
6 L'organisation de l'exercice clinique et les méthodes aspects biologiques, médicaux et éthiques. p. 358
qui permettent de sécuriser le parcours du patient. 39 Algies pelviennes chez la femme. p. 360
p. 18 40 Aménorrhée. p. 362
7 Les droits individuels et collectifs du patient. p. 667 41 Hémorragie génitale chez la femme. p. 366
8 Éthique médicale. p. 671 42 Tuméfaction pelvienne chez la femme. p. 369
9 Certificats médicaux. Décès et législation. Prélèvements 43 Problèmes posés par les maladies génétiques, à
d'organes et législation. p. 676 propos :
10 Violences sexuelles. p. 680 – d'une maladie chromosomique : la trisomie 21 ;
11 Soins psychiatriques sans consentement. p. 1153 – d'une maladie génique : la mucoviscidose ;
12 Responsabilités médicale pénale, civile, administrative – d'une maladie d'instabilité : le syndrome de l'X fra-
et disciplinaire. p. 682 gile. p. 370
13 Principes d'une démarche qualité et évaluation des 44 Suivi d'un nourrisson, d'un enfant et d'un adolescent
pratiques professionnelles. p. 20 normal. Dépistage des anomalies orthopédiques, des
14 Formation tout au long de la vie. Analyse critique troubles visuels et auditifs. Examens de santé obli-
d'une information scientifique et médicale. Gestion gatoires. Médecine scolaire. Mortalité et morbidité
des liens d'intérêt. p. 22 infantiles. p. 945
15 Organisation du système de soins. Sa régulation. Les 45 Alimentation et besoins nutritionnels du nourrisson et
indicateurs. Parcours de soins. p. 24 de l'enfant. p. 952
16 La Sécurité sociale. L'Assurance maladie. Les assurances 46 Développement buccodentaire et anomalies. p. 879
complémentaires. La couverture médicale univer- 47 Puberté normale et pathologique. p. 954
selle. La consommation médicale. Protection sociale. 48 Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez
Consommation médicale et économie de la santé. p. 27 l'homme. p. 1331
17 Le système conventionnel. p. 32 49 Troubles de la miction chez l'enfant. p. 958
18 La méthodologie de la recherche expérimentale et cli- 50 Strabisme de l'enfant. p. 851
nique. p. 991 51 Retard de croissance staturo-pondérale. p. 961
19 Mesure de l'état de santé de la population. p. 1313 52 Boiterie chez l'enfant. p. 963
20 Interprétation d'une enquête épidémiologique. 53 Développement psychomoteur du nourrisson et de
p. 1316 l'enfant : aspects normaux et pathologiques (sommeil,
21 Examen prénuptial. p. 317 alimentation, contrôles sphinctériens, psychomotri-
22 Grossesse normale. p. 318 cité, langage, intelligence). L'installation précoce de
23 Principales complications de la grossesse. p. 321 la relation parents-enfant et son importance. Troubles
24 Grossesse extra-utérine. p. 327 de l'apprentissage (voir item 118). p. 965
25 Douleur abdominale aiguë chez une femme enceinte. 54 L'enfant handicapé : orientation et prise en charge
p. 329 (voir items 115, 117). p. 381
26 Prévention des risques fœtaux : infection, médica- 55 Maltraitance et enfants en danger. Protection mater-
ments, toxiques, irradiation. p. 330 nelle et infantile. p. 971
27 Connaître les particularités de l'infection urinaire au 56 Sexualité normale et ses troubles. p. 1157
cours de la grossesse. p. 338 57 Sujets en situation de précarité. p. 1318
XX
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

58 Connaître les facteurs de risque, prévention, dépis- 96 Myasthénie. p. 778


tage des troubles psychiques de l'enfant à la personne 97 Migraine, névralgie du trijumeau et algies de la face.
âgée. p. 1159 p. 781
59 Connaître les bases des classifications des troubles 98 Céphalée aiguë et chronique chez l'adulte et l'enfant.
mentaux de l'enfant à la personne âgée. p. 1160 p. 786
60 Décrire l'organisation de l'offre de soins en psychia- 99 Paralysie faciale. p. 790
trie, de l'enfant à la personne âgée. p. 1163 100 Diplopie. p. 792
61 Trouble schizophrénique de l'adolescent et de l'adulte. 101 Vertige. p. 888
p. 1166 102 Sclérose en plaques. p. 795
62 Trouble bipolaire de l'adolescent et de l'adulte. 103 Épilepsie de l'enfant et de l'adulte. p. 801
p. 1170 104 Maladie de Parkinson. p. 808
63 Trouble délirant persistant. p. 1172 105 Mouvements anormaux. p. 812
64 Diagnostiquer : un trouble dépressif, un trouble 106 Confusion, démences (voir item 129). p. 385
anxieux généralisé, un trouble panique, un trouble 107 Troubles de la marche et de l'équilibre. p. 817
phobique, un trouble obsessionnel compulsif, un état 108 Troubles du sommeil de l'enfant et de l'adulte. p. 1214
de stress post-traumatique, un trouble de l'adaptation 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite sébor-
(de l'enfant à la personne âgée), un trouble de la per- rhéique. p. 237
sonnalité. p. 1173 110 Dermatose bulleuse touchant la peau et/ou les
65 Troubles envahissants du développement (voir items muqueuses externes. p. 234
115, 117, 118, 135). p. 1183 111 Hémangiomes et malformations vasculaires cutanées.
66 Troubles du comportement de l'adolescent. p. 974 p. 240
67 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum. 112 Exanthème et érythrodermie de l'adulte et de l'en-
p. 1187 fant. p. 242
68 Troubles psychiques du sujet âgé. p. 1190 113 Prurit. p. 244
69 Troubles des conduites alimentaires chez l'adolescent 114 Psoriasis. p. 246
et l'adulte. p. 1194 115 La personne handicapée : bases de l'évaluation fonc-
70 Troubles somatoformes à tous les âges. p. 1196 tionnelle et thérapeutique. p. 390
71 Différents types de techniques psychothérapeutiques. 116 Complications de l'immobilité et du décubitus.
p. 1198 Prévention et prise en charge. p. 394
72 Prescription et surveillance des psychotropes. p. 995 117 Le handicap psychique (voir items 54 et 115). p. 398
73 Addiction au tabac. p. 1200 118 Principales techniques de rééducation et de réadapta-
74 Addiction à l'alcool. p. 1202 tion (voir item 53). p. 400
75 Addiction aux médicaments psychotropes (benzodia- 119 Vieillissement normal : aspects biologiques, fonction-
zépines et apparentés) (voir item 319). p. 1205 nels et relationnels. Données épidémiologiques et
76 Addiction au cannabis, à la cocaïne, aux amphéta- sociologiques. Prévention du vieillissement patholo-
mines, aux opiacés, aux drogues de synthèse (voir gique. p. 402
item 319). p. 1205 120 Ménopause et andropause. p. 405
77 Addictions comportementales. p. 121 121 Troubles de la miction et incontinence urinaire de
78 Dopage (voir item 253). p. 1212 l'adulte et du sujet âgé. p. 1334
79 Altération de la fonction visuelle (voir item 127). p. 853 122 Trouble de l'érection. p. 1339
80 Anomalie de la vision d'apparition brutale. p. 860 123 Hypertrophie bénigne de la prostate. p. 1343
81 Œil rouge et/ou douloureux. p. 864 124 Ostéopathies fragilisantes. p. 1241
82 Glaucome chronique. p. 870 125 Arthrose. p. 1246
83 Troubles de la réfraction. p. 872 126 La personne âgée malade : particularités sémiolo-
84 Pathologie des paupières. p. 874 giques, psychologiques et thérapeutiques. p. 408
85 Épistaxis. p. 881 127 Déficit neurosensoriel chez le sujet âgé (voir items 79
86 Trouble aigu de la parole. Dysphonie. p. 757 et 87). p. 4011
87 Altération de la fonction auditive (voir item 127). p. 883 128 Troubles de la marche et de l'équilibre (voir item 107).
88 Pathologie des glandes salivaires. p. 886 p. 415
89 Déficit neurologique récent (voir item 335). p. 761 129 Troubles cognitifs du sujet âgé (voir item 106). p. 385
90 Déficit moteur et/ou sensitif des membres. p. 761 130 Autonomie et dépendance chez le sujet âgé. p. 417
91 Compression médullaire non traumatique et syn- 131 Bases neurophysiologiques, mécanismes physiopatho-
drome de la queue-de-cheval. p. 776 logiques d'une douleur aiguë et d'une douleur chro-
92 Rachialgie. p. 1235 nique. p. 37
93 Radiculalgie et syndrome canalaire. p. 1237 132 Thérapeutiques antalgiques, médicamenteuses et non
94 Neuropathies périphériques. p. 769 médicamenteuses. p. 1002
95 Polyradiculonévrite aiguë inflammatoire (syndrome 133 Anesthésie locale, locorégionale et générale. p. 199
de Guillain-Barré). p. 775
XXI
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

