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Cheikh Moussa Cissé

C’est au troisième jour du moi de ramadan que Cheikh Moussa a reçu la lumière de Dieu, qui
a fait de lui un guide pour ce qui l’on suivi.

Beaucoup de bienfaits se produisent durant le moi de ramadan. C’est durant ce moi béni que
le prophète (psl) avait reçu cette lumière. Cela est donc un signe du faite que Cheikh Moussa
Cissé l’est reçu durant ce mois même. Nous devons en déduir donc qu’il fait parti des héritié
du Prophéte (psl)..

Sa vie était tres riche. C’est depuit sa jeunesse qu’on commencer a apparaitre les signes d’un
futur grand homme. Il fut préparer tel le furent les Saints et les prophètes depuis leur jeunes
âges. Ceux qui avait ne serai-ce que peut de connaissance savait qu’il fera de grandes choses.

Boucheyry le dit : « Les elus de Dieu se reconnaissent depuis leur tendre enfance ». Cheikh
Moussa est l’un d’eux.

Son père Mame More Khoréja était un disciple de Serigne Touba. Apres qu’il fut rendu
Cheikh, Serigne Touba lui donna le livre du Coran et lui dit, tu peux partir et te reposer
j’amènerai à toi des hommes qui te servirons.

Et c’est ainsi qu’il fit. Apres être rentré chez lui à Darou (Saloum), il n’eu aucune autre
occupation que la lectur du Saint Livre que lui donna Serigne Touba.

Ses proches alors de lui reprocher : « quand tu nous a quitter pour Serigne Touba tu lisais
déjà le Coran et maintenant tu est revenu avec le Coran, qu’a tu reçu en plus de lui ? de plus
tu ne travail pas alors que tu es encore jeune il te faut une femme et des biens pour
répondre a ces besoins ». Il a été sujet à toutes sortes de reproche et de moquerie, mais lui
savait que tout ce que Serigne Touba dit se trouve exaucé par Dieu.

Les acteurs de ses moqueries et de ses reproches ont vit leur fils venir s’engager auprès de
lui, et le servir matin et soir. Il avait donc raison, la parole de Serigne Touba s’est exaucée.

Voila qui était le père de Cheikh Moussa. Ce dernier n’était pas l’ainé mais il était éveiller et
précoce de par son comportement. Il avait quitté l’école Coranique pour servir son père
matin et soir. Le peut qu’il a put étudier lui a été enseigné par un vieu du nom de Serigne
Thiébo Cissé. Le soir après avoir fini le travail qu’il menait pour son père, il prennait son livre
et allait chez ce vieux, et l’on dit que c’est ainsi qu’il a apprit tout ce qu’il sait des livres

Pendant ce temps alors que les mourides était démuni, rejeter et renié. Pendant que dans
les maisons des Maitres (Serigne) il faisait bon vivre. Dieu lui a fait tourner le dos à tout ceci,
alors que son père était un Maitre (Serigne). Il a laissé tout cela pour servir son père matin et
soir. Il raconte qu’un jour son père partager des biens entres ses enfants et le sauta.

Un disciple lui dit et Moussa n’en fait-il pas parti, Khoréja ne répondit pas, le disciple réitéra
sa question, Khoréja ne dit rien , puis quand le disciple la lui demanda une troisième fois il
dit : sa part a lui n’est pas pour aujourd’hui. Par cela on peut dire qu’il est quelqu’un qu’on
prépare que l’on éduque pour le futur .
C’est dans cette situation qu’il se trouvait avec son père j’usqu’a que ce dernier est confiance
en lui.

Quand Khoreja voulait faire un cadeau à Serigne Touba c’était lui qu’il chargeait de cette
mission, et pourtant il n’était pas le plus âgé des ses enfants ni de ses dicsicples. Mais il était
très intelligent. Alors que voir Serigne Touba était dificile et encore plus pour un geune, son
père n’hésitât pas malgré cela a le choisir pour jouer le role de coursier entre lui et Serigne
Touba.

Un jour son père lui demande d’amené un cadeau qui était un sac de miel a Serigne Touba.

