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Juin 2008 2 à 15
Juin 2009 16 à 28
Juin 2010 29 à 42
Juin 2011 43 à 56
Juin 2012 56 à 74
Bac blanc 75 à 95
a- Calculer a1 .
b- Montrer, à l’aide d’une intégration par parties, que pour tout entier n 1 , an1 e n 1 an .
c- En déduire que a3 6 2e .
3) Soit A l’aire de la partie du plan limitée par la courbe C ' et les droites d’équations x 2 et x 0 .
e
a- Calculer f x dx .
1
b- En déduire A .
Exercice n°3
1) Soit dans l’équation E : 3x 8y 5 .
Montrer que les solutions de E sont les couples x, y tels que x 8k 1 et y 3k 1 avec k
n 3x 2
2) a) Soit n , x et y trois entiers tels que :
n 8y 7
Montrer que x, y est solution de E .
n 2 mod 3
b) On considère le système S où n est un entier . 2
n 7 mod8
Montrer que n est solution du système S si et seulement si n 23 mod 24 .
Exercice n°4
c b a
Exercice 2 :
1- a) f est une fonction continue et strictement croissante sur 1 ,e donc f réalise une bijection de 1 ,e sur
e e
l’intervalle I = 2, 2 .
b) La courbe représentative (C’) de f 1 est le symétrique de la courbe représentative (C) de f par rapport à la
première bissectrice (Δ :y = x ) dans le repère orthonormé .
Voir graphique :
e
2- a n (lnx) n dx
1
e e
a) a1= 1
lnx dx = xlnx-x 1 = 1
e
b) a n+1 = (lnx) n+1dx
1
On pose : u(x) = (lnx) n+1 alors u'(x) = (n+1) 1 (lnx) n et v'(x) = 1 alors v(x) = x .
x
n+1 en e
a n+1= x lnx - (n+1) lnx dx = e - (n+1) a n
1 1
c) a 3 = e - 3a 2 = e - 3(e-2a1) = 6 - 2e .
5
Exercice 3 :
n = 3x+2
2- a) alors 3x + 2 = 8y + 7 alors 3x - 8y = 5 alors x,y est solution de E
n = 8y+7
n 2 (mod 3) n = 3x + 2
b) S : alors ; x = 8k - 1 et n = 24k - 1
n 7 (mod 8) n = 8y + 7
n -1 (mod 24) signifie n 23 (mod 24) alors n = 8×3k + 23
n = 8×3k+ 23 = 3(8k+7) + 2 n 2 (mod3)
alors alors
n = 8(3k + 2) + 7 n 7 (mod8)
Exercice 4 :
1- Soit k le rapport de la similitude directe f et soit une mesure de son angle.
Donc f est une similitude directe de rapport 2 et d’angle dont une mesure est .
2- a) (OA)(OB) et (OB)(CD) alors (OA)(CD) et (OC) (AD) d’où O est l’orthocentre de ACD.
Supposons que (IJ) (CD) donc (IJ)(OB) alors (IJ) (OA) et on a (OJ)(JA) et OI=OA .
(OI)(IA) donc le quadrilatère OJAI est un carré (ce qui est absurde) d’où (IJ) est sécante à (CD) en
un point E.
(I’J’) = S(CD)( IJ) passe par E d’où (IJ) , (I’J’ ) et (CD) sont concourantes .
Exercice 5 :
-1 -1 -1
1- a) AB 0 AC -1 = AE 2 ; OE = OA + AE alors E(0,2,3) .
-1 1 1
b) V(ABCE) = 1 (AB AC).AE = 1 AE 2 = 1 .
6 6
1
2- a) AE 2 est un vecteur normal au plan (ABC) .
1
1 1 1
P : x – 2y – z + 5 = 0 ; n p 2 est un vecteur normal à P ; n p 2 et AE 2
1 1 1
sont colinéaires donc ( ABC ) et P sont parallèles .
b) 2KE + KC = 0 signifie OK = 2 OE + 1 OC donc K( 0 , 1 , 3 ) .
3 3
0 – 2 1 – 3 + 5 = 0 donc K( 0 , 1 , 3 ) P .
3- a) 2KE + KC = 0 signifie EK = 1 EC donc h est une homothétie de rapport .
3
b) h((ABC)) est le plan parallèle à (ABC) passant par h(C) = K donc h((ABC)) = P .
h(A) (AE) P , h(B) ) (BE) P ; h(A) = I et h(B) = J.
1 AB
h(E) = E IJ =
h(A) 3
= I 1
1 (AB
alors IK = AC alors (IJ IK).IE = AC).AE .
3 27
h(B) = J
h(C)= K IE = 1 AE
3
Donc VEIJK = 1 V(ABCE) = 1
27 27
b) Calculer A .
c) Calculer l’aire de la partie du plan limitée par les courbes C et C ' .
Exercice n°5
Pour tout entier naturel non nul n, on considère la fonction fn définie sur 0,1 par f n x e x x 2n 1
1) Etudier les variations de fn .
2) Montrer que pour tout entier naturel non nul n, l’équation f n x 0 admet une solution unique u n
et que u n 0,1 .
On définit ainsi sur
, une suite u n .
3) a) Soit n un entier naturel non nul et x un réel de l’intervalle 0,1 .
Comparer les réels f n 1 x et f n x .
b) Montrer que pour tout n
, f n u n 1 0 .
c) Montrer que la suite u n est croissante et en déduire qu’elle est convergente.
un
4) a) Montrer que pour tout n 1 , ln u n .
2n 1
b) Calculer la limite de la suite u n .
Exercice n°4
10
Exercice1 :
1 2 3
b c c
α3 5α 2 10α 8 0 α 3 5α 2 10α 8 0
2 signifie or ne vérifie pas ( E ) d’où = -2 .
α 2α 0 α 0 ou α 2
b) E : z + 2 z 2 + bz + c z3 + 5+i z 2 + 10 + 2i z + 8 signifie
signifie z3 + ( b + 2 ) z² + ( c + 2b ) z + 2c = z 3 + 5+i z 2 + 10 + 2i z + 8
Conclusion : ( z + 2 ) ( z² + ( 3 + i ) z + 4 ) = 0 signifie z = -2 ou z² + ( 3 + i ) z + 4 = 0 .
2 2
Δ = 3 + i - 16 = -8 + 6i = 1 + 3i d’où :
1 1
z' = 2 -3 -i -1 - 3i = -2 - 2i ou z" = 2 -3 - i + 1 + 3 i = -1 + i
Conclusion : SC = -2 ; -2 – 2i ; -1 + i .
π
i
2- a) L’écriture complexe de f est de la forme z’ = az + b où a = 2 e 4 nul) et b = 0 donc f est une
similitude directe de rapport k = 2 , d’angle dont une mesure π et de centre O.
4
2 2
b) On a MM' = 1+i z - z = z + iz - z = iz = z = OM et M’ = f ( M ) alors OM' = 2 OM
d’où MM'2 + OM 2 = 2 OM 2 = OM'2 .
Conclusion : OMM’ est un triangle rectangle et isocèle en M.
Construction : A partir du point M on construit la demi-droite Ot La perpendiculaire à OM en
M coupe Ot en M ' d’où la construction.
3- a) Pour tout n IN , on pose zn l’affixe du point An et comme A n+1 = f A n alors zn+1 = ( 1 + i )zn .
Par suite A 0 -1 + i ; A1 ( -2 ) ; A2( -2 -2i ) ; A3( -4i) et A4 ( 4 – 4i ) .
11
z
D’autre part O, A0 et An sont alignés signifie OA 0 et OA n sont colinéaires signifie n est réel
z0
n π
Signifie arg 1+i = kπ k Z donc n =kπ k Z en simplifiant par on obtient n 0(mod4) .
4
Exercice 3 :
AB AD
1- a) AB 0 et BD = AB car ABD équilatéral d’où π
AB, AD 3 2π
alors il existe un unique antidéplacement f qui envoie A en B et B en D .
c) L’image du triangle ABD direct est un triangle indirect isométrique dont f ( A ) = B et f ( B ) = D sont deux
sommets par suite l’image du triangle ABD par f est le triangle BDC .
2- a)
s A,B,D = B,C,D
s A = C
donc s B,D = B,D 12
s est une bijection
g A,B,D = B,C,D
g A =D donc g B,D = B,C
g est une bijection
1
b) On a g ( A ) = D , g ( D ) = B et g étant une symétrie glissante donc de vecteur AB = AI
2
et d’axe passant par J milieu de A et D et O milieu de B et D donc d’axe ( OJ ) .
Exercice 4 :
1- a)
lim f x lim x+2 ln x+2
x 2 x 2
où X = x + 2 donc f est continue à droite en ( -2 ) .
lim XlnX 0 f -2
X 0
f x - f -2
b) lim lim ln x + 2 lim lnX où X = x + 2 donc f n’est pas
x 2 x+2 x 2 X 0
x 2 e1 2 2
f’(x) 0 +
0
f(x)
e1
2- a)
g x - f x -x 4 - x²
x 2 0 2
g x -f x + O
b) Voir figure :
13
c) A A2 + A 2 16
3
u.a.
Exercice 5 :
1- f n ' x =-e -x - 2n+1 x 2n 0 sur 0,1 donc fn est strictement décroissante sur 0 , 1 .
x 0 1
fn' x –
fn x e-1 - 1
2) fn est continue et strictement décroissante sur 0,1 donc fn réalise une bijection de 0,1 sur f(0,1) = I
3) a- fn+1(x) – fn(x) = x2n+1(1-x2)>0 donc pour tout entier naturel non nul n et pour tout réel x de]0,1[, on aura 14
fn+1(x)>fn(x).
c- fn( un+1 ) < 0 = fn(un) de plus fn est strictement décroissante sur 0,1 alors pour tout n IN , un < un+1 et par suite
(un) est une suite strictement croissante, de plus (un) est majorée par 1 donc (un) est une suite convergente et
converge vers l.
u
b-
n n
lim ln u n lim - 2n +n 1 alors ln l = 0 d’où l = 1.
15
Exercice n°2
Soit f la fonction définie sur [0,1[ par f (x) = ln( 1 x ).
