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Collège de pédiatrie 8e Edition Antoine

Bourrillon
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Pédiatrie
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Professeur de Pédiatrie, CHU Necker - Enfants Malades, AP-HP
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Professeure de Pédiatrie, CHU de Nantes

Et pour le Collège National Hospitalier et Universitaire de Chirurgie Pédiatrique


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Professeur de Pédiatrie, CHRU de Besançon
Agnès Liard-Zmuda
Professeure de Pédiatrie, CHU de Rouen

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Pédiatrie, 8e édition, par G. Benoist, A. Bourrillon, Ch. Delacourt, Ch. Gras-Le Guen, le Collège National des
Pédiatres Universitaires, B. de Billy, A. Liard-Zmuda, le Collège National Hospitalier et Universitaire de Chirurgie
Pédiatrique.
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ISBN : 978-2-294-76481-3
e-ISBN : 978-2-294-76586-5
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Les figures 2.1, 3.4, 10.2, 17.1, 22.1, 31.1, 32.1, 44.8, 64.1 et 71.5 ont été réalisées par Carole Fumat.

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Préface . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXVII
Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXVIII
Collaborateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXIX
Sociétés savantes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXXIII
Notes de l'éditeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXXIV
Items, objectifs, hiérarchisation des connaissances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXXV
Abréviations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . LXXXV

I Croissance – Développement
1 Croissance normale et pathologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
ITEM 53 Retard de croissance staturo-pondérale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
ITEM 243 Hypothyroïdie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
A . Croissance normale de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
B . Retard de croissance staturo-pondérale : définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
II. Orientation diagnostique devant un retard de croissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
B . Évaluation paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
C . Principales causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
III. Points clés à propos de certaines causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
A . Retard pondéral isolé ou antérieur au retard statural . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 V
B . Retard statural prédominant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2 Puberté normale et pathologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
ITEM 49 Puberté normale et pathologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
A . Développement pubertaire normal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
B . Développement pubertaire pathologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
II. Puberté précoce . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
A . Causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
B . Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
III. Retard pubertaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
A . Causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
B . Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
3 Développement psychomoteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
ITEM 55 Développement psychomoteur du nourrisson et de l'enfant : aspects normaux et
pathologiques (sommeil, alimentation, contrôles sphinctériens, psychomotricité, langage,
intelligence). L'installation précoce de la relation parents-enfant et son importance.
Troubles de l'apprentissage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
I. Développement psychomoteur du nourrisson et de l'enfant : aspects normaux . . . . . . . . . . . 26
A . Chez le nourrisson (jusqu'à 2 ans) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
B . Chez le petit enfant (à partir de 2 ans jusqu'à 6 ans) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
C . Développement de l'alimentation, du sommeil et du contrôle sphinctérien . . . . . . . . . . . . . . . . 29
II. Aspects pathologiques du développement psychomoteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
B . Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
C . Atteintes périphériques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
D . Atteintes centrales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
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4 Dépistages chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39


ITEM 47 Dépistage des anomalies orthopédiques, des troubles visuels, auditifs
et dentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
ITEM 52 Strabisme et amblyopie de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
ITEM 89 Altération de la fonction auditive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
I. Dépistage des troubles visuels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
A . Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
B . Dépister : qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
C . Dépister : comment et quoi ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
II. Dépistage des troubles auditifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
A . Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
B . Dépister : qui ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
C . Dépister : comment et quoi ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
III. Dépistage des anomalies orthopédiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
A . Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
B . Luxation congénitale de hanche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
C . Anomalies des axes des membres inférieurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
D . Déformations du rachis de l'enfant et de l'adolescent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
5 Suivi médical pédiatrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
ITEM 47 Suivi d'un nourrisson, d'un enfant et d'un adolescent normal. Dépistage des
anomalies orthopédiques, des troubles visuels, auditifs et dentaires. Examens de santé
obligatoires. Médecine scolaire. Mortalité et morbidité infantiles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
ITEM 59 Sujets en situation de précarité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
ITEM 256 Aptitude au sport chez l'adulte et l'enfant ; besoins nutritionnels chez le
sportif (voir item 80) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
I. Axes de suivi, carnet de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
VI A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
B . Axes de surveillance évolutive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
C . Carnet de santé de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
II. Examens de santé obligatoires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
A . Examens médicaux jusqu'à l'âge de 3 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
B . Bilans de santé systématiques à l'âge scolaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
III. Institutions de prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
B . Protection maternelle et infantile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
C . Médecine scolaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
IV. Mortalité et morbidité infantiles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
B . Mortalité infantile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
C . Morbidité infantile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
V. Accidentologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72
A . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72
B . Prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
C . Focus sur les « jeux dangereux » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
VI. Pauvreté et précarité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
B . Repérage des inégalités sociales de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
C . Effets des inégalités sociales de santé observables dès l'enfance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
D . Prise en charge médicale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
VII. Santé bucco-dentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
A . Chronologie normale des dentures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
B . Prévention de la carie dentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77
C . Savoir identifier un trouble de l'articulé dentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77
VIII. Examen médical d'aptitude au sport . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
B . Conduite de l'examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
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Table des matières

II Endocrinologie – Métabolisme
6 Insuffisance surrénale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83
ITEM 245 Insuffisance surrénale chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83
II. Diagnostic d'insuffisance surrénale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84
A . Tableaux cliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84
B . Diagnostic biologique d'insuffisance surrénale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84
III. Enquête étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
A . Insuffisance surrénale du nouveau-né et du nourrisson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
B . Insuffisance surrénale chez le grand enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
IV. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
A . Traitement de l'insuffisance surrénale aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
B . Traitement de l'insuffisance surrénale chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
C . Suivi de l'enfant traité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
7 Diabète de type 1 et de type 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
ITEM 247 Diabète sucré de types 1 et 2 de l'enfant et de l'adulte. Complications . . . . . . 88
ITEM 330 Prescription et surveillance des classes de médicaments les plus courantes
chez l'adulte et chez l'enfant, hors anti-infectieux (voir item 177). Connaître le bon
usage des principales classes thérapeutiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
A . Épidémiologie du diabète chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
B . Rappels de physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
II. Diagnostiquer un diabète de type 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
A . Porter le diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
B . Bilan initial au diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
C . Identifier et traiter les situations d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91 VII
III. Prise en charge au long cours du diabète de type 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
A . Mesures thérapeutiques et nutritionnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
B . Surveillance et dépistage des complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
IV. Particularités du diagnostic et du traitement du diabète de type 2 de l'enfant . . . . . . . . . . 98
A . Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98
B . Prise en charge et suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
8 Hypoglycémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
ITEM 240 Hypoglycémie chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
B . Rappels de physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
II. Diagnostiquer une hypoglycémie et planifier la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
A . Identifier une hypoglycémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
B . Mesures urgentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
C . Enquête étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102

III Enfant vulnérable – Génétique


9 Mort inattendue du nourrisson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
ITEM 345 Malaise grave du nourrisson et mort inattendue du nourrisson . . . . . . . . . . . 109
I. Mort inattendue du nourrisson : que connaître ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
C . Aspects étiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
D . Mesures préventives de la MIN et du syndrome MSN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111
II. Prise en charge médicale d'une mort inattendue du nourrisson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112
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Table des matières

10 Maltraitance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113
ITEM 57 Maltraitance et enfants en danger. Protection maternelle et infantile . . . . . . . . 113
ITEM 13 Certificats médicaux. Décès et législation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114
II. Repérer une situation de maltraitance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119
III. Argumenter la démarche médicale et administrative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
A . Orientation initiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
B . Prise en charge médicale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122
C . Prise en charge médicolégale et administrative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123
D . Suivi et mesures préventives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126
IV. Points clés à propos de tableaux cliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
A . Syndrome du bébé secoué et traumatisme crânien infligé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
B . Violences sexuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 129

11 Prise en charge de la douleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132


ITEM 137 Douleur chez l'enfant : évaluation et traitements antalgiques . . . . . . . . . . . . . . 132
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
B . Types de douleurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135
II. Prise en charge des manifestations douloureuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
A . Repérer les manifestations douloureuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
B . Prévenir et traiter la douleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
III. Médicaments utilisables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
VIII A . Antalgiques antinociceptifs non morphiniques (palier 1 de l'OMS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
B . Antalgiques antinociceptifs morphiniques (paliers 2 et 3 de l'OMS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
C . Autres médicaments antalgiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149
D . Points clés, recommandations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149
IV. Méthodes non médicamenteuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150

12 Trisomie 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152
ITEM 45 Spécificités des maladies génétiques (...), à propos d'une maladie
chromosomique : la trisomie 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152
I. Diagnostiquer une trisomie 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
A . Tableau clinique de la trisomie 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
B . Diagnostic génétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155
II. Prendre en charge et assurer le suivi d'un enfant trisomique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156
A . Annonce diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156
B . Prise en charge et suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157
C . Suivi de l'adulte trisomique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157
D . Accompagnement familial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
III. Dépistage et diagnostic prénataux de la trisomie 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
A . Principes généraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
B . Dépistage de la trisomie 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159
C . Diagnostic prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 160
D . Interruption médicale de grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 161

13 Syndrome de l'X fragile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163


ITEM 45 Spécificités des maladies génétiques (...), à propos d'une maladie
d'instabilité : le syndrome de l'X fragile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164
A . Données épidémiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164
B . Données génétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164
II. Faire le diagnostic de mutation dans le gène FMR1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165
A . Tableau clinique du syndrome de l'X fragile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165
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Table des matières

B . Conséquences cliniques d'une prémutation dans le gène FMR1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166


C . Examens paracliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167
III. Conseil génétique et diagnostic prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167
A . Conseil génétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167
B . Diagnostic prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 168
IV. Annexe : prescription des tests génétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 168
A . Principes législatifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 168
B . Particularité de la législation concernant les tests génétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169