134 Douleur chez l'enfant : évaluation et traitements 164 Infections à herpès virus du sujet immunocompétent.
antalgiques. p. 977 p. 256
135 Douleur en santé mentale. p. 1219 165 Infections à VIH. p. 602
136 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 166 Paludisme. p. 617
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, 167 Gale et pédiculose. p. 257
chronique ou létale (1). Principaux repères cliniques. 168 Parasitoses digestives : giardiose, amoebose, téniasis,
Modalités d'organisation des équipes, en établisse- ascaridiose, oxyurose. p. 622
ment de santé et en ambulatoire. p. 38 169 Zoonoses. p. 625
137 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 170 Pathologie infectieuse chez les migrants adultes et
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, enfants. p. 632
chronique ou létale (2). Accompagnement de la per- 171 Voyage en pays tropical de l'adulte et de l'enfant :
sonne malade et de son entourage. Principaux repères conseils avant le départ, pathologies du retour (fièvre,
éthiques. p. 41 diarrhée, manifestations cutanées). p. 635
138 Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en 172 Diarrhées infectieuses de l'adulte et de l'enfant. p. 484
phase palliative ou terminale d'une maladie grave, 173 Prescription et surveillance des anti-infectieux chez
chronique ou létale (3). La sédation pour détresse en l'adulte et l'enfant (voir item 326). p. 1018
phase terminale et dans des situations spécifiques et 174 Risques émergents, bioterrorisme, maladies haute-
complexes en fin de vie. Réponse à la demande d'eu- ment transmissibles. p. 643
thanasie ou de suicide assisté. p. 48 175 Risques sanitaires liés à l'eau et à l'alimentation. Toxi-
139 Connaître les aspects spécifiques des soins palliatifs en infections alimentaires. p. 1321
pédiatrie. p. 45 176 Risques sanitaires liés aux irradiations. Radioprotec-
140 Connaître les aspects spécifiques des soins palliatifs en tion. p. 1324
réanimation. p. 47 177 La sécurité sanitaire des produits destinés à l'homme.
141 Deuil normal et pathologique. p. 1223 La veille sanitaire (voir item 322). p. 1327
142 Surveillance des maladies infectieuses transmissibles. 178 Environnement professionnel et santé au travail. p. 697
p. 561 179 Organisation de la médecine du travail. Prévention
143 Vaccinations. p. 1008 des risques professionnels. p. 700
144 Fièvre aiguë chez l'enfant et l'adulte. p. 565 180 Accidents du travail et maladies professionnelles :
145 Infections nasosinusiennes de l'adulte et de l'enfant. définitions et enjeux. p. 706
p. 890 181 Réaction inflammatoire : aspects biologiques et cli-
146 Angines de l'adulte et de l'enfant et rhinopharyngites niques. Conduite à tenir. p. 1254
de l'enfant. p. 892 182 Hypersensibilités et allergies chez l'enfant et l'adulte :
147 Otites infectieuses de l'adulte et de l'enfant. p. 894 aspects physiopathologiques, épidémiologiques, dia-
148 Méningites, méningo-encéphalites chez l'adulte et gnostiques et principes de traitement. p. 1106
l'enfant. p. 820 183 Hypersensibilités et allergies cutanéomuqueuses chez
149 Endocardite infectieuse. p. 570 l'enfant et l'adulte. Urticaire, dermatites atopique et
150 Surveillance des porteurs de valve et prothèses vascu- de contact. p. 1259
laires. p. 117 184 Hypersensibilité et allergies respiratoires chez l'enfant
151 Infections broncho-pulmonaires communautaires de et chez l'adulte. Asthme, rhinite. p. 1111
l'adulte et de l'enfant. p. 1099 185 Déficit immunitaire. p. 646
152 Infections cutanéomuqueuses et des phanères, bacté- 186 Fièvre prolongée. p. 650
riennes et mycosiques de l'adulte et de l'enfant. p. 248 187 Fièvre chez un patient immunodéprimé. p. 653
153 Infections ostéoarticulaires (IOA) de l'enfant et de 188 Pathologies auto-immunes : aspects épidémiologiques,
l'adulte. p. 1249 diagnostiques et principes de traitement. p. 1259
154 Septicémie / bactériémie / fongémie de l'adulte et de 189 Connaître les principaux types de vascularite systé-
l'enfant. p. 575 mique, les organes cibles, les outils diagnostiques et
155 Tuberculose de l'adulte et de l'enfant. p. 580 les moyens thérapeutiques. p. 1266
156 Tétanos. p. 588 190 Lupus érythémateux disséminé. Syndrome des anti-
157 Infections urinaires de l'enfant et de l'adulte. p. 1346 phospholipides. p. 1271
158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : gono- 191 Artérite à cellules géantes. p. 1278
coccies, chlamydioses, syphilis, papillomavirus humain 192 Polyarthrite rhumatoïde. p. 1282
(HPV), trichomonose. p. 588 193 Spondylarthrite inflammatoire. p. 1287
159 Coqueluche. p. 596 194 Arthropathie microcristalline. p. 1292
160 Exanthèmes fébriles de l'enfant. p. 979 195 Syndrome douloureux régional complexe (ex. : algo-
161 Oreillons. p. 598 dystrophie). p. 1295
162 Grippe. p. 600 196 Douleur et épanchement articulaire. Arthrite d'évolu-
163 Hépatites virales. p. 471 tion récente. p. 1297
XXII
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

197 Transplantation d'organes : aspects épidémiologiques 241 Hypothyroïdie. p. 286


et immunologiques ; principes de traitement et sur- 242 Adénome hypophysaire. p. 288
veillance ; complications et pronostic ; aspects éthiques 243 Insuffisance surrénale chez l'adulte et l'enfant. p. 290
et légaux. p. 711 244 Gynécomastie. p. 292
198 Biothérapies et thérapies ciblées. p. 1031 245 Diabète sucré de types 1 et 2 de l'enfant et de l'adulte.
199 Dyspnée aiguë et chronique. p. 1120 Complications. p. 294
200 Toux chez l'enfant et chez l'adulte (avec le traitement). 246 Prévention primaire par la nutrition chez l'adulte et
p. 1123 l'enfant. p. 303
201 Hémoptysie. p. 1125 247 Modifications thérapeutiques du mode de vie (alimenta-
202 Épanchement pleural. p. 1127 tion et activité physique) chez l'adulte et l'enfant. p. 305
203 Opacités et masses intrathoraciques chez l'enfant et 248 Dénutrition chez l'adulte et l'enfant. p. 310
chez l'adulte. p. 1130 249 Amaigrissement à tous les âges. p. 490
204 Insuffisance respiratoire chronique. p. 1134 250 Troubles nutritionnels chez le sujet âgé. p. 419
205 Bronchopneumopathie chronique obstructive chez 251 Obésité de l'enfant et de l'adulte (voir item 69). p. 313
l'adulte et l'enfant. p. 1136 252 Nutrition et grossesse. p. 374
206 Pneumopathie interstitielle diffuse. p. 1140 253 Aptitude au sport chez l'adulte et l'enfant ; besoins
207 Sarcoïdose. p. 1303 nutritionnels chez le sportif (voir item 78). p. 179
208 Hémogramme chez l'adulte et l'enfant : indications et 254 Œdèmes des membres inférieurs localisés ou généralisés.
interprétation. p. 423 p. 180
209 Anémie chez l'adulte et l'enfant. p. 426 255 Élévation de la créatininémie. p. 718
210 Thrombopénie chez l'adulte et l'enfant. p. 43 256 Protéinurie et syndrome néphrotique de l'adulte et de
211 Purpuras chez l'adulte et l'enfant. p. 264 l'enfant. p. 720
212 Syndrome hémorragique d'origine hématologique. p. 435 257 Hématurie. p. 724
213 Syndrome mononucléosique. p. 439 258 Néphropathie glomérulaire. p. 726
214 Éosinophilie. p. 440 259 Néphropathie interstitielle. p. 731
215 Pathologie du fer chez l'adulte et l'enfant. p. 442 260 Néphropathie vasculaire. p. 734
216 Adénopathie superficielle de l'adulte et de l'enfant. 261 Insuffisance rénale chronique chez l'adulte et l'en-
p. 445 fant. p. 736
217 Amylose. p. 467 262 Lithiase urinaire. p. 1354
218 Athérome : épidémiologie et physiopathologie. Le 263 Polykystose rénale. p. 740
malade polyathéromateux. p. 120 264 Prescription et surveillance des diurétiques (voir item
219 Facteurs de risque cardiovasculaire et prévention. p. 123 326). p. 1043
220 Dyslipidémies. p. 125 265 Troubles de l'équilibre acido-basique et désordres
221 Hypertension artérielle de l'adulte. p. 127 hydro-électrolytiques. p. 743
222 Hypertension artérielle pulmonaire de l'enfant et de 266 Hypercalcémie. p. 1308
l'adulte. p. 133 267 Douleurs abdominales et lombaires aiguës chez l'en-
223 Artériopathie oblitérante de l'aorte, des artères viscé- fant et chez l'adulte. p. 202
rales et des membres inférieurs ; anévrismes. p. 137 268 Reflux gastro-œsophagien chez le nourrisson, chez
224 Thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire l'enfant et chez l'adulte. Hernie hiatale. p. 492
(voir item 326). p. 144 269 Ulcère gastrique et duodénal. Gastrite. p. 496
225 Insuffisance veineuse chronique. Varices. p. 149 270 Dysphagie. p. 502
226 Ulcère de jambe. p. 266 271 Vomissements du nourrisson, de l'enfant et de l'adulte.
227 Surveillance et complications des abords veineux. p. 1038 p. 506
228 Douleur thoracique aiguë et chronique. p. 151 272 Splénomégalie. p. 448
229 Électrocardiogramme : indications et interprétations. 273 Hépatomégalie et masse abdominale. p. 510
p. 154 274 Lithiase biliaire et complications. p. 207
230 Fibrillation atriale. p. 162 275 Ictère. p. 514
231 Valvulopathies. p. 165 276 Cirrhose et complications. p. 520
232 Insuffisance cardiaque de l'adulte. p. 167 277 Ascite. p. 524
233 Péricardite aiguë. p. 171 278 Pancréatite chronique. p. 528
234 Troubles de la conduction intracardiaque. p. 173 279 Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin
235 Palpitations. p. 175 (MICI) chez l'adulte et l'enfant. p. 531
236 Souffle cardiaque chez l'enfant. p. 177 280 Constipation chez l'enfant et l'adulte (avec le traite-
237 Acrosyndromes (phénomène de Raynaud, érythermal- ment). p. 534
gie, acrocyanose, engelures, ischémie digitale). p. 268 281 Colopathie fonctionnelle. p. 538
238 Hypoglycémie chez l'adulte et l'enfant. p. 297 282 Diarrhée chronique chez l'adulte et l'enfant. p. 541
239 Goitre, nodules thyroïdiens et cancers thyroïdiens. p. 281 283 Diarrhée aiguë et déshydratation chez le nourrisson,
240 Hyperthyroïdie. p. 283 l'enfant et l'adulte. p. 545
XXIII
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

