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BOMBARDEMENT ELECTRIQUE (Enregistrement Automatique) 1
BOMBARDEMENT ELECTRIQUE (Enregistrement Automatique) 1
Bombardement electronique
• Plan de travail
• 1 Aperçu historique 9 Obstacles
• 2 Definition 10 Conclusion
• 3 l introduction
• 4 Ses caracteristique
• 5 Comment ca function
• 6 Stade devloppement
• 7 Application
• 8 Avantage sur le plan mècanique
1Aperçu historique
application de fusion sous vide qui date du début du siècle. Mais il faut attendre
1956 pour que, simultanément, J. Stohr du CEA en France et K. Steigerwald de Zeiss
en Allemagne décrivent des applications industrielles de soudage et de perçage
utilisant ce moyen
2 la définition
Particules auto-détectées (a) selon des seuils de niveaux de gris définis (b) Les
fluctuations dans le temps de la taille (intensité) du faisceau électronique primaire
nous ont conduits à développer une routine de réajustement de cette valeur à une
valeur initiale choisie de 1.8 nA s'appliquant à chaque changement de zone
d'analyse et avant la détection 'seuillée' des particules par l'algorithme. En effet,
pour ces mesures souvent effectuées pendant de longues périodes (9 heures) et
sans forcément d'opérateur à proximité (travail de nuit), de telles variations de
l'intensité initiale du faisceau dues en grande partie 'au temps de vie du filament
de tungstène' auraient considérablement altéré l'auto-détection des particules
et/ou auraient demandé un ajustement de seuils de niveaux de gris (réglages
contraste et brillance du détecteur) à chaque changement de zone d'analyse
• 3 l'introduction
• LES secteurs de pointe des techniques modernes, tels que l'énergie nucléaire ou le domaine aérospatial, font
de plus en plus appel à des métaux spéciaux dont l'élaboration est souvent difficile et dont les qualités de
pureté sont primordiales. Pour répondre à cette demande, des procédés particuliers de fusion et d'affinage
ont été mis au point. Parmi ceux-ci, la fusion par bombardement d'électrons est un des plus remarquables.
Le métal, chauffé sous vide par un faisceau d'électrons issu d'un " canon à électrons ", est fondu à l'abri des
gaz nocifs, et en contact uniquement avec un cristallisoir bien refroidi ne réagissant pas. Ce procédé est donc
particulièrement bien adapté à l'élaboration de métaux réactifs ou réfractaires. Mais, dans un progrès
constant, il aborde aujourd'hui le domaine des aciers dits " ultra-purs ", où l'existence de procédés
concurrents et déjà éprouvés (fusion par arc sous vide ou par induction) lui impose des contraintes
industrielles et économiques sévères. La fusion par bombardement d'électrons, s'adaptant à ces nouvelles
conditions, semble avoir un bel avenir face à la demande croissante en aciers de très haute qualité .
• Le canon à électrons est un dispositif bien connu des électroniciens, qui l'utilisent dans les oscilloscopes
cathodiques, tubes de télévision et microscopes électroniques. Ces applications, caractérisées par la faible
puissance des faisceaux produits, ne doivent pas faire oublier qu'un flux d'électrons n'est rien d'autre qu'un
courant électrique et que ce courant représente une certaine puissance. Celle-ci se libère au moment de
l'impact des électrons sur une cible, se transformant principalement en chaleur, et aussi en rayons X.
Retenant du phénomène son aspect thermique, les métallurgistes sont parvenus à faire du canon à électrons
un puissant chalumeau capable de fondre ou de vaporiser les corps les plus réfractaires. C'est ainsi qu'est né
le four à bombardement d'électron