IV Gastroentérologie – Nutrition – Chirurgie abdomino-


pelvienne
14 Alimentation et besoins nutritionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173
ITEM 48 Alimentation et besoins nutritionnels du nourrisson et de l'enfant . . . . . . . . . . . 173
I. Apports nutritionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173
A . Apports hydriques conseillés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173
B . Apports énergétiques conseillés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 174
C . Apports en macronutriments conseillés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 174
D . Apports en fer conseillés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175
E . Apports en calcium conseillés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176
F . Apports en vitamines conseillés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176
II. Alimentation : avec quoi ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
A . Rationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
B . Alimentation lactée exclusive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178
C . Diversification de l'alimentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
III. Alimentation : comment ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
A . Alimentation lactée exclusive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180 IX
B . Diversification alimentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181
C . Alimentation diversifiée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181
15 Dénutrition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
ITEM 250 Dénutrition chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
II. Diagnostiquer une dénutrition dans les différentes populations de patients . . . . . . . . . . . . . 183
A . Anthropométrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
B . Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
C . Place des examens complémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
III. Identifier les sujets à risque de dénutrition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
A . Évaluer le risque nutritionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
B . Population pédiatrique concernée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
IV. Prescrire un soutien nutritionnel de premier recours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
A . Établir les besoins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
B . Définir les modalités de soutien nutritionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
C . Évaluer l'efficacité du soutien nutritionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187
16 Obésité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
ITEM 253 Obésité de l'enfant et de l'adulte (voir item 71) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
ITEM 249 Modifications thérapeutiques du mode de vie (alimentation
et activité physique) chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
II. Diagnostiquer une obésité de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 189
A . Diagnostic positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 189
B . Diagnostic étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 189
C . Diagnostic des complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194
A . Modalités de prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194
B . Suivi et pronostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194
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Table des matières

IV. Mesures de prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195


A . Prévention primaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195
B . Prévention secondaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195

17 Douleurs abdominales et pelviennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196


ITEM 269 Douleurs abdominales aiguës chez l'enfant et chez l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . 196
ITEM 356 Appendicite de l'enfant et de l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196
ITEM 357 Péritonite aiguë chez l'enfant et chez l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196
ITEM 354 Syndrome occlusif de l'enfant et de l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196
ITEM 289 Hernie pariétale chez l'enfant et l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196
ITEM 50 Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez l'homme . . . . . . . . . . . . . . . . . 196
I. Conduite diagnostique générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 197
A . Identifier des douleurs abdominales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 197
B . Identifier une situation d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 197
C . Poursuivre l'enquête étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198
II. Points clés à propos de certaines causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 200
A . Invagination intestinale aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 200
B . Appendicite aiguë et péritonites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
C . Syndrome occlusif de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207
D . Hernie inguinale étranglée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210
E . Torsion du cordon spermatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 211
F . Coliques du nourrisson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
G . Douleurs abdominales fonctionnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214

18 Vomissements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
ITEM 274 Vomissements du nourrisson, de l'enfant et de l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
ITEM 355 Hémorragie digestive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
X I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
II. Conduite diagnostique générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
A . Démarche en cas de vomissements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
B . Principales causes à connaître . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
C . Points clés sur la sténose du pylore . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 219
III. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
A . Traitement étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
B . Traitement symptomatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
IV. Points clés sur l'hématémèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
A . Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
B . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221
19 Reflux gastro-œsophagien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
ITEM 271 Reflux gastro-œsophagien chez le nourrisson, chez l'enfant et chez
l'adulte. Hernie hiatale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
B . Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
II. Diagnostiquer un reflux gastro-œsophagien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
A . Manifestations cliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
B . Diagnostic paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier
le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225
A . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225
B . Suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227
20 Diarrhée chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228
ITEM 285 Diarrhée chronique chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228
II. Argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens
complémentaires pertinents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
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Table des matières

A . Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229


B . Situations cliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
III. Points clés à propos de certaines causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230
A . Maladie cœliaque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230
B . Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232

21 Constipation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
ITEM 283 Constipation chez l'enfant et l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
B . Rappels utiles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
II. Argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens
complémentaires pertinents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
A . Orientation étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
B . Principales causes de constipation organique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237
C . Points clés à propos de la maladie de Hirschsprung . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 238
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 238
A . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 238
B . Suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 240

22 Pathologies courantes de la région inguino-scrotale et du pénis . . . . . . . . . . . . . 241


ITEM 50 Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez l'homme . . . . . . . . . . . . . . . . . 241
ITEM 289 Hernie pariétale chez l'enfant et l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241
Pathologies en lien avec le processus vaginal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241
II. Hernie inguinale non compliquée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
A . Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
B . Prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
III. Hydrocèle, kyste du cordon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243 XI
A . Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
B . Prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
Testicule non descendu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
II. Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
III. Prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245
Phimosis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245
II. Diagnostic et prise en charge des pathologies reliées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 246
III. Prise en charge du phimosis congénital . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 247

V Hématologie – Cancérologie
23 Anémie et pathologies du fer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251
ITEM 213 Anémie chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251
ITEM 212 Hémogramme chez l'adulte et l'enfant : indications et interprétation . . . . . . . 251
ITEM 219 Pathologie du fer chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251
ITEM 329 Transfusion sanguine et produits dérivés du sang : indications, complications.
Hémovigilance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251
I. Hémogramme chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252
A . Normes d'hémoglobine et anémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252
B . Normes des autres lignées de la NFS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252
II. Diagnostiquer une anémie et planifier la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253
A . Identifier une anémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253
B . Apprécier la gravité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253
C . Connaître les mesures d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254
D . Conduire l'enquête étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 255
E . Savoir prescrire une transfusion de CGR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 258
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Table des matières

III. Points clés à propos de deux causes d'anémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 258


A . Carence martiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 258
B . Drépanocytose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 261
IV. Surcharge en fer chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 263

24 Purpura . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 264
ITEM 215 Purpuras chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 264
ITEM 216 Syndrome hémorragique d'origine hématologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 264
ITEM 329 Transfusion sanguine et produits dérivés du sang : indications, complications.
Hémovigilance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 264
I. Diagnostiquer un purpura et planifier la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 265
A . Identifier un purpura . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 265
B . Apprécier la gravité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 265
C . Connaître les mesures d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 266
D . Conduire l'enquête étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 267
E . Savoir prescrire une transfusion de plaquettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 269
II. Points clés à propos de deux causes de purpura . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 270
A . Purpura rhumatoïde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 270
B . Purpura thrombopénique immunologique (PTI) aigu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 272

25 Adénopathies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 276
ITEM 220 Adénopathie superficielle de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 276
I. Démarche clinique initiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 277
A . Circonstances de découverte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 277
B . Argumentation clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 278
II. Démarche diagnostique étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 280
A . Orientation diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 280
XII B . Synthèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282

26 Déficits immunitaires héréditaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283


ITEM 189 Déficit immunitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
II. Argumenter le diagnostic de déficit immunitaire héréditaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
A . Circonstances cliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 286
C . Points clés sur certains déficits immunitaires héréditaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 289

27 Cancers de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294


ITEM 297 Cancer de l'enfant : particularités épidémiologiques, diagnostiques
et thérapeutiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
ITEM 315 Leucémies aiguës . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
I. Particularités épidémiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 295
A . Prévalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 295
B . Prédispositions génétiques et autres facteurs de risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 295
C . Répartition statistique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 296
II. Particularités diagnostiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 297
A . Être vigilant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 297
B . Circonstances diagnostiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 297
C . Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 298
D . Annonce diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 300
III. Points clés sur certains cancers de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 301
A . Leucémie aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 301
B . Tumeurs cérébrales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 303
C . Tumeurs abdominales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 305
D . Tumeurs osseuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 309
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Table des matières

VI Infectiologie
28 Spécificités infectiologiques pédiatriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
ITEM 177 Prescription et surveillance des anti-infectieux chez l'adulte
et l'enfant (voir item 330) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
I. Données générales de microbiologie pédiatrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
A . Bactéries les plus fréquentes au cours des infections . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
B . Un modèle physiopathologique des infections à pneumocoque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 315
II. Prescription et surveillance des antibiotiques chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 316
A . Prescription d'une antibiothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 316
B . Surveillance de l'enfant sous antibiothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318
III. Principes de prise en charge anti-infectieuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319
A . Bon usage des antibiotiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319
B . Conduite à tenir vis-à-vis des collectivités d'enfants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321

29 Fièvre aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 324


ITEM 147 Fièvre aiguë chez l'enfant et l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 324
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325
A . Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325
B . Méthodes de mesure de la température chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325
C . Définition de la fièvre chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325
II. Conduite à tenir chez un enfant fébrile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326
A . Identifier les situations d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326
B . Conduire le diagnostic étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
III. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 328
A . Orientation de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 328
B . Prise en charge symptomatique d'une fièvre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 329
XIII
30 Rhinopharyngite aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
ITEM 148 Infections nasosinusiennes de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
A . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
B . Rappels anatomiques et immunologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
II. Diagnostiquer une rhinopharyngite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 333
A . Diagnostic clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 333
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 333
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 334
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 334
B . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 334
C . Suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 334

31 Angines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335
ITEM 149 Angines de l'adulte et de l'enfant et rhinopharyngites de l'enfant . . . . . . . . . . 335
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335
B . Épidémiologie des angines érythémateuses et érythématopultacées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 336
C . Physiopathologie, anatomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 336
II. Diagnostiquer une angine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 338
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 339
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 339
B . Antibiothérapie par voie générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 339
C . Mesures symptomatiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 340
D . Suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 340
IV. Annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 341
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Table des matières

32 Otites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 343
ITEM 150 Otites infectieuses de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 343
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 343
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 343
B . Épidémiologie des OMA purulentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 344
C . Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 345
II. Diagnostiquer une otite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 345
A . Diagnostic clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 345
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 348
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 349
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 349
B . Antibiothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 349
C . Mesures symptomatiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 350
D . Suivi d'une OMA purulente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 350
E . Synthèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 352

33 Sinusites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 354
ITEM 148 Infections nasosinusiennes de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 354
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 354
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 354
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
C . Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
II. Diagnostiquer une sinusite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
A . Diagnostic clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 357
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 357
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 357
XIV B . Antibiothérapie par voie générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 358
C . Mesures symptomatiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 359
D . Suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 359

34 Coqueluche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
ITEM 163 Coqueluche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
A . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
B . Rappels d'infectiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 362
C . Recommandations vaccinales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 362
II. Diagnostiquer une coqueluche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 363
A . Diagnostic clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 363
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 365
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 366
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 366
B . Prise en charge thérapeutique et suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 367
35 Diarrhée aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 370
ITEM 286 Diarrhée aiguë et déshydratation chez le nourrisson, l'enfant et l'adulte . . . . . 370
ITEM 176 Diarrhées infectieuses de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 370
ITEM 332 État de choc. Principales étiologies : hypovolémique [ici] . . . . . . . . . . . . . . . . . 370
I. Diarrhée aiguë liquidienne et déshydratation aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 371
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 371
B . Porter le diagnostic et identifier des situations d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372
C . Justifier les examens complémentaires pertinents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373
D . Planifier la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 374
E . Assurer le suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 378
II. Diarrhées aiguës invasives bactériennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 379
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 379
B . Porter le diagnostic et identifier des situations d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 379
C . Justifier les examens complémentaires pertinents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 380
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Table des matières

