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PRÉNOM
GROUPE
Une seule réponse juste par question. Réponse juste : 1 point ; réponse fausse : -0,5 ; pas de réponse ou plusieurs réponse : 0.
Vous devez entourez les lettres des réponses correspondantes.
QUESTION 4 : en comparant la réaction de deux leaders au sein d’un groupe, l’un étant nommé
arbitrairement, et l’autre étant émergent, on constate que le leader nommé arbitrairement a une attitude moins
autoritaire que le leader émergent. On peut déduire de ce constat :
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QUESTION 5 : La méthode du T-Group est destinée à :
a) Accroître la sensibilité individuelle des participants à leur propre motivation mais pas à leur propre
comportement au sein d’un groupe.
b) Accroître la sensibilité individuelle des participants mais pas à leur propre comportement au sein d’un
groupe.
c) Faire prendre conscience aux participants à la façon dont les autres mesurent leur propre
comportement et en sont influencés, mais pas à leur propre comportement au sein d’un groupe.
d) Mieux faire comprendre aux participants les facteurs qui facilitent ou contraire qui gênent l’efficacité
et la productivité des groupes, mais pas à leur propre comportement au sein d’un groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.
a) Le manager, en tant qu’agent de liaison, est membre d’au moins deux groupes, et son
comportement reflète de ce fait les normes, les valeurs et les objectifs des deux groupes.
b) Le manager, en tant qu’agent de liaison, n’est membre que d’un groupe et son comportement
reflète de ce fait les normes, les valeurs et les objectifs de ce groupe.
c) Le manager défend ses propres intérêts et il fait tout pour faire partie d’un seul groupe.
d) Le manager ne défend que les intérêts des membres de son groupe et il fait partie d’un seul
groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.
a) L’encadrement avait reconnu l’existence des groupes sociaux distinct au sein de l’entreprise.
b) L’encadrement traitait généralement son personnel en tant qu’individus, en utilisant une
relation d’individu à individu.
c) L’encadrement avait reconnu l’existence des groupes sociaux distincts afin de comprendre les facteurs
qui augmentaient ou au contraire diminuaient la cohésion du groupe.
d) L’encadrement avait reconnu l’existence des groupes sociaux distincts afin de comprendre les facteurs
qui augmentaient ou au contraire diminuaient la cohésion et la productivité du groupe.
e) Toutes les réponses sont fausses.
QUESTION 8 : pour trouver des régularités dans les critères de décision au sein d’une organisation, on peut :
a) Dégager au moins deux paramètres essentiels : les règles associées à la hiérarchies et celles
associées aux critères d’évaluation interne.
b) Dégager un seul paramètre essentiel : la hiérarchie.
c) Dégager un seul paramètre essentiel : les critères d’évaluation internes.
d) Dégager trois paramètres essentiels : les règles associées à la hiérarchies les règles associées aux
critères d’évaluation internes, et celles associées à la localisation des décisions dans les niveaux hiérarchiques.
e) Toutes les réponses sont fausses.
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d) Utilisent toutes les ressources humaines mais ne permet pas la mise en commun des idées.
e) Toutes les réponses sont fausses.
a) L’urgence est un phénomène peu étudié, et elle est toujours bénéfique pour l’organisation.
b) L’urgence est un phénomène peu étudié, qui comporte seulement une dimension manipulatoire.
c) On ne peut pas distinguer l’urgence provoquée (autofabriquée) de l’urgence subie, car elles sont toutes les
deux pathologiques.
d) L’urgence comporte une dimension pathologique et une dimension manipulatoire, et elle est toujours
provoquée (autofabriquée).
e) Toutes les réponse sont fausses.
QUESTION 12 : Un automobiliste se voit reprocher son imprudence et la transgression d’une règle du code
de la route. L’infraction lui est reprochée dans le premier cas (situation 1) par un motard de la gendarmerie et
dans le second cas (situation 2) par un quelconque passant.
a) Dans la situation 2 le sujet sera plus enclin à reconnaître sa responsabilité et à l’atténuer en invoquant des
circonstances atténuantes, plutôt que répondre de façon agressive.
b) Dans la situation 1 le sujet sera plus enclin à nier sa responsabilité de façon agressive.
c) Dans la situation 2 le sujet sera plus enclin à s’en prendre à celui qui lui fait le reproche tout en reconnaissant
entièrement sa propre responsabilité.
d) Toutes les réponses sont fausses.
e) Dans la situation 1 le sujet sera plutôt enclin à nier de façon catégorique sa responsabilité sans répondre de
façon agressive.
