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J OLLJVET CA sT EL OT
__ ____ .., _
La Science Alchimique . . . . • •
5 fr. 11
L'Hylozoïsme . . . . • • • • • 1 fr. 75
(L'HYPERCH1M1E, Ro sx ÀLCHEMICA,
les No uv EA UX Homzoxs)
AB ON NE ME NT S :
•
•
'
'
La Synthèse de t'or
•
•
A la Mimoire immortelle d'un
de l'Humanlté
•
MAl!CEl.LIN BERTHELOT
ment dé d i é .
•
'
•
'
'
,
F. J O L L J V E T C A ST E LO T
ALC HIM IQU E DB FRA NCE
l'IlÉ SID RN T Dll LA SOC illT IÎ:
" '
ese
L ' Ll n i t é et la Transmutation
•
de la Matière
rm»;
11 Elle vit, elle évolue el se lransfo
simples. ,,
a 11 n'y a pas de corps
'
•
PARIS
'
DA RA GO N, L1nnAJRE-Eo11·Eu1i
H.
96 -9 8, rue Bl an ch e
•
'
La Synthèse de ]'Or
DE LA MA'fIERE
connaissances humaines.
Grèce.
les mystères .
•
- 3 -
J c s gnos\iques.
portance.
•
ou imparfaite.
-e111gmes.
les.
•
L-l�s.
•
- ,?. -
reurs , oflrent encore des diffic ultés mult iples avant dêtre
rlcs élém ents chim iques dits « simp les » ainsi que de le111·
ciens et mod ernes les plus intér essan ts, Voici deux expé
clos pend ant très longt emps , dans un appareil spécial f!UÎ
n ' e s t autre fJUC I 'Atha nor des ancie ns, perfectionné, donn e
bout dun certa in temp s tin corps blanc prése ntan t des
au
chimiques de Paris.
tube de radium.
J
-- 6 -
dium.
S c c i é t é Alchimique de France.
. ..
taux imparfaits.
corps
Daniel Berthelot).
d'atomes identiques.
- 8 -
Vie universelle.
61-08.
'
- 9 -
de I'Eth er,
�ène, sur les états radi ants .sub tils, de la Mat ière,
sur les ions , les élec tron s, les rayons X et autr es, prouvent
que de l' Ene rgie com pac iée à d i v r s degr és : ces di
somme
degrés sont les états de la Mat ière, les inno mbr able s
vers 1
ea, etc . . .
Les trav aux de Tifiereau, d'Em men s, de Carey-L
que con
Sous l'act ion de diss olva nts, tels que l'aci de nitri
Cuiv re, l' Arg ent, suiv ent alor s lent eme nt les
Le Fer, le
de l'Ev olut ion, qui fut celle des Indo us, des
des formes,
ition nels .
d'He rbert Spencer, et de tous les herm étist es trad
•
- tO -
Ill
B1BLIOGRAPIIII, ,\LCIII!IIIQUE
la question.
tho-herméiique.
-- i f -
•
d',1lchimic (traduits en f r a n ç a i s ) ; Théories et Symboles des
chimie.
IV
l
Le rôle de la Chimie dans l 'Ilu mani té et le Monde est.
immense ; l ' o n peut dire qu' clic est la science la p lus direc
'
m oi n s , après l ' A stronomie , la science la plus m aj estueuse ,
mutiques.
1
'
- t2 -
Son aven ir est illimité ! Des déco uvert es étonn aete s sont
• des forces unive rselle s, cond ensat ions alim entai res et dyna-
1nog éniqu cs, syntl1èse do mati ères tinct orial es, d'exp losifs
l'ave nir des corps industriels extrê mem ent purs et d'un e
une utilis ation et une capta tion de toute s les énerg ies ato
'
1 miqu es, une simp licité d'act ion fécon de et mag nifiq ue.