D . Planifier la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 380


E . Mesures associées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 382

36 Infections urinaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 383


ITEM 161 Infections urinaires de l'enfant et de l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 383
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 383
A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 383
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 384
II. Diagnostiquer une infection urinaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 384
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 384
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 386
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 388
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 388
B . Prise en charge thérapeutique d'une infection urinaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 389
C . Suivi médical d'une pyélonéphrite aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 391
D . Prise en charge étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 391

37 Méningites et méningo-encéphalites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394


ITEM 151 Méningites, méningo-encéphalites, abcès cérébral chez l'adulte et l'enfant . . . 394
Méningites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 395
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 395
A . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 395
B . Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 397
II. Diagnostiquer une méningite et distinguer cause virale et cause bactérienne . . . . . . . . . . . . 397
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 397
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 398
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402
A . Méningite bactérienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402 XV
B . Méningite virale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 408
Méningo-encéphalites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 409
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 409
II. Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410
III. Prise en charge thérapeutique et suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
A . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
B . Suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 412

38 Éruptions fébriles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413


ITEM 164 Exanthèmes fébriles de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413
ITEM 168 Infections à herpès virus du sujet immunocompétent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
B . Type d'éruptions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
II. Démarche diagnostique générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
A . Évaluation de la gravité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
B . Orientation diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 415
III. Maladies infectieuses éruptives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 416
A . Rougeole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 416
B . Rubéole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 419
C . Mégalérythème épidémique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 421
D . Exanthème subit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 423
E . Mononucléose infectieuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 425
F . Scarlatine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 426
G . Maladie de Kawasaki . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 429
H . Varicelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 431
I . Gingivostomatite herpétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 436
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Table des matières

39 Infections cutanées bactériennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 439


ITEM 155 Infections cutanéo-muqueuses et des phanères, bactériennes et mycosiques
de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 439
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 439
A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 439
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 440
II. Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 440
A . Infections cutanées bactériennes superficielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 440
B . Infections cutanées bactériennes profondes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 442
III. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 443
A . Infections cutanées bactériennes superficielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 443
B . Infections cutanées bactériennes profondes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 444
40 Pathologies infectieuses du migrant et de l'enfant voyageur . . . . . . . . . . . . . . . 446
ITEM 174 Pathologie infectieuse chez les migrants adultes et enfants . . . . . . . . . . . . . . . 446
ITEM 175 Voyage en pays tropical de l'adulte et de l'enfant : conseils avant le départ,
pathologies du retour : fièvre, diarrhée, manifestations cutanées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 446
ITEM 170 Paludisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 446
I. Pathologie infectieuse des enfants migrants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 447
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 447
B . Première consultation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 447
C . Situations rencontrées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 448
II. Orientation diagnostique devant une fièvre ou un autre symptôme chez l'enfant
au retour d'un voyage en pays tropical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 448
A . Particularités des enfants voyageurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 448
B . Épidémiologie des pathologies de retour chez l'enfant voyageur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 449
C . Démarche diagnostique devant une fièvre de retour chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 449
XVI III. Paludisme chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 451
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 451
B . Diagnostiquer un accès palustre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 451
C . Prendre en charge un accès palustre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 453
D . Mesures de prophylaxie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 456
IV. Conseils d'hygiène et de prévention pour les enfants voyageurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 457
A . Évaluation des risques liés au voyage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 457
B . Prévention et conseils à l'enfant voyageur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 457

41 Vaccinations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461
ITEM 146 Vaccinations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461
B . Bases immunologiques de la protection vaccinale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 463
II. Vacciner un enfant en pratique courante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 464
A . Recommandations vaccinales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 464
B . Modalités d'administration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 470
C . Rattrapage vaccinal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 472

VII Médecine de l'adolescent


42 Troubles des conduites alimentaires de l'adolescent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 477
ITEM 71 Troubles des conduites alimentaires chez l'adolescent et l'adulte
(voir item 253) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 477
ITEM 251 Amaigrissement à tous les âges : exemple de l'adolescent . . . . . . . . . . . . . . . . 477
I. Anorexie mentale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 478
A . Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 478
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 478
C . Dépistage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 479
D . Évaluation médicale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 479
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Table des matières

E . Examens complémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 480


F . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 480
G . Principaux critères d'hospitalisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 481
H . Complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 482
II. Boulimie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 482
A . Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 482
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 483
C . Dépistage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 483
D . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 483
E . Principaux critères d'hospitalisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 484
F . Complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 484
III. Hyperphagie boulimique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 484
IV. Trouble de restriction/évitement de l'ingestion d'aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 484
V. Pica . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 485
VI. Mérycisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 485
43 Risque et conduite suicidaires chez l'enfant et l'adolescent . . . . . . . . . . . . . . . . . 487
ITEM 353 Risque et conduite suicidaires chez l'enfant, l'adolescent et l'adulte :
identification et prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 488
C . Particularités liées à l'âge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 488
II. Risque suicidaire : repérage et conduite à tenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 489
A . Évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 489
B . Conduite à tenir en urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 490
III. Tentatives de suicide : principes de prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 491
A . Hospitalisation recommandée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 491
B . Évaluation « triple » : clinique, psychique et sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 491 XVII
C . Transdisciplinarité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492
IV. Prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492
A . Prévention primaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492
B . Prévention secondaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492
C . Prévention tertiaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 493

VIII Néonatologie
44 Prise en charge du nouveau-né . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 497
ITEM 32 Évaluation et soins du nouveau-né à terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 497
ITEM 30 Prématurité et retard de croissance intra-utérin : facteurs de risque
et prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 497
ITEM 27 Prévention des risques fœtaux : infection, médicaments, toxiques, irradiation . 497
ITEM 33 Allaitement maternel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 497
ITEM 169 Infections à VIH . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 497
ITEM 255 Diabète gestationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 497
I. Évaluation clinique du nouveau-né à terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 498
A . Prise en charge en salle de naissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 498
B . Examen clinique du nouveau-né . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 501
C . Critères pédiatriques de maturation d'un nouveau-né à terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 508
II. Dépistages systématiques néonatals . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 511
A . Dépistage sanguin (« Guthrie ») . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 511
B . Autres dépistages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 513
III. Promouvoir la qualité des premiers liens affectifs entre parents et enfant et expliquer
les bases de la puériculture . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 513
A . Liens affectifs entre parents et enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 513
B . Allaitement maternel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 513
C . Conseils pratiques aux parents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 516
D . Sortie de la maternité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 517
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Table des matières

IV. Reconnaître les situations à risque et les situations pathologiques nécessitant une
prise en charge spécialisée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 517
A . Prématurité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 518
B . Retard de croissance intra-utérin (RCIU) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 522
C . Situations à risque liées à des pathologies maternelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 523
D . Infections bactériennes néonatales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 529
E . Détresses respiratoires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 533
45 Ictère néonatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
ITEM 278 Ictère de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
A . Rappels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
B . Chez le nouveau-né . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 538
II. Diagnostiquer un ictère néonatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 538
A . Identifier un ictère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 538
B . Conduire l'enquête diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 539
III. Connaître les principes de la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 542
A . Rationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 542
B . Principes de la photothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 542
IV. Points clés à propos de certaines causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 543
A . Ictères bénins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 543
B . Principaux ictères pathologiques à retenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 544

46 Soins palliatifs en néonatalogie et deuil périnatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 546


ITEM 142 Connaître les aspects spécifiques des soins palliatifs en pédiatrie . . . . . . . . . . 546
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 546
II. Circonstances des soins palliatifs en période périnatale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 547
A . En anténatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 547
XVIII B . En postnatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 547
III. Principes de la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 548

IX Néphrologie – Chirurgie urologique


47 Protéinurie, syndrome néphrotique, hématurie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 551
ITEM 259 Protéinurie et syndrome néphrotique de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . 551
ITEM 260 Hématurie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 551
Protéinurie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552
B . Classification des protéinuries . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552
II. Orientation diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
A . Protéinuries physiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
B . Protéinuries pathologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
C . Bilan étiologique de première intention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 554
D . Synthèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 555
Syndrome néphrotique idiopathique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 556
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 556
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 556
B . Généralités sur le SNI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 556
II. Diagnostic du syndrome néphrotique en poussée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 556
A . Tableau clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 556
B . Bilan étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557
C . Diagnostic différentiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 558
III. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 558
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 558
B . Traitement étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 558
C . Mesures associées et autres traitements symptomatiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 559
D . Suivi et évolution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 559
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Table des matières

Hématurie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
II. Orientation diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
A . Anamnèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
B . Bilan étiologique de première intention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
C . Causes principales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
D . Synthèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
48 Insuffisance rénale aiguë, maladie rénale chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 564
ITEM 258 Élévation de créatininémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 564
ITEM 264 Insuffisance rénale chronique chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 564
ITEM 348 Insuffisance rénale aiguë. Anurie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 564
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 565
II. Insuffisance rénale aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 565
A . Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 565
B . Points clés sur le syndrome hémolytique et urémique typique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 567
III. Maladie rénale chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 568
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 568
B . Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 569
C . Principes de la prise en charge de la MRC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 569
49 Troubles mictionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 571
ITEM 51 Troubles de la miction chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 571
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 571
II. Démarche diagnostique en cas de trouble mictionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572
B . Examens paracliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 573
C . Orientation diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 573
D . Principales causes à évoquer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 574 XIX

50 Hypertension artérielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576


ITEM 224 Hypertension artérielle de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576
I. Pour bien commencer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576
B . Mesure de la pression artérielle chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 577
C . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 577
II. Diagnostic d'HTA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 578
A . Circonstances diagnostiques et urgences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 578
B . Conduite diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 578
C . Causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 578
III. Principes de prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 580

X Neurologie
51 Céphalées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 583
ITEM 100 Céphalée inhabituelle aiguë et chronique chez l'adulte et l'enfant . . . . . . . . . . 583
I. Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 583
A . Enquête clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 583
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 586
II. Principales causes à évoquer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 587
A . Céphalées récentes à début soudain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 587
B . Céphalées récentes d'aggravation progressive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 587
C . Céphalées chroniques paroxystiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 588
D . Céphalées chroniques non progressives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 589

52 Convulsions, crises épileptiques, épilepsie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 591


ITEM 346 Convulsions chez le nourrisson et chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 591
ITEM 105 Épilepsie de l'enfant et de l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 591
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Table des matières

I. Convulsions et crises épileptiques du nourrisson et du jeune enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 592