284 Diverticulose colique et diverticulite aiguë du sig- recherche clinique et niveaux de preuve (voir item 3).
moïde. p. 212 p. 1054
285 Pathologie hémorroïdaire. p. 547 321 Éducation thérapeutique, observance et automédica-
286 Hernie pariétale chez l'enfant et l'adulte. p. 216 tion. p. 1057
287 Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et 322 Identification et gestion des risques liés aux médica-
dépistage des cancers. p. 47 ments et aux biomatériaux, risque iatrogène, erreur
288 Cancer : cancérogenèse, oncogénétique. p. 52 médicamenteuse (voir items 4 et 5). p. 1060
289 Diagnostic des cancers : signes d'appel et investigations 323 Cadre réglementaire de la prescription thérapeutique
paracliniques ; caractérisation du stade ; pronostic. p. 56 et recommandations pour le bon usage. p. 1065
290 Le médecin préleveur de cellules et/ou de tissus pour 324 Thérapeutiques non médicamenteuses et dispositifs
des examens d'anatomie et cytologie pathologiques : médicaux. p. 1074
connaître les principes de réalisation, transmission et 325 Transfusion sanguine et produits dérivés du sang :
utilisation des prélèvements à visée sanitaire et de indications, complications. Hémovigilance. p. 1078
recherche. p. 59 326 Prescription et surveillance des classes de médica-
291 Traitement des cancers : chirurgie, radiothérapie, ments les plus courantes chez l'adulte et chez l'en-
traitements médicaux des cancers (chimiothérapie, fant. Connaître pour chacune les mécanismes d'action
thérapies ciblées, immunothérapie). La décision thé- de classe et des produits individuels, les principes du
rapeutique pluridisciplinaire et l'information du bon usage, les critères de choix d'un médicament en
malade. p. 62 première intention, les causes d'échec, les principaux
292 Prise en charge et accompagnement d'un malade can- effets indésirables et interactions. p. 1082
céreux à tous les stades de la maladie dont le stade de 327 Arrêt cardiocirculatoire. p. 182
soins palliatifs en abordant les problématiques tech- 328 État de choc. Principales étiologies : hypovolémique,
niques, relationnelles, sociales et éthiques. Traitements septique (voir item 154), cardiogénique, anaphylac-
symptomatiques. Modalités de surveillance. p. 71 tique. p. 184
293 Agranulocytose médicamenteuse : conduite à tenir. 329 Prise en charge immédiate pré-hospitalière et à l'arri-
p. 449 vée à l'hôpital, évaluation des complications chez : un
294 Cancer de l'enfant : particularités épidémiologiques, brûlé, un polytraumatisé, un traumatisé abdominal,
diagnostiques et thérapeutiques. p. 74 un traumatisé des membres, un traumatisé du rachis,
295 Tumeurs de la cavité buccale, nasosinusiennes et du un traumatisé thoracique, un traumatisé oculaire, un
cavum, et des voies aérodigestives supérieures. p. 76 patient ayant une plaie des parties molles. p. 899
296 Tumeurs intracrâniennes. p. 76 330 Orientation diagnostique et conduite à tenir devant
297 Tumeurs du col utérin, tumeur du corps utérin. p. 79 un traumatisme cranio-facial. p. 910
298 Tumeurs du côlon et du rectum. p. 81 331 Coma non traumatique chez l'adulte et chez l'enfant.
299 Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques. p. 84 p. 829
300 Tumeurs de l'estomac. p. 88 332 Principales intoxications aiguës. p. 683
301 Tumeurs du foie, primitives et secondaires. p. 89 333 Œdème de Quincke et anaphylaxie. p. 272
302 Tumeurs de l'œsophage. p. 91 334 Syndromes coronariens aigus. p. 187
303 Tumeurs de l'ovaire. p. 92 335 Accidents vasculaires cérébraux. p. 832
304 Tumeurs des os primitives et secondaires. p. 94 336 Hémorragie méningée. p. 840
305 Tumeurs du pancréas. p. 97 337 Malaise, perte de connaissance, crise comitiale chez
306 Tumeurs du poumon, primitives et secondaires. p. 98 l'adulte. p. 843
307 Tumeurs de la prostate. p. 102 338 État confusionnel et trouble de conscience chez
308 Tumeurs du rein. p. 104 l'adulte et chez l'enfant. p. 846
309 Tumeurs du sein. p. 105 339 Prise en charge d'une patiente atteinte de pré-
310 Tumeurs du testicule. p. 110 éclampsie. p. 377
311 Tumeurs vésicales. p. 112 340 Malaise grave du nourrisson et mort subite. p. 981
312 Leucémies aiguës. p. 451 341 Convulsions chez le nourrisson et chez l'enfant. p. 985
313 Syndromes myélodysplasiques. p. 452 342 Rétention aiguë d'urine. p. 1358
314 Syndromes myéloprolifératifs. p. 454 343 Insuffisance rénale aiguë – Anurie. p. 751
315 Leucémies lymphoïdes chroniques. p. 459 344 Infection aiguë des parties molles (abcès, panaris,
316 Lymphomes malins. p. 460 phlegmon des gaines). p. 657
317 Myélome multiple des os. p. 463 345 Grosse jambe rouge aiguë. p. 274
318 Principe du bon usage du médicament et des théra- 346 Agitation et délire aigus. p. 1225
peutiques non médicamenteuses. p. 1045 347 Crise d'angoisse aiguë et attaque de panique. p. 1228
319 La décision thérapeutique personnalisée : bon usage 348 Risque et conduite suicidaires chez l'enfant, l'adolescent
dans des situations à risque. p. 1047 et l'adulte : identification et prise en charge. p. 1230
320 Analyser et utiliser les résultats des études cliniques 349 Syndrome occlusif de l'enfant et de l'adulte. p. 218
dans la perspective du bon usage - analyse critique, 350 Hémorragie digestive. p. 549
XXIV
ITEMS DU PROGRAMME DE DFASM

351 Appendicite de l'enfant et de l'adulte. p. 222 358 Prothèses et ostéosynthèses. p. 924


352 Péritonite aiguë chez l'enfant et chez l'adulte. p. 225 359 Fractures fréquentes de l'adulte et du sujet âgé. p. 927
353 Pancréatite aiguë. p. 554 360 Fractures chez l'enfant : particularités épidémiolo-
354 Détresse respiratoire aiguë du nourrisson, de l'enfant giques, diagnostiques et thérapeutiques. p. 930
et de l'adulte. p. 1144 361 Surveillance d'un malade sous plâtre, diagnostiquer
355 Insuffisance respiratoire aiguë. p. 1146 une complication. p. 936
356 Pneumothorax. p. 1149 362 Exposition accidentelle aux liquides biologiques :
357 Lésions péri-articulaires et ligamentaires du genou, de conduite à tenir. p. 661
la cheville et de l'épaule. p. 914
Abréviations utilisées dans cet ouvrage

