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CONTROLE DE PSYCHOLOGIE SOCIALE

NOM
PRÉNOM
GROUPE

Une seule réponse juste par question. Réponse juste : 1 point ; réponse fausse : -0,5 ; pas de réponse ou plusieurs réponse : 0.
Vous devez entourez les lettres des réponses correspondantes.

QUESTION 1 : Pour C. Riveline, la complexité d’abondance :

a) Renvoie à l’excès d’information nécessaire à la prise de décision.


b) Renvoie aux intérêts et aux logiques contradictoires et non hiérarchisées qui résident au sein d’un même
problème.
c) Renvoie aux intérêts et logiques contradictoires et hiérarchisées qui résident au sein d’un même problème.
d) Renvoie à l’excès d’informations que l’on peut aisément hiérarchiser, même si elles sont enchevêtrées au sein
d’un même problème.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 2 : Le paradoxe de Condorcet (ou de Night) démontre que :

a) La règle de la majorité simple reflète l’opinion générale.


b) L’opinion générale se réduit à la règle de la majorité.
c) L’opinion générale se réduit à la règle de la majorité simple.
d) L’opinion générale et la règle de la majorité ne sont pas prises en compte dans le même système de
représentation de la valeur des acteurs.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 3 : Le paradoxe de Condorcet (ou de Night) démontre que :

a) Toute décision collective dans une organisation est nécessairement sous-optimale.


b) Une décision collective peut être sous-optimale.
c) Une décision collective est nécessairement optimale.
d) L’optimalité dans les décisions collectives nécessite des conditions qui ne sont pas nécessairement
réunies dans toutes les organisations.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 4 : en comparant la réaction de deux leaders au sein d’un groupe, l’un étant nommé
arbitrairement, et l’autre étant émergent, on constate que le leader nommé arbitrairement a une attitude moins
autoritaire que le leader émergent. On peut déduire de ce constat :

a) Le manque d’affirmation de soi du leader nommé.


b) Le manque d’affirmation de soi du leader émergent.
c) Que c’est entre autres raisons, à cause du manque de puissance sociale (absence de règlements
…) que le leader nommé arbitrairement est contraint de négocier son autorité avec le groupe.
d) Que c’est uniquement à cause du manque de légitimité qu’entraîne sa nomination arbitraire au yeux
du groupe que le leader nommé est contraint de négocier son autorité avec le groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.

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QUESTION 5 : La méthode du T-Group est destinée à :

a) Accroître la sensibilité individuelle des participants à leur propre motivation mais pas à leur propre
comportement au sein d’un groupe.
b) Accroître la sensibilité individuelle des participants mais pas à leur propre comportement au sein d’un
groupe.
c) Faire prendre conscience aux participants à la façon dont les autres mesurent leur propre
comportement et en sont influencés, mais pas à leur propre comportement au sein d’un groupe.
d) Mieux faire comprendre aux participants les facteurs qui facilitent ou contraire qui gênent l’efficacité
et la productivité des groupes, mais pas à leur propre comportement au sein d’un groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 6 : Dans la théorie des liaisons :

a) Le manager, en tant qu’agent de liaison, est membre d’au moins deux groupes, et son
comportement reflète de ce fait les normes, les valeurs et les objectifs des deux groupes.
b) Le manager, en tant qu’agent de liaison, n’est membre que d’un groupe et son comportement
reflète de ce fait les normes, les valeurs et les objectifs de ce groupe.
c) Le manager défend ses propres intérêts et il fait tout pour faire partie d’un seul groupe.
d) Le manager ne défend que les intérêts des membres de son groupe et il fait partie d’un seul
groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 7 : Avant les recherches sur la " Hawthorne" :

a) L’encadrement avait reconnu l’existence des groupes sociaux distinct au sein de l’entreprise.
b) L’encadrement traitait généralement son personnel en tant qu’individus, en utilisant une
relation d’individu à individu.
c) L’encadrement avait reconnu l’existence des groupes sociaux distincts afin de comprendre les facteurs
qui augmentaient ou au contraire diminuaient la cohésion du groupe.
d) L’encadrement avait reconnu l’existence des groupes sociaux distincts afin de comprendre les facteurs
qui augmentaient ou au contraire diminuaient la cohésion et la productivité du groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 8 : pour trouver des régularités dans les critères de décision au sein d’une organisation, on peut :