Il marcha de Darou à Kaoulack puis pris le train pour arriver à Djarem.

Il devait s’établir chez Serigne More Seck Takky, mais il ne le trouva pas et alla chez un autre
qui se nome Serigne More.

Alors il alla avec lui pour trouver Serigne Touba, en sortant Serigne More lui dit tu peux laisse
le cadeau ici, Cheikh Moussa n’était pas vraiment rassuré de ses suggestions, mais ne put
rien dire. Alors et allére et chercherent le Grand Maitre, mais sans succés.

Le soir arrivé Serigne More le laissa et lui promis de revenir sous peut, alors Cheikh Moussa
de par sa discipline ne bouga pas et s’assit pour l’attendre, il vit dit-il non loin de la un
homme qui ballayait et creusait un trou pour entérer les ordures. Il prit la résolution de
l’aider. Il saisi la pelle et lui aussi se mis a creusé. Tout a coup il vit un homme qui courait d’un
grand élant, il sentit le besoin de le suivre. Il ratrapat cette homme et le saisi de dériere son
vétement, l’homme lui dit laisse moi, laisse moi. Cheikh Moussa lui demanda que ce passe
t’il pourquoi court tu, le Maitre est sortit, il peut aller chez lui ? l’homme lui dit oui il est
sortit.

Alors il le laissa et courru chez Serigne More ou il avait laisse le sac de miel que lui avait
donné son pére. La mére de Serigne More était aveugle, mais l’avait entendu entré. Elle
demanda : qui est ce ? Moussa ?

-Il répondit : oui

- que fait tu ?

-je prend le sac de miel lui dit il

- More ne t’avait-il pas demandé de le laisser ici ?

-Il répliqua : si mais ce cadeau ne lui appartient pas

Il continuerai dans ce débat jusqua Cheikh Moussa s’éloigni et ne l’entendit plus.

Il alla alors dans la demeure ou était Serigne Touba, a l’entré il y’avait des gens qui distribuait
de la nourriture, alors il tin debout attendit patiemment, soudain un homme le vit et lui
demanda : jeune disciple, qu’a tu dans les mains ?

-du miel dit-il

-c’est pour qui


-pour le Grand maitre répliqua-t-il

-attend ici tu le verra bientôt

L’homme entra dans la maison puis ressorti et lui dit de le suivre, il l’accompagna jusqu'à
devant Serigne Touba et s’en alla. Cheikh Moussa le vit tel…

Il se mis a genou et avançait petit à petit en poussant le sac de miel, jusqu'à qu’il arriva à lui.

Cheikh Moussa dit qu’en réalité il allait retourné dans ses appartement, mais un homme lui
dit, le fils de Mame More Khoréja est la, alors Serigne Touba de dire, qu’il vienne.

Et c’est pour cela que ce jour la il était que tout deux seul, sans aucune autre personne.

Cheikh Moussa lui donna le sac de miel et d’autre cadeau encore.

Il raconte qu’un des disciples de son père lui avait donné une pièce à donné a Serigne Touba
pour qu’il intercède pour lui auprès de Dieu, pour la satisfaction de ses besoins.

Serigne Touba lui dit dépose la piéce ici et dit lui de faire le bien et de dire du bien.

Cheikh Moussa dit c’est ce jour la que j’ai su que la satisfaction des besoins s’acquière par les
bons actes et les bonnes paroles.

Ce que Serigne Touba et Cheikh Moussa ce sont dit ce jour la, ils sont les seul a le savoir. Il ne
l’a dit a personne, ou du moins il ne la pas dit a beaucoup de gens.

Apres le rappel a Dieu de son pére, Cheikh Moussa s’est lié a Serigne Bassirou Mbacké, qui
était le guide religieux des mourides du Saloum.

Tout le monde connaissait sa relation avec lui. Cheikh Moussa lui avait construit une chambre
à Darou, ou hébergait Serigne Bassirou quand il venait à Darou.

Il lui confiait des taches qu’il accoplissait entierement, jusqu'à un jour il lui dise : je t’agrée et
Dieu aussi t’agrée et je te supporterai dans tout ce que tu entreprendra.