On note ( C ) sa courbe représentative dans un repère orthonormé O, i, j .
f (x)
1) a) Montrer que lim
x0 x
b) On donne ci-dessous le tableau de variation de la fonction f.
17
Exercice 1
1 2 3 4
b c c b
Exercice 2
2) a) f est continue et strictement décroissante sur 0 , 1 donc elle réalise une bijection de 0 , 1
2
1 1 2
1
c) f ( ln 2) e ln 2
1 1 donc par symétrie par rapport à , A est l’aire de la partie du plan
2 4
1
limitée par la courbe C et les droites d’équations : x 0 , x et y ln 2 d’où
4 18
1 1 1 1
ln 2
A 4
f(x) ln 2 dx 4 4
f(x )dx ln 2 dx f(x )dx 4
.
0 0 0 0 4
LYCEE IBN ABI DHIAF MANOUBA ZHIOUA KHALED
1 1
ln 2 3 ln 2 5
Ainsi 0
4
ln 1 x dx 4 f(x)dx A -
0 4
4
8
Exercice 3
K J
Q
H
P
A I B
1)
JK 1 1 1 1 2
2) a) f de rapport En effet ABC un triangle rectangle en A et
JA JC 2 JC BC 2 2
JK 2JK AB
J B C et K A C
f d’angle JA , JK AJ , KJ 2 AJ , AB 2 2
4
1 i 1 i
3) a) L’expression complexe de est de la forme z ' a z b avec a et b des nombres
2 2
2
complexes donc est une similitude indirecte de rapport a 1 d’où elle admet un
2
1 i 1 i (1 i ) i 1 i (1 i )( i ) 1 i i 1 1 i
centre. zC i zC donc (C ) C d’où C est le
2 2 2 2 2
centre de .
1 i z zC 1 i z zJ 1 i
b) z I , z K , z J B et z H A
2 2 2 2 2 4
1
(1 i) 1 i
1 i 1 i 2 1 i 2 2i 1 i
c) zI z H donc (I) H
2 2 2 4 4
1 i
(1 i) 1 i
1 i 1 i 2 ( 1 i)(1 i) 2 2i 1 1 2 2i i
zJ z K donc (J) K
2 2 2 4 4 2
d) f S(IK ) est la composée d’une similitude indirecte et d’une similitude directe donc c’est une similitude 19
indirecte. On a f S( IK ) (I) f(I) H et f S(IK ) (J) f(A) K
Exercice 4
x2 y 2
1) a) L’ellipse (E) d’équation 2
2 1 avec a=1 et b=2. a b et c b 2 a 2 3 donc (E) de
a b
sommets A(1, 0 ), A '( 1, 0 ), B( 0 , 2 ) et B'( 0 , 2 ) et de foyers F(0 , 3 ) et F'( 0 , 3 ) b) Figure
2
2 y 2 2 sin
c) x M M cos 2 cos 2 sin 2 1 donc M (E)
4 4
yM y 2 sin y
2) (T) d’équation x M x 1 cos x 1 2x cos y sin 2 0
4 4
1 2
3) a) 2x P cos 2 0 donc x P et y Q sin 2 0 donc y Q
cos sin
OP OQ 2 2
d’où A
2 2 sin cos sin( 2 )
b) On a 0, 2 0 , sin 2 0, 1
2
A est minimale si et seulement si sin ( 2 ) est le maximum et égal à 1 c'est-à-dire
4
1
2 cos
x P x Q 2 x M 1 2
M P Q cos cos 2 sin 2 cos sin
y P y Q 2 y M 2 4 sin 2 2 4
sin
Ainsi A est minimale si et seulement si M est le milieu de PQ
20
1) L’équation y " y 0 de solutions les fonctions définies par y(x ) a sin x b cos x avec (a, b) 2
2) a) g est 2 fois dérivable sur et pour tout x , g '(x) g x sin x sin x 0 donc g E
2
b) x , f E f '(x ) f x donc f "(x) f x ' x ' f ' x f ' x
2 2 2 2 2
c) x , f E f "(x) f ' x f "(x ) f(x) f ' x f x 0 donc f est une solution
2 2 2 2
de l’équation différentielle y " y 0
Pour qu’une fonction f définie par f(x ) a sin x b cos x avec (a, b) 2
soit un élément de E, il faut que
x , f '(x ) f x a cos x b sin x a cos x b sin x 2a cos x 0 donc a=0
2
D’où E est l’ensemble des fonctions définies sur par f(x ) b cos x avec b .
21
1
a) Montrer que l’équation f(x) = 0 admet, dans , une seule solution et vérifier que 0 .
2
b) Tracer la droite et la courbe C .
(On précisera la demi-tangente à C au point d’abscisse 0 et on prendra 0, 4 ).
1
n
3) On désigne par un la suite définie sur *
par : un f ( x ) dx
0
23
Exercice 1 :
1 2 3 4
c a c c
Exercice 2 : f (x) = x + x - 1 e -x
1/ a) lim f (x) lim x + x-1 e
x x
-x
lim x + xe
x
-x
+ e-x lim -t - te t + e t
x
(avec t = -x )
-x
b) lim f(x) - x lim x-1 e lim -te +e
x x t
t t
0 0 0 alors la droite : y = x est une asymptote
oblique à Cf au voisinage de
x 0 1 +
f(x)-x - +
2/ a) f est continue et strictement croissante sur 0, alors f réalise une bijection de 0, sur
f 0, 1, or 0 1, alors l’équation f (x) = 0 admet une unique solution sur
1
On a : f (0) = -1 < 0 et f 0,196 >0
2
1 1
On a de plus f est continue sur 0, alors d’après le théorème des valeurs intermédiaire 0
2 2
b)
24
1
1 1 1
= x2 + -x -x
α xe dx + e α
2 α
1 1 1 1 1
-x
alors xe dx = -xe-x + e
-x
dx xe-x - e-x
α α α α α
1 1 1 1 1
D’où u1 = x 2 + e-x - e-x - xe-x
2 α α α α
1 α2 1
2
1 - α2 - e-1 - αe-α = αe-α -
2
- e-1 +
2
u1 est l’aire de la partie du plan limitée par C f, l’axe des abscisses et les droites d’équations x = 0 et x = α
α x 1
b) on a : alors f (α) f (x) f (1) = 1 .
f est croissante sur α,1
1 1
n n
Or on a 1 et les fonctions sont continues sur ,1 alors 0 f (x)dx x dx
α α
1
1 n+1 1 1
alors 0 un
n+1
x 0 un
1-α n+1 alors 0 u n
n+1
n+1
.
1
25
Exercice 3 :
1/ Montrons par récurrence la propriété P : pour tout n , u n v n
* on a u0 = 0 et v0 = 1 alors u0 v0 alors P est vraie pour n = 0 .
* Soit p , supposons que up vp , montrons que up+1 vp+1 .
3u p + 2v p 2u p + v p vp - u p
On a : v p+1 - u p+1 - = 0 alors u p+1 v p+1
5 3 15
2u n + v n v - un
2/ pour tout n , u n+1 - u n - un n 0 alors ( un ) est une suite croissante .
3 3
3u +2v n 3 u n - vn
Pour tout n , v n+1 - vn n - vn u n - v n 0 alors ( vn )
5 3
est une suite décroissante
3/ * On a ( vn ) est décroissante alors Pour tout n , v n v 0 alors Pour tout n , v n 1
On a la suite ( un ) est une suite croissante et majorée par 1 alors ( un ) est convergente vers une limite .
* On a la suite ( un ) est est une croissante alors Pour tout n , u 0 u n alors pour tout n , 0 u n .
On a ( vn )est une suite décroissante et minorée par 0 alors (vn) est une suite convergente
est sa limite est égale à ’.
2u n +v n
* Les suite définie sur IN par u n+1 et sont convergentes .
3
2u n +v n 2 '
alors lim u n+1 lim alors alors '
n n 3 3
4/ w n = 9u n + 5vn
a) * on a w 0 = 9u 0 + 5v 0 = 5
* Soit p IN , supposons que wp = 5 et montrons que wp+1 = 5 .
2u p +v p 3u p +2v p
On a : w p+1 = 9u p+1 + 5v p+1 = 9 + 5
3 5
3 2u p + v p + 3u p + 2v p 9 u p + 5 v p = wp = 5 .
Conclusion : On a : pour tout n , w n = 5 .
14
b) On a : lim w n lim 9 u n + 5 v n 9× + 5 = 14 or lim w n =5 alors 14 5 alors
n n n 5
26
1) S = S 1 π
C , ,
2 3
27
Conclusion : 1
CM,CN 2 et CN = CM alors S M = N .
3 2
S 4k,-2-3k ,k .
2/ a) Si M est un point de à coordonnées entière alors M 4k , -2 -3k avec k
On a : A 0, 2 alors AM = 16k 2 + 9k 2 = 25k 2 = 5 k avec A 0, 2 alors AM est
un multiple de 5
3
b) N(x , y) alors 3x + 4y + 8 = 0 alors y = - x - 2.
4
2
2 2 2 3 25 2 5
D’où AN = x + y+2 = x + - = x = x .
4 4 4
5 x
c) Si AN est un multiple de 5 alors x est un multiple de 5 alors est un entier alors x = 4k' ,k '
4 4
alors x = 4k '' , k '' alors x .
28
Exercice 1 (3 points)
Répondre par « Vrai » ou « Faux ». Aucune justification n’est demandée.
1) Le quotient de (- 23) par (-5) est 4.
2) Si a et b sont deux entiers tels que 64a + 9b = 1 alors les entiers b et 64 sont premiers entre eux.
3) 147146 2 (mod 12).
4) x2 0 (mod 8) équivaut à x 0 (mod 8).
5) alors x 19 ( mod 20 )
f (x)
a) Calculer : lim f ( x ) , lim f ( x ) et lim .
x 0 x x x
2) Dans la figure (2) de l’annexe ci-jointe, Cg et Ch sont les courbes représentatives dans un repère
orthonormé ( O , ) des fonctions g et h définies sur ] 0 , + [ par
point de coordonnées ( , f ( )) .
d) Tracer Cf .
