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Fondation pour la

Nature et l’Homme
Ángela Miranda, Aitana Toribio, Miriam Moreno,
Laura Camacho y Daniel Fernández
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ANALYSIS
GOALS & 03 You can describe the topic of
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STRATEGY
CONTENT PLAN 04 You can describe the topic of
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BUDGET 05 You can describe the topic of


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KPI OVERVIEW 06 You can describe the topic of


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Fondation pour la nature et l´homme
Créée en 1996, la Fondation a commencé à mobiliser le grand public en
participant à l'opération "La mer n'est pas une poubelle", organisée par
l'Aquarium de La Rochelle. La nécessité de sensibiliser un plus large
public au respect des milieux marins a incité la Fondation à étendre
cette démarche à l'échelle nationale sous le slogan SOS-Mer propre.
Les principaux acteurs socio-économiques du secteur maritime, les
fédérations de sports nautiques, de nombreuses collectivités locales et
associations littorales se sont associés pour diffuser le message dans
leurs domaines d'activité respectifs.
AGIR POUR LA PRÉSERVATION
DE LA BIODIVERSITÉ
La biodiversité rend notre planète habitable pour tous les êtres qui la peuplent, à commencer par les
humains. Elle est à la base de notre alimentation, de notre santé physique et mentale, de notre industrie...
La biodiversité est aussi la gardienne de l'équilibre de la Terre, jouant un rôle décisif dans la prévention
d'un changement climatique irréversible. Et pourtant, la biodiversité n'a jamais été en aussi mauvaise
santé.
Pour avoir trop considéré la biodiversité comme une somme de ressources à exploiter. Les scientifiques
estiment qu'un million d'espèces sont menacées d'extinction dans les prochaines décennies et soulignent
que "la nature décline à un rythme sans précédent dans l'histoire de l'humanité".
Nous devons respecter le rythme auquel la planète peut renouveler certaines ressources, respecter les
limites de la planète et apprendre à composer avec les autres espèces vivantes en adaptant nos modes
de vie. C'est là que nous intervenons.
Cela nécessite de lever de nombreuses barrières économiques, politiques, sociales et psychologiques
afin de cesser de détruire la nature et de permettre aux écosystèmes de s'épanouir
PROMOUVOIR UNE ALIMENTATION
RESPONSABLE
L'alimentation est vitale mais coûteuse pour le climat, puisqu'elle représente 22 % des émissions de
gaz à effet de serre en France. C'est le troisième émetteur après les transports (30 %) et le logement
(23 %).
L'alimentation est coûteuse pour la biodiversité, car l'utilisation de pesticides est responsable de la
disparition de nombreuses espèces et de la perte de fertilité des sols, et entraîne une inflation
galopante qui rend l'accès à une alimentation saine encore plus difficile pour une part croissante de la
population.
Elle est même coûteuse pour notre santé : les maladies liées à l'alimentation, telles que certains
cancers, les maladies cardiovasculaires, le diabète, le surpoids et l'obésité, sont responsables de 80
% des décès prématurés.
Mais il n'est pas facile de changer nos habitudes alimentaires, que ce soit à la maison ou dans le
secteur de la restauration. C'est là que nous intervenons, en proposant des solutions vertes pour
manger des aliments qui ont moins d'impact sur l'environnement.
Soutenir un élevage local et
écologique
La biodiversité rend notre planète habitable pour tous les êtres qui la peuplent, à commencer par les
humains. Elle est à la base de notre alimentation, de notre santé physique et mentale, de notre industrie...
La biodiversité est aussi la gardienne de l'équilibre de la Terre, jouant un rôle décisif dans la prévention
d'un changement climatique irréversible. Et pourtant, la biodiversité n'a jamais été en aussi mauvaise
santé.
Pour avoir trop considéré la biodiversité comme une somme de ressources à exploiter. Les scientifiques
estiment qu'un million d'espèces sont menacées d'extinction dans les prochaines décennies et soulignent
que "la nature décline à un rythme sans précédent dans l'histoire de l'humanité".
Nous devons respecter le rythme auquel la planète peut renouveler certaines ressources, respecter les
limites de la planète et apprendre à composer avec les autres espèces vivantes en adaptant nos modes
de vie. C'est là que nous intervenons.
Cela nécessite de lever de nombreuses barrières économiques, politiques, sociales et psychologiques
afin de cesser de détruire la nature et de permettre aux écosystèmes de s'épanouir
Défendre une agriculture sans pesticides

En France et dans le monde, le modèle agricole est largement intensif, basé sur
l'utilisation croissante de pesticides de synthèse. Un modèle né après la Seconde
Guerre mondiale de la volonté de moderniser l'agriculture pour atteindre
l'autosuffisance alimentaire de l'Europe.
Malheureusement, les limites de ce modèle ont été largement démontrées depuis.
Alors que 80 % de notre production alimentaire dépend directement des insectes
pollinisateurs, l'agriculture intensive est la principale cause de leur déclin.
Ce secteur représente près de 20 % des émissions de gaz à effet de serre en France,
génère d'importantes pollutions des eaux et des sols et affecte la santé humaine, à
commencer par celle des agriculteurs... Cerise sur le gâteau, ce modèle ne permet
même pas à la grande majorité des travailleurs de la terre de vivre décemment de leur
métier !
C'est une double peine écologique et sociale contre laquelle nous nous mobilisons.
Promouvoir une mobilité décarbonée
Préoccupantes : 100 000 emplois de plus pourraient être détruits d’ici 15 ans.On comprend aisément que de tels chiffres
inquiètent celles et ceux qui en vivent. En outre, la décision de l’Union Européenne d’interdire la vente des voitures thermiques
en 2035, accélère encore cette inquiétude et, avec elle, la nécessité de s’interroger sur les conditions permettant de
réindustrialiser nos territoires, tout en accélérant la transition écologique.Pour relever ce défi complexe, il est indéniable que la
filière électromobilité a un rôle important à jouer. Elle est une partie de la solution (renvoi vers étude 3 conditions au VE).Comme
nous l’avons démontré en 2021, dans un rapport publié avec la CFDT Métallurgie (renvoi vers page du rapport), développer une
filière électromobilité, orientée vers la sobriété, peut enrayer le déclin de l’emploi en France d’ici 2050.Les projections de ce
rapport démontrent que l’on peut même sauvegarder 33 % d’emplois en plus (comparé au scénario actuel qui conduit vers la
désindustrialisation), avec jusqu’à 15 000 emplois attendus dans la production de batteries, 9 000 dans le recyclage ou
encore 5 700 dans le rétrofit…Car ne nous trompons pas de débat, si la filière automobile est en crise aujourd’hui, la faute
n’est pas à imputer à la voiture électrique, trop souvent désignée comme le coupable idéal.Le principal facteur de cette crise
réside dans les arbitrages internationaux opérés par les grands donneurs d’ordres du secteur : délocalisations,
approvisionnement dans les pays à bas coût et abandon de la production des petits modèles plus légers, y compris électriques,
pourtant clé pour répondre à l’exigence de sobriété. En abandonnant ce segment, les constructeurs font encore fausse route…
Pourquoi nous l'avons choisi?
FIN

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