♀ femme APA allocation personnalisée d'autonomie


♂ homme APA American Psychiatric Association
≫ très supérieur à APC adenomatous polyposis coli
↑ élevé aPL antiphospholipide
↓ bas APP allocation de présence parentale
αFP alpha-fœtoprotéine APUD amine precursor uptake and decarboxylation
β2+AR β2 agoniste d'action rapide ou groupe de cellules captant et décarboxy-
β2+LA β2 agoniste de longue durée d'action lant des précurseurs d'amines
AAH allocation aux adultes handicapés ARAII antagonistes des récepteurs de l'angioten-
AAN anticorps antinucléaire sine II
ABO groupes sanguins ARH agence régionale de l'hospitalisation
AC anticorps ARN acide ribonucléique
ACC anticoagulant circulant ARS agence régionale de santé
ACE antigène carcino-embryonnaire ASA American Society of Anaesthesiology
ACFA arythmie complète par fibrillation auriculaire ASAT aspartate amino-transférase
aCL anticardiolipine ASCA anticorps anti-Saccharomyces cerevisiae
ACTP allocation compensatrice pour tierce personne ASE aide sociale à l'enfance
ADH hormone antidiurétique ASLO antistreptolysine O
ADN acide désoxyribonucléique ASP abdomen sans préparation
ADT antidépresseur tricyclique ASMR amélioration du service médical rendu
AEEH allocation d'éducation de l'enfant handicapé AT accident du travail
AEG altération de l'état général AT atelier thérapeutique
AEMO assistance éducative en milieu ouvert ATB antibiotique
AES accident d'exposition au sang ATP adénosine triphosphate
AFLD Agence française de lutte contre le dopage ATU autorisation temporaire d'utilisation
AFP accueil familial thérapeutique AV acuité visuelle
AFSSAPS Agence française de sécurité sanitaire des AVC accident vasculaire cérébral
produits de santé aVf, aVL, aVr dérivations ECG unipolaires
AG anesthésie générale AVK antivitamine K
Ag antigène AVP accident de la voie publique
AGEFIPH Association de gestion du fonds pour l'inser- BAAR bacille acido-alcoolorésistant
tion professionnelle des personnes handica- BAPU bureau d'aide psychologique universitaire
pées BAT biopsie de l'artère temporale
AGGIR autonomie gérontologie groupes iso-ressources BAV bloc auriculo-ventriculaire
AINS anti-inflammatoire non stéroïdien BAV baisse de l'acuité visuelle
AIPP atteinte à l'intégrité physique et psychique BBD bloc de branche droite
AIT accident ischémique transitoire BBG bloc de branche gauche
AL anesthésie locale BCO bronchite chronique obstructive
AL amyloid light BGN bacille à Gram négatif
ALAT alanine amino-transférase BGP bacille à Gram positif
ALD affection de longue durée BGSA biopsie des glandes salivaires accessoires
ALR anesthésie locorégionale BGT bilirubine-glucuronosyltransférase
AMA Agence mondiale antidopage BHC bilan hépatique complet
AMM autorisation de mise sur le marché BHR bactérie hautement résistante
AMPc adénosine monophosphate cyclique BID bloc incomplet de branche droite
AMPD Antenne médicale de prévention du dopage BK bacille de Koch
ANAES Agence nationale d'accréditation et d'éva- BLSE bêtalactamase à spectre étendu
luation en santé BMO biopsie de moelle osseuse
ANCA anticorps anticytoplasme des polynucléaires BMR bactérie multirésistante
neutrophiles BNP brain natriuretic peptide
ANSM Agence nationale de sécurité du médicament BOOP bronchiolite oblitérante avec pneumopathie
et des produits de santé organisée
AOMI artériopathie oblitérante des membres BPCO bronchopneumopathie chronique obstructive
inférieurs BSA bloc sino-atrial
XXVI
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

BU bandelette urinaire CLIS classe d'intégration scolaire


CA125 carbohydrate 125 (marqueur tumoral) CLUD comité de lutte contre la douleur
CAC centre d'accueil de crise CME commission médicale d'établissement
CAE conduit auditif externe CMH complexe majeur d'histocompatibilité
CAMSP centre d'action médico-sociale précoce CMI concentration minimale inhibitrice
CANAM Caisse nationale d'assurance maladie CMNO cardiomyopathie non obstructive
cANCA ANCA à fluorescence cytoplasmique CMP centre médico-psychologique
CAP centre d'accueil permanent CMPP centre médico-psycho-pédagogique
CAPP centre d'adaptation psychopédagogique CMT consommation médicale totale
CAT centre d'aide par le travail CMU couverture maladie universelle
CATTP centre d'accueil thérapeutique à temps partiel CMV cytomégalovirus
CCA chondrocalcinose articulaire CN colique néphrétique
CCAA centre de cure ambulatoire en alcoologie CNAMTS Caisse nationale d'assurance maladie des tra-
CCAS centre communal d'action sociale vailleurs salariés
CCLIN centre de coordination de la lutte contre les CO monoxyde de carbone
infections nosocomiales COTOREP commission technique d'orientation et de
CCMH concentration corpusculaire moyenne en reclassement professionnel
hémoglobine CP Code pénal
CCNE Comité consultatif national d'éthique CP concentré de plaquettes
CCPPRB comité consultatif de protection des per- cp comprimé
sonnes dans la recherche biomédicale CPA cellule présentatrice de l'antigène
CD cluster of differenciation (classe d'antigènes CPAM caisse primaire d'assurance maladie
de différenciation) CPC cœur pulmonaire chronique
CD4 cluster of differenciation 4 (marqueur de CPDPN centre pluridisciplinaire de diagnostic
membrane) prénatal
CDAPH commission des droits et de l'autonomie des CPK créatine phosphokinase
personnes handicapées CPOA centre psychiatrique d'orientation et d'ac-
CDES commission départementale de l'éducation cueil
spéciale CPP comité de protection des personnes (dans la
CDHP commission départementale des hospitalisa- recherche biomédicale)
tions psychiatriques CPRE cholangiopancréatographie rétrograde
CDSP commission départementale des soins endoscopique
psychiatriques CPT capacité pulmonaire totale
CEC circulation extracorporelle CRA centre de ressource autisme
CEPS Comité économique des produits de santé CRB centre de ressources biologique
CESAP comité d'étude et de soins aux polyhandicapés CRCI commission régionale de conciliation et d'in-
CFTR cystic fibrosis transmembrane conductance demnisation
regulator CRF capacité résiduelle fonctionnelle
CGR concentré de globules rouges CRH compte rendu d'hospitalisation
CHC carcinome hépatocellulaire CRP C réactive protéine
CHG centre hospitalier général CRPV centre régional de pharmacovigilance
CHI centre hospitalier intercommunal CRUQPC commission des relations avec les usagers et
CHR centre hospitalier régional de la qualité de la prise en charge
CHSCT comité d'hygiène, de sécurité et des condi- CS coefficient de saturation
tions de travail CSAPA centre de soins d'accompagnement et de pré-
CHU centre hospitalo-universitaire vention en addictologie
CI contre-indication CSBM consommation de soins et de biens médicaux
CIA communication interauriculaire CSE cellule souche embryonnaire
CIM Classification internationale des maladies CSG contribution sociale généralisée
CIRE cellule interrégionale d'épidémiologie CSH cellule souche hématopoïétique
CIV communication interventriculaire CSP Code de la santé publique
CIVD coagulation intravasculaire disséminée CSP cellule souche périphérique
CK créatine kinase CSP classe socioprofessionnelle
CLIC centre local d'information et de coordination CSS Code de la sécurité sociale
gérontologique CSST centre spécialisé de soins aux toxicomanes
CLIN comité de lutte contre les infections CST coefficient de saturation de la transferrine
nosocomiales CT cholestérol total
XXVII
ABRÉVIATIONS UTILISÉES DANS CET OUVRAGE

CTINILS comité technique national des infections ECNi épreuves classantes nationales informatisées
nosocomiales et des infections liées aux soins ECPA échelle comportementale de la douleur chez
CV charge virale la personne âgée
CV capacité vitale EEG électroencéphalogramme
DALA déficit androgénique lié à l'âge EFG Établissement français des greffes
DBAI dermatose bulleuse auto-immune EFR épreuves fonctionnelles respiratoires
DCI dénomination commune internationale EGF epithelial growth factor
DCS dépense courante de santé EGFR récepteur de l'EGF, appelé aussi HER1
DDASS direction départementale de l'action sani- EI endocardite infectieuse
taire et sociale EI événement indésirable
DDB dilatation des bronches EIAS événement indésirable associé aux soins
DDCCRF direction départementale de la concurrence, EIG événement indésirable grave
consommation et répression des fraudes EMSP équipe mobile de soins palliatifs
DDR date des dernières règles ENS échelle numérique simple
DDV direction départementale des services EOH équipe opérationnelle en hygiène
vétérinaires EP embolie pulmonaire
DEGR Douleur Enfant Gustave Roussy EPL emphysème panlobulaire
DEP débit expiratoire de pointe EPO érythropoïétine
DFG débit de filtration glomérulaire EPP évaluation des pratiques professionnelles
DFT déficit fonctionnel temporaire EPR événement porteur de risque
DGS Direction générale de la santé EPS électrophorèse des protéines sériques
DH déshydratation EPS examen parasitologique des selles
DHA déhydroépiandrostènedione EPU électrophorèse des protéines urinaires
DHB dermohypodermite bactérienne EPU examen parasitologique des urines
DHEA déhydroépiandrostérone EREA établissements régionaux d'enseignement
DHEC déshydratation extracellulaire adapté
DHIC déshydratation intracellulaire ESA extrasystole auriculaire
DI déficit immunitaire ESV extrasystole ventriculaire
DICV déficit immunitaire commun variable ETO échocardiographie transœsophagienne
DIU dispositif intra-utérin ETT échocardiographie transthoracique
DLCO diffusion pulmonaire du monoxyde de EVA échelle visuelle analogique
carbone EVS échelle verbale simple
DMLA dégénérescence maculaire liée à l'âge FA fibrillation atriale
DMO densité minérale osseuse FBH fièvre bilieuse hémoglobinurique
DNS dépense nationale de santé FC fréquence cardiaque
DOPA dihydroxyphénylalanine FCS fausse couche spontanée
DPC développement professionnel continu FDR facteur de risque
DPM dermatopolymyosite FDR CV facteur de risque cardiovasculaire
DR décollement de la rétine FEVG fraction d'éjection du ventricule gauche
DRASS direction régionale des affaires sanitaires et FHO facteur humain et organisationnel
sociales FID fosse iliaque droite
DROM département et région d'outre-mer FIG fosse iliaque gauche
DS déviation standard FiO2 fraction inspirée d'oxygène
DSM Diagnostic and Statistical Manual of Mental FIPHFP Fonds pour l'insertion des personnes handica-
Disorders pées dans la fonction publique
DT delirium tremens FIV fécondation in vitro
EBH épidermolyse bulleuse héréditaire FMC formation médicale continue
EBLSE entérobactérie productrice de BLSE FMR1 fragile X mental retardation 1
EBNA Epstein-Barr nuclear antigen FMRP fragile X mental retardation protein
EBV virus d'Epstein-Barr FN faux négatif
ECBC examen cytobactériologique des crachats FN fasciite nécrosante
ECBU examen cytobactériologique des urines FO fond d'œil
ECC embole de cristaux de cholestérol FOGD fibroscopie œsogastroduodénale
ECG électrocardiogramme FP faux positif
ECHO virus orphelin humain cytopathogène FPI fibrose pulmonaire idiopathique
entérique FR fréquence respiratoire
ECL emphysème centrolobulaire FSH hormone folliculo-stimulante
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Elle avait bien compris quel homme était le comte Paul, et elle se
maintenait, en conséquence, dans son rôle de modestie sans
affectation. Elle jugeait bien la situation. Pour plaire à Paul et à sa
mère, elle n’avait vraiment que ce moyen : les tromper du tout au
tout sur sa personne morale.
V