QUESTION 13 : pour M. Crozier et E.Friedberg, dans "L’acteur et le système, les contraintes de l’action
collective" :
a) Les individus, à l’intérieur des contraintes imposées par leur hiérarchie, développent des zones
d’incertitudes qui augmentent leurs marges de manœuvre face au pouvoir.
b) Le pouvoir au sein des organisations doit être vu non plus comme une relation mais comme un attribut.
c) La répartition du pouvoir au sein des organisations est étroitement dépendante de la façon qu'à la hiérarchie
de traiter la part résiduelle des décisions de groupe.
d) Les individus sont pris dans un système hiérarchique dont les contraintes les empêchent d'avoir une
quelconque marge de manœuvre face au pouvoir.
e) Toutes les réponses sont fausses.
QUESTION 14 : Un automobiliste se voit reprocher son imprudence et la transgression d’une règle du code
de la route. L’infraction lui est reprochée dans le premier cas (situation 1) par un quelconque passant et dans
le second cas (situation 2) par un motard de la gendarmerie.
a) Les institutions est l'autre dénomination pour les normes culturelles. Cela désigne le permis, l'interdit,
ou l'obligatoire qui ne sont même pas écrits.
b) Le sacré est l'ensemble des comportements permis, interdits, ou obligatoires parce que c'est écrit
quelque part.
c) Tout paramètre de gestion est attaché a un des quatre niveaux.
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d) Tout paramètre de gestion est rattaché aux quatre niveaux à la fois.
e) Toutes les réponses sont fausses.
a) Le gestionnaire est un acteur au sens plein du terme, c'est à dire jouant avec les règles, pesant
sur elles, pour conserver sa marge de manœuvre et son pouvoir.
b) Le comportement du gestionnaire est localement rationnel et optimise les critères de jugement qui
pèsent sur lui.
c) Le comportement du gestionnaire est localement irrationnel car il optimise les critères de jugement
qui pèsent sur lui, mais selon des lois dont l'effet combiné peut défier le bon sens.
d) Toutes les réponses sont fausses.
e) Le gestionnaire n'est pas un acteur ; il ne joue jamais avec les règles et suit celles-ci passivement.
QUESTION 17 : L'expérience de Stanley Milgram sur la soumission à l'autorité (une personne jouant le rôle
du maître est chargée de vérifier les connaissances d'une autre personne jouant le rôle de l'élève et lui envoie
des décharges électriques lorsque cette dernière répond mal ) démontre que :
a) Les gens ordinaires opposent une farouche résistance pour se soumettre à une autorité qui leur impose
d'infliger des souffrances à une personne qui ne leur a rien fait.
b) La douleur infligée n'est pas le reflet d'une personnalité sadique mais la conséquence de la
soumission à une autorité supérieure considéré comme compétente et légitime.
c) La douleur infligée est le reflet d'une personnalité sadique : la personne envoyant les décharges
électriques se soumet à l'autorité car elle y trouve un moyen de justifier le pouvoir obtenu en infligeant les
décharges.
d) Toutes les réponses sont fausses.
e) Lorsque l'individu se perçoit comme le responsable de ses propres actes, il a tendance a être encore
plus autoritaire et à prendre des décisions qui infligent encore plus de souffrance à une personne, même si elle
ne leur a rien fait.
QUESTION 18 : d'un point de vue cognitif, et lorsqu'ils attendaient une réussite, les explications que se
donnent les acteurs après leurs réussites ou leur échecs
QUESTION 19 : en comparant la réaction de deux leaders au sein d’un groupe, l’un étant nommé
arbitrairement, et l’autre étant émergent, on constate que le leader émergent a une attitude plus autoritaire que
le leader nommé arbitrairement. On peut déduire de ce constat :
QUESTION 20 : selon Likert, lorsqu'un manager est très écouté et a beaucoup d'influence au sein de sa
propre hiérarchie et de ses collègues, cela a pour conséquence :
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d) De diminuer le rôle de protection que le manager joue au sein de son propre groupe.
e) Toutes les réponse sont fausses.