4) Pour tout réel t ] 0 , + [ - {}, on désigne par A(t) l’aire de la partie du plan S(t) limitée par les
courbes Cg et Ch et la droite d’équation x = t.
a) Montrer que pour tout réel t ] 0 , + [ - {} , A(t) = f ( ) – f ( t ) .
b) Soit t0 > , Hachurer S(t0).
.
c) Montrer qu’il existe un réel unique t1 dans ] 0 , [ tel que A(t1) = A(t0) = . Hachurer S(t1).
Exercice 5 : ( 4 points )
b) Calculer alors V.
Figure 2
31
Exercice 1 :
1 2 3 4 5 6
F V F F V V
Exercice 2 :
1- d’où E, F et M
sont alignés.
2- a) r1 o r2 est une rotation d’angle dont une mesure de plus r1 o r2 ( I ) = r1 ( J ) = I donc
r1 o r2 est une symétrie centrale de centre I.
b) Comme r1or2 (E) = r1(M) = F alors r1 o r2 (E) = F et par suite SI(E) =F donc I = E * F, lorsque M varie sur le cercle
(C) la droite (EF) passe par le point fixe I.
a) S (M) = K car AK = AM et . 32
d’où la construction de G.
d) M ( EF ) alors S((EF)) = S ((MF)) donc S((EF)) = (KG) donc S((EF)) = (KF) alors (KF) = S((EF)), or lorsque M
varie, ( EF ) passé par le point fixe I alors ( KF ) passe par le point fixe P = S ( I ).
K
I
M
A
G
B
Exercice 3 :
( E ) : 3 z3 – 2 z² + 4z + 16 = 0 . A(-2) , M( ) , N ( ) et P ( ) . C*.
3- a) = 1 + i =2 . =6 ; =4 . 33
Exercice 4 :
Soit la fonction f définie sur par f(x) = lnx – xlnx + x
f(x)
1- a) lim+ f ( x ) = - , lim f ( x ) = - , lim - .
x 0 x + x + x
1 1 1 1
b) f '( x ) = - ( x ln x) 1 = - 1 - lnx + 1 = - lnx .
x x x x
1
2 a) g ( x ) = et h ( x ) = lnx pour tout x 0 , +
x
1
f '( x ) = = - lnx = g ( x ) - h( x ) .
x
D’après le graphique on :
34
b)
x 0 +
f’ ( x ) + 0 –
f()
f(x)
- -
d’où f() = + - 1 .
4- f()=+ – 1 0 car 1.
f ( 0, ) = - , f () qui contient 0 et f est strictement croissante sur 0 , donc il existe un réel unique x1
0, tel que f(x1) = 0 .
f (,+ ) = f1 () ,+ qui contient 0 et f est strictement décroissante sur ,+ donc il existe un réel unique
x2 ,+ tel que f (x2) = 0 .
f (0,4)f(0,5) < 0 alors x1 0,4 ; 0,5 , f(3,8)f(3,9) < 0 alors x2 3,8 ; 3,9 .
c) et d) voir figure.
35
= = = f() - f(t) .
b) Voir figure.
c) A(t1) = A(t0) signifie que f () - f (t1) = f() - f (t0) et par suite f (t1) = f (t0) avec t1 0 , et pour ce il faut
tracer la parallèle à l’axe des ordonnées passant par t0 qui coupe la courbe Cf en un point H, la parallèle la
parallèle à l’axe des abscisses passant par H recoupe la courbe Cf en H’, l’abscisses de H’ est t1.
Exercice 5 :
1- V= = = F (2).
d’où G (x) = ( - 1) .
8 2 e 8 (2 2 1) e 2
et par suite 2F(2) = e ( 2 2 1) e et donc F(2) =
2
e 8 (2 2 1) e 2
et enfin V = F(2) = .
2
37
Exercice 1 (4 points)
Pour chacune des questions suivantes une seule des trois réponses proposées est exacte.
Le candidat indiquera sur sa copie le numéro de la question et la lettre correspondante à la réponse
choisie. Aucune justification n ‘est demandée.
ABCD est un carré de centre O tel que ( )
et I le milieu de [AB].
Soit S( AC ) , S( BC ) et S ( OI) les symétries
d’axes respectifs (BC), (BD) et (OI) et
, et les translations de
vecteurs respectifs , et .
1-L’isométrie S(BC) o S(BD) o est
a) une rotation
b) une translation
c) une symétrie glissante.
2- o S(BC) est égale à :
a) o S(Ql)
b) o S(OI)
c) S( BC ) .
3- Soit r1 la rotation de centre O d’angle (- ) et r2 la rotation de centre C d’angle ( ).
r1 o r2 est :
a) la symétrie centrale de centre A
b) la translation de vecteur .
c) la translation de vecteur
4- Soit S la similitude directe de centre B qui transforme D en A . Alors :
a) S(A) = O
b) S(J) = O
c) S(C) = O.
Exercice 2 : ( 6 points )
Soit f la fonction définie sur ] 0 , + [ par f(x) = et ( Cf ) sa courbe représentative dans un repère
(O, ).
g(x) 2
+
a)Montrer que l’équation g(x) = admet dans] 3, + [ une solution unique telle que4,2 < < 4,3.
b) Déduire la position relative de ( Cf ) et
4) Justifier l’existence sur ] 0 , + [ d’une primitive F de f telle que F(1) = e.
5) Dans l’annexe ci-jointe, on a tracé la courbe représentative ( CF) de la fonction F , la droite et le
rectangle ABCD tel que A(1, e); B(0, e) ; C(0, F(2)) et D (1, F(2)).
a) Etudier les branches infinies de ( CF) . .
b) Tracer la courbe dans l’annexe ci-jointe.
6) Soit t [1, 2[ . On désigne par S(t) la partie du plan limitée par la courbe ( Cf) ,
l’axe ( O , et les droites d’équations x = t et x = 2. On désigne par A( t ) l’aire de S(t) .
a) Exprimer A( t ) en fonction de F(t) .
b) Hachurer S(1) et justifier qu’elle a la même aire que le rectangle ABCD.
c) Montrer qu’il existe un unique t0 [1, 2[ tel que A( t0 ) = A( 1 ) .
d) Construire le point de d’abscisse t0.
Exercice 3 : ( 5 points )
Soit ( O , ) un repère orthonormé direct de l’espace.
Dans la figure ci-contre OABC est un tétraèdre tel que
et I est le point de coordonnées ( 3, 3 , 3 ).
1) Vérifier que le plan (ABC) a pour équation 2x + 2y + z – 10 = 0.
2) Soit S la sphère de centre I et de rayon 3.
a) Quelle est la position relative de S et du plan (ABC) ?
b) Montrer que S est tangente aux plans (OAB) , (OAC) et (OBC).
3) Soit k un réel non nul et h l’homothétie de centre O et de rapport k.
On désigne par S’ , la sphère image de S par h.
a) Montrer que S’ est tangente aux plans (OAB) , (OAC) et (OBC).
b) Déterminer les valeurs de k pour lesquelles S’ est tangente au plan (ABC).
4) Déterminer le centre et le rayon de la sphère tangente intérieurement aux quatre faces du tétraèdre
OABC .
Exercice 4 : ( 5 points )
On pose a = 72009 + 72010 + 72011.
1-Soit n un entier naturel. Discuter suivant les valeurs de n, le reste de 7n modulo 100.
2-En déduire qu’il existe un entier naturel k tel que a = 100 k - 1.
3-a) En utilisant la formule du binôme, montrer que a100
1 (mod1002).
b) Déterminer les quatre derniers chiffres de a100. 39
a b b c
Exercice 2 :
= = .
(x - 2)ex (x - 2)ex ex
b) lim+ = - . lim = lim (x - 2) = + .
x 0 x3 x + x3 x + x3
c)
x 0 +
f’ ( x ) +
+
f(x) -
2- : y = f’ ( 2 ) ( x – 2 ) + f ( 2 )
:y = signifie y = ( x – 2 ).
x 0 2 8 +
+ +
g(x )
40
+ 0 - 0 +
gx)-
(x–2) - 0 + +
Produit - 0 - 0 +
Si x , + , Cf est dessus de .
4- f est continue sur 0, + donc f admet une unique primitive F vérifiant F ( 1 ) = e .
5- a) lim f ( x ) = - alors x = 0 est une asymptote verticale .
x 0+
f (x) ex
lim f ( x ) = + et lim lim (x - 2) 4 = +
x + x + x x + x
alors C f admet une branche parabolique de direction (Oy) au voisinage de + .
b) Voir figure.
6- a) Soit t 1 , 2 , si x 1 , 2 , f ( x ) < 0 d’où A ( t ) = - = - = F(t) – F(2) .
b) A (1) = F (1) – F(2) = e – F(2) .
AABCD = (yB – Yc) 1 = yA – yC = e – F (2) .
c) Soit h(t) = F(t) – F(2) , h est dérivable sur 1, 2 et h’ ( t ) = f ( t ) .
t 1 t0 2
_
h’(t)=f(t)
A(1)
h(t)=A(t)
(1/2)A(1) 0
h est continue, strictement décroissante sur 1, 2 alors h réalise une bijection de 1, 2 sur 0, A(1)
or (1/2)A(1) 0, A(1) donc il existe un unique t0 1, 2 tel que h(t0) = (1/2)A(1) et par suite il existe
un unique t0 1 , 2 tel que A ( t0 ) = (1/2)A(1) .
d) F ( t0 ) – F ( 2 ) = A ( t0 ) signifie F ( t0 ) = A ( t0 ) + F ( 2 ) = (1/2)A(1) + F ( 2 ) d’où la construction du point
de C d’abscisse t0 .
41
3
B A
M y = F(to)
2
C D
j
to
0 i 1 2 3 4 5 6 7 x
-1
S(1)
P
-2
-3
Exercice 3 :
A( 5 , 0 , 0 ) ; B ( 0 , 5 , 0 ) ; C ( 0 , 0 , 10 ) et I ( 3 , 3 , 3 ) .
1- 25 + 20 + 0 – 10 = 0 signifie A appartient au plan d’équation 2x + 2y + z – 10 = 0.
20 + 25 + 0 – 10 = 0 signifie B appartient au plan d’équation 2x + 2y + z – 10 = 0.