Le docteur voyait juste : c’était une âme intéressante que celle du


comte Paul. Il n’était point compliqué, mais nettement double, aussi
prompt à douter qu’il était enclin à croire — aussi emporté dans sa
conception quasi-mystique du bien, que passionné au sens matériel
du mot.
Une anecdote de son enfance, que sa mère aimait à conter,
montre combien, tout petit, il avait déjà une conscience en éveil et
forte, en même temps que des gourmandises puissantes :
Un jour — il avait sept ans — sa grand’maman, qui habitait avec
eux le château d’Aiguebelle, n’était pas descendue se mettre à table.
On lui avait monté son déjeuner dans sa chambre. Elle fit
redemander d’une certaine confiture dont elle était friande.
— Tiens, petit Paul, c’est toi qui vas porter à bonne maman, qui
est dans sa chambre, cette assiette de confiture. Ça lui fera plaisir, si
c’est toi. Et dis-lui qu’on t’attend. Reviens tout de suite.
L’enfant se leva et s’en fut, bien attentif à ne pas renverser
l’assiette qu’il tenait à deux mains. Il y avait à table son précepteur,
l’abbé Tardieu, et deux dames du voisinage.
L’enfant parti, on continua de causer. Quelques instants
s’écoulèrent, et l’on s’étonnait de ne pas le voir revenir, lorsque tout
à coup, dans le vide sonore du vaste escalier, on entendit des cris
déchirants et des pleurs.
Tout le monde courut, croyant qu’il était tombé, blessé peut-
être… On le trouva debout à mi-étage, son assiette entre ses deux
mains un peu tremblantes, et versant de grosses larmes en pleine
confiture, tout haletant et suffoqué.
— Qu’as-tu, enfin ? Qu’as-tu, mon mignon ? Qu’est-il arrivé ?
Pourquoi pleures-tu ?
Il fit cette réponse étonnante, coupée de sanglots :
— … C’est que… jamais… je n’arriverai jusqu’en haut… Non,
maman, jamais ! jamais je ne pourrai la porter si loin… sans l’avoir
mangée !
— Ah ! dit l’abbé enchanté, c’est une conscience du bon Dieu !
Cela nous fera un de ces hommes rares qui savent résister aux pires
tentations, et qui seraient capables de mourir du seul désespoir
d’avoir commis une faute !
Paul aimait sa mère plus que tout au monde. Il aimait Albert de
Barjols autant que sa sœur Annette, et il était en outre attaché à cet
ami d’enfance par les mille liens subtils des pensées les plus
profondes, continuellement échangées.
Aucun des deux amis n’avait eu l’occasion de recevoir de l’autre
quelqu’un de ces importants services qui sont un point de départ
nécessaire aux amitiés romanesques. Ils s’étaient connus tout petits.
Ils s’aimaient dans leurs qualités heureuses ; ils se conseillaient l’un
l’autre ; ils s’excusaient ou se blâmaient utilement ; chacun d’eux
était pour l’autre une aide d’âme, un secours moral, un écho attendu,
une réponse appelée. Quand les longues absences du marin les
séparaient, il leur arrivait de passer des mois sans s’écrire, mais
comme ils étaient certains tous deux de se retrouver aussi aimants,
aussi prêts à tous les dons, à tous les dévouements, — la pensée de
leur amitié sans exigence leur suffisait, parce qu’elle les empêchait
de sentir l’esseulement dans le vide, — qui est l’unique vrai malheur
de la vie.
C’est Albert le positiviste qui avait trouvé cette formule,
approuvée par Paul : Ce qu’il y a d’estimable dans l’amour, c’est la
quantité d’amitié qu’on y retrouve à l’analyse.
Albert, d’esprit aussi littéraire, mais plus scientifique que Paul,
lisait beaucoup, pendant les longs loisirs que lui laissait son service
à bord ; et il se piquait d’éclairer, avec des idées précises, le
sentiment plus intuitif de Paul sur toutes choses.
Aucun d’eux ne croyait. Tous deux le cachaient à leur mère.
Albert professait un athéisme raisonné que Paul trouvait teinté
d’absurde. Il lui disait : « Moi, je ne crois plus, mais j’espère encore,
vaguement. Que savons-nous ? L’homme est si bête !… Je compte
beaucoup sur la bêtise de l’homme ! »
Tous deux, en renonçant à la foi de leur enfance, avaient gardé,
profondément gravée dans leur cœur, la morale que leur avait
enseignée la religion… « Il n’y a pas mieux, pour qui veut être un
honnête homme et un homme bon », disait Paul.
Le sens moral, disait-il, c’est l’instinct de conservation de
l’homme social ; il est inné aussi bien que celui de l’homme
physique. Or l’homme est, de par la nature, un être destiné à vivre
en société, comme l’abeille. Il y a une base commune à toutes les
morales, et les commandements de Dieu les résument toutes assez
bien. Ainsi disait Paul. — C’est une erreur accréditée d’assurer que
les penseurs de profession, ceux qui écrivent pour le public, sont les
seuls à penser, ou même les seuls à écrire. — Paul prétendait que
l’homme étant bien décidément privé de tout secours providentiel,
doit, s’il entend ses vrais intérêts, conclure à la nécessité d’être
meilleur pour soi-même c’est-à-dire pour son semblable. Dieu
n’étant plus là pour nous aimer, nous devons nous aimer davantage.
Plus l’homme se croit en droit de nier la Providence, plus il doit
s’efforcer de devenir lui-même une providence pour les autres
hommes, ses frères et ses fils. Si l’athée ne se résigne pas à
s’imposer les sacrifices qui font les héros, — il retombe à n’être que
l’animal le plus dangereux de la terre ; — c’est le chercheur de proie,
sans autre loi que son caprice et sa force, le monstre enragé, qu’il
faut étouffer bien vite, au nom de ses propres principes, — sous
peine de lui laisser détruire l’antique héritage de l’humanité qui
pense, qui sent et qui aime !
Nous errons sur un bateau perdu, au milieu des océans mornes,
sous le ciel noir de la science. Soyons-nous à nous-mêmes des
dieux plus bienfaisants que ceux des religions. Ceux-là, les
philosophes les ont détruits, sans doute par amour de la justice,
mais peut-être inconsidérément, — car, disait souvent Paul à Albert,
si Dieu était la forme la plus concrète, la plus vivante, la plus facile à
populariser, à faire aimer, — de l’idéal et de la morale nécessaires.
Les deux amis croyaient qu’on peut baser une morale divinement
humaine sur la seule charité. Seulement Paul était persuadé que
cette morale, toute abstraite, sans incarnation ni sanction, ne serait
jamais qu’une conception d’esprits cultivés, intransmissible à l’âme
élémentaire des masses. Bref, il regrettait Dieu, — tandis qu’Albert,
plein de quiétude, trouvait que de bonnes lois suffisent à régir un
peuple civilisé, et que les éclairs du Sinaï n’ajoutent rien à l’autorité
de la justice.
Si surprenant que cela puisse paraître à bien des gens, ces
sortes d’idées n’étaient pas pour eux de simples motifs à
bavardages. Leur vie, à toute heure, était influencée par leurs
convictions, et il ne se passait guère de jour où ils ne fissent quelque
effort pour être meilleurs, plus équitables. Il y a, comme cela, dans
des coins de France et du monde, sur des bateaux errants en mer,
dans des châteaux et dans des masures, quelques êtres attardés
qui réalisent par leurs actes, de personnelles, d’idéales conceptions
de bonté, de justice…
Est-ce à dire que les deux amis fussent des saints ? Loin de là,
puisqu’on semble exiger de ceux à qui on décerne les honneurs de
la sainteté, de surhumaines vertus, et que, pour les catholiques,
l’idée de pureté est presque liée à celle d’ascétisme.
Non, ils vivaient de la vie commune. Ils n’étaient pas sans
passions, ni certes, sans péchés. Ils étaient faibles, étant des