Apres le rappel à Dieu de Serigne Bassirou, Cheikh Moussa est resté longtemps sans guide
religieux. La connaissance des mysteres était en ce temps la déscendu sur lui.

Il était pas bon à voir et ce qu’il disait n’était pas facile à entendre. il était seul chez lui, il avait
quitté toute sa famille dans le village qu’il avait fondé et venu a Darou lui tout seul avec rien.
Je me souvien : quand on aller aux champs, lui faisait sortir son tapis et s’assayait en lisant le
Coran. Puis quand on revenait des champs on le retrouvait dans la meme place avec le Coran
et cela pendant longtemps. Cela jusqu'à qu’il dise je suis arrivé a Dieu et j’y peut y mené
quiconque. On peut dire donc qu’il s’est longtemps préparé pour ce travail.

Tout homme de Dieu se base sur un autre. Ce-ci est de tradition dans la voie vers Dieu.

Mais en vérité Cheikh Moussa fait parti des grands, celui qui a fait connaitre les grand Maitre,
dans un cheminement mysterieur qui la fait cheminé.

Cheikh Moussa ne fait pas parti des cheikh de Serigne Touba, mais qui su autant renouvellé
la voie de Serigne Touba comme il l’a fait ?
Une nuit, il nous appela tous. Puis demanda : ou est tel et tel et tel…

On lui dit qu’il était tous la. Il nous dit ensuite parti jusqu'à demain. Il nous révella par la suite
que c’est parcqu’il y’avait une personne parmi nous qui ne savais pas garder les secrets et
c’est pour cela qu’il nous renvoya jusqu’à demain.

Et pourtant c’est cette homme qui ne savait pas garder les secrets qui après allé a la grande
place pour dire que le Cheikh n’avait pas toute sa tête. Cette homme nous disais souvent,
vous me dépasser tout les jours, mais soyez sur que quand le Cheikh partira c’est vers moi
que vous finirais, mais aujourd’hui il est triste de voir ou lui même a fini.

C’est pour cela que j’avais souvent peur quand je voyais des hommes s’assoir devant lui en
étallant leurs jambes ou se couvrant la tête, car mataba wome dafa tang, même s’il était en
même temps tres clément. 

C’est dans ces contextes qu’il commanca a appeler les gens dans la voie un par un.

Serigne Modou Khadi Gnang le fils de Serigne Modou Fada Gnang qui fut celui que Serigne
Touba chargea de s’occupé de Mame More Khoréja quand il devait allé au Djolof. Donc ce
Serigne Modou Khadi Gnang vint au moment ou Cheikh Moussa n’avais plus de Guide
religieux. Cheikh Moussa lui dit, oh mon ami je te fait parvenir mes reproches.

Quel reproche lui dit-il ?

Cheikh Moussa Lui dit : la connaissance que Serigne Touba donnait, je ne vous voi plus vous
qui étais ses reprensentant en parlé.

Il lui dit ensuite :«il ya deux type de tawhid(unifié Dieu), Serigne Modou Khadi Gnang lui dit:
« non il n'y en a qu'une ». ils débatérent longtemps.

Cheikh Moussa avait toujours avec lui deux exemplaire du celebre ouvrage de Serigne
Touba : Masalikul Jinan. Il pris l'un et lui donna l'autre. Ils lirent jusqu'à arrivé au passage ou
Serigne Touba parlais du tawhid en disant :«sachez que le tawhid est de deux type : le
takalum(celle  ci vien de la langue) et le tawhid tanharuf (celle qui vien du coeur) » puis
Serigne Touba ajouta :« ne reni pas ce que je vien de dire ».

puis Serigne Modou Khadi Gnang lui repondi : tu as raison mais cette connaissance ne peut
pas etre en un autre que serigne Touba.

Cheikh Moussa lui dit : si cela cela se limité qu'a Lui, il le laurai pas ecris dans un livre, mais
tout ce qu'il écri est pour les serviteur.

Serigne Modou Khadi Gnang ne trouvant que repondre, lui dis : j'ai aussi des reproche a te
faire. Cheikh Moussa lui dit : sont tes reproches ?