<tt permettra ainsi d'ob tenir les chan geme nts moléculaires
aous pouv ons être assurés <le la possi bilité d'abo rd scien ti
maté rialis eron t !'Ene rgie sous forme des corps nécessaires,
•
- i 3 -
trons.
chimique.
que et rapide d e l ' Avenir, sans passer d'abord par les rayons
devenir.
aussi.
ques de ouets
j p eint s , de céramiques, de p roduits alim e n
•
- 1"
' ;) -
rib le.
temps de guer
C ' e s t encore la Cl1imie qui intervient en
chimiques.
électriques.
ses richesses.
sur l "autre,
avec le Mi lie u,s ous l'in fl u e nce des forces mises en je u ; ici
traverse, dans lequel plutôt il est excité (car 011 excite, 011
sur laquelle nous n'avons pas à nous appes an tir ici) . (1).
là. .
• doit reposer sur ces états variables et variés qui ont évi
• • • • • • • • • • • • • • •
*
* "'
La Chimie en trouvant de meilleurs m é ta u x , lé ger s, soli-
'
- 19
Chimie qui lui fournit tous ses réactifs cl. ses procédés.
car les microbes sont les géniteurs de, colorants dans leur
�
particulièrement étendu.
rayons.
•
- 22 -
que les microbes sont des êtres anim és, que les Plan
sent,
les mic ro-o rgan ismes , les mou sses , les parasi
Les algu es,
l'im mob ilité , le silen c e et la nuit ét erne l les P Tout vit, c'est
mos l
li n t é g r a l i t é des être s,
La chaî ne universelle com pren d
lle, plus
Pro clam ons avec enth ousi asm e la Vie univ erse
le
le seul vrai des doc mes , la Vie des « Cho ses » '
Leau el �
•
- 24 -
ques tion s part iculi ères que nou s avon s trait ées
dre sur les
le plus
apparait logique de supp oser 11ue c'es t !'Hy drog ène,
léger de tous les élém ents conn us, le prot o-hy drog ène,
serait le Gén iteu r par exce llen ce, dérivé de I'Et her ,
qui
•
des oscillations de ce mili eu san s doute élec
sous l'act ion
tro-magnétique.
..
1
.
Toutes ces vues 11e sont point neuves, du reste : nil 1io
Corps ...
te s, de condensations ex cessives .
•
- 26 -
main.
ligieuse ! ...
b.:.----��--�������-1
- 27 -
a nimée ( 1 ) .
•
" .
D e tout ce qui pr é c è de il ne faudrait p as s uppo s er que
•
sent tous les chemins particuliers tracés par les sciences d i
marne.
du Pr ot o p l as m a , p oss é d a n t ainsi le m é c a n i s m e d e la Vi e di te
fructueuse.
grandiose.
de l'édifice illimité.
•
lois.
•
- 29 -
et que la Iormuls de
lation est su pé rie ur e à l.' ob serv ati on
tr êm em en t va rié e el diffi
cil e.
•
e plé iad e
Il est do nc à so uh a ile r de vo ir se lever bientôt. un
et de la pe ur du nou-
ennemis d e la routine
de ch im ist .es •
et qui co ns idè re nt la
di d é a l , de pe ns ée forte,
ve au , ép ris
Iaï qu e.
da ns l'E sp ac e et le Temps,
m olé cu lai re s so nt ide nt iqu es,
en Bas
Ce qu i F:.,t en Haut est co mm e ce qu i Est
e ce qu i Es t en H o t ü
Ce qu i Est en Bas est co mm
de la Chose Ilniqne .
• Po ur accomplir les Merveilles
�IATIERE ET DE S FO RC ES
J,' EV OL UT IO N DE LA
3
- 30 --
•
..... fJUe la matière n'est autre chose que de l'énergie con1pac-
'
- 3t -
tions pour ainsi dire plus que probables ! Toul est dans
cle l'aph orism e des ancie ns herm étiste s, des vieux alchi
mistes, avec leurs propres doctr ines, leurs théori es, qu'el le
clari fie, qu'e lle comp lète, perfe ction ne, et augm ente d'ex
périences nom breu ses autan t que conv ainca ntes. La B)'n
thèse , la philo soph ie monistes qui s'élè vent, 11e sont que la
lente ment par la disso ciatio n conti nuell e des atom es qui la
comp osen t,
titue nt des subs tance s inter méd iaire s par leurs propriétés
vant resti tuer que l'éne rgie qu'o n lui a d-· abor d fourn ie,
•
est au contraire un colossal réservai� d'éne rgie - l' ënerq ie
intra -atom ique - qu'elle peut dépe nser sans rien e1npru1i
ter au dehors.
)
ivl".""f�èl'lon,-cc clêux choses identiques, sous des aspects dif
férents ».
N ous pourrions •en citer encore d'autres qui ont écrit bien
peu.
•
thodiques n.
'
(r) Ledge: La théorie Moderne (le l'Eleclricité; trad. franç.,
•
- 33 -
tière ; elle devient impo ndér able, trave rse les obsta cles, e t c . ;
elle s'est trans lorm ée en éner gie. Autrement dit, son éner
façon définitive.
de l'ion néga tif) abso lume nt purs ; les rayons catho diqu es
cité pure déga gés de tout élément maté riel ;. les rayons X
•
combinaison n.
la transformation du p o n d é ra b l e en impondérable.
électriques.
•
---- 35 -
1 'uni té de corn posi tion des corp s dits sim ples , l 'é
mili eux,
ntes ne sorü
espèces chim ique s, pas plus q u e les e s p è c e s viva
•
Dr G . Le Bon.
Les con c l u sion s auxq uell es il arrive nou s font revenir au·
d'in nom br ab les évol ut i ons. Mais ces évol utio ns n'on t q u ' u n
scr b enl toute chose en le Nirvana éternel, inco nna issab le,
•
imm anen t.
•
-- 36 -
que Bud dha ens eign ait cha cun de ses disc i
cela, Voi là ce
f
tout être et en toute chose : l'id enti té de la
ples à voir en
•
•
fraternité de tous les êtres en déc oule ;
La soli dar ité, la
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,f "'
l
37·_
-
autant qu'a rtifl ciel les, ne correspondent point avec les faits.
théories, les hyp oth èses , les systèmes pro viso ires , éphé
les
s11ccess1ves. ·
la !'11atièrc
la Force, au prétendu dualisme entre la Force et
a Matière et celui
et complexes, le fait de la Dissociation de l
•
La Dissociation universelle de
de l' éne r g ie intraatomique.
1
'
1
- 38 - '
l
la .Matière produisant des émanations radio-actives et des
'
Ether, c'est-à-dire I' u n i t é et l'évolution de I' Energie uni
verselle.
'
j
Celte conception ruine entièrement la Physico-Chimie
/
classique, la Mécanique traditionnelle, et permet de cons
vénérables l
matière ( 1) >>.
l
1
- 39 -
France, les idées que nous fûmes l'un des premiers à ex
loin 'd' être 1'Îe1i, il est tout. Formant tous les édifices ato-
, -
ment dit qui n'est constitué que par des systèmes clos en
•
l
- 4-0 -
..
dont on soit s û r .
religieux .
•
•
PAGES
II. - E x p é r i e nce T r a d i t i o n n e l l e . . . . . • . . 4
Tr a n s m u t a t i o n de !'Argent par le R a d i u m . . • 5
III. - B i b + i o a r a p h ie a l c h i m ique . . . . . . . . . ,o
IV. - La C h i m i e el son A v e n i r . • . . . . . . . 1 1
V. - L'Evolution de la M a t i è r e des F o r c e s . • •
'
'
•
•
•
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•
,
•
•
de la Science et de la Pensée
'
L'1IYPE�C111.M1E - �OSJt .llLC1IE.M1CJt
•
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Direction et Administration :
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PROGRAMME DE LA REVUE-:
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Le n u m ërro : 0 I'r, 60