3- h est l’homothétie de centre O et de rapport k où k est un réel non nul. S’est l’image de S par h.
a) h est de centre O, O (OAB) (OAC) (OBC) alors
h ((OAB)) = (OAB), h ((OAC)) = (OAC) et h ((OBC)) = (OBC).
h(S) = S’. h conserve le contact alors S’est tangents aux plans (OAB), (OAC) et (OBC).
b) ( S’) est tangents à ( ABC ) signifie d ( I’ , (ABC)) = 3k = R’ ( R’ = rayon de S’ ) signifie = 3k
42
(1) + (2) + (3) alors a 99 100 (-1) 100 alors il existe k IN tel que a = 100k – 1 .
43
Exercice 1 (3 points)
Dans ce qui suit, x et y désignent des entiers.
Répondre par vrai ou faux en justifiant la réponse.
a) x3 x(mod2).
b) Si x 2 (mod 14) alors x 1 (mod 7).
c) Si 4x l0y (mod 5) alors x 0 (mod 5).
d) Si alors 8x – 5y = 7 .
Exercice 2 (6 points)
1 - Soit g la fonction définie sur IR par g(x) = e-x et ( ) sa courbe représentative dans un repère
(O,i, j)
1) Déterminer une équation de la tangente à ( ) au point d’abscisse 0.
2) a) Montrer que pour tout x 0, 1 - x e-x 1 .
x²
b) En déduire que pour tout x 0 , x - 1 - e-x x .
2
II - On considère la fonction f définie sur [0,+[ par
1
-
f ( x ) = e x si x 0
f ( 0 ) = 0
On désigne par ( C ) sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O , i , j )
1) a) Calculer la limite de f(x) lorsque x tend vers + .
b) Etudier la continuité et la dérivabilité de f à droite en 0.
c) Dresser le tableau de variation de f.
1 1
2) a) Montrer que le point I ( , ) est un point d’inflexion de la courbe (C ).
2 e²
b) Donner une équation de la tangente T à la courbe (C ) au point I.
3) Dans la figure 1 de l’annexe ci-jointe, on a représenté la courbe ( ) dans le repère orthonormé
(O,i, j)
a) Construire I.
b) Construire la tangente T.
c) Tracer la courbe ( C ) .
4) Soit Ak l’aire du domaine plan limité par la courbe ( C ) la droite d’équation y = 1 et les droites
d’équations x = k et x = k + 1 où k est un entier naturel non nul.
k+1 1 1 1 k+1
a) En utilisant 5I2) b) montrer que ln( )- - A ln( )
2 k 1+k
k
k k
b) Calculer lim A k
k +
n
5) Pour tout n 1, on pose Sn = A
k=1
k
a) Interpréter graphiquement Sn .
1 1
b) Montrer que ln(n+1) - 1 - Sn ln(n+1)
2 1+n
S
c) En déduire les limites de Sn , et de n , quand n tend vers l’infini.
ln(n) 44
Exercice 4 (6 points)
Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct ( O , u , v ) , on considère le point A
d’affixe (-1) et les points M, N et P d’affixes respectives z , z2 et z3 où z est un nombre complexe non nul
différent de (-1) et de 1 .
1) a) Montrer que:
1+z
(le triangle MNP est rectangle en P) si et seulement si ( est imaginaire pur).
z
b) On pose z = x + i y où x et y sont des réels. Montrer que =
c ) En déduire que l’ensemble des points M tels que le triangle MNP soit un triangle rectangle en P est le
cercle ( ) de diamètre [OA] , privé des points O et A.
2) Dans la figure 2 de l’annexe ci-jointe, on a tracé le cercle ( ) et on a placé un point M d’affixe z sur (
) et son projeté orthogonal H sur l’axe ( O , u )
On se propose de construire les points N et P d’affixes respectives z2 et z3 tels que le triangle MNP soit
rectangle en P.
a) Montrer que puisque .
45
Exercice 1 : ( 0.75x4 = 3 points, 0.25 pour chaque réponse exacte sans justification)
a) V : car x3 – x = x(x+1)(x-1) et le produit de deux entiers consécutifs est pair donc x3 – x 0[2]
signifie x3 x [2] .
b) F : 16 2 [ 14 ] mais 16 n’est pas congru à 1 modulo 7 .
c) V : 4x 10y [ 5 ] 0 [ 5 ] d’où 5 divise 4x et 4 5 = 1 alors 5 divise x alors x 0 [ 5 ] .
d) F : 1000004 4 [ 5 ] et 13 5 [ 8 ] mais 81000004 - 513 n’est pas certainement égal à 7.
Exercice 2 :
I- g est dérivable sur IR, et pour tout réel x on a : g’ ( x ) = - e-x .
1- La tangente à la courbe (Γ) au point 0 a pour équation: y = g’ (0)(x – 0) + g (0) c’est donc y = -x+1.
2- a) Pour tout x 0 , -x 0 signifie e-x 1 ( 1 ) .
b) On pose h ( x ) = 1 – x – e-x , h dérivable sur [ 0 , + [ et h’ ( x ) = - 1 + e-x 0 , h est strictement décroissante
sur [ 0 , + [ e don pour 0 x alors h ( x ) h ( 0 ) et comme h(0)=0 on aura 1 – x – e-x 0 et par suite 1 – x e-x (
2)
Conclusion : 1 – x e-x 1 pour tout x [ 0 , + [ .
c) Pour tout t 0, 1 – t e-t 1 (Les fonctions t1-t ; t e-t et t 1 sont continues sur IR+ )
Alors pour x 0 on aura alors
Alors x - 1 – e-x x.
II- f(x)= si x 0 et f ( 0 ) = 0 .
X
1- a) On pose X = , si x tend vers + alors X tend vers 0 . lim f ( x ) = lim e = 1.
x X 0
c) f est dérivable sur ] 0, +[ et f est dérivable à droite en 0 alors f est dérivable sur IR+ .
f’(x)= 0
3- a) g ( 2 ) = = yI , I 1 2 avec 1 : x = et 2 : y = .
b) T = ( IJ ) . Voir figure 1.
c) Voir figure 1.
Alors alors
Alors ln ln .
b) ln et alors lim Ak 0
k
+ +…………………..+ = .
a) Sn = l’aire du domaine plan limité par (C ) , la droite d’équation y = 1 et les droites d’équations
x = 1 et x = n+1 où n est un entier naturel non nul.
b) Pour k = 1 ; ln ln
On additionne les n inégalités termes à
Pour k = 2 ; ln ln termes, on obtient :
………………………………………………..
………………………………………………..
Pour k = n-1 ; ln ln
Pour k = n ; ln ln
……………………………………………………………………….
ln - Sn ln 48
Signifie ln - Sn ln
ln(n+1) 1 n 1 ln(n+1) S
lim - 1 et nlim 1 alors lim n 1
lnn 2 n+1 ln(n+1) lnn lnn
n n
1 1 1
ln(n(1 )) ln(n) ln(1 ) ln(1 )
ln(n 1) n lim n lim (1 n ) 1
Ona : lim lim
n ln n n ln n n ln n n ln n
Exercice 3 :
1- f = S( B , ) .
.
gof (F) = g(A) = F d’où r est la rotation de centre F et d’angle dont une mesure est .
49
1- a) Le triangle MNP est rectangle en P signifie et sot orthogonaux signifie est imaginaire pur.
= = = = (z 0 et z 1).
Conclusion : Le triangle MNP est rectangle en P signifie et sot orthogonaux signifie est
imaginaire pur.
b) On pose z = x + iy où x et y deux réels non tous nuls,
= = = = .
50
p(lnp)-p
a) Montrer que , pour tout entier naturel p 3 , il existe un unique réel up appartient à l’intervalle
] 1 , p [ tel que fp ( up )= 0 .
b) Montrer que , pour tout entier naturel p 3 , il existe un unique réel vp p tel que fp ( vp )= 0 .
On définit ainsi , pour tout entier naturel p 3 , deux suites ( up ) et ( vp ) .
B- Dans cette partie on se propose d’étudier les deux suites ( up ) et ( vp ) définies précédemment .
1) Déterminer la limite de la suite ( vp ) .
2) On a représenté dans la figure 1 de l’annexe ci- jointe les courbes C3 , C4 , C5 et C6 représentatives
des fonctions f3 , f4 , f5 et f6 .
a) Placer sur l’axe des abscisses les termes u3 , u4 , u5 et u6 de la suite ( up ) .
b) Représenter sur l’axe des ordonnées les réels f3 ( u4 ) , f4 ( u5 ) et f5 ( u6 ) .
3) a) Montrer que pour tout entier naturel p 3 , fp ( up+1 ) < 0 .
b) En déduire que la suite ( up ) est décroissante et qu’elle est convergente .
c) Montrer que . En déduire la limite de la suite ( up )
Exercice 3 :
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct ( O , , , ) , on considère les points A(1,3,2) ;
B(1,-1,-2) et C(2,4,1) .
1) a) Montrer que les points A , B et C ne sont pas alignés .
b) Montrer qu’une équation cartésienne du plan (ABC) est 2x – y + z – 1 = 0 .
Exercice 4 :
Le plan est orienté .
Dans la figure 2 de l’annexe ci-jointe , le triangle OAB est rectangle isocèle en O et de sens direct .
H est le projeté orthogonal du point O sur la droite ( AB ) , A’ est le point du segment [ OH ] tel que
OA’ = OA et H’ est le projeté orthogonal du point A’ sur la droite ( OB ) .
Soit f la similitude directe de centre O qui envoie A en A’ .
1) Déterminer le rapport et l’angle de f .
2) On note B’ l’image de B par la similitude directe f .
a) Déterminer la nature du triangle OA’B’ .
b) Construire le point B’ .
c) Montrer que f ( H ) = H’ .
3) Soit I le milieu du segment [ A’B ] et J le milieu de[ A A’ ] .
a) Montrer qu’il existe un unique déplacement R qui envoie J en O et I en H .
b) Montrer que R est une rotation dont on déterminera l’angle .
c) Soit K le milieu du segment [ AB’ ]. Montrer que JK = OH’ et que .
d) Déterminer alors R ( K ) .
e) En déduire que IK = HH’ et que ( IK ) et ( HH’ ) sont perpendiculaires .
4) Montrer que le quadrilatère IHKH’ est un carré .