A . Analyser les convulsions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 592
B . Rechercher une cause . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 595
C . Principes de prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 599
II. Épilepsies de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 601
A . Analyser une épilepsie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 601
B . Classification des crises épileptiques,
syndromes épileptiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 603
C . Prise en charge au long cours de l'épilepsie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 605
53 Handicap . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 607
ITEM 56 L'enfant handicapé : orientation et prise en charge (voir items 118, 121) . . . . . 607
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 607
A . Définition du handicap . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 607
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 608
C . Dispositions législatives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 608
II. Filières de prise en charge médicale, médicosociale et de scolarisation de l'enfant
handicapé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 609
A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 609
B . Scolarisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 609
C . Dispositifs d'accompagnement de l'intégration en milieu ordinaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 610
D . Intégration en établissement médicosocial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 611
E . Aides financières et sociales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 612

XI Pneumologie – Cardiologie
54 Détresse respiratoire aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 617

XX
ITEM 203 Dyspnée aiguë et chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 617
ITEM 359 Détresse et insuffisance respiratoire aiguë du nourrisson, de l'enfant
et de l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 617
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 617
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 617
B . Normes de fréquence respiratoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 618
II. Détresse respiratoire aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 618
A . Évaluer la détresse respiratoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 618
B . Identifier la cause de la détresse respiratoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 619
C . Prendre en charge une détresse respiratoire aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 621
III. Points clés à propos de certaines causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 621
A . Laryngite aiguë sous-glottique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 621
B . Corps étranger des voies aériennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 622
C . Insuffisance cardiaque aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 625

55 Toux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 627
ITEM 204 Toux chez l'enfant et chez l'adulte (avec le traitement) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 627
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 627
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 627
B . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 628
II. Argumenter les principales hypothèses diagnostiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 628
A . Toux aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 628
B . Toux chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 628
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 630
A . Traitement étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 630
B . Traitement symptomatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 631
56 Bronchiolite aiguë du nourrisson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 633
ITEM 154 Infections bronchopulmonaires communautaires de l'adulte et de l'enfant . . . 633
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 633
A . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 633
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Table des matières

B . Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 634
II. Diagnostiquer une bronchiolite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 634
A . Diagnostic clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 634
B . Évaluation de la gravité clinique et des facteurs de risque associés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 635
C . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 636
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 638
A . Principes de prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 638
B . Prise en charge des formes ambulatoires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 638
C . Prise en charge des formes hospitalisées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 640
D . Évolution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 640
E . Prévention des infections à VRS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 640
57 Asthme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 642
ITEM 188 Hypersensibilité et allergies respiratoires chez l'enfant et chez l'adulte.
Asthme, rhinite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 642
I. Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 643
A . Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 643
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 643
II. Prise en charge d'un enfant avec des symptômes d'asthme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 643
A . Évoquer le diagnostic d'asthme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 643
B . Repérer les arguments orientant vers d'autres diagnostics . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 645
C . Examens complémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 646
D . Évaluer le retentissement clinique de l'asthme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 647
E . Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 648
F . Critères de sévérité de l'asthme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 653
III. Conduite à tenir en cas de crise d'asthme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 654
A . Évaluation d'une crise d'asthme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 654
B . Moyens thérapeutiques et indications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 655
C . Conduite pratique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 657 XXI
58 Hypersensibilités et allergies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 660
ITEM 186 Hypersensibilités et allergies chez l'enfant et l'adulte : aspects
physiopathologiques, épidémiologiques, diagnostiques et principes de traitement . . . . . 660
ITEM 188 Hypersensibilité et allergies respiratoires chez l'enfant et chez l'adulte.
Asthme, rhinite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 660
ITEM 332 État de choc. Principales étiologies : anaphylactique [ici] . . . . . . . . . . . . . . . . . . 660
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 661
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 661
B . Épidémiologie de l'allergie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 662
C . Principaux allergènes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 662
II. Diagnostiquer une allergie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 663
A . Rechercher une anamnèse évocatrice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 663
B . Mise en évidence d'un allergène et d'un mécanisme immunologique spécifique . . . . . . . . . . . . 664
C . Interprétation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 666
D . Test de provocation et épreuve d'éviction-réintroduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667
III. Prise en charge de l'enfant allergique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667
A . Prévention primaire de l'allergie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667
B . Désensibilisation ou immunothérapie allergénique (ITA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 668
C . Contrôle de l'environnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 668
D . Éducation thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 669
E . Traitements médicamenteux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 669
F . Points clés sur l'anaphylaxie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 669
IV. Points clés sur certaines allergies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 672
A . Aliments : lait de vache et arachide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 672
B . Rhinoconjonctivite allergique (RCA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 674
C . Réactions aux venins d'hyménoptères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 675
D . Réactions aux médicaments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 675
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Table des matières

59 Pneumonies aiguës communautaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677


ITEM 154 Infections bronchopulmonaires communautaires de l'adulte et de l'enfant . . . 677
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677
A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 678
II. Diagnostiquer une pneumonie aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 679
A . Diagnostic positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 679
B . Appréciation de la gravité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 680
C . Orientation étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 680
D . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 683
E . Autres diagnostics . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 683
F . Complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 684
III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
B . Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
C . Suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 688

60 Opacités et masses intrathoraciques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 692


ITEM 207 Opacités et masses intrathoraciques chez l'enfant et chez l'adulte . . . . . . . . . . 692
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 692
A . Rappels de sémiologie radiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 692
B . Démarche diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 692
II. Principales hypothèses diagnostiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 697
A . Orientation diagnostique devant des opacités pulmonaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 697
B . Orientation diagnostique devant une opacité médiastinale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 699

61 Tuberculose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 701

XXII ITEM 159 Tuberculose de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 701


I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 701
A . Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 701
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 702
C . Facteurs de risque d'infection tuberculeuse chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 702
II. Faire le diagnostic d'infection tuberculeuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 703
A . Contage tuberculeux chez un enfant et ITL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 703
B . Tuberculose-maladie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 705
III. Prendre en charge une infection tuberculeuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 708
A . Traitements médicamenteux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 708
B . Suivi et mesures associées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 709

62 Troubles du sommeil – SAOS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 711


ITEM 110 Troubles du sommeil de l'enfant et de l'adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 711
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 711
A . Sommeil normal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 711
B . Troubles du sommeil : généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 712
C . Troubles du sommeil : étiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 713
II. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 715
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 715
B . Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 716
C . Prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 718

63 Mucoviscidose chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 720


ITEM 45 Spécificités des maladies génétiques, à propos : d'une maladie génique :
la mucoviscidose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 720
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 721
A . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 721
B . Rappels de génétique et physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 721
II. Diagnostiquer une mucoviscidose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 721
A . Quand évoquer le diagnostic ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 721
B . Comment confirmer le diagnostic ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 726
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Table des matières

III. Principes de prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 726


A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 726
B . Traitement des principales manifestations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 726
C . Autres mesures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 728
D . Perspectives thérapeutiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 728

64 Souffle cardiaque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 729


ITEM 238 Souffle cardiaque chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 729
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 729
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 729
B . Cardiopathies congénitales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 730
II. Sémiologie cardiovasculaire chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 733
A . Interrogatoire des parents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 733
B . Examen physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 734
III. Distinguer un souffle organique d'un souffle fonctionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 736
A . Le souffle fonctionnel (ou innocent) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 736
B . Points clés sur les souffles organiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 737
C . Quand demander une expertise cardiopédiatrique ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 737
D . Examens complémentaires et avis spécialisé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 738
IV. Principes de prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 739
A . Souffle fonctionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 739
B . Cardiopathies congénitales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 739
C . Prophylaxie de l'endocardite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 740

XII Urgences – Réanimation – Chirurgie orthopédique


65 Arrêt cardiorespiratoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743
ITEM 331 Arrêt cardiocirculatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743 XXIII
I. Reconnaissance de l'enfant gravement malade . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743
A . Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743
B . Séquence « ABC » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 744
II. Arrêt cardiorespiratoire chez l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 746
A . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 746
B . Spécificités de la réanimation cardiopulmonaire (RCP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 746

66 Malaise grave du nourrisson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 750


ITEM 345 Malaise grave du nourrisson et mort inattendue du nourrisson . . . . . . . . . . . . . 750
I. Faire le diagnostic de malaise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 750
A . Identifier un malaise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 750
B . Identifier les situations d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 751
II. Planifier la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 753
A . Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 753
B . Enquête étiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 753
C . Mesures préventives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 755
67 Choc septique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 756
ITEM 157 Septicémie/Bactériémie/Fongémie de l'adulte et de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . 756
ITEM 332 État de choc. Principales étiologies : septique [ici] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 756
I. Pour bien comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 756
A . Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 756
B . Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 757
C . Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 758
II. Diagnostiquer un choc septique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 759
A . Évaluation clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 759
B . Enquête paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 760
III. Prise en charge thérapeutique d'un choc septique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 761
A . Prise en charge thérapeutique initiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 761
B . Évaluation de l'efficacité des traitements entrepris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 761
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CAPITOLO II.
Storia.
PRIMO PERIODO

Divisione della storia — Origini di Pompei — Ercole e i


buoi di Gerione — Oschi e Pelasgi — I Sanniti —
Occupano la Campania — Dedizione di questa a Roma —
I Feriali Romani indicon guerra a’ Sanniti — Vittoria
dell’armi romane — Lega de’ Campani co’ Latini contro i
Romani — L. Aunio Setino e T. Manlio Torquato —
Disciplina militare — Battaglia al Vesuvio — Le Forche
Caudine — Rivincita de’ Romani — Cospirazioni campane
contro Roma — I Pompejani battono i soldati della flotta
romana — Ultima guerra de’ Sanniti contro i Romani.