a) Dégager au moins deux paramètres essentiels : les règles associées à la hiérarchies et celles
associées aux critères d’évaluation interne.
b) Dégager un seul paramètre essentiel : la hiérarchie.
c) Dégager un seul paramètre essentiel : les critères d’évaluation internes.
d) Dégager trois paramètres essentiels : les règles associées à la hiérarchies les règles associées aux
critères d’évaluation internes, et celles associées à la localisation des décisions dans les niveaux hiérarchiques.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 9 : selon Michel Crozier, la démarche de participation :

a) Est le sentiment d’appartenance à une communauté.


b) Est un avantage octroyé pour satisfaire à une mode ou pour faire plaisir aux salariés.
c) Est la volonté de partager les valeurs et les émotions d’un groupe particulier qui ne change rien aux relations
de pouvoir.
d) Est une interaction entre des gens libres et raisonnables mais qui ne peut déboucher sur le consensus que si
une autorité hiérarchique forte et légitime impose sa solution.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 10 : selon Michel Crozier, la participation et la négociation :

a) Accroissent la liberté et le sentiment de responsabilité des participants.


b) Engendrent la passivité, l’inertie et des réactions de mécontentements par frustrations.
c) Poussent les employés à chercher la protection, notamment dans les associations syndicales.

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d) Utilisent toutes les ressources humaines mais ne permet pas la mise en commun des idées.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 11 : pour Claude Riveline :

a) L’urgence est un phénomène peu étudié, et elle est toujours bénéfique pour l’organisation.
b) L’urgence est un phénomène peu étudié, qui comporte seulement une dimension manipulatoire.
c) On ne peut pas distinguer l’urgence provoquée (autofabriquée) de l’urgence subie, car elles sont toutes les
deux pathologiques.
d) L’urgence comporte une dimension pathologique et une dimension manipulatoire, et elle est toujours
provoquée (autofabriquée).
e) Toutes les réponse sont fausses.

QUESTION 12 : Un automobiliste se voit reprocher son imprudence et la transgression d’une règle du code
de la route. L’infraction lui est reprochée dans le premier cas (situation 1) par un motard de la gendarmerie et
dans le second cas (situation 2) par un quelconque passant.

a) Dans la situation 2 le sujet sera plus enclin à reconnaître sa responsabilité et à l’atténuer en invoquant des
circonstances atténuantes, plutôt que répondre de façon agressive.
b) Dans la situation 1 le sujet sera plus enclin à nier sa responsabilité de façon agressive.
c) Dans la situation 2 le sujet sera plus enclin à s’en prendre à celui qui lui fait le reproche tout en reconnaissant
entièrement sa propre responsabilité.
d) Toutes les réponses sont fausses.
e) Dans la situation 1 le sujet sera plutôt enclin à nier de façon catégorique sa responsabilité sans répondre de
façon agressive.

QUESTION 13 : pour M. Crozier et E.Friedberg, dans "L’acteur et le système, les contraintes de l’action
collective" :

a) Les individus, à l’intérieur des contraintes imposées par leur hiérarchie, développent des zones
d’incertitudes qui augmentent leurs marges de manœuvre face au pouvoir.
b) Le pouvoir au sein des organisations doit être vu non plus comme une relation mais comme un attribut.
c) La répartition du pouvoir au sein des organisations est étroitement dépendante de la façon qu'à la hiérarchie
de traiter la part résiduelle des décisions de groupe.
d) Les individus sont pris dans un système hiérarchique dont les contraintes les empêchent d'avoir une
quelconque marge de manœuvre face au pouvoir.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 14 : Un automobiliste se voit reprocher son imprudence et la transgression d’une règle du code
de la route. L’infraction lui est reprochée dans le premier cas (situation 1) par un quelconque passant et dans
le second cas (situation 2) par un motard de la gendarmerie.

a) Dans la situation 2 le sujet sera plus enclin à reconnaître sa responsabilité et à l’atténuer en


invoquant des circonstances atténuantes, plutôt que répondre de façon agressive.
b) Dans la situation 1 le sujet sera plus enclin à nier sa responsabilité de façon agressive.
c) Dans la situation 2 le sujet sera plus enclin à s’en prendre à celui qui lui fait le reproche tout en
reconnaissant entièrement sa propre responsabilité.
d) Toutes les réponses sont fausses.
e) Dans la situation 1 le sujet sera plutôt enclin à nier de façon catégorique sa responsabilité sans
répondre de façon agressive.