52
53
Exercice 1 :
1 V Pour tout x 0 ; f’ ( x ) = 0
2 F Si x ] 0 , 1 ] , 0 (t 0)
Exercice 2 :
x 0 3 +
Pour tout x 0 ; fp ( x ) = p lnx – x .
f’3(x) + 0 -
A/ 1- f3 est dérivable sur ] 0 , + [ , f’3 ( x ) = - 1 = .
f3(x) 3ln3 -3
- -
2- Soit g est la restriction de f sur ] 0 , 3 ] , g continue et strictement croissante sur ] 0 , 3 ] donc g réalise
une bijection de ] 0 , 3 ] sur ] - , 3ln3 - 3 ] ; comme 0 ] - , 3ln3 - 3 ] car 3(ln3 – 1 ) 0 alors il existe
un unique réel noté u3 ] 0 , 3 [ tel que g (u3) = 0. et comme g (1) = -1 < 0 et g (3) 0 alors u3 ] 1 , 3 [.
Soit h est la restriction de f sur [ 3 , + [ , h continue et strictement décroissante sur [ 3 , + [ donc h
réalise une bijection de [ 3 , + [ sur ] - , 3ln3 - 3 ] ; comme 0 ] - , 3ln3 - 3 ] car 3(ln3 – 1 ) 0
alors il existe un unique réel noté v3 ] 3 , + [ tel que h ( v3 ) = 0.
Conclusion : L’équation f3 ( x ) = 0 admet exactement deux solutions notés u3 et v3.
3- a) La restriction gp de fp sur ] 0 , p ] est continue et strictement croissante sur ] 0 , p ] donc gp réalise
une bijection de ] 0 , p ] sur ] - , plnp - p ] ; comme 0 ] - , plnp - p ] car plnp – p 0 ( et fait p3,
p>e, lnp>1, plnp>p ) alors il existe un unique réel noté up ] 0 , p [ tel que gp ( up ) = 0. Et comme
gp ( 1 ) = -1 < 0 et g ( p ) 0 alors up ] 1 , p [ .
b) La restriction hp de fp sur [ p , + [ est continue et strictement décroissante sur [ p , + [ donc hp
réalise une bijection de [ p , + [ sur ] - , plnp - p ] ; comme 0 ] - , plnp - p ] car p(lnp – 1 ) 0 (
p3) alors il existe un unique réel noté vp ] p , + [ tel que h ( vp ) = 0.
2-
a) et b)
54
Pour x>1 et sachant que p+1>p alors (p+1)lnx>plnx et par suite (p+1)lnx-x>plnx-x donc f(p+1)(x)>fp(x)et
donc f(p+1)( up+1)>fp(up+1) et comme f(p+1)( up+1) =0 donc 0>fp( up+1) conclusion : fp( up+1)<0.
b) fp( up+1 ) < 0 et comme fp ( up )=0 donc fp( up+1 ) < fp ( up ) or fp est strictement croissante sur ] 0 , p ]
alors up+1 < up alors ( up ) est une suite décroissante .
La suite ( up ) est une suite décroissante et minorée par 1 donc ( up ) est convergente.
c) fp (up ) = p lnup – up = 0 signifie p lnup = up signifie .
ln u p 1
Donc lim lim 0 et par suite lim ln(u p ) 0 donc lim u p 1
p up p p p p
Exercice 3 :
A(1,3,2) ; B(1,-1,2) et C(2,4,1) .
b) est un vecteur normal du plan ( ABC ) alors (ABC) : 8x - 4y + 4z + d = 0 , A(1,3,2) (ABC) alors
=2 .
A S car ( 1 – 3 )² + 3² + ( 2 – 1 )² = 14 et B S car ( 1 – 3 )² + 1² + ( -2 – 1 )² = 14 .
AB = = =4 = 2r donc ( ) est le cercle de diamètre [ AB ] .
Exercice 4 :
1- f ( O ) = O et f ( A ) = A’ alors OA’ = k OA alors k = = .
(H=A*B).
a) OAB est un triangle rectangle isocèle en O de sens direct et f conserve l’orientation alors OA’B’
56
J en O et I en H .
b) b) ( I J ) est non parallèle à ( OH ) donc R est une rotation d’angle
.
d ) On pose R ( K ) = K’ .
alors K’O = KJ = H’O et .
4- alors = .
alors = .
f’(x0) = Vrai
Exercice 2
a) rC ( I ) = J
b) rB o t ( I ) = rB ( A ) = J .
rC et rB o t sont deux rotations de même angle qui coïncident en I, elle sont donc égales.
K = t ( C ) , rB o t ( C ) = rB ( K ) = rC ( C ) = C donc BC = BK et
donc .
a ) t(C)=K signifie AICK est un parallélogramme et par suite O est le milieu commun de
IK et de [AC] ainsi l’image de A par So est C et celle de I est K.
La symétrie centrale So transforme le triangle isocèle DIA en un triangle isocèle qui lui est
isométrique c’est le triangle BKC. (Les deux triangles sont isométriques vu qu’ils ont deux
bases homologues et isométriques [IA] et [KC] et sont isocèles d’angles aux sommets
principales égaux à ).
b) D’après ce qui précède So(DIA) = BKC et par suite So(D) = B donc O est le milieu
commun de DB et comme O est aussi le milieu commun de [AC] donc ABCD est un
parallélogramme.
61
Z’ = az + b avec a = = - i et zA = = 3 + 2i signifie b = i.
donc z’ = - i z + i.
3 x + 2 y = 13 .( I )
Exercice 4
= 0,125 .
a) p ( X 10 ) = e-0,12510 = e-1,25 = 0,286 .
b) 6 mois = 0,5 an donc p ( X < 0,5 ) = 1 – e-0,1250,5 = 0,060 .
p1 = p ( A ) = 1 – p ( ) = 1 – ( 1 – 0,286)n = 1 – 0,714n .
62
Exercice 5
I/ f2 ( x ) = x² - lnx .
lnx lnx
lim f 2 (x ) = + et lim f 2 (x ) = lim x²(1 - ) = + car lim 0
a) x 0 x x x² x x²
f 2 (x ) lnx lnx
lim = lim (x - ) = + car lim 0 donc ( ) admet une branche parabolique
b) x x² x x x x
de direction ( Oy ) au voisinage de + .
x 0
+∞
f2 +∞
+∞
(1+ln2)
b) On trace la droite s’équations x=2 pour obtenir les points M et M2, intersection de celle-ci
avec les courbes (L) et (C) et achever la construction.
courbe (C) et par suite le point de l’axe des abscisses d’abscisse et achever la
construction.
63
( x ) = kxk-1 - = .
x
0 +∞
- 0 +
fk +∞ +∞
(1+lnk)
64
fk ( )=( )k + lnk = + lnk = .
MMk = =
lnuk = ln = ln = .
lnk
lim lnu k = - lim 0 donc lim f 2 (x ) = + et lim u k = 1 .
k k k x 0 k
A( 1 , 0 ) ; Ak ( uk , fk( uk ) ) . AAk =
1 lnk 1 lnk
lim AA k = lim ( 1 - u k )² + ( )² = lim ( 1 - u k )² + ( + )² 0 0 0
k k k k k k
65
Exercice 2.
1 3 3 1 69
z Q a ia i ²a 1 a ia
2 2 2 2
Exercice 3.
18 divise7(x-9) et on a 18et7premier entre eux donc d’après théorème de gauss 18 divise (x-9); il est
donc nécessaire qu'il existe un entier k tel que x-9= 18k, soit x = 18k+9 ; alors on a
-18(y+3)= 718k, soit y = -7k - 3 ; les couples solutions sont donc nécessairement de la forme (18k + 9, -
7k-3) (k entier quelconque). Réciproquement on vérifie que tout couple de cette forme est solution, car
7(18k+9) + 18(-7k-3) = -718k+718k+63-54 = 9
2) n est solution du système si et seulement si il existe a et b entiers tels que n = 6 + 7a = 15 +18b , soit
par soustraction 9 = 18b-7a, ou 7a-18b = 9.
D'après la question 1, ceci équivaut à a = x = -18k + 9 et b = -y = -7k+3 ; on conclut que n est solution si
et seulement si n = 6 + 7(-18k+9) = -126k + 69 (on peut vérifier, par l'autre égalité, qu'on obtient bien la
même expression : n = 15 + 18(-7k+3) = -126k + 69)
70
1
AD
OJ 1
1) S ( A ) = O et S ( B ) = J donc le rapport de S est k = = 2 ;
AB AB 2
AB,OJ AB,AD 2 2 donc l'angle de S est .
2 2
2) a) S ((BC)) est la droite perpendiculaire à (BC) passant par S(B) = J alors S((BC))= ( CD ) .
S ((AC)) est la droite perpendiculaire à (AC) passant par S(A) = O alors S((AC))= ( BD ) .
3) a) S(A)=O, S(B)=J, S(C)=D, donc l'image du carré ABCD de sens direct est le carré OJDK’ de sens
direct alors le carré OJDK est l’image de ABCD .
1 1 1
c) Soit le centre de S ; SoS est la similitude de centre , de rapport et d'angle ;
2 2 4 2 2
1
alors SoS est l’homothétie de centre et de rapport , or S o S( C ) = K donc
4
1
K C signifie 4K C 0 ; donc est le barycentre de (K,4) et (C,1).
4
d) SoS(A) = S(O) ; O est le centre du carré ABCD donc S(O) est le centre du carré OJDK, c'est-à-dire E.
4) SoS( D ) = S ( K ) , or K est le milieu du segment AD alors S(K) = I’ est le milieu de segment
71
Conclusion : ( AE ) ( CK ) (DI ) .
Autre méthode :
( CK ) alors S ( ) = S ( (CK) )
S (( CK )) est la perpendiculaire à ( CK ) en S ( C ) = D .
Conclusion : ( AE ) ( CK ) (DI ) .
Exercice 5.