Le ragioni stesse per le quali ebbi ad avvertire il lettore che alla


migliore intelligenza delle Rovine di Pompei mi occorresse d’aprire
una parentesi, per dire alquanto di questo monstrum horrendum,
informe, ingens che le aveva cagionate, non solo militano per questa
nuova che intraprendo col presente capitolo, ma sono ben anche
maggiori. D’altra parte, messomi all’opera con intenti più modesti,
l’amore all’argomento me ne suggerisce ora di maggiori, e la materia
sento crescermi sotto mano; il lettore non ha a concedermi che una
maggiore benevolenza.
La storia civile di Pompei non è guari complicata di fatti, non di molto
diversa da quella delle altre minori città italiane e massime
meridionali, che o furono confederate a Roma o ne divennero
colonie. La storia generale di queste città si lega in una parte a
quella delle altre undici città principali della Campania, e nell’altra
per lo più alla storia del mondo romano; la speciale non ricorda che
determinati avvenimenti, i quali hanno per lo più attinenza alla vita
municipale di essa. Io, nel raccoglierla dalle diverse fonti, l’ho divisa
in due distinti periodi, concedendo poi un singolare capitolo a ciò che
chiamerei storia morale ed un altro al miserando cataclisma che ne
chiuse l’interessante volume.
Pompeii, o Pompeja, come trovasi promiscuamente detto dai latini
scrittori, all’epoca della sua distruzione per opera del Vesuvio, cioè,
come già sa il lettore, nell’anno di Roma 932 e 79 di Cristo, era,
malgrado che Seneca punto non si peritasse a dichiararla celebrem
Campaniæ urbem, città di terzo ordine. Una città tuttavia, che per la
felice postura su d’una eminenza vulcanica e in riva al mare, —
poichè tutto ne scorga a ritenere che le acque del Tirreno
giugnessero a quel tempo fin presso le mura di essa, nè vi si
ritraessero che in conseguenza del cataclisma che le apportò la
morte, — e per la dolcezza del clima e la lussureggiante natura,
costituiva altra fra le località di questa magnifica parte d’Italia, che a
ragione fu detta — credo da Milton, il cantore immortale del Paradiso
Perduto — un pezzo di paradiso caduto in terra; epperò eletta da’
facoltosi Romani a sito di villeggiatura. Così ricordai già la casa che
vi aveva Marco Tullio Cicerone, per antonomasia detto l’Oratore
Romano, e quella che vi teneva lo storico Cajo Crispo Sallustio,
entrambe scoperte, e la visita delle Rovine altre pure ne additerà
celebri per i loro famosi proprietari; onde Stazio potesse lasciarci
memoria degli ozj pompejani in quel verso:

Nec Pompeiani placeant magis otia Sarni [27].

Imperocchè Pompei fosse bagnata dalle acque del fiume Sarno —


ora ridotto alle povere proporzioni di un ruscello — per cagione anzi
del quale, come avverrà di dire più avanti, si avessero i primi sentori
che ebbero a condurre alla scoperta della sepolta città. Il Sarno
scendendo, dal lato ove si vede ancora sorgere l’anfiteatro, al mare,
che qui faceva una curva la quale si estendeva insino a Stabia,
formava alla sua imboccatura un bacino, che costituiva il porto della
città, comune anche a Nola, ad Acerra ed a Nocera, così frequentato
ed operoso da rendere Pompei l’emporio delle più floride città
campane. Nè forse fu estraneo a siffatta circostanza il nome stesso
di essa, se nel greco idioma Πομπηίον suoni eziandio siccome a dire
emporio. Strabone non obliò di ricordare questo porto, e i libri, come
vedremo, ne registrarono eziandio qualche glorioso avvenimento.
La storia adunque di questa città e, più che essa, la scoperta e la
illustrazione de’ suoi edificj e de’ suoi monumenti, importantissima
riesce a rivelarci la vera storia intima di quei tempi, che le storie
generali non ci hanno lasciata che imperfetta, sì che sia d’uopo
racimolarla fra gli storici avvenimenti di altri popoli e da’ concetti dei
poeti, o da qualche altra scrittura, mescolata spesso a cose men
vere od incerte, per modo che, dopo tutto, sia mestieri di molto
discernimento e di induzioni e di congetture logiche non poche per
istabilire colle migliori probabilità i fatti.
Ma se malagevole è il còmpito di chi voglia esattamente ragionare
della vita intima di allora, che si dirà di chi presuma indagare le
origini delle città nostre e i confini territoriali, se intorno ad esse non
vennero che tardi gli scrittori che se ne occuparono, e questi pure,
dovendo appoggiarsi su tradizioni e favole, si ebbero a buttare
spesso alla fantasia, siccome puossi giudicare dalla lettura di Dionigi
d’Alicarnasso, di Catone, di Varrone e d’Eliano? Orazio medesimo,
comunque venuto in tempi più colti, non sapeva determinare se
all’Apulia o alla Lucania appartenesse la sua Venosa, siccome
appare da una Satira, nel seguente passo:

Lucanus an Appulus, anceps,


Nam Venusinus arat finem sub utrumque colonus
Missus ad hoc, pulsis (vetus est ut fama) Sabellis [28].