hommes. Ils étaient égoïstes souvent, jaloux à l’occasion ; ils
éprouvaient parfois des mouvements de rage ou d’envie, de sourdes
révoltes de la bête brute, car c’est dans un animal que s’élaborent
tous les nobles désirs de l’esprit, — dont la moindre conquête exige
un rude effort.
Mais tout le chaos des mauvais sentiments fatals était dominé en
eux par la possibilité toujours présente de se dépasser eux-mêmes,
dans un moment donné, — d’être meilleurs qu’eux-mêmes durant
cette minute qui suffit à faire un héros, qui est le temps de créer, la
minute infinie de l’amour.
Ainsi, ils avaient, malgré leurs nobles pensées, malgré leurs
aspirations hautes et leur ferme conception de l’idéal, quelques
erreurs à regretter : leur idéal en était-il moins respectable ? Non,
certes ! Rien n’est absurde, rien n’est malfaisant comme de refuser à
un coupable le droit d’affirmer la beauté du bien ! Celui-là au
contraire qui connaît l’âpreté des chemins du mal, n’est-il pas le
mieux venu à recommander le choix des autres, surtout si,
franchement, il avoue ses raisons ?
Les deux amis avaient donc à leur passif plus d’une faute et ne
conseillaient à personne de les imiter ; fautes d’amour, bien entendu.
Non pas tant Albert, qui n’avait guère connu pour maîtresses que de
petites sauvages en lointains pays… Mais Paul, en pays civilisé,
n’avait eu le choix, n’étant point marié, qu’entre de précaires amours
qui, toutes également, avaient blessé sa délicatesse affinée, son
sentiment du juste et du beau. Et ses meilleurs souvenirs n’allaient
pas sans quelques remords.
Il avait, en résumé, contre la femme qui n’est pas la Mère ou
l’Épouse, non seulement les répugnances persistantes d’un
catholique émancipé tardivement — et qui a gardé, au fond, sa
manière religieuse de juger le péché ; non seulement les
répugnances d’un simple honnête homme pour tout ce qui n’est pas
avouable et avoué, mais encore une sorte de haine particulière et
violente… N’était-ce pas cette race mystérieusement maligne,
sataniquement trompeuse, qui avait fait la honte de son père, et le
malheur de sa mère adorée ?
A être demeuré longtemps dans une solitude presque complète
auprès de cette mère en deuil d’un mari vivant, à toute minute
soucieuse de préserver son fils des moindres dangers du dehors,
Paul était resté longtemps enfant, et il avait gardé les expressions
passionnées d’une tendresse qui veut être consolante. Mais aussi,
— précocement réfléchi, — avec le désir douloureux de ne jamais
ressembler à celui qui aurait dû être son modèle vénéré, il avait
conçu de la femme l’opinion que la Bible légitime en ces termes :
« La femme est amère comme la mort ; ses cheveux sont des liens
et ses mains sont des chaînes. »
La femme, c’était le serpent. Il l’évita, et il songeait, le cas
échéant, à lui écraser la tête. Il la connut tard, bien après avoir
perdu, par la lecture des philosophes, la foi de son enfance. Le jour
où il se vit trompé par l’une d’elles, il ne fut pas surpris, ni trop
malheureux : il se réjouit d’être délivré, plus qu’il ne s’affligea d’être
trahi.
Albert, lui, parlait plus rondement de tout ce qui a trait à l’éternel
sujet. Il appelait le remords une perte de temps et affirmait qu’on a
plus tôt fait d’agir mieux que de regretter d’avoir mal agi. Il prétendait
que si on a conduit une femme à l’oubli de ses devoirs on n’a plus le
droit de la condamner, tandis que, tout en se blâmant lui-même,
Paul, en pareille occasion, n’accordait à la femme que son mépris,
attristé mais entier. Albert d’ailleurs avait une tendance naturelle à
prendre toutes choses du bon côté, à interpréter avec bienveillance
les actes douteux. Il n’était pas facilement soupçonneux, nullement
méfiant. Il n’avait été pris dans aucune aventure compliquée, dans
aucune intrigue, et s’étonnait ingénument de celles que lui contait
son ami. Au fond il avait la naïveté des savants pour qui tout est
théorie et que la vie n’a pas instruits à leurs dépens.
Paul au contraire, malgré ses résistances théoriques, s’était
trouvé à plusieurs reprises enlacé par de dangereuses coquettes.
Mais, armé de méfiance comme il l’était par le souvenir du malheur
de son père, il avait voulu et su les voir toutes à visage découvert.
Une d’elles avait été si agréablement surprise d’être démasquée,
elle en avait conçu une si vive admiration pour l’esprit de Paul,
qu’elle lui avait livré gaîment tous les secrets de sa vie. Il avait tiré
de là le plus clair de son expérience. Il avait reconnu, avec cette
Ariane, les moindres petits chemins contournés où un esprit de
femme rusée s’amuse à perdre un mari et un ou plusieurs amants…
Le danger de posséder cette sorte d’expérience apprise, méditée et
approfondie, c’est qu’on se sent porté à appliquer à toute la race des
femmes la mesure qui doit, en bonne justice, ne s’appliquer qu’à une
seule catégorie. C’était du moins l’avis d’Albert, qui, à tout instant
criait à Paul : Casse-cou !
D’ailleurs, Paul ne tombait généralement pas dans cette erreur
d’étendre sur toutes, sans examen, le scepticisme qui lui avait été
inspiré par ses propres mésaventures ni la méfiance qui lui était
conseillée par le souvenir toujours présent des mésaventures
paternelles. Il croyait qu’il y a, bien distinctes, deux sortes de
femmes : celle des Épouses, des Mères, des Sœurs — et la race
des Autres. C’était, en effet, pour lui comme deux races, si
essentiellement différentes qu’elles ne peuvent se mêler entre elles.
Il admettait des valeurs personnelles diverses dans un camp comme
dans l’autre, — mais c’était bien deux camps séparés par un
infranchissable fossé.
Sur ce point encore, il ne raisonnait pas. Il croyait cela
passionnément, comme autrefois il avait cru aux choses que lui
affirmait l’abbé, — et Albert avait fort à faire pour combattre ses
entêtements là-dessus.
Paul concluait toujours ainsi : « Laisse-moi mes idées : elles me
sauvent… Je ne veux pas faire courir à ma mère le risque d’avoir
pour belle-fille une de ces femmes qui sont faites pour rester parmi
les autres !… »
Paul, une fois, avait cru rencontrer la Fiancée, Son cœur avait
battu vite. Il s’était trouvé malheureusement que celle-là aimait
ailleurs…
Depuis, il ne cherchait plus, se disant que sa mère, vieillissante
et malade, avait besoin de lui, de la tendresse sûre de ses enfants,
et que se marier, c’était faire courir à cette mère chérie une trop
grande chance de malheur…
Or, depuis quelque temps, gagné de plus en plus à la cause de
l’indulgence et de la pitié quand même, il s’était mis à blâmer
sévèrement son habituelle tendance à douter de la plupart des
femmes. Il se méfiait de ses méfiances. Dans son honnêteté
philosophique, avide de progrès, il craignait de former des
jugements téméraires, de tourner au pessimiste aigri, et enfin, par-
dessus le marché, de passer sottement à côté du bonheur. Il
s’inquiétait donc de son scepticisme invétéré à l’endroit des femmes,
et, réagissant avec énergie, il accordait parfois d’aveugles
confiances à celles-là mêmes dont il avait pensé le plus de mal. En
ceci encore, il était compliqué, mais avec simplicité : nettement
double.
Mademoiselle Déperrier n’éveilla pas chez lui une ombre
d’inquiétude. Il la vit, et elle le charma. Il tendit son cœur vers elle,
naturellement, comme le voyageur du désert, altéré, court vers l’eau
qui semble pure sous un reflet de ciel…
Il la vit et il l’aima.
VI