1
La dérivée de g est définie par g ' ( x) 1 1. ln x x. ln x ; elle s'annule donc en 1, est positive sur
x
]0,1[, négative sur ]1,+[ ; g(1) = 2 ; d'où le tableau de variation de g :
x 0 1 +
g'(x) + 0 -
g(x) 2
1 -
b) Sur ]0, 1] g(x) croît de 1 à 2, donc ne prend pas la valeur 0 ; sur [1, +[, g est continue, et g(x) décroît
de 2, valeur positive, à -, donc d'après le théorème des valeurs intermédiaires elle prend une et une seule
fois la valeur 0, pour une valeur x0 de la variable. Un calcul à la calculatrice montre que g(3,5) 0,115 >
0, et g(3,6) -0,11 < 0 ; donc 3,5 x0 3,6 72
c) On en déduit que g est strictement positive sur ]0, x0[, nulle en x0, négative sur ]x0,+[
lim f ( x ) 0 . f'(x) est du signe de g(x²), donc strictement positive si x² < x0, c'est-à-dire si x x0 ;
x
f'(x) + 0 -
f(x) f x 0
- 0
1
c) f x0
ln x0
2
ln x0
; or x0 est la solution de 1 + x0 - x0 ln x0 = 0, donc
1 x0 1 x0
1
1 + x0 = x0 ln x0 , donc f x0
ln x0
2
ln x0
1
1
0,14
1 x0 x0 ln x0 2 x0 2 3,6
d)
1
1 1
3) an 1 a n 1n 1 f (t )dt ; et sont dans ]0, 1[ ; f(1) = 0 et f est strictement croissante sur ]0, 1[,
n
n 1 n
1 1
1 1
donc f est strictement négative sur , , donc n
1 f (t )dt 0 , donc
1
n 1 f (t )dt 0 : la suite (an) est
n 1 n n 1 n
croissante.
b) Sur ]0, 1[, on a 1 < 1+x² < 2 donc
1
1
1 , et lnx <0, donc ln x
ln x
ln x 73
2 1 x² 1 x² 2
74
Exercice 2 : ( 4 pts )
L’espace est rapporté à un repère orthonormé ( O , , ).
On donne le plan ( P ) d’équation : 2 x + y -2 z – 2 = 0 et les points A(-1 , 1 , 3) ; B(1 , 2 , 1) et C(0 , 4 ,
1) .
1- Montrer que la droite ( AB ) est perpendiculaire à ( P ) en B .
2- Soit ( ) le cercle de ( P ) de centre B et de rayon . ( S ) est la sphère de centre A coupant ( P )
suivant ( ) .
a) Montrer que C appartient à ( ) .
b) Déterminer le rayon de ( S ) puis une équation cartésienne .
3- L’homothétie de centre A et de rapport , transforme le plan ( P ) en un plan Q .
a) Montrer qu’une équation de ( Q ) est : 2x + y – 2z - 9 + 7 = 0 .
b) Déterminer pour que ( Q ) soit tangent à ( S ) .
c) Soit H le point de contact de ( Q ) et ( S ) . Calculer l’aire du triangle ACH .
Exercice 3: ( 4 pts )
Le plan est muni d’un repère orthonormé R( O , , ) .
On considère dans C l’équation ( E ) : z² + (2sin + 3i cos - 2 ) z – 2 ( 2sin + 3i cos ) = 0 où IR .
1- Vérifier que 2 est une solution de ( E ) puis déterminer l’autre solution .
On note M1 et M2 les images respectives de z1 = 2 et z2 = - 2sin - 3i cos .
2- On considère l’ellipse ( E ) de centre O , de foyer ( 0 , ) et dont l’un des sommets est M1 .
b) En déduire que A = 6 .
Exercice 4 : ( 4 pts )
A / Soit X une variable aléatoire continue qui suit une loi exponentielle de paramètre λ.
La courbe ci-dessous représente la fonction densité associée.
1,5
75
1- Calculer λ.
2- On pose λ = 1,5.
LYCEE IBN ABI DHIAF MANOUBA ZHIOUA KHALED
Calculer p ( 1 X 4 ) , en donner une valeur approchée à 10-3 près .
B/ Une machine fabrique des cylindres. On mesure l’écart, en dixièmes de millimètres, entre le diamètre
des cylindres et la valeur de réglage de la machine.
On suppose que cet écart suit une loi exponentielle de paramètre λ = 1,5.
Si l’écart est inférieur à 1, le cylindre est accepté.
Si l’écart est compris entre 1 et 2, on procède à une rectification qui permet d’accepter le cylindre dans 80
% des cas.
Si l’écart est supérieur à 2, le cylindre est refusé.
1- On prélève au hasard un cylindre dans la production.
a) Montrer que la probabilité qu’il soit accepté est égale à 0,915 à 10−3 près.
b) Sachant qu’il est accepté, quelle est la probabilité qu’il ait subi une rectification?
2- On prélève de manière indépendante dix cylindres de la production. On suppose que le nombre de
cylindres est suffisamment important pour assimiler ce tirage à un tirage successif avec remise.
a) Quelle est la probabilité que les dix cylindres soient acceptés ?
b) Quelle est la probabilité qu.au moins un cylindre soit refusé ?
Exercice 5 : ( 5 pts )
Dans tout l’exercice, n désigne un entier naturel supérieur ou égal à 2.
Partie A : On considère l’équation différentielle (E) : y’ + n y = x + .
76
Exercice 1 : ( QCM )
1- Dans une expérience aléatoire, la probabilité d’un événement A est 0,4. On répète 4 expériences d’une
façon indépendantes. La probabilité que A soit réalisé au moins une fois est :
a) 0,1296 b) 0,8704 c) 0,744
xi 20 25 32 35 40
On suppose que la forme allongée du nuage permet d'envisager un ajustement affine par la méthode des moindres
carrés. La covariance de X et Y est égale à :
a) 26,26 b ) 26,27 c) 26,25
3- La limite de la suite ( un) définie sur IN par un = 1 + e-1 + e-2 + e-3 + ………….. + e-n est :
a) . b) c)
4- Soit X la variable aléatoire dont la courbe de sa fonction de répartition est tracée ci-dessous
77
Exercice 1: ( QCM )
Exercice 2 :
L’espace est rapporté à un repère orthonormé ( O , , ).
( P ) : 2 x + y -2 z – 2 = 0 et les points A(-1 , 1 , 3) ; B(1 , 2 , 1) et C(0 , 4 , 1) .
).
b) d = d( A , P ) = = 3 , R = le rayon de la sphère = = .
(S) : ( x + 1 )² + ( y – 1 )² + ( z – 3 )² = 14 .
3- h = h ( A , ) avec < 0 .
a) h ( P ) = Q alors Q est parallèle à P d’où Q : 2 x + y – 2 z + d = 0 .
Soit H le projeté orthogonal de A sur le plan ( Q ) , H = h ( A , )( B ) signifie = signifie
H a pour coordonnées ( 2 - 1 , + 1 , -2 +3 ) , H ( Q ) signifie d = -9 + 7 .
Donc ( Q ) : 2 x + y – 2 z - 9 + 7 = 0 .
b) ( Q ) est tangent à ( S ) signifie d ( A , Q ) = signifie =
c) H ( 2 - 1 , + 1 , -2 +3 ) avec = .
F = H o u dérivable sur 0 , .
F’ ( x ) = H’( u(x) ) u’( x ) = h ( u(x)) u(x) = 2cosx = 2 2cosx
= 2 cosx 2cosx = 4cos²x ( cosx 0 car x 0 , ) .
A = 6 = 6 F( ) = 6 (ua) .
Exercice 4 :
Partie A :
1- Puisque la fonction densité est définie par f (t) = e-t , on a f (0) = = 1,5 .
- 2 -1,5
p ( 1 X 2 ) = e - e- = e - e-3
Partie
Désignons par A l’événement « le cylindre est accepté » et R l’événement
« le cylindre a subi une rectification ». La probabilité que le cylindre soit accepté est :
a) p ( X < 1 ) + p (1 X 2)
b) La probabilité qu’au moins un cylindre soit refusé (événement contraire du précédent) est :
p( X 9 ) = 1 – P ( X = 10 ) = 1 – p10 0,589 .
Exercice 5: Partie A :
1- g est une est une solution de ( E ) signifie pour tout réel x on a : g’ ( x ) + n g ( x ) = x + .
signifie pour tout réel x nax + nb = x + signifie na = 1 et nb = a + signifie a= et b = 0 .
2- y’ + ny = 0 signifie y’ = - ny signifie y = k e-nx . k IR .
3- h est une solution de ( E ) signifie pout tout x IR , h’ ( x ) + n h ( x ) = x + .
signifie pout tout x IR , h’ ( x ) + n h ( x ) = g’ ( x ) + n g ( x )
signifie pout tout x IR , ( h – g )’( x ) – n( h – g )( x ) = 0 signifie h – g est une solution de ( E’ ) .
4- les solutions de ( E ) sont donc les fonctions de h définies sur IR par :
h ( x ) – g ( x ) = k e-nx , k IR signifie h ( x ) = g ( x ) + k e-nx , k IR
signifie h ( x ) = + k e-nx , k IR .
x 0 +
(x) +
fn ( x ) +
-1
c) f2 ( x ) = - e-2x .
80
d’où fn( ) < 0 . Ainsi fn( ) < fn (an ) < fn ( 1 ) et comme fn est strictement croissante sur 0 , +
alors
< an < 1 .
(an)n2 est donc minorée par a d’où pour tout n 2 , an a . La fonction fn est strictement sur 0 , +
et pour tout n 2 , an a donc fn( an ) fn ( a ) signifie 0 fn ( an ) signifie - e-nan 0 signifie a
ne-na .
Supposons que a 0 , il en résulte que :
1 1
a lim ne-na or lim ne-na = lim (- )(-nae-na ) 0 absurde car a 0 donc a = 0 .
n + n + n + a a
81
Exercice 1 : (4 pts)
1- Démontrer que les points A, B et C déterminent un plan P qu’on déterminera une équation
cartésienne.
2- a) Montrer que l’ensemble des points M de E tel que la sphère de diamètre [BM] passe par les
points
A et C est une droite.
b) Vérifier que le point D ( 0 , 0 , 1 ) .
c) Donner une équation de la sphère S de diamètre [BD].
3- Soit h l’homothétie de centre D et de rapport k. (k IR*).
a) Déterminer S’ limage de S par h.
b) Déterminer k pour que S’ soit tangente à P.
