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Généralités
#— #—
#— #— d A d A #— #— #—
• ∃! Ω1/0 tq. ∀ A = + Ω1/0 ∧ A ( Ω1/0 : vecteur vitesse de rotation de R1 / R0 )
dt |R0 dt |R1
#— #— #— #—
− Propriétés : Ω1/0 = − Ω0/1 = Ω1/2 + Ω2/0
n n
n rotations d’angle θi (orienté de Bi−1 vers Bi ) #— X #— X . #—
• Si : B0 −−−−−−#—−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−−→ Bn alors Ωn/0 = Ωi/i−1 = θi ki
et d’axe ki (vecteur de base commun à Bi−1 et Bi ) i=1 i=1
#— #—
#— #— #— #— #— A ∧ B #—
• Si la solution X de A ∧ X = B existe : X = − #— + λA ∀λ
k A k2
Cinématique
• Vitesse absolue de M /R0 :
# —
#— d Q0 M
V (M /0) = ∀ Q0 ∈ R0
dt |R0
• Vitesse d’entraînement en M de 1 /R0 :
#— #— # — #—
V (M ∈ 1/0) = V (Q ∈ 1/0) + M Q ∧ Ω1/0 ∀Q
− Propriétés :
#— #— #— #— #—
V (M ∈ 1/0) = − V (M ∈ 0/1) V (M ∈ 1/0) = V (M ∈ 1/i) + V (M ∈ i/0) ∀i
− Définition : à tout instant, le champ des vitesses des points de 1 en mouvement par rapport à R0 est un torseur,
appelé torseur distributeur des vitesses ou torseur cinématique :
#—
n o Ω1/0
V 1/0 =
V#—(M ∈ 1/0)
M
− Propriétés :
n o n o n o n o n o
V 1/0 =− V 0/1 V 1/0 = V 1/i + V i/0 ∀i
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− Propriété :
n o n o
1→0 =− 0→1 (principe des actions mutuelles)
#—
• Soit P un point de la surface de contact entre les solides 1 et 2, nP vecteur unitaire et normal au plan Π tangent en
P aux deux surfaces en contact. On appelle :
#— #— #— #—
− Vecteur vitesse de pivotement de 2/1 : Ω n2/1 = ( Ω2/1 . nP ) nP
#— #— #—
− Vecteur vitesse de roulement de 2/1 : Ω t2/1 = Ω2/1 − Ω n2/1
#— #—
− Vecteur vitesse de glissement en P de 2/1 : G (P ∈ 2/1) = V (P ∈ 2/1)
#— #— #—
G (P ∈ 2/1) ⊥ nP G (P ∈ 2/1) = 0 en cas de non-glissement
• Lois de Coulomb, frottement sec
– si il y a non-glissement ou adhérence au point P de la surface de contact 2/1 :
#— #— #—
Norme : k fPt (1 → 2) k ≤ f0 k fPn (1 → 2) k fP (1 → 2) est « à l’intérieur » du cône d’adhérence
– si il y a glissement au point P de la surface de contact 2/1 :
#— #— #—
Direction : fPt (1 → 2) ∧ V (P ∈ 2/1) = 0
#— #—
Sens : fPt (1 → 2) · V (P ∈ 2/1) < 0
#— #— #—
Norme : k fPt (1 → 2) k = f k fPn (1 → 2) k fP (1 → 2) est « sur » le cône de frottement
On distingue rarement en pratique le coefficient d’adhérence f0 du coefficient de frottement f .
# — # —
Z
m1 QG1 = QP dm
P ∈E1
#— #— #— i #— # — #— # —
h Z
u −→ J Q1 (1, u ) = IQ1 (1) u = Q1 P ∧ ( u ∧ Q1 P ) dm(P )
P ∈1
#— #—
• Moment d’inertie de 1 par rapport à un axe ∆ = (Q1 , i ) ( i unitaire) :
#— #— #—
I∆ = i . J Q1 (1, i )
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h i #— #— #—
• IQ1 (1) la matrice d’inertie de 1 au point Q1 exprimée dans une base B1 = (x1 , y1 , z1 ) :
B
h i A −F −E 1
IQ1 (1) = −F B −D
−E −D C Q
1
#— #— 6#— 6 #— 6 J#—Q (1, z#—1 )
J Q1 (1, x1 ) 1
J Q1 (1, y1 )
R
(y 2 + z 2 ) dm(P )
R
A= D= y z dm(P )
x P ∈1 P ∈1
# —
R
(x2 + z 2 ) dm(P )
R
B= E= x z dm(P )
avec, si Q1 P = y
P ∈1 P ∈1
B1 z
R
(x2 + y 2 ) dm(P )
R
C= F = x y dm(P )
P ∈1 P ∈1
– symétrie de révolution
∗
Axe de symétrie de révolution Simplifications La matrice reste inchangée dans
#— #—
(Q1 , x1 ) D = E = F = 0 et B = C (x1 , − , − )
#— #—
(Q1 , y1 ) D = E = F = 0 et A = C ( − , y1 , − )