Toutes les belles et bonnes raisons qu’il avait d’aimer avec


passion la jeune fille, Paul deux mois après, les expliquait
brusquement à son ami, — au moment précis où Albert allait lui dire,
pour son compte, — les mêmes choses.
Ce n’était donc pas Albert qui pouvait lui inspirer contre
Mademoiselle Déperrier le moindre doute. Le pauvre lieutenant de
vaisseau reçut cette confidence — amour et projet de mariage, —
comme un coup de couteau dont on meurt en silence.
Ils se promenaient sous les platanes d’Aiguebelle, à mi-coteau,
avec la mer à l’horizon, — et, par-dessus l’échiquier blanc et bleu
des salins, ils voyaient les grands bateaux en ce moment mouillés
là.
— Eh bien, qu’en dis-tu, Albert ?
Albert réfléchissait.
L’aveu de son amour à Paul, lui devenait impossible juste dans le
moment où il allait le faire. Parler franchement, c’était désespérer
son ami… Au profit de qui ? De lui-même ? Mais pourquoi serait-ce
lui le choisi de cette jeune fille ? Il y avait bien plus d’apparence
qu’elle aimerait un homme comme Paul… Les marins partent trop
souvent. Leurs femmes sont des demi-veuves…
A ces considérations, il en ajouta une décisive : il fallait qu’un des
deux amis se sacrifiât. Paul avait confessé son amour. Albert n’avait
encore rien dit. Le sacrifice le plus complet, le plus utile, le seul
heureux, c’était donc le sien, puisqu’il resterait ignoré. Paul en
pourrait jouir sans une ombre de regret.
Le brave garçon prit rapidement son parti.
— Mon cher frère, dit-il (ils s’appelaient quelquefois ainsi), je
crois, à en juger par toutes les apparences, que tu as bien placé ton
cœur. Tu seras heureux… comme tu le mérites. Mais moi, si tu te
maries bientôt…, je ne serai pas là.
— Comment donc ?
— J’ai sollicité avant-hier le commandement d’une canonnière au
Tonkin. Je suis chaudement appuyé par l’amiral Drevet : je me crois
sûr d’obtenir ce que je désire.
— Ah ! quel malheur ! dit simplement Paul, — habitué à ces
brusques départs du marin.
Ils continuèrent à parler de ce mariage.
Le soir même, le lieutenant de vaisseau écrivait à son ami :
« Je suis forcé de partir pour Paris, appelé par dépêche. Mon
affaire réussira. Sois heureux… sois heureux… »
Il y avait, dans la répétition de ces deux mots, une douleur que
Paul ne pouvait pas voir.
Albert ne se doutait pas qu’il allait laisser derrière lui sa sœur
Pauline désespérée du mariage de Paul. Elle avait, pour l’ami de
son frère, depuis qu’elle était née à la vie du cœur, un noble, un
profond amour, ignoré même de sa mère.
Il obtint son commandement, et partit, au grand chagrin
d’Annette, la petite sœur de Paul. Annette avait pour lui —
symétriquement ! — un amour de pensionnaire dont il était bien loin
de se douter, — et qui l’eût consolé peut-être…
Et, peu de temps après la conversation des deux amis et le
départ d’Albert, le comte Paul avait ouvert son cœur à sa mère…
Elle avait souri tristement… — et c’est alors qu’elle avait écrit à
l’abbé.
Quand elle eut reçu la réponse du vieux précepteur de Paul, il fut
convenu qu’on irait passer à Paris tout ce printemps. Elle voulait voir
et juger Mademoiselle Déperrier. De plus, le départ d’Albert laissait
bien seules Madame de Barjols et sa fille. On partit donc. La
présentation des dames Déperrier chez la comtesse d’Aiguebelle, à
Paris, se fit un soir où il y avait quelques personnes. Marie se tint sur
une réserve extrême… Et il n’y eut rien que l’observation en attente,
de part et d’autre.
Deux mois plus tard, en avril, Paul demandait à sa mère, pour la
centième fois : « Eh bien, que pensez-vous d’elle, ma mère ? »
— Donne-moi le temps de me reconnaître.
Mademoiselle Déperrier n’était pas sympathique à la comtesse.
Le cœur des mères voit profond. Mais la mère de Paul ne trouvait
rien à dire pour justifier son antipathie. Elle ne l’avouait donc pas, et
se contentait d’ajourner le prononcé de son jugement. Désolée
d’avoir à faire souffrir Paul, elle avait cependant ce courage.
— Tu ne peux vraiment pas, lui disait-elle en souriant, me forcer
à être aussi emportée que toi… Il y a dans ton opinion sur elle,
d’après tes propres théories, un élément d’erreur : l’amour même.
Moi, je n’ai qu’à l’aimer d’une amitié forte, qui naîtra uniquement de
mon jugement moral… Donne-moi le temps !
Il attendait avec confiance, — puisqu’il aimait.
VII

Ce n’était pas peu de chose — elle le comprenait bien, — que


d’apparaître à son provincial une femme « comme il faut », telle qu’il
devait l’entendre.
Dans ses tentatives variées d’ambitieuse inquiète, elle avait
naturellement pensé au théâtre. C’est le tremplin de beaucoup de
coquettes, un moyen de parvenir comme un autre, aujourd’hui ;
seulement, il y faut du talent, et c’est à quoi pensent le moins toutes
ces pauvrettes qui vont au feu de la rampe comme des papillons
affolés.
Un des jeunes acteurs, espérant, selon sa propre expression,
qu’il arriverait bien vite à « faire ses frais », avait donné des leçons
gratis, pendant une année ; puis, irrité tout à coup de voir qu’il n’avait
rien à espérer, il avait offert de se faire remplacer par un vieux
« cabot » de sa connaissance, pauvre et laid, qui, pour un déjeuner,
affirmait-il, donnerait des leçons de maintien et de diction, d’après
les plus solides principes.
Dès qu’il eut présenté le vieux, le jeune émule de Talma, qui avait
une affaire urgente dans les coulisses du Conservatoire, espaça ses
précieuses visites. On ne le voyait plus que deux fois par an.
En revanche, le vieux cabotin arrivait deux fois par semaine.
C’était un ancien élève de Samson. Il le disait et c’était vrai. Il avait
des cartes à un franc le cent sur lesquelles on lisait en lettres
grasses :