Exercice 2 : (4 pts)
Exercice 3 : (4 pts)
Année 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006
Rang de l’année de xi 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Estimation du nombre
de personnes vivant 9 11 13 16 20 24 29 35 41 49 57
avec le SIDA au
Sénégal (en milliers) yi
B/ Le taux d’évolution annuelle moyen du nombre de personnes vivant au Sénégal entre les années
1996 et 2006 est d’environ 20%. 82
B/ Soit F la fonction définie sur IR par F(x) = (f étant la fonction définie dans A)
1- a) Montrer que F est une fonction paire.
b) Calculer F (0) et F (1). Déterminer le signe de F (x) sur chacun des intervalles ] 0, 1 [ et ] 1 , + [.
2- a) Montrer que F est dérivable sur IR et que pour tout x IR* et
F’(0) = 0.
b) Montrer que F’ est continue sur IR.
3- a) Montrer que l’équation F’(x) = 0 est équivalente à x² = x0 ou x = 0.
b) Utiliser la courbe (C) de F’ représentée ci-dessous pour déterminer le sens de variation de F sur IR.
(C)
2- a) M tel que la sphère de diamètre [BM] passe par les points A et C signifie = 0 et
= 0 signifie M = P1 P2 avec P1 le plan de vecteur normal et passant par A et P2 le
plan de vecteur normal et passant par C.
b) Le point D (0, 0, 1) signifie = et = .
x ( x + 2 ) + y ( y – 4 ) + ( z – 1 )( z – 5 ) = 0 signifie x² + y² + z² + 2x – 4y – 6z + 5 = 0 .
I’ ( -k , 2k , 2k+1 ) .
b) d( I’ , P ) = = = R’ = 3 signifie = 9 signifie
9k = 4k – 8 ou 9k = -4k + 8 signifie k = ou k = .
Exercice 2 :
1- a) Le fait que 2011 est un nombre premier donc 67 et 2011 sont premiers entre eux, d’après Bézout
l’équation 67x + 2011y = 1 admet des solutions dans ZZ.
b) 67(-30) + 2011(1) = -2010 + 2011 = 0 donc (-30, 1) est une solution particulière de (E).
67x + 2011 y = 67(-30) + 2011(1) signifie 67 (x + 30) = 2011 (1 – y). 2011 divise 67(x + 30) et
2011 est premier avec 67, d’après Gauss de 2011 divise x + 3 d’où x + 3 = 2011k (k Z) signifie
x = 2011k – 3 ; 67 (2011k – 30 + 30) = 2011 (1 – y) signifie y = -67k + 1.
SZZ = {(2011k – 30, -67k + 1) ; k Z}.
c) 67x 1[2011] si et seulement si, il existe un entier y tel que 67x =1+2011y signifie que
67x-2011y=1 signifie que (x,-y) soit solution de (E). On en déduit que les entiers x vérifiant cette
84
condition sont les entiers de la forme x = -30 + 2011k > 0, Parmi ces entiers le seul entier naturel x inférieur
ou égal à 2010 vérifiant 67x 1[2011].est 1981 (pour k = 1)
2011 est premier et 2011 divise (a – 1)(a + 1) donc d’après Gauss si 2011 ne divise pas a – 1 donc
divise a + 1 ou si 2011 ne divise pas a + 1 donc divise a – 1 signifie a 1[2011] ou a -1[2011] signifie
a 1[2011] ou a 2010[2011] .
c) aa 1[2011] signifie 11 1[2011] ou (2010)(2010) 1[2011] signifie que 1 et 2010 sont les
seuls entiers de A qui sont égaux à leurs inverses.
2- Dans le produit 2010 ! , mis à part 1 et 2010, chaque entier de A apparait avec son inverse
et pinv(p)≡1 [2011] ( p inv(p) ) ainsi 2009! ≡ 1[2011] et 12010 ≡ 1[2011] en multipliant terme à
Exercice 3 :
A/ 1-
2-D : y = 4,755 x + 3,864 ; 0,978 donc il ya une très forte corrélation d’où le choix de l’ajustement .
c) y = le nombre de personnes vivant avec le SIDA au Sénégal en 2007 est associé au rang x = 11 ;
y = 4,75511 + 3,864 56164 personnes.
B/ Un = 9 (1.2 )n; 2007 = 1996 + 11 d’où n = 11 alors le nombre prévisible de personnes atteintes en
2007 = U11 = 9 (1.2 )11 66870 .
Problème :
A/ On pose h(x) = x3 + 2x – 1, h’(x) = 3x² + 2 > 0 alors h est continue et strictement croissante sur IR
Donc h réalise une bijection de IR sur IR, or 0 IR donc il existe x0 unique IR tel que h ( x0 ) = 0 de
plus h(0) = - 1< 0 et h(1) = 2 > 0 donc x0 ]0, 1 [.
Pour tout x ] -1 , + [ , on pose g ( x ) = ln ( x + 1) – x , h est dérivable sur ] -1 , + [ et
h’(x) = -1= , h’(x) = 0 signifie x = 0.
= .
Dérivabilité en 0 :
x² x²
1
f = f(t) dt , il existe un réel c x , x² tel que f ( c ) = f alors f(t) dt = ( x² - x ) f ( c ) .
x² - x x x
x2
F ( x ) F ( 0) F ( x) f (t )dt f (c ) (x 2 x)
x
Calculons lim = lim = lim = lim = lim f (c)( x 1) =0.
x0 x0 x0 x x0 x x0 x x0
+ =
+ =
+ =
+ =
+ = = ( 3 lnx )’ .
ln(1+t -2 ) ln(1+ 1 ) 2 2 87
5-a) xx² dt = xx² t² dt = x² ln(1+t )- lnt²dt = x² ln(1+t )dt - x² 2ln(t)dt = F(x) - 3(lnx)² .
t t x t x t x t
-2
ln( )
sur 1, , alors xx² dt xx² dt
1+t 1
t t3
x²
ln(1+t -2 ) 1 x² ln(1+t -2 )dt 1 + 1 1 car 1 0.
alors xx² dt alors x
t 2t² x t 2x 4 2x² 2x² 2x 4
1
Conclusion : 3(lnx)² F ( x ) 3(lnx)² .
2x²
(lnx)² F(x) (lnx)² 1 F(x)
c) lim 3 lim lim 3 3 alors lim 0 .
x x + x
x
+ x +
2x
x x + x
0
0
0
alors la courbe de F admet une branche parabolique de direction (Ox) au voisinage de +.
6-Récapitulant dans un tableau de variation : F est paire donc sa courbe est symétrique par rapport à (Oy).
x 0 2 +
F’(x) 0 – 0 +
F 0 +
1,5
- 0,1
x0
F( x0 )
Exercice 1 : ( 4 pts )
Le glacier d’Aletsch, classé à l’UNESCO, est le plus grand glacier des Alpes ; situé dans le sud de la
Suisse, il alimente la vallée du Rhône.
Pour étudier le recul de ce glacier au fil des années, une première mesure a été effectuée en 1900 : ce
glacier mesurait alors 25,6 km.
Des relevés ont ensuite été effectués tous les 20 ans : le recul du glacier est mesuré par rapport à la
position où se trouvait initialement le pied du glacier en 1900. Les mesures successives ont été relevées
dans le tableau ci-dessous. On note t la durée, en années, écoulée depuis 1900, et r le recul correspondant,
mesuré en kilomètres.
Année de mesure : 1900 1920 1940 1960 1980 2000
Par exemple, en 1940 (t = 40), le recul du glacier par rapport à 1900 a été de 0,6 km : la longueur du
glacier était donc de 25,6 – 0,6 = 25 km.
Dans cet exercice, les résultats seront arrondis, si nécessaire, à 10−3 près.
2. À l’aide de la calculatrice, donner l’équation de la droite d’ajustement affine par la méthode des
moindres carrés de r en fonction de t, puis tracer cette droite dans le repère précédent.
1. Recopier puis compléter le tableau suivant sur votre copie (pour permettre le calcul de y, la durée 0 de
l’année 1900 a été exclue du tableau.
Durée t (à partir de 1900) 20 40 60 80 100
y=ln r
2. a. À l’aide de la calculatrice, donner l’équation de la droite d’ajustement affine par la méthode des
moindres carrés de y en fonction de t.
b. En déduire que r en fonction de t. 89
3. En utilisant le modèle obtenu précédemment, estimer par le calcul :
Exercice 2 : ( 4 pts )
On admet que la durée de vie (exprimée en années) d’un certain type de capteur de lumière peut être
modélisée par une variable aléatoire X qui suit une loi exponentielle de paramètre = 0,2 .
1. Démontrer que la probabilité que le capteur ne tombe pas en panne au cours des deux premières années
est égale à e–0,4.
2. Sachant que le capteur n’est pas tombé en panne au cours des deux premières années, quelle est,
arrondie au centième, la probabilité qu’il soit encore en état de marche au bout de six ans ?
a. Déterminer la probabilité que, dans ce lot, il y ait exactement deux capteurs qui ne tombent pas en
panne au cours des deux premières années.
b. Déterminer la probabilité que, dans ce lot, il y ait au moins un capteur qui ne tombe pas en panne au
cours des deux premières années.
Exercice 3 : ( 4pts )
-nx
On considère les suites (In) et (Jn) définies pour tout entier naturel n par : In 01 e dx et
1+x
-nx
Jn 01 e 2 dx .
1+x
-nx
1- Sont représentées ci-dessous les fonctions fn définies sur l’intervalle [0 ; 1] par f n x = e pour
1+x
différentes valeurs de n.
a. Formuler une conjecture sur le sens de variation de la suite In en expliquant la démarche.
b. Démontrer cette conjecture.
2- a. Montrer que pour tout entier n > 0 et pour tout nombre réel x de l’intervalle [0 ; 1] :
0 e-nx -nx
e .
2 1+x
1+x
b. Montrer que la suite ( In ) converge vers 0 puis conclure pour ( Jn ) .
-n
3- a. Montrer, en effectuant une intégration par parties, que pour tout entier n >1 : In = 1 1 - e - J n
n 2
b. En déduire lim nIn .
n +
90
M( x , y , z ) M’ ( x ‘ , y’ , z’ ) tel que
Exercice 1 : A/
Une équation de la droite d'ajustement affine de r en t par la méthode des moindres carrés obtenue à l'aide de la
calculatrice est : r = 0,023t - 0,162 .