Gli è ad un tale riguardo che pur di Pompei non si possa precisare


quali fossero i fondatori e i primi abitatori. La favola, accarezzando
anche qui il popolare orgoglio, le assegna illustre origine, e Giulio
Solino, che ne tenne memoria, narra che Pompei avesse avuto
Ercole per fondatore, allorchè passò egli in Italia co’ buoi di Gerione.
Già nel capitolo antecedente toccai di sua venuta in queste parti e di
eroiche imprese compiutevi e della città di Ercolano che attestò di
lui: Pompei egualmente avrebbe il suo nome conseguito dalla
pompa colla quale dall’Eroe sarebbero ivi portate le tre teste del suo
nemico, il succitato Gerione, la cui uccisione fu delle dodici che gli
vengono attribuite, la decima di lui fatica [29]. Lasciando nondimeno
in disparte la mitologia e gli arcani suoi ascondimenti, stando
all’autorità di Strabone, i primi a mettersi attorno al golfo che curvasi
da Sorrento a Miseno, sarebbero stati gli Oschi od Opici, gli Ausoni,
gli Etruschi, i Tirreni e i Pelasgi, che sono anche i popoli più antichi di
cui si abbia memoria in Italia; se pure tutti questi popoli non sono
della sola razza pelasgica.
I Pelasgi contuttociò non attecchirono mai la loro padronanza nel
nostro paese; odiati sempre come stranieri e conquistatori, dovettero
mantenervisi armati. A quest’opposizione surta negli animi degli
aborigeni, s’aggiunsero naturali calamità, e Dionigi d’Alicarnasso
ricorda la sterilità e siccità dei campi e più ancora l’imperversar de’
vulcani e delle malattie; onde interrogato l’oracolo di Dodona, ne
avessero a responso: «Causa di tutti codesti mali essere lo sdegno
degli Dei, perchè frodati i Dioscuri, o Cabiri [30], della promessa
decima di tutto quanto nascerebbe, non avendola i Pelasgi attenuta
in quanto riguardasse i figliuoli.» Indegnò la spietata risposta, e
tumultuarono contro i capi e a tale venne la stanchezza de’ più che
questi in massa migrarono, e i pochi rimasti, spodestati degli averi,
vennero agevolmente ridotti in servitù.
Dall’Appennino centrale, dietro al corso del Volturno e dell’Ofanto,
scesero i Sanniti, gente mista di Sabini ed Ausonj, gentem opibus
armisque validam, come li giudica Tito Livio [31], conquistando. Erano
essi in quel tempo, cioè circa l’anno 420 avanti la venuta di Cristo,
arrivati omai all’apogeo della loro potenza, e superando Roma
stessa nel numero della popolazione e nella estensione del territorio,
ne erano divenuti i più formidabili avversarj. S’allargavano essi dal
mar Inferiore al Superiore, dal Liri alle montagne lucane e ai piani
dell’Apulia, e dominavano ne’ paesi che oggidì designiamo coi nomi
di Principato Ulteriore e di Abruzzo Citeriore. Sobrii ed indomiti,
difesi da valloni e torrenti, potevano a buon diritto codesti montanari
riuscire terribili a quei della pianura.
Superando gli ostacoli tutti, irruppero nella Volturnia, che essendo
piana cominciarono a chiamar Campania (da καμπος, pianura),
occuparono Vulturnio che denominarono Capua e successivamente
la Campania tutta, alla quale era capitale, e che si distendeva sul
mare dal Liri al Silaro, ubertosissima e popolata di dodici belle e
ricche città, tra le quali primeggiavano Pompei ed Ercolano.
Come dell’etrusca dominazione si rinvennero tracce negli scavi di
quest’ultima città in una medaglia e nella mensa Giunonale; così se
ne ebbero e in maggior copia e in essa città e in Pompei della
sannitica nelle diverse iscrizioni dettate in questa lingua, e il Giornale
degli Scavi, già da me ricordato, reca dotte dichiarazioni di taluna, a
migliore schiarimento di importanti questioni.
Allora i Sanniti divenuti Campani, sotto il nome di Mamertini, forse a
dire soldati di Marte, si posero al soldo di chi bisognava di
combattenti, ed estesero fino a Pesto la propria lingua, la quale, se
vuolsi attribuir fede al succitato Strabone, fu pur la stessa parlata da
Umbri, Osci, Dauni, Peucezj, Messapi, abitanti della Japigia, cioè nel
sud-est della penisola. Contuttociò essi, come già prima i Pelasgi,
non giunsero a naturarvi la loro dominazione: perocchè i costumi
campani e il carattere differenziassero di troppo, nè le lotte fra essi
dovessero tardare a scoppiare.
I libri settimo, ottavo e nono delle istorie di Tito Livio ci apprendono le
ulteriori vicissitudini della Campania, le cui sorti è a credersi fossero
pure comuni a Pompei, come identiche e comuni ne fossero le
politiche condizioni.
È per questo che a sopperire al difetto di peculiari notizie di questa
città che impresi col lettore a studiare, mi sia d’uopo colmare le
lacune, riassumendo da quelle dotte ed accurate pagine le più
saglienti che vi hanno maggiore attinenza.
Sappiam per esse come i Sanniti assaltassero ingiustamente i
Sidicini e come questi, inferiori di forze, ricorressero ai Campani. Se
non che, narra lo storico padovano, come, avendo i Campani
apportato piuttosto un nome che una giunta di forza a soccorso degli
alleati, snervati dal lusso e da una tal quale rilassatezza, propria del
resto delle condizioni del clima, fossero battuti nel paese dei Sidicini
da gente indurata nel mestiere dell’armi, e che però rivolgessero
sopra di sè tutta la mole della guerra. Perciocchè i Sanniti, messi da
parte i Sidicini ed assaliti i Campani, ch’erano antemurale de’
confinanti, fra Capua e Tifata, diedero loro una terribile rotta, nella
quale venne tagliato a pezzi il nerbo della loro gioventù.
A salvarsi allora da più fiere vendette, s’affrettarono i Campani a
ricorrere a Roma, e poichè invano ne ebbero sollecitata l’alleanza,
essendo già con vincoli d’amicizia legata essa ai Sanniti, non
trovarono spediente migliore di quello di una piena dedizione e fu
accolta.
Furono da Roma spacciati allora ai Sanniti i Feciali [32] per richiederli
delle cose tolte ai Campani, e poichè venne opposto il rifiuto, si
intimò loro solennemente la guerra, due eserciti mettendo in campo,
l’uno nella Campania, capitanato da Valerio, e l’altro nel Sannio, da
Aulo Cornelio comandato. Furon dubbie dapprima le sorti della
guerra; perocchè mai non si fosse combattuto per entrambe le parti
con maggior valore ed accanimento; ma da ultimo la vittoria si
dichiarò per l’armi romane con somma lode dei due suddetti consoli
e di Publio Decio tribuno.
Implorarono allora pace i Sanniti da’ Romani e l’ebbero colla
invocata facoltà di muover l’armi contro a’ Sidicini, che neppure dal
popolo romano eransi mai tenuti per amici. I Sidicini, vedutisi
seriamente minacciati, seguitando l’esempio de’ Campani,
avrebbero voluto alla lor volta concedersi a’ Romani; ma stavolta
essi ne vennero dispettati, perchè solo sospinti dalla necessità a
tanto stremo. Così stando le cose, non trovarono altro spediente che
volgersi ad altra parte ed offerirsi a’ Latini, che li accettarono
prontamente, e i Campani che meglio della fede a’ loro nuovi
Signori, anteponevano la vendetta dell’insulto patito da’ Sanniti,
entrarono pure nella lega. Reclamarono di ciò i Sanniti a Roma,
come di violata fede, ma n’ebbero ambigua risposta, perocchè in tal
modo si cercasse di non confessare apertamente la poca autorità sui
Latini; onde e questi e quelli della Campania, immemori del ricevuto
beneficio, così montarono in orgoglio — già superbi per natura, sì
che l’alterigia campana fosse passata in proverbio, — e tanta
accolsero ferocia, da macchinare ai danni de’ Romani stessi, sotto
colore di apparecchiarsi alla guerra contro i Sanniti.
Benchè tutto ciò si celasse con industria e si volesse, prima che i
Romani si movessero, battere i Sanniti, pur della trama se n’ebbe
sentore in Roma che tosto avvisò a prepararsi alla lotta.
Dissimulando tuttavia la cognizione di tanta ribellione, chiamarono i
Quiriti a sè dieci de’ maggiorenti latini, per impor loro ciò che fosse
per piacer meglio al Senato. Fra i trascelti vi fu un Lucio Annio
Setine pretore, cui furono largheggiate da’ Latini le più ampie facoltà.
Costui, mal ponderando con chi si avesse a fare, ebbe tanta albagia
che, tenuta altiera ed insolente concione avanti i Padri Coscritti, osò
farsi a proporre condizioni di pace eguali pei due popoli, pei Romani
cioè, e pei Latini; poichè, affermava egli, fosse piaciuto agli dei
immortali che eguali pur anche ne fossero le forze. Tito Manlio
Torquato, console, d’impeto non minore, udita cotale spavalderia,
rispose adeguatamente, e poichè Annio nell’uscir dal Senato,
inciampando fosse caduto e giacesse tramortito, Manlio veggendolo,
narra Tito Livio, che sclamasse: Ben gli sta, e voltosi poscia agli
astanti, proseguisse: Io vi darò, o Quiriti, le legioni dei Latini a terra,
come a terra vedete questo legato. — La voce del romano Console
talmente accese gli animi di tutti, che nel partirsi i legati, più gli
scampò dall’ira della plebe la cura de’ magistrati, che per ordine del
Console gli accompagnavano, che non il diritto delle genti.
Furono levati allora in Roma due eserciti per tale guerra, i quali,
attraversando Marsi e Peligni, s’ingrossarono di quello dei Sanniti e
presso Capua, dove già i Latini e i loro confederati erano convenuti,
posero gli accampamenti. Fu raccomandata la più severa disciplina
militare, reclamata ora più dal trovarsi a fronte gente di lingua,
costumi ed ordini di guerra non dissimili; e Tito Manlio così la volle
osservata che al figliuolo, che mosso dall’ardor giovanile aveva
disobbedito spingendosi ai posti nemici, e quivi era stato provocato
da Gemino Mezio che comandava la cavalleria toscana, e s’era seco
lui azzuffato e trapassato avealo di sua lancia e morto, comechè
vincitore, diè condanna di morte, e questa volle immediatamente dal
littore eseguita.
Fu terribile il cozzo dei due eserciti avversi, ma la battaglia, come già
sa il lettore per quanto fu detto nel capitolo precedente, combattuta
alle falde del Vesuvio, fu vinta dalle armi romane; comunque non
fossero durante la pugna stati punto giovati dai Sanniti, solo entrati
questi nella lizza quando le sorti non erano state più dubbie. Preso il
campo latino, assai de’ Campani in esso vi vennero fatti prigionieri.
Latini e Campani s’arresero a discrezione: al Lazio ed a Capua
venne tolto in castigo parte del loro territorio e l’autonomia, e divise
le terre; solo esente dalla pena andò la cavalleria dei Laurenti e dei
Campani perchè non ribellati; accordata a costoro inoltre la romana
cittadinanza, ed altri beneficj e privilegi concessi.
Questa grande battaglia seguiva negli anni 416 di Roma e 336
avanti Cristo. Di queste genti vinte Roma si valse pochi anni dopo
per venire a nuove guerre contro i Sanniti, i Lucani, i Vestini, gli Equi,
i Marsi, i Peligni, che pur le avevano dato un dì giovamento a
conquistar la pianura. Lunga e ostinata è la guerra, alternate le sorti,
finchè Papirio Cursore sbaraglia i Sanniti. Volendo questi venire a
patti e ricusati, e astretti pertanto a pugna disperata, ricorsero a
sottili accorgimenti e tratte infatti le legioni romane entro una valle
detta del Caudio, vi trovan interdetta l’uscita e il ritorno. Celebre è la
vergogna patita da’ Romani sotto il nome delle Forche Caudine [33],
e per la quale Ponzio, capitano dei Sanniti, spregiando l’avviso del
proprio vecchio padre Erennio, che avverso ai temperamenti
mediani, le truppe romane avrebbe voluto o rimandate senza infamia
per ottenere poi l’amicizia di Roma, o tutte trucidate ad impedirne
per tanto tempo i guerreschi conati, ottenute violentemente invece
larghe condizioni di pace, volle passassero sotto il giogo, primi
obbligandovi i consoli Postumio e Veturio, che vi si sobbarcarono
quasi ignudi; sottoponendo poi gli altri, come ciascuno era più vicino
di grado; indi per ultimo una ad una le legioni fra gli scherni e gli
insulti nemici.
Il Senato e il Popolo Romano, all’udir tanta abjezione, non vollero
ratificare l’ontosa pace, ed anzi pieni di sdegno e furore trassero dal
sofferto scorno divisamenti di allegra vendetta, e ripigliarono
incontanente la guerra. In essa, risultati vittoriosi i Romani, sotto il
comando di Papirio Cursore, furono così ingenerosi nella vittoria,
che caduto Ponzio nelle loro mani, sottopostolo alla sua volta al
giogo in Luceria [34], e tradottolo a Roma, lui che per seguir
clemenza li aveva poco innanzi della vita risparmiati a Caudio,
trucidarono vilmente, tardi ed indarno pentito di non aver ascoltato i
consigli della saviezza paterna.
Non fu lunga tra’ Romani e Sanniti l’alleanza: presto vennero
nuovamente alle armi; e quando la lotta sì spostò dal Sannio per
muovere contro gli Ausonj, che poi vennero interamente distrutti,
varie cospirazioni si ordirono contro Roma nelle città Campane, fra
le quali era, come sappiamo, Pompei. Fu allora che a reprimerle ed
a punirle si intrapresero in Roma inquisizioni contro taluni dei
principali cittadini di esse; ed anzi quando Luceria cadde in potere
de’ Sanniti e il presidio romano che vi era venne fatto per tradimento
prigione, presi in maggiore sospetto i Campani, le inquisizioni si
estesero più severe a loro carico, venendo eletto Cajo Menio a
dittatore per eseguirle.
Siffatte cose e rigori non eran proprj tuttavia a diradicare la ribellione
campana: da essa poi i Sanniti traevan partito a rinfocolar gli odj a
nuove imprese contro i Romani, ai quali agognarono ritorre Capua.
Ma Petelio e Sulpizio consoli li batterono completamente a
Malevento; onde poi dai Romani si chiamò la città Benevento, e
fama suonò che de’ Sanniti, presi o morti, vi rimanessero in quella
fazione all’incirca trentamila.
Eran gli anni 441 di Roma e 331 avanti Cristo, quando riportavasi
dall’aquile romane sì luminosa vittoria, la quale poi, consoli essendo
Lucio Papirio Cursore per la quinta volta e Cajo Giunto Bubulco per
la seconda e Cajo Petelio dittatore, venne susseguita dalla presa di
Nola.
Tre anni dopo, essendo a que’ consoli succeduti Quinto Fabio e
Cajo Marcio Rutilo, mentre il primo trovavasi impegnato in guerra co’
Toscani ed il secondo coi Sanniti, a’ quali toglieva per forza Alifa,
Publio Cornelio a capo della flotta romana nel mar tirreno, pensando
non rimanersene alla sua volta colle mani in mano nell’ufficio che
aveva di vigilare la spiaggia marittima, si spinse fin entro il golfo che
si comprende fra Sorrento e Miseno, e si accostando alle sponde del
lido campano, lasciò che le navi entrassero nel porto di Pompei e vi
sbarcassero affamati di rapina i suoi classiarii, come si appellavano
allora i soldati della marina.
Descrivere la licenza è più presto fatto che immaginarla: era già
essa nelle ordinarie abitudini militari e il soldato vi faceva più che nel
resto speciale assegnamento. Posero a saccomanno singolarmente
il territorio Nocerino, portando il guasto anche per ogni casale che
transitavano, speranzosi che obbligando i contadini a fuggire dinanzi
a loro, si avessero assicurata meglio di poi la via del ritorno alle navi.
Ma l’evento non rispose questa volta alle ribalde speranze.
I marinai, fatti ebbri dall’amor del bottino, si inoltrarono spensierati
troppo oltre, onde gli uomini del paese che, a poco a poco ripreso
animo, rivenivano ai disertati tetti, mentre prima non ne avevano
avuto pensiero — e sarebbe stato più agevole quando que’ ladri
erano sparpagliati per la campagna a rapinare il far loro resistenza e
toglierli di mezzo — allora solo avvisarono di attenderli al ritorno. E
come infatti venivano i classiarii a frotte e carichi di preda inverso le
navi, giunti sotto Pompei, si trovarono d’un tratto d’avere a fare co’
Pompejani medesimi fieramente irritati, i quali cogliendoli alla
sprovvista, così li malmenarono da salvarsene pochi dalla strage,
tutti rigurgitando quanto avevano involato, e salvandosi a mala pena
i superstiti sulle navi [35].
Ma se tale era l’animo dei Pompejani e dei consorti loro della
Campania verso i Romani dominatori, non si può dire che migliori
sentimenti nodrissero verso i Sanniti; perocchè quando in quel torno
di tempo vennero costoro dall’armi romane e da quelle dei
confederati campani congiunti insieme nuovamente e più
aspramente battuti, lasciando nelle mani de’ vincitori le ricchissime
loro armi, i Romani se ne servirono ad ornamento del foro; i
Campani fregiandone invece i gladiatori, a sollazzo ne’ loro
banchetti, presero da quel tempo ad appellare Sanniti i gladiatori
stessi; lo che se è testimonio di molto orgoglio, lo è ben anche di
grandissimo ed inestinguibil odio verso di essi.
Gli è tuttavia a’ 293 anni avanti Cristo che i Sanniti quasi affatto
cessarono ogni lotta con Roma; perocchè in questo tempo, dopo che
videro anche l’armi d’Etruria vinte e aggiunte quelle provincie come
serve al carro della romana grandezza, — quantunque siffatta umile
condizione venisse palliata col titolo di alleanza latina, — ebbe ad
andare a vuoto il supremo loro sforzo per la propria indipendenza.
Un esercito di trentamila e trecentoquaranta uomini raccolsero essi
in questo ultimo cimento, e sull’altare dapprima giurato fra orribili
imprecazioni: o difendere l’ultimo resto dell’italica libertà o morire, il
giuramento tennero imperterriti, perchè ad Aquilonia perirono tutti, e i
poveri avanzi di tanto coraggio e di tanta fede, riparati in una
caverna dell’Appennino, scoperti l’anno dopo, in numero di duemila
vennero col fuoco miseramente asfissiati e spenti.
Io, come ha già visto il lettore, ho divisa la storia di Pompei in due
parti: nella prima compresi il tempo in cui sta quell’êra che nella
storia di Roma si appella eroica, sebbene non sussistan ragioni di
designarla così per Pompei. Da’ fatti medesimi qui memorati e i quali
accusano i costanti propositi de’ Quiriti di conquista e d’estinzione di
libertà, è manifesto che anche a riguardo di Roma assai e assai
sarebbesi a dire e contrastare all’epoca il glorioso appellativo,
malgrado potesse pur l’Allighieri professarsi devoto alle gesta

