Vous êtes sur la page 1sur 9

Dénombrement

_____________

I Situation fondamentale

a) Le schéma suivant présente une suite de n cases :

1ère case 2ème case nième case

Dans la première case, on veut placer un objet mathématique a1, dans la deuxième case un
objet a2, … dans la nième case un objet an avec :
p1 possibilités de choix pour a1
p2 possibilités de choix pour a2

pn possibilités de choix pour an

Combien y a-t-il de résultats possibles ?

Réponse : Il s’agit d’un cas multiplicatif :


Le nombre de résultats possibles différents est p1×p2×…×pn.

b) La suite des n objets a1 a2 an est donnée par l’écriture (a1, a2, …,an). D’après le
paragraphe précédent, on obtient le théorème fondamental suivant :

On considère toutes les suites de n objets (a1, a2, …, an) que l’on peut former en ayant :
p1 possibilités de choix pour a1
p2 possibilités de choix pour a2

pn possibilités de choix pour an

Alors le produit p1×p2×…×pn donne le nombre de ces suites distinctes que l’on peut obtenir.

c) Suite et ensemble

La notation { a1, a2, …, an } ne désigne pas une suite de n objets, mais cette notation
{ a1, a2, …, an } désigne l’ensemble dont tous les éléments sont a1, a2, …, an ; l’ordre dans
lequel on écrit ces éléments n’intervient pas pour définir l’ensemble.

Ainsi {1, 2, 3}= {3, 2,1} mais (1, 2, 3)≠(3, 2,1).


II Application du théorème fondamental

On se donne un ensemble Ω de n éléments, avec n entier naturel non nul.

1 Suites de p éléments de Ω

Avec p entier naturel :


Pour former une suite (a1, a2,…, ap) de p éléments de Ω, on a n possibilités de choix pour a1
dans Ω, on a n possibilités de choix pour a2 dans Ω,…, on a n possibilités de choix pour ap
dans Ω. Cela justifie le résultat suivant :

Le nombre de suites (a1, a2,…, ap) de p éléments de Ω est donnée par le produit n× n…× n où
on a écrit n, p fois. Ce nombre est donc égal à np.

Exemple : Le nombre de triplets (suite de 3 éléments) de l’ensemble {1, 2, 3, 4} est 43=64.

2 Arrangements

Soit p un entier vérifiant 1≤ p ≤ n :

Pour former une suite (a1, a2,…, ap) de p éléments de Ω, distincts 2 à 2,


• on a n possibilités de choix pour a1 parmi les n éléments de Ω
• une fois a1 pris dans Ω, on a n–1 possibilités de choix pour a2 parmi les n–1 éléments
restant de Ω qui sont distincts de a1
• une fois les 2 éléments distincts a1, a2 pris dans Ω, on a n–2 possibilités de choix pour
a3 parmi les n–2 éléments restants de Ω qui sont distincts de a1, a2

• une fois les p–1 éléments distincts 2 à 2, a1, a2,…ap–1 pris dans Ω, on a n–(p–1)
possibilités de choix pour ap parmi les n–(p–1)=n–p+1 éléments restant de Ω qui sont
distincts de a1, a2, … ,ap–1

Le nombre de suites de p éléments de Ω, distincts 2 à 2, est donc donné par le produit des p
entiers n×(n–1)×(n–2)×…×(n–[p–1]) = n(n–1)(n–2)…(n–p+1).

On obtient ainsi la définition et le théorème suivant :

Un arrangement d’ordre p de Ω est par définition une suite de p éléments de Ω, distincts deux
à deux.
Le nombre d’arrangements d’ordre p, des n éléments de Ω est égale au produit des p entiers
compris entre n et n–p+1 ; on note Anp pour ce nombre.
On a l’égalité : Anp = n(n–1)(n–2)…(n–p+1) .

Exemple Les arrangements d’ordre 3 de {1 ;2 ;3 ;4} sont au nombre de A43 = 4×3×2=24.


3 Permutations

 Toute suite de n éléments, constituée par tous les n éléments de Ω, est automatiquement un
arrangement d’ordre n de Ω.
Réciproquement un arrangement d’ordre n de Ω est une suite de n éléments distincts 2 à 2 de
Ω : Elle est constituée de tous les n éléments de Ω.

 Dans le cas particulier du paragraphe précédent où p=n, on obtient la définition et le


théorème suivant :

Les permutations de Ω sont toutes les suites de n éléments, constituées par tous les éléments
de Ω ; les permutations de Ω sont aussi tous les arrangements d’ordre n de Ω.

Le nombre de permutations de Ω est noté n! : n!= Ann = n×(n–1)×(n–2)…×2×1.


n! est le produit des n entiers compris entre 1 et n.