Il lui dit dans une expression alégorique : tu es une veuve qui devrait chercher un epoux et
pourtant tu ne le fait pas.

Cheikh Moussa lui dit tu as raison, mais la cause de cela est que je n'ai vu personne a Touba
qui ne parle de cette connaissance donc nous avons discuté. Serigne Modou Khadi Gnang lui
dit si ce n'est pas Serigne Fallou et je ne sais pas qui ca peut etre. Alors Cheikh Moussa lui dit,
alors quand tu ira a Touba dit a Serigne Fallou que je me suis donné a lui, même s'il ne peut
m'augmenter en rien.

Par mainte reprise il a mandié pour Serigne Fallou en lui vouant son attachement à lui.

Et plutard quand il a commencé a avoir des disciples et qu'ils ont eux aussi mandié pour lui, il
dit : jai mandié pour Serigne Fallou, mais je n'ai jamais pensé qu'on le fera un jour pour moi.
On peut dire donc que Dieu la recompensé pour ce qu'il à fait pour Serigne Fallou.

Un jour un de la famille de Cheikh Moussa s'etait rendu a la mosqué de Touba pour y prié. Il
fut interpellé par Serigne Fallou qui lui dit : « connais tu un certain Moussa Cissé » il lui dit
oui il est de ma famille. Serigne Fallou lui dit, si tu retourne chez toi dit lui de venir
immédiatement, j'ai besoin de lui. Avant de sortir de la mosqué un homme lui dit:  « si tu
vois Moussa Cissé dit lui c'est la peine d'arreter ce qu'il fait pour venir car, le khalif est
soufrant, il se peut qu'il ne puisse pas le voir quand il viendra ».

alors l'homme raconta ce qui c'etait passé a Cheikh Moussa.

Ce dernier rassemble tout les vieux du village et leur demanda conseil sur cette affaire.
Presque tous lui dire ce n'est pas la peine d'y aller puisqu'il n'y a pas de chance que tu le vois.
Sauf un vieux qui se nome Modou Tenda Cissé, qui lui dit si j'etait a ta place j'irais meme si je
ne peut le voir, j'arriverai au moin a Touba. Cheikh Moussa lui dit c'est ton conseil que je vais
suivre. C'est pendant qu'il se préparait a y aller qu'on lui rapporte la nouvelle du rappel a
Dieu de Serigne Fallou (qu'Allah se complaise en lui).

Le matin quand je suis aller le saluer il me dit je savais bien que j'aurais aujourd'hui une
chose qui me fera mal, car hier Dieu ma montré des signes qui ne pouvais signifié que cela.

Serigne Modou Khadi Gnang lui dit il faudrai maintenant que vous amménagé un champs en
son nom.

Quand Cheikh Moussa fit le champ, il dit ce-ci n'est pas le mon champ, ni celui de Serigne
Fallou, mais c'est le champ de Serigne Touba, il est ouvert a tout ceux qui veule travailler
pour lui. C'est en réalité quand le champs eu donné ses fruits que Serigne Fallou fut appellé a
Dieu. Et c'est ainsi que

les biens de ce champs furent les premier que Serigne Abdoul Ahad reçu des disciples de
Serigne Touba. Et c'est pour cela qu'a chaque fois qu'on lui approté les biens de ce champs il
le mettait directement dans sa poche en disant que ce champ est mon ainé dans le travail
que l'on mene pour Serigne Touba. Et Abdoul Ahad lui en a montré sa reconnaissance.

Un jour il envoya des gens qui apportèrent a Cheikh Moussa des mets venu de Touba, et un
autre jour un boubou un cole et un chapeau avec ces mots : « quand tu les portera, tout ceux
qui te veront parmis ta communauté n'entrerons jamais en enfer ». donc on peut dire que
cela est le signe que Cheikh Moussa a acqui son agrément.

