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Son, musique et Plantes

En arrosant ses plantes, Cleve Backster,


Backster, membre de la C.I.A et maniaque du détecteur de
mensonges découvre que ses philodendrons ressentent des émotions… Sa découverte fera le tour de
monde et bouleversera notre regard habituel sur le monde végétal. On ne peut plus offrir de fleurs
sans craindre de faire souffrir celles-ci.
celles ci. Par contre, en usant de douceur avec les carottes, on stimule
leur croissance.

Ça mérite bien un bon gros dossier sur la question, non ?


Alors allons-y !

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Protéodie, ou le rôle de la musique


dans les processus de vie
D’après les recherches du physicien Joël Sternheimer , docteur en
physique théorique et professeur à l’Université européenne de la
recherche.

Ses travaux ont débouché sur une étonnante découverte : une


mélodie spécifique peut stimuler ou inhiber la synthèse d’une
protéine au sein d’un organisme (il dépose en juin 1992 le brevet de d
son « procédé de régulation épigénétique de la synthèse protéique »).
Il met en évidence que des étapes essentielles de la vie des cellules végétales (croissance,
germination, floraison, mûrissement…) sont associées à des « mélodies moléculaires » (ou
protéodies)) aux fréquences électromagnétiques élevées, qu’il transpose alors dans le spectre
audible à l’oreille humaine. Il suffit de les rejouer pour favoriser les processus auxquelles elles sont
associées. Pour Jean-Marie
Marie Pelt, Président de l’Institut européen
eur d’écologie, « par ces recherches
originales à la charnière de la biologie moléculaire et de la physique quantique, Joël Sternheimer
nous donne peut-êtreêtre l’une des clefs des effets de la musique sur les plantes ».

La validité de son travail dans ce domaine


domaine a été reconnue par un jugement de la chambre de recours
de l’Office Européen des brevets en date du 8 mars 2004.

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Avec les ondes d’échelles, Joël Sternheimer montre qu’il est


possible de guérir d’une pathologie non pas en éliminant le
virus, mais en dialoguant musicalement avec lui (Nous sommes
très très très loin de Monsieur Pasteur !).

Si un patient trouve un sens à une mélodie, s’il la trouve


logique, belle, si elle est en résonance avec lui, c’est
l’expression
on de son besoin pour cette protéodie à ce moment.
En ce sens, la « mesure » se traduit par une forme de dialogue
entre le sujet et « l’objet » qui est à l’origine de la pathologie.
L’amplitude de l’effet est d’ailleurs corrélée avec l’ampleur de la réaction subjective du patient. Par
contre, il se peut très bien que, plus tard, le patient n’ait plus besoin de cette protéodie ; il la
percevra alors très différemment, ce qui peut aller jusqu’à être incapable de la reconnaître
quelques temps plus tard.

Dans les notes des paroles de « j’ai trouvé l’eau si belle » de « À la claire fontaine » correspondent à
une protéine qui dénitrifie l’eau.

Les exemples de résultats positifs à l’écoute de protéodies sont nombreux. Ainsi le cas d’une
personne, quasiment aveugle et sourde :

Cette personne n’entendait plus que dans la bande des 8 kHz, là où nous entendons qu’un sifflement.
Elle était également aveugle, ne voyait plus que les ombres. Avec l’aide d’un acousticien, elle a
écouté la transposition de deux protéodies : celle de l’endorphine et celle du cytochrome dans la
bande des 8 kHz. À l’écoute de la protéodie d’endorphine, qui favorise normalement
l’endormissement, elle a eu des nausées ; par contre à l’écoute de la protéodie du cytochrome, elle
s’est écriée : « Mais… je vois… je vois du bleu ! »
Effectivement, il y avait des volets bleus devant elle. Elle avait retrouvé un début de vision.

Des résultats ont également été obtenus dans les cas du cancer. Ici encore, on constate que c’est
l’organisme qui trouve sa propre stratégie. En effet, suite à l’écoute de protéodies, plusieurs effets
ont été observés, qui ont été mis en évidence par des analyses cytologiques. « Dans les meilleurs
cas, rapporte Sternheimer, il y a réversion des cellules tumorales vers la normale : ce qui signifie
qu’il ne faut pas forcément les détruire. Dans d’autres cas, les défenses immunitaires se sont
réveillées. Mais dans tous les cas, c’est l’organisme qui fait le choix : pas le médecin « . Médecin
auquel il peut toutefois arriver d’intervenir d’une manière pour le moins inattendues : « Parfois, il
arrive qu’en présence de la personne qui souffre, la mélodie vienne d’elle-même, c’est d’ailleurs ce
processus qui est à l’œuvre dans les chants destinés à provoquer la guérison dans les traditions
chamaniques » (1).

En ce qui concerne la démocratisation du procédé, les Japonais ont été les premiers à franchir le
pas d’exploiter ce processus dans une dimension thérapeutique. Après une étude pilote au
Department of Medical Science de la St Marianna University de Kawasaki au Japon, de 2000 à 2004,
une consultation a été ouverte au public en janvier 2005 à la Joshi-Idai université de Tokyo. On y
étudie la corrélation entre le goût prononcé des malades pour certains passages de certaines
chansons, et les molécules protidiques leur correspondant, avec d’intéressants résultats.

(1) : Voir le livre de Mircea Eliade : Le chamanisme et les techniques archaïques de l’extase. Dans le
chamanisme, la manifestation du Sacré peut se trouver dans une pierre, ou dans un arbre. Voir aussi
la figure du koilon à la page Temps.

(Source : NEXUS n° 48 – janvier 2007)

http://contre-la-pensee-unique.org/blog/2009/09/05/musique-plantes-son/

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