Onde Torquato e Quinzio che dal cirro


Negletto fu nomato, e i Deci e i Fabi
Ebber la fama che volentier mirro [36];

io ne adottai ad ogni modo la durata e a divisione di lavoro, e perchè


gli avvenimenti che seguono entrano in una fase più certa e più
confortata dall’autorità di monumenti e scrittori degni di fede migliore.
Qui termina pertanto la mia prima parte, o periodo; come a questo
punto finisce la suddetta età eroica romana.
CAPITOLO III.
Storia.
PERIODO SECONDO

La legione Campana a Reggio — È vinta e giustiziata a


Roma — Annibale e la Campania — Potenza di Roma —
Guerra Sociale — Beneficj di essa — Lucio Silla assedia
Stabia e la smantella — Battaglia di Silla e Cluenzio sotto
Pompei — Minazio Magio — Cluenzio è sconfitto a Nola
— Silla e Mario — Vendette Sillane — Pompei eretto in
municipio — Silla manda una colonia a Pompei — Che e
quante fossero le colonie Romane — Pompei si noma
Colonia Veneris Cornelia — Resistenza di Pompei ai
Coloni — Seconda guerra servile — Morte di Spartaco —
Congiura di Catilina — P. Silla patrono di Pompei accusato
a Roma — Difeso da Cicerone e assolto — Ninnio Mulo —
I patroni di Pompei — Le ville a’ tempi di Roma — La villa
di Cicerone a Pompei — Augusto vi aggiunge il Pagus
Augustus Felix — Druso muore in Pompei — Contesa di
Pompejani e Nocerini — Nerone e Agrippina — Tremuoto
nel 65 che distrugge parte di Pompei.