PINCHARD,
de la Comédie française.
Il y avait débuté en effet vers 1845. Il n’avait plus d’âge. C’était
un doux souffreteux, très honnête, très bon, mais doué à un degré
plaisant de tous les défauts particuliers à ceux de sa profession.
L’inaltérable gaîté qu’il gardait malgré l’excès de sa misère, lui faisait
tout pardonner.
Le malheureux avait même imaginé, un jour où il avait trop faim,
d’aller réciter des vers, dans les cours des maisons. C’était une
chose attendrissante que de lui voir rejouer, pour payer à table sa
place de parasite, son rôle de mendiant des rues.
— Le jour où je pris cette résolution, disait-il, j’entrai d’abord dans
une cour de la rue des Saints-Pères. J’avais appris avec beaucoup
de soin la Conscience de Victor Hugo, — mais la honte me
suffoquant, au moment de commencer, j’attaquai, sans le vouloir, le
récit de Théramène que je savais depuis mon enfance ! Ma douleur
était si vive, que je me sentis pathétique. Ah ! si un public
connaisseur, un vrai public, mon public de la Comédie française,
avait pu me voir ce jour-là !… On s’était mis aux fenêtres, et les sous
commencèrent à pleuvoir avec les quolibets.
Alors, il se mettait à mimer la scène, laissant tomber un sou à
terre, de temps à autre, et interrompant d’un « merci bien ! » du plus
piquant effet, l’illustre tirade, à la manière des joueurs d’orgue de
Barbarie.
— « A la fin, terminait-il, saisi par le désespoir de ma situation
personnelle, je tombai sur un genou, la tête dans mes mains, en
criant malgré moi : « Non ! non ! c’est trop souffrir ! » On attribua ma
douleur à Théramène ; on crut que je pleurais ce pauvre Hippolyte,
et, à toutes les fenêtres, éclatèrent des applaudissements, dont,
malgré mon désespoir, je me sentis encouragé, et même charmé !
« Cela parut si comique à une bande d’étudiants groupés à une
fenêtre du cinquième, qu’ils m’envoyèrent chercher, et de ce
moment, j’entrevis des jours meilleurs. J’allais, répétant
quotidiennement, dans les cours des maisons où logent des
étudiants, le récit de Théramène.
« Profitant de l’indication que m’avaient donnée « la nature » et le
hasard, je coupais le fameux récit de réflexions de mon cru sur ma
misère et le malheur des temps… Et cela m’a permis de vivre. Tout
le quartier me connaît sous le nom de Théramène… Appelez-moi
comme ça. Ça me fera plaisir, ça me rappelle mon plus gros
succès ! »
C’était un professeur économique qu’on avait pris en affection, ce
vieux. On lui mettait quelquefois un balai entre les mains ;
quelquefois, sous le pied, une brosse à cirer le parquet ; et il cirait, et
il balayait, disant : « L’art se rend utile : Utile dulci ! » Et, vraiment, il
lui était doux, à cet ingénu, de se rendre utile à qui l’aidait.
De fait, il était intéressant, et on l’aimait sans y prendre garde,
comme on aime un animal familier. C’était même, peut-être, le
meilleur des sentiments que Mademoiselle Déperrier eût au cœur,
celui que ce vieil innocent lui inspirait… Ah ! si elle n’avait pas eu de
connaissances pires ! Mais l’honnête Théramène eût certainement
méprisé bien des beaux messieurs qui venaient chez elle,
admirablement vêtus et correctement gantés, s’il eût pu voir leur
dedans.
Tout de même, c’était un spectacle inouï que d’assister à la leçon
du père Théramène chez les Déperrier, le mardi.
Léon Terral y venait souvent. Il y amenait deux ou trois amis. On
y voyait aussi le bas-bleu qui faisait les modes, deux ou trois
reporters qui pouvaient être utiles un jour, et autant de futurs auteurs
dramatiques, de ceux qui collaborent uniquement pour avoir leurs
entrées dans les coulisses des petits théâtres.
Peut-être, ce jour-là, eût-on malaisément reconnu la belle
Mademoiselle Déperrier, celle qui dans les salons plus ou moins
selects, mais enfin de ceux où l’on rencontre parfois du vrai monde,
se tenait droite, fière, en grande tenue de patricienne, s’imposant au
regard par la noblesse du maintien, la beauté de ses lignes fermes
et ondulées, et la pureté de son regard, un peu hautain.
Ces jours-là, chez elle, c’était la fête bohème. Sa mère ne s’y
amusait guère, parce qu’elle ne pouvait retenir mille objurgations
que Marie ne manquait jamais de relever. La mère était partagée
entre un désir déterminé de tirer parti de sa fille en la mariant à
quelque prince — et une jalousie féroce, qui enrageait de ne pouvoir
se dissimuler. De là une sourde querelle qui régnait éternellement
entre elles.
Madame Déperrier avait fini, les mardis, par rester confinée dans
sa chambre, d’où elle sortait de demi-heure en demi-heure pour faire
quelque admonestation à propos d’une parole plus mal sonnante
que les autres, surprise à travers la cloison.
Peu à peu, dans la chaleur des leçons, le vieux Théramène
s’était habitué à tutoyer couramment sa petite Marie. A l’indignation
de sa mère, Marie avait répondu, non sans quelque bonté :
— Quel mal ça peut-il faire ?… Pauvre homme ! il est si vieux…
Pourquoi l’humilier ? Veux-tu qu’il ne revienne plus ? Je serais bien
avancée ! Car, tu ne sais pas, au fond, il est très fort. Et il me
lâcherait, un peu raide. Et puis, ça m’amuse. C’est comme ça qu’on
fait au théâtre ; on se tutoie entre camarades, hommes et femmes.
Elle pensait encore : « Pourquoi empêcher cet homme de se
payer comme ça ? » Par de semblables raisonnements, trop
fréquents chez elle, elle acceptait, sans s’en douter, de se vendre en
détail. Elle ne s’appartenait plus. Elle appartenait à mille menues
dettes. C’est le destin des filles… Que de gens avaient ainsi main-
mise sur elle !
Il la tutoyait donc, Théramène ; elle en riait d’abord ; bientôt elle
se blasa, et c’était d’autant plus étrange, depuis qu’elle paraissait ne
plus voir ce qu’il y avait là de choquant.
— Voyons, ma petite Marie, le mot ne sort pas ; tu bafouilles.
Tiens-toi droite. Les mains comme ça… Marche donc avec tout le
corps. Tu as l’air de glisser dans une rainure…
Il redressait son dos voûté, et la vieillesse décrépite et laide
donnait sa leçon d’attitude et de noblesse à la beauté jeune.
Si l’on riait, mes bons ! Rien n’était plus divertissant.
C’était drôle surtout quand il répétait la théorie « telle que je l’ai
recueillie de la propre bouche de mon maître Samson ».
Il y avait toujours quelqu’un pour lui crier : « Le bourreau ? »
— Non, messieurs, répondait Théramène ; je parle de l’illustre
comédien.
Et il commençait :
— Quand vous rentrez chez vous, le soir, qu’est-ce que vous
faites ?
— Je prends mon bougeoir chez mon concierge, répondait
invariablement un des jeunes gens.
— Bon. Après ?
— Je monte mon escalier.
— Je veux bien ; mais, pour monter votre escalier, qu’est-ce que
vous faites ?
— Je lève le pied.
— Comme un caissier… C’est là que je vous attendais… Eh
bien ! messieurs, dans une tirade, le premier vers c’est la première
marche, et comme on lève le pied de marche en marche, vous
élevez la voix, de vers en vers — jusqu’où ?
— Jusque chez moi, au cinquième.
— Mais non ! Jusqu’au premier palier. Les paliers sont là pour
nous permettre de souffler — et de prendre des temps. Vous prenez
donc un temps… Et puis ?
— J’attaque le second étage…
— Jusqu’au palier suivant. Et puis ?
— Et puis, je rentre chez moi.
— Mais non, malheureux ! vous ne rentrez pas chez vous… Et
c’est bien là que je vous attendais, car aucune science ne
s’improvise ! Les secrets de l’art, monsieur, sont le trésor de
l’humanité. Ce sont des fruits, lentement mûris, que la tradition
conserve et transmet — lampada tradunt — et qui permettent à
Pinchard de donner la main à Molière, par une chaîne non
interrompue d’hommes de talent, j’oserai dire de génie.
Cette phrase était acclamée.
— Prenez un temps, Pinchard. Vous voilà au cinquième.
— A la fin de la tirade, poursuivait Pinchard imperturbable, vous
ne rentrez pas chez vous… Loin de là !… Vous vous précipitez
brusquement, la tête la première, dans la cage de l’escalier… c’est-
à-dire que vous laissez retomber tout à coup votre voix dans les
notes basses, en la prenant dans le creux, et vous faites un grand
effet sur le public !
De Marie, Théramène avait fait Rita…, Mariquita, Marita, Rita…
Si bien que toute la bande des littéraires se mit à l’appeler ainsi,
dans l’intimité, et Léon Terral tout le premier.
Elle se montrait à eux dans des demi-négligés un peu suspects.
Il fallait garder ce qu’elle avait de mieux pour la parade de la rue ou
des grandes soirées. Ici, à ces gens qu’elle comptait bien licencier
un jour, elle se laissait voir en déshabillé, avec une robe fatiguée,
fripée un peu, je ne sais quoi d’abandonné, de lâche, de médiocre
en elle. Ce n’était pas par respect pour sa personne, ni par goût du
joli, qu’elle aimait la propreté, mais seulement parce qu’elle la croyait
indispensable dans l’art de plaire. Or, qu’avait-elle besoin de plaire à
ces gens-là ! Il aurait fallu s’imposer un effort qu’ils ne méritaient pas.
C’est par paresse, et aussi par économie, qu’elle se relâchait ainsi
de son habituelle coquetterie… Ah ! si elle avait eu une femme de
chambre !… Mais, dès qu’elle serait riche, tout changerait… Et elle
rêvait quelquefois d’une salle de bain étonnante, où la baignoire
serait en argent massif, les robinets en or, et où elle prendrait des
bains de lait.
— En attendant, je suis bien assez belle pour eux, telle que je
suis. Mazette ! on leur en fournira, des filles comme moi, à regarder
pour rien, tant qu’ils veulent !
Lorsqu’elle revint d’Hyères, elle fit entendre à tout ce monde
inférieur que les réunions du soir n’auraient pas lieu cette année.
Elle ne voulait pas se faire surprendre, une belle après-midi, au
milieu de tout ce monde, par le comte Paul, qui ne pouvait tarder à
venir chez elle.
Le pauvre Théramène accourut désespéré.
— Mon petit Théramène, c’est fini, je n’ai plus besoin de vous ;
j’ai des raisons graves. Jusqu’ici ça pouvait aller, vos visites ; ça ne
peut plus. C’est un parti à prendre. Je comprends que ça vous
embête ; moi aussi d’ailleurs. Vous m’amusiez tant !
Le vieux bouffon avait des larmes plein ses yeux. Sa main
tremblait.
— C’est, que j’ai pris l’habitude de te voir, ma petite Rita. Je me
suis attaché à toi comme une vieille bête de toutou… Et puis, c’était
au moins un déjeuner par semaine, un vrai, avec des œufs dans les
omelettes.
— Qu’est-ce que vous voulez ? C’est comme ça !
— Je dirai à tout le monde que je suis le frotteur, fit-il tout à coup
avec une humilité sincère et tendre, qu’il accentua théâtralement en
pliant l’échine d’une façon burlesque.
Elle réfléchit :
— Comme ça, oui, si tu veux, père Théramène.
— Elle m’a tutoyé, l’enfant !
— Ça n’est pas la première fois.
— Et dis-moi, Rita, je déjeunerai encore, hein ?
— Oui, à la cuisine.
VIII

Elle avait ainsi fait la toilette de sa maison. Elle avait balayé les
bohèmes : le seul qui restât balayait la poussière de leurs souliers.
Et certains coins de l’appartement des Déperrier en avaient, ma foi,
besoin. Bien que le salon fût la pièce soignée, d’apparence presque
élégante, il ne fallait pas chercher longtemps pour voir que rien n’y
était de vrai luxe, mais le faux y avait quelque simplicité. On eût dit
qu’il n’était point question de tricher. C’est qu’elle avait du goût, et
savait donner aux étoffes les moins précieuses une élégance de bon
aloi par la manière dont elle les posait et les drapait, autour des
glaces et sur les meubles. Cela dissimulait bien des délabrements ;
l’art est le grand cache-misère. Le comte Paul, n’ayant jamais vu le
petit salon des dames Déperrier, n’avait été frappé que du goût de
l’arrangement, de l’heureux choix des pauvres bibelots. Il tournait
tout à l’éloge de la ravissante fille. Comme il n’arrivait jamais à
l’improviste, elle le recevait sous les armes. Alors, elle avait ses
chaussures les plus soignées, ses bas des grands jours, une robe
simple, le tout sortant des meilleures maisons, où elle obtenait des
rabais inouïs par l’entremise du bas-bleu chroniqueur de modes. Elle
n’était pas de ces lanceuses qui portent des toilettes de prix pour
rendre service aux couturiers… qui, en échange, les leur donnent.
Elle ne les payait qu’en partie, mais elle payait… « Comme ça,
personne n’avait rien à dire ! »
Quant à la comtesse d’Aiguebelle, malgré les craintes de Marie, il
lui était impossible d’être renseignée à fond sur elle, car du mauvais
monde, et même du bon, que fréquentaient les dames Déperrier,
personne ne pénétrait chez le comte Paul. Une chose encore les
préservait, c’est que certaines gens répugnent à certains moyens
d’information.

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