En 2012, on peut estimer que le recul du glacier par rapport à 1900 sera d'environ 2,4 km, la longueur du glacier est
23,2 km// t = 42,779 r +8,646 // si r = 2,4 t=112 // année = 2012
Avec ce modèle, on peut estimer que le glacier aura disparu si r = 25,6 donc t = 1104 donc le glacier sera disparu
en 3004 .
B/
Une équation de la droite d'ajustement affine de y en t par la méthode des moindres carrés obtenue à l'aide de la
calculatrice est : y = 0,025t - 1,599 .l’équation de t en y est : t = 40,857y + 66,823 = 40,857 lnr + 66,823
(t-66,823)/40,857
Lnr = (t-66,823)/40,857 Une estimation du recul r du glacier en fonction t est r = e .
Avec ce modèle, on peut estimer qu'en 2012 , le recul du glacier par rapport à 1900 sera d'environ 3,021 km, la
longueur du glacier est 22,579 km .Pour r = 25,6 , le glacier sera disparu d’où y=3,242 et t = 200
Avec ce modèle, on peut estimer que le glacier aura disparu en 2100.
Exercice 2 :
92
Exercice 4 :
1. a) z1 = a + i est une solution de z² - ( 1+a )( 1+i )z + ( 1+a² )i = 0 signifie
(a+i)² - ( 1+a )( 1+i )( a+i ) + ( 1+a² )i = 0 .
b) z1z2 = ( 1 + a² )i signifie z2 = ( 1 + a² )i / ( 1 + a² )i = 1 + ia .
2. Soit ( E ) l’ensemble des points M d’affixe a tel que : + = 4 .
On pose a = x + i y où x et y sont deux réels .
a) + = 4 signifie ( + )² = 16 signifie + +2 = 16
signifie 2 = 16 - - signifie 4 = (16 - - )² signifie or 93
=x² + (1+y
)² et = ( 1 – y )² + x² en remplaçant et en fonction de x et y puis on simplifie l’égalité
obtenue
LYCEE IBN ABI DHIAF MANOUBA ZHIOUA KHALED
on obtient : 4 x² + 3 y² = 12 .
Exercice 5 :
a) B(1,0,0) ; I(0, , 0 ) et G(1,1,1)
b. On a : d’où V = = = u.v
x= ; y = - et z = + 1 .
= 0 signifie = 0 signifie = donc O( , , ).
( E ) = G car = donc S’ est une sphère de centre G et de rayon 1 or G ( BIG ) donc S’ ( BIG ) = C ( G , 1 ) .
; , on a GO = = 1 donc O C ( G , 1 ) et on a . =0
94
( A2 ) 33 11 = 11 et 11 divise 2013 donc 33x + 11y = 2013 admet des solutions dans ZZ . V
Exercice 2 :
2) f ( A ) = C et f ( B ) = A .
a) +
- + + +(- ) .
Donc OCA est un triangle rectangle en A de sens direct .
b)
alors C At ) la demi droite perpendiculaire à ( AO ) en A de sens direct .
AC = 2 AB alors C C le cercle de centre A et de rayon 2AB. D’où la construction .
1) a) g est la
95
similitude indirecte de rapport 2 car AC = 2 AB .
2) On a +2
= et g ( G ) = H .
a) +2 =
signifie + + 2 = signifie 3 = signifie = .
= alors = alors = .
b) + = + = ( + )= = .
+ = + + + = + signifie 2 + + = or +2 =
d’où
= donc G est le milieudu segment H .
G est la similitude indirecte de centre et de rapport 2 et comme G est le milieudu
segment H donc =2 avec g ( G ) = H d’où ( GH ) est l’axe de g .
Exercice 3 :
I( 1 , 1 , 0 ) ; J ( 0 , 1 , 1 ) et K ( 1 , 0 , -1 )
1) a) = = .
4) H = h( S,2)
a) H ( P ) = P’ avec P’ un plan parallèle à P et passant par h ( J ) = J’( x , y , z ) .
b) VSM’J’K’ = 23 VSMJK = 8 = 4
Exercice 4 :
E et F d’affixes respectives 1 et i .
C1 est le cercle de centre E et de rayon 1 et C2 est le cercle de centre F et de rayon 1.
0 , 2 , M le point d’affixe 1 + ei et N le point d’affixe i ( 1 + ei ) .
ex 1
I/ 1) a) (x ) .
e x 1 1 e x
lim e x = 0 donc x lim (x) = 0 et lim e – x = 0 donc x lim (x) = 1
x x
2) Soit (x) = (x) – x . est une fonction définie dérivable sur ] – ; 0 [ et sur ] 0 ; + [.
’(x) = ’(x) – 1, la fonction ’ est strictement négative sur ] – ; 0 [ et sur ] 0 ; + [ donc ’(x) < 0
sur ] – ; 0 [ et sur ] 0 ; + [.
La fonction est définie continue strictement décroissante sur ] – ; 0 [
lim (x) = 0 et lim (x) = – donc lim (x) = + et lim (x) = – donc l’équation (x) =
x x 0 x x 0
b)f (– ) – = e – – ( – ) – = e –
Le point de contact de D et C g est le point d’abscisse b = e – donc B a pour coordonnées B(e – ;
g(e – )).
Pour construire B, il suffit donc : de placer le point de l’axe des abscisse ayant pour abscisse – ,
de chercher le point E de C f d’abscisse – et le point F symétrique de A par rapport à l’axe des
ordonnées, F a pour coordonnées ( – ; ) le segment [EF] a pour longueur f (– ) – d’où
l’abscisse de B, il suffit ensuite de placer le point B de la courbe C g ayant cette abscisse. = (AB)
99
Exercice 2 :
1) a) P ( x , y ) et H ( x , 0 ) d’où M ( x , ) donc X = x et Y = .
(E) d’équation + Y² = 1 .
c)
2) Soit P0 ( 1 , ) et M0( 1 , ).
a) L’équation de la tangente (T) à C ( O, 2 ) en P0 a pour équation cartésienne : x + y=4.
I (T) (Ox) donc yI =0 d’où xI = 4 d’où I a pour coordonnées ( 4 , 0 ). 104
b) Soit (T’) la tangente à (E) en M0.
I) 1 ) f ( x ) = x – ln ( 1 + x² ) pour x ≥ 0 .
f’ ( x ) = 1 - = = .
b)
1
ln( +1)
f(x) lnx x²
lim f ( x ) = - et lim lim ( ( 1 - 2 ) 1.
x x x x x x
c) lim ( f ( x ) - x ) = lim ( - ln ( 1 + x² ) ) = - .
x x
3)
x 0 +
f’(x) +
1
f(x)
0
4)a) : y = f’ ( 0 ) ( x – 0 ) + f ( x ) donc : y = x .
105
c)
2) a) I= . On pose u’ ( x ) = 1 alors u ( x ) = x
et v ( x ) = ln ( 1 + x² ) alors v’ ( x ) = .
I= - = ln2 - = ln2 - +2
= ln2 - +2 = ln2 - +2 .
Exercice 4 :
1) q = .
a) = = q alors FG = q FC et ( ) 2 alors S1 ( C ) = G .
b) On a : FH = q = q FD et ( ) ( )
+ 2 2 donc S1 ( D ) = H .
S2 ( G ) = G ; S2 ( H ) = E ; S2 ( F ) = h o (F)=h(F)=J
et S2 ( B ) = h o ( B ) = h ( E ) = I donc l’image du carré BFGH est le carré IJGE .
5) an = q2n .
a) a0 = q0 = 1² = aire de FCDE.
a1 = q² = aire de BFGH.
a2 = q4 = (q²)² = aire de GEIJ.
b) An = a0 + a1 + a2 + …… + an = 1 + q² + (q²)² + ……….+ (q²)n
An = la somme des (n + 1) premiers termes consécutifs d’uns suite géométrique de raison q²
(différent de 1) et de premier terme 1
An = .
1 q 2n+2 1
lim An = lim car lim q 2n+2 0 ( 0 < q < 1 ) .
n n 1 q² 1 q² n
= = = = = = = AABCD.
107
Exercice 1 : Corrigé
, , , P= ( ACH ) et Q = ( EGB ) .
1- = + = , = + , = = = 36 . 0.25
2- S : x² + y² + z² - 2x + 2y – 2z = 0 .
d’où J’ ( 4 , 2 , 4 ).0.25+0.25
Exercice 2 : Enoncé
109
de f est 0.25+0.25
2-
b) f ( A * C ) = f ( A ) * f ( C ) = B * D = O alors f ( O) = O et k 1 donc O est le centre de f .0.5 110
2- a)
LYCEE IBN ABI DHIAF MANOUBA ZHIOUA KHALED
f ( A ) = B et f ( D ) = D’ alors ( ) donc ( BD’ ) ( (AD) ( 1 ) .
( BD’ ) ( DD’) (AD’) = D’ et (1) , (2) , (3) donc D’ est l’orthocentre du triangle ABD .0.75
3- a) f est une similitude directe de rapport et S(AC) est une similitude indirecte de rapport 1 donc
g ( B ) = f o S(AC)( B ) = f ( D) = D’.
Exercice 3 : Enoncé
111
a 1 ( mod 10)
a² 1 ( mod 10)
a3 1 ( mod 10) on somme ces dix congruences on obtient :
. a9 + a8 + a7 +……………………..+a + 1 10 ( mod 10)
. donc
a9 1 ( mod 10) a9 + a8 + a7 +……………………..+a + 1 0 ( mod 10)0.5
Exercice 4 : Enpncé
113
2- a) f ( 0 ) = ln ( 1 + 0 ) = 0 alors O C .
f ( ) = ln ( 1 + 1 ) = ln2 alors A C.
5- a) f est une fonction continue strictement croissante sur donc f réalise une bijection de
b ) f est dérivable sur et f ’ ( x ) 0 sur donc f-1 est dérivable sur IR .0.25
( f-1)’ ( y ) = = .0.25
115
117
y
A
0 1 x
O
B I
y
Fig 3
0 1 x
120
121
128