L’autonomia della Campania non era, dopo questo tempo, che di


nome. Se più le sue città non subivano la Sannitica prepotenza,
doma oramai dalla forza preponderante dei Romani, all’autorità di
questi dovevano sempre nondimeno deferire. Era un’alleanza
onerosissima certo, e molto più che sembrasse non poter Roma
sussistere che guerreggiando, sitibonda e non saziata giammai di
conquista e di saccheggio, e fosse però necessità ne’ territorj
confederati di concorrere a rafforzarne gli eserciti.
Sbarazzatasi la via in quasi tutto il continente meridionale, le vittrici
aquile spiegavano il volo verso la Magna Grecia, ove la republica di
Taranto primeggiava d’industria e di marina, e verso la Sicilia. Noi
non ne seguiremo il corso, che non fa al mio còmpito, e più che di
Pompei e delle città sorelle m’avverrebbe di ritessere la romana
istoria, facile del resto, per tanto che ne fu scritto, a consultarsi;
noterò tuttavia che moltissimi delle città campane, insofferenti della
pressura quiritica, preferissero esulare dalla patria contrada e
bramosi di nuova stanza e di quel dominio che avevano perduto,
capitanati da un Decio Giubellio, occupassero Messina, invadessero
Reggio, e si piantassero formidabili prima agli abitanti di quelle terre,
poscia a’ Romani che ambivano recarle alla loro dominazione, e
finalmente a’ Cartaginesi che tentavano assalirne le coste, essi
medesimi fatti assalitori.
La legione campana, ingagliardita dai successi contro questi ultimi e
contro Pirro venuto dall’Epiro per cupidigia di nuovo impero, che
avevano costretto a levar da Reggio l’assedio, spinto avevano così
l’audacia da sorprendere Cortona e scannarvi il presidio romano,
diroccandovi la città. Ma quando i Romani presero possesso di
Taranto, che aveva in Italia chiamato Pirro a’ loro danni, puniti che
n’ebbero severamente i cittadini, non s’ebbero altro più a cuore,
quanto far sì che castigata pur fosse la perfidia della detta legione.
Fu commessa pertanto, nell’anno 482 di Roma (270 a. C.), la
punizione a Lucio Genucio, ch’era console con Cajo Quinzio;
ond’egli costrettala entro le mura di Reggio, vi pose intorno l’assedio,
e comunque ajutati dai Mamertini, egli alla sua volta soccorso da
Jerone, che teneva il principato di Siracusa, ebbe alla fine a
discrezione la città. Fatti allora giustiziare disertori e ladroni, che colà
s’erano rifugiati, i legionarj trasse a Roma, onde il Senato
deliberasse di loro sorte. E il Senato, contro l’avviso di Marco Fulvio
Flacco, tribuno della plebe, li dannò all’estremo supplizio: solo a
scemare l’odioso terrore di fatto così acerbo e la mestizia della plebe
dove fosse stato messo a morte in uno stesso tempo tanto numero
di gente, se ne trassero di prigione cinquanta al giorno, che battuti
prima colle verghe caddero poscia sotto la scure.
«Seguendo parecchi autori, — scrive il Freinsemio nel quinto libro
de’ supplementi liviani, al quale ho spiccato un tal fatto, — ho messo
che tutta la legione, cioè quattromila uomini, siano stati colpiti colla
scure in sulle piazze di Roma; stimo però più vero ciò che Polibio
riferisce, non esser caduti vivi nelle mani che trecento legionarj; il
rimanente aver preferito, combattendo disperatamente nella presa
della città, d’esser tagliati a pezzi, nessun di loro ignorando, che
dopo sì enormi delitti, non altro potessero, arrendendosi, aspettarsi
che maggiori crucci ed una morte a più grave ignominia congiunta.»
Non ricordan le storie che i Campani per lo innanzi avessero pugne
per conto proprio, e pur tacesi quindi di Pompei che anche nella
sunnarrata vicenda poco specialmente abbiam trovato nominata:
silenzio codesto ben avventuroso, poichè ogni città che allora si
meritasse dagli storici menzione, non l’ottenesse che da’ disastri ne’
quali fosse ravvolta. Solo si sa come dugento quindici anni prima di
Cristo, Annibale, il formidabile condottiero dell’armata cartaginese,
nella seconda Guerra Punica, che Livio chiama bellum maxime
memorabile omnium, e che fu difatto sanguinosissima ed ostinata, si
presentasse a’ confini della Campania e di qui tenesse in grande
sgomento la superba Roma. Il feroce Cartaginese desolò quelle città
della Terra di Lavoro che si tennero in fede de’ Romani, ma non
consta che nel novero di esse fosse Pompei; onde possa cavarsene
argomento ch’essa pure, non altrimenti che Capua, spalleggiasse
l’invasore straniero. Cessato da ultimo ogni rumore di questa guerra
colla vittoria di Roma, e ritornata pure la Campania nella sua
soggezione, le braccia de’ suoi abitanti vennero quindinnanzi
disposte dai Romani, nel cui dominio eran venuti, e dai quali del
resto vedeansi in ricambio accordato protezione contro assalti
nemici, provvedimenti di strade, canali e ponti ed utili parentadi.
Roma tra breve, cioè nell’anno 624 di sua fondazione e 130 avanti
Cristo, possedeva così quasi tutta l’Italia, oltre la Spagna e la Grecia,
e de’ quattro questori provinciali, fra cui venne dal Senato divisa,
quello residente a Cales comprendeva la giurisdizione sulla
Campania in un col Sannio, la Lucania ed i Bruzi: tal che Scipione
Emiliano, censore, quando al chiudersi del lustro, sacrificando,
doveva, secondo il costume, supplicare agli Dei l’ampliamento
dell’impero, narra Valerio Massimo, che a quella formula sostituisse
di suo capo queste parole: Grande e potente è abbastanza: supplico
i Numi di conservarlo eternamente.
Quanta ragione questo savio avesse in ciò chiedere ai Numi, la
chiarirono le cruentissime guerre intestine che successero di poi e i
danni che a Roma n’ebbero a conseguitare. Celebre è quella che
ebbe il nome di Guerra Sociale, e nella quale i Romani s’ebbero a
fronte Picentini e Marsi, Marrucini e Ferentani, Peligni e Campani,
Irpini, Apuli e Lucani e, più che tutti, gli irreconciliabili Sanniti, non
fiaccati da venti sconfitte e bramosi di vendicare il lungo servaggio.
Cajo Mario in questa lotta fraterna, altro de’ capitani che tanta gloria
in Africa e più ancora contro i Cimbri aveva conseguita, venne
accusato di lentezza, e non era per avventura che il cruccio di un
egregio di combattere contro Italiani, i quali avevano a scopo di
ottenere colla forza quello ch’egli voleva concesso di grazia; onde
alla fine si ritrasse spontaneo dal comando. Durò la guerra tre anni,
e si sommarono a meglio di trecentomila i periti in essa. Roma,
come sempre, la vinse; ma restò di beneficio almeno che venisse
proclamata l’eguaglianza di tutti gli Italiani, nè più vi fosse ostacolo
da’ federati ad essere cittadini, e venissero come tali ripartiti fra tutte
le trentacinque tribù di cui costituivasi la romana cittadinanza.
Questa legge, promossa da Mario e che gli procacciava il generale
favore, indarno venne dal suo grande antagonista Lucio Cornelio
Silla osteggiata.
Era stato questo Silla che in codesta Guerra Sociale combatteva per
Roma contro i Campani e i Sanniti, risvegliatisi ancora agli odj
antichi. Pompei fu pure tra le città ribellate, le quali a’ primordj della
generale conflagrazione ebbero favorevoli le sorti dell’armi. Ma la
discordia de’ capi e l’inesperienza le mutarono ben presto, e le
resero ad essi contrarie. Silla cinse Stabia di assedio — Stabia di
poco tratto discosta da Pompei ed oppido a que’ dì ragguardevole —
la prese e smantellò per guisa, che anche ai tempi di Plinio il
Vecchio, poco presso, cioè, alla sua totale rovina, più non offerisse
che l’aspetto di un villaggio.
Dall’alto delle sue mura riguardava Pompei la desolazione della
vicina città sorella e con qual cuore, pensi il lettore; perocchè ella
pure dovesse allora aspettarsi non dissimile fato, conscia dell’indole
efferata e crudele del suo vincitore. Disperando scongiurare il
pericolo, s’apprestarono animosi alla difesa i Pompejani.
E Lucio Silla non attese infatti di molto a volgere ad essi il pensiero;
perocchè toltosi a Stabia, venne a porsi sotto la loro città, che strinse
egualmente d’assedio, e ne attendeva agli approcci, allorchè
Cluenzio, generale de’ Sanniti, inavvertitamente giunto, s’accampa a
quattrocento passi da’ romani alloggiamenti con poderose forze.
Silla fa impeto contro di lui; è terribile il cozzo fra le avverse legioni,
ma ne è Silla respinto. Riordina allora le truppe e ritorna all’assalto
con maggiore accanimento e ne ottiene piena rivincita. Lo imita
Cluenzio ingrossando di nuovi ajuti le proprie fila, ed una terza volta
vengono alle mani i due eserciti, rompendo Silla le ostilità: ma
questa volta la sorte decide a pro’ dell’armi romane e Cluenzio
stesso, nella generale sconfitta del suo campo, rimane estinto
presso Nola, dove la foga della pugna aveva ambo gli eserciti
sospinti.
Vellejo Patercolo ci fa sapere a questo punto come Minazio Magio di
Ascoli, avolo suo, nipote di Decio Magio, ch’egli punto non esita a
chiamare il primo de’ Campani e celeberrimo e fedelissimo,
segnalasse fortemente la sua devozione a’ Romani, levando a sua
spesa una legione tra gli Irpini e combattendo a fianco prima di Tito
Didio, congiuntamente al quale ebbe a prender Ercolano, e quindi di
Lucio Silla in questo assedio di Pompei, impadronendosi poscia di
Cosa [37].
Non si trova nella storia del come i Pompejani allora si sottraessero
alla vendetta di Silla; forse questi rinunziò ad essi nella ambizione
del Consolato, la cui elezione si agitava nell’Urbe: da Nola, ove
trovavasi coll’esercito, egli allora accorse a Roma, prima a brigarsi
quell’onore e poscia a vendicare il torto che egli credeva a lui fatto
nell’affidarsi a Mario il supremo comando nella guerra, che aveasi ad
intraprendere contro Mitridate re del Ponto; onde ebbero a correre
rivi di sangue cittadino. Superfluo il narrare di Mario, profugo per
Italia e miserissimo, il suo ritorno nuovamente potente e la settima
sua elezione al consolato, le sue crudeli vendette e la morte: non lo
sarà forse il mentovare siccome il suo antagonista, veduto di qual
modo gli Italiani tutti si mostrassero propensi a Mario, migrasse
proscritto in Asia, dove conciliatesi le legioni, ne ottenne poscia il
comando, e in tre anni menata a buon fine una pericolosissima
guerra, non lasciando a quel barbaro re, com’ei disse, che la destra
mano, colla quale aveva firmato il macello di centomila Romani,
espilate quelle provincie con enormissime contribuzioni, ritornasse in
Italia.
Approdato a Brindisi, scrive al Senato enumerando le proprie
imprese e di rincontro i torti dalla patria ricevuti, e conchiude il
messaggio annunziando come tra breve ei comparirebbe alle porte
di Roma con un esercito vincitore a vendicare gli oltraggi, punire i
tiranni ed i satelliti loro.
Nè valsero pacifiche ambascerie a scongiurare la nuova sciagura e
neppure i centomila soldati oppostigli contro dai consoli Giunio
Norbano e Cornelio Scipione; perocchè le prime egli spregiasse e
l’esercito non reggessegli contro, in una parte sconfitto e nell’altra
scomposto dalla diserzione. Non farò qui il tristissimo quadro delle
vendette e proscrizioni sillane: la storia tenne conto di novemila
persone uccise, fra cui novanta senatori, quindici consolari e duemila
seicento cavalieri; lasciò onorata la memoria della condotta di que’ di
Norba in Campania, i quali piuttosto che arrendersi, ben conoscendo
l’animo spietato di Silla, per testimonio di Appiano, appiccarono il
fuoco alle case, e da uomini di cuore preferirono uccidersi gli uni gli
altri [38].
Le furie delle sue vendette caddero quindi in buona parte sulle città
italiane, le quali nel conflitto fra lui e Cajo Mario avevano per
quest’ultimo parteggiato, e se a Preneste erano morti dodicimila, se
Norba, comechè ancora fumanti i ruderi, vennero da lui spenti affatto
col sangue, se Populonia fu distrutta, se a Fiesole tolse ogni
speranza di risorgere fondando sulle rive dell’Arno una nuova città,
Fiorenza, se il Sannio seminò di ruine e di squallore, non poteva
certamente andare immune dalle ultrici sue folgori Pompei.
Allorquando erasi posto fine alla Guerra Sociale, come ad altre città,
così anche a Pompei ed Ercolano era stato accordato d’erigersi in
municipii, di reggersi, cioè, colle proprie leggi e proprii comizii,
conseguenza del diritto alla romana cittadinanza, comunque e leggi
e comizii dovessero essere sul modello di Roma; onde Cicerone
potesse affermare due patrie competere a’ municipii, l’una della
natura, l’altra della città; l’una di luogo, l’altra di diritto [39].
Abbiam veduto come a Silla, capo del partito nobilesco, fossero
spiaciute tutte queste concessioni, fatte ad iniziativa di Publio
Sulpicio tribuno e ad istigazione di Cajo Mario, come non ignoravasi
universalmente: facile è poi argomentare come più ancora spiacer
dovessero accordate a Pompei, dove al tempo che teneva il
comando militare, giusta quanto ho già detto, aveva trovato
gagliarda resistenza, ed era a lui riuscito malagevole il superarla.
Non appena pertanto il Senato, sulla proposta di Valerio Flacco, ligia
persona di Silla e da lui fatto eleggere ad interrè, acclamò, nello
spavento de’ sanguinosi spettacoli a cui aveva assistito, Cornelio
Silla medesimo dittatore, ciò che da ben cento venti anni non s’era
più visto accadere, esso, in odio del morto suo antagonista, ritogliere
a’ latini e a moltissime città italiche la romana cittadinanza,
conferendo invece cittadinanza e libertà a diecimila schiavi, che
assunsero il cognome suo di Cornelii, al nome proprio inoltre
aggiungendo quello di Felice, quasi i torrenti di sangue versato lo
avessero veramente reso tale, come poco dopo a’ due gemelli che
gli nacquero da Metella, volle imposti i nomi di Fausto e di Fausta.
Fra le città da lui disgraziate fu Pompei. Tre coorti di veterani vi
mandò come corpo di osservazione, impose un tributo d’uomini e di
pecunia e quasi ne confuse ed estinse il nome, tramutando il
municipio in colonia militare, questa volendo appellata Veneria,
desunto da Venere Fisica, che era la divinità protettrice della città, ed
anche Cornelia dalla illustre famiglia alla quale egli apparteneva.
Questo seguiva nell’anno ottantesimo avanti l’era volgare. Siffatto
nuovo reggimento politico di Pompei reclama che delle condizioni di
esso venga il lettore informato.
Vuolsi che Romolo inventasse il sistema delle colonie militari,
quando vinte le città o genti finitime, parte di queste volesse seco
condurre nell’Urbe e parte lasciasse pure in luogo, importandovi
uomini proprii, i quali per darsi alla coltura de’ campi che lor venivan
concessi, si dissero coloni. Le sedi, i campi e l’oppido stesso, se vi
fosse ragione a costituire i diritti, le forme assumevano quasi di
nuova repubblica, in guisa tuttavia che ogni cosa a Roma ed alla
città madre avesse riferimento.
Varia si volle l’utilità che dalle colonie ritraesse Roma.
Primieramente, dicevasi, venivano giovamento alla stessa città
principe ed alla troppa e superflua moltitudine; quindi agli stessi
nemici e sudditi, per quella civiltà che eravi necessariamente
importata; da ultimo la istituzione serviva a tenere in soggezione i
vinti e quelli che meglio ispiravano timore. Cresciuto l’impero, furono
le colonie di sfogo a plebe povera e gravosa, di premio a’ soldati
emeriti, o vecchi. Solevasi per lo più distinguere le colonie in altre di
Romano, altre di Latino ed altre di Italico diritto; dette talune patrizie
e tali altre equestri, a seconda costoro della maggiore dignità de’
cittadini e militi che le componevano.
Nondimeno anche gli scrittori più favorevoli a siffatto sistema
riconobbero come tiranni e violenti cittadini avessero ad abusare di
esso, mescolandovi l’ingiuria e l’inganno [40], e Cornelio Silla
medesimo citarono appunto, come quegli che non solo, non
altrimenti che s’era usato per lo addietro, i campi conquistati
all’inimico ebbe a distribuire, ma a concedere nella stessa Italia sedi
a que’ soldati che le avessero desiderate.
Or come fra questi scellerati abusi del sanguinario dittatore non
deesi annoverare quello praticato in odio de’ Pompejani, se la

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