Un jour il rassembla beaucoup de bien,sa famille et ses disciples puis alla rendre visite a
Serigne Abdoul Ahat.
Une fois arrivé chez lui, il dit, me voici voici ma famille , voici mes disciples. Tous ce que j'ai
m'est venu par Serigne Touba, on a répondu a ton appel et nous voulons que tu nous
augmente.

Serigne Abdoul Ahat lui dit que ton coeur soit appaisé et que ceux qui sont avec toi aussi le
soi, puis il entra dans une chambre puis ramena un sac rempli de chaussure, de médicament,
de vetement et d'autre bien. Cheikh Moussa lui dit : je ne parle pas de ca.

Ensuite il lui dit je te demande l'autorisation de me rendre chez chaque membre de la famille
de Serigne Touba pour le visiter. Abdoul Ahat lui dit, je te l'autorise.

Serigne Saliou (qu'Allah augmente sa lumiere) quand il venait a Saloum s'installait chez
Cheikh Moussa. C'est grace a lui qu'il connais ce qu'il connais du Saloum. Cheikh Moussa
disait je connais tout les fils de Serigne Touba, mais je connais Serigne Saliou plus que les
autres.

Il appella les hommes a connaître le Seigneur sans se soucié de personne.

Il dit un jour a ses disciples : je ne vous demande pas de travailler pour moi, mais demander
moi ce que je vous doit. Et cela c'est ce qui doit pousser un disciple a suivre un Maitre. Mais
les gens aujourd'hui sont egaré en ce qui concerne ce domaine. Mais Cheikh Moussa de par
sa sagesse disait toujours  qu'il ya trois types de maitres : celui qui te dit : dit le ainsi, un
autre qui te dit : fait le ainsi, et le dernier qui te dit : comprend le ainsi. Celui qui te dit dit le
ainsi, est celui qui t'enseigne la langue, celui qui te dis fait le ainsi est celui qui t'enseigne un
metier et celui qui te dit comprend le ainsi est celui qui te fait connaître Dieu voilà le maitre
qui de nos jour est rare a trouver.

Il disait toute les voitures roule sauf la plus grande(celle qui mene a Dieu)

Il disait aussi que seul deux hommes au Sénégal le savent. El hadji Ibrahima Niass a Kaoulack,
il connait le probléme, il a les outils pour le réparer, mais il n'ose pas y toucher. Et lautre c'est
Ndiamé Cissé de Darou qui a vu la panne qui veux le réparer mais il n'a pas encore d'outil. Un
jour il disait dans une de ses priéres je demande a Dieu 12 hommes qui étudierons les livres
pour que je leur donne cette connaissance qu'il ayent réparer la panne. Un jour il se mis a
énuméré un par par ses disciples et dis, c'est bon, les outils que j'avais demander a Dieu, Il
me les a donné.

Un jour il nous a rassemblé et nous a dit je veut que vous sortiez et aller répendre cette
connaissance, si vous n'avez pas de transport, je vous le donnerai.

Il ne désirai que La ilaha ila Allah la répendre et la faire connaître des hommes.

Et cela lui a vallu beaucoup d'epreuve sa famille la quité, ses amis aussi, des disciples l'on
aussi quitté pour cela, mais il na jamais reculé ni douté. Car laisser ces gens lui etait meilleur
que de laisser ce qu'il vivait.

C'est ainsi qu'il vivait jusqu'à que Dieu lui redonne ce qu'il lui avait pris avec dautre chose
encore.
De par son courage il demander a ceux qui ont étudier le Coran la signification de certain
verset, puis quand ils repondaient. Lui qui n'avais pas beaucoup étudié hosait leur dire que
ce n'est pas la bonne explication.

Et a chaque fois donnait une explication encore meilleur que celle lui avait été proposé de
sorte qu'on ne pouvait que l'accepter.

Il dit j'ai séparer l'Islam au Charilla, car ils ne sont pas pareil.

L'Islam c'est La ilaha ila Allah, c'est le tawhid ilahiya (unifié Dieu), et personne ne pourra
unifié Dieu tant qu'il ne l'aura connut

Il dit je vous appel pas pour moi, ni pour ma famille, ni pour Serigne Touba... mais je vous
appel pour Le Seigneur de l'univers.

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