#— #—
(Q1 , z1 ) D = E = F = 0 et A = B ( − , − , z1 )
∗
à ne jamais oublier dans les calculs
B1 b
1
a
m1 (b2 + c2 ) 0 0
h i 12
1
IG1 (S) = 0 m1 (a2 + c2 ) 0 c
G1
12
1 2 2
x1 y1
0 0 m1 (a + b )
12 G1
z1
B1
R2 h2 R
m1 ( 4 + 12 ) 0 0
2 2
R h
h i
IG1 (S) = h
0 m1 ( + ) 0 G1
4 12
2 y1
R x1
0 0 m1
2 G1
• Théorème de Huyghens :
h iB1 h iB1 h iB1
IM (1) = IG1 (1) + IM ({G1 ,m1 })
2 B1
h iB1 b + c2 −ab −ac # —
a
où IM ({G1 ,m1 }) = m1 −ab a2 + c2 −bc avec M G1 = b
−ac −bc a + b2 M
2
B1 c
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#— h i #— # — #—
En un point fixe Q1 de 1 : σ (Q1 , 1/0) = IQ1 (1) Ω1/0 + Q1 G1 ∧ m1 V (Q1 /0)
#— h i #—
Au centre d’inertie G1 de 1 : σ (G1 , 1/0) = IG1 (1) Ω1/0
#— h i #—
En un point fixe Q01 de 0 et 1 : σ (Q01 , 1/0) = IQ01 (1) Ω1/0
#—
#— d σ (M, 1/0) #— #—
δ (M, 1/0) =
dt |R0 + V (M /0) ∧ m1 V (G1 /0)
h i #—
#— d IQ1 (1) Ω1/0 # — #—
En un point fixe Q1 de 1 : δ (Q1 , 1/0) = | + Q1 G1 ∧ m1 Γ (Q1 /0)
dt R0
i #—
#—
h
#— d σ (G1 , 1/0) d IG1 (1) Ω1/0
Au centre d’inertie G1 de 1 : δ (G1 , 1/0) = |R0 = |
dt h dt i #— R0
#— d IQ01 (1) Ω1/0
#— d σ (Q01 , 1/0)
En un point fixe Q01 de 0 et 1 : δ (Q01 , 1/0) = |R0 = |R0
dt dt
• Torseur dynamique en M de 1 /R0 :
# —
n o RD (1/0)
D =
1/0
#—
δ (M, 1/0) M
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Énergie cinétique
• Énergie cinétique d’un solide 1 dans son mouvement par rapport à un repère R0 :
1n o n o
T (1/0) = C 1/0 × V 1/0
2
1 h #— i2 1 #— h i #—
G1 centre d’inertie de 1 : T (1/0) = m1 V (G1 /0) + Ω1/0 · IG1 (1) Ω1/0
2 2
#—
| {z }
1 #— h i #— σ (G1 , 1/0)
Q01 point fixe de 0 et 1 : T (1/0) = Ω · IQ (1) Ω
2 1/0 | 01 {z 1/0}
#—
σ (Q01 , 1/0)
• Énergie cinétique d’un ensemble S de solides en mouvement par rapport à un repère R0 :
n
[ n
X
Si : S= Si T (S /0) = T (i/0)
i=1 i=1
Puissance
• Puissance développée par les actions de 1 sur 2, dans le mouvement de 2 par rapport à un repère R3 :
n o n o
P(1 → 2/3) = 1→2 × V 2/3
• Relation : n o n o
P(1 → 2/3) − P(1 → 2/4) = 1→2 × V 4/3
• Principe fondamental de la dynamique appliqué au solide 1 dans son mouvement par rapport à un référentiel
galiléen Rg : n o n o
1 → 1 = D 1/g
• Théorème de l’énergie cinétique appliqué à 1 dans son mouvement par rapport à un référentiel galiléen Rg :
d T (1/g)
P(1 → 1/g) =
dt
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• Théorème de l’énergie cinétique appliqué à un ensemble S de solides dans son mouvement par rapport à un
référentiel galiléen Rg :
n X
i−1 n
X d T (S /g) [
P(S → S /g) + P(j ↔ i) = avec S= Si
| {z }
i=1 j=1
dt i=1
puissance galiléenne | {z }
des efforts extérieurs à S puissance des inter-efforts
entre les solides de S
Torseurs
• Tout champs vectoriel équiprojectif est un torseur qui se note au point A :
#— B
n o R Rx
MA x
T = = Ry MA y
# —
MA A Rz MA z
A
#— # —
• R est la résultante du torseur, MA son moment en A. Ils constituent les éléments de réduction du torseur en A.
#—
R est unique et ∀ A, B :
# — # — # — #— # — # — # — # —
MB = MA + BA ∧ R et AB · MA = AB · MB
• L’automoment d’un torseur est le produit scalaire de ses éléments de réduction :
#— # — #— # —
∀ A, B : R · MA = R · MB
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