QUESTION 15 : Dans la" théorie des quatre niveaux" de Claude Riveline :

a) Les institutions est l'autre dénomination pour les normes culturelles. Cela désigne le permis, l'interdit,
ou l'obligatoire qui ne sont même pas écrits.
b) Le sacré est l'ensemble des comportements permis, interdits, ou obligatoires parce que c'est écrit
quelque part.
c) Tout paramètre de gestion est attaché a un des quatre niveaux.

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d) Tout paramètre de gestion est rattaché aux quatre niveaux à la fois.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 16 : Selon Erhard Friedberg :

a) Le gestionnaire est un acteur au sens plein du terme, c'est à dire jouant avec les règles, pesant
sur elles, pour conserver sa marge de manœuvre et son pouvoir.
b) Le comportement du gestionnaire est localement rationnel et optimise les critères de jugement qui
pèsent sur lui.
c) Le comportement du gestionnaire est localement irrationnel car il optimise les critères de jugement
qui pèsent sur lui, mais selon des lois dont l'effet combiné peut défier le bon sens.
d) Toutes les réponses sont fausses.
e) Le gestionnaire n'est pas un acteur ; il ne joue jamais avec les règles et suit celles-ci passivement.

QUESTION 17 : L'expérience de Stanley Milgram sur la soumission à l'autorité (une personne jouant le rôle
du maître est chargée de vérifier les connaissances d'une autre personne jouant le rôle de l'élève et lui envoie
des décharges électriques lorsque cette dernière répond mal ) démontre que :

a) Les gens ordinaires opposent une farouche résistance pour se soumettre à une autorité qui leur impose
d'infliger des souffrances à une personne qui ne leur a rien fait.
b) La douleur infligée n'est pas le reflet d'une personnalité sadique mais la conséquence de la
soumission à une autorité supérieure considéré comme compétente et légitime.
c) La douleur infligée est le reflet d'une personnalité sadique : la personne envoyant les décharges
électriques se soumet à l'autorité car elle y trouve un moyen de justifier le pouvoir obtenu en infligeant les
décharges.
d) Toutes les réponses sont fausses.
e) Lorsque l'individu se perçoit comme le responsable de ses propres actes, il a tendance a être encore
plus autoritaire et à prendre des décisions qui infligent encore plus de souffrance à une personne, même si elle
ne leur a rien fait.

QUESTION 18 : d'un point de vue cognitif, et lorsqu'ils attendaient une réussite, les explications que se
donnent les acteurs après leurs réussites ou leur échecs

a) Sont plutôt externes dans le cas d'un échec.


b) Sont plutôt internes dans le cas d'un échec.
c) Sont plutôt externes dans le cas d'une réussite.
d) Sont toujours externes dans le cas d'une réussite.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 19 : en comparant la réaction de deux leaders au sein d’un groupe, l’un étant nommé
arbitrairement, et l’autre étant émergent, on constate que le leader émergent a une attitude plus autoritaire que
le leader nommé arbitrairement. On peut déduire de ce constat :

a) Le manque d’affirmation de soi du leader nommé.


b) Le manque d’affirmation de soi du leader émergent.
c) Que c'est uniquement à cause du manque de puissance sociale (absence de règlements …) que le leader
nommé arbitrairement est contraint de négocier son autorité avec le groupe.
d) Que c’est entre autres raisons à cause du manque de légitimité qu’entraîne sa nomination arbitraire au
yeux du groupe que le leader nommé est contraint de négocier son autorité avec le groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.

QUESTION 20 : selon Likert, lorsqu'un manager est très écouté et a beaucoup d'influence au sein de sa
propre hiérarchie et de ses collègues, cela a pour conséquence :

a) D'augmenter son pouvoir sur ses propres subordonnés.


b) De diminuer son pouvoir sur ses propres subordonnés.
c) De renforcer le pouvoir des subordonnés du manager au sein de son groupe de travail.

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d) De diminuer le rôle de protection que le manager joue au sein de son propre groupe.
e) Toutes les réponse sont fausses.

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