Exemple Le nombre de permutation de l’ensemble {1 ; 2 ; 3 ; 4 }est 4 ! = 4×3×2×1=24.

4 Égalités classiques

a) Par convention de notation : 0 ! =1 et sans problème (n+1) ! = n !×(n+1) pour tout entier
naturel n.

b) p et n étant des entiers vérifiant 1≤ p≤ n ,


∗ Lorsque p≠ n : n ! = n(n–1)(n–2)…(n–p+1)×(n–p)(n–p–1)…(2)(1) ce qui donne :
n ! = Anp ×(n–p) !
∗ Lorsque p=n : n ! = Ann = Ann ×0 ! d’où n ! = Anp ×(n–p) !

n!
Finalement avec p et n entiers naturels vérifiant 1≤ p≤ n, on a : Anp = .
(n − p )!
4 Exemples de dénombrements

1°) On a 10 livres. Évaluer le nombre de façons de ranger 4 de ces 10 livres sur une étagère.
________________________________________
Résolution : Ranger 4 des 10 livres sur l’étagère revient à se donner (l1, l2, l3, l4) un
arrangement d’ordre 4 dans l’ensemble des 10 livres [pour placer ces quatre livres sur
l’étagère dans l’ordre suivant : On pose en premier l1, en second l2, en troisième l3, en
quatrième l4].
Le nombre cherché est donc : A104 =10×9×8×7=5040 .

2°) a) Évaluer le nombre de tiercés dans l’ordre dans une course de 15 chevaux.
b) Si l’on considère que seuls 5 chevaux peuvent être placés, évaluer le nombre de tiercés
que l’on peut retenir.
__________________________________________
Résolution : a) On considère qu’un tiercé est un arrangement d’ordre 3 parmi les 15 chevaux :
Le nombre de tiercés est donc : A153 =15×14×13= 2 730 .
b) On considère qu’un tiercé que l’on peut retenir est un arrangement d’ordre 3 parmi les 5
chevaux pouvant être placés: Le nombre de ces tiercés est donc : A53 =5×4×3= 60 .

A53 6
On remarque que la proportion de tiercés que l’on peut retenir 3
= ≈0,022 est très
A15 273
5 1
petite pas rapport à la proportion de chevaux retenus = ≈ 0,33.
15 3

3°) Évaluer le nombre de façons de répartir 6 postes de travail entre 6 ouvriers.


_________________________________
Résolutions : On numérote les postes de travail de 1 à 6, répartir les 6 postes de travail entre
les 6 ouvriers revient à se donner une permutation des 6 ouvriers (o1, o2, o3, o4, o5, o6) pour
indiquer que l’ouvrier oi s’occupe du poste de travail n°i pour 1≤ i≤ 6.
Le nombre cherché est le nombre de permutations des 6 ouvriers, il est égal à :
6 ! = 6×5×4×3×2×1= 720 .
III Combinaisons

1. Définition
On se donne un ensemble Ω de n éléments ( avec n dans ).

Avec p dans , une combinaison d’ordre p de Ω est une partie de Ω à p éléments.

Remarques :
∗ ∅, l’ensemble vide, est la seule combinaison d’ordre 0 de Ω.

∗ Avec p dans  tel que 1≤ p≤ n :


Toute combinaison d’ordre p de Ω s’écrit {α1, α2, …, αp}où α1, α2, …, αp sont p éléments
distincts de Ω, l'ordre dans lequel sont donnés sont ces éléments n’intervient pas pour définir
cette combinaison.
Cette combinaison d’ordre p de Ω s'obtient en écrivant (α1, α2, …, αp), une des Anp suites de
p éléments distincts 2 à 2 de Ω, on remplace ensuite les parenthèses par des accolades.
Il ne peut donc y avoir plus de Anp combinaisons d’ordre p de Ω.

Cas où p=n : Ω est la seule combinaison d’ordre n de Ω.


Cas où p=1 : Soit Ω={α1, α2, …, αp} alors {α1}, {α2}, …{αn}sont toutes les combinaisons
d’ordre 1 de Ω.
Il y a exactement n combinaisons d’ordre 1 de Ω.
∗ Si n< p, il n’y a pas de combinaison d’ordre p de Ω.

2. Dénombrement des combinaisons d’ordre p (avec p dans ) d’un ensemble Ω à n éléments.

∗ On se place dans le cas où 1≤ p ≤ n :


Soit N le nombre de combinaisons d’ordre p de Ω : 1≤ N ≤ Anp . Soit X1, X2, …, XN les N
combinaisons de Ω, numérotées de 1 à N.

Soit un tableau à N lignes et p ! colonnes que l’on rempli de la manière suivante :


∗ Dans la ligne n° i du tableau on écrit toutes les p ! arrangements de p éléments de Ω, qui ne
comportent que les p éléments de Xi ( cela revient à écrire toutes les permutations de Xi).
Les arrangements écrits sur cette ligne sont bien distincts 2 à 2.
La ligne n° i du tableau est ainsi attribuée à la combinaison d’ordre p de Ω, Xi.
∗ 2 arrangements qui figurent ainsi sur 2 lignes différentes ne sont pas composés des mêmes
p éléments et sont donc distincts.
∗ Tout arrangement d’ordre p de Ω, (a1, a2, …, ap), est forcément écrit dans la ligne du
tableau attribuée à la combinaison d’ordre p de Ω, {a1, a2, …, ap}.

On ainsi écrit dans ce tableau, une seule fois, tous les arrangements d’ordre p de Ω qui sont
au nombre de Anp . Le tableau est ainsi rempli, il a N lignes et p ! colonnes.
Anp
On a alors l’égalité Anp =N×p! soit : N= est le nombre de combinaisons d’ordre p des n
p!
éléments de Ω.

3. Notation C np

n 
Avec p et n entiers naturels, la notation C np ou   désignent le nombre de combinaisons
 p
d’ordre p dans un ensemble Ω à n éléments.

D’après les paragraphes précédents : 1= C n0 = C nn et n= C n1 .


Si n< p, 0= C np .
Anp n (n − 1)(n − 2)...(n − p + 1)
Si 1≤ p ≤ n, C np = = .
p! p ( p − 1) ( p − 2)...(2)(1)

4. Formules importantes et triangle de Pascal


∗ Pour p et n entiers naturels tels que 0≤ p ≤ n :
n!
C np = et C np = C nn− p
p !(n − p )!
C np + C np +1 = C np++11

∗ Le triangle de Pascal est un tableau donnant le coefficient C np à la ligne n° n et à la


colonne n° p. Il se construit de la manière suivante :
 Avec les égalités 1= C 00 et 0= C 0p pour 0< p, la ligne n° 0 est remplie.
 Une fois la ligne n° n remplie,
C n0+1 = 1 est le 1er élément de la ligne n° n+1 ; C np++11 le (p+2)ème élément de la ligne n°
n+1 est donnée par l’addition des nombres C np et C np +1 se trouvant juste plus haut dans
la ligne n° n :

0 1 2 …. p p+1 …

0
1
.
.
.
n 1 C np C np +1
n+1 1 C np++11 où C np++11 = C np + C np +1
Triangle de Pascal

Le tableau suivant donne le coefficient Cnk à la ligne numéro n et à la colonne numéro p.

p 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
n
0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
1 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
2 1 2 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
3 1 3 3 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
4 1 4 6 4 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
5 1 5 10 10 5 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
6 1 6 15 20 15 6 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
7 1 7 21 35 35 21 7 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
8 1 8 28 56 70 56 28 8 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0
9 1 9 36 84 126 126 84 36 9 1 0 0 0 0 0 0 0 0
10 1 10 45 120 210 252 210 120 45 10 1 0 0 0 0 0 0 0
11 1 11 55 165 330 462 462 330 165 55 11 1 0 0 0 0 0 0
12 1 12 66 220 495 792 924 792 495 220 66 12 1 0 0 0 0 0
13 1 13 78 286 715 1287 1716 1716 1287 715 286 78 13 1 0 0 0 0
14 1 14 91 364 1001 2002 3003 3432 3003 2002 1001 364 91 14 1 0 0 0
15 1 15 105 455 1365 3003 5005 6435 6435 5005 3003 1365 455 105 15 1 0 0
16 1 16 120 560 1820 4368 8008 11440 12870 11440 8008 4368 1820 560 120 16 1 0
17 1 17 136 680 2380 6188 12376 19448 24310 24310 19448 12376 6188 2380 680 136 17 1

On y lit par exemple que : C134 =715 .

Sachant que la formule du binôme s’écrit : (x+y)n= C n0 x n + C n1 x n −1 y 1 + ... + C ni x n −i y i + ... + C nn−1 x1 y n −1 + C nn y n (avec n entier naturel) on a,
d’après le tableau, par exemple : (x+y)6= x6 + 6x5y + 15x4y2 + 20x3y3 + 15x2y4 + 6xy5 + y6.
IV Problèmes

① Dans un ensemble de 20 appareils, 5 sont défectueux. On réalise un tirage en y prélevant


au hasard, simultanément 3 appareils.
1. Combien peut on réaliser de tirages différents de 3 appareils?
2. Combien de tirages ne comporteront aucun appareil défectueux ?
3. Combien de tirages comporteront au moins un appareil défectueux ?
4. Combien de tirages comporteront exactement un appareil défectueux ?
5. Combien de tirages comporteront au moins deux appareils défectueux ?
______________________________________________
1. Les tirages sont les combinaisons d’ordre 3 de l’ensemble de 20 appareils ; le nombre
3 20 × 19 × 18
des tirages est donc C 20 = = 20×19×3=1140.
3× 2
2. Les tirages ne comportant aucun appareil défectueux sont les combinaisons d’ordre 3
parmi les 15 appareils non défectueux ; le nombre de ces tirages est donc
15 × 14 × 13
C153 = = 5×7×13=455.
3× 2
3
3. Soit T l’ensemble des C 20 =1140 tirages et T0 l’ensemble des C153 =455 tirages ne
comportant aucun appareil défectueux.
L’ensemble U des tirages comportant au moins un appareil défectueux est donné par U=T\T0 :
U est l’ensemble obtenu lorsqu’on retire de l’ensemble des 1140 tirages de T les 455 tirages
de T0. Le nombre des éléments de U est ainsi 1140–455=685.

T=U ∪T0
T
T0
U∩T0=∅

4. Se donner un tirage t comportant exactement un appareil défectueux revient à remplir la


suite de 2 cases de la manière suivante
- dans la première case on place a un des 5 appareils défectueux,
- dans la deuxième case on place {b, c} une des C152 combinaisons d’ordre 2 parmi les 15
appareils non défectueux.
Le tirage t est alors donné par l’écriture t={a, b, c}.
___________________________
Le nombre de tirages t comportant exactement un appareil défectueux est donné par la
15 × 14
multiplication 5× C152 où 5× C152 =5× =5×7×15=525.
2
525 est le nombre d’éléments de T1, l’ensemble des tirages comportant exactement 1 appareil
défectueux.
5. U l’ensemble des tirages comportant au moins un appareil défectueux contient T1,
l’ensemble des tirages comportant exactement 1 appareil défectueux. On retire des 685
éléments de U les 525 éléments de T1 pour obtenir U\T1 (l’ensemble des éléments de U ne se
trouvant pas dans T1) qui est alors l’ensemble des tirages comportant au moins 2 appareils
défectueux. Le nombre de ces tirages est donc : 685–525= 160 .
② Exemple du loto
Au loto, on remplit un bulletin en notant 7 numéros (nombres entiers distincts) compris entre
1 et 49, l’ordre dans lequel on choisit ces numéros n’intervient pas.
Ce n’est qu’ensuite que l’on prend connaissance d’ une liste-type L qui comporte 6 numéros
distincts compris entre 1 et 49 ; on est gagnant si au moins 3 numéros du bulletin figurent
dans L.
1. Déterminer le nombre de bulletins possibles.
2. Déterminer le nombre de bulletins comportant les six numéros de la liste-type L.
3. Déterminer le nombre de bulletins possibles comportant exactement 3 numéros de L.
4. Déterminer le nombre de bulletins possibles comportant exactement 4 numéros de L.
5. Déterminer le nombre de bulletins possibles comportant exactement 5 numéros de L.

______________

L est une combinaison donnée d’ordre 6 parmi les 49 premiers entiers naturels non nuls, L est
inconnue lorsqu’on remplit le bulletin.

1. Un bulletin est un ensemble de 7 éléments parmi les 49 premiers entiers naturels non nuls :
C’est une combinaison d’ordre 7 parmi les 49 premiers entiers naturels non nuls.
7
Le nombre de bulletins possibles est donc C 49 = 85 900 584 .

2. Se donner un bulletin comportant les 6 numéros de la liste L ne revient plus qu’à se donner
un numéro parmi les 43 autres numéros possibles.
Le nombre de bulletins comportant les six numéros de la liste L est donc 43.

3. Se donner un bulletin B ayant exactement 3 numéros de la liste L revient à remplir la suite


de 2 cases de la manière suivante :
ère
- dans la 1 case on place {α, β, γ} une des C 63 combinaisons d’ordre 3 des 6 éléments de L
- dans la 2ème case on place { a, b, c, d} une des C 43
4
combinaisons d’ordre 4 parmi les 43
nombres de {1, 2, 3, …, 48, 49}\L.
Il s’agit d’écrire B= {α, β, γ, a, b, c, d}.
_______________________________________
Le nombre de bulletins ayant exactement 3 numéros de la liste L est ainsi donné par :
C 63 × C 43
4
= 2 468 200 .

4. Comme à la question 3, on montre que :


Le nombre de bulletins ayant exactement 4 numéros de la liste L est ainsi donné par :
C 64 × C 43
3
= 18 5115 .
.
5. Comme à la question 3, on montre que :
Le nombre de bulletins ayant exactement 5 numéros de la liste L est ainsi donné par :
C 65 × C 43
2
= 5 418 .

Vous